20 sept. 2014 Crédit : Etat-major des armées / armée de l'Air
Le dépôt logistique de Daech ciblé par le raid aérien effectué ce matin (vendredi 19 septembre 2014) a été détruit.
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20 sept. 2014 Crédit : Etat-major des armées / armée de l'Air
Le dépôt logistique de Daech ciblé par le raid aérien effectué ce matin (vendredi 19 septembre 2014) a été détruit.
19/09/2014 LePoint.fr
Ne pouvant contrer la puissance américaine, les djihadistes vont se replier en ville pour mener des actions de guérilla et pousser la coalition à la faute.
Face à l'arsenal déployé par les États-Unis, les djihadistes du groupe État islamique (EI) vont se replier sur les zones urbaines et mener des actions de guérilla pour défendre leurs fiefs. Pour éviter d'être la cible de l'aviation américaine, cette organisation extrémiste, qui a proclamé un "califat" sur un territoire à cheval sur l'Irak et la Syrie aussi grand que le Royaume-Uni, va réduire sa mobilité dans les importantes régions désertiques où ses combattants et matériel sont facilement repérables. L'EI va "se mettre en position défensive en se dissimulant dans les zones urbaines d'où il peut combattre" en cas d'attaque, explique le général britannique à la retraite Ben Barry, expert militaire à l'Institut international d'études stratégiques (IISS).
Depuis ses succès en Irak, l'EI contrôle plusieurs villes importantes notamment Mossoul, Tikrit, Tell Afar dans le nord de l'Irak, Fallouja et partiellement Ramadi dans l'Ouest. En Syrie, il dirige d'une main de fer Raqa, son fief dans le Nord, la moitié de Deir Ezzor (Est) et de nombreuses localités de moindre importance.
"Se mêler à la population"
Autre raison de se déployer dans les villes : pousser les forces américaines ou irakiennes à la faute. "Elles infligeront des pertes parmi les civils en voulant frapper les djihadistes", note le général. "Et ces derniers utiliseront leurs outils de propagande pour monter les sunnites contre le gouvernement irakien (dirigé par les chiites, ndlr) et éroder la légitimité de la coalition internationale", prévoit-il.
Ce mouvement a déjà commencé, selon Ahmed al-Sherifi, un expert irakien en matière de sécurité. "Daesh (acronyme de l'EI) a commencé à retirer certains combattants, notamment les étrangers, pour les diriger vers la Syrie. Ils n'ont gardé que les Irakiens, car ils peuvent aisément se mêler à la population en cas d'attaque", dit-il. L'expert ajoute qu'à Mossoul, les djihadistes ont abandonné leurs centres de commandement installés après la conquête de la ville le 10 juin, pour des maisons privées dans des quartiers populeux où ils font profil bas.
Même tactique en Syrie après l'annonce du secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel que la campagne aérienne viserait en Syrie "les sanctuaires" de l'EI. À Deir Ezzor, un militant, Abou Ossama, a constaté qu'ils avaient vidé le principal dépôt d'armes de la région situé dans l'ancien siège du gouvernorat, et fermé à Mayadine, plus à l'est, la quasi-totalité de leurs positions. Même les champs pétroliers ont été désertés et les familles des combattants étrangers, qui vivaient dans des bâtiments résidentiels, ont été évacuées. "Ils disparaissent mais laissent des espions pour les informer", assure-il. Dans la province d'Alep (Nord), le groupe s'est retiré de ses sièges d'al-Bab, un de ses principaux fiefs dans cette région.
Retour à un modèle insurrectionnel
Pour Thomas Pierret, expert de l'islam en Syrie, "le seul cas où les bombardements lourds pourraient vraiment faire la différence, c'est sur les fronts où l'EI concentre des troupes comme à Marea, au nord d'Alep, tenu par les rebelles". "Si les Américains frappaient, l'EI n'aurait d'autre choix que de vider les lieux et de laisser avancer les rebelles", qui luttent à la fois contre l'EI et le régime de Bachar el-Assad.
Avec 35 000 hommes sur 215 000 km2, l'EI va devoir faire des choix. "L'EI possède des unités organisées, un commandement capable de diriger plusieurs opérations simultanément et la capacité d'utiliser des armes lourdes prises aux armées syrienne et irakienne", relève Christopher Harmer, un analyste de l'Institut pour l'étude de la guerre, un think-tank américain. "Comme les frappes américaines vont endommager les éléments visibles de la structure militaire de l'EI, cette organisation va revenir à un modèle insurrectionnel en se mêlant à la population civile, ce qui rendra plus difficile d'atteindre ses combattants", souligne-t-il.
"L'EI utilisera ses cellules dormantes, les tireurs embusqués, les voitures piégées ou les assassinats ciblés. Pour le moment, l'engagement américain ne représente pas une menace conséquente pour l'EI", assure Christopher Harmer. Richard Barret, spécialiste en contre-terrorisme, va dans le même sens : "L'EI ne peut pas contrer les raids américains et il va donc inverser son processus de développement. D'un mouvement clandestin terroriste, il avait progressé vers un 'État' et il va devoir redevenir ce qu'il était avant".
19 sept. 2014 Quelle: Redaktion der Bundeswehr 09/2014 14E27401
Hilfslieferung für die kurdischen Peschmerga im Irak: im Materiallager Waren / Müritz werden Waffen und Ausrüstung für den Transport in den Nordirak bereitgestellt. Insgesamt sollen mehr als sechshundert Tonnen Material auf den Weg gebracht werden. Die Lieferung umfasst Waffen, von Pistolen bis zu Panzerabwehrraketen sowie andere Ausrüstung z.B. Fahrzeuge und Feldküchen, Sanitätsausrüstung und Stromgeneratoren. Die Bundesregierung beschloss am 31. August 2014, den bedrohten Menschen im Nordirak auch Waffen und Munition zu liefern.
19/09/2014 Sources : Etat-major des armées
Le dépôt logistique de Daech ciblé par le raid aérien effectué ce matin (vendredi 19 septembre 2014) a été détruit.
Au cours de ce vol d’environ cinq heures, les deux Rafale ont été ravitaillés à trois reprises par l’avion ravitailleur C135-FR.
Les chasseurs français, équipés de pod de désignation Damoclès ont porté leurs frappes entre 09h40 et 09h58 avec quatre bombes guidées laser GBU 12.
L’avion de patrouille maritime Atlantique 2 a effectué une mission d’une dizaine d’heures, coordonnée avec celle des Rafale. Ses capteurs ont permis d’assurer le volet renseignement de la mission et d’effectuer un battle damage assesment (BDA)* transmis immédiatement au centre de planification et de conduite des opérations situé à Paris.
Durant cette mission, le volet personnel recovery, c’est-à-dire la capacité à secourir les pilotes en zone hostile, était assuré par des moyens militaires américains.
Conformément à la volonté du Président de la République, de nouvelles frappes se dérouleront dans les jours à venir pour soutenir les armées irakiennes dans leur lutte contre Daech. Ces frappes seront à nouveau effectuées en coordination étroite avec les autorités irakiennes ainsi qu’avec nos alliés présents sur le théâtre.
*Evaluation des frappes
18/09/2014 Sources : Marine naionale
Déployé dans le golfe Arabo-Persique depuis le début du mois, un avion de patrouille maritime Atlantique 2 (ATL2) de la flottille 23F est actuellement détaché à Al Dhafra. Il a conduit le 17 septembre une première mission de reconnaissance dans le ciel irakien, sous le contrôle opérationnel du contre-amiral Beaussant, amiral commandant la zone maritime océan Indien (ALINDIEN).
L’Atlantique 2 est un avion de combat aéro-maritime, datant des années 1990 pour sa version initiale. Cet avion se caractérise par une large interopérabilité avec les forces, les alliés ainsi que les autres administrations, et par sa grande polyvalence d’emploi qui en font un remarquable outil militaire, par ailleurs régulièrement engagé dans les missions d’action de l’Etat en mer. Vecteur de supériorité aéromaritime, redoutable chasseur de sous-marins comme de navires de surface, il peut également transposer son savoir-faire et ses capacités au-dessus de la terre, où il opère régulièrement en soutien des forces terrestres et des forces spéciales.
Ses missions principales :
les opérations de sûreté, au profit de la Force Océanique Stratégique (FOST) pour la protection des SNLE, et au profit des forces aéronavales ;
les opérations de combat aéromaritime, en particulier de lutte anti-sous-marine et anti-navire ;
les opérations de sauvegarde maritime et de sûreté des approches maritimes nationales.
L’ATL2 est aussi amené régulièrement à s’adapter aux besoins opérationnels de l’Etat-Major des Armées, avec des appuis aux opérations terrestres et aéroterrestres, notamment en termes de :
recueil de renseignements ;
recherche de convois, de positions ennemies ;
guidage d’avions et d’hélicoptères d’assaut ;
frappe d’objectifs.
Afin de permettre à la Marine de continuer à tenir sa posture opérationnelle, le ministre de la Défense a signé en octobre 2013 un contrat de rénovation qui concernera 15 ATL2. Grâce à cette rénovation, ces avions vont bénéficier notamment d’améliorations importantes de leurs capacités de détection et de leurs systèmes acoustiques.
19/09/2014 Sources : EMA
Le 19 septembre, sur ordre du Président de la République, une opération militaire aérienne a été menée contre le groupe terroriste Daech. Cette opération avait pour objectif de détruire, par frappes aériennes, un dépôt logistique de Daech repéré dans la région de Mossoul par les missions de reconnaissance et de renseignement effectuées cette semaine.
Le dispositif était constitué :
de deux avions de chasse Rafale de l’armée de l’air équipés de bombes air-sol guidées laser GBU 12 ;
d’un avion de ravitaillement C-135 FR de l’armée de l’air ;
d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2 de la Marine nationale, chargé d’assurer le volet renseignement de cette mission et la première évaluation des frappes.
Commandé par le chef d’état-major des armées, le général Pierre de Villiers, et réalisé sous le contrôle opérationnel du contre-amiral Beaussant, amiral commandant la zone océan Indien (ALINDIEN), ce raid aérien a été conduit en coordination avec les autorités irakiennes et avec nos alliés présents dans la région.
18 sept. 2014 Quelle: Redaktion der Bundeswehr 09/14 14E21701
Die UNIFIL-Mission ist eine der ältesten aktiven Beobachtermissionen der UN. Auch die Bundeswehr engagiert sich vor Ort. So werden an der Jounieh Naval School junge Kadetten von Deutschen ausgebildet. Punkte wie Navigation, aber auch Führungstraining stehen dabei auf dem Lehrplan. Für beide Seiten ist der Einsatz in Beirut geprägt vom gegenseitigen Lernen und neuen Erfahrungen.
18.09.2014 Romandie.com (ats)
Le Sénat américain devait donner jeudi son feu vert au plan de soutien des rebelles syriens afin de les aider à combattre le groupe Etat islamique (EI). Cette décision devait tomber alors que les jihadistes gagnent du terrain dans le nord du pays.
Les jihadistes de l'EI ont diffusé jeudi la vidéo d'un prisonnier britannique, John Cantlie, dans laquelle le journaliste enlevé en Syrie en novembre 2012 annonce qu'il dévoilera "la vérité" sur l'EI dans "de prochains épisodes". L'ancien collaborateur du "Sunday Times" et de l'AFP s'exprime seul face à la caméra, calme et sans aucune menace apparente contre sa vie.
Equiper et entraîner les rebelles modérés
Le premier volet de la stratégie anti-jihadistes présentée par le président américain Barack Obama la semaine dernière devait ainsi prendre forme avec le vote du Sénat. Appelé à suivre la Chambre des représentants, le Sénat devait approuver un plan destiné à équiper et à entraîner les rebelles syriens modérés.
Outre cette aide, les Etats-Unis ont affirmé être prêts à mener des raids aériens pour viser les "sanctuaires" de l'EI en Syrie, ainsi que "ses centres de commandement, ses capacités logistiques et ses infrastructures".
Retrait tactique des jihadistes
En vue de ces éventuelles frappes, les jihadistes se sont retirés de plusieurs positions dans la province de Deir Ezzor (est), frontalière avec l'Irak, qu'ils contrôlent en grande partie, selon des militants.
Les jihadistes ont notamment quitté l'ancien bâtiment du gouvernorat à Deir Ezzor, l'un des plus importants lieux de stockage d'armes de l'EI dans la région, a indiqué l'un d'eux, Abou Ossama.
Dans le nord en revanche, près de la frontière turque, les jihadistes se sont emparés lors des dernières 24 heures de seize villages, prenant en tenaille Aïn al-Arab, la troisième ville kurde du pays, selon une ONG syrienne. Si les jihadistes parviennent à prendre Aïn al-Arab, défendue par des milliers de combattants kurdes, ils menaceraient les régions kurdes du nord-est syrien.
Frappes aériennes françaises prévues
Dans l'Irak voisin, les troupes d'élite du pouvoir ont combattu ces jours les jihadistes à moins de 50 km de Bagdad, dans le secteur de Fadhiliya, sans parvenir cependant à y pénétrer, selon un chef de la tribu des Janabi.
Des avions de chasse américains les ont soutenus en frappant des cibles de l'EI au sud de la capitale irakienne, selon l'armée et des chefs tribaux. La France a également décidé d'accorder son soutien aux autorités irakiennes pour des frappes aériennes, a annoncé jeudi François Hollande. Le président français a par contre exclu la possibilité d'envoyer des troupes au sol.
September 11, 2014 by Kris Osborn - defensetech.org
A key architect of the air bombardment strategy in the Gulf War and Operation Iraqi Freedom said the U.S. military must have significant success with its efforts to destroy the Islamic State from the air.
On Wednesday night, President Obama’s announced that the U.S. will lead a coalition to step up targeted airstrikes against ISIL. As the mission shifts from humanitarian support and protecting U.S. personnel to more aggressive strikes aimed at a much wider set of targets, some analysts have questioned if the U.S. will need ground combat troops or if air power will suffice.
The U.S. has utilized air bombing strategies to support friendly forces, such as the Iraqi Security Forces, hoping to advance on the ground.
Attacking ISIL is not similar to dismantling a country’s military such as the initial bombing campaigns in the Gulf War and Operation Iraqi Freedom. It’s more similar to the airstrikes the U.S. and allied forces have executed against insurgent and Taliban leaders in Iraq and Afghanistan over the past decade.
A dispersed group of fighters deliberately blending in with the civilian population and travelling in small groups in vehicles like pick-up trucks and armored vehicles has proven difficult or high-risk to pinpoint from the air with even the best precision-guided weaponry.
Even so, one of the authors of the air-power strategy called “effects-based” warfare, said using some of those same concepts may still apply when attacking a mobile insurgent terrorist group such as ISIL.
Retired Air Force Col. John Warden, known for his strategic involvement in creating and implementing effects based warfare, helped the George H.W. Bush administration prepare for the use of precision air-power in the Gulf War.
Effects based warfare is based on the premise that precision air power can achieve a particular strategic effect without necessarily attacking large numbers of fielded forces or the infrastructure of the attacked area. Success is achieved by attacking and disabling the enemy’s centers of gravity, referred to by Warden as the five rings – leadership, system essentials, infrastructure, population, fielded military forces.
“The concept of the five rings says that anytime you have more than one person operating against you, such as a group, you have the formation of a system,” Warden told Military.com in an interview.
Warden explained that this means any group, such as ISIL, would have the elements of the five rings such as leadership, supply lines or system essentials and places to store things such as infrastructure, fielded forces and potentially support from the elements of the local population.
“ISIL looks pretty straightforward,” he said, suggesting that some elements of effects-based warfare could potentially prove useful against ISIL should attacks continue, despite the fact that they are largely a guerilla force on the move and not a country or area with a fixed infrastructure.
The idea of effects-based warfare is to achieve what’s called strategic paralysis and render an enemy force unable to fight by targeting leadership headquarters, command and control and supply lines, Warden explained.
Avoiding civilian casualties through the use of strategy and precision technology from the air – all while preserving much of the infrastructure of the attacked area – is fundamental to effects-based warfare. The advent of precision weaponry such as GPS and laser-guided bombs has, to a large degree, made this possible.
This approach proved quite successful during the Gulf War and opening attack or “shock and awe” conducted at the onset of Operation Iraqi Freedom. However, ISIL poses a much different challenge.
“Where we have had success it is not because we have killed every guy that has a bomb. It is because we have succeeded in destroying the ability of the opposition group to function in an organized and coherent way by attacking the leadership, attacking their communications, and attacking their supply lines —for the most part — without doing any significant damage to general infrastructure and little or no damage to the population that they are operating in,” Warden said.
The USS Bush carries as many as 44 F/A-18s, including both Hornets and the more technically advanced Super Hornets. Navy Hornet and Super Hornet pilots have been flying surveillance missions over Iraq for weeks, in part to use their on-board electro-optical cameras and infrared sensors to identify potential ISIL targets. These missions were done in anticipation of a potential order to conduct strikes, defense officials said.
F/A-18s are configured with a host of air-to-air and air-to-ground weapons such as GBU-54 500-pound laser-guided bombs, some of which were dropped near Irbil, Iraq, against ISIL mobile artillery targets. Laser-guided bombs can be guided by a laser-designation from the air or nearby ground forces.
Many of the bombs, such as the GBU 54s dropped in Iraq are known as Laser Joint Direct Attack Munitions or LJDAMS. Many JDAMS also rely on GPS guidance to pinpoint their targets.
The GBU 54 is a 581-pound glide bomb with a range of up to 15 nautical miles, service officials said. The weapon uses semi-active laser guidance as well as GPS and inertial navigation systems.
Navy officials said standard laser guidance packages on bombs prove exceptionally accurate in clear conditions against stationary targets. However, with significant amounts of environmental factors such as airborne dust, smoke, fog, or cloud cover, the guidance packages can have difficulty maintaining “lock” on the laser designation while pursuing moving or maneuvering targets, Navy officials said.
This is the reason the GBU-54 was engineered; it is a dual-mode precision-guided bomb designed to destroy fixed and re-locatable or moving targets, service officials said.
The Super Hornet is also configured to fire AIM-9X sidewinder air-to-air missile, the AIM-120 Advanced Medium Range Air-to-Air Missile, or AMRAAM, the Joint Standoff Weapon, the Small Diameter Bomb and the Mk-84 general purpose bomb, Navy officials said.
On the deck of the USS Bush, the F/A-18s are joined by five EA-6B Prowler electronic warfare aircraft, four E-2 Hawkeye surveillance planes, two C-2 cargo aircraft and as many as 12 MH-60 Sea Hawk helicopters, Navy officials said.
In the Arabian Gulf, the USS Bush is joined by the USS Philippine Sea, a cruiser and two destroyers, the USS Roosevelt and USS O’Kane.
September 15, 2014 by Bryant Jordan - defensetech.org
An Israeli company that spent a decade developing an autonomous, unmanned vertical takeoff and landing craft utilizing internal lift rotors says its first prototype is now going through flight tests and it’s at work on a second prototype.
Called the AirMule, the rotorcraft is envisioned for use as an unmanned transport – ferrying supplies into a combat zone or taking out wounded – operating in areas where helicopters and fixed-wing planes cannot.
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MADRID, 18 septembre - RIA Novosti
L'Espagne s'apprête à déployer en Turquie une batterie de missiles anti-aériens Patriot accompagnée de 130 militaires, a annoncé mercredi le ministre espagnol de la Défense Pedro Morenes.
Selon le ministre, cette mesure s'inscrit dans le cadre de l'opération de l'Otan visant à protéger les civils résidant à la frontière entre la Turquie, l'Irak et la Syrie contre les éventuelles attaques aériennes et les frappes de missiles balistiques.
Les Patriot espagnols seront implantés en janvier prochain dans la région d'Adana (sud-ouest de la Turquie), a-t-il fait savoir.
Toujours d'après M.Morenes, le déploiement des missiles et l'envoi de soldats qui remplaceront le contingent néerlandais en place ne sont pas liés à la formation de la coalition internationale chargée de combattre les djihadistes de l'Etat islamique (EI), qui se sont emparés de vastes territoires en Irak et la Syrie.
Auparavant, l'Espagne a déclaré que son armée ne participerait pas directement aux bombardements des positions de l'EI.
18.09.2014 Romandie.com (ats)
Une opération antiterroriste d'une ampleur sans précédent a été menée à Brisbane et à Sydney par plus de 800 agents, a fait savoir la police australienne. Quinze personnes ont été placées en détention afin de contrecarrer "des actes de violence" en Australie.
"Nous estimons que le groupe contre lequel nous avons lancé cette opération avait l'intention et avait commencé à planifier des actes de violence, ici en Australie", a déclaré le chef de la police fédérale Andrew Colvin. "Ces actes consistaient notamment en des attaques aveugles contre des civils", a-t-il ajouté.
Il s'agit de la plus grande opération de ce type jamais organisée en Australie. Pour le moment, une personne a été mise en examen pour de graves délits liés au terrorisme, selon la police.
Interrogées sur le fait de savoir si les personnes détenues étaient liées au groupe Etat islamique (EI), les autorités ont indiqué que des précisions apparaîtraient plus tard dans la journée lors d'audiences devant les tribunaux.
Les forces de l'ordre avaient été placées la semaine dernière en état d'alerte "élevé", Canberra craignant que des extrémistes revenus d'Irak ou de Syrie ne commettent des attentats. Les autorités évaluent à 160 le nombre d'Australiens partis faire le jihad. Une vingtaine seraient rentrés et sont jugés dangereux.
Le Premier ministre Tony Abbott a promis dimanche de participer à la coalition mise sur pied par les Etats-Unis pour combattre l'EI. Il a assuré qu'il allait envoyer 600 hommes aux Emirats arabes unis pour préparer ces opérations.
MOSCOU, 17 septembre - RIA Novosti/La Voix de la Russie
La coopération avec la Russie étant prioritaire pour le nouveau gouvernement irakien, Bagdad continuera d'acheter des armes russes, dont des chasseurs, pour combattre les terroristes de l'Etat islamique, a déclaré le vice-premier ministre Hoshyar Zebari dans une interview à la radio Voix de la Russie.
"L'Irak envisage d'accroître sa coopération avec la Russie dans tous les domaines: politique, économique et, bien entendu, technico-militaire. Nous avons déjà réalisé plusieurs contrats militaires. Une série d'autres contrats signés attendent leur tour. De nouveaux échanges de visites entre des délégations gouvernementales de nos pays auront prochainement lieu", a indiqué le vice-premier ministre irakien.
Il a dans le même temps souligné que les nouveaux achats d'armes russes seraient effectués "en premier lieu pour combattre le terrorisme".
"Il s'agit, entre autres, de nouveaux lots de chasseurs", a affirmé M. Zebari, avant d'annoncer que "l'Irak projetait d'acheter à la Russie le matériel de guerre le plus sophistiqué".
"Les armements livrés cet été par la Russie et le soutien apporté par votre pays ont déjà aidé le gouvernement irakien dans la lutte contre le prétendu Etat islamique. Tout ceci a été très utile et bien à propos", a constaté le responsable iranien.
Selon lui, le but des prochains contacts intergouvernementaux "n'est pas simplement de maintenir, mais d'intensifier la coopération entre l'Irak et la Russie".
"Il s'agit non seulement de la coopération technico-militaire, mais aussi de la coopération dans l'énergie, la construction de centrales électriques en Irak, la mise en valeur de gisements et le rétablissement de nos infrastructures. Je vous assure que le nouveau gouvernement irakien accordera une importance primordiale à la coopération avec la Russie", a souligné le vice-premier ministre.
17 sept. 2014 US Navy
ARABIAN GULF (Sept. 15 and 16, 2014) F/A-18 Hornets and EA-6B Prowlers return to and launch from the aircraft carrier USS George H.W. Bush (CVN 77) supporting strike, surveillance and reconnaissance missions over Iraq. These missions help increase U.S. capacity to target ISIL, and coordinate the activities of the U.S. military across Iraq. (U.S. Navy video/Released)
Sep 16 2014, Douglas Birch and R. Jeffrey Smith - theatlantic.com
Israel has a substantial arsenal of nuclear weapons.
Former CIA Director Robert Gates said so during his 2006 Senate confirmation hearings for secretary of defense, when he noted—while serving as a university president—that Iran is surrounded by “powers with nuclear weapons,” including “the Israelis to the west.” Former President Jimmy Carter said so in 2008 and again this year, in interviews and speeches in which he pegged the number of Israel’s nuclear warheads at 150 to around 300. But due to a quirk of federal secrecy rules, such remarks generally cannot be made even now by those who work for the U.S. government and hold active security clearances. In fact, U.S. officials, even those on Capitol Hill, are routinely admonished not to mention the existence of an Israeli nuclear arsenal and occasionally punished when they do so.
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18.09.2014 Romandie.com (ats)
Des troupes d'élite irakiennes combattaient mercredi les jihadistes près de Bagdad. Au même moment, le président Barack Obama défendait sa stratégie - raids aériens mais pas de soldats américains au combat - pour "détruire" le groupe de l'Etat islamique (EI).
Des avions de chasse américains ont frappé trois cibles de l'EI au sud de Bagdad, tuant au moins quatre jihadistes, selon l'armée irakienne et des chefs tribaux.
Ces frappes étaient destinées à soutenir l'armée irakienne, engagée dans des combats avec l'EI depuis mardi dans le secteur de Fadhiliya, à moins de 50 km au sud de Bagdad. Les soldats "ont combattu jusqu'au milieu de la nuit, mais ne sont pas parvenus à y pénétrer", a indiqué un chef de la tribu des Janabi, en précisant qu'ils faisaient partie de la "Golden Brigade", réputée pour être la meilleure force du pays.
Plus loin de la capitale, sept personnes sont mortes et un pont stratégique a été détruit mercredi dans un attentat-suicide à la voiture piégée à Ramadi, chef-lieu de la province occidentale d'Al-Anbar, où l'armée irakienne affronte l'EI.
Pas de mission de combat
M. Obama, qui a dévoilé la semaine dernière sa stratégie contre l'EI, s'est rendu mercredi au quartier général du Commandement central pour le Moyen-Orient et l'Asie centrale (Centcom), basé à Tampa, en Floride (sud-est des Etats-Unis).
"Les forces américaines qui ont été déployées en Irak n'ont pas et n'auront pas de mission de combat", a-t-il martelé, un peu plus de deux ans et demi après le retrait des derniers soldats américains d'Irak.
"Je ne vous engagerai pas dans une nouvelle guerre au sol en Irak", a-t-il lancé au lendemain de déclarations du général Martin Dempsey, plus haut gradé américain. Il a suggéré que des conseillers militaires pourraient être envoyés au combat.
Plan approuvé
De son côté, la Chambre des représentants a voté en faveur d'un plan d'aide aux rebelles syriens modérés qui doit encore être approuvé par le Sénat, premier volet de la stratégie de Barack Obama. Les représentants ont adopté la mesure, sous la forme d'un amendement à une loi de finances, par 273 voix contre 156.
Elle devait faire l'objet d'un vote un peu plus tard, et le Sénat votera d'ici la fin de la semaine, voire dès jeudi. Le plan approuvé par la Chambre impose à l'administration de soumettre au Congrès tous les 90 jours un rapport sur son exécution, le nombre de combattants syriens formés, la sélection des groupes bénéficiaires de l'aide et l'utilisation des armes et équipements livrés.
17/09/2014 Sources : EMA
Un avion de patrouille maritime Atlantique 2 a effectué aujourd’hui une mission de reconnaissance d’environ 10 heures dans le ciel irakien. Déployé aux Emirats arabes unis depuis le début du mois, cet avion de la Marine nationale effectuait jusqu’alors des vols de reconnaissance maritime dans le Golfe arabo-persique et le nord de l’océan Indien, au titre des missions de connaissance et d’anticipation. Doté notamment de capacités de prise d’images de jour comme de nuit et de moyens de renseignement, cet aéronef appartient à la flottille 23F basée à Lann-Bihoué (Morbihan). Il opère actuellement depuis la base aérienne 104 d’Al Dhafra où il est détaché.
Deux Rafale de l’escadron de chasse 3/30 « Lorraine » de l’armée de l’air ont également effectué aujourd’hui un vol ISR dans le ciel irakien. Ils étaient équipés, comme pour les missions précédentes, de pod RECO NG.
Pour cette mission d’ISR réalisée sous le contrôle tactique du contre-amiral Beaussant, amiral commandant la zone océan Indien (ALINDIEN), les Rafale et l’Atlantique 2 agissent en complémentarité dans le recueil de renseignement sur les positions tenues par les combattants de Daesch. Cette mission a été effectuée, en étroite coordination avec tous nos alliés présents dans la région.
Cette action conjuguée des moyens permet à la France de renforcer sa capacité d’appréciation autonome de la situation et confirme, comme l’a énoncé M. Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense lors de son déplacement du 15 septembre dernier sur la base aérienne d’Al Dhafra, la détermination de la France à s’engager avec ses alliés dans la lutte contre le groupe terroriste Daesch en Irak.
17 sept. 2014 Crédit : Etat-major des armées / armée de l'Air
Le 16 septembre 2014, une patrouille de deux Rafale a effectué un deuxième vol d’ISR (Intelligence Surveillance and Reconnaissance) dans le ciel irakien. Cette mission effectuée en coordination avec les Irakiens, les Emiriens et nos alliés dans la région a durée plus de cinq heures. Elle a nécessité plusieurs ravitaillements en vol qui ont été effectués par un avion ravitailleur français C135.
16/09/2014 Sources : EMA
Une patrouille de deux Rafale a effectué aujourd’hui un nouveau vol d’ISR (Intelligence Surveillance and Reconnaissance) dans le ciel irakien. Cette mission effectuée en coordination avec les Irakiens, les Emiriens et nos alliés dans la région a durée plus de cinq heures. Elle a nécessité plusieurs ravitaillements en vol qui ont été effectués par un avion ravitailleur français C135.
D’autres vols de reconnaissance au départ de la base aérienne française 104 d’Al Dhafra, devraient s’effectuer dans les jours à venir.
16/09/2014 Par Laure Mandeville – LeFigaro.fr
Tandis que les États-Unis se mobilisent au sein de la coalition internationale pour combattre les djihadistes de l'État islamique, les analystes militaires sont perplexes sur la tactique à adopter. Outre les bombardements, ils estiment qu'un engagement au sol est inévitable.
C'est un général des marines à la retraite respecté que Barack Obama vient de charger de coordonner l'effort de guerre international destiné à combattre l'État islamique. John Allen était commandant en chef adjoint de l'armée américaine dans la province irakienne d'Anbar, entre 2006 et 2008, au moment crucial du ralliement des tribus sunnites contre l'insurrection islamiste que combattait alors l'Amérique, expérience jugée précieuse, alors que ces tribus vont à nouveau être l'objet d'une tentative de séduction de Bagdad et de Washington. Il a aussi été chef adjoint du commandement central américain en charge du Moyen-Orient, puis patron de la coalition internationale en Afghanistan entre 2011 et 2013… Allen connaît également très bien le général Lloyd Austin, patron du Commandement central, qui sera chargé de la campagne militaire américaine contre l'EI.
Suite de l’article
Australia is sending Super Hornets, a tanker and an airborne early warning and control aircraft to the United Arab Emirates where they will prepare for possible use against the Islamic State.
Sep. 16, 2014 - By NIGEL PITTAWAY – Defense News
MELBOURNE, AUSTRALIA — Australia is sending up to eight F/A-18F Super Hornet strike fighters, an Airbus KC-30 multirole tanker transport and an E-7A Wedgetail airborne early warning and control (AEW&C) aircraft to the Middle East this week for possible use against Islamic State forces in Iraq.
The Australian contingent will move to the United Arab Emirates where they will prepare for operations, ahead of a government decision regarding Iraq.
The move, which also includes 400 Royal Australian Air Force (RAAF) support personnel and 200 ground troops, was announced by Prime Minister Tony Abbott on Sunday.
The ground troops will include Special Forces, which will be used to train Iraqi military personnel and Kurdish peshmerga fighters.
This marks the first time Australian Super Hornets have been deployed to the region since entering service in 2010, and the first time RAAF combat aircraft have deployed with both organic tanker and AEW&C support.
“The decision to prepare Australian Defence Force personnel for deployment has not been taken lightly,” Air Chief Marshal Mark Binskin, chief of the Australian Defence Force, said in a statement.
“This is a highly complex operating environment which continues to evolve, and we now have a significant amount of detailed planning work to undertake as we prepare for this deployment.
“Disrupting and degrading ISIL will take a comprehensive and sustained effort from the international community. If we do nothing, we risk allowing the shocking acts of ISIL to further destabilize the Middle East region and to spread beyond the Middle East region where it will pose a greater threat to Australians.”
Mark Thomson, a senior analyst with the Australian Strategic Policy Institute, a defense think tank, says the proposed force is a credible contribution by Australia.
“This is an international effort to deal with a problem that we all share. I think from Australia’s point of view, if you look at the scale of forces that we can deploy and recognizing the RAAF is at the moment working to introduce a broad range of platforms to service, this will be a demanding deployment. But I’d say it’s a deployment which is commensurate with Australia’s interests in this issue,” he said.
“I don’t think we should underestimate what the RAAF is doing now, deploying the tankers and the AEW&C with fighters at the same time, at distance from Australia. This is a challenging exercise that they’ll undoubtedly learn a lot from.”
Thomson also said that it is difficult to estimate how long Australian forces will need to remain in the region.
“The word complex doesn’t come close to capturing the situation we’re moving into. Just looking back over the whole Iraq venture from 2002 onwards, it’s been one surprise after another and if you asked the Iraqis what was going to happen, they probably didn’t know ahead of time either,” he said.
“These things are what we as scientists call the emergent properties — there’s a complex interaction that drives the political and military situation in a certain direction, and it’s largely unpredictable ahead of time.
16.09.2014 Romandie.com (ats)
Les combattants kurdes ont repris mardi plusieurs villages chrétiens du nord de l'Irak après des combats contre les jihadistes de l'Etat islamique, a-t-on appris de plusieurs sources.
"Ce matin, les peshmergas ont réussi à expulser les militants (de l'EI) de quatre villages à l'ouest d'Erbil et à en prendre le contrôle", a indiqué un responsable irakien en mentionnant les localités de Hassan al-Sham, Syudan, Bahra et Jisr al-Khadhr. Il a précisé que des tirs de roquettes et de mortiers avaient été échangés lors des affrontements.
"Après des heurts dans la matinée, les peshmergas sont parvenus à libérer plusieurs villages, notamment Hassan al-Sham et Syudan. Les militants (de l'EI) sont maintenant partis", a confirmé une source au sein du patriarchat chaldéen. "Ces villages sont très importants car ils sont proches des villes (chrétiennes) de Bartalla et Qaraqosh", selon lui.
Villes désertées
Ces localités reconquises sont situées dans la plaine de Ninive, qui s'étend d'Erbil, capitale du Kurdistan, jusqu'à Mossoul, deuxième ville d'Irak et contrôlée depuis juin par l'EI.
Des dizaines de milliers de chrétiens d'Irak, la plupart fidèles de l'Eglise catholique chaldéenne, avaient fui en août après une nouvelle offensive de l'EI.
Qaraqosh, la plus grande ville chrétienne d'Irak, et des dizaines de villages s'étaient ainsi vidés de leurs habitants au cours de ce que les dirigeants chrétiens ont décrit comme le pire désastre de la longue histoire de la minorité chrétienne irakienne.
TEL AVIV, 16 septembre - RIA Novosti
Les autorités israéliennes ont renoncé à vendre des drones à l'Ukraine afin de ne pas compromettre les relations avec Moscou, rapportent mardi les médias locaux.
Selon la chaîne de télévision Aroutz 2, le ministère des Affaires étrangères a bloqué le contrat conclu entre l'Ukraine et le constructeur israélien des drones Aeronautics et approuvé par le ministère de la Défense. Aucun commentaire officiel sur ce sujet n'est disponible pour le moment.
La chaîne indique que la Russie a à plusieurs reprises pris en considération les intérêts sécuritaires d'Israël, en renonçant notamment aux livraisons de certains types d'armes en Syrie et en Iran. L'Etat hébreu a pour sa part suspendu sa coopération militaro-technique avec la Géorgie en 2008, peu avant le conflit en Ossétie du Sud.
Les autorités israéliennes s'abstiennent de se prononcer publiquement sur la crise politique en Ukraine, qui a dégénéré en affrontements meurtriers dans le sud-est du pays et compliqué les relations entre la Russie et l'Occident. Le chef russophone de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman s'est toutefois déclaré prêt à contribuer à la normalisation des rapports entre la Russie et l'Ukraine, qualifiant ces deux pays d'"amis de l'Etat hébreu".
16 septembre 2014 Romandie.com (AFP)
Washington - Les frappes aériennes que les Etats-Unis entendent conduire contre le groupe Etat islamique en Syrie vont viser les sanctuaires des jihadistes, a annoncé le secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel mardi lors d'une audition au Sénat.
M. Hagel a indiqué que les raids aériens américains cibleraient les sanctuaires de l'Etat islamique en Syrie. Cela comprend ses centres de commandement, ses capacités logistiques et ses infrastructures.
S'exprimant à ses côtés, le plus haut gradé américain, le général Martin Dempsey, a toutefois prévenu que cette campagne aérienne ne ressemblerait pas à celle menée en 2003 en Irak contre Saddam Hussein. Baptisée à l'époque shock and awe (choc et effroi), elle misait sur une domination rapide de l'ennemi.
Cette campagne contre le groupe Etat islamique sera acharnée et longue, a ainsi souligné le général Dempsey.
Depuis le 8 août, les forces aériennes américaines ont mené 162 raids contre des positions jihadistes en Irak, un cancer selon le président Barack Obama.
Bien que M. Obama ait fait part de son intention de viser les jihadistes en Syrie, aucune frappe américaine ne s'est, pour l'heure, déroulée en territoire syrien.
Si vous attaquez les Etats-Unis, vous ne serez en sécurité nulle part, avait martelé le président américain dans un discours télévisé mercredi.
September 16, 2014: Strategy Page
The United States has declared that it will seek to destroy ISIL (Islamic State in Iraq and the Levant) without putting any troops on the ground in Iraq or Syria. That means no American regular troops will be sent in for offensive combat. Some will be there to help with security around the massive U.S. embassy compound, and perhaps other American facilities as well. There will also be a lot of security contractors. While these are civilians, many are veterans of the U.S. Army, Marines, Special Forces and so on. Given their civilian status, there may be a temptation to use the contractors if a lot of offensive muscle is needed. By the end of the year there will be at least 5,000 American military personnel in Iraq and even more contractors. That number is expected to grow in 2015 is needed.
Meanwhile there will be American troops in combat. These will primarily be special operations troops from the army (Special Forces, Rangers), marines, navy (SEALs) and air force (para-rescue). There will be some similar special operations troops from American allies. Britain and Australia are already in and others are expected to join, including some Moslem special operations units that worked with NATO in Afghanistan.
The U.S. Air Force will also have air control teams on the ground, although these will often work with commando units. Many American special operations troops are trained to act as ground controllers and many have experience in combat doing this. The Western nations prefer to have a Western air controller on the ground confirming what is going to be hit. But this is not absolutely necessary. Nearly all armed UAVs fire their missiles using the vidcams (with zoom) they carry. Manned aircraft (including heavy bombers) have similar capability in the form of targeting pods. These are very popular with fighter pilots, mainly because they contain FLIR (video quality night vision infrared radar) and TV cameras that enable pilots flying at 6,200 meters (20,000 feet) to clearly make out what is going on down on the ground. The pods also contain laser designators for laser guided bombs and laser range finders that enable pilots to get coordinates for JDAM (GPS guided) bombs. Some have software that can identify many military vehicles and systems automatically. The 200 kg (440 pound) pods hangs off a hard point, like a missile, bomb, or fuel tank. Pilots and bomber crews are trained to use these pods to select and hit targets from the air if there is no one on the ground to help out.
The Iraqis and Kurds have some trained air controllers. The Iraqi ones were trained to call in strikes from Iraqi warplanes armed with Hellfire missiles. The Kurdish ones have been known to work with American Special Forces teams. It’s possible some might be allowed to operate on their own. Trusting the Iraqis, with all the bribery, divided loyalties and such is still discouraged.
The commando teams (usually three to a dozen troops) will definitely be on the ground in Iraq. Syria is another matter and they might or they might not. The problem in Syria is that ISIL is not just fighting the government (Assad) troops but also most other rebel factions. ISIL is estimated to have up to 30,000 armed men in Syria and Iraq but this includes many allies (some very recent and who previously were enemies of ISIL). The core (most reliable) ISIL force is less than 10,000 armed men. Some of these guys are very effective in combat and American troops encountered some of them in Iraq earlier. The ISIL “allies” can switch sides very quickly if the Islamic terrorists gets hammered real bad. That will happen if Iraq and the Kurds use their elite (usually special operations) ground forces to go after ISIL. This tactic is no secret to many ISIL men, who are veterans of the 2004-8 terrorism campaign in Iraq and know about how such combinations quickly shattered the Taliban in late 2001 and has hurt the Taliban badly ever since.
While ISIL knows a lot about avoiding smart bombs and missiles they also know that if they are to control their new “Islamic State” (eastern Syria and western Iraq) they have to use bases and concentrate gunmen to deal with armed opposition. There is no tactic that will make ISIL immune to smart bombs under those conditions, not if they still want to control territory in their new “Islamic State.”