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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 10:45
L'Egypte a bombardé Daesh en Libye

Des avions de combats F-16 ont pris pour cible des camps d'entrainement et des dépôts d'armes de l'EI.- photo Egyptdailynews.com

 

16 février 2015 BBC Afrique

 

L'aviation égyptienne a bombardé lundi des positions de l'Etat islamique (EI) en Libye après la revendication par les djihadistes de la décapitation d'un groupe de chrétiens coptes égyptiens.

 

Sur la vidéo diffusée sur internet, des hommes portant des combinaisons de couleur orange sont alignés sur une plage les mains liés dans le dos, avant que leurs bourreaux ne les décapitent au couteau. Selon l'armée, des avions de combats F-16 ont pris pour cible des camps d'entrainement et des dépôts d'armes de l'EI. Un porte-parole du premier ministre libyen Abdullah al-Thinni a indiqué que les huit raids sur Derna, fief des djihadistes, ont été mené en coordination avec le gouvernement libyen. Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi avait convoqué d'urgence dimanche soir le Conseil national de défense et juré de punir les "assassins" de la manière "adéquate".

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 10:30
Photo F. Robineau, Dassault Aviation

Photo F. Robineau, Dassault Aviation

 

16 février 2015 par Gil Roy – Aerobuzz.fr

 

Le premier contrat export du Rafale a été signé, lundi 16 février 2015, au Caire, avec l’Egypte. Il porte sur 24 exemplaires et prévoit les trois premières livraisons dès cet été. Les 3 suivantes, six mois plus tard. L’Egypte est pressée…

 

Tout est allé très vite dans ce contrat signé avec l’Egypte. Alors que Dassault a remporté l’appel d’offres indien, il y a trois ans, et que la signature du contrat d’achat de 126 Rafale (assorti de 63 options) n’a toujours pas été apposée, l’Egypte n’aura mis que trois mois pour se décider.

« L’ensemble de la profession se réjouit du succès de Dassault Aviation pour la signature du premier contrat à l’export du Rafale. Il s’agit d’un succès éclatant pour l’ensemble de l’industrie aéronautique française, tant pour Safran, Thales, MBDA, que pour les centaines de sous-traitants et fournisseurs du programme Rafale implantés dans de nombreuses régions françaises. Ce sont 7.000 emplois qui sont concernés.  », a déclaré Marwan Lahoud, Président
 du Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales (GIFAS). Thales, membre du GIE Rafale aux côtés de Dassault Aviation et de SNECMA (Safran), précise pour sa part, que sa participation représente environ 25% de la valeur totale du Rafale : « Thales équipe cet avion de combat de systèmes lui offrant une capacité multi senseur tels que le RBE2 AESA, premier radar de combat européen à balayage électronique à antenne active, le système de guerre électronique SPECTRA, l’optronique, la suite de communication, navigation, identification, l’avionique et les systèmes de génération électrique ».

 

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 08:30
Photo F. Robineau, Dassault Aviation

Photo F. Robineau, Dassault Aviation

 

16 février 2015 par Pierre ALONSO  - Liberation.fr

 

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a signé lundi au Caire un contrat à 5,2 milliards d'euros qui inclut en plus des 24 avions une frégate, des lots de missiles et des contrats de formation.

 

Cet après-midi, l’Egypte est devenue le premier acheteur étranger du Rafale, dont seule l’armée française était jusqu’à présent dotée. Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, s’est rendu au Caire pour parapher le contrat à 5,2 milliards d’euros avec le président égyptien Al-Sissi. L’accord ne porte pas seulement sur la vente des vingt-quatre avions de combat multirôles produits par Dassault, mais comprend aussi la livraison d’une frégate multimissions (Fremm) et d’un lot de différents missiles pour armer le tout.

Au total, les quelque 5 milliards du «deal» représentent plus de la moitié des commandes enregistrées l’année dernière par l’industrie de l’armement made in France. Pour 2014, la direction générale de l’armement chiffre à 8,06 milliards les exportations d’armement. Ce nouveau contrat égyptien propulsera 2015 au rang des meilleures années en termes d’exportations d’armes, dépassant très certainement le cap des 10 milliards. Selon les informations ayant fuité, les 5,2 milliards égyptiens se décomposent en plusieurs contrats, dont la direction générale de l’armement refuse à ce stade de dévoiler les montants détaillés. Le plus symbolique, le plus important aussi, reste celui des vingt-quatre Rafales, 16 biplaces et 8 monoplaces.

 


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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 17:58
Photo F. Robineau, Dassault Aviation

Photo F. Robineau, Dassault Aviation

16/02/2015 à 17:29 Par Le Figaro.fr avec AFP

La France a signé cet après-midi avec l'Egypte son premier contrat d'exportation de l'avion de combat Rafale.

Le PDG du constructeur français Dassault Aviation, Eric Trappier, a signé le contrat au palais présidentiel en présence du chef de l'Etat égyptien Abdel Fattah al-Sissi et du ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian.

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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 17:45
Statement by HR/VP Federica Mogherini on the beheading of 21 Egyptian Coptic Christians in Libya

 

16/02/2015 EEAS

 

"The EU stands in solidarity with the people and the government of Egypt in the wake of the beheading of 21 Egyptian Coptic Christians. I convey my heartfelt condolences to the families and friends of those massacred by terrorists in Libya.

 

I will meet Foreign Minister Sameh Shouky in Washington later this week and I will convey to him personally my condolences. We will also discuss the challenges ahead together with other leaders of the region and US Secretary of State John Kerry.

 

This act of terror is also a stark reminder of the plight of civilians in Libya – whether they are Libyans or migrants and whatever their faith.

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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 17:30
Le Chef d'État-major Benny Gantz passe les troupes en revue lors de la cérémonie de fin du cours d'officier des Forces Terrestres de Tsahal hier (mardi 14 février)

Le Chef d'État-major Benny Gantz passe les troupes en revue lors de la cérémonie de fin du cours d'officier des Forces Terrestres de Tsahal hier (mardi 14 février)

 

16.02.2015 Tsahal

 

Après avoir servi quatre ans en tant que chef d’état-major de Tsahal, le lieutenant-général Benjamin (Benny) Gantz termine son service et quitte les rangs de l’armée. En servant 38 ans dans l’armée israélienne, il a été confronté à des menaces complexes sur tous les fronts d’Israël, a dû affronter le terrorisme et trouver des réponses aux défis sécuritaires en faisant appel à sa créativité, à sa détermination et à sa bravoure. Voici le parcours militaire de l’un des chef d’état-major les plus respectés de Tsahal.

 

Le lieutenant-général Benny Gantz est né en 1959. Il commencé son service militaire dans Tsahal en 1977 où il rejoint les rangs de la Brigade Parachutiste.

 

En 1979, il sort diplômé du cours des officiers de Tsahal et est assigné à plusieurs positions de commandement parmi les parachutistes. Le lieutenant-général Gantz grimpe tous les échellons en montrant ses compétences extraordinaires en leadership et sa capacité inouïe à inspirer ses soldats.

 

Voici les grandes étapes de sa carrière militaire :

 

1987-1989 : il sert en tant que commandant du bataillon “Ef’a” (vipère) dans la Brigade Parachutiste.

 

1989 : il est choisi pour devenir le commandant de l’unité d’élite “Shaldag” dans l’Armée de l’Air israélienne, position qu’il occupe jusqu’en 1992. Au cours de cette période, il fut commandant des forces chargées du bon déroulement de l’Opération Salomon, qui permit en 1991 aux Juifs d’Éthiopie d’émigrer en Israël.

 

1992 : il devient commandant de l’Unité de Réserve de la Brigade Parachutiste.

 

1994-1995 : il est commandant de la Brigade de Judée dans la Division de Judée-Samarie.

 

1995 et 1997 : il sert en tant que commandant de la Brigade Parachutiste.

 

1997 : il quitte momentanément l’armée pour étudier aux États-Unis.

 

1998 : il reçoit le grade de Général de Brigade et est nommé commandant d’une division de réserve du Commandement de la Région Nord.

 

1999-2000 : il sert en tant que commandant de l’Unité de Liaison avec le Liban. Il fut le dernier commandant de Tsahal à se retirer du Liban.

 

2001 : il est nommé commandant de la Base de Réserve du Commandement de la Région Nord et reçoit le grade de général de division.

 

2000-2002 : pendant le début de la deuxième Intifada, il sert en tant que commandant de la Division de Judée-Samarie.

 

2002 : il devient commandant du Commandement de la Région Nord, position qu’il occupe jusqu’en 2005.

 

2005-2007 : il sert en tant que commandant des Forces Terrestres.

 

2007 : il est nommé attaché militaire de l’armée israélienne aux États-Unis.

 

2009 : le ministre de la Défense et le chef d’état-major lui demandent de servir en tant que vice chef d’état-major, une position qu’il occupe jusqu’en novembre 2010.

 

14/02/2011 : Benny Gantz devient le 20ème chef d’état-major de Tsahal et reçoit le grade de lieutenant-général, succédant ainsi au chef d’état-major sortant, le lieutenant-général Gabi Ashkenazi.

 

En parallèle de sa carrière militaire, le lieutenant-général Benny Gantz a obtenu plusieurs diplômes universitaires. Il est le détenteur d’une Licence d’Histoire de l’Université de Tel Aviv, d’un diplôme de Masters en Sciences Politiques de l’Université de Haïfa et d’un diplôme de Masters en Gestion des Ressources Nationales de l’Université de la Défense Nationale des États-Unis.

 

Le lieutenant-général Gantz est marié et père de quatre enfants.

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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 16:55
Nouveau succès en Egypte pour DCNS

 

Paris, le 16 février 2015 DCNS

 

DCNS a signé lundi 16 février avec le Ministère de la défense de la République Arabe d'Egypte un contrat portant sur la fourniture d’une frégate multimissions FREMM. Cet accord renforce les relations stratégiques qu’avait initiées DCNS en juillet dernier avec la signature d’un contrat pour la fourniture de quatre corvettes Gowind® 2500.

 

Hervé Guillou, Président Directeur Général de DCNS, déclare : « Je remercie les autorités égyptiennes de la confiance qu’elles nous accordent une nouvelle fois pour participer à la modernisation de leur outil de défense. DCNS aura à cœur de démontrer que cette confiance est justifiée. Le Groupe mettra tout en œuvre pour mener à bien ce programme. »

Cette frégate, l’actuelle Normandie, sera livrée mi-2015 après quelques travaux d’aménagement, et la première phase du programme de formation. Les prestations logistiques et le soutien à la marine égyptienne s’étaleront ensuite sur plusieurs années.

Pour Hervé Guillou : « Avec cet accord historique, DCNS s’inscrit dans une logique de partenariat à long terme avec la Marine égyptienne et ses chantiers avec qui nous comptons investir dans la durée pour le développement des compétences et de l’outil industriel. De plus, le renforcement de nos relations nous offre de nouvelles perspectives de vente de navires. »

La FREMM livrée à la Marine égyptienne sera prélevée sur la série en cours de réalisation pour la Marine nationale. Pour permettre à cette dernière de ne pas obérer ses capacités opérationnelles, DCNS accélérera la cadence de production des bâtiments suivants.

« Je tiens à souligner que ce succès n’aurait pas été possible sans une équipe de France soudée et un soutien sans faille des services étatiques français, et en particulier la Direction générale de l’armement et la Marine nationale qui a accepté le report de la livraison de sa deuxième frégate. »

 

Caractéristiques techniques des FREMM

Les frégates multimissions sont des navires polyvalents répondant à tous types de menaces aériennes, marines, sous-marines ou terrestres. Navires à la pointe de la technologie, les frégates FREMM sont parfaitement adaptées pour permettre aux marines clientes de faire face aux menaces actuelles et aux besoins croissants de sécurité maritime.

 

  • Longueur hors tout : 142 mètres
  • Largeur : 20 mètres
  • Déplacement : 6 000 tonnes
  • Vitesse maximale : 27 nœuds
  • Mise en œuvre : 108 personnes (détachement hélicoptère inclus)
  • Capacité de logement : 145 hommes et femmes
  • Autonomie : 6 000 nautiques à 15 nœuds

 

A propos de DCNS

DCNS est un leader mondial du naval de défense et un innovateur dans l’énergie. Entreprise de haute technologie et d’envergure internationale, DCNS répond aux besoins de ses clients grâce à ses savoir-faire exceptionnels et ses moyens industriels uniques. Le Groupe conçoit, réalise et maintient en service des sous-marins et des navires de surface. Il fournit également des services pour les chantiers et bases navals. Enfin, DCNS propose un large panel de solutions dans l'énergie nucléaire civile et les énergies marines renouvelables. Attentif aux enjeux de responsabilité sociale d’entreprise, le groupe DCNS est l’un des premiers acteurs de son secteur à avoir été certifié ISO 14001. Le Groupe réalise un chiffre d’affaires de 3,4 milliards d’euros et compte 13 600 collaborateurs (données 2013). www.dcnsgroup.com

 

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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 16:55
FREMM Normandie photo Marine Nationale

FREMM Normandie photo Marine Nationale

 

13 Février 2015 Source : Marine nationale

 

La vente par DCNS d’une frégate multimission (FREMM) à l’Egypte vient d’être officialisée. Pour répondre à la demande émise par l’Egypte, cette opération de vente s’est concrétisée dans un laps de temps très court, non compatible avec les procédures habituelles et la mise en chantier d’un bâtiment nouveau. La seule solution pour assurer une livraison dans les temps a, dès lors, consisté à livrer à l’Egypte l’une des FREMM initialement destinées à la Marine nationale, actuellement en armement à Lorient et propriété de DCNS : la frégate Normandie.

 

Sur le plan pratique, la vente de la FREMM Normandie à l’Egypte a un fort impact sur la Marine nationale. Cela nécessite une réorganisation complète de l’activité des équipages d’armement des actuelles FREMM Normandie et Provence, toutes deux en train de finaliser leurs périodes d’essai.

 

Concrètement, dès la signature du contrat, l’équipage actuel de la Normandie sera transféré sur la Provence. Le port base de la Provence sera Brest, afin d’assurer la remontée en puissance des capacités de lutte anti-sous-marine sur la façade Atlantique comme initialement prévu. L’actuel équipage de conduite de la Provence sera pour sa part réaffecté sur le Languedoc actuellement en fin de construction pour en terminer l’armement.

 

Cette cession se traduira mécaniquement par une arrivée des FREMM dans les forces retardée de plusieurs mois et induire une prolongation d’un an des FASM Montcalm et Jean de Vienne, dont les dates de Retrait du Service Actif (RSA) sont repoussées respectivement à 2017 et à 2018. Des prolongations qui permettront à la Marine de continuer à assurer la tenue du contrat opérationnel sur tous les océans, 24/24 heures et 365 jours par an.

 

Au-delà des impacts humains et des réorganisations que la vente de la FREMM Normandie implique pour la Marine nationale, cette vente est la reconnaissance des savoir-faire de l’industrie navale française. Elle témoigne également de la crédibilité opérationnelle de la Marine nationale et de ses équipages qui font preuve au quotidien d’un grand professionnalisme.

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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 08:55
Photo F. Robineau, Dassault Aviation

Photo F. Robineau, Dassault Aviation

 

16/02/2015 Par Véronique Guillermard – LeFigaro.fr

 

Le président égyptien al-Sissi et Jean-Yves Le Drian officialisent la commande de 24 avions de combat, d'une frégate et de missiles pour 5,2 milliards d'euros, au Caire.

Journée historique pour l'industrie de l'armement française. C'est en effet le Jour J pour la signature du premier contrat du Rafale à l'exportation. Il doit être officialisé, ce lundi 16 février, au Caire entre le président égyptien al-Sissi et Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense français. Ce dernier s'envole ce matin depuis l'aéroport de Villacoublay (Yvelines) en compagnie d'Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation*, le constructeur du Rafale, Hervé Guillou, PDG de DCNS, le fabricant des frégates et Antoine Bouvier, le patron du missilier MBDA ainsi que des journalistes.

La délégation française doit être accueillie au ministère de la Défense égyptien par le général Sobhi, l'homologue de Jean-Yves Le Drian, dans le cadre d'une cérémonie militaire, avant de se rendre au palais présidentiel pour y être reçue par le maréchal al-Sissi. La cérémonie de signature des contrats par les deux ministres de la Défense - trois majeurs (Rafale, frégate et missiles) et deux pour d'autres équipements pour un total de 5,2 milliards d'euros - est prévue vers 18 heures 30 (17h30 en France) au ministère de la Défense. La journée se terminera par un dîner à Air Force House au Caire.

Ces paraphes officiels ouvrent la voie au versement du premier acompte. Il doit intervenir rapidement - d'ici deux à trois semaines - afin que le contrat soit mis en œuvre et que les industriels puissent effectuer les livraisons dans le calendrier très serré imposé par les Égyptiens. Le Caire veut en effet faire parader 3 Rafale et sa frégate lors des cérémonies organisées le 5 août prochain pour l'inauguration de l'élargissement du canal de Suez.

Les avions de combat et la frégate seront prélevés en «sortie de chaîne» sur le quota 2015 des armées françaises afin de tenir les engagements pris auprès de l'Égypte. Ensuite, les livraisons s'étaleront pendant la durée de cinq ans du contrat.

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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 08:30
Après la décapitation de 21 Chrétiens, l'Egypte bombarde l'Etat islamique en Libye

 

16/02/2015 Par lefigaro.fr, AFP, AP, Reuters Agences

 

Tôt lundi matin, les avions de combat de l'armée de l'air égyptienne ont visé des camps, des sites d'entraînement et des arsenaux du groupe terroriste, situés à proximité de la frontière avec la Libye.

 

Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi avait averti: les «assassins» seront punis de la manière «adéquate». Moins de 24 heures après la diffusion d'une vidéo montrant la décapitation de 21 Egyptiens coptes revendiquée par l'Etat islamique (EI), des avions de combats de l'armée de l'air égyptienne ont bombardé tôt lundi matin des positions de Daech en Libye. Dans le viseur de l'armée: des camps, des sites d'entraînement et des arsenaux de l'EI situés à proximité de la frontière avec la Libye.

Dimanche, la branche libyenne du groupe terroriste a mis en ligne une vidéo montrant la décapitation de 21 Egyptiens de confession chrétienne copte, récemment kidnappés en Libye. Sur cette vidéo de 5 minutes, des hommes portant des combinaisons oranges, semblables à celles d'autres otages exécutés ces derniers mois en Syrie, sont alignés sur une plage les mains menottées dans le dos. Un homme habillé en treillis militaire s'exprime en anglais avec un couteau à la main alors que les autres bourreaux, un derrière chaque prisonnier, sont intégralement vêtus de noir et silencieux. Tous sont masqués.

 

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15 février 2015 7 15 /02 /février /2015 18:30
photos Marine Nationale

photos Marine Nationale

 

13/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 11 février 2015, dans le cadre d’interactions communes entre les forces armées libanaises et les casques bleus de la force intérimaire des Nation unies au Liban (FINUL), le navire français La Fayette en patrouille en méditerranée orientale a accosté à Beyrouth.

 

Cette escale fut l’occasion de poursuivre la coopération déjà riche entre les forces armées libanaises et les marins français, et plusieurs exercices ont été conduits sur les deux jours.

 

Des officiers français de la FINUL ont pu embarquer à bord de la frégate française pour une durée de 24h, ainsi qu’un chef de quart libanais qui a pu s’exercer sur un bâtiment diffèrent. Aussi quelques marins du bord ont pu découvrir les différentes installations de l’ONU implantées sur le territoire libanais.

 

Des exercices communs ont eu lieu, et une simulation d’assaut en mer, suivie d’une investigation du bâtiment par l’équipe de visite libanaise sur le La Fayette a été réalisée. Des exercices de lutte contre un incendie ont également été conduits à bord du navire français et d’un bâtiment libanais, permettant à chacun d’échanger des expériences et d’accroitre son savoir-faire. Enfin, plusieurs plongées communes ont eu lieu dans le port de Beyrouth.

 

La marine libanaise, en pleine mutation et dans l’attente de la réception de futurs patrouilleurs, a pu ainsi s’appuyer sur l’expérience de la Marine nationale française dans le domaine de l’élaboration de plans d’armement et de sa politique des ressources humaines associée.

 

Présente depuis 1978 au Liban, la France est l’un des principaux pays contributeurs de la FINUL, avec près de 900 soldats déployés en permanence. La grande majorité d’entre eux arme le FCR qui est directement placée sous les ordres du général commandant la FINUL et est en mesure d’agir au profit de tous les contingents déployés sur l’ensemble de la zone d’action de la FINUL, dans le cadre de la résolution 1701. Le volet naval de cette mission comporte en permanence plusieurs frégates déployées en force constituée (la Task Force 448). Leur mission : surveiller les approches maritimes du Liban, et empêcher l’introduction d’armes par la mer.

Liban : Coopération internationale pour le La Fayette à BeyrouthLiban : Coopération internationale pour le La Fayette à BeyrouthLiban : Coopération internationale pour le La Fayette à Beyrouth
Liban : Coopération internationale pour le La Fayette à BeyrouthLiban : Coopération internationale pour le La Fayette à Beyrouth
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15 février 2015 7 15 /02 /février /2015 12:55
FREMM Normandie – photo DCNS

FREMM Normandie – photo DCNS

 

12.02.2015  Camille Allain – 20minutes.fr

 

Beaucoup ne retiendront que la vente des Rafale. Mais à Lorient, la signature du contrat de vente d’une frégate FREMM avec l’Egypte va permettre aux salariés de DCNS de souffler. Même si le chantier tourne bien, la commande du navire de guerre remplit le carnet de commandes. Explications.

 

C’est quoi une frégate FREMM?

Les frégates européennes multi-missions (FREMM), fleuron de l’industrie française, sont des navires de guerre conçus en partenariat avec l’Italie. Construites sur le chantier DCNS de Lorient, elles ont pour mission de protéger l’espace aérien et sous-marin. La mise en service officielle du premier modèle a eu lieu en 2014 avec le baptême de l'Aquitaine, acquise par la Marine Nationale quinze ans après les premières ébauches.

 

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15 février 2015 7 15 /02 /février /2015 12:35
US troop deployment in Asia-Pacific (May 2014, strategic-culture.org)

US troop deployment in Asia-Pacific (May 2014, strategic-culture.org)

 

February 10, 2015 By Franz-Stefan Gady – TheDiplomat.com

 

The chairman of the House Seapower and Projection Forces subcommittee shows concerns over the U.S. pivot to Asia.

 

The chairman of the U.S. House of Representative’s Seapower and Projection Forces subcommittee, Representative Randy Forbes (R-Virginia), is worried that the ongoing fight against the terror group Islamic State, as well as the current fighting in Ukraine, could divert resources from the U.S. military’s pivot to Asia, according to dodbuzz.com.

“One of the major components to the Pacific pivot is the relationship we have with our allies in terms of all coming together. (…) Devoting credible resources to the capabilities required to ensure U.S. presence in Asia is the only way to ensure that the ‘rebalance’ is more than just a slogan. (…) Both our allies and our competitors judge our commitment to the Asia-Pacific region by the capabilities we maintain,” Forbes states.

 

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15 février 2015 7 15 /02 /février /2015 12:30
Artillery: Israel Uses UAVs To Do It Faster

 

February 10, 2015: Strategy Page

 

 Israel has formed a new UAV unit to improve cooperation between combat brigades and their supporting artillery. This new unit uses Hermes 450 UAVs operated by soldiers trained to act as a very effective link between ground units, especially infantry, and any artillery units within range. The object of this is to speed up the time between which a target is spotted and an artillery can hit it with shells or rockets. Tests showed the UAV operators linked to infantry and artillery units and familiar with how both services operated could not only spot potential targets and call in artillery fire very quickly but also confirm targets the infantry wanted hit and get fire on those targets within minutes. In the past troops on the ground could call in fire on targets they could see, but over the last decade infantry have gotten their own small UAVs which often spotted targets beyond the view of the artillery spotters and unless an artillery spotter was looking over the shoulder at the UAV operators control console, he could not confirm the target and call in fire. After trying several alternatives it was decided that the Hermes 450s, using operators trained to call in fire and linked electronically to both infantry and artillery units, was the best solution. The artillery UAV operators can also share what they see with nearby infantry commanders, if that is needed to confirm a target only visible from the air.

 

The artillery UAVs are only the latest Israeli use of UAVs. For example in 2014 Israel replaced the last of its AH-1 helicopter gunships with armed UAVs (Hermes 450s), There was already a plan in place for the AH-1s to be replaced by AH-64 gunships, which Israel already has 44 of but even the AH-64s are facing competition from the UAVs and was decided that replacing the AH-1s with UAVs was more affordable and effective.

 

Israel currently has a fleet of over 70 large (more than a quarter ton) UAVs. Israel is, next to the United States, the heaviest user of large (Predator size) UAVs on the planet, mainly because the aircraft are regularly used for border security and counter-terror operations. The AH-1 and artillery UAV decision makes it possible to further expand the UAV force.

 

The most common large UAVs used by Israel are Heron, Hermes and Searcher. The Hermes 450 is the primary UAV for the Israeli armed forces, and twenty or more were in action each day during the 2006 war in Lebanon. That led to an expansion of the Hermes fleet. The Hermes 450s is a 450 kg (992 pound) aircraft with a payload of 150 kg. It can also carry Hellfire missiles and is 6.5 meters (20 feet long) and has an 11.3 meter (35 foot) wingspan. It can stay in the air for up to 20 hours per sortie, and fly as high as 6,500 meters (20,000 feet). The Hermes 900 UAV is similar in size (and appearance) to the American Predator (both weighing 1.1 tons), but the Israeli vehicle is built mainly for endurance. It has a 10 meter (31 foot) wingspan. The Hermes 900 can stay in the air for 36 hours, and has a payload of 300 kg (650 pounds). The Searcher 2 is a half-ton aircraft with an endurance of 20 hours, max altitude of 7,500 meters (23,000 feet) and can operate up to 300 kilometers from the operator. It can carry a 120 kg (264 pound) payload.

 

Heron I is a 1.45 ton aircraft similar to the American MQ-1 Predator. Israel also has a few (less than six apparently) very long range UAVs. These Heron TP UAVs are 4.6 ton aircraft that can operate at 14,000 meters (45,000 feet). That is, above commercial air traffic, and all the air-traffic-control regulations that discourage, and often forbid, UAV use at the same altitude as commercial aircraft. The Heron TP has a one ton payload, enabling it to carry sensors that can give a detailed view of what's on the ground, even from that high up. The endurance of 36 hours makes the Heron TP a competitor for the U.S. MQ-9 Reaper. The TP is used for long range missions, most of which are not discussed in the media.

 

In the last few years infantry units have been receiving the 7 kg (15.4 pound) Sky Rider. These are battery operated and can only stay in the air an hour or so per sortie. At first it was planned to equip the artillery with Sky Riders but field testing showed that the longer endurance Hermes 450 was a more practical choice. Israel exports most of these UAVs, largely because they are all very much “combat proven”.

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14 février 2015 6 14 /02 /février /2015 12:30
Iraq: Another Defeat For Islamic Terrorism

 

February 12, 2015: Strategy Page

 

 While the Iraqi government talks about retaking Mosul Kurdish forces have managed to surround the city on three sides and taken control of several key roads and bridges. At the moment the Kurds say they do not intend to try and capture the city itself. There are two reasons for that attitude. First, fighting inside the city against fanatic ISIL (Islamic State in Iraq and the Levant) defenders would cost the Kurds a lot of casualties. The Kurds, more than the Arabs, are sensitive about their casualties. Second, while many Kurds believe Mosul (and its nearby oil fields) should be Kurdish. Mosul was long the capital of the Turkish Mosul province which was considered part of the Turkish homeland even though it was largely Kurdish. After World War I the victorious allies took Mosul province away from Turkey and used it to form Iraq (combining it with former Turkish possessions Baghdad, Anbar and largely Shia Basra provinces). Most Kurds and many Arabs are willing to let the Kurds keep nearby Kirkuk (and its many oil wells) as a reward for their aid in defeating ISIL. Kirkuk is a smaller city and always had more of a Kurdish majority.

 

But Mosul is seen as a bit much, especially if the Arab government in Baghdad decides that the Kurds deserve nothing for their effort against ISIL and attempts are made to take Kirkuk back. The Kurds took control of Kirkuk in June 2014 after ISIL took Mosul and successfully defended Kirkuk against several major ISIL assaults. Meanwhile there was supposed to be a referendum in Kirkuk in 2007 to decide if it should become part of the Kurdish autonomous areas or remain “Arab”. Kirkuk is about 83 kilometers south of the current Kurdish capital Erbil and nearly 300 kilometers north of Baghdad. The Arab controlled national government kept delaying the referendum in Kirkuk because they thought they would lose. That’s because for over a decade Saddam Hussein had deliberately driven Kurds from Kirkuk and brought in poor Sunnis from the south the take the place (and homes) of the departed Kurds. After 2003 the displaced Kurds returned and there has been violence between Kurds and Arabs in Kirkuk ever since. Many of these recent Arab migrants left and Kirkuk is believed to be a majority Kurd city again. Most of the non-Kurds in Kirkuk would rather be ruled by the more efficient and less corrupt Kurdish government of the north than the Arab dominated national government. The Shia Arab government in Baghdad is not happy with the fact that it does not control the Kurdish north but despite the ISIL threat still stalls in giving the Kurds their share of oil revenue and foreign military aid. This has led more Western nations to send Kurds weapons directly (despite protests from the Iraqi Arabs) and are more sympathetic to allowing the Kurds to freely pump, ship and sell the oil on their territory (which, technically, the national government in Baghdad controls). In the past the Baghdad bureaucrats have used that legal status to block Kurdish attempts to sell their oil. Now more Western countries are willing to ignore the protests from Baghdad and do business with the Kurds in the north.

 

Meanwhile foreign military trainers and advisors are working hard to prepare the Iraqi security forces for the effort to liberate Mosul. This would be a major campaign and the current plan is to get it started around June. By then The Kurds will nearly have the city cut off from the surrounding countryside. The Arab Iraqi advance from the south would complete the siege and trigger a major response from ISIL. Iran, Western nations and Arab allies of Iraq have all agreed that the Battle of Mosul must be fought, at least on the ground, by Iraqi troops alone. So success depends on how well Iraq can shape up their ground forces in the next few months.

 

The Kurdish advance south has had other side effects. As Kurds and other minorities follow this advance to reclaim their homes they often seek revenge against Sunni Arab neighbors who collaborated with ISIL. Some of the neighbors had little choice (ISIL has a “collaborate or die” policy for fellow Sunnis) but still this has caused some ugly incidents and growing fear among Iraqi Sunnis that they will be made to pay for the ISIL atrocities. Another thing making Sunni Arabs uneasy is the growing number of incidents where some Shia militias slaughter Sunni Arab civilians when they recapture an area. Then there is the growing trend for minorities (especially Turks, Christians and Yazidis) to form armed self-defense militias. The government and its military advisors (at least the Western ones) believe some of these militias could be a problem after ISIL is defeated. Private armies have been a staple in this part of the world for thousands of years, but they are more of a problem when armed with modern weapons and Internet access.

 

While the Kurds have been moving towards Mosul ISIL keeps attacking targets around Kirkuk and trying to get suicide bombers into the three northern provinces the Kurds have ruled for over two decades. ISIL has not been very successful in that but has some more success using suicide bombers against Kurdish troops. Front line checkpoints are particularly vulnerable and drivers have learned to be very attentive and obedient when dealing the Kurdish troops manning these checkpoints. Shooting suicide vehicle bombers before they get too close is a matter of life or death and ISIL has been losing more and more of these suicide volunteers at checkpoints with nothing to show for it except more anger from Sunni Arab civilians because Sunni Arabs killed in these failed attacks on the Kurds. ISIL has had more success in using their suicide bombers against Sunni tribal leaders who have turned against them.

 

ISIL has, for the second time in a decade managed to turn the majority of Arabs against Sunni Islamic terrorists by committing an outrageous atrocity against Moslems. This time it was burning to death a Jordanian F-16 pilot, and then compounding that by keeping quiet about that for nearly a month as they lied to pro-Islamic terrorist Sunni Arab clerics negotiating with them for the release of a female al Qaeda suicide bomber captured in 2005 in Jordan and condemned to death (her suicide bomb failed to function and her husband, also wearing a bomb best, told he to flee while he set off his explosives and killed 35 Jordanians at a wedding). She was captured and confessed her guilt. When the Jordanians refused to do the deal without proof the Jordanian pilot was alive ISIL broke off negotiations, released the “burning alive” video and that was the final straw for most Arabs who were not happy with the growing number of Moslem civilians ISIL was murdering in outrageous ways (stoning, crucifixion, beheading and now burning alive). A decade ago the atrocity that did it was carried out at a wedding (and two other locations) in Jordan by al Qaeda in Iraq (what ISIL grew out of). After that bit of mass murder (over 60 dead) opinion polls showed Arab support for al Qaeda plunging everywhere. This was critical because then, as now, many if not most Arabs believe Al Qaeda and ISIL are Western inventions, created as an excuse for the West to attack Islam. This seems absurd to most Westerners, except for those that work in the Middle East and have to live with that attitude up close all the time. Conspiracy theories like this are much more popular in the Arab world than in the West and are a major, but little discussed problem encountered while trying to eliminate Islamic terrorism. This time Jordan, as it did in 2005, got really, really angry and make a much more vigorous effort against ISIL (including executing the female suicide bomber ISIL wanted set free). This was the same pattern seen in 2005 and will have the same end result (another defeat for Islamic terrorism but not the elimination of the attitudes that keep it coming back.)

 

Iraqi leaders keep pressing the United States and the other nations supplying air support to do more in the fight against ISIL. The Iraqis are particularly upset at the disproportionate number of air strikes provided to the Kurds defending the Syrian town of Kobane and are not pleased when they are told the reasons why. The Kurds get more air support because they are better and more dependable soldiers (despite the fact that most of them are part-time militia). Most of the Kurds at Kobane have been trained, often by American soldiers over the last two decades and that training stuck. Some of the Kurds at Kobane are recent volunteers with a few days or weeks of training but they have the same attitudes. The Kurds will follow orders and their officers, who were also trained, usually by Americans, are dependable and, unlike their Iraqi Arab counterparts, not corrupt and prone to run away when things get rough. Because of the greater effectiveness and reliability of the Kurds the U.S. trusts them to look after American air control teams sent to work with them, or to provide accurate and reliable information to warplanes overhead when there are no air controllers available. Thus the Kurds provide more verifiable and justified targets for air strikes.

 

All this is in contrast to most Iraqi troops, and especially Iraqi officers. The Iraqi government now admits that corrupt officers and corruption in general was the cause of the Iraqi Army collapse in June 2014 that led to the loss of Mosul (and much of northern Iraq) to ISIL. The Iraqi leadership even admits now that cleaning out all the corrupt and inept officers is still underway and training new, more reliable officers, will take time. But too many of the Iraqi leaders still fail to understand that the sorry state of their officers is a very real and practical reason why Iraqi troops cannot get more air support. Moreover these same leaders will protest loudly is some of their inept officers are the reason why a smart bomb hits Iraqi soldiers or civilians. That sort of protest is expected and there is still a belief that the Americans have some kind of magical power they can unleash if pressured or persuaded enough.

 

ISIL was seemingly invincible and unstoppable in mid-2014. In July 2014 ISIL had recently taken control of Mosul (the largest city in northern Iraq) and was advancing on Baghdad, the Kurdish north and the capital of western Iraq (Anbar province).  Similar gains were being made in Syria. All that has changed in the last few months. ISIL still holds the cities of Raqqa (the largest city in eastern Syria) and Mosul in Iraq. But both cities are increasingly rebellious and require a growing number of ISIL gunmen to maintain control.  ISIL has become increasingly paranoid and vicious in their treatment of real or suspected “traitors.” Public executions are more common and these subjects of ISIL (including most Sunni Arabs) are not happy at all with ISIL rule. The paranoia even extends to ISIL leadership with the growing use of spies and informants to track daily activities of ISIL leaders and report any suspicious moves. This is driven by the growing fear that their enemies (especially anti-ISIL countries) have contacted some ISIL leaders (or other key people) and turned them into spies. This would account for the increasingly frequent air attacks against ISIL leaders and key facilities.

 

What is not imaginary is the fact that ISIL is in retreat in Iraq and Syria. Sunni tribes in Anbar and western Syria are in open revolt and subject to increasingly savage reprisals by ISIL gunmen (often foreigners, which makes the tribesmen angrier). Half the ISIL leadership has been killed by coalition (Arab, NATO and allied) warplanes since August 2014. This air support and Iraqi soldiers, Kurdish troops, Shia militias and armed Sunni tribesmen have taken back much of the territory ISIL overran in early 2014. American and other Western troops are rebuilding the Iraqi Army and arming anti-ISIL Sunni tribesmen. Iran is training and sometimes leading Shia militias. In Syria ISIL is getting beaten by Kurds, Syrian soldiers and more Iranian trained Shia militias.

 

February 11, 2015: Iran announced it would begin training Iraqi Army officers, a task the United States and NATO previously had a monopoly on.

 

February 9, 2015:  The United States is building a new base in the Kurdish north to house logistical, maintenance and other support activities for NATO troops and aircraft operating out of the Kurdish controlled north. This new base was not given any publicity but it was difficult not to note all the construction and the men working on the base knew what it was for.

 

February 8, 2015: The government has lifted the midnight to 5 AM curfew that has been in force in Baghdad since 2003.

 

The UAE (United Arab Emirates) resumed air attacks against ISIL after halting them until the United States increased its SAR (Search And Rescue) forces in the area (especially basing a unit in northern Iraq). The UAE saw the December 24th capture of a Jordanian pilot as largely due to insufficient SAR forces being available to rescue him. The American SAR units contain commando type rescue personnel and support specialists who can quickly direct combat aircraft to where the downed pilot is in order to keep hostile troops away. It is still unclear if a more vigorous SAR response would have prevented the capture of the Jordanian pilot, but the UAE believed it would and the U.S. had to respond to get UAE warplanes back in the air over Iraq and Syria.

 

February 7, 2015: Five ISIL bombs went off in Baghdad leaving 37 dead. This was apparently the ISIL response to government plans to life the curfew. Most of the bombing victims were Shia.

 

February 5, 2015: Jordanian media gave lots of coverage to a larger and more vigorous bombing campaign against ISIL targets in Syria and Iraq.

 

February 4, 2015: Jordan executed two Islamic terrorists who had been convicted and condemned to death. This was part of the response to ISIL murdering a captured Jordanian F-16 pilot. Jordan says it will execute more convicted and condemned Islamic terrorists (who were not killed because many Arabs still saw these killers as heroes).

 

February 3, 2015: ISIL released a video (via the Internet) of the killing of a captured Jordanian pilot by burning him alive. This killing apparently took place on January 3rd. The pilot was captured on December 24th after his F-16 crashed because of equipment failure. The pilot parachuted to the ground safely but he was in ISIL territory and was soon captured. Jordan immediately opened negotiations with ISIL to get the pilot back and it was believed that these talks would succeed. But ISIL leadership was under tremendous internal pressure to “strike back” against the nations that were killing so many (apparently thousands) of ISIL members with these air attacks. The pilot was beaten a lot and paraded around in the week after his capture but at least one unsuccessful commando raid to rescue him apparently persuaded ISIL to kill the pilot in a spectacular way and video the act. The video was not released right away because it appeared Jordan was willing to release some convicted Islamic terrorists that ISIL wanted in return for the now dead pilot. ISIL was unable to scam the Jordanians and thus released the burning alive video.

 

In Mosul ISIL blew up a historic al-Tahra church in the center of the city. There are several ancient (over 1,500 years old) Christian churches in Mosul that are apparently on a list of “un-Islamic” things to be destroyed. This includes taking all non-Arabic books from libraries and burning them. 

 

February 1, 2015: Japan vowed revenge against ISIL after the release of the video showing ISIL beheading the second of two Japanese ISIL held. ISIL had demanded $200 million ransom for the two men.

 

January 29, 2015: In the north the head of a Yazidi militia has called on Israel to provide weapons and training so the Yazidi and Israel can better fight their common enemy ISIL. Many Moslems, and some Christians, consider the Yazidi pagans and devil worshipers. The Yazidi are Kurds who practice a pre-Christian religion related to the pre-Islamic Zoroastrian religion common in Iran (and now only found in India). The Yazidis are considered pagans by ISIL and to Moslems pagans must either renounce their beliefs or die. Israel is always willing to work with persecuted religious minorities, who can often provide useful information and other services in return. This puts these minorities in more danger in the Middle East, but that has always been the case because Islam is one of the most violently intolerant religions on the planet and has been that way from the beginning. Israel has worked with the Kurds for decades, but keeps this cooperation quiet in order to placate the Arab Moslems (Kurds are mostly Sunni Moslem). Israel has also quietly sent aid to other persecuted minorities in Iraq. Some believe this is in memory of past help these minorities provided to get Jews out of Iraq (where their families had lived for thousands of years) in the 1940s and 50s. Whatever the case, if Israel arms the Yazidis they won’t issue press releases or leave any evidence that they did it.

 

January 26, 2015: The government announced that after months of hard fighting they had finally expelled all ISIL forces from Diyala province. Located north of Baghdad Diyala has long been home to a lot of Sunni Arabs, including many who supported Saddam Hussein and Islamic terrorism. But the locals there quickly became disenchanted with ISIL and aided the largely Shia soldiers and militiamen who came in to drive ISIL out.

 

January 24, 2015: Near Mosul an American UAV used missiles to kill several key ISIL personnel travelling together in a vehicle. One of the victims was the much-wanted Saddam era chemical weapons expert who had joined ISIL. The death of this man is expected to derail or delay ISIL efforts to build some chemical weapons.

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14 février 2015 6 14 /02 /février /2015 12:30
Armor: Israel Creates A Two-In-One

 

February 7, 2015: Strategy Page

 

The mid-2014 war in Gaza gave Israel the opportunity to aww how many new weapons performed under combat conditions. This included ammunition. Israel introduced its 120mm APAM-MP-T (M329) multi-mission tank shell in 2011 but was not able to test it in heavy combat until the mid-2014 50 Day War with Hamas. The M329 is an anti-personnel and anti-materiel (vehicles or structures) round that has a programmable fuze that allows for air bursts and detonation when close to a moving target (like helicopters). The M329 acts like a high explosive round when fired at buildings or bunkers. The tank gunner can select how the fuze will operate before firing a shell. Thus the M329 fuze can be set to penetrate a wall and then explode inside, or detonate in the air over troops in trenches.  This makes the M329 useful for destroying buildings or just killing or wounding enemy troops. Max range of the M329 is 5,000 meters and it is very accurate.

 

Israel developed the M329 because similar American multi-mission 120mm rounds had appeared earlier and Israel has used some of them in combat. Suggestions from Israeli troops led Israel to design their own multi-mission ammo like the M329. Multi-mission tank rounds began appearing in the 1990s and since then there have been several generations of such tank gun ammunition. Some of these American rounds proved very useful in Iraq and Israel a decade ago. These new shells were better at killing infantry, and destroying bunkers and buildings, rather than destroying tanks. With the end of the Cold War, there has not been a lot of tank-versus-tank combat, and existing anti-tank shells were more than adequate for that. But for post-Cold War combat new and improved shells would be useful.

 

Not surprisingly in the 1990s new shells were developed for these new conditions. In some cases older shells were recycled with new features. Thus 19,000 American M830A1 multipurpose 120mm tank gun rounds were modified to become M908 shells. This made them more lethal against bunkers, buildings and unarmored vehicles. In addition, there was the M1028, which is a 120mm shotgun shell (containing 1100 10mm tungsten balls, that can kill or wound at up to 700 meters from the tank), that began production in 2002. This shell, and the M908, were what American M-1 tanks use nearly all the time in Iraq.

 

Israel had pioneered both types of “irregular combat” tank ammunition and used their versions heavily in Palestinian areas after Israeli troops withdrew from Gaza and that are became a Islamic terrorists sanctuary. The M908 and M1028 shells make tanks much more useful in urban fighting. Hostile gunmen often take cover in buildings, or trees and crops. The M908 can knock down buildings, and the M1028 can clear out anyone sniping at you from lighter structures or vegetation. The M329 provides even more flexibility for when tanks are not fighting other tanks and replaces the capabilities of both the M908 and M1028. Now, like those two older designs, the M329 has plenty of combat experience to demonstrate what worked and how well.

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 12:55
Photo F. Robineau, Dassault Aviation

Photo F. Robineau, Dassault Aviation

 

12/02/2015 par La rédaction numérique de RTL

 

L'accord de vente de 24 Rafale à l'Égypte a été signé ce jeudi 12 février, mettant un terme à trois mois de négociations.

 

Selon les informations recueillies par RTL, les 24 avions Rafale vendus à l'Égypte par Dassault seront tous fabriqués en France. Cet accord a été signé ce jeudi 12 février. Le Monde précise que ses modalités doivent encore faire l'objet d'une double signature officielle du président égyptien, Abdel Fattah Al-Sissi et François Hollande ou son ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian. Celle-ci se fera le 16 février, au Caire. La vente des Rafale à l'Égypte représente l'aboutissement d'une négociation menée en trois mois. Les discussions avaient démarré lors de la venue du président égyptien à Paris. Ce dernier avait annoncé vouloir renforcer sa défense aérienne.

 

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 12:30
Rafale en Egypte : la revanche du mal-aimé

Photo F. Robineau, Dassault Aviation

 

12.02.2015 par Vincent Lamigeon - Supersonique


Ce n'est pas le Pérou, mais c'est déjà l'Egypte. Et c'est une sacrée nouvelle : lundi 16 février, le ministre de la défense Jean-Yves Le Drian signera officiellement le premier contrat export du Rafale, un accord à 5,2 milliards d'euros comprenant aussi, rappelons-le, une frégate multi-missions (FREMM) et des missiles MBDA et Sagem. Une malédiction rompue ? La fin d'une incongruité, plutôt. Si on le laisse de côté l'étrange acrimonie qu'a toujours provoqué cet avion chez nombre de commentateurs, rien ne justifiait l'absence éternelle de commandes export de l'avion de Dassault.

 

Les échecs ? Il étaient dûs à un subtil mélange de surpuissance diplomatique américaine (Corée du Sud, Singapour), d'impairs politiques dans le camp français (Maroc), d'une certaine tendance -disons les choses- à la suffisance chez les industriels sur certains marchés, et surtout à la taille limitée du marché des biréacteurs de combat, les prospects se limitant, entre les pays qui fabriquent ces machines et ceux qui n'ont pas les moyens d'en acheter, à une grosse dizaine. Même la Suisse et le Brésil, intéressés au départ par des bimoteurs, se sont rabattus sur un avion plus rustique, le Gripen suédois.

 

16 février 2015 : le Rafale se vend donc enfin à l'export. Cette fois, les conditions étaient réunies : un client, l'Egypte, qui a un besoin urgent d'avions de combat modernes pour combattre les djihadistes dans le Sinaï, et a clairement fait le pari d'équipements français pour ne pas dépendre de Washington ou Moscou ; une équipe de France des politiques et industriels, menée par Jean-Yves Le Drian, qui a su pousser dans la même direction ; une volonté implacable de l’État français de boucler le deal, avec le pari de garantir le contrat par la Coface à un niveau jamais vu auparavant. Et un produit mature, « combat proven », qui ne pouvait rester éternellement le « Rafale-qui-n'affiche-toujours-pas-la-moindre-commande-export ».

 

Car opérationnellement, l'appareil fait le job, et le fait très bien. Il l'a prouvé en Afghanistan, en Libye, au Mali, désormais en Irak. Il est l'un des seuls avions véritablement multirôles : renseignement, police du ciel, frappes au sol, et une capacité à être embarqué sur porte-avions que n'ont ni l'Eurofighter, ni le Gripen. Avec 14 points d'emport, il est d'une polyvalence quasi-unique sur le marché. Sa nouvelle configuration très lourdement armée en fait une machine de guerre redoutable, capable d'emporter 1,5 fois son poids : 6 missiles air-sol de précision AASM, 4 missiles air-air moyenne et longue portée MICA, 2 missiles Meteor très longue portée, le tout avec trois réservoirs de 2 000 litres de carburant. Son radar à antenne active RBE2 est un des meilleurs du monde, de même que sa panoplie d'armements (SCALP, Mica, AASM, Exocet, Meteor, bombes à guidage laser, canon de 30mm...)

 

Bien sûr, le prix n'est pas à la portée de toutes les bourses :142,3 millions d'euros pièce développement compris, et 101,1 millions d'euros l'unité au prix unitaire de production selon la Cour des Comptes en 2010. Mais c'est le lot de tous les chasseurs de cette gamme, comme le rival historique Eurofighter Typhoon. Même le monoréacteur américain F-35 (ou JSF), présenté comme low-cost lors de son lancement, est en train de rattraper allègrement le prix du chasseur français. Ce prix réserve le Rafale à un marché bien plus limité que celui des monoréacteurs comme le F-16 ou le Gripen. Le débat est toujours ouvert pour savoir si le maintien de la chaîne du Mirage 2000, malgré le manque de commandes du début des années 2000, n'aurait pas été un choix plus judicieux que sa fermeture.

 

Une chose est sûre : la commande égyptienne, pour réjouissante qu'elle soit, n'est que le début de l'histoire. Pour faire du Rafale un vrai succès à l'export, un objectif sensé serait de viser un nombre de commandes export au moins égal au nombre d'appareils prévus en France (probablement 225). C'est la performance qu'avait atteinte le Mirage 2000 en son temps, avec environ 300 commandes de chaque côté. Le défi semble jouable si les dernières anicroches avec l'Inde (126 appareils) sont résolues rapidement, et si le Qatar se décide à signer définitivement sa commande de 36 appareils. Des commandes en Malaisie et aux Emirats Arabes Unis permettraient de compléter ce scénario idéal. Qui, même si le contrat égyptien est à saluer comme il se doit, reste encore, à ce jour, théorique.

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 12:30
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

13 février 2015 Par Hassan Meddah - Usinenouvelle.com

 

L’Égypte va acquérir 24 exemplaire de l'avion de combat français Rafale. Une première vente historique à l’export qui permet de pérenniser la supply chain de Dassault Aviation et laisse espérer de nouveaux contrats plus significatifs, nécessaires à une montée en cadence.

 

La vente que tout le monde militaire tricolore attendait est enfin là. Le Rafale, l’avion que la France et Dassault Aviation n’avaient jamais réussi à vendre à l’export, a brisé la malédiction. "Les autorités égyptiennes viennent de me faire savoir ce jour leur intention d’acquérir 24 avions de combat Rafale", a précisé François Hollande le 12 février dans un communiqué des plus sobres. La république arabe va acheter 24 appareils mais également une frégate et des missiles air-air pour un montant estimé à plus de 5 milliards d’euros. Jean-Yves Le Drian et le président égyptien, le général Abdel Fattah al-Sissi, doivent parapher le contrat final lundi 16 février au Caire.

Pour la filière Rafale, ce contrat est un immense soulagement. Il assure la pérennité à court et moyen terme non seulement de la chaîne d’assemblage de Mérignac mais de l’ensemble de la supply chain du Rafale. Au total, ce sont plus 500 entreprises françaises et plus de 7000 emplois directs et indirects qui soufflent. En 2011, Gérard Longuet, alors ministre de la défense, évoquait un arrêt programmé de l'activité en cas d’absence de contrats à l’export.

"Dans l’immédiat, ce contrat, même s’il est relativement modeste, est une excellente nouvelle pour la filière Rafale. Il peut permettre de faire la transition avec de futurs contrats plus significatifs comme ceux attendus avec l’Inde et le Qatar", explique Philippe Plouvier, partner en charge du secteur aéronautique au sein du Boston Consulting Group. En sortant un exemplaire par mois, la chaîne Rafale tourne pour le moment à son minimum vital. Il n’est pas sûr que la commande des 24 appareils égyptiens assure un surcroît de charge industrielle, la France ayant décidé de réduire autant que possible son rythme de commandes.

 

Relancer l’embauche ?

 

Les syndicats se veulent optimistes : "Contrairement aux Indiens, les Égyptiens vont acheter leurs 24 appareils directement sortis de chaîne. La production devrait être totalement réalisée en France", se félicite Pierre Etchegoyen, élu syndical CGT basé à Biarritz (Pyrénées Atlantiques) où la production du Rafale représente près d’un quart de l’activité du site. "Seul un second contrat pourrait véritablement changer la donne sur le plan industriel et permettrait d’envisager des cadences plus élevées, estime pour sa part Jean-Baptiste Etcheto, de la CFDT Dassault Aviation. Nous pourrons y faire face assez facilement. Car même durant les années les plus dures comme en 2008, la société n’a jamais pratiqué de plan social. Nous avons su maintenir les compétences critiques et garder les postes stratégiques de techniciens et d’ingénieurs."

Certains estiment même que le groupe doit relancer l’embauche. "Nos effectifs de production sont passés de 2400 à 2000 personnes entre le début des années 2000 et aujourd’hui. Ce contrat est l’opportunité de recruter à nouveau. Nous pourrions passer d’une cadence d’1 à 1,5 avion par mois", explique Pierre Etchegoyen. C’est d’autant plus vrai qu’un Rafale, du fait de sa complexité, nécessite environ cinq fois plus de travail qu’un avion d’avion d’affaires de type Falcon.

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 11:21
Chammal : point de situation du 12 février

 

13/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Cette semaine, la force Chammal a réalisé 18 missions aériennes au-dessus du sol irakien. Deux d’entre elles ont abouti sur des frappes contre des objectifs de Daech, permettant la destruction d’un ensemble de ligne de défense fortifiées.

 

Le 8 février, une mission a été conduite par les avions de chasse dans le secteur de Mossoul, permettant notamment la destruction d’un poste de commandement et la neutralisation de combattants de Daech.

 

Plus tard dans la nuit, les avions français ont participé à un raid aérien au sud-ouest de Kirkourk aux environs de Tal Ward. La mission visait à détruire un ensemble de lignes de défense fortifiées de Daech. Les aéronefs de la force Chammal ont ainsi permis la destruction de tranchées faisant office de première ligne de défense de Daech, au moyen notamment de bombes AASM.

 

Depuis le lancement de l’opération Chammal, ce sont près de 370 missions aériennes qui ont été réalisées par l’ensemble des avions français engagés dans la mission. Parmi celles-ci, les actions de frappe ont permis la destruction d’environ 80 objectifs au sol, incluant bâtiments, véhicules, complexes logistiques ou neutralisation de combattants du groupe Daech.

 

A la demande du gouvernement irakien, les armées françaises se sont engagées courant janvier dans des actions ponctuelles de formation au profit des forces irakiennes. Deux détachements d’instruction opérationnelle (DIO), armés par des militaires spécialistes du génie, sont en cours de projection à Bagdad et Erbil afin de former les forces irakiennes (Peshmergas et Iraqi Counter Terrorism Service, ICTS) au domaine du « contre-IED » et du génie de combat.

 

En complément, la coalition prépare une mission de conseil et d’assistance des forces de sécurité irakiennes, la mission « Advise and Assist », à laquelle les forces françaises participeront à hauteur d’une vingtaine de mentors. Il s’agit d’une mission de conseil d’état-major, dont l’objectif est d’aider les forces irakiennes à planifier et conduire leurs propres opérations depuis les postes de commandement de niveau division / brigade. Ils seront chargés d’assurer la formation de l’état-major de la 6èmedivision irakienne (environ 5 000 hommes).

 

Tous ces DIO seront assurés par des militaires en provenance de différentes brigades interarmes.

 

Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de neuf avions Rafale, six avions Mirage 2000D, un ravitailleur C-135 FR et un avion de patrouille maritime Atlantique 2.

Chammal : point de situation du 12 févrierChammal : point de situation du 12 février
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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 08:35
Bird-Eye 400 photo IAI

Bird-Eye 400 photo IAI

 

Feb 11, 2015 Defence-Update

 

The agreement covers local production of IAI's Bird-Eye 400 and Bird-Eye 650 mini UAS as well as other mini-unmanned aerial systems

 

Israel Aerospace Industries (IAI) and India’s Alpha Design Technologies have signed a teaming agreement for the production and marketing of mini-Unmanned Aerial Systems (UAS) in India to accommodate the operational needs of Indian customers. Potential customers in India include security agencies and all defense organizations including police forces, coastguard and Border Security Forces (BSF).

 

According to Shaul Shahar, IAI VP and General Manager of the Military Aircraft Group, the agreement with Alpha follows India’s policy for ‘Buy and make India’. “The important vision of ‘Make in India’ is being made fully effective by this joint effort. Alpha will meet the huge market in India and will examine further, later exports by Alpha, through IAI to various countries”. Col. H. S. Shankar, Chairman & Managing Director, Alpha Design Technologies Private Limited, added.

 

The agreement covers local production of IAI’s Bird-Eye 400 and Bird-Eye 650 mini UAS as well as other mini-unmanned aerial systems. Production of the systems will take place in India, while the marketing will be a joint effort of the two companies. Alpha Alpha will also provide integration of the systems in India, with IAI’s support.

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 08:30
Volvo Group Government Sales (VGGS) at IDEX 2015


11.02.2015 Defesa Global
 

Volvo Group Government Sales (VGGS), through its operations Renault Trucks Defense, ACMAT Defense, Pangard Defense, Volvo Defense and Mack Defense), will display several vehicles at IDEX 2015 exhibition and conference event to be held in Abu Dhabi, UAE 22-26 February.

 

The display will comprise Renault Trucks Defense VAB MK III 6×6 infantry fighting vehicle; ACMAT Defense Bastion PATSAS HM 4×4 special forces vehicle; Panhard Defense VBL Mk II 4×4 reconnaissance vehicle; ACMAT Defense Dagger APC (also known as PVP) command and liaison vehicle; Renault Trucks Defense Sherpa APC XL: 4×4 armored fighting vehicle; Renault Trucks Defense Higuard Police 6×6 medium armored fighting vehicle; Mack Defense Hawkeye Sherpa Carrier 4×4 vehicle with a Mandus Group Hawkeye 105mm mobile mortar system; and Volvo Defense FMX truck.

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 08:30
L’Iran dévoile le Saeghe 2

L’Iran a dévoilé son chasseur de deuxième génération Saeghe (Thunderbolt) construit localement (source : Mehr News Agency).

 

10 février 2015 par Edouard Maire – Info Aviation

 

Le ministère de la Défense et l’agence logistique des forces armées ont dévoilé le Saeghe-2 le 9 février lors de sa livraison à la Force aérienne de la République islamique d’Iran (IRIAF).

 

Alors que le Saeghe initial était basé sur le chasseur monoplace Northrop F-5E Tiger II, le Saeghe-2 s’inspire plutôt de la version biplace F-5F.

Physiquement, le Saeghe-2 porte un empennage double comme le Saeghe 1, même s’il est impossible de savoir quelles améliorations internes ont été faites.

L’IRIAF possède en tout 17 avions de combat F-5F dans son inventaire susceptibles d’être modifiés en configuration Saeghe-2.

 

Une industrie aéronautique en mouvement

 

L’Iran est dans l’incapacité d’acquérir des avions de combat modernes en raison de l’embargo sur les armes qui lui est imposé depuis la chute du Shah en 1979. La République islamique est donc contrainte de recourir à d’autres moyens pour maintenir non seulement sa flotte existante (largement composée d’avions américains), mais aussi de développer de « nouveaux » modèles tels que le Saeghe.

Au cours des dernières années, les dirigeants iraniens ont annoncé le développement d’un certain nombre de plateformes aériennes nationales, notamment des chasseurs, des avions de patrouille maritime, et des hélicoptères d’attaque.

L’Iran a aussi développé des drones militaires comme l’Epopée et le Yasir en 2013, et plus récemment une copie du RQ-170 américain qui avait été récupéré un an auparavant.

Du côté des avions de combat, l’IRIAF a développé le Simorgh (essentiellement un F-5A modifié en biplace F-5B) qui aurait été fabriqué selon certaines sources à environ 13 exemplaires, et le chasseur « furtif » Qaher F-313 dont la dimension du cockpit laisse sceptique.

L’aérospatiale iranienne a également beaucoup progressé avec l’inauguration d’un centre spatial en 2013 (probablement avec l’aide russe et chinoise) qui permet au pays de rester en lice parmi les puissances du Moyen-Orient.

 

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 08:30
How Iraqi Hezbollah Acquired an American M1A1 tanks?


28.01.2015 defense-update.com
 

A video recently aired on YouTube shows an alarming situation happening in Iraq, where heavy equipment delivered by the U.S. To the Iraqi Army reaches extremist groups in the country – some are jihadists fighting against the government (ISIS and its supporters) and others are Iranian backed extremist groups presently supporting the Iraqi Forces.

 

The convo shown in this video shows a long group of vehicles, comprising mainly pickup trucks, but also various vehicles provided by the USA to the Iraqi Forces, including M1A1 main battle tanks, transported on standard US Army Heavy Equipment Transporter (HET), M113 Armored Personnel Carriers and M151, military trucks hacked with rocket launchers to become mobile rocket launchers. Unlike tanks shown by ISIS, that were damaged in battle, this equipment seems intact, and may have been taken by the Hezbollah from Iraqi storage of abandoned by military units.

According to The Long War Journal, Kata’ib Hezbollah, receives funding, training, logistics, guidance, and material support from the Iranian Qods Force, the external operations wing of the Iranian Revolutionary Guard Corps. The radical militia has joined the fight against the Islamic State in Iraq. In addition, other Iranian-supported Shia militias, such as Asaib al Haq, Badr Organization, and Muqtada al Sadr’s Promised Day Brigades have played a prominent role on the battlefield.

Despite this, the group was unofficially assisted by US airstrikes when Iraqi and Kurdish forces broke the siege of Amerli in Salahaddin province, although, according to US announcements, the call for fires were at “the request of the Government of Iraq” and “in support of an operation to deliver humanitarian assistance to address the humanitarian crisis and protect the civilians trapped in Amerli.

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 07:55
Hollande a confirmé l'achat de 24 Rafale par l'Egypte

 

12/02/2015 Par lefigaro.fr, AFP

 

L‘Egypte est sur le point d'acquérir 24 avions de combat Rafale et une frégate multi-missions, a annoncé le chef de l'Etat dans un communiqué ce jeudi. La signature du contrat aura lieu le 16 février.

 

Le président de la République a confirmé ce jeudi la prochaine vente de24 avions de combat Rafale et une frégate multi-missions du constructeur Dassault Aviation* à l'Egypte. «Les autorités égyptiennes viennent de me faire savoir ce jour leur intention d'acquérir 24 avions de combat Rafale et une frégate multi-missions ainsi que les équipements associés. Ces équipements permettront à l'Egypte d'accroître sa sécurité et de jouer tout son rôle au service de la stabilité régionale», a annoncé François Hollande dans un communiqué publié jeudi soir. Le président de la République précise que la signature du contrat, d'une valeur évaluée à 5 milliards d'euros selon l'AFP, aura lieu le 16 février prochain au Caire. C'est le ministre de la Défense, Jean-Yves le Drian, qui signera le contrat au nom de la France.

Le PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier, a remercié jeudi soir l'Egypte de sa «confiance». «Je remercie les plus hautes autorités égyptiennes pour ce partenariat stratégique et historique. Dassault Aviation sera au rendez-vous de la confiance qu'elles viennent une nouvelle fois de nous témoigner», a-t-il déclaré. Le PDG a rappelé que la coopération du groupe avec l'Egypte «remonte aux années 70», a-t-il rappelé. Il a également remercié «les autorités françaises, qui sont à l'origine du programme Rafale et qui lui ont apporté le soutien politique sans lequel il ne peut y avoir d'exportation militaire».

 

Un avion de chasse multirôles

 

Sorti d'usine en 1998, le Rafale est un fleuron de l'aéronautique militaire française. Il s'agit d'un avion de chasse multirôle, déjà éprouvé au combat et actuellement engagé dans des opérations en Irak et contre l'organisation Etat islamique (EI). Il n'avait cependant encore jamais été acheté à l'étranger. L'armée française en a commandé 180 exemplaires, dont 137 ont été livrés à ce jour. Et elle doit prendre livraison de 26 appareils supplémentaires aux termes de la loi de programmation militaire (LPM) couvrant la période 2014-2019. Mais Dassault Aviation doit assurer une cadence minimale de production de 11 appareils par an, ce qui rend cruciale la vente de l'avion de combat à l'étranger, en sus des commandes françaises.

«Le fait d'avoir une vente à l'export est important car cela ouvrira la porte à d'autres ventes» à l'étranger, explique par ailleurs à l'AFP Philippe Plouvier, du cabinet de conseil en stratégie Boston Consulting Group. Dans une interview récente au Figaro, Eric Trappier précisait que le groupe «mène un travail de fond avec l'Inde dans un dossier très complexe en termes de montage industriel. Et nous avons des campagnes Rafale plus lointaines, y compris en Europe».

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