GIVAT SHMUEL, Israël, le 16 mai 2012 /PRNewswire

DSIT Solutions Ltd, une filiale d'Acorn Energy, Inc. , a annoncé qu'elle présentera les systèmes de sécurité sous-marine de la société et d'autres sonars et des solutions acoustiques à la Conférence et l'exposition sur les technologies de la défense sous-marine (UDT) à Alicante, en Espagne (du 29 au 31 mai, 2012). La société considère l'UDT comme un évènement important pour atteindre les décideurs dans les domaines liés à la défense sous-marine et la sécurité, et a été un exposant lors de cet événement pour les dernières années.

DSIT est heureux d'inviter les visiteurs à s'arrêter à leur stand, F17, pour se renseigner sur le système de sonar de détection de plongeurs leader au monde, l'AquaShield™ DDS et son homologue portable, le PointShield™ Portable DDS, et de regarder un vidéoclip montrant les capacités opérationnelles de ces systèmes. En outre, la société présentera des informations sur leur Entraîneur de tactiques de missions sous-marines complètes, leur Système d'analyse de signaux acoustiques sous-marins, et les Champs acoustiques portables MAR™.

À propos de DSIT

DSIT développe des solutions de sonar et acoustiques et agit comme un intégrateur de systèmes pour les systèmes de contrôle et de commandement de sécurité avancée. Les offres de la société sont conçues pour fournir les dernières technologies et leur application intelligente dans les marchés de l'énergie, du commerce, de la défense et de la sécurité intérieure. L'offre de la société comprend : le système de surveillance portuaire Portview™ (HSS), le sonar de détection de plongeurs AquaShield™ (DDS), des simulateurs de sonar et des formateurs, des champs acoustiques mobiles MAR™, des systèmes d'analyse de signaux acoustiques sous-marins (UASA) et des programmes de mise à niveau de sonars (SUP). Pour de plus amples renseignements, veuillez visiter le site www.dsit.co.il

À propos d'Acorn Energy

Acorn Energy, Inc. est une société holding axée sur l'amélioration du secteur de l'énergie en apportant des solutions numériques pour la gestion d'actifs de l'infrastructure énergétique. Les quatre entreprises dans lesquelles elle détient des intérêts majoritaires améliorent les infrastructures d'énergie dans le monde en la rendant : plus sûre - en fournissant des solutions de sécurité pour les infrastructures énergétiques sous-marines (DSIT) ; plus fiable - en fournissant une surveillance basée sur les conditions des éléments essentiels sur le réseau électrique (GridSense, OmniMetrix) et plus productif et efficace - en augmentant la production de pétrole et de gaz, tout en réduisant les coûts, grâce à l'utilisation d'outils de détection sismique ultra-sensibles, qui permettent de brosser un tableau plus précis des réservoirs (Etats-Unis sismique). Pour de plus amples renseignements, veuillez visiter le site : http://www.acornenergy.com

Un centre de management de la défense dans la 3e dimension Martha,

lors de l’exercice Gulf 2012 aux Emirats Arabes Unis. Crédits : CFT

18/05/2012 Armée de Terre

L’exercice Gulf 2012 a permis aux armées française et émirienne de travailler ensemble. Pour les acteurs de la défense sol-air, c’était aussi l’occasion de s’entraîner en zone désertique, et de mettre à l’épreuve la fameuse liaison 16.

Du 15 avril au 2 mai 2012 aux Émirats Arabes Unis, l’exercice franco-émirien Gulf 2012 a été l’occasion pour l’armée de Terre de s’entraîner en zone désertique. Le 54e régiment d’artillerie (54e RA) de Hyères, le 35e régiment d’artillerie parachutiste (35e RAP) de Tarbes et le 402e régiment d’artillerie (402e RA) de Chalons en Champagne assuraient la défense sol-air du dispositif, à l’aide de pièces Mistral et de système d’armes Martha. Les stations Martha qui, utilisées pour la première fois hors métropole et dans des conditions climatiques difficiles (température élevée, sable), ont donné pleine satisfaction.

A l’honneur également durant cet exercice : la liaison 16 (L16), qui permet l’échange d’informations tactiques et techniques entre plates-formes interarmées terrestres, aériennes et maritimes de différentes nations sous mandat OTAN, en leur permettant d’utiliser un langage commun. Un véritable vecteur d’interopérabilité, utilisé actuellement par les alliés sur différents théâtres d’opération, et qui a conquis le capitaine Jérôme Guerlin, chef du centre de management de la défense dans la 3e dimension (CMD3D) : « l’avantage de la L16 est d’abord son interopérabilité, ce qui nous a permis d’échanger des informations opérationnelles avec les autres stations L16 déployées (frégate Cassard et avions Rafale), mais aussi le taux de rafraîchissement en temps réel des pistes de la situation tactique, qui a permis des prises de décision immédiates de l’autorité de commandement ».

2012-05-15 farsnews.com

TEHRAN (FNA)- Iranian and Omani armed forces are scheduled to hold joint rescue and relief drills in Iran's Southern port city of Bandar Abbas next winter, a senior Iranian military commander announced on Tuesday.

Speaking to reporters on the sidelines of Iran-Oman Joint Military Committee meeting here in Tehran today, Deputy Chief of Staff of the Iranian Armed Forces for Operational Affairs Brigadier General Mostafa Salami said that the joint exercises will be held in the Iranian calendar month of Dey (December 21,2011- January 19, 2013).

As regards the agreements in the joint meeting, Salami said that the two sides agreed on logistic support for the Iranian flotilla in Omani ports, joint drills specially in rescue and relief in a bid to prepare grounds for joint maneuvers at higher levels, reciprocal military visits and presence of military observers in the two countries' military wargames.

The Iranian commander further announced that the next joint military committee meeting will be held in Muscat 20 months later.

Over the last few years, Iran and Oman have expanded military ties and cooperation specially over security in the Persian Gulf.

The two countries signed a security agreement in August 2009.

Later in August 2010, the two Persian Gulf states signed an agreement to further boost mutual cooperation in the field of defense.

A few months later in December, the Iranian parliament approved a bill that allows Tehran to implement an agreement on security cooperation and coordination with Oman.

15/05/2012 lepoint.fr

L'offensive contre Al-Qaïda dans le sud du Yémen lancée il y a quatre jours s'est durcie mardi, faisant 44 tués, dont 25 membres du réseau extrémiste et douze civils visés par erreur par l'aviation.

L'offensive, combinant raids aériens et opérations terrestres, s'est étendue à Loder alors qu'elle était confinée depuis samedi autour de Zinjibar, capitale de province d'Abyane aux mains d'Al-Qaïda depuis près d'un an.

A Jaar, à 12 km au nord de Zinjibar, "onze combattants d'Al-Qaïda ont été tués dans un troisième raid aérien", a déclaré un responsable local, ce qui porte à 13 le bilan des pertes du réseau dans cette ville.

Un précédent raid a tué par erreur, toujours à Jaar, 12 civils et blessé de nombreux autres qui s'étaient attroupés autour d'une maison frappée par un missile, ont indiqué des habitants.

Dans le cadre de son opération, l'armée a diffusé des tracts appelant "les civils à éviter les endroits où se trouvent les combattants d'Al-Qaïda".

A Loder, à une centaine de kilomètres au nord-est de Zinjibar, où les supplétifs des Comités populaires de défense sont engagés dans de violents combats avec Al-Qaïda, six nouveaux combattants du réseau ont été tués alors que six autres ont péri dans la matinée, a indiqué une source tribale.

Cinq supplétifs au total ont péri dans les combats, selon un porte-parole des comités Ali Ahmed, qui a révisé à la hausse un premier bilan de deux morts.

Ce porte-parole a assuré que ses combattants avaient réussi à "repousser les combattants extrémistes au sud et à l'ouest de la ville".

Toujours à Loder, l'armée a perdu deux soldats, selon une source militaire.

L'opération, supervisée personnellement par le ministre de la Défense, Mohammed Nasser Ahmed, et les principaux chefs militaires a été lancée après l'acheminement de renforts dans le Sud.

L'armée yéménite a assuré avoir progressé lundi vers Zinjibar.

D'après des sources tribales, les combats dans le Sud ont fait 37 morts parmi les insurgés samedi et dimanche, mais aucune confirmation de ce bilan n'a pu être obtenue de source hospitalière.

Une source militaire a de son côté reconnu dimanche la perte de douze soldats, mais le ministère de la Défense n'a évoqué sur son site internet 26Sep.net que la mort de six militaires.

L'offensive est la plus importante opération contre Al-Qaïda dans le sud du Yémen.

Elle intervient alors que les Etats-Unis ont multiplié les raids de drones contre des chefs locaux du réseau, après les révélations d'un agent infiltré au sein d'Al-Qaïda dans la Péninsule arabique (Aqpa), dont les renseignements avaient permis de tuer le 6 mai l'un des chefs de l'organisation, Fahd al-Quso.

Le président intérimaire Abd Rabbo Mansour Hadi n'a cessé de répéter sa détermination à vaincre le réseau qui a profité d'une année de contestation violente du régime pour affermir son implantation dans le sud du pays.

Al-Qaïda au Yémen a profité des troubles pour piller des dépôts de l'armée, abandonnés par certaines unités au moment où une partie de l'armée s'est rangée derrière l'ancien président Ali Abdallah Saleh et l'autre soutenait ouvertement les manifestants.

M. Hadi a reçu le soutien des Etats-Unis, préoccupés par les activités d'Al-Qaïda au Yémen. Il a affirmé dimanche que "la décision du Yémen de poursuivre les éléments terroristes est irréversible" en rencontrant à Sanaa, John Brennan, conseiller du président américain Barack Obama pour la sécurité nationale.

May 15, 2012 defpro.com

Maj. Gen. Amir Eshel officially becomes new IAF chief at change-of-command ceremony

The Israel Air Force (IAF) on Monday (May 14) officially received a new commander; Major General Amir Eshel.

At a change-of-command ceremony, outgoing IAF chief Maj. Gen. Ido Nechushtan passed the mantle of leadership to Maj. Gen. Eshel.

Chief of the General Staff Lieutenant General Benny Gantz said to Maj. Gen. Eshel: "Amir, today you return to the IAF and we give you this responsibility with great faith. I'm sure that your great experience over many years and the capabilities you are endowed with will enable you to meet this role."

Maj. Gen. Eshel talked about the recent regional turmoil that has shaken the Middle East, saying it has produced both risks and opportunities.

"In the Middle East, there is no place for the weak," he said. "A strong IDF and an IAF within it as an arm of deterrence, decisiveness, and defense, are the insurance certificate for the existence of the State of Israel, Jewish and democratic. The years ahead of us hold potential changes and tests. We do not rejoice in battle. If Israel is forced to draw its sword, may the IAF be the lethal and sharp blade, operating for victory, at short and long distances, against terrorism, militaries, and emerging threats. The IAF will be fit, available, and prepared for any scenario."

14.05.2012 Le Monde.fr avec AFP

Alors que doivent s'ouvrir, le 23 mai, des négociations entre l'Iran et les grandes puissances sur le programme nucléaire iranien, Téhéran annonce le lancement, le même jour, d'un satellite expérimental d'observation baptisé Fajr ("aube").

Ce satellite sera le quatrième lancé depuis 2009 par l'Iran, dont le programme spatial inquiète la communauté internationale, qui soupçonne Téhéran, malgré ses démentis, de chercher à développer des lanceurs balistiques à longue portée capables d'emporter des charges conventionnelles ou nucléaires.

"PROVOCATIONS" POUR LES OCCIDENTAUX

C'est la première fois que l'Iran donne à l'avance une date précise pour le lancement d'un satellite, les précédents lancements, qualifiés de "provocations" par les Occidentaux, ayant toujours été annoncés après le succès de l'opération. La date du 23 mai coïncide avec l'ouverture à Bagdad de négociations entre l'Iran et les grandes puissances sur le programme nucléaire de Téhéran.

Les programmes nucléaires et balistiques iraniens ont été condamnés par plusieurs résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU, avec depuis 2007 un embargo quasi-total sur les technologies nucléaires et spatiales. Fajr a été présenté par les responsables iraniens comme un engin "d'observation et de mesures" de 50 kilos, construit par la société Sa-Iran, qui dépend du ministère de la défense.

UNE FUSÉE PROCHE D'UN MISSILE BALISTIQUE

Premier satellite iranien équipé de panneaux solaires, il a une durée de vie prévue de dix-huit mois, beaucoup plus longue que celle des trois précédents engins d'observation ou de communication expérimentaux déjà lancés par Téhéran et prévus pour fonctionner quelques semaines : Omid (février 2009), Rassad (juin 2011) et Navid (février 2012). Mehdi Farahi, le directeur des industries aérospatiales, a précisé que Fajr serait lancé par une fusée Safir-B1, capable de placer une charge de 50 kilos sur une orbite basse de 300 à 450 km d'altitude.

Selon les experts, la Safir-B1 est proche du missile balistique iranien Shahab-3, lui-même dérivé du missile nord-coréen No-Dong. M. Farahi a précisé que l'industrie aérospatiale iranienne employait directement 10 000 personnes et indirectement 500 000.

TEL AVIV, Israel, May 14 (UPI)

The Pentagon is expected to announce an additional $680 million in U.S. aid for Israel to boost the development of anti-missile systems to shield the Jewish state from a feared bombardment by Iran, Syria, Hezbollah and the Palestinians.

The announcement will coincide with the visit to Washington of Israeli Defense Minister Ehud Barak, who arrived Monday.

The funds will be allocated to the Iron Dome counter-rocket system developed and built by Rafael Advanced Defense Systems.

Assistance for two other systems -- the high-altitude Arrow 3 built by state-owned Israel Aerospace Industries and designed to intercept Iranian and Syrian ballistic missiles outside the Earth's atmosphere, and David's Sling, another Rafael system intended to counter medium-range missiles -- has already been approved.

Arrow is to get $119 million, with David's Sling, also known as Magic Wand, will receive $165 million.

All told, that adds up to $948.74 million in U.S. aid for Israel's drive to construct a unique four-layer missile shield that will become fully operational in the next 3-4 years and is capable of combating everything from short-range unguided rockets to highly accurate intermediate ballistic missiles.

The move follows intense bipartisan pressure in the U.S. Congress on U.S. President Barack Obama's administration to aid Israel as it confronts Iran and its Arab foes amid rising tensions in the Persian Gulf, a revolution in Syria and growing hostility in Egypt where an Islamist surge threatens its historic 1979 peace treaty with the Jewish state.

The new U.S. funding is the largest single military aid grant authorized for Israel or any other ally.

It's in addition to the $3 billion a U.S. military aid the Israelis get every year and dwarfs the $205 million Washington provided in fiscal 2010 to fund the Iron Dome anti-rocket system that's already been in action against Palestinian attacks.

It also coincides with heavy U.S. pressure on Israeli Prime Minister Binyamin Netanyahu's coalition government to hold back on threatened pre-emptive strikes against Iran's nuclear facilities.

Washington says that assault would trigger a Middle Eastern conflict with the potential to cause immense destruction across the Middle East. That's the last thing the Obama administration wants in a presidential election year as it prepares to withdraw forces from Afghanistan as it already has in Iraq.

The scale of the new aid package, and its timing, has raised suggestions that Obama is seeking to buy off Netanyahu, even though the U.S. president is at considerable odds with the hawkish Israeli leader over his refusal to halt Jewish settlement activity in the occupied West Bank to revive the fading peace process.

Indeed, since Obama first denounced Israel's settlement program in 2009, in terms far harsher than his predecessors, Israel has accelerated settlement expansion.

Obama's differences with Netanyahu could cost him heavily in November but the new military aid package, just shy of $1 billion, could secure a big chunk of the Jewish vote.

The Congressional Research Service said Israel is the largest cumulative recipient of U.S. foreign assistance since World War II. As of 2012, the United States has provided Israel with $115 billion in bilateral assistance.

The U.S. aid may turn out to have strings attached. Israel's Globes business daily reports that Congress' Strategic Forces Subcommittee of the House Armed Services Committee made the new grant conditional on the United States receiving rights to Iron Dome's unique technology.

It also wants part of the production to be transferred to U.S. companies, suggesting this could involve job losses in Israel.

"The legislators want the head of the U.S. Missile Defense Agency, Lt. Gen. Patrick O'Reilly, to 'ensure the United States has appropriate rights to this technology,' before the money is transferred to Israel," Globes reported.

The wording there is pretty vague, and Globes observed that the Israeli assessment is "the U.S. legislators left broad room for maneuver for the Defense Department in its negotiations with the Israeli Ministry of Defense."

The plan is to bolster Israeli efforts to construct a multilayered defense shield to protect its cities and strategic installations against an anticipated missile bombardment that Israeli strategists say Iran and its Arab allies could sustain for many weeks.

The funding was actively encouraged in Congress by the Defense Department, informed sources say. The House Armed Services Committee last week authorized the $680 million.

14/05/2012 LeFigaro.fr (AFP)

L'Iran va lancer le 23 mai, jour de l'ouverture de ses négociations nucléaires avec les grandes puissances, un satellite expérimental d'observation baptisé Fajr, a annoncé aujourd'hui le directeur des industries aérospatiales, Mehdi Farahi, cité par l'agence officielle Irna.

Ce satellite sera le 4e lancé depuis 2009 par l'Iran, dont le programme spatial inquiète la communauté internationale qui soupçonne Téhéran, malgré ses démentis, de chercher à développer des lanceurs balistiques à longue portée capables d'emporter des charges conventionnelles ou nucléaires.

C'est la première fois que l'Iran donne à l'avance une date précise pour le lancement d'un satellite, les précédents lancements, qualifiés de "provocations" par les Occidentaux, ayant toujours été annoncés après le succès de l'opération. La date du 23 mai coïncide avec l'ouverture à Bagdad de négociations entre l'Iran et les grandes puissances sur le programme nucléaire de Téhéran. Les deux programmes ont été condamnés par plusieurs résolutions du conseil de sécurité de l'ONU, avec depuis 2007 d'un embargo quasi-total sur les technologies nucléaires et spatiales.

Fajr (Aube) a été présenté par les responsables iraniens comme un engin "d'observation et de mesures" de 50 kilos, construit par la société Sa-Iran, qui dépend du ministère de la Défense. Premier satellite iranien équipé de panneaux solaires, il a une durée de vie prévue de 18 mois, beaucoup plus longue que celle des trois précédents engins d'observation ou de communication expérimentaux déjà lancés par Téhéran et prévus pour fonctionner quelques semaines: Omid (février 2009), Rassad (juin 2011) et Navid (février 2012).

M. Farahi a précisé que Fajr serait lancé par une fusée Safir-B1, capable de placer une charge de 50 kilos sur une orbite basse de 300 à 450 km d'altitude. Selon les experts, la Safir-B1 est proche du missile balistique iranien Shahab-3, lui-même dérivé du missile nord-coréen No-Dong. M. Farahi a précisé que l'industrie aérospatiale iranienne employait directement 10.000 personnes et indirectement 500.000.

2012-05-13 farsnews.com

TEHRAN (FNA)- Iran's Navy Commander Rear Admiral Habibollah Sayyari announced that the Navy plans to stretch its operational range in the Northern waters of the Indian Ocean.

Speaking to reporters after a meeting with Assistant Chief of Staff of Oman's Armed Forces Rashed Bin Seif Bin Al-Rashidi here in Tehran, Sayyari stressed the necessity for further interactions between Iran and the countries on the Northern rims of the Indian Ocean given the Navy's plan to increase its operational zone.

"Given the expansion of the operational zone of the Army's Navy in the Northern Indian Ocean and our plan for going to waters beyond the 10-degree latitude, we need to have interaction and cooperation with the neighboring states, special countries in the North of the Indian Ocean," Sayyari stated.

He pointed to the Navy's presence in international waters in North of the Indian Ocean, Gulf of Aden and the Red Sea, and stressed that maintaining such a naval presence demands cooperation with the neighboring states, Oman in particular, reminding that Muscat is among the ports where Iran's naval fleets dock to carry out their necessary tasks, like repair and maintenance.

The Iranian Navy has been conducting anti-piracy patrols in the Gulf of Aden since November 2008, when Somali raiders hijacked the Iranian-chartered cargo ship, MV Delight, off the coast of Yemen.

According to UN Security Council resolutions, different countries can send their warships to the Gulf of Aden and coastal waters of Somalia against the pirates and even with prior notice to Somali government enter the territorial waters of that country in pursuit of Somali sea pirates.

The Gulf of Aden - which links the Indian Ocean with the Suez Canal and the Mediterranean Sea - is an important energy corridor, particularly because Persian Gulf oil is shipped to the West through the Suez Canal.

May 12, 2012: STRATEGY PAGE

Israel believes that Lebanese terror group Hezbollah has received more Ababil UAVs from Iran and is preparing to use many of them for attacks on Israel. This was tried in 2006, when two were sent against Israeli targets. One Ababil crashed and the second one was shot down by an Israeli aircraft. If Hezbollah goes to war with Israel again, as would happen if Israel attacked Iranian nuclear weapons facilities, it is believed that Hezbollah would send a dozen or more Ababils south, each armed with a 50 kg (110 pound) explosive warhead.

The Ababil has been used in Lebanon, mostly for reconnaissance, for the past decade. The Israelis feared that the low flying Ababils could come south, carrying a load of nerve gas, instead of explosives. Using GPS guidance, such a UAV could hit targets very accurately. If the Ababils were programmed to fly low, at night, via GPS they would be difficult to detect. Hezbollah has not yet obtained nerve gas, but Israel is worried about what might happen to Syrian stocks of nerve gas.

There's nothing exotic about UAV technology, at least for something like the Ababil. Iranian UAV development also got a boost from American UAVs received in the 1970s (Firebee target drones). The Iranians have been developing UAVs since the 1980s. The first successful one, Ababil, appeared in the 1990s. There are several versions, with the current one being an 82 kg (183 pound) UAV with a 3.2 meter (ten foot) wing span, a payload of about 35 kg (77 pounds), a cruising speed of 290 kilometers an hour, and an endurance of 90 minutes. The Ababil is known to operate as far as 150 kilometers from its ground controller. But it also has GPS and a guidance system that allows it to fly a pre-programmed route and then return to its ground controllers for a landing (which is by parachute). Ababil can also be programmed to fly one-way, which would enable it to hit targets up to 400 kilometers away (carrying more fuel and less payload). The Ababil can carry a variety of day and night still and video cameras, or explosives. There are many inexpensive and very capable cameras available on the open market, as is the equipment needed to transmit video and pictures back to the ground. Iran also has a larger (174 kg/382 pounds) Mohajer IV UAV, the latest model of a line that began in the 1980s. The Mohajer II is about the same size as the Ababil.

May. 11, 2012 By LACHLAN CARMICHAEL (AFP) – Defense news

WASHINGTON — The United States said May 11 it is partially resuming sales of military supplies to key Gulf Arab ally Bahrain but maintaining a freeze on certain wire-guided missiles and vehicles.

State Department spokeswoman Victoria Nuland said “the items that we are releasing are not used for crowd control,” urging Bahrain to tackle “serious unresolved human rights issues” amid a crackdown on pro-democracy activists.

Tear gas and stun grenades were excluded from the sales, according to U.S. officials. A senior U.S. administration official told reporters on condition of anonymity that a frigate and harbor security boats as well as upgraded F-16 engines would be transferred to Bahrain.

The equipment and services were released “for the purpose of helping Bahrain maintain its external defense capabilities,” she said. “We will continue to maintain the holds on the TOW missiles and Humvees that were notified to Congress last October,” she said amid concerns they could be used against protesters.

Nuland was referring to Tube-launched, Optically tracked, Wire-guided missiles as well as the all-terrain Humvees that have replaced the traditional Jeep.

“Certain additional items for the Bahrain Defense Force, as well as all items for the Ministry of the Interior, excepting the Coast Guard and units deployed in Afghanistan, will also remain on hold,” she added.

A Congressional Research Service report last month said Washington had not discontinued arms sales and anti-terrorism aid to Bahrain, but some of the supplies remained on hold or were at reduced levels following the unrest.

The announcement on military cooperation came amid a visit to the United States by Bahraini Crown Prince Salman bin Hamad Al Khalifa who met May 9 with U.S. Secretary of State Hillary Clinton.

Clinton said “much work remains to fully address ongoing human rights issues,” according to Nuland, after the pair discussed Bahrain’s efforts to implement recommendations from an independent probe into the crackdown on pro-democracy protests.

“She encouraged the Bahraini government to champion a clear process — in both word and action — that leads to meaningful institutional and political reforms that take into account the interests and aspirations of all Bahrainis,” Nuland said.

King Hamad promised reforms after the independent commission probing Bahrain’s March 2011 crackdown on Shiite-led democracy protests reported in November that police had used “excessive force” and tortured detainees.

Amnesty International says 60 people have been killed in Bahrain since the uprising began in mid-February 2011.

Bahrain serves as the headquarters for the US Navy's Fifth Fleet, which patrols the Gulf amid perceived threats to Arab allies in the region from neighboring Iran.

May 11, 2012 Karen Parrish / American Forces Press Service  - defpro.com

WASHINGTON | The U.S. Defense Department’s senior civilian and military officer offered their perspectives May 10 on the ongoing unrest in Syria and the threat al-Qaida in the Arabian Peninsula poses in Yemen.

Defense Secretary Leon E. Panetta and Army Gen. Martin E. Dempsey, chairman of the Joint Chiefs of Staff, told reporters during a press conference that internal strife in Syria remains an issue of great concern.

The Syrian people’s revolt against ruler President Bashar al-Assad’s regime began in early 2011. Since then, Assad’s military has battled rebel forces in several cities. Estimates of those killed, both combatants and civilians, reach as high as 17,000-plus.

The secretary acknowledged the cease-fire nominally in place in Syria as part of former U.N. Secretary-General Kofi Annan’s peace plan “does not appear to be working.”

“We continue to urge Assad to step down, that there must be a change there,” Panetta said. “They've lost their legitimacy by the huge number of deaths that are taking place in Syria.”

He emphasized the United States continues to work with other nations to bring diplomatic and economic pressure on Assad. The goal, Panetta said, is to implement political reforms, “have Assad step down and to try to return Syria to the Syrian people.”

Dempsey added he has consulted on the issue with his counterparts in Syria’s neighbor nations.

“Two weeks ago, I was in Jordan,” the chairman said. “Today my Turkish counterpart is in the building, and we're trying to gain a common understanding of where we think we are and where we think we might want to go.”

Jordan is very concerned about the potential for increased refugees from the conflict, Dempsey said.

“That's a concern that an individual country might have that wouldn't necessarily be ours, but it's important to understand the complexity of the situation,” he added.

Panetta said he has seen intelligence reports indicating an al-Qaida presence in Syria.

“Frankly, we don't have very good intelligence as to just exactly what their activities are,” he said.

The group’s presence anywhere is a concern, he said, adding, “We need to continue to do everything we can to determine what kind of influence they are trying to exert there.”

Turning to Yemen, the secretary said DOD’s announcement earlier this week that U.S. military personnel are again training Yemeni forces does not mean U.S. ground forces are engaged there.

Panetta noted the disclosure this week of a failed al-Qaida plot to attack a U.S. airliner. The attack was planned to happen in Yemen, which demonstrated that the Yemen-based al-Qaida in the Arabian Peninsula remains a threat, he added.

“We will go after al-Qaida wherever they are and wherever they try to hide. And one of the places that they clearly are located is Yemen,” he said.

The United States does have operations there, and Yemeni officials have been “very cooperative” in those activities, the secretary said.

“Our operations now are directed with the Yemenis going after al-Qaida,” he said, adding there is “no consideration” of U.S. military ground operations in Yemen.

U.S. efforts to target al-Qaida leaders -- such as the Sept. 30 U.S. airstrike in Yemen that killed terrorist Anwar al-Awlaki -- have been very successful, he noted.

“I think the fact that … we continue to be successful with regards to these kinds of threats is an indication of the effectiveness of the operations that we have there,” Panetta said.

He added, “I do believe that we are making effective progress at going after those specific targets that represent real threats to the United States.”