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20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 13:30

http://blogtsahal.files.wordpress.com/2011/11/tank.jpg?w=644&h=392

 

Le "Granite" - bientôt introduit au sein du Corps de Collecte de Renseignements sur le terrain

 

20 novembre 2011 blog Tsahal

 

Plus rapides et pus sûrs, des radars high-tech et des outils d’observation de pointe sont désormais utilisés par les soldats et les soldates du Corps de Renseignements sur le terrain.

 

Le Corps de Collecte de Renseignements sur le terrain est toujours à la recherche de nouvelles armes et de nouveaux moyens efficaces pour ses soldats et ses soldates.  Récemment, une nouvelle jeep, le modèle « Strom mark III », a été introduit dans l’armée israélienne, afin d’améliorer la mobilité des soldats.

 

Un autre véhicule ultra-perfectionné basé sur le modèle Ford 550 déjà utilisé par Tsahal,  sera bientôt intégré au sein du Corps de Collecte de Renseignements. Le « Granite », comporte à la fois des radars synchronisés et des outils d’observation qui offrent une vue panoramique de 360 degrés. Il a également la particularité de détecter et de suivre automatiquement tout élément suspect. Le « Granite » est plus perfectionné et plus sécurisé que le « Raccoon », déjà utilisé par l’armée israélienne.

 

L’introduction du « Granite » ne constitue pas uniquement une avancée sur le plan technologique, puisqu’il permet également de réduire de moitié le nombre de soldats mobilisés. En effet, en réunissant les fonctions d’observation traditionnelle et de détection d’un élément suspect, le nombre de soldats mobilisés passe de 2 à 1.

 

Pour le Capitaine Nir, Chef du Département d’observation mobile du Corps de Renseignement, l’utilisation des radars ne minimisera pas le rôle des guetteurs de l’armée israélienne et des soldats sur le terrain :   »Il est vrai que le système Granite facilite la tâche des soldats qui pourront désormais observer de manière plus précise ce qui se passe sur le terrain. Mais ce sont toujours les soldats  qui enquêtent sur les éléments suspects qui menacent la sécurité d’Israël. »

 

Une autre amélioration significative apportée par l’introduction de ces nouvelles technologies est la coordination des données entre les différentes unités combattantes  lorsqu’elles ont été déployées pour remplir la même mission.

 

    « L’image produite par le ‘Granite’ lorsqu’un élément suspect apparaît peut immédiatement être envoyée au tank et à l’avion de chasse chargés de patrouiller dans la région où la menace a été identifiée », a affirmé le capitaine Nir.

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20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 08:35

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/0/0d/Persian_Gulf_map.png

 

18 Nov 2011 DefenseNews AFP

 

WASHINGTON - U.S. authorities have failed to adequately monitor weapons sales to Persian Gulf countries criticized for dismal rights records or recent security crackdowns on protesters, a government audit said Nov. 18.

 

The Government Accountability Office pointed to "gaps" in how the State Department and the Pentagon monitor military equipment, including sensitive technology, after it is sold.

 

Rising tensions in the Middle East and North Africa between long-standing regimes and protesters seeking their removal triggered concern from government auditors, especially ahead of a looming $53 million arms deal with Bahrain.

 

Although the State Department has vetted hundreds of individuals and units set to receive U.S.-funded training in the Gulf to make sure the equipment will not be used for rights abuses, it has not done so for $188 million in assets due to reach Oman and Bahrain, the GAO said.

 

"Such vetting is especially critical given Bahrain's use of its security forces to quell public demonstrations since Spring 2011," it said, noting the lapses mean that sensitive technology such as night-vision devices are left "prone to diversion."

 

Earlier this year, Bahrain's Sunni monarchy crushed pro-democracy protests, spearheaded by the majority Shiites, with the help of troops from other Arab states in the Gulf, led by Saudi Arabia.

 

Twenty-four people died during the monthlong crackdown, according to official figures from Manama. Four protesters have since died in custody. The opposition said 40 people were killed.

 

Auditors also criticized the Defense Department for failing to document its efforts to verify the security and accountability procedures in countries receiving sensitive military equipment, while Pentagon staff in five of six Gulf countries did not document monitoring activities for less sensitive items.

 

"We need to ensure that the equipment is not being diverted to third parties, and that those groups and units who are the intended recipients are not implicated in human rights violations," said House Foreign Affairs Committee Chairwoman Ileana Ros-Lehtinen, R-Fla.

 

Gulf Cooperation Council countries - Bahrain, Kuwait, Oman, Qatar, Saudi Arabia and the United Arab Emirates - are among the U.S. military's biggest clients, with some $22 billion in arms sales from 2005 to 2009.

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20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 08:25

Iran.svg

 

19 novembre 2011 Guysen International News

 

Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a publié un communiqué, une semaine après l'explosion mortelle dans une base militaire près de Téhéran, dans laquelle des dizaines de membres des  Gardiens de la révolution ont été tués, dont notamment le général Hassan Tehrani Moqqadam, considéré comme le chef du développement des missiles balistiques iraniens. "Il n'y a pas de doute que l'honorable voie des défunts sera poursuivie, de façon deux fois plus puissante'', a-t-il écrit. ''Tous leurs objectifs exaltants seront réalisés rapidement'', a-t-il ajouté.

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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 12:45

http://red-stars.org/IMG/jpg/Kouznetsov_Norvege_2007.jpg

 

Le porte-avions de la Fédération de Russie, l'Amiral Kuznetsov en 2007 au large de la Norvège et de l'une des plateformes exploitant les gisements pétroliers d'Oslo. - source red-stars.org

 

18 novembre 2011 Le Fauteuil de Colbert 

 

Le porte-avions Russe, l'Amiral Kuznetsov (projet 1143.5) a normalement levé l'ancre dans le port de Mourmansk le 13 novembre 2011. C'est en tout cas ce que nous rapportait le site Le Portail des Forces Navales de la Fédération de Russie. Le 29 septembre, il était donc encore prévu que le grand navire russe mène une campagne de remise à niveau opérationnel de son groupe aérien embarqué (huit Su-33, plusieurs Mig-29K et deux hélicoptères Ka-27 de lutte ASM) pendant une semaine en mer de Barrents.

La fin de cette première campagne d'essais était alors annoncé pou le 19 novembre, jour où le groupe aéronaval devait prendre corps avec l'adjonction de l'Amiral Chabanenko, destroyer de lutte ASM (projet 1155.1 Fregat M, Udaloy II dans la classification OTAN) au porte-avions.

Le GAn Russe ainsi formé devait prendre la direction de la Méditerranée en descendant le long des côtes Atlantiques européennes, sans qu'aucune escale ne soit rééllement annoncé. Ce serait un retour fortement symbolique puisque le groupe russe s'était également rendu en Méditerranée en 2009. Il avait alors fait escale en Syrie et en Libye.

Tandis qu'en Méditerranéen orientale le destroyer Severomorsk (projet 1155.1 Fregat M) faisait escale à Tartous en Syrie, où Moscou dispose d'une base logistique (héritée de l'URSS). Aucune information a filtré laissant entendre si le navire était encore en Syrie. Ce que l'on sait, c'est que le navire revient d'une mission de lutte anti-piraterie au large du Golf d'Aden où il a été relevé par une autre division navale russe.

Il n'est pas inintéressant de relever qu'alors que le croiseur Russe Variag (projet 1164 Atlant, classe Slava) dans la dénomination OTAN) entame une croisière dans le Pacifique, c'est un détachement de la Flotte du Pacifique qui envoie trois navires au large de la Somalie : le destroyer ASM Amiral Panteleev (projet 1155.1, Fregat M), un ravitailleur et un remorqueur. Ces navires ont fait escale dans le port de Sihanoukville (Cambodge) du 8 au 13 septembre. A noter qu'il est de plus en plus courant, depuis plusieurs années, que les remorqueurs russes de haute-mer accompagnent des navires de guerre. Cette solution logistique peut être intéressante à observer dans une période où la Marine nationale lancera bientôt son programme BSAH.

 

Le programme est-il respecté ? En lisant la veille de Tower' Sight (sur Twitter), il est loisible de lire que des sources israélienne et syriennes annoncent l'arrivée prochaine du porte-avions russe en Syrie. Ce serait une parfaite démonstration de diplomatie navale coercitive (tel que décrite dans "Le meilleur des ambassadeurs" d'Hervé Coutau-Bégarie) de la part de Moscou d'envoyer son escadre aéronaval en Syrie au plus fort de la crise politique et diplomatique.

En effet, le ministre français des Affaires Etrangères a dit qu'il était hors de question d'intervenir en Syrie sans l'aval des Nations Unies. L'arrivée de navires russes à Tartous, avec à la clef des exercices conjoints entre les deux marines, serait un signal très fort à l'attention du camp occidental qui prend des accents de plus en plus belliciste. Toutefois, ces accents guerriers sont le fruit d'une diplomatie à sens unique qui comptait sur un soulèvement populaire syrien suffisant pour renverser le régime. L'effet escompté n'ayant pas eu lieu, il n'est pas étonnant que des opposants syriens appellent à une intervention militaire occidentale -même si cela ne faisait pas partie des plans de bien des chancelleries.

Néanmoins, rien n'indique que le groupe aéronaval russe soit effectivement au large de la Syrie. Il y a des bruits de presse...

La démonstration russe ne serait pas simplement un signe supplémentaire de la rivalité entre "occident" et BRICS, avec en pointe de ce côté-là, Moscou et Pékin. C'est peut être, et surtout, un problème de géographie navale pour la Russie : le colonel Kadhafi ayant été renversé, et tué, cela revient à dire qu'aucun navire russe n'est prêt à pouvoir revenir en Libye avant quelques temps. A moins que le nouveau pouvoir de Tripoli oublie la position diplomatique russe, qui n'est pas si difficile puisque Moscou ne s'était pas opposé à la résolution 1973 mais à son exécution. Si jamais le régime syrien tombait, d'une manière ou d'une autre, il y a de fortes chances pour que la base logistique de Tartous soit retirée à Moscou. Ce qui reviendrait à dire qu'il n'y aurait plus de point de chute en Méditerranée pour la Flotte du Nord ou la Flotte de la Mer noire. Cette dernière étant soumise aux traités internationaux (comme la convention de Montreux qui réglemente le passage des sous-marins et interdit celui des porte-avions). In fine, lâcher le régime syrien ou voir ce régime être renversé reviendrait pour Moscou à être exclu de la Méditerranée.

Une situation forcément inaceptable pour le Premier ministre de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, qui s'est juré au lendemain du drame du Koursk de redresse la puissance maritime russe. La diplomatie navale russe témoigne d'un renouveau océanique russe qui perdurera si et seulement si l'industrie navale russe se relève afin de renouveler la Flotte. Moscou est prêt à tout les moyens pour atteindre cet objectif, même à acheter des navires à l'étranger. Les BPC russes arriveront dans la Flotte du Pacifqiue en 2014 et 2015.

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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 08:30

http://fr.rian.ru/images/19081/11/190811137.jpg

 

MOSCOU, 18 novembre - RIA Novosti

 

Les États-Unis envisagent de déployer leur système de défense antimissile dans plusieurs régions du monde, y compris dans les pays du Golfe, a déclaré le chef adjoint de la diplomatie russe Sergueï Riabkov dans une interview accordée à RIA Novosti.

 

"En ce qui concerne la défense antimissile, le programme américain est de nature mondiale (…). Il n'est pas limité à l'interaction avec les pays de l'Otan. Les Etats-Unis ont des alliés en Asie du Nord-est, avec lesquels ils développent une telle coopération. Le développement de la défense antimissile américaine sera également mené dans d'autres régions du monde, y compris le Proche-Orient, notamment le Golfe", a indiqué le responsable.

 

"Le refus obstiné des Etats-Unis de garantir que leurs système de défense antimissile ne sera pas dirigé contre la Russie freine notre coopération", a-t-il fait remarquer.

 

Les Etats-Unis envisagent de déployer en Europe, de 2015 à 2020, une troisième zone de positionnement de leur système de défense antimissile. Moscou s'oppose à ce projet, considérant que la mise en place d'un bouclier antimissile à proximité de ses frontières menace son potentiel stratégique.

 

Tout en affirmant que le futur système de défense antimissile en Europe ne sera pas dirigé contre le potentiel stratégique russe, Washington refuse de signer un accord contraignant à ce sujet.

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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 07:35

http://www.leparisien.fr/images/2011/11/18/1727091_photo-1321656092180-1-0_640x280.jpg

 

Les départements d'Etat et de la Défense américains ne vérifient pas suffisamment l'utilisation faite des armes et équipements sensibles vendus aux pays du Golfe, dénonce l'instance de contrôle du Congrès américain (GAO) dans un rapport publié vendredi

 

18.11.2011, leparisien.fr

 

Les départements d'Etat et de la Défense américains ne vérifient pas suffisamment l'utilisation faite des armes et équipements sensibles vendus aux pays du Golfe, dénonce l'instance de contrôle du Congrès américain (GAO) dans un rapport publié vendredi.

 

Lorsque les Etats-Unis exportent ce type d'équipements, l'acquéreur doit s'engager à en être l'utilisateur final et ne peut utiliser ces équipements dans des activités contraires aux droits de l'homme.

 

Les tensions dans le monde arabe, notamment la répression d'un mouvement de contestation à Bahreïn avec l'aide de l'Arabie saoudite et des Emirats arabes unis, ont conduit le législateur américain à s'inquiéter du détournement potentiel des équipements américains qui leur sont vendus.

"Nous devons nous assurer que ces équipements ne soient pas détournés vers des tierces parties et que les groupes et unités censés les recevoir ne soient pas impliqués dans les violations des droits de l'homme", a expliqué dans un communiqué la présidente de la commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, Ileana Ros-Lehtinen.

 

Après enquête, le GAO a estimé que le Pentagone n'apporte pas la démonstration de ses efforts pour vérifier l'utilisation des équipements militaires sensibles par les pays acquéreurs ni les procédures mises en place par ces pays pour sécuriser ces matériels.

 

Le département d'Etat est pour sa part épinglé pour son manque de vérification après la livraison à l'utilisateur final.

 

Si les Affaires étrangères ont bien contrôlé des centaines de personnes et d'unités militaires dans les pays du Golfe, rien n'a été fait concernant 188 millions de dollars de matériels vendus à Oman et à Bahreïn.

 

Le GAO appelle également les deux ministères à "harmoniser" la liste des équipements soumis à vérification, arguant par exemple que la Défense surveille l'utilisation faite de lunettes de vision nocturne de deuxième génération tandis que les Affaires étrangères ne le font pas pour des lunettes de troisième génération.

 

Les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG), qui regroupe l'Arabie saoudite, le Qatar, Bahreïn, les Emirats arabes unis, le Koweït et Oman, figurent parmi les principaux clients de l'industrie de défense américaine, qui a exporté pour 22 milliards de dollars d'armements dans ces pays entre 2005 et 2009.

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 13:00

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/c/ce/Dassault_Rafale_Taxies_to_the_runway_at_Aero_India_2011_(8th_edition_of_Aero_India).jpg/800px-Dassault_Rafale_Taxies_to_the_runway_at_Aero_India_2011_(8th_edition_of_Aero_India).jpg

photo Pritishp333

 

18.11.2011 DEFENSE UPDATE

 

The UAE has reversed its choice of Rafale as its future fighter plane and has invited the Eurofighter Typhoon and Boeing F/A-18E/F Super Hornet and F-15SE Silent Eagle to bid on the sale of up to 60 advanced fighter jets to the UAE Air Force. For the past three years Rafale has been considered the favorite option by the UAE. “Thanks to French President Sarkozy, France could not have done more diplomatically or politically to secure the Rafale deal“ Arabian Aerospace quoted the supreme commander of the UAE armed forces and Crown Price of Abu Dhabi, Sheikh Mohammed bin Zayed al Nayhan said, “Regrettably Dassault seems unaware that all the diplomatic and political will in the world cannot overcome uncompetitive and unworkable commercial terms.” Arabian Aerospace

 

Rafale, with its multirole (omnirole) capabilities, was considered a fair balance to the Kingdom’s fleet of 80 Lockheed Martin F-16 Block 60, which was also fielded as a multi-role fighter, and was the first of this type to be equipped with an AESA radar. However, given the ongoing marketing campaigns in Brazil, India, South Korea and japan, where Rafale was marketed aggressively against the Typhoon, Gripen, F-16 and Super Hornet, the UAE felt the price they were requested to pay was just too high. Beside the UAE, Kuwait is also considering the Rafale.

 

Moreover, with ‘next generation fighters’ such as the F-35 becoming a potential viable option toward the end of the decade, the UAE may consider a transition phase, opting for buying more F-16 Block 60s, to be traded for F-35s as it becomes available. Alternatively, they could also opt for F-15SE Silent Eagle as an interim solution. At present, the U.S. government hasn’t approved offering the F-35 to the UAE, but this may change after the first planes are supplied to Israel.

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 12:55

http://www.asdnews.com/data_news/ID36662_600.jpg

photo Defense Security Cooperation Agency (DSCA)

 

18.11.2011 General Dynamics - army-guide.com

 

STERLING HEIGHTS, Mich. –- The U.S. TACOM Lifecycle Management Command has awarded General Dynamics Land Systems, a business unit of General Dynamics, a $395 million contract for work under the Egyptian tank co-production program.

 

The contract funds the production of 125 M1A1 Abrams tank kits for the eleventh increment of the Egyptian co-production program.

 

Since 1992, General Dynamics has provided components for kits used in the co-production program. The parts are shipped to a production facility near Cairo, Egypt, where the tanks are manufactured for the Egyptian Land Forces. This latest increment will increase the number of Egyptian co-production-built tanks to 1,130.

 

Work on the components will be performed in Anniston, Ala.; Tallahassee, Fla.; Sterling Heights, Mich.; Lima, Ohio; and Scranton, Penn., by existing General Dynamics employees. Deliveries will begin in July 2013 and continue to January 2016.

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 08:55

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2011/images-novembre-2011/le-pilote-francais-remporte-la-majorite-des-suffrages-au-dubai-air-show/1450598-1-fre-FR/le-pilote-francais-remporte-la-majorite-des-suffrages-au-dubai-air-show.jpg

Photos : adjudant Anthony JEULAND - Armée de l'Air

 

Le rafale lors du salon du Bourget en 2009. © Lucas Dolega / Maxppp

 

17/11/2011 Jean Guisnel - Le Point.fr

 

Le contrat de vente de Rafale aux Émirats traverse une phase critique. Alain Juppé doit conduire une mission de la dernière chance. Est-il déjà trop tard ?

 

"Aucun commentaire". Chez Dassault, réputé peu loquace, le coup de bambou asséné lundi par le prince héritier d'Abu Dhabi et ministre de la Défense des Émirats arabes unis, cheikh Mohamed ben Zayed, ne suscite pas la moindre réaction. Mohamed ben Zayed est au pouvoir avec son frère Khalifa ben Zayed, émir d'Abu Dhabi et président des Émirats, et avec Mohammed ben Rachid Al Maktoum, émir de Dubaï. Quelles que soient ses motivations, les propos du cheikh sont terribles.

 

Notamment à propos du prix exigé par Dassault, évalué entre 6 et 8 milliards d'euros pour une soixantaine d'appareils : "Malheureusement, il semble que Dassault ne réalise pas que la volonté politique et tous les efforts diplomatiques ne peuvent pas faire passer des conditions commerciales non compétitives et irréalisables." Ce qui dédouane assurément les politiques et les négociateurs étatiques français. Tout en faisant porter le chapeau de l'échec à l'avionneur national chef de file du GIE Rafale, qui comprend également l'électronicien Thales et le motoriste Snecma (groupe Safran). Le ministre des Affaires étrangères Alain Juppé, en tournée au Moyen-Orient, devrait se rendre aux Émirats avant la fin de la semaine. Ça tombe bien !

 

Juppé à la manoeuvre

 

Soufflant le dossier à son successeur au ministère de la Défense Gérard Longuet, Alain Juppé a été chargé par Nicolas Sarkozy de conduire une double négociation. Décidée après une visite à l'Élysée de cheikh Mohamed ben Zayed mi-septembre, celle-ci consiste en premier lieu à mener à leur terme les discussions sur le Rafale aux Émirats, comme l'a révélé le quotidien Les Échos du 11 octobre.

 

Et en second lieu, cette négociation doit permettre de revendre à la nouvelle armée libyenne les 63 Mirage-9 dont l'Emirati Air Force entend se défaire (à prix d'or !) avant d'acheter le Rafale. Cette information confirmée de bonne source à Paris a été divulguée début novembre par la lettre d'information libanaise Tactical Report, très bien renseignée sur les affaires militaires arabes et moyen-orientales.

 

Négociateurs coriaces

 

Réputés coriaces en affaires - ce que les Français n'auraient pas dû oublier depuis la vente financièrement désastreuse de chars Leclerc -, les Émiratis ont conduit sur le Rafale des négociations féroces, dont la dernière déclaration officielle ne constitue que l'un des ultimes épisodes. Ils ont en effet exigé de Paris de pouvoir emporter sous les Rafale le futur missile Meteor de MBDA. Ce qui impose à la France de développer, sur son propre budget, le nouveau radar Thales prévu pour la future version F4 du Rafale. Affaire gagnée sur les deux plans.

 

Seconde exigence : que la poussée du moteur M-88 passe de 7,5 tonnes à 9 tonnes. Une idée vivement soutenue par Snecma, qui y voyait un moyen de financer l'amélioration de son moteur. Mais les Émiratis sont revenus sur ce point, acceptant désormais que le Rafale soit motorisé comme la version française.

 

Enfin, troisième exigence des Émiratis : ils ne voulaient pas de la future version du pod de désignation laser Damocles NG, prévue par Thales, arguant qu'elle ne serait pas supérieure à celle du pod Sniper, qui équipe leurs avions F-16. Une condition elle aussi acceptée par le gouvernement français.

 

Éric Trapier sur la sellette

 

À Paris, certains observateurs attentifs du dossier estiment que le Rafale paye actuellement une organisation commerciale et industrielle défaillante. Que les négociations portant sur le prix du Rafale soient exclusivement confiées au directeur des affaires internationales de Dassault Aviation, Éric Trapier, leur paraît d'autant plus déraisonnable. En effet, ce dernier conduit également les négociations sur trois autres possibles ventes : au Brésil, où les espoirs de succès sont aujourd'hui réduits à quasi-néant, mais également en Inde et en Suisse.

 

L'Élysée pourrait faire pression pour que Trapier soit dessaisi du dossier des Émirats. La dernière livraison de Tactical Report, mise en ligne jeudi, évoque les regrets des Émiratis : "Il semble désormais que ni Sarkozy ni Juppé ne soient en mesure d'influencer Dassault afin qu'il reconsidère son offre." Il semble effectivement peu probable que L'Élysée soit enclin à tordre le bras de Charles Edelstenne, patron de Dassault Aviation, et surtout à Serge Dassault, propriétaire du Figaro, auprès duquel le très contesté homme d'affaires Alexandre Djourhi est aujourd'hui solidement installé.

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 08:55

Rafale Air Defense gouv fr

 

17 novembre 2011 par Rémy Maucourt – L’USINE NOUVELLE

 

Le ministre de la Défense a réaffirmé jeudi sa confiance dans les négociations avec les émiratis au sujet de la vente de Rafale.

 

Les critiques sévères du prince héritier d'Abou Dhabi sur le Rafale n'ont apparement pas entamé l'optimisme de Gérard Longuet. "Plus les gens sont exigeants plus ils sont intéressés" affirme-t-il. Pourtant, le Rafale a été jugé "non compétitif" mercredi par ses éventuels acheteurs émiratis.

 

"Je suis utilisateur de Rafale comme ministre de la Défense, un utilisateur très satisfait. Je constate que les armées aériennes qui nous ont accompagnés notamment dans l'affaire Harmattan (Ndlr : la récente intervention en Libye), et il y en avait venues du golfe, ont admiré les capacités de cet appareil, donc sur le plan de l'appareil, ce qui est de ma compétence, je suis confiant", a-t-il développé.

 

Mais Cheikh Mohamed ben Zayed, prince héritier d'Abou Dhabi et commandant des armées, ne s'est pas plaint de l'avion en lui même, mais de l'aspect commercial des discussions. Gérard Longuet affirme qu'un travail commun est mené sur ce point : "Il y a ensuite la négociation financière, commerciale qui relève de l'industriel et il y a les relations d'Etat qui relèvent du président de la République qui les a déléguées au ministre d'Etat Alain Juppé. Nous travaillons en étroite coordination (..) pour défendre nos chances".

 

Les Emirats n'ont pas seulement critiqué l'offre de dassult Aviation, ils ont également demandé à des concurrents de faire des contre-propositions. Le consortium Eurofighter, mené par EADS, a été invité à présenter son avion. Louis Gallois, PDG d'EADS, a affirmé qu'une offre sérieuse sera présentée.

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 08:45

Rafale by mrg78

photo by mrg78

 

17/11/2011 Michel Cabirol – La Tribune

 

Trop cher, le Rafale de Dassault Aviation s'est crashé aux Emirats arabes unis. Le prince héritier d'Abu Dhabi, cheikh Mohammed bin Zayed explique que Dassault Aviation est responsable de l'échec des négociations.

 

Finies les supputations. Dassault Aviation s'est bel et bien éloigné d'une vente de 60 Rafale aux Emirats arabes unis (EAU) dans l'immédiat. Avec un peu de chance, le prince héritier d'Abu Dhabi, cheikh Mohammed bin Zayed, pourrait revenir à la table des négociations après l'élection présidentielle française, espère-t-on encore à Paris. "Ils sont fâchés avec Dassault Aviation et en ont assez d'eux", a expliqué à La Tribune un industriel très bon connaisseur de la famille princière d'Abu Dhabi dans les allées du salon aéronautique de Dubaï. Et d'estimer qu'il faudra du temps pour renouer les liens. Le communiqué cinglant de Cheikh Mohammed est d'ailleurs sans équivoque pour l'avionneur tricolore. "Malheureusement, il semble que Dassault ne réalise pas que la volonté politique et tous les efforts diplomatiques ne peuvent pas faire passer des conditions commerciales non compétitives et irréalisables", a-t-il estimé.

 

Dimanche, jour de l'inauguration du Dubaï Airshow, les EAU avaient envoyé un premier signal fort à Dassault Aviation et à la France : ils avaient annoncé avoir mis dans la compétition le rival du Rafale, l'Eurofighter construit par un consortium européen (BAE Systems, EADS et l'italien Finmeccanica). Ils ont également demandé des informations à Boeing sur les F-15 et F-18. Il semble que la France ait pris à la légère cet avertissement. Le ministre de la Défense Gérard Longuet avait notamment estimé dimanche à Dubaï que "cette demande de cotation apparaît plus comme une mesure d'animation de la procédure". Car jusqu'ici Dassault était en quelque sorte en négociations exclusives avec Abu Dhabi, l'émirat qui décide des achats en matière de défense.

 

Attitude "arrogante"

 

Comment en est-on arrivé à cette situation où le Rafale ne pouvait que gagner à l'image du Maroc en 2007 ? A la fin de l'été, les Emiriens étaient furieux contre la France : trop d'interlocuteurs étatiques après le départ du secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant, au ministère de l'Intérieur ainsi que l'attitude "arrogante" de Dassault Aviation, selon des sources concordantes. Des progrès ont été réalisés après la visite express fin septembre à Paris de Cheikh Mohammed, qui était notamment venu se plaindre d'un gros écart de prix entre son estimation et celle de Dassault Aviation (La Tribune du 14 novembre). Mais pas suffisamment pour Abu Dhabi visiblement. "Depuis la reprise en main par Alain Juppé du dossier Rafale aux Emirats, tout le monde en France marche dans le même sens pour vendre le Rafale... sauf Dassault", disait-on dans les allées du salon. Peu de temps avant le Dubaï Airshow, un industriel se disait "choqué par l'attitude arrogante et condescendante" de Dassault Aviation vis-à-vis des Emiriens.

 

Résultat, les négociations sont au mieux gelées pour une longue période, au pire les EAU n'achèteront jamais le Rafale. Car ni le PDG de Dassault Aviation, Charles Edelstenne, réputé intransigeant, ni les EAU, pour des question de fierté entre autre, ne céderont sur le prix de l'appareil. Et la France n'est pas assez puissante, même si elle entretient une relation politique profonde avec Abu Dhabi, pour tordre le bras à son partenaire. "Grâce au président Sarkozy, la France n'aurait pas pu en faire plus sur le plan diplomatique ou politique pour faire aboutir un accord sur le Rafale", a d'ailleurs confirmé Cheikh Mohammed.

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 08:25

http://www.defensenews.com/pgf/stories53/111711_meads_315.JPG

 

Qatar is in talks to become a partner on the MEADS

missile defense program with Germany and Italy.

(Lockheed Martin)

 

17 Nov 2011 By TOM KINGTON and MICHAEL HOFFMAN DefenseNews

 

Qatar is in talks to become a risk partner on the Medium Extended Air Defense System (MEADS) missile defense program with Germany and Italy, a source knowledgeable of the talks has told Defense News.

 

The gulf state started talks with Italy and Germany after the U.S. announced in February that it would leave the program at the conclusion of the development phase, without procuring the system.

 

Qatar is interested in the program as it looks to security requirements ahead of 2022 when it is hosting the soccer World Cup, the source said. The growing perception of a missile threat from Iran has also persuaded the gulf state to consider joining MEADS.

 

It is not clear how Qatar's entry into the program would save it, since 58 percent of the program has been funded by the U.S., with Germany and Italy funding 25 percent and 17 percent respectively. After the U.S. pulls out, Germany said it would not proceed with procurement.

 

The U.S. has spent $1.5 billion thus far on the $4.2 billion program. Pentagon officials plan to spend another $800 million to complete the design and development phase in 2014.

 

Lockheed Martin, which is developing the missile defense system, announced it completed its first successful flight test Nov. 17 at White Sands Missile Range, N.M. The test proved the PAC-3 Missile Segment Enhancement could destroy a simulated target attacking from behind.

 

"Today's successful flight test is an important validation for the continuing MEADS development," said MEADS International President Dave Berganini in a statement.

 

"MEADS' advanced capabilities detect, track and intercept tomorrow's threats from farther away and without blind spots. The MEADS digital design ensures high reliability and significantly reduced operational and support costs."

 

The test comes as the U.S. Congress continues to rip the program and question why a nation struggling to shrink its defense budget would spend nearly another $1 billion on a missile defense system the Army has said it doesn't want. Congress left appropriations out of the defense authorization bill to pay the rest of the contract.

 

"The committee concluded that the course proposed by the Department is untenable and that the Department should explore all options with our allies before continuing to fund a program which we no longer need," Sen. Carl Levin, D-Mich., chairman of the Senate Armed Services Committee, wrote in a statement.

 

President Barack Obama disagreed with the decision to cancel the program, saying he recommended the Pentagon complete the contract. He said it made sense to complete the design and development phase rather than cancel the program and potentially pay more in cancellation fees. Canceling now would also let down our international partners.

 

"This lack of authorization could also call into question DoD's ability to honor its financial commitments in other binding cooperative MOUs and have adverse consequences for other international cooperative programs," the statement from the Office of Management and Budget reads.

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 21:50

http://s2.lemde.fr/image/2011/10/20/540x270/1590759_3_9954_le-rafale-francais-ici-lors-du-salon-du.jpg

Le Rafale français, ici lors du salon du Bourget 2011.

AFP/PIERRE VERDY

 

17.11.11 LEMONDE.FR avec AFP

 

Le ministre des affaires étrangères français, Alain Juppé, doit se rendre, samedi 19 novembre, à Abu Dhabi, pour tenter in extremis de sauver le projet de vente de l'avion de combat français Rafale aux Emirats. Ces derniers ont jugé récemment l'offre commerciale de Paris pour l'appareil du groupe Dassault "non compétitive et irréalisable". Le Rafale, seulement utilisé par les armées françaises, n'a jusqu'ici pas trouvé preneur à l'étranger.

 

Chargé de superviser l'affaire, le quai d'Orsay lie le dossier du Rafale à celui de la coopération militaire avec les Emirats. Il rappelle notamment le fort engagement de la France en faveur de la sécurité de la région du Golfe qui s'est traduit par l'ouverture en 2009 d'un base française permanente à Abu Dhabi. Lors de l'inauguration, Nicolas Sarkozy affichait sa volonté de s'impliquer pour garantir la stabilité de cette zone stratégique, à moins de 250 km des côtes iraniennes. Il lui avait aussi attribué un rôle de vitrine commerciale des armements français dont l'armée des Emirats est une fidèle cliente, avec en ligne de mire la vente des Rafale.

 

Les Emiriens envisageaient alors "sérieusement" de remplacer leurs 60 Mirage 2000 par le plus moderne des avions de combat de Dassault. Abu Dhabi comme le Qatar se sont engagés ces derniers mois dans l'opération conduite en Libye par l'OTAN, sous l'impulsion de la France et de la Grande-Bretagne. Ce sont les deux seuls pays arabes à avoir participé à cette intervention militaire qui a permis la chute du régime de Mouammar Kadhafi.

 

"SUIVI PERSONNEL PAR LE PRÉSIDENT SARKOZY"

 

Concernant le Rafale, les négociations commerciales ont piétiné jusqu'au coup de théâtre, à l'ouverture dimanche du Salon aéronautique de Dubaï. Les Emirats ont alors annoncé qu'ils faisaient entrer en compétition le chasseur Eurofighter pour équiper leur force aérienne et ont demandé au consortium européen (Allemagne, Royaume-Uni, Italie, Espagne) de leur faire une contreproposition. Puis ils ont sollicité une offre de Boeing pour des F-15 et F-18.

 

Abu Dhabi a clairement fait porter la responsabilité de ses difficultés à renouveler sa flotte sur Dassault, en dépit du "suivi personnel par le président Sarkozy" de cette négociation. Le ministre de la défense français, Gérard Longuet, qui avait estimé en octobre que la probabilité que les Emirats achètent le Rafale était "très, très forte", a persisté dimanche à se dire optimiste, évoquant la possibilité que le contrat soit conclu avant la fin de l'année.

 

"Plus les gens sont exigeants, plus ils sont intéressés. Ceux qui ont des paroles apaisantes ne sont pas des acheteurs possibles. L'acheteur possible, il est exigeant jusqu'au bout. C'est en tous les cas le vœu que je forme", a-t-il encore déclaré jeudi. Le Rafale a essuyé des revers commerciaux dans plusieurs pays. Mais outre les Emirats, il reste en course pour être vendu en Inde et au Brésil. En plus d'Abu Dhabi, Alain Juppé se rendra du 19 au 22 novembre en Arabie saoudite, au Qatar et enfin au Koweït. Cette tournée dans le Golfe suit une visite en Turquie, jeudi et vendredi.

 

Lire la note de blog : Rafale de "non" pour Dassault

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 21:05

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/c/c4/Rafale-ec-1-7.jpg

photo Sirpa Air

 

17 novembre 2011 by Nicolas Gros-Verheyde (BRUXELLES2, réaction)

 

L’exclusion du Rafale du marché à conclure (60 appareils) aux Emirats, et la réintroduction de son concurrent européen Eurofighter par « surprise » fera encore couler beaucoup d’encre. La décision de Dubai de considérer le proposition de l’industriel français comme « non compétitive et irréalisable » sème l’embarras, tout comme celle du Brésil qui semble s’éloigner du Rafale. Pas seulement car il met au tapis notre production nationale, toujours infoutue de trouver un seul client à l’étranger. Cette fois le Rafale ne perd pas face à la force de frappe américaine et ses F-16, F/A-18 voire F-22… américains. Il perd face à un concurrent européen, l’Eurofighter Typhoon, que les Français ne se privent pas régulièrement de dénigrer comme n’étant pas très performant. Seulement, il se vend.

 

L’argument du « made in France » et du désavantage compétitif $/euro ne parait pas très crédible. On peut se poser la question de savoir si un avion construit en coopération entre « petits » Etats (*) n’a pas plus de chance de se vendre, de résister aux différentiels de marchés qu’un avion construit, et utilisé, solo. Tout simplement car les efforts se combinent. Pour vendre l’Eurofighter, on trouve certes les Britanniques mais aussi les Italiens, les Espagnols ou les Allemands. Tous ont un intérêt à promouvoir « leur » avion sur le Rafale. La France a-t-elle vraiment aujourd’hui, et demain plus encore, les moyens de maintenir un industriel d’aviation de chasse, autonome, déconnecté du marché ?

 

(*) La plupart des pays européens, séparément, deviennent des « petits » sur le marché mondial

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 17:50

http://en.rian.ru/images/16107/55/161075530.jpg

VIENNA, November 17 (RIA Novosti)

 

 

The information contained in the latest report by the International Atomic Energy Agency (IAEA) on the military dimension of Iran's nuclear program is credible, the IAEA chief said on Thursday.

 

"Our technical experts have spent years painstakingly and objectively analyzing a huge quantity of information," Yukiya Amano told the IAEA Board of Governors.

 

"The Agency finds the information to be, overall, credible. It is consistent in terms of technical content, individuals and organizations involved, and time frames. The information indicates that Iran has carried out activities relevant to the development of a nuclear explosive device."

 

The information also indicates that, prior to the end of 2003, "these activities took place under a structured program, and that some activities may still be ongoing," he said.

 

Western powers and Israel suspect Iran of seeking to build nuclear weapons. Iran denies this, saying its program is of a civilian nature. Speculation has been building that Israel is considering a preemptive strike on Iran's nuclear facilities.

Amano said his report identified in detail the issues which Iran needs to address in order to restore international confidence in what it says is the exclusively peaceful nature of its nuclear program.

 

"I ask Iran to engage substantively with the Agency without delay and provide the requested clarifications regarding possible military dimensions to its nuclear program," he said.

 

The IAEA continues to verify the non-diversion of nuclear material declared by Iran under its Safeguards Agreement, Amano said.

 

"But, as Iran is not providing the necessary cooperation, including by not implementing its Additional Protocol, the Agency is unable to provide credible assurance about the absence of undeclared nuclear material and activities in Iran, and therefore to conclude that all nuclear material in Iran is in peaceful activities," he said.

 

"I urge Iran to take steps towards the full implementation of its Safeguards Agreement and its other obligations," the IAEA director said.

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 17:30

http://www.google.com/hostednews/afp/media/ALeqM5hoVwvHapaLA0PO2VIEDkdCaVB5eQ?docId=photo_1321528611849-1-0&size=l

Le drone MALE (moyenne altitude longue endurance) au salon de Dubai,

le 16 novembre 2011 (AFP, Karim Sahib)

 

17 novembre 2011 Romandie News AFP

 

DUBAI - Alors que les Européens achètent encore leurs drones à l'étranger, une compagnie émirienne, Adcoms systems, a présenté un drone armé lors du salon de Dubaï qui se termine jeudi.

 

Ce drone MALE (moyenne altitude longue endurance) doit entamer sa campagne d'essais début décembre et être proposé aux clients à partir de février, a déclaré à l'AFP le président de cette compagnie basée à Abou Dhabi, Ali al-Dhaheri.

 

L'appareil, baptisé United 40, peut emporter dans son fuselage huit missiles Nemrod de 60 km de portée, également développés par Adcom systems et qui doivent encore être testés en janvier.

 

Adcom systems, un groupe diversifié de 37 sociétés, fabrique notamment des drones cibles pour l'entrainement des armées de l'air.

 

M. Dhaheri assure que sa compagnie fabrique elle-même tous les éléments du drone. Tous les systèmes sont à nous. Nous sommes à la pointe de l'innovation en aérodynamique, a-t-il déclaré.

 

L'industrie de défense européenne travaille sur des plateformes achetées aux Israéliens et n'a pas encore produit son propre drone MALE.

 

Dassault aviation et le britannique BAe Systems travaillent ensemble sur un projet à la demande de Paris et de Londres, alors que le groupe européen d'aéronautique et de défense EADS poursuit le développement de son drone Talarion.

 

Le modèle émirien, développé pendant cinq ans, a une envergure de 17,5 m, une charge utile maximale de 400 kilos, et emporte 300 litres de carburant, dont 260 litres dans les ailes, précise M. Al Dhaheri.

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 13:00

http://www.defenceweb.co.za/images/stories/AIR/Air_new/Rafale_01_400x300.jpg

 

17 November 2011 defenseWeb - Reuters

 

A long-awaited French deal for Dassault to sell at least 60 Rafale warplanes to the United Arab Emirates hit a new snag when the Arab country's crown prince said proposed terms were "uncompetitive and unworkable".

 

The deal, which had been in the works since 2008, was thrown into doubt earlier this week when it became clear that the world's fourth-largest oil exporter had asked for details of a rival aircraft, the Typhoon built by the Eurofighter consortium, Reuters reports.

 

"Thanks to President (Nicolas) Sarkozy, France could not have done more diplomatically or politically to secure the Rafale deal," Abu Dhabi Crown Prince Sheikh Mohamed bin Zayed, deputy of the country's armed forces, said in a statement, adding that Sarkozy's "personal intervention in this process has sustained Dassault at the forefront of our considerations."

 

"Regrettably Dassault seem unaware that all the diplomatic and political will in the world cannot overcome uncompetitive and unworkable commercial terms," he said.

 

Officials at Dassault Aviation, which builds the Rafale, declined to comment.

 

A government source close to the deal blamed the current impasse on the "arrogance" of Dassault, despite French military officials saying they were confident about securing a deal and hopes of finalising the sale at the Dubai Air Show.

 

"There is a shared frustration in both the UAE and French leaderships at the apparent arrogance of Dassault," the source said.

 

"Rather than using the strength of the bilateral relationship to close the deal out they are attempting to use it to hold out on pricing and a deal structure that hasn't changed in more than a year and that has been significantly bettered by all competitors."

 

The United Arab Emirates and its Gulf neighbours share the West's concerns that Iran is using its nuclear energy programme to develop weapons, a charge Tehran has denied. Saudi Arabia inked a deal for U.S. arms worth nearly $60 billion a year ago.

 

The UAE is also in talks to buy Lockheed Martin's Terminal High Altitude Area Defense, or THAAD, an advanced missile defence system.

 

The two deals, for the air defence and new combat planes, could be worth as much as $17 billion.

 

COMPETITORS SMELL OPPORTUNITY

 

France said earlier this week it was still confident of striking a first export deal for the Rafale and Defence Minister Gerard Longuet said Paris remained in the final stage of talks.

 

French air force chief General Jean-Paul Palomeros told Reuters the Emirates air force was "very keen with Rafale".

 

Yet after news of Eurofighter's pitch emerged, the deal appeared to be blown open to greater competition, including from Boeing's fighter jets.

 

The company said it had briefed UAE officials recently on its F-15 and F-18 combat planes.

 

"We have not responded to a detailed set of requirements or anything like that. We have been asked for information on both platforms (F-15 and F-18)," Paul Oliver, its vice-president for Middle East & Africa, International business development, Defence, Space & Security, told Reuters in an interview.

 

"We have provided, through the U.S. government, information on these platforms. We have been providing information off and on for over a year."

 

Discussions between the UAE and Dassault were nearly derailed a year ago when Boeing was first asked for technical information on its warplanes.

 

France is struggling to secure a foreign buyer for the Rafale, which is more developed than fourth-generation combat aircraft but lags behind fifth-generation multi-role fighters such as Lockheed Martin's F-35 Lightning II.

 

The UAE has pressed for the aircraft's engines to be upgraded with extra thrust and for better radar, industry sources have said, but Palomeros said UAE officials are satisfied with the plane.

 

Both the Rafale and Typhoon warplanes were used in Libya during NATO operations that helped topple Muammar Gaddafi.

 

The Eurofighter is built by Britain's BAE Systems, Finmeccanica of Italy and European aerospace group EADS on behalf of Germany and Spain.

 

Boeing, however, said there was increasing local interest in its combat jets.

 

"There has been interest in the region. We have a couple of other customers who have expressed interest in the F-18 (apart from UAE)," said Boeing's Oliver. "They don't talk to me about competitors... but it is the big news of the airshow. I believe the UAE is looking at all their options."

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 08:55

http://www.usinenouvelle.com/mediatheque/2/8/3/000145382_5.jpg

 

16 novembre 2011 par Rémy Maucourt - L'USINE NOUVELLE

 

Le prince héritier d'Abou Dhabi a été très critique mercredi au sujet de la proposition de Dassault. Les Français essayent de vendre 60 Rafale aux Emiratis depuis des années.

 

"Il semble que Dassault ne réalise pas que la volonté politique et tous les efforts diplomatiques ne peuvent pas faire passer des conditions commerciales non compétitives et irréalisables." Cheikh Mohamed ben Zayed, prince héritier d'Abou Dhabi, a violemment critiqué l'offre française, pourtant en négociation depuis plusieurs années.

 

"La France a fait tout son possible aux plans diplomatique et politique pour conclure la transaction" rapelle Cheikh Mohamed ben Zayed, qui est également commandant en chef de l'armée du pays. "Dassault était en tête de nos considérations à la lumière du suivi personnel par le président Sarkozy" précise-t-il.

 

Dimanche dernier, le ministre français de la Défense Gérard Longuet s'était encore montré confiant quant à la signature d'un contrat avant la fin de l'année. Mi-octobre, il assurait que l'accord avec les Emiratis était en "négociation finale".

 

Mais le 14 novembre dernier, les officiels des Emirats ont demandé au consortium Eurofighter de faire une contre-proposition. Louis Gallois, PDG d'EADS (le groupe leader du consortium) a assuré qu'une "offre sérieuse" serait présentée.

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 08:40

http://s.tf1.fr/mmdia/i/33/7/le-rafale-3931337xmkfl_1713.jpg?v=1

Le Rafale - photo Sirpa Media

 

16 novembre 2011 TF1 News

 

Les Emirats Arabes Unis ont estimé mercredi que la proposition de Dassault pour son avion de combat Rafale était "non compétitive et irréalisable", marquant apparemment un blocage dans la négociation.

 

Alors que Dassault et les Emirats Arabes Unis négocient depuis des années la vente de 60 avions de combat multirôle Rafale, en service dans l'armée française mais jamais vendu à l'étranger, le prince héritier d'Abou Dhabi, cheikh Mohamed ben Zayed, jette un pavé dans la mare. "Malheureusement, il semble que Dassault ne réalise pas que la volonté politique et tous les efforts diplomatiques ne peuvent pas faire passer des conditions commerciales non compétitives et irréalisables", a-t-il déclaré mercredi. Pourtant, a-t-il souligné lors d'une tournée au salon aéronautique de Dubaï, "la France a fait tout son possible aux plans diplomatique et politique pour conclure la transaction" et "Dassault était en tête de nos considérations à la lumière du suivi personnel par le président Sarkozy" de l'affaire. Silence radio du côté de Dassault après cette sortie du prince héritier...

 

En visite dimanche sur ce même salon aéronautique, le ministre français de la Défense, Gérard Longuet, s'était pourtant montré confiant sur la conclusion de la vente avant la fin de l'année, alors que Paris multiplie les efforts diplomatiques pour convaincre Abou Dhabi de remplacer par des Rafale les 60 Mirage 2000-9 que l'armée de l'air des Emirats possède déjà. Gérard Longuet, faisant le point sur l'avancement des négociations, avait ajouté que les Emirats n'insistaient plus pour que le chasseur soit équipé de nouveaux réacteurs. Il avait assuré que les Emiratis avaient vu à l'usage que les 7,5 tonnes de poussée de chacun des réacteurs ne l'empêchaient pas de remplir ses missions de reconnaissance, de combat aérien ou d'appui au sol.

 

Rafale vs Eurofighter : les données du match

 

Les Emirats avaient cependant mis la pression sur Dassault en demandant une offre à son rival Eurofighter, une nouvelle qui avait fait l'effet d'un coup de théâtre à l'ouverture dimanche du salon de Dubaï. Abou Dhabi avait demandé au Royaume-Uni, qui utilise l'Eurofighter, de l'informer des capacités de ce chasseur et cette réunion d'information s'était tenue le 17 octobre. Les Emirats avaient ensuite demandé au constructeur européen de fournir une offre concurrente. Mais cette nouvelle n'émeut pas la partie française : "Les négociations continuent, il n'y a pas d'échec", a déclaré une source française, pour qui ce genre de déclaration "fait partie de la négociation". "Les EAU essaient de mettre l'Eurofighter dans la bouclepour négocier le prix", a-t-elle expliqué. "On est touspersuadés que le Rafale, utilisé en Libye et en Afghanistan, est un excellent avion". Le cours du titre Dassault Aviation a perdu 7,06% mercredi à la Bourse de Paris.

 

Et pour cause : alors que le Rafale n'a jamais décroché un contrat à l'exportation, les Emirats Arabes Unis apparaissent encore aujourd'hui comme son marché le plus prometteur. Le Rafale comme l'Eurofighter peuvent faire valoir leur expérience au combat en Afghanistan mais surtout en Libye. Ce sont des Rafale qui ont ouvert les hostilités contre les forces du  colonel Mouammar Kadhafi le 19 mars. Au total, ils ont mené 2000 sorties pendant le conflit, selon l'état-major français. Les Eurofighter, construits par un consortium international (Allemagne,  Royaume-Uni, Italie, Espagne) et conçus à l'origine comme des chasseurs, ont  mené en Libye leurs premières missions d'attaque au sol, en tandem avec les  Tornado de l'armée britannique. Les deux avions devaient faire des démonstrations au salon aéronautique de  Dubaï, qui se tient jusqu'à jeudi.

 

Les deux appareils sont aussi en compétition en Inde, où leurs offres commerciales pour 126 avions de combat sont actuellement à l'examen. Ils cherchent également à remporter un contrat de 22 appareils en Suisse, où le Gripen du groupe suédois Saab est également dans la course. Le Rafale cherche aussi à s'imposer au Brésil, contre le Gripen et le  F/A-18 SuperHornet de Boeing.

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 07:50

Syria.svg

 

16 nov 2011 par Romain Mielcarek - ACTUDEFENSE

 

Des groupes de soldats de l’armée libre syrienne ont attaqué cette nuit un centre de renseignement près de Damas. Une attaque d’envergure, menée par plusieurs groupes dispersés qui ont pris pour cible plusieurs postes militaires du secteur. Si la mission de sauvetage pour libérer des détenus des services secrets a échoué, les rebelles ont montré leur capacité à toucher le coeur du régime syrien.


Un groupe de soldats rebelles a attaqué aujourd’hui le quartier général des services de renseignement aérien à Herasta, dans la banlieue de Damas. La principale attaque, menée par trois groupes, a visé le bâtiment central avec grenades, roquettes et armes automatiques. D’autres groupes ont pris à partie des postes de contrôle militaire dans d’autres quartier de la banlieue. Aucune information n’a été communiqué sur d’éventuels morts et blessés. Ils avaient pour objectif la libération de prisonniers détenus par les services secrets. S’ils n’ont pas atteint leur but, ils ont assuré après cette opération que ces derniers allaient bien.

 

L’observatoire syrien des droits de l’homme, basé à Londres, assure que les désertions se sont multipliées ces dernières semaines. Des combats ont eu lieu entre les forces loyalistes et l’armée libre syrienne. Hier un affrontement a coûté la vie à 34 soldats et 12 rebelles dans le sud de la Syrie, à Deraa.

 

L’armée libre syrienne est un rassemblement de déserteurs qui s’est placé sous le commandement du colonel Riad al-Assad, qui serait réfugié en Turquie. Depuis juillet, les effectifs de cette force rebelle ont augmenté sans qu’il soit possible d’évaluer leur nombre. Dans différents reportages, des journalistes ont pu rencontrer des combattants cachés un peu partout, en Syrie et dans les pays voisins, attendant de pouvoir se regrouper et de reprendre les armes sous l’étendard rebelle.

 

Depuis le début du conflit, en mars dernier, les manifestations contre le régime de Bachar al-Assad perdurent. Les forces de sécurité auraient causé la mort de plus de 3500 personnes selon des chiffres de l’ONU.

 

A lire : un reportage très complet sur l’armée libre syrienne.

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 07:15

Syria.svg

 

Nov 16, 2011 Nicosia (AFP) SpaceWar.com

 

The rebel Free Syrian Army, which claimed on Wednesday a bold raid against security forces, boasts thousands of soldiers who defected from the army to join the revolt against President Bashar al-Assad.

 

Led by a defected colonel who took shelter in Turkey, Riyadh al-Asaad, the rebel group intensified its operations against the regular army on Wednesday when it struck an air force intelligence base near Damascus.

 

Asaad announced in July his defection in protest over the regime's violent repression of a protest movement that erupted mid-March, and which has cost more than 3,500 civilian lives, according to UN figures.

 

The group has claimed responsibility for several deadly operations against Assad's forces, particularly in the northwestern province of Idlib, near Turkey, the central city of Homs and Daraa province in the south.

 

In late August, the Free Syrian Army merged with the Free Officers Brigade, which was established by Colonel Hussein Harmush, and now counts some 17,000 troops, Captain Hassan told AFP, asking that his last name be withheld.

 

Colonel Harmush was the first army officer to announce his defection in protest over the army's bloodshed, siding with protesters in early June.

 

He succeeded in leaving Syria and establishing the Free Officers, comprising dozens of defectors before falling back into the hands of the regime under murky circumstances.

 

Opposition sources said at the time he was kidnapped in Turkey and handed over to the authorities in Damascus, but the officer declared in a "confession" broadcast by Syrian state television that he had decided to "return" home.

 

The Free Syrian Army announced on Wednesday the creation of a temporary military council with the aim of ousting Assad's regime and protecting civilians from his forces.

 

"Based on the requirements of this phase and the demands of the Syrian revolution, the Free Syrian Army is establishing a temporary military council," a statement said.

 

Colonel Asaad is to chair the council which includes four other colonels, three lieutenant colonels and a major.

 

The council aims to "bring down the current regime, protect Syrian civilians from its oppression, protect private and public property and prevent chaos and acts of revenge when it falls."

 

To that end, the council will organise, arm and train the Free Syrian Army, making its decisions by a two-thirds majority.

 

The council also aims to set up a police force and a military court to try members of the regime implicated in the murder of civilians, attacks against the population or the sabotage of private and public property.

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 21:25

http://www.lesechos.fr/medias/2011/11/16/250043_0201747026714_web.jpg

 

16/11/2011 par  Alain Ruello – Les Echos.fr

 

Dans un communiqué officiel, Abou Dhabi a critiqué l'offre commerciale de Dassault jugée « irrecevable » .

 

Après trois ans et demi de négociations, le spectre d'un nouvel échec du Rafale se profile aux Emirats Arabes Unis. Dans un communiqué anodin de l'agence officielle Wam, Sheikh Mohammed bin Zayed Al Nahyan, le numéro deux du Royaume, a envoyé un véritable missile à l'encontre de l'avionneur français. Soucieux de ménager son grand ami Nicolas Sarkozy, le texte rend d'abord hommage aux efforts déployés par le président français dans cette négociation qui porte sur la vente d'une soixantaine d'exemplaires de l'avion de combat. Pour mieux cibler ensuite l'industriel d'une phrase assassine : « Malheureusement, Dassault ne semble pas conscient que tous les efforts diplomatiques et politiques du monde ne peuvent pas compenser une proposition commerciale non compétitive et irrecevable ».

 

De la part de quelqu'un qui ne prend pas souvent la plume, et encore moins quand il s'agit d'un contrat d'armement de plusieurs milliards, le message ne souffre d'aucune ambiguïté. Contacté, Dassault s'est refusé à tout commentaire. On imagine que son PDG, Charles Edelstenne, a dû fulminer à la lecture du communiqué. Lui qui affirme toujours que la vente d'un avion de combat est avant out un acte politique se retrouve en position d'accusé numéro un. Et la semaine doit lui paraître longue puisque dimanche, au premier jour du salon aéronautique de Dubaï, l'avionneur a dû encaisser sans réagir la révélation par la presse spécialisée qu'Abou Dhabi avait demandé une contre-offre à Eurofighter, le concurrent européen tant décrié !

 

Le fil est-t-il définitivement rompu ? Certains industriels continuent, urbi et orbi, d'y voir une tactique de négociation. D'autres font une analyse différente : sans obligation ardente de remplacer leur Mirage 2000, les Emirati ont négocié des évolutions importantes du Rafale, donc forcément onéreuses, que Dassault et ses partenaires auront du mal à honorer sans perdre d'argent.

 

Alain Juppé, que Nicolas Sarkozy a désigné négociateur en chef sur ce dossier (« Les Echos » du 11 octobre), y verra sans doute plus clair dans quelques heures, car il entame demain une tournée dans le Golfe. La liste de ses escales n'est pas encore arrêtées, mais on peut imaginer qu'Abou Dhabi y figurera. L'affaire rappelle en tous cas le fiasco du Rafale au Maroc quand Jacques Chirac était président. Et on imagine mal désormais que les Emirats prennent une décision, quelle qu'elle soit, avant de longs mois.

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 21:20

http://3.bp.blogspot.com/-g551gxpbjOM/TsQLOIfYJtI/AAAAAAAAOI4/roROFBkDkTA/s1600/rafaleee.jpg

 

Photo / Rafale News

 

November 17, 2011 by Shiv Aroor - LIVEFIST

 

 

Calling this bad news for Dassault is like saying Luca Brasi is a rough man. The unexpected words of Abu Dhabi Crown Prince Sheik Mohamed bin Zayed on Wednesday -- released through a series of innocent looking tweets, no less -- will have created an exit wound the size of a grapefruit in the psyche of the supremely jinxed French fighter programme. A splendid fighter plane that nobody wants to buy. With this latest, decidedly rough ejection by the UAE, there's no telling where things stand for Dassault.

If you haven't been keeping up, France said it was poised to win a $10-billion deal from the UAE for 60 Rafales, a deal it has negotiating for years. On Nov 12, a day ahead of the Dubai Air Show, it became known that the "near-final" deal wasn't actually a deal at all -- and that arch-rivals Eurofighter had been invited to submit details about the Typhoon (for which they'll be in a mad scramble right now, I imagine). And today, boom. A handful of tweets by the Crown Prince brought it down with all the gentleness of a guillotine. Sample this:

"Thanks to President Sarkozy, France could not have done more diplomatically or politically to secure the Rafale deal. Regrettably Dassault seem unaware that all the diplomatic and political will in the world cannot overcome uncompetitive and unworkable commercial terms." (Somehow, "ouch" doesn't quite say it.)

Reuters says its sources pointed to Dassault's "arrogance" as the reason behind frustration both in the French government and in the UAE. Dassault is presumably in too much shock to comment officially just yet, or may be, at the very least making an effort to confirm that this is indeed curtains in the Emirates. Either way, as FlightGlobal's Steve Trimble wrote a few days ago, "[S]uch a loss would surely be long remembered in the industry as yet another can't-miss deal that only the French could mess up."

Yeah, we're all thinking the same thing: Where does this leave things on the MMRCA?


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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 20:45

http://www.aviationweek.com/media/images/defense_images/Fighters/RafaleF3inCorsica-ChristinaMackenzie.jpg

 

Nov 16, 2011 By Reed Stevenson, Praveen Menon and Tim Hepher/Reuters - AviationWeek.com

 

DUBAI- A long-awaited French deal for Dassault to sell at least 60 Rafale warplanes to the United Arab Emirates hit a new snag Nov. 16 when the Arab country’s crown prince said proposed terms were “uncompetitive and unworkable.”

 

The deal, which had been in the works since 2008, was thrown into doubt earlier this week when it became clear that the world’s fourth-largest oil exporter had asked for details of a rival aircraft, the Typhoon built by the Eurofighter consortium.

 

“Thanks to President (Nicolas) Sarkozy, France could not have done more diplomatically or politically to secure the Rafale deal,” Abu Dhabi Crown Prince Sheikh Mohamed bin Zayed, deputy of the country’s armed forces, said in a statement, adding that Sarkozy’s “personal intervention in this process has sustained Dassault at the forefront of our considerations.”

 

“Regrettably Dassault seem unaware that all the diplomatic and political will in the world cannot overcome uncompetitive and unworkable commercial terms,” he said.

 

Officials at Dassault Aviation, which builds the Rafale, declined to comment.

 

A government source close to the deal blamed the current impasse on the “arrogance” of Dassault, despite French military officials saying they were confident about securing a deal and hopes of finalising the sale at the Dubai Air Show.

 

“There is a shared frustration in both the UAE and French leaderships at the apparent arrogance of Dassault,” the source said.

 

“Rather than using the strength of the bilateral relationship to close the deal out they are attempting to use it to hold out on pricing and a deal structure that hasn’t changed in more than a year and that has been significantly bettered by all competitors.”

 

The United Arab Emirates and its Gulf neighbors share the West’s concerns that Iran is using its nuclear energy program to develop weapons, a charge Tehran has denied. Saudi Arabia inked a deal for U.S. arms worth nearly $60 billion a year ago.

 

The UAE is also in talks to buy Lockheed Martin’s Terminal High Altitude Area Defense, or THAAD, an advanced missile defense system. The two deals, for the air defense and new combat planes, could be worth as much as $17 billion.

 

Competitors Smell Opportunity

 

France said earlier this week it was still confident of striking a first export deal for the Rafale and Defense Minister Gerard Longuet said Paris remained in the final stage of talks.

 

French air force chief General Jean-Paul Palomeros told Reuters the Emirates air force was “very keen with Rafale”. Yet after news of Eurofighter’s pitch emerged, the deal appeared to be blown open to greater competition, including to Boeing’s fighter jets.

 

The company said it had briefed UAE officials recently on its F-15 and F-18 combat planes.

 

“We have not responded to a detailed set of requirements or anything like that. We have been asked for information on both platforms (F-15 and F-18),” said Paul Oliver, a Boeing Sefense, Space & Security vice president.

 

“We have provided through the US government, information on these platforms,” he told Reuters in an interview. “We have been providing information off and on for over a year.”

 

Discussions between the UAE and Dassault were nearly derailed a year ago when Boeing was first asked for technical information on its warplanes.

 

France is struggling to secure a foreign buyer for the Rafale, which is more developed than some fourth-generation combat aircraft but lags behind so-called fifth-generation multirole fighters such as Lockheed Martin’s F-35 Lightning II.

 

The UAE has pressed for the aircraft’s engines to be upgraded with extra thrust and for better radar, industry sources have said, but Palomeros said UAE officials are satisfied with the plane.

 

Both the Rafale and Typhoon warplanes were used in Libya during NATO operations that helped topple Muammar Gaddafi. The Eurofighter is built by Britain’s BAE Systems, Finmeccanica of Italy and European aerospace group EADS on behalf of Germany and Spain.

 

Boeing, however, said there was increasing local interest in its combat jets.

 

“There has been interest in the region. We have a couple of other customers who have expressed interest in the F-18 (apart from UAE),” said Boeing’s Oliver. “They don’t talk to me about competitors... but it is the big news of the airshow. I believe the UAE is looking at all their options.”

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 20:05

http://www.defense-aerospace.com/base/util/130407_1.jpg

 

November 16 2011 defense-aerospace.com

(Source: Israel Defense Force; posted on Nov. 15, 2011)

 

An Israeli invention will soon be changing the world of field intelligence technology- the IDF’s Field Intelligence Corps’s “Granite” vehicle.

 

Developed by ELTA Systems Ltd. and based on the Ford 550 model, the vehicle is unlike the “Raccoon” observation vehicle, already in IDF possession, which scans back and forth in order to cover 360 degrees. Instead, the “Granite” combines synchronized radars and observation tools that scan the entire area at all times and focus automatically on every suspicious target. Additionally, the “Granite” has even better armor protection than the “Raccoon”.

 

The introduction of the Granit is not only an advancement in technology, but will also reduce the number of soldiers required to scout a restricted field from two to one, combining the roles of observing an area and focusing on suspicious activity.

 

Major Nir, Head of the Mobile Observation Department of the IDF’s Field Intelligence Corps, stated that the use of high-tech radars doesn’t undermine the human element and the operating soldier: “It’s true that the Granite system makes it easier for our soldiers to pay closer attention to the field surrounding them, but it doesn’t change the fact that it’s the soldiers that investigate each and every threat to its core.”

 

Another important feature of the technology is the synchronization among all the combat units deployed within the same mission. “Once the Granite gets a proper image of the threat, we can immediately send it to the tank and the aircraft that are also in the battlefield” says Major Nir. (ends)

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