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21 novembre 2014 5 21 /11 /novembre /2014 07:30
La France intensifie son action contre Daesh

 

19.11.2014 JDD

 

Paris renforce son dispositif contre l'organisation de l'Etat islamique. Elle va déployer six Mirage, en Jordanie, en plus des neuf Rafale déjà basés aux Emirats arabes unis, a annoncé mercredi le ministre de la Défense.

Le déploiement de ces six nouveaux avions de combat pour lutter contre les djihadistes en Irak devrait se faire d'ici le mois de décembre, précise une source militaire. "Les forces françaises aériennes vont être renforcées (..) par six Mirage qui vont être placés en Jordanie pour compléter notre action", a déclaré Jean-Yves Le Drian à l'Assemblée nationale. Ce pays voisin de l'Irak va faciliter les interventions sur ce théâtre, où la France mène des missions d'appui aérien à l'armée nationale et aux peshmergas kurdes.

"Les succès (sur le terrain face au groupe terroriste, ndlr.) ne sont rendus possibles que parce qu'il y a un appui aérien de la coalition et dans la coalition la France joue un premier rôle", a ajouté le ministre. Deux Rafale français ont ainsi ciblé, dans la nuit de mardi à mercredi, un ensemble de tranchées utilisées par les combattants de l'Etat islamique pour tenir le siège de Kirkouk, dans le cadre d'un raid de grande ampleur de la coalition, a précisé le ministre.

 

Le détail du dispositif. L'opération française Chammal lancée le 19 septembre s'appuyait jusqu'à présent sur neuf Rafale, déployés sur la base française d'Al Dhafra aux Emirats, soit deux à trois fois plus loin de l'Irak que la Jordanie. Un avion de ravitaillement C135, un avion de patrouille maritime Atlantique 2 complètent ce dispositif aux Emirats, de même qu'une frégate antiaérienne, le Jean Bart, dans le Golfe. "Nous formons par ailleurs les peshmergas et les forces irakiennes au maniement des armes que nous leur livrons", a rappelé Jean-Yves Le Drian. "La France assume ses responsabilités internationales pour sa sécurité", a-t-il conclu.

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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 17:30
Chammal : nouveau raid aérien de la coalition contre Daesh (19 Nov.)

 

19/11/2014 Sources : État-major des armées

 

Dans la nuit du 18 au 19 novembre 2014, la force Chammal a contribué à un raid aérien effectué contre des positions de retranchement de l’organisation terroriste Daech, au sud de Mossoul, dans la région de Kirkouk, en Irak.

 

Le renseignement collecté par la coalition depuis le début de l’opération a permis de planifier une mission de bombardement contre un site défensif de l’organisation terroriste.

 

Aux environs de 4h30 ce matin, heure de Paris, les deux Rafale français, armés chacun de quatre bombes AASM, ont ciblé un ensemble de tranchées utilisées par Daech pour tenir le siège de Kirkouk. Cette action a été complétée par des frappes simultanées de nos alliés, permettant de créer une brèche dans le système défensif des terroristes au niveau de la ligne de front entre les forces irakiennes et les combattants du groupe autoproclamé Daech.

 

C’est dans cette même zone que les avions français avaient appuyé les troupes irakiennes par des frappes d’opportunité réalisées le 14 novembre.

 

Les militaires de la force Chammal poursuivent quotidiennement leurs missions de reconnaissance armée et de renseignement, afin d'appuyer l’action des forces armées irakiennes au sol.

 

Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Depuis le 5 octobre, suite au renforcement du dispositif, les forces françaises s’appuient sur neuf avions Rafale, un avion de ravitaillement C135, et un avion de patrouille maritime Atlantique 2. En entrant dans le golfe arabo-persique (GAP), la frégate anti-aérienne Jean Bart participe, en coordination avec nos alliés, au contrôle aérien de l’ensemble des moyens présents sur zone.

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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 12:30
La FLF Guépratte en exercice avec la marine libanaise

 

20 Novembre 2014 Sources : État-major des armées

 

Le 12 novembre 2014, alors en patrouille en Méditerranée orientale, le Guépratte a eu l’opportunité de conduire divers exercices avec la marine libanaise, représentée pour l’occasion par deux patrouilleurs hauturiers et deux embarcations semi-rigides lourdes déployant une équipe de visite.

 

Un exercice d’assistance sécurité avec envoi de pompiers lourds et de matériel à bord du P44 Trablos, suivi d’exercices de visite de navire effectués successivement à bord du Guépratte puis du P43 Kalamoon. Ces exercices ont permis de mesurer, par delà les liens historiques et naturels entre nos deux pays, la proximité professionnelle entre nos deux marines.

 

La FLF Guépratte en exercice avec la marine libanaise

Simultanément, son excellence monsieur Patrice Paoli, ambassadeur de France au Liban, accompagné d’une délégation comprenant notamment l’amiral Jbeili, commandant en chef de la marine libanaise, ont rallié le bord par l’hélicoptère Panther du Guépratte pour une visite suivie d’une présentation des moyens et missions de la frégate, notamment illustrée par les exercices en cours. Le commandant a ensuite reçu ses hôtes pour un déjeuner officiel.

 

Cette journée très riche a sans nul doute permis de montrer une large gamme des capacités opérationnelles du bateau, représentative d’une partie des savoir-faire de la Marine nationale, et d’entretenir la confiance mutuelle et la coopération bilatérale entre nos deux pays. Cette démarche revêt un caractère particulièrement important dans le contexte actuel, de renforcement des capacités des forces armées libanaises, soutenu par la France. Il s’agit en effet de leur donner les moyens de lutter plus efficacement contre les menaces de toute forme qui pèsent sur la sécurité intérieure du Liban.

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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 11:30
Chammal : le Jean Bart assure la fonction horizon reference unit ou HRU

 

18 Novembre 2014 Sources : État-major des armées

 

En plus des fonctions de chef de la défense aérienne de la Task force 50, la frégate Jean Bart, intégrée au sein du groupe aéronaval américain « carrier strike group 1 », se voit régulièrement attribuer les fonctions de horizon reference unit (HRU).

 

Ainsi, après la tombée de la nuit, peu avant le retour des avions partis en missions, le Jean Bart vient « chasser » un poste situé à 3000 m à l’arrière du porte-avions.

 

À cette fin, la frégate doit manœuvrer le plus finement possible pour se positionner précisément derrière l’USS Carl Vinson, dans l’axe de la piste et servir de référence aux pilotes de chasse ainsi qu’aux officiers d’appontage du porte-avions.

 

L’appontage est une manœuvre particulièrement délicate et, de ce fait, les officiers d’appontage ont besoin d’une HRU pour se donner un horizon de référence et guider avec dextérité les aéronefs sur le pont en toute sécurité.

 

Complexe, cette fonction de HRU nécessite de manœuvrer à vitesse élevée à faible distance du porte-avions ; elle requiert également de l’anticipation et toute l’attention des équipes de navigation. Une coordination sans faille est donc nécessaire entre le porte-avions et l’escorteur.

 

Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Depuis le 5 octobre, suite au renforcement du dispositif, les forces françaises s’appuient sur neuf avions Rafale, un avion de ravitaillement C135 et un avion de patrouille maritime Atlantique 2. La frégate anti-aérienne Jean Bart participe, en coordination avec nos alliés, au contrôle aérien de l’ensemble des moyens présents sur zone.

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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 11:30
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

18/11/2014 Sources : État-major des armées

 

Alors qu’il est rentré en France le 15 novembre, un E-3F AWACS de l’armée de l’Air a participé durant trois semaines au dispositif aérien de la coalition internationale engagée en Irak. L’équipage intégré à la force Chammal a effectué son premier vol opérationnel le 27 octobre. Au cours de ses missions, d’une durée moyenne de 9 heures au-dessus de l’Irak, l’E-3F AWACS a assuré la fonction C2 (command and control) des aéronefs de la coalition, en collaboration avec ses homologues des pays alliés.

 

Placé sous le contrôle opérationnel du général américain à la tête d’AFCENT, appuyé par l’amiral commandant la zone de l’océan Indien, l’E-3F français s’est intégré sans difficulté dans le dispositif aérien mis en place pour lutter contre Daech.

La mission principale de l’E-3F AWACS consistait à assurer le commandement et la conduite de l’ensemble des aéronefs de la coalition évoluant sur le théâtre. Parfaitement interopérable, il reliait ainsi les moyens aériens au centre de commandement d’Al Udeid au Qatar, permettant de réagir en quelques minutes en appui des forces armées irakiennes.

 

L’équipage de l’E-3F AWACS déployé se constituait :

  • Pour l’exécution de la mission :
  • 1 chef de mission
  • 4 personnels assurant le contrôle des moyens aériens
  • 1 officier responsable des capteurs gérant 3 opérateurs pour l’établissement de la situation aérienne
  • 2 opérateurs de guerre électronique
  • 3 techniciens (radar, radio et calculateur) appuyés par 1 opérateur de communication
  • Pour la mise en œuvre de l’aéronef :
  • 2 pilotes
  • 1 navigateur
  • 1 mécanicien
  • Pour la maintenance :
  • une équipe de plusieurs mécaniciens

 

L’E-3F AWACS a effectué 9 missions au cours de son détachement sur l’opération Chammal.

 

Les militaires de la force Chammal poursuivent quotidiennement leurs missions de reconnaissance armée et de renseignement, afin d'appuyer l’action des forces armées irakiennes au sol.

 

Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech.

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19 novembre 2014 3 19 /11 /novembre /2014 06:30
Chammal : Premier bilan de l’intégration du Jean Bart à la TF 50

 

18/11/2014 Sources : État-major des armées

 

Après deux semaines passées au sein de la Task Force50, le commandant de la frégate antiaérienne Jean Bart, accompagné du commandant adjoint opérations, s'est rendu sur le porte-avions USS Carl Vinson afin de partager avec l'état major du Carrier Strike Group 1 (CSG 1) les premiers enseignements de cette période d’intégration.

 

Fort de son expérience récente dans le golfe arabo-persique, le Jean Bart s’est rapidement montré au niveau attendu pour assumer pleinement toutes les fonctions d'un escorteur de la TF 50au même titre que les autres bâtiments américains.

 

L’amiral Grady, commandant la TF 50, a été marqué en particulier par la capacité du Jean Bart à compléter l’image tactique de la force en reportant un certain nombre de « primo détections », notamment au-dessus du territoire irakien, grâce à ses senseurs performants.

 

Cette visite à bord du porte-avions a été l’occasion également de visualiser in situ les outils dont dispose l'état major pour planifier et conduire les opérations sur le théâtre du Levant.

 

Ce premier bilan positif souligne la capacité du Jean Bart à travailler en souplesse au profit du CSG 1. Le Jean Bart assure maintenant, comme les autres escorteurs américains, les fonctions de :

    Sector air defence commander (SADC) : contrôle d’une zone de défense aérienne au profit du CAOC (centre inter-alliés des opérations aériennes) situé au Qatar ;

    Air missile defence commander (AMDC) : défense aérienne du porte avions américain.

 

En outre, le Panther, hélicoptère embarqué sur le Jean Bart, contribue, aux côtés des MH-60 américains, à assurer la permanence des missions de surveillance maritime de la zone sanctuaire autour du porte-avions. Enfin, l'interopérabilité des moyens français s'exprime également dans le soutien de l'homme amené par l’aumônier du Jean Bart, qui, temporairement seul prêtre catholique de la TF 50, a été envoyé sur trois bâtiments américains pour y célébrer la messe.

 

Soutien indéniable au dispositif de la coalition, le Jean Bart apporte une plus grande flexibilité à la TF 50.

 

Par sa présence au sein d’un CSG américain, le Jean Bart manifeste la volonté de la France à jouer un rôle de premier plan dans cette zone, notamment en vue de l’intégration éventuelle d’autres unités française aux côtés des américains, en soutien au gouvernement irakien.

 

Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Depuis le 5 octobre, suite au renforcement du dispositif, les forces françaises s’appuient sur neuf avions Rafale, un avion de ravitaillement C135 et un avion de patrouille maritime Atlantique 2.

Chammal : Premier bilan de l’intégration du Jean Bart à la TF 50
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18 novembre 2014 2 18 /11 /novembre /2014 08:30
En Irak, l'armée avance face à Daesh

 

le 17/11/2014 Par Georges Malbrunot – LeFigaro.fr

 

En une semaine, les forces de sécurité ont fait reculer les djihadistes de l'EI dans trois secteurs du « pays sunnite ». Un succès possible grâce à un appui américain et aux milices chiites, allié encombrant pour Washington.

 

L'armée n'a pas encore repris la raffinerie stratégique de Baiji, mais, depuis samedi, elle a brisé le siège de cette vaste emprise convoitée par les djihadistes depuis le début de leur offensive en juin pour conquérir «le pays sunnite» d'Irak. Même si tout au long du siège de Baiji, à 200 km au nord de Bagdad, Daech (acronyme de l'État islamique, en arabe) a pris soin de ne pas détruire la poule aux œufs d'or que représente ce lieu de production de 300.000 barils de pétrole par jour, il s'agit d'un indéniable succès pour les forces de sécurité. Surtout après leur débâcle qui avait vu quatre des treize divisions de l'armée se débander devant des djihadistes qui mirent la main sur de vastes territoires du nord et de l'ouest de l'Irak.

 

Suite de l'article

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18 novembre 2014 2 18 /11 /novembre /2014 08:30
Areas under IS control 17 nov. 2014 - source BBC

Areas under IS control 17 nov. 2014 - source BBC

 

MOSCOU, 17 novembre - RIA Novosti

 

Le groupe terroriste Etat islamique (EI) compte dans ses rangs près de 200.000 combattants, affirme Fouad Hussein, porte-parole des peshmergas kurdes qui luttent contre les djihadistes en Irak et en Syrie.

 

D'après le porte-parole cité par le journal britannique Independent, le fait que l'EI mène des offensives sur plusieurs fronts en Irak comme en Syrie témoigne du fait que ses effectifs s'élèvent à 200.000 hommes au moins, ce qui est de 6 à 7 fois supérieur aux évaluations de la CIA.

 

"L'EI fait la guerre à Kobané, en Syrie. Le mois dernier, ils ont attaqué des cibles situés dans sept régions du Kurdistan. Il est impossible d'estimer leurs effectifs à 20.000 personnes", a indiqué M.Hussein.

 

Selon les peshmergas, les extrémistes de l'Etat islamique contrôlent à l'heure actuelle un tiers des territoires irakiens et syriens, sur une superficie totale d'environ 250.000 kilomètres carrés, ce qui est comparable à celle du Royaume-Uni.

 

Le groupe sunnite terroriste Etat islamique a gagné en puissance lors de ses opérations en Syrie, où il combat les troupes gouvernementales. Il y a quelques mois, cette organisation a intensifié ses activités en Irak. Fin juillet, l'EI a proclamé un "califat islamique" sur les territoires irakiens et syriens tombés sous son contrôle.

 

Depuis le 8 août, l'aviation américaine effectue des frappes contre les positions des djihadistes en Irak. Le 23 septembre, les Etats-Unis ont commencé à bombarder les positions de l'EI en Syrie.

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18 novembre 2014 2 18 /11 /novembre /2014 08:30
King Abdullah in a meeting with US Secretary of State John Kerry, 5 January 2014. photo US DoS

King Abdullah in a meeting with US Secretary of State John Kerry, 5 January 2014. photo US DoS

 

14 November 2014 By Frank Gardner BBC security correspondent

 

The leadership of Islamic State (IS) has no intention of standing still.

 

In a 17-minute audio message, purportedly from its elusive leader Abu Bakr al-Baghdadi, the group sets its sights firmly on Saudi Arabia, birthplace of Islam and the world's largest oil producer and exporter.

 

The speaker does not refer to it as Saudi Arabia, since this is a name derived from the ruling tribe, the al-Saud, whose authority IS does not accept.

 

Instead he calls it "the land of Haramayn", the land of the two holy places, meaning Mecca and Medina.

 

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 17:30
Israeli C-130Js stretch legs for air force

 

Nov. 17, 2014 by Arie Egozi - FG

 

Tel Aviv - The Israeli air force is adding the newly introduced Lockheed Martin C-130J to its long-range operational capabilities, having recently performed a proving flight that helped to develop its tactics for using the"Samson". During the long-range flight, the air force conducted a sortie over the skies of Greece, Romania and Bulgaria.

 

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 13:30
Air strikes in Iraq (updated: 17 Nov. 2014)

 

Last updated: 17 November 2014 , Ministry of Defence

 

British forces have continued to conduct air operations to assist the Iraqi government in its fight against ISIL.

 

Royal Air Force (RAF) Tornados and Reapers, operating as part of the international coalition in support of the Iraqi Government, have conducted further strikes against ISIL.

 

On Thursday evening, Kurdish peshmerga reported coming under fire from a dug-in machine-gun position. An RAF Reaper remotely piloted air system succeeded in locating the ISIL position, and attacked it with a Hellfire missile. The crew operating the Reaper then identified further ISIL positions, allowing another coalition aircraft to conduct an attack.

 

Before the end of its patrol, the Reaper crew used another Hellfire to engage an ISIL checkpoint set up to control a road.

 

Elsewhere in Iraq, another Reaper, investigating reported ISIL activity in response to advancing Iraqi forces, identified terrorists boarding a truck. Despite the vehicle moving off at high speed, the Reaper crew were able to hit it with a Hellfire.

 

And on Saturday night, Tornado GR4s conducted an armed reconnaissance patrol over western and northern Iraq, supported by a Voyager refuelling tanker. In the western desert, they were tasked to strike an ISIL communications vehicle, which coalition forces had previously identified. A single Brimstone missile was used to conduct an attack.

 

Later in the patrol, the Tornados were called north to the Mosul area to support Kurdish peshmerga who were under fire from ISIL heavy weapons. Paveway precision guided bombs were used to hit a mortar and firing positions, as well as a bulldozer which the terrorists were using to construct defences against the peshmerga’s advance.

 

In northern Iraq, a British army team continues to provide training to the peshmerga as part of a wider programme of training and assistance provided by the international community to both the Iraqi and Kurdish armed forces.

 

RAF transport aircraft provide logistic support, having delivered numerous deliveries of humanitarian aid and military equipment from both the UK and on behalf of other Coalition partners.

 

13 November - last night a RAF Reaper RPAS was involved in a coalition air strike in the Kirkuk region. The Reaper had been tasked to conduct reconnaissance in an area where Iraqi forces had encountered ISIL fighters. The operators were able to use the Reaper’s advanced systems to identify a number of ISIL positions, enabling another coalition aircraft to attack a command post, bunker, observation post and 2 armed pick-up trucks. They then identified a further 3 positions, and, having carefully checked the area, conducted attacks using the Reaper’s own Hellfire missiles. Initial analysis indicates that the attacks were successful. Other RAF aircraft also continue to fly missions over Iraq, including Tornado GR4s in the armed reconnaissance role, and surveillance, tanker and transport aircraft. A British Army team remains in Erbil, providing training assistance requested by the Kurdish peshmerga.

 

10 November - saw the first air strike by a RAF Reaper RPAS. A series of coalition missions were conducted near Bayji, north of Baghdad, where ISIL terrorists were laying improvised explosive devices. The Reaper, using procedures identical to those of manned aircraft, successfully attacked the terrorists using a Hellfire missile. In addition, 2 RAF Tornado GR4s used a Brimstone missile to successfully destroy a shipping container used by the terrorists to store equipment near Al Anbar, west of Baghdad.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 12:30
RAF Tornado strike against an ISIL vehicle


17 nov. 2014 Defence HQ

 

Tornado GR4s conducted an armed reconnaissance patrol over western and northern Iraq this weekend. In the western desert, they were tasked to strike an ISIL communications vehicle, which Coalition forces had previously identified. A single Brimstone missile was used to conduct an attack.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 12:30
Chammal : Mission de ravitaillement en vol par un avion ravitailleur C-135 FR

 

17 nov. 2014  Ministère de la Défense

 

Opération Chammal - Novembre 2014 - Mission de ravitaillement en vol par un avion ravitailleur C-135 FR au profit d'un chasseur F-16 belge et d'un avion de détection et de contrôle aéroporté français (E3-F) dans le ciel irakien

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:30
Une révolution arabe dans les affaires militaires

 

11.06.2014 par Michel Goya – la Voie de l’Epée

 

A la fin de 2006, la position américaine en Irak est critique. La plupart des Alliés de la coalition se replient et la tentation politique est forte aux Etats-Unis de faire de même. Les Américains sont finalement sauvés par les erreurs de l’Etat islamique en Irak (EEI) qui, par son intransigeance et sa brutalité, a provoqué l’hostilité des organisations nationalistes et des tribus sunnites. Les Américains innovent en acceptant une alliance avec ces anciens ennemis regroupés dans le mouvement du Sahwa (Réveil). Ils déploient ensuite des moyens considérables (dix brigades dans la seule région de Bagdad) qui s’associent à l’armée irakienne et aux miliciens du Sahwa pour reprendre le contrôle des rues de Bagdad. Cette armée des rues est alors bien loin des Joint Vision 2010 et 2020, toutes de haute-technologie, développés à la fin des années 1990. Il faut quand même dix mois d’effort et encore 600 morts pour chasser l’EII de Bagdad et en faire une organisation résiduelle, mais toujours présente, dans les franges nord de l’Irak arabe.

 

Cette campagne est la dernière menée de cette manière par les forces américaines. Face à l’armée du Mahdi, qui tient encore solidement l’immense quartier chiite de Sadr-City (deux millions d’habitants dans un rectangle de 5 km sur 7) au nord de Bagdad le mode d’action utilisé est l’inverse de celui qui a été utilisé contre l’EEI. Perfectionnant les méthodes déjà utilisées en 2004 à Nadjaf contre les mêmes Mahdistes, il ne s’agit pas d’un étouffement par un quadrillage étroit mais d’un combat d’usure mené par des feux précis à distance et cherchant à influencer les décisions du leader adverse, avec qui, contrairement à l’EII, il est possible de négocier. Les Américains rejoignent ainsi la nouvelle approche israélienne. A partir de la fin mars 2008, Sadr-City est bouclé par un mur et les combattants chiites y sont traqués pendant plusieurs semaines par un puissant complexe « reconnaissance-frappes ». Le 12 mai, Moqtada al-Sadr, le leader mahdiste, déclare le quartier ouvert à l’armée irakienne et se réfugie en Iran. L’armée du Mahdi a perdu plus d’un millier de combattants, pour 22 Américains et 17 irakiens, mais, même en sommeil, elle existe toujours et continue à jouer un rôle politique important.

 

Ces victoires tactiques et le retournement d’alliance de l’ennemi irakien sunnite, le plus difficile de tous, donnent suffisamment de marges de manœuvre politiques pour négocier un repli honorable en 2010. La victoire militaire a été acquise au bout de cinq ans, par défaut au prix de pertes (4 500 morts et 32 000 blessés graves) plusieurs fois supérieures au cumul de tout ce que l’armée professionnelle américaine a pu connaître depuis 1970. Les groupes sunnites de guérilla ou l’armée, chiite, du Mahdi, plus proche du modèle du Hezbollah ont été bien plus efficaces que les armées régulières dans la manière de réduire ou d’éviter la « « supériorité informationnelle » américain et donc aussi sa puissance de feu.

 

Le corps expéditionnaire américain a été contraint de se transformer en force de contre-guérilla où le fantassin s'est révélé le système d’arme le plus performant. Comme après la guerre du Vietnam, l’effort américain, y compris financier, a cependant été tel qu’il dissuade cependant de recommencer l’expérience de la guerre au milieu des populations arabes. La présence militaire américaine reste malgré tout très forte dans les monarchies du Golfe mais elle s’exprime de manière indirecte à leur profit, comme au Yémen, mais pas en Irak.

 

La méthode de l’action à distance est reprise par les Israéliens à la fin de 2008  avec l’opération Plomb durci contre le Hamas à Gaza. Pendant 22 jours, le territoire ceinturé de Gaza est frappé par des milliers de raids aériens et de tirs d’artillerie, puis traversé de quelques raids blindés, tandis que le Hamas tente de frapper, également à distance, la population civile israélienne. Comme à Sadr-City, le résultat tactique est atteint, le Hamas est affaibli et cesse ses tirs de roquettes, par ailleurs de plus en plus inefficaces face au système de défense israélien. Les pertes sont limitées à dix morts israéliens contre 50 à 80 fois plus pour l’ennemi mais comme en Irak il n’y a là rien de décisif. L’ennemi est toujours présent et peut même, par sa simple survie face à une grande puissance militaire, proclamer aussi la victoire. Les Israéliens réitèrent avec l’opération Pilier de défense en 2012 avec des résultats similaires quoique de moindre échelle.

 

En mars 2011, en Libye, une nouvelle Coalition occidentale renoue avec la guerre interétatique, non pas sur le modèle des guerres contre Saddam Hussein mais plutôt sur celui de la lutte contre l’Etat taliban, dix ans plus tôt. Les nouvelles contraintes diplomatiques mais aussi les réticences de beaucoup de nations à engager des troupes au sol imposent une action de combat à distance, presque entièrement aérienne, combinée à l’aide des groupes rebelles au colonel Kadhafi. En octobre, la victoire est acquise avec la prise de Tripoli puis de Syrte et surtout la mort de Kadhafi. Il aura donc fallu six fois plus de temps à l’OTAN, l’organisation militaire la plus puissante de tous les temps avec 80 % du budget de défense mondial, pour parvenir à un résultat similaire à celui obtenu en octobre 2001 lorsque les Taliban ont été chassés d’Afghanistan. L’ennemi s’est adapté rapidement selon les procédés habituels, à la suprématie aérienne des Alliés et les frappes n’a pas eu plus d’effet sur la volonté de Kadhafi que celle des Israéliens sur la direction du Hezbollah en 2006. La méthode est donc assez aléatoire. Les Alliés constataient ensuite que dans un « combat couplé » l’efficacité première vient d’abord de celui qui est au sol et qui mène les actions décisives. Il fallut donc attendre la formation de groupes terrestres rebelles efficaces pour exploiter l’affaiblissement de l’ennemi par les airs. Ce qui a été fait contre Kadhafi ne le sera pas contre le régime d’Assad en Syrie, témoignage des contraintes diplomatiques croissantes et surtout de l’inhibition des Américains, sans qui aucune guerre interétatique d’importance ne peut plus être lancée.

 

De fait, les groupes islamistes ont remplacé, durablement semble-t-il les Etats arabes comme ennemis actuels ou potentiels des Etats-Unis et de leurs alliés. Ces groupes se développent même à l’intérieur des pays arabes, notamment dans les Etats détruits par les Occidentaux, ou les Etats voisins affaiblis, comme le Mali. La France est finalement la seule nation occidentale à accepter de les y affronter directement, au Nord Mali en janvier 2013. Elle y réussit en renouant avec ses méthodes d’intervention classiques. Une brigade aéroterrestre est déployée en quelques jours et le terrain repris à un ennemi qui avait encore peu d’emprise sur la population locale. La réduction de la base d’AQMI dans les montagnes des Ifoghas ou du MUJAO dans la région de Gao s’apparente ainsi plus à la prise de Falloujah, vide d’habitants, en novembre 2004, qu’au contrôle des rues de Bagdad deux ans plus tard.  De la même l’acceptation du combat rapproché avec une infanterie solide et sa combinaison avec de la puissance de feu indirecte a permis de détruire l’infrastructure ennemie. Malgré les risques pris, la victoire tactique est nette et le coût humain étonnamment réduit avec un soldat français perdu pour 80 ennemis. L’ennemi détruit ou chassé du Mali est cependant modeste, inférieur en volume aux forces rebelles de la seule ville de Falloujah, et toujours présent dans la région. L’opération française s’est transformée à son tour en campagne d’usure à l’échelle du Sahel, en superposition des forces locales et interafricaines fragiles à qui revient le soin de contrôler le terrain. Dans le même temps, c’est l’Etat islamique qui revient sur le devant de la scène en se territorialisant à son tour.

 

D’un point de vue tactique, ces para-Etats islamiques ont su profiter des réseaux de la mondialisation, notamment des trafics d’armes légère, pour équiper des armées idéologisées. Ils bénéficient maintenant de plus en plus, grâce à des sponsors étrangers puisant eux-mêmes dans l’aide russe, d’une nouvelle génération d’armements légers. C’est entre autre avec ces missiles antichars ou ces RPG-29 servis par une infanterie professionnelle que le Hezbollah a tenu tête à l’armée israélienne en 2006 ou le Hamas à l’été 2014. Associés à une organisation du terrain très poussée et en attendant de nouveaux missiles antiaériens, ils sont devenus particulièrement résistants. Leur capacité offensive anti-civile, par attentats-suicide, roquettes et missiles, est devenue en revanche inopérante face au système défensif israélien (barrière, défense anti-roquettes et anti-missiles). On assiste donc sur le front israélien à une forme de neutralisation réciproque qui ne peut être rompu qu’en acceptant des pertes élevées comme le découvre Tsahal à l’été 2014 en perdant six fois plus de soldats que lors de l’opération Plomb durci six ans plus tôt.

 

L’Etat islamique, nouvel avatar de l’EII, est la nouvelle organisation djihadiste à parvenir à se territorialiser à partir de 2013 en Syrie et en Irak. Ce groupe se distingue de ses prédécesseurs par sa maîtrise du swarming offensif, à base de troupes motivées et mobiles. L’emploi de petites unités sur pickup se coordonnant spontanément, n’est pas nouveau. Il est simplement rendu possible en Irak par l’absence, nouvelle depuis la départ des Américains, d’une capacité de destruction aérienne massive en particulier par hélicoptères d’attaque. C’est ainsi que l’EI s’est emparé de Mossoul et d’une partie des villes du Tigre alors qu’il procédait plutôt par infiltration sur l’Euphrate. Il y a acquis ressources locales et prestige international mais il est sans doute parvenu aux limites de son expansion. Il n’est pas évident que malgré ses prises matérielles (les Américains avaient pris soin de ne pas équiper l’armée irakienne d’armes d’infanterie sophistiquées), l’EI ait franchi le seuil tactique de la techno-guérilla.

 

Face à l’EI, le nouvel engagement américain, soutenu par quelques alliés, témoigne surtout d’un embarras tactique. La campagne d’usure qui est lancée manquerait déjà singulièrement de puissance pour imposer une négociation favorable, à l’instar du siège de Sadr-City ou des campagnes contre le Hamas. Elle est totalement inadaptée à l’objectif de destruction pourtant proclamé. La RMA n’est plus ce qu’elle était. Elle ne fait plus peur à des Arabes qui ont su trouver, par essais et erreurs, des moyens de la contrer. Le plus puissant d’entre eux est une forte détermination. La révolution arabe dans les affaires militaires est d’abord une révolution humaine, au sens d'une manière nouvelle de voir le monde, manière que l’on peut qualifier de monstrueuse par de nombreux aspects mais dont on ne peut nier la force.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:30
The “Merkava” celebrates 35 years of service in the IDF

 

29.10.2014 Tsahal

 

Thirty-five years ago, after several years of development and months of training, the “Merkava I” tank, the first completely armored Israeli vehicle, began its active service in the IDF. Today, the “Merkava” is a key factor in the IDF’s forces.

 

Since its first operational activity during the First Lebanon War in 1982, the “Merkava” has proven itself as the best tank on the battlefield, outshining the T-72 tanks supplied to the Syrian army by the Soviet Union. Ever since, the Merkava has fought on every front, always fulfilling its mission.

Today, the “Merkava MK-IV”, which came into use in 2004, is the most modern of the “Merkava” tanks. It includes a fire control system that allows it to shoot down helicopters, a Battle Management System which allows different vehicles to communicate in the battlefield, and a caterpillar track system that allow it to move over all types of terrain.

Sgt. Menachem, the tank commander of one of the “Merkava IV” tanks in the 401 Armored Brigade, explains the capabilities of this advanced vehicle. “The ‘Merkava IV’ tank is the most modern in the world,” he said. “It is stronger, more powerful and more resourceful than every other tank in its category. As a tank commander, I can say with certainty that the ‘Merkava IV’ is the king of the battlefield in urban combat.”

 

The “Merkava” celebrates 35 years of service in the IDF
The tank was built for the crew

 

2nd Lieutenant Jeff Ben Ari, a platoon commander in the 401 Armored Brigade, explained that, “The ‘Merkava IV’ is different than other tanks in a sense that the engineers did not build it thinking how the crew would maneuver it. They designed it thinking how the tank would protect the crew.”

“The engine is placed in the front of the tank in order to serve as additional protection and the shielding materials are cutting edge technology. Most importantly, we have an active protection system, the Trophy, which intercepts anti-tank missiles before they can reach us,” said 2nd Lt. Ben Ari.

“The capabilities of the ‘Trophy’ were reflected during Operation Protective Edge,” said 2nd Lt. Ben Ari. “A group of armed Hamas terrorists fired a RPG-27 anti-tank missile at one of our company’s tanks, but the ‘Trophy’ system intercepted it before it reached the tank.”

 

A 360° view of the battlefield

 

“In the tank, we are four soldiers. You have the driver, the loader, the gunner and the tank commander,” said 2nd Lt. Ben Ari. “But there is a fifth crew member: the Battle Management System. It shows us where the other tanks are and where the forces on the ground are located. It helps us navigate without looking left and right all the time. We can operate without it, but it is clearly a huge advantage.”

 

The “Merkava” celebrates 35 years of service in the IDF

“There is an air conditioner in the tank, which may seem trivial, but given the climate in the Middle East, it makes a difference,” explains 2nd Lt. Ben Ari. “Additionally, the ‘Merkava IV’ can accommodate an infantry squad or wounded soldiers, so that they can safely reach their destination.”

Thanks the advanced technology of the “Merkava IV”, the soldiers of the Armored Corps can proudly and safely continue to serve and defend the State of Israel on the battlefield.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:30
Israel Air Force Hones Patriot Batteries for UAV Defense

 

Nov. 16, 2014 - By BARBARA OPALL-ROME – Defense News

 

Scores First Enemy Intercept in 30-Year History of US-Built System

 

TEL AVIV — With newly war-tested batteries of drone-killing Patriots, air defenders of Israel Air Force (IAF) Wing 168 are earning equal footing with F-16s in guarding the skies against new and growing unmanned threats.

 

The Wing’s Patriot force forms the ground-based node of Israel’s extensively integrated air defense network — historically junior partner to IAF fighters in their joint intercept mission against air-breathing threats.

 

But as traditional threats from fast-flying fighters and other manned aircraft give way to a surging new spectrum of slow, potentially combat-equipped UAVs, Wing 168 and its US-built force is proving a prime time option for frontline defense.

 

Three times in the past four months, US-built Patriot batteries of Wing 168 made history here and for users worldwide by blasting UAVs out of the skies that had penetrated Israel’s northern and southern borders.

 

The first intercept came on July 14 against a Gaza-launched drone. Israeli Patriots scored again on July 17 against the second and last of the unmanned aircraft attempting to penetrate from Gaza during the 50-day war.

 

The third unmanned target came from the north and was quickly destroyed in an Aug. 31 intercept near the Syrian border.

 

Prior to last summer’s Gaza war, Israel-operated Patriots shared the same track record as all other anti-air variants built by Raytheon for the US Army and at least 10 other countries: Zero intercepts of enemy aircraft.

 

They came close in October 2012, maintaining full target tracking of a Lebanon-launched UAV as it flew over two-thirds of the country. “Our Patriots were ready for intercept orders,” recalled Brig. Gen. Doron Gavish, IAF air defense commander at the time.

 

 

The mission ultimately went to F-16s, which downed the target just north of Israel’s nuclear facility in the southern Negev desert.

 

Nearly a decade earlier, US Patriot batteries forward deployed in Iraq came tragically too close, mistakenly intercepting a British Tornado and an F/A-18.

 

Three allied airmen were killed by friendly Patriot fire in March and April of 2003 in attacks marking an all-time low in the 30-year operational track record of the US anti-air system.

 

But from that all-time low, officers and experts say inherent UAV-killing capabilities recently validated by Wing 168 will eventually benefit other nations that rely on Patriot anti-air batteries to defend against growing unmanned threats.

 

A senior IAF commander noted that just a decade ago, the threat from UAVs was rare. “Today, it’s a huge problem. We bear the brunt of it today, but soon many others will face similar threats.”

 

He was interviewed Nov. 11, a day before Iran’s state-run Press TV released footage of what Tehran claims is the maiden flight of an the unmanned system reverse-engineered from a US RQ-170 Sentinel captured in late 2011.

 

At the time, the Pentagon confirmed Iranian’s claims that the reconnaissance UAV took off from Afghanistan. It has not commented on Tehran’s parallel claim that its cyber forces hacked into the aircraft’s control system, forcing it to land in Iran.

 

Herzl Bodinger, a retired major general and former IAF commander, said enemy states and non-state terror organizations are expanding their arsenals of UAVs as a cheap and more effective way to attack Israel by air.

 

“Enemy states have learned not to challenge our airspace and lose their prize assets,” he said.

 

Far overshadowing the UAV threat from Gaza that debuted in last summer’s war with Hamas is the increasingly capable unmanned force amassed by Hezbollah since Israel’s 2006 Lebanon war.

 

Maj. Gen. Yair Golan, a former commander of Israel’s Northern Command, estimated that Lebanon-based Hezbollah holds “an unlimited number” of UAVs initially supplied by Iran and since supplemented by a range of other systems.

 

Also in Syria, experts here cite an uptick in UAV use by forces loyal to President Bashar al-Assad, some of which may have fallen into hands of insurgents fighting to topple the Damascus regime.

 

As the officer who took command of the IAF a year after Patriots were first deployed here during the 1991 war in Iraq, Bodinger said the system that initially disappointed Israel as an anti-missile interceptor has provided significant added value in its anti-air role.

 

“For our purposes, the Patriot is excellent against aircraft; a critical part of our continuously upgraded system of integrated air defenses.”

 

Raytheon spokeswoman Bailey Sargent deferred to the Israeli government and the IAF when contacted for comment. “Patriot is the air and missile defense system of choice for 13 countries around the world,” was all she had to say.

 

Healthy Competition

 

Israeli officers roundly acknowledge that the first UAV to breach sovereign airspace — an Iranian Mirsad launched from Lebanon in late 2004 — came by surprise.

 

When pressed, most also acknowledge that the second unmanned infiltration from Lebanon, in April 2005, was a mistake. Israel’s integrated air defenses were not yet fully honed against the small, stealthy unmanned threat.

 

“It’s like finding a needle in a haystack,” retired Maj. Gen. Eliezer Shkedy, then commander of the IAF, told Defense News at the time.

 

By the time war broke out in Lebanon in June 2006, the IAF’s fortified target detection and classification network helped F-16s score their first intercept against a Hezbollah Ababil.

 

At least five unmanned planes have penetrated Israeli airspace since then, three of them destroyed in recent months by Wing 168.

 

“Today, we’re finding many needles in the haystack,” Col. Chemi Bar-El, 168 Wing commander, said.

 

Bar-El acknowledged “a healthy competition” between ground- and air-based nodes of the net, which provide multiple options for each target.

 

With such limited airspace and so many threats, Bar-El said Israeli air defenders don’t have the luxury of finding out in real time the intentions of unauthorized penetrations.

 

“We have a very clear policy: If it flies it dies,” Bar-El said.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:30
"Jihadi John" has been identified by the FBI

"Jihadi John" has been identified by the FBI

 

16 Nov 2014 By Nicola Harley

 

The Foreign Office has received reports that 'Jihadi John', the man accused of killing two British hostages, has been injured in an airstrike

 

One of the world's most wanted men "Jihadi John" has reportedly been wounded in an airstrike.

Jihadi John”, the man accused of executing British hostages David Haines and Alan Henning and two Americans held by Isil, may have been injured in an airstrike on an Iraqi town close to the Syrian border a week ago.

The Foreign Office said it had received reports the terrorist had been wounded but could not confirm them.

 

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:30
IAF Develops Cognitive Simulator

 

12.11.2014 Noa Fenigstien - IAF

 

Juggling between flying an aircraft while reading flight data from its systems at the same time is not an easy task for a pilot. A new simulator developed in the IAF is aimed to meet that exact challenge

 

During flight, helicopters pilots are required to juggle between flying, operating the helicopter systems, responding to threats, landing and processing flight data. The flight data is presented in front of the pilots and they are required to split their attention between the data and their surroundings.

 

"Maneuvering between the flight data and the surroundings is similar to watching a TV show while reading the subtitles", explains Major Avshalom Gil-Ad, Head of Human-System interface in the IAF. "We decided to try and accelerate the learning process using a cognitive trainer, aimed to speed up thinking process".

 

"Develop a different training"

The simulator, developed by the IAF, consists of basic flight systems and 3D glasses with sensors reacting to head movements.

The user "flies", while the simulator displays images of vehicles for the pilot to classify. In addition, the pilot has to simultaneously maintain strict flight restrictions such as flight path and altitude.

 

"Our goal is to develop the splitting of attention among the helicopter pilots", explains Major Gil-Ad. "The simulator allows us to develop a different training strategy for each individual pilot based on his strengths and weaknesses".

As of now, the simulator goes through trial-runs at the "Blackhawk" simulator squadron in "Palmachim" Airbase and scheduled to enter training program during 2015.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:30
Maoz - photo Rafael

Maoz - photo Rafael

 

3/11/2014 Ami Rojkes Dombe

 

At Rafael they understand that the frequency of wars fought in urban environments will increase. For this reason, they have recently launched two new products - a precision rocket and a tactical rotorcraft

 

Rafael aspires to enter the world of artillery and for this purpose they developed "Iron Flame" – an autonomous precision artillery rocket system, immune to GPS jamming that produces minimum collateral damage. With this product, Rafael has succeeded in offering a relatively inexpensive precision guided, long-range weapon designed specifically for urban warfare. The rocket relies on image comparison navigation – a capability derived from the field of aerial munitions in which Rafael specializes.

 

"During the Yom-Kippur War, 70,000 artillery shells were fired and during the Second Lebanon War 150,000 shells were fired. This is a weapon system with very limited effectiveness. If you aim to hit a specific house, you might hit another house," explains Aviram L., marketing manager at Rafael's Precision Tactical Munitions Administration. "Our system makes it possible to hit targets accurately even in a scenario saturated with GPS jammers. We have a (guidance) capability based on image comparison. It is a unique Rafael capability that makes it possible to execute a very accurate strike even in urban scenarios, using aerial reconnaissance photographs as a reference image."

 

The system consists of rocket canisters and mobile launchers. The nose of each rocket contains a guidance unit (which incorporates an uncooled IR camera, a computer, a navigation system, fins for aerodynamic steering and a battery supplying power). The rocket body contains an integral penetration warhead and a rocket engine. The mode of employment is selected according to the scenario and the mission at hand: autonomous acquisition and homing, acquisition and homing onto a laser spot or inertial homing combined with GPS.

 

The system can also deal with mobile targets using laser designation, but Aviram stresses that the system was not originally intended to handle mobile targets. "An artillery system is intended to handle stationary targets. That is its primary function," says Aviram. "We analyzed artillery scenarios, with the objective of destroying a (specific) house as the primary scenario. We wanted a weapon that avoids a high degree of dispersion owing to the collateral damage. Our working assumption was that the world is going in the direction of urban warfare, as in the near future most of the territory will be built up. In an open area, accuracy is less important."

 

As in the world of missiles, the launcher of the Iron Flame system is fixed and the missile maneuvers along an optimal trajectory. The people of Rafael say that two capability-proving trials have already been conducted. The Iron Flame launcher consists of 10 tubes and may be installed on land platforms, including Jeeps, as well as on naval platforms.

 

While other missile systems, such as the Spike system, involve a man in the loop, the Iron Flame system operates autonomously: the operator loads the target into the system by "stabbing" an image, and the system launches the rocket. The process of loading the image into the system takes a few seconds. Aviram says that targets may also be loaded into the system using Google Earth. "The system is open to any accurate map reference system. We aim at the international market, where most of the systems are GPS-based."

 

Maoz: Tactical Loitering Surveillance System

 

Along with the Iron Flame system, Rafael has unveiled another tool that can come in handy in urban warfare situations – the Maoz. It is a tactical rotorcraft possessing surveillance capabilities, which had been designed specifically for maneuvering infantry forces. The Maoz may be used for short-range surveillance missions. It can operate in urban warfare scenarios and in open terrain and cope with entangled fortified areas, built-up areas and subterranean spaces (inside buildings and tunnels) with no line of sight between the operator and the target.

 

How does it work? The operator carries several rotorcraft and a light control unit (a touch screen) in his combat vest. When required, he pulls the loitering rotorcraft out of its canister and positions it on the ground. The rotorcraft is then launched into the air and transmits a real-time image. A warfighter who had received specialized training in flying the rotorcraft in a combat zone will guide the Maoz toward its target using a simple operating routine.

 

"Rafael aims at the tactical world. Products like the Mini-Spike and Spike SR are aimed at the platoon/company echelon with the purpose of being accessible to every trooper. We wanted to manufacture something that would come packaged in a convenient, compact packaging. It was a substantial challenge," explains Aviram.

 

In a built-up area, the operating range of the Maoz is 1.5 kilometers. It can operate at a height of 50 meters and remain airborne up to 30 minutes or up to eight hours in a fixed surveillance position. It includes daytime surveillance measures (CMOS) and active night illumination that enable it to detect human targets at a range of 180 meters. It can chart a building/tunnel in 3D and also has backup sensors for navigation. Inside a building, navigation is carried out through image processing. The people at Rafael say that at the moment, the Maoz is at the demo stage and undergoes preliminary tests. "It is a new idea that we have never developed in the past. We do not yet know what we are missing, and for that we would require an operational examination," says Aviram.

 

"We think that in the long run, the urbanization trend will continue. Since the War of Independence through the Yom-Kippur War to this day, urban warfare scenarios have been occupying an increasingly higher volume. If we can offer attractive solutions for this scenario, we will be ahead of the market."

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16 novembre 2014 7 16 /11 /novembre /2014 22:30
Des plongeurs-démineurs français participent à IMCMEX

Des plongeurs-démineurs français et américains utilisent un robot MK II Talon et sa console de contrôle au cours de l’exercice IMCMEX.

 

16 novembre 2014. Portail des Sous-Marins

 

Des plongeurs-démineurs de la marine nationale ont travaillé pendant 15 jours aux côtés de leurs homologues américains et danois à Manama (Bahreïn), dans le cadre de l’exercice IMCMEX (International Mine Countermeasures Exercise).

 

L’exercice IMCMEX est le plus important exercice naval international, avec la participation de plus d’un quart des marines du monde, 38 navires et 6.500 marins venant du monde entier. Il s’est déroulé du 27 octobre au 13 novembre dans le golfe Persique et en mer Rouge.

 

L’objectif de l’exercice est de promouvoir la sécurité maritime et la libre circulation du commerce au travers d’opérations de lutte contre les mines, de sécurité maritimes et de protection des infrastructures maritimes.

 

« Il est très important de travailler avec nos partenaires internationaux pour apprendre les capacités des uns et des autres, renforcer les liens et accroitre l’interopérabilité, » explique le Lt. j.g. Ryan Bresson, un plongeur-démineur américain.

 

Dans le cadre de l’exercice, les plongeurs-démineurs français, américains et danois ont répondu à de nombreuses menaces simulées, en mer comme sur terre, dont des engins explosifs improvisés, des mines magnétiques posées par des plongeurs et des attaques suicides. Ils ont aussi participé à des exercices de tir, d’accidents de plongée. Ils ont mis en pratiques des techniques de recherche sous-marines, utilisé des robots de déminage et détruit des explosifs à distance.

 

Référence : US Navy

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16 novembre 2014 7 16 /11 /novembre /2014 22:30
Le TCD Siroco va quitter Toulon pour porter le fer contre Daesh

 

16 novembre 2014. Portail des Sous-Marins

 

Selon des sources militaires et civiles concordantes, le transport de chalands de débarquement (TCD) Siroco devrait appareiller dans les prochaines heures de son port d’attache de Toulon afin de gagner au plus vite la péninsule arabo-persique. Le navire-filleul de la Ville de Marseille aurait reçu pour mission de transporter le matériel nécessaire à l’effort de guerre français dans le cadre de l’opération Chammal ; opération menée à la demande du gouvernement irakien, en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, afin d’apporter un soutien aérien aux forces armées irakiennes en lutte contre le groupe terroriste Daesh.

 

Référence : La Provence

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16 novembre 2014 7 16 /11 /novembre /2014 17:30
Les enseignements militaires de la guerre de Gaza

 

06/11/2014  - CDEF/DREX/Bureau Recherche/Col Goya

 

L'armée de Terre israélienne est parvenue, par l'opération Bordure Protectrice  en juillet-août 2014, à détruire les capacités offensives du Hamas. Toutefois, elle a connu un niveau plus élevé de pertes militaires par rapport aux conflits précédents. Cette note analyse cette singularité.

 

Les enseignements militaires de la guerre de Gaza (format pdf, 371 kB).

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16 novembre 2014 7 16 /11 /novembre /2014 16:30
Siège de Kobané: près de 1.200 morts depuis la mi-septembre (médias)

 

BEYROUTH, 16 novembre - RIA Novosti

 

1153 personnes ont trouvé la mort depuis le début du siège de la ville syrienne de Kobané (nord) le 16 septembre, rapportent les médias occidentaux citant l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) basé à Londres.

 

Selon l'OSDH, les hostilités ont fait 397 morts dans les rangs des combattants kurdes qui défendent la ville face aux djihadistes de l'Etat islamique (EI), ainsi que 27 morts parmi les civils. Côté islamistes, plus de 700 combattants ont été éliminés.

 

A l'heure actuelle, l'EI contrôle certaines banlieues de Kobané, grand centre de l'autonomie kurde en Syrie, ainsi que des dizaines de villages situés à ses alentours. Les combats les plus feroces se déroulent dans la partie est de la ville.

 

Le groupe sunnite terroriste Etat islamique, lié à Al-Qaïda, a gagné en puissance lors de ses opérations en Syrie, où il combat les troupes gouvernementales. L'EI a la réputation d'une des formations djihadistes les plus cruelles.

 

Il y a quelques mois, cette organisation a intensifié ses activités en Irak. Fin juillet, l'EI a proclamé un "califat islamique" sur les territoires irakiens et syriens tombés sous son contrôle.

 

Depuis le 8 août, l'aviation américaine effectue des frappes contre les positions des djihadistes en Irak. Le 23 septembre, les Etats-Unis ont commencé à bombarder les positions de l'EI en Syrie.

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16 novembre 2014 7 16 /11 /novembre /2014 16:30
Syrie: 272 combattants rendent les armes en 24 heures

 

BEYROUTH, 16 novembre - RIA Novosti

 

Plus de 270 combattants antigouvernementaux ont déposé les armes au cours des dernières 24 heures en Syrie dans le cadre du programme de réconciliation nationale, rapporte dimanche l'agence locale SANA.

 

"272 hommes armés de Damas, sa banlieue, Alep, Homs et Idleb se sont rendus aux services compétents pour régulariser leur situation", annonce l'agence.

 

Auparavant, les médias ont rapporté que plus de 800 personnes impliquées dans les combats avec forces armées syriennes avaient rendu les armes en août-septembre.

 

Le conflit armé qui fait rage en Syrie depuis mars 2011 a déjà emporté, selon les Nations unies, plus de 200.000 vies. Selon Damas, les troupes gouvernementales sont confrontées à différents groupes extrémistes qui comptent des mercenaires étrangers dans leurs rangs.

 

Depuis la proclamation par le groupe djihadiste Etat islamique d'un "califat" dans les zones qu'il contrôle en Syrie et en Irak, des affrontements opposent ce groupe extrémiste aux troupes du régime de Damas, notamment dans le nord du pays.

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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 23:30
Italy To Send 4 Tornados for Recon in Iraq

Italy will send four Tornado aircraft to Iraq to serve in a reconnaissance role.

 

Nov. 14, 2014 - By TOM KINGTON – Defense News

 

ROME — Italy will send four Tornado aircraft to join coalition operations against the Islamic State in Iraq, a Defense Ministry spokesman said on Friday.

 

The aircraft, which will be based at Ahmed Al Jaber air base in Kuwait, will be used for reconnaissance missions only, he added.

 

In a letter sent to the Italian parliament, Italian Defense Minister Roberta Pinotti said the aircraft would be accompanied by 135 support staff.

 

Pinotti said Italy was also dispatching to Iraq a number of Folgore 80mm anti-tank weapons previously used by the Italian Army.

 

In October, Italy said it would send a 767 tanker aircraft and two unarmed Predator drones to assist operations against fighters in Iraq, as well as 280 instructors.

 

Italy also sent a loaded C-130J to Baghdad, for shipment to Erbil, on Sept. 12. On board was a collection of arms worth €1.9 million (US $2.4 million), including 100 MG 42/59 machine guns and 100 12.7 Browning machine guns, plus munitions taken from Italian military stocks.

 

But there were also 2,000 RPG munitions and 400,000 machine gun rounds taken from a collection of arms and munitions seized in 1994 from a vessel allegedly defying a blockade to ship arms to Serbian fighters during the Balkan wars

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