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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 19:30
Israel is looking to replace its M109 howitzer

Israel is looking to replace its M109 howitzer

 

 

Mar. 10, 2014 - By BARBARA OPALL-ROME – Defense News

 

 

Israel’s Elbit Systems and a consortium of Israeli, German and US firms are facing off in a high-stakes bid to modernize Israel’s Artillery Corps with new self-propelled guns.

The two candidates for more than $1 billion in multiyear procurement awards were downselected by Israel’s Ground Forces Command from a pool of four prospective bidders, officers here said.

Designated as a priority program by the Israel Defense Forces’ (IDF) General Staff with approved multiyear funding for a first brigade, the future gun will replace 50-year-old M109 howitzers.

The competition pits a new development by Elbit Systems against the Artillery Gun Module by Munich-based Krauss-Maffei Wegmann (KMW) optimized for the IDF by state-owned Israel Aerospace Industries.

Both options must be integrated on the Lockheed Martin-built M270 multiple launch rocket system chassis to maximize commonality of existing inventory and Israel’s recent acquisition of 150 chassis from excess US Army stocks.

“We are going with the 270 chassis in any case due to new excess supplies from the Americans and the savings to accrue through commonality,” said Brig. Gen. Roy Riftin, IDF chief artillery officer.

He added that US-based integration by either Lockheed or Elbit’s Dallas-based US subsidiary will allow the IDF to fund a significant portion of the program with annual US military aid.

Operational requirements call for a fully autonomous 52-caliber cannon capable of firing 155mm projectiles at a rate of at least five rounds per minute, with all shells impacting designated targets at the same time.

In a recent interview, Riftin flagged multiple round simultaneous impact as a key requirement for targeting terrorists, rocket-launching squads and other so-called disappearing targets.

“When the enemy sees the first round, he responds accordingly. But with this simultaneous targeting capability, he can’t disappear. It’s something we need as we adapt to new threats,” he said.

Demonstration of the KMW-based option is planned for this year while Elbit’s tailor-developed alternative should be ready for demonstrations by the end of 2015. Plans call for a deployment of Israel’s first future gun-equipped Artillery Brigade by 2019

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 19:30
Turkey Tests Long-Range Anti-Tank Missile

Turkey intends to use its recently tested MIZRAK-U missile on T-129 attack helicopters being co-produced with AgustaWestland. (AgustaWestland)

 

Mar. 10, 2014 - By BURAK EGE BEKDIL – Defense news

 

ANKARA — Turkey’s state-owned missile specialist Roketsan has successfully tested a long-range anti-tank missile it has been developing, the country’s procurement agency has announced.

 

The first guided firing test for MIZRAK-U was conducted from a Cobra AH-1S helicopter and hit a target at a distance of 3.5 kilometers.

 

The office said that MIZRAK-U would be used in the T-129 attack helicopters being co-produced by a partnership of Tusas Turkish Aerospace Industries and Italian-British AgustaWestland.

 

MIZRAK-U has a maximum range of eight kilometers, and its serial production will start in 2015. The missile has a homing imaging infrared seeker with radio frequency data link and with tandem-high explosive warhead and a laser-seeker option.

 

The missile’s medium-range version, MIZRAK-O, has a four-kilometer range and similar characteristics to MIZRAK-U

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 18:30
Armes: Netanyahu fustige l'hypocrisie de la communauté internationale sur l'Iran

 

 

10 mars 2014 Romandie.com (AFP)

 

EILAT (Israël) - Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a accusé lundi la communauté internationale d'hypocrisie sur l'Iran, en commentant la découverte d'armes à bord d'un navire, envoyées, selon Israël, par l'Iran vers la bande de Gaza.

 

Cet arraisonnement illustre une nouvelle fois l'ère d'hypocrisie dans laquelle nous vivons. Je n'ai entendu tout au plus que des condamnations isolées et molles envers l'Iran de la part de la communauté internationale, a déploré M. Netanyahu lors d'une conférence de presse au port d'Eilat, dans le sud d'Israël, où a été déchargé le cargo arraisonné en mer Rouge par la marine israélienne.

 

Benjamin Netanyahu s'en est pris spécifiquement à la chef de la diplomatie de l'Union européenne (UE), Catherine Ashton, qui effectuait dimanche une visite à Téhéran consacrée au programme nucléaire iranien.

 

J'ai vu des sourires, des mains serrées entre des représentants occidentaux et des dirigeants iraniens à Téhéran, au moment même où nous étions en train de décharger les containers d'armes, a souligné le Premier ministre sur un ton amer.

 

Le Premier ministre a également déploré que les réactions dans le monde à la découverte des armes n'aient pas été à la hauteur du choeur de critiques acerbes qui suit toute annonce de plans de construction dans les colonies israéliennes de Cisjordanie et à Jérusalem-Est.

 

Dès que l'on construit un balcon dans un quartier de Jérusalem, nous entendons un choeur de critiques acerbes contre Israël. Cette hypocrisie est intolérable d'un point de vue moral, et dangereuse, a estimé M. Netanyahu.

 

Avant qu'il ne soit trop tard, le monde doit se réveiller et empêcher l'Iran de développer ses capacités à se doter de l'arme nucléaire, a ajouté le Premier ministre.

 

L'Iran a catégoriquement démenti tout lien avec le bateau arraisonné, et nie chercher à se doter de l'arme nucléaire.

 

Mais M. Netanyahu presse la communauté internationale de maintenir les sanctions économiques contre Téhéran.

 

Une petite partie d'entre elles a été levée en échange d'un gel de certaines activités nucléaires par Téhéran, en vertu d'un accord signé le 24 novembre entre l'Iran et les grandes puissances.

 

La plupart des analystes israéliens se sont montrés sceptiques sur le fait que l'interception du bateau qui transportait notamment 40 roquettes M-302, d'une portée allant de 90 à 160 km, selon l'armée israélienne, suffise à convaincre la communauté internationale de se montrer plus ferme envers l'Iran.

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 17:30
MEDOR : Interaction avec la marine libanaise

 

10/03/2014 Sources : EMA

 

Le 7 mars 2014, au large de Beyrouth, la frégate « Cassard » a effectué un exercice avec le patrouilleur « Sour » de la marine libanaise.

 

Dans le cadre de sa mission de patrouille en Méditerranée orientale, la frégate « Cassard » a effectué une série d’interactions avec les forces armées libanaises (FAL). Un exercice d’assistance incendie mobilisant une équipe de secours du « Cassard » a été envoyée sur le « Sour ». Les marins français et libanais ont ensuite effectué un exercice de tir sur « buts flottants » avec les mitrailleuses de calibre 12.7 mm et les canons de 20 mm. Quatre marins de chaque nationalité ont par ailleurs été accueillis simultanément à bord de chacun des navires.

 

Une délégation d’autorités civiles et militaires libanaises a pu rejoindre le « Cassard » grâce à l’hélicoptère du détachement de la flotille 36F embarqué sur la frégate française. Cette délégation comprenait notamment le commandant en chef de la marine libanaise, ainsi que  des autorités de l’ambassade de France et de la Mission militaire française au Liban. À l’issue de leur réunion de travail, les autorités libanaises ont confirmé l’intérêt de disposer d’une marine adaptée à la défense des intérêts vitaux d’un pays.

 

Dans le cadre de la résolution 1701, les militaires français de la Force Commander Reserve engagés dans le cadre du mandat de la FINUL participent à la montée en puissance des Forces armées libanaises, par le biais d’exercices, de patrouilles, de formations et d’entraînements conjoint réguliers.

MEDOR : Interaction avec la marine libanaiseMEDOR : Interaction avec la marine libanaiseMEDOR : Interaction avec la marine libanaise
MEDOR : Interaction avec la marine libanaise
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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 17:30
photo ADC O Dubois AdTerre

photo ADC O Dubois AdTerre

Des hélicoptères de combat Gazelle d'occasion équipés de missiles anti chars HOT et des hélicoptères EC725 de transport, neufs font partie de la liste des matériels qui seront fournis par la France au Liban

 

10/03 Par Alain Ruello – LesEchos.fr

 

La France et le Liban ont arrêté la liste des matériels financés par l'Arabie saoudite. Odas négociera les contrats pour un montant de 3 milliards de dollars.

 

On en sait un peu plus sur les très importants contrats d'armement que Paris s'apprête à négocier avec Beyrouth, grâce au soutien de l'Arabie saoudite. Lors de la visite de François Hollande à Riyad en décembre dernier, le roi Abdallah ben Abdelaziz Al Saoud avait promis de financer à hauteur de 3 milliards de dollars la modernisation de l'armée libanaise par la France. Depuis, des échanges de très haut niveau ont eu lieu et la liste des matériels concernés, neufs et d'occasion, est désormais arrêtée, a-t-on appris de source proche.

 

La France va fournir des hélicoptères de combat Gazelle d'occasion équipés de missiles anti chars HOT. Mais aussi des hélicoptères EC725 de transport, neufs cette fois-ci. Les appareils sont fabriqués par Airbus Helicopters, l'ex-Eurocopter.

 

Sur mer, le Liban a opté pour 4 patrouilleurs Adroit fabriqués par DCNS et dont un exemplaire a été mis à disposition de la France. A deux différences près. Les Libanais ont opté pour un canon de 76 millimètres (d'origine italienne) plus puissant que celui de 20 millimètres qui équipe le navire de la marine française, mais surtout pour des missiles Mistral. La question des missiles a suscité pas mal de débat, non pas tant par la menace potentielle pour Israël, mais plutôt à cause du risque que ces engins ne tombent aux mains du Hezbollah.

 

Blindés légers

 

Pour ce qui est du matériel terrestre, la liste comprend un certain nombre de blindés légers, du VBL de Renault Trucks Defense au PVP de Nexter. Elle ne comprend pas de chars Leclerc en revanche. Non pas que l'armée libanaise n'en ait pas voulu - elle en a même fait la demande. Mais les Français lui ont déconseillé cette option, les infrastructures routières du pays s'accommodant mal d'un engin de plus de 50 tonnes. Enfin, de par la largeur de son portefeuille de produits, Thales devrait être bien servi, dans le domaine des communications notamment.

 

La « shopping list » étant arrêtée reste maintenant à négocier les contrats. Deux options étaient sur la table : laisser les industriels (pour le matériel neuf) et le ministère de la Défense français (pour l'occasion) traiter chacun de son côté avec Beyrouth, ou bien tout centraliser. C'est cette seconde option qui semble avoir été privilégiée en confiant le dossier à la société Odas. Détenue par l'Etat et quelques-uns des grands industriels tricolores de l'armement ( Airbus Group, Dassault, DCNS...), Odas gère les contrats d'armement d'Etat à Etat entre la France et l'Arabie saoudite. L'amiral Guillaud, ancien chef d'état-major des armées, va en prendre la tête dans quelques jours.

 

François Hollande a demandé que les contrats soient conclus au plus vite. Pour y arriver, Odas va devoir négocier avec l'armée libanaise, un interlocuteur qu'il ne connaît pas. Pour ce qui est du paiement en revanche, les choses sont plus simples, puisque les Saoudiens ont exigé de faire les chèques sur présentation des factures par les Libanais. C'est une condition que les Saoudiens avaient posée lors de la visite de François Hollande à Riyad.

 

Si tous ces contrats sont signés d'ici à la fin de l'année, le millésime 2014 des exportations d'armement françaises comprendra une part inhabituellement élevée de matériels d'occasion.

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7 mars 2014 5 07 /03 /mars /2014 13:30
Anka - Turkish Aerospace Industries

Anka - Turkish Aerospace Industries

 

07/03/2014 Michel Cabirol, à Ankara – LaTribune.fr

 

Dans le cadre de la célébration du centième anniversaire de la République turque en 2023, la Turquie s'est fixé des objectifs ambitieux avec notamment le développement d'un avion de combat de 5e génération, un avion commercial régional...

 

Pour le 100e anniversaire de la République laïque de Turquie en 2023 fondée par Mustapha Kemal Atatürk, Ankara voit les choses en grand, en très grand même dans le domaine de l'aéronautique civile et militaire. La Turquie (17ème puissance mondiale) s'est lancée dans une série de grands travaux très (trop ?) ambitieux tout en  développant une industrie de défense nationale capable de développer et fabriquer des programmes aéronautiques complexes comme, par exemple, un avion de combat de 5e génération. Le secrétariat d'Etat turc aux Industries de défense (SSM) défend une politique d'indigénisation de l'industrie de défense turque tout en multipliant les coopérations avec les entreprises étrangères pour bénéficier de transferts de technologies. Car à terme, Ankara souhaite devenir indépendant sur le plan technologique.

Pour autant, "les Turcs devront faire un tri dans leurs programmes, ils ne pourront pas développer tous leurs programmes de façon concomitante avant 2023", estimait-on dans la délégation française du Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales (GIFAS), qui a emmené la semaine dernière une soixantaine d'industriels lors d'une mission en Turquie. C'est dans ce contexte que ces industriels tricolores, dont notamment des patrons de PME ont fait le déplacement de mardi à vendredi dans quatre villes turques (Istanbul, Ankara, Izmir et Eskisehir) pour prendre contact avec des industriels turcs afin d'identifier puis développer des coopérations.

Une opération plutôt réussie puisque la plupart d'entre eux sont repartis avec des espoirs de partenariats en Turquie, qui est seulement à trois heures de Paris. A charge à eux de concrétiser cette première prise de contact par des coopérations dans les semaines qui viennent.

 

Un avion de combat de 5e génération turc

Le TF-X est le programme phare de la Turquie en matière d'aéronautique militaire. Ce projet d'avion de combat de 5e génération a été confié en 2001 à Turkish Aerospace Industries (TAI) qui est un peu l'équivalent en beaucoup plus petit d'Airbus Group (plus de 800 millions de dollars de chiffre d'affaires en 2013). Le coût du développement du projet est évalué à 70-80 milliards de dollars, hors développement du moteur. Ces appareils, dont le coût unitaire doit s'élever à 100 millions de dollars, devront remplacer à partir de 2025 les F-16 américains et les avions d'entrainement T-38 de la Turkish Air Forces (TAF). Le vol inaugural est prévu en 2013.

Mais en mars 2013, les Turcs ont fait appel à Saab pour aider TAI à la définition du design de l'appareil. En mai 2013, TAI a présenté trois versions possibles : un monomoteur adoptant un design proche du F-22, un bimoteur ou enfin un monomoteur plus petit avec des ailes-canard. En matière de motorisation, les Turcs ont envoyé des RFP (Request for proposal) en demandant une poussée de 10 tonnes. Ce qui semble exclure le M-88 de Snecma (7,5 tonnes actuellement). Certains industriels français considèrent que les appels d'offre rédigés par le secrétariat d'Etat turc aux Industries de défense sont clairement orientés pour des industriels américains.

 

Un avion d'entrainement et un drone MALE

Parallèlement à l'avion de combat, la Turquie est en train de développer un programme d'avion d'entrainement, le Hurkus dérivé de l'appareil coréen de Korean Aerospace Industries (KAI) le KT-1. Cet appareil, qui sera utilisé pour la formation des pilotes turcs, a fait son premier vol en août 2013. TAI compte le certifier avant la fin de 2014. En décembre 2013, Ankara a signé un contrat pour l'acquisition de 15 Hurkus B (version civile) et un contrat de développement du démonstrateur Hurkus C (version militaire). Deux versions qui sont proposées à l'export.

Ankara a également lancé en 2004 un programme de drone MALE, baptisé ANKA, qui a fait son premier vol en 2010. Mais les deux prototypes développés se sont écrasés au cours des essais. Premier drone de fabrication turque, ANKA a été commandé par l'armée turque à dix exemplaires, qui devront être livrés entre 2016 et 2018. ce drone a été proposé à l'exportation, notamment en Egypte, Pakistan, Libye, Azerbaïdjan…

 

Un hélicoptère léger et un avion régional

Ankara ambitionne de développer un hélicoptère léger, un programme lancé en juin 2010. Cet appareil - un bimoteur de cinq tonnes - doit remplacer les vieux UH-1 de la flotte militaire turque. En octobre 2012, TAI a proposé un hélicoptère dual à partir des technologies transférées dans le cadre de la coopération avec le constructeur américain Sikorsky sur les hélicoptères de transport T-70, une version adaptée du S-70 pour la Turquie. Ankara devrait faire appel à un motoriste étranger pour équiper cet appareil. Turbomeca est sur les rangs.

Enfin, le gouvernement turc a annoncé en mars 2013 avoir l'intention de lancer un projet d'avion régional produit localement. Avec pour objectif, une entrée en service en 2023. Pour l'heure, rien ne semble tranché. Ankara ne sait pas encore si ce programme sera un jet ou un turbopropulseur, qui semble-t-il à la préférence de TAI. Pas d'information précise sur la capacité de cet appareil, qui navigue entre 60 et 120 places. Enfin, sera-t-il produit sous licence ou développé et produit localement ? Ce programme bénéficierait ( ?) d'un financement du gouvernement de 1 milliard de dollars.

 

Des satellites d'observation et de télécoms et un lanceur

 Dans l'observation de la Terre, la Turquie développe le programme Gokturk, qui répond aux besoins de surveillance du territoire et de l'environnement. Lancé par la fusée chinoise Longue Marche, le satellite Gokturk 2 est en orbite depuis décembre 2012. Ankara a confié à Thales Alenia Space (TAS), via les italiens Telespazio,  la maîtrise d'oeuvre du système Gokturk-1A, qui sera lancé fin 2014 à partir de Kourou par le lanceur italien Vega. Dans les télécoms, Ankara veut opérer d'ici à 2025 quinze satellites en orbite (contre quatre aujourd'hui). Enfin, la Turquie a annoncé en juin 2013 la volonté de développer un projet de lanceur confié au groupe Roketsan.

D'une façon générale, la Turquie, qui consacre 1,1 milliard de dollars à l'espace, souhaite accélérer la maîtrise de ces programmes pour devenir un acteur majeur de l'industrie spatiale. C'est dans cet esprit que le pays a créé une agence spatiale nationale pour à terme assembler en Turquie des satellites de télécoms. TAS accompagne TAI dans la maîtrise d'oeuvre des futurs programmes. En outre, un centre d'intégration clé en main a été construit par l'industrie franco-italien.

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6 mars 2014 4 06 /03 /mars /2014 08:30
Armed On the Ground

 

 

30/1/2014 Ami Rojkes Dombe - israeldefense.com

 

Unmanned Ground Vehicles fitted with Remotely Controlled Weapon Stations are a part of the future battlefield. “Our goal is to adapt the stations to a wide range of UGV types,” says Yizhar S., in charge of land systems marketing at Rafael

 

Unmanned Ground Vehicles (UGVs) on the battlefield are an established fact. If, until a few years ago, anyone doubted the feasibility of this technology, he should look to the Order of Battle of the US Army to understand the global trend – in 2004 the US Army had about 150 UGVs, and today their ORBAT consists of tens of thousands. For the Israeli industries, it is a developing global market. According to various forecasts, it is expected to reach a turnover of about $12 billion by 2019.

One of the derivatives of this market consists of ‘shooter’ UGVs. Admittedly, this is a problematic technology, to say the least, in terms of ethics and safety, but as far as operational aspects are concerned, a UGV fitted with a Remotely Controlled Weapon Station (RCWS) is the ‘Silver Bullet’ in the eyes of many. The ability, on the one hand, to initiate offensive action, including fire, while on the other minimizing the risk to human life to zero, is attractive not only to field commanders and warfighters, but also to the politicians, who identify in this technology a breakthrough political tool.

“The development of weapon stations for UGVs is one of the objectives of Rafael’s business strategy,” says Yizhar S., in charge of land systems marketing at Rafael. “Over the last few years we gained extensive experience in this field, from a layout of stationary weapon stations on towers, which includes between four and six weapon stations controlled from a distance of several kilometers through optical fibers, to weapon stations fitted to such unmanned vehicles as the Protector USV.

“As the development processes for the sea and land theaters take place at Rafael under the same division, the knowledge we gained through the development of the Protector USV is used in the development of ground vehicles as well. Admittedly, there is a difference between the environments and the conditions under which the vehicles are operated, but as far as the aspects of steering, safety and control are concerned, both environments are similar. On land it is a little more difficult to steer the vehicle, owing to the changing terrain conditions, but we have already found solutions for these challenges.

“One should bear in mind that this technology precedes most of the world in this field. We are currently participating in one of the world’s first projects involving the mounting of a weapon station on a UGV used by IDF. In the context of this project, we examine the feasibility of arming several vehicles, commanded remotely using cameras and other sensors. It is another phase in the development of the technology, pursuant to the last five years during which the IDF have been employing stationary Sentry-Tech weapon stations.”

 

Adapting Weapon Stations to UGVs of Various Sizes

Another challenge Rafael is addressing calls for the dimensions of the weapon stations to be reduced so that they may fit UGVs of various sizes. “Our weapon stations are basically suitable for standard vehicles,” explains S. “For small UGVs whose load carrying capacity is limited – and most of them belong in this category – the weapon stations need to be smaller. We have an idea for the development of a station for small firearms such as a handgun, but it will be a relatively long development process. Once completed, Rafael will have a diversified range of weapon stations in various sizes, which would provide solutions for a diversified range of ground platforms at different price levels.

“As far as the technological aspect is concerned, Rafael’s advantage stems from the ability to control the weapon station and from its safety standards. We are world leaders in this field, mainly owing to the requirements of the IDF, which are a highly advanced military regarding the field of weapon stations, compared to other armed forces. Even the Americans do not rush to adopt such stations owing to the safety issue. We have passed the safety tests of the IDF for the sea environment as well as for the land environment. All that remains are technological challenges with which we would be able to cope.”

The technological complexity notwithstanding, there is still no structured regulation around the world for the field of shooter UGVs. He explains that in Europe and the US they seldom address this issue owing to the safety aspects. Asia and South America are still untapped markets for this field, so at this point there is not a lot of demand for these vehicles.

“This technology will remain the domain of very few countries in the future as well,” says Yizhar S. “The target audience for these vehicles will be relatively limited, owing to safety considerations. At the same time, as long as there is demand in the IDF, we will continue to develop this field. In the world of HLS it is not likely that shooter UGVs will enter service with police forces and we would see them on city streets. In the end, what you have here is an unmanned, armed vehicle that you want to deploy in an urban environment teeming with people. There is still a lot of apprehension around this issue.”

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 20:30
Le Koweït acquiert des batteries de missiles Patriot supplémentaires

 

03/03/2014 Romain Guillot - journal-aviation.com

 

Raytheon a confirmé l’annonce du Pentagone du 28 février concernant l’acquisition par le Koweït de deux batteries de missiles de défense antiaérienne Patriot supplémentaires.

 

Le contrat, qui comprend des équipements de rechange, est estimé à 655 millions de dollars.

 

À l’instar des kits de modification contractualisés à la fin de l’année dernière, le nouveau contrat koweïtien concerne la version PAC-3 (Patriot Advanced Capability-3).

 

Les livraisons s’étalent jusqu’en avril 2018.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 20:30
Cobham awarded major contract to support Royal Saudi AF training

 

Mar 5, 2014 ASDNews Source : Cobham Plc

 

Cobham has been awarded a 30 month contract by BAE Systems to provide air support to operational readiness training for the Royal Saudi Air Force. The contract is part of the Saudi British Defence Cooperation Programme and will run from 2014 to 2016.

 

The contract builds on Cobham’s 25 years’ experience supporting operational readiness training for armed forces in the United Kingdom and for the North Atlantic Treaty Organisation (NATO). Cobham’s specialist technology and know-how is used to provide training to service personnel operating platforms, including the Typhoon, Tornado and Type 45 Destroyer. Cobham Aviation Services supports training in the United Kingdom and a number of the Ministry of Defence's overseas detachments in regions such as North America and the Middle East.

 

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 18:30
Sikorsky And Turkey Sign Deal On Building Variant of Black Hawk Helicopter

 

March 5, 2014. David Pugliese Defence Watch

 

News release from Sikorsky:

 

Sikorsky Aircraft Corp., a subsidiary of United Technologies Corp. (NYSE: UTX), has signed agreements with the Turkish government and key Turkish aerospace contractors that license Turkey’s aerospace industry to manufacture 109 T-70 helicopters (Turkish variants of Sikorsky’s S-70i™ International BLACK HAWK helicopter) for operation by the Turkish Government, and to assemble 109 S-70i™ helicopters for Sikorsky.

 

The agreements license the transfer of certain manufacturing technology to Turkish industry, and provide for the potential to produce up to a total of 600 aircraft, including both T-70 units for Turkish indigenous use and S-70i™ aircraft for export over the next 30 years. The agreements are subject to requisite export approvals.

 

“This program is unprecedented in Sikorsky’s 90-year history,” said Sikorsky President Mick Maurer. “We have signed contracts that collectively will raise our already strong supplier and customer relationships in Turkey to levels that we expect will endure for decades. We are very pleased that these agreements also will potentially open additional markets for the world’s leading utility military helicopter while strengthening Turkish industry’s position as a world-class aerospace provider.”

 

Under the program, known as the Turkish Utility Helicopter Program, Sikorsky has signed agreements with the Turkish Undersecretariat for Defence Industries (SSM) and two Turkish defense contractors, Turkish Aerospace Industries, Inc. (TAI) and Aselsan A.S. TAI is the prime contractor for T-70 licensed production and assembly in Turkey for multi-mission use by the Turkish government. The aircraft will be assembled in Turkey by TAI and will include components supplied by Sikorsky and other American and Turkish companies. Aselsan will develop a new cockpit avionics system that will be featured in the T-70 aircraft.

 

Turkey’s Defence Industry Executive Committee has reported a total program value of $3.5 billion, inclusive of the work to be performed by Sikorsky, TAI and other TUHP suppliers. In addition to the work with TAI and Aselsan, Sikorsky will expand the manufacturing capability of Alp Aviation, which is 50 percent owned by Sikorsky.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 18:30
Brig. Gen. Shmuel Olansky

Brig. Gen. Shmuel Olansky

 

2/3/2014 Or Heller - israeldefense.com

 

The reform in the IDF Armored Corps is taking shape. The IDF Chief Armor Officer, Brig. Gen. Shmuel Olansky, in an exclusive interview with Israel Defense

I am not sure where I would rather be with all of the threats we face today," begins the IDF Chief Armor Officer, Brig. Gen. Shmuel Olansky. "On foot behind a rock, or inside the Merkava Mark-IV tank fitted with the Aspro-A/Trophy system or on board the APC moving alongside that Merkava tank."

In view of the realization that wars have changed and reality has changed, the IDF Armored Corps is changing as well. Brig. Gen. Olansky is very clear and confident about the principles of the reform he is currently leading. "Alongside the tanks, which lead the battalion combat effort, we want to prepare the combat task force for the challenges facing it by empowering the armored/mechanized infantry within the armored (tank) battalions. In each armored battalion, we are assembling a combat support company that includes a mortar platoon, a surveillance element capable of calling in and directing fire support, and a reconnaissance platoon. All of these elements, along with the tanks that will continue to lead the maneuver, will make up a battalion-size combat task force that is relevant to today's battlefield. We have here a new world of content in the Armored Corps – combat reconnaissance."

What is the timetable for the implementation of the new plan?

"We intend to recruit the first company out of the November 2013 recruitment class. These recruits will take the complete training course, thirty weeks at the IDF Armored Corps School, where they will learn the Armored Corps occupational skill and then be divided into their respective specialized skills: scout, mortar operator and observer/surveillance operator. The graduates will make up the combat support companies within the armored battalions. We are currently reorganizing the entire tank OrBat of the IDF."

Will you be making adjustments in the Armored Corps training courses and seminars?

"Certainly. I am currently assembling armored/mechanized infantry companies just like those of the infantry brigades, possessing the same capabilities with the exception of extended operations on foot, as they will operate near the tanks. We have an opportunity here to empower the remaining elements. Today's armored/mechanized infantry warfighter looks exactly the same as an infantry warfighter, with the exception of the purpose-specific weapons, which they do not need."

The Aspro-A/Trophy system has, until now, operated effectively on the Gaza line in isolated and rare incidents of antitank fire. But how would this system operate during the third Lebanon war opposite a rainstorm of antitank missiles fired at each tank?

"That's just it. This system is excellent. The technology was considered fictional ten years ago. I suggest we refrain from terrorizing ourselves. Antitank fire does not come as a rainstorm. Even in antitank-saturated scenarios we have a range of capabilities for coping with the threats. As our maneuver becomes more substantial, the capabilities of the Aspro-A/Trophy system will come more significantly into play. Additionally, our range of capabilities will include a surveillance capability – for spotting the antitank threats; our surveillance elements will be able to call in and direct the fire of Keshet 120mm mortars; our reconnaissance platoon will possess the ability to recognize the antitank threats in advance, and our tanks will possess the ability of firing a round at the threat."

"Do Not Mourn the Syrian Army"

What do we know about the state of the Syrian armor after more than two and a half years of a bloody civil war? Is it still a significant player?

"Firstly, we know that it is much better trained now, as it has been fighting. It brushes with the opposition forces in the context of the civil war. At the same time, they have also experienced wear as a result of the on-going fighting, but it still exists. I do not know how many tanks the Syrian Army has lost in the civil war, they have been fighting for two and a half years. On the other hand you realize that people who fight become more proficient and stronger. The Syrian armor is definitely a significant player in the Middle East. I would not hasten to mourn the armored divisions and the land maneuvering capability of the Syrian Army."

But even in your presentations you focus on the fact that the fighting has shifted from the front line into the depth of the territory, namely – a war of rockets and missiles against the Israeli rear area, so how does the Armored Corps fit in?

"Even before the civil war in Syria broke out, we had observed those trends in the Syrian Army. The Syrian Army disbanded armored units and established commando units instead. They acquired antitank systems and demolition capabilities. The Syrians developed a substantial rocket layout. These were not just the trends within the paramilitary organizations. We observed the same trends in the Syrian Army, too. At the same time, they still have armored divisions and tank brigades that use T-72 tanks. They are there, and they are well-trained."

How would an encounter between a T-72 tank and a Merkava Mark-IV tank look in 2013? Is there any chance here for a fair fight?

"There is no fair fight here. The Merkava Mark-IV tank is a true masterpiece. It possesses capabilities that are superior to those of any other tank worldwide, and no one even comes close. This applies to crew protection, to trafficability and to fire control. In some aspects it is 'only' in first place. With regard to most aspects, however, it is far beyond anything else out there."

If the third Lebanon war should break out tomorrow morning, in what way will the maneuver executed by the Armored Corps be different in view of the lessons derived from the summer of 2006?

"The maneuver will be much stronger and faster, with a complete envelope of structured and precise intelligence gathering and fire employment activities. We will see combined operations of tanks with infantry and assault engineering elements, but a maneuver is still a maneuver. Its objective is to transfer strength from the contact line deep into the enemy territory. Just like in all of the wars that we had, that is what we will see in our future wars – a battalion-size combat task force with massive strength and firepower, which protects itself and reaches the point where its strength is utilized to maximum benefit – through firepower, through its scoring capabilities. In view of the threats we face today, I believe there's no escaping the need to maintain a strong and fully-prepared ground layout and to employ it when necessary in order to bring the campaign to an end as soon as possible.

"We would not be able, opposite Lebanon, to maintain a campaign of wearing out the opponent through the use of fire, like we did in Operation Pillar of Defense, for instance. Many people say 'here, we saw during Operation Pillar of Defense that a maneuver is no longer necessary.' But in Operation Pillar of Defense, the very fact that the maneuver was poised and ready to launch cut the duration of the fighting short. Secondly, Lebanon and Syria are not the same as the Hamas in Gaza. They will not be influenced by strategic players (like Egypt) as Hamas was. In Lebanon and Syria, if we want to bring about a prompt conclusion of the campaign, we will have no other choice but to maneuver into the enemy's centers of gravity, and the armored forces will execute and lead that maneuver, as they know how to do it quickly and forcefully."

How will a task force maneuver if it is made up, theoretically, of Merkava Mark-IV tanks fitted with the Aspro-A/Trophy antitank missile interception system on the one hand, while the infantry elements still ride in the outdated and vulnerable M113 APCs?

"I think that if you examine the land solution, you will realize that it is a good solution. Would I prefer something better? Of course I would. We do not live in a bubble and we realize that the defense budget is a derivative of the economic situation. It is a restriction that applies to us which I cannot ignore. Where I would have liked to invest the extra money is a question I ponder all the time. I think that as long as the M113 APC operates in the environment of a complete battalion system, I will have no doubts about committing to battle the battalion combat task force and all elements thereof."

What was your contribution as Chief Armor Officer to the staff work ordered by the decision of the Chief of Staff to disband six tank brigades using the old 'Patton' tanks?

"We are disbanding layouts that are outdated layouts that had reached the end of the road. The logic here is both conceptual and operational. It is not that we had called out a random number and then went on to look for what we could disband. Obviously, we would prefer that instead of the brigades we disband ten more Merkava Mark-IV brigades would have been established, but we live in a certain reality that we cannot ignore. The people at IDF GHQ sat down and thought and conducted discussions and carried out simulations and examinations, but eventually you realize that some layouts had reached the end of the road, like the 'Patton' and Merkava Mark-I tanks. But let's talk about the bright side – next year, the IDF 7th Armored Brigade will be converted to a Merkava Mark-IV brigade!"

Still, when there are voices at IDF GHQ who speak about the end of the armor-versus-armor battle era, what is the future you envision for the tank in the IDF?

"I think that precisely at the 40th anniversary of the Yom-Kippur War, we realized what our forefathers had understood since the days of the Bible: that the land maneuver has always been and will always be necessary in order to gain an overbalance in a war. The armored forces will be right there at the head of the land maneuver, with the tanks in front, surrounded by the envelope. We will reach the end of the maneuver era when we have reached the end of the era of wars. I still do not see an end to the era of wars. But if we do not train and practice, we will be less proficient – it's all very straightforward."

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 17:30
Crise sans précédent au sein du club des monarchies du Golfe

 

 

05 mars 2014 Romandie.com (AFP)

 

RYAD - Une crise sans précédent a éclaté au sein du club des monarchies arabes du Golfe, dont trois membres, conduits par l'Arabie saoudite, ont décidé mercredi d'isoler le Qatar, accusé de soutenir activement la mouvance islamiste.

 

L'Arabie, les Emirats arabes unis et Bahreïn ont rappelé leurs ambassadeurs au Qatar, reprochant à Doha ses ingérences dans les affaires de ses voisins, une première dans l'histoire du Conseil de coopération du Golfe (CCG), qui rassemble depuis 1981 six monarchies du Golfe.

 

Doha a aussitôt regretté cette décision et affirmé qu'il n'allait pas retirer ses ambassadeurs des trois pays.

 

Dans un communiqué, le Qatar a évoqué des divergences sur des questions régionales et affirmé sa détermination à respecter ses engagements au sein du CCG, y compris concernant sa stabilité et la sécurité de ses membres.

 

Le retrait des ambassadeurs a été annoncé au lendemain d'une réunion, houleuse selon la presse, des ministres des Affaires étrangères du CCG à Ryad.

 

Les pays du CCG ont tout fait auprès du Qatar pour s'entendre sur une politique unifiée (...) garantissant la non-ingérence de façon directe ou indirecte dans les affaires internes de chacun des pays membres, affirment dans un communiqué commun les trois pays.

 

Ils ont demandé au Qatar de ne soutenir aucune action de nature à menacer la sécurité et la stabilité des Etats membres, citant notamment les campagnes dans les médias, une allusion à Al-Jazeera.

 

Cette chaîne, outil de la diplomatie du Qatar, a toujours exaspéré les pays de la région, et selon les experts, elle s'emploie à soutenir les islamistes, notamment en Egypte.

 

L'Egypte a exacerbé les différends

 

Le communiqué souligne qu'en dépit de l'engagement à respecter ces principes pris par l'émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani, lors d'un mini-sommet avec l'émir du Koweït et le roi d'Arabie à Ryad en novembre, son pays ne les a pas respectés.

 

Ce mini-sommet, à l'initiative de l'émir du Koweït, cheikh Sabah al-Ahmad Al-Sabah, était destiné à surmonter le profond désaccord entre Doha d'une part et Ryad, Abou Dhabi et Manama de l'autre sur la conduite à suivre face au nouveau pouvoir installé par l'armée en Egypte en juillet 2013 après l'éviction du président islamiste Mohamed Morsi.

 

Les trois pays ont perdu tout espoir d'un changement de la politique du Qatar. Ils ont été profondément déçus, a estimé à l'AFP l'analyste émirati Abdelkhaleq Abdallah.

 

L'émir du Qatar n'a pas pu honorer son engagement (...) et il semble que la vieille garde est toujours active et influente au Qatar, a-t-il estimé, évoquant l'entourage de cheikh Hamad Ben Khalifa Al-Thani, qui avait abdiqué en juin en faveur de son fils, Tamim.

 

Pour Ryad, Abou Dhabi et Manama, il est temps d'exercer des pressions sur le Qatar dans l'espoir que l'isolement de ce pays l'amène à changer sa politique, désormais inacceptable aux plans arabe et régional, a indiqué M. Abdallah.

 

Ce richissime pays gazier, dont la diplomatie a pris une dimension démesurée dans la foulée du Printemps arabe, s'est ainsi rangé ouvertement du côté des Frères musulmans écartés du pouvoir en Egypte, tandis que les trois autres pays ont apporté un soutien massif tant politique que financier au nouveau pouvoir égyptien.

 

Outre ce dossier, le Qatar est soupçonné par ses trois voisins de soutenir les islamistes proches des Frères musulmans dans leurs pays, dont des dizaines ont été condamnés à la prison aux Emirats arabes unis.

 

La justice des Emirats vient de condamner un Qatari à sept ans de prison. Il était poursuivi pour collecte de fonds au profit d'islamistes dans ce pays, accusés de vouloir renverser le régime.

 

La crise, qui couvait depuis plusieurs mois, s'était déjà manifestée en février par le rappel par les Emirats de leur ambassadeur à Doha, pour protester contre des propos de l'influent prédicateur islamiste Youssef al-Qaradaoui, accusant Abou Dhabi d'hostilité envers les Frères musulmans.

 

Au Koweït, président en exercice du CCG, le président du Parlement Marzouk al-Ghanem s'est dit très inquiété par le rappel des ambassadeurs, émettant l'espoir que cette mesure n'affectera pas le sommet arabe prévu fin mars à Koweït.

 

Le CCG comprend, outre l'Arabie saoudite, Bahreïn, les Emirats arabes unis, le Koweït et le Qatar, le sultanat d'Oman, connu pour sa politique réservée.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 17:30
Raids d'hélicoptères de l'armée syrienne au Liban près de la frontière

 

05 mars 2014 Romandie.com (AFP)

 

BEYROUTH - Des hélicoptères de l'armée gouvernementale syrienne ont effectué mercredi plusieurs raids au Liban près d'Arsal, une ville frontalière sunnite qui affiche ses sympathies avec les rebelles en Syrie, ont indiqué des témoins et l'agence de presse officielle libanaise.

 

Les raids ont visé une région montagneuse assez désertique dans les environs d'Arsal, près de la frontière, ont affirmé des témoins.

 

Selon l'Agence nationale d'information (ANI) les raids ont visé les régions de Kherbet Younine et Wadi Ajram.

 

Il n'a pas été possible de savoir s'ils ont fait des victimes.

 

Dans l'après-midi, l'ANI a fait état de raids supplémentaires autour d'Arsal, qui auraient fait des blessés, sans donner plus de détails.

 

L'aviation et les hélicoptères de l'armée syrienne mènent régulièrement des raids sur la partie libanaise de ce secteur frontalier.

 

En décembre, pour la première fois, l'armée libanaise avait riposté à l'aide de ses défenses antiaériennes lors d'une attaque similaire près d'Arsal.

 

Par ailleurs, deux obus ont été tirés à partir de la Syrie sur un secteur inhabité près de Nabi Chit, un village libanais à la frontière syrienne et fief du mouvement chiite libanais Hezbollah qui combat avec l'armée contre les rebelles en Syrie.

 

Les habitants d'Arsal soutiennent les insurgés contre le régime du président Bachar al-Assad. La ville accueille des dizaines de milliers de réfugiés syriens venus en grande majorité de la région de Qalamoun, proche de la frontière libanaise, où l'armée syrienne et le Hezbollah mènent une offensive d'envergure contre les rebelles.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 17:30
Tsahal arrête un cargo d’armes en provenance d’Iran

 

mars 5, 2014 Tsahal

 

Durant la journée (05/03/14), Tsahal a arrêté une tentative de contrebande d’un cargo rempli d’armes de pointe en provenance d’Iran et destiné aux organisations terroristes opérant dans la bande de Gaza.

 

L’opération a été rendue possible grâce à une combinaison de renseignements avancés et une capacité opérationnelle importante. Ce cargo devait arriver aux mains des organisations terroristes de Gaza qui se livrent à un conflit constant contre Israël. Ces organisations terroristes utilisent systématiquement de telles armes contre la population civile d’Israël.

 

La nuit dernière, suite à de longues préparations et après l’autorisation du gouvernement israélien, le chef d’état-major, le lieutenant-général Benny Gantz, a ordonné à la Marine israélienne d’arrêter le cargo Klos-C, au bord duquel était chargées les armes illégales.

 

Des forces spéciales de la Marine israélienne ont arrêté le cargo en pleine mer, conformément au droit international, et y ont mené une première inspection. Durant les recherches, de nombreuses armes de pointe ont été trouvées. La Marine israélienne est actuellement en train de rapatrier le cargo vers les côtes israéliennes.

 

Le porte-parole de Tsahal pour la presse internationale, le lieutenant-colonel Peter Lerner, a déclaré : “Tsahal continuera d’agir contre les tentatives iraniennes d’armer les organisations terroristes de la région qui tentent continuellement d’enflammer nos frontières. Nous continuerons à employer tous les moyens nécessaires dans le but d’empêcher l’armement des organisations terroristes et nous combattrons les tentatives de contrebande iraniennes qui menacent la sécurité et la souverainté de l’État d’Israël.”

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 16:30
Israel Sizes a Gaza-Bound Shipload of M-302 Heavy Rockets

Israeli naval commandos inspecting wooden carts containing Syrian made M-302 rockets loaded on the KLOS-C at the Iranian port of Bandar Abbas. the rockets were later covered with another cargo of cement, loaded at the Iraqi port of Um Qasr. The destination of the cargo was Port Sudan in the Red Sea. Photo: IDF

 

March 5, 2014 by Tamir Eshel - defense-update.com

 

Earlier today the IDF naval forces have seized a large shipment of weapons sent from Iran and destined to the Gaza strip. The shipment was discovered on a cargo vessel intercepted in the Red Sea on its way from Iran to Sudan. The vessel is currently heading under Israeli control to the Israeli port of Eilat, where it is expected to anchor in 2-3 days. The operation, code named “Full Disclosure” was based on precise intelligence collected throughout the Middle east, that enabled the IDF to locate, track and eventually seize the shipment en-route to the Gaza Strip.

Last night, following extensive preparations, and on the government’s authorization, the IDF Chief of the General Staff, Lieutenant General Benjamin (Benny) Gantz, ordered the Israel Navy to intercept the Klos-C, a Panama registered cargo vessel that departed from the port of Um Qasr in Iraq 22 February carrying civilian cargo. IDF naval commandos that boarded the vessel have found a load of Syrian made M-302 (302mm) heavy rockets. The Israeli raid took place a day before the ship was set to dock in Sudan, some 1,500 kilometers off the coast of Israel.

The KLOS-C loaded the rockets at the Iranian port of Bandar Abbas. From there she sailed to the port of Umm Qasr in Iraq, taking another load of cement destined to Port Sudan in the Red Sea.

The KLOS-C loaded the rockets at the Iranian port of Bandar Abbas. From there she sailed to the port of Umm Qasr in Iraq, taking another load of cement destined to Port Sudan in the Red Sea.

Several months ago, IDF intelligence identified a weapons transfer of M-302 rockets, known to be manufactured in Syria, from Damascus to Tehran. These rockets were being flown from the International Airport in Damascus to Iran in a move carefully orchestrated by the Quds Force. This unusual event caught the attention of Israeli intelligence, as most arms transfers are taking place from Iran to Syria, not vice versa.

After landing in Tehran the shipment was moved to the port of Bandar Abbas, south of the Straits of Hormoz, where it was subsequently loaded onto a Panama registered commercial cargo vessel identified as the KLOS-C. This is the same port used to load up the Francop, another ship involved in an Iranian weapon smuggling attempt in 2009.

From Bandar Abbas the KLOS-C sailed to Umm Qasr Port in Iraq. It was loaded with more containers, all
holding bags of cement – in an attempt to obscure its true cargo and Iranian connection. From Iraq the ship headed towards Port Sudan. As the ship entered the Red Sea, it was intercepted by Israeli naval forces, including missile ships and the Naval Commando (Shayetet 13) who boarded the vessel and uncovered its illegal cargo. The Israeli authorities believe that the rocket cargo would have been unloaded in Port Sudan and the rockets would have been transferred via land, through the Sinai Peninsula reaching Gaza few weeks later.

The KLOS-C seen at one of its recent port visits. Photo: Super Jeeg, Marinetraffic.com

The KLOS-C seen at one of its recent port visits. Photo: Super Jeeg, Marinetraffic.com

According to Israeli assessments, KLOS-C may not be the first arms smuggling ship that is intercepted by the IDF, but it is distinguished by the lethality and quality of its cargo – previous shipments contained standard weaponry such as mortars, rifle ammunition, and 122/220mm rockets rockets. This shipment, while certainly containing some of these, comprised weapons with a dramatically larger strike range and substantially heavier rocket warheads than previously seen in the region.

M-302 rockets were used against Israel during the 2006 war, fired by Hezbollah against targets in Central Israel. The basic model first appeared during the early 1990s carrying a 170kg warhead over a range of 90-100 km (55-60 miles). It have since evolved into different variants offering strike ranges between 100 to 215 km and warhead weight of 175 – 125 kg.

Seizing the weapons cargo of the KLOS-C is one in a series of successful operations conducted by the Israel Navy, against Iranian weapons shipments destined to Gaza in recent years. On January 22nd, 2002, Isreali Navy commandos boarded the merchant vessel Karine-A which had been purchased by Palestinian owners in order to smuggle weapons from Iran to the Gaza Strip. The ship had loaded 50 tons of weapons in Iran, sailed through the Persian Gulf and was stopped on its way to Israel. In 2009 the Israel Navy intercepted the Antiguan registered Francop, that carried 500 tons of Iranian-made weapons. Iranian weapons were also found on the Cypriot merchant vessel Monchegors when boarded by Capriot inspectors. On March 2011, Israeli Navy commandos boarded the civilian vessel Victoria as she was heading from Syria to the Egyptian port city Alexandria. The ship was carrying approximately 50 tons of concealed weaponry, including Iranian-made C-704 surface-to-sea missiles, mortars and ammunition. The shipment was intended for terror organizations in the Gaza Strip.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 13:30
Israël annonce avoir intercepté en mer Rouge un navire d'armes iraniennes

 

05 mars 2014 Romandie.com (AFP)

 

JERUSALEM - La marine israélienne a intercepté mercredi matin en mer Rouge un navire transportant une cargaison iranienne d'armes sophistiquées destinées à des groupes armés palestiniens dans la bande de Gaza, ont annoncé l'armée israélienne et le ministre de la Défense Moshé Yaalon.

 

Il apparaît une fois de plus que l'Iran continue à être le plus grand exportateur de terrorisme dans le monde, a déclaré M. Yaalon dans un communiqué, affirmant que ces armes devaient parvenir à des organisations terroristes dans la bande de Gaza via le Soudan.

 

Selon le porte-parole de l'armée israélienne Peter Lerner, lors d'une opération complexe et secrète de la marine israélienne aux premières heures ce matin, les forces israéliennes ont arraisonné dans les eaux internationales entre le Soudan et l'Erythrée un cargo qui transportait une cargaison d'armes iraniennes à destination de la bande de Gaza.

 

L'équipage du navire, le Klos-C, qui battait pavillon panaméen, n'a pas opposé de résistance, a précisé le porte-parole, lors d'un point presse téléphonique.

 

Des dizaines de missiles sol-sol M302 de fabrication syrienne ont notamment été trouvés. S'ils avaient atteint leur destination, ils auraient menacé des millions d'Israéliens, a-t-il ajouté.

 

En mars 2011, la marine israélienne avait arraisonné en Méditerranée le cargo Victoria, affirmant qu'il transportait des armes iraniennes vers la bande de Gaza. L'Iran avait catégoriquement démenti.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 13:30
photo EMA

photo EMA

 

05/03/2014 Sources : EMA

 

Du 24 au 28 février 2014, à Naqoura, au sud du Litani, la Force Commander Reserve (FCR) a conduit un exercice de tir conjoint avec les Forces armées libanaises (FAL) et les contingents de la Force Intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL).

 

Durant quatre jours, l’exercice Steel Storm a permis de parfaire l’entrainement au tir de l’ensemble des unités opérationnelles de la FCR tout en renforçant la coopération entre la FINUL et les FAL.

 

Les blindés français (VBL, VBCI, VAB) et libanais (M113), équipés de différentes armes de bord (mitrailleuses de calibres 7.62 et 12.7 mm, canons de calibres 20 et 25 mm et fusil PGM), se sont succédés sur le pas de tir situé au sud de Naqoura, face à la mer. Près de 33 000 cartouches, de tous calibres, ont été tirées sur des cibles flottantes disposées entre 400 et 1400 mètres du pas de tir.

 

Cet exercice a également vu la participation aux tirs des contingents espagnols et italiens. La  Maritime Task Force de la FINUL, quant à elle, assurait la sécurité en mer. Une démonstration devant les hautes autorités militaires libanaises du secteur Sud Litani et de la FINUL a clôturé l’entrainement.

 

Dans le cadre de la résolution 1701, la Force Commander Reserve participe à la montée en puissance des Forces armées libanaises, par le biais de patrouilles d’exercices, de formations et d’entraînements conjoint réguliers.

Liban : Exercice Steel Storm
Liban : Exercice Steel StormLiban : Exercice Steel Storm
Liban : Exercice Steel Storm
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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 10:30
corvette Gowind photo DCNS

corvette Gowind photo DCNS

 

05/03/2014 Michel Cabirol – la Tribune.fr

 

Le groupe naval a été choisi par le Caire pour équiper la marine égyptienne de quatre corvettes Gowind armées de missiles VL Mica et Exocet de MBDA. Un contrat estimé à 1 milliard d'euros.

 

 

C'est un très joli coup pour DCNS à l'exportation... à la grande surprise de beaucoup à Paris. Selon des sources concordantes, le groupe naval dispose d'un accord de principe du Caire pour la vente de quatre corvettes Gowind de 2.400 tonnes (+ 2 options en négociation) armées de missiles surface-air VL Mica et mer-mer Exocet. Un contrat évalué à 1 milliard d'euros hors armement. Une compétition remportée face aux chantiers navals allemand ThyssenKrupp Marine Systems (TKMS), qui proposait des Meko A200, et néerlandais Damen (corvette Sigma). Trois des quatre corvettes Gowind seront fabriquées en Egypte. Pour DCNS, c'est un nouveau succès de la Gowind après celui remporté en Malaisie (6 corvettes).

 

C'est le ministre de la Défense, le maréchal Abdel Fattah al-Sissi, qui sera candidat à l'élection présidentielle, qui a décidé cette acquisition. C'est aussi un geste fort du Caire vis-à-vis de Paris. L'armée égyptienne avait appelé fin janvier son chef, architecte de la destitution du président islamiste Mohamed Morsi en juillet dernier, à répondre à "l'appel du peuple" en se présentant à l'élection présidentielle. L'homme fort actuel de l'Égypte souhaite avant son départ du ministère boucler un certain nombre de dossiers. C'est d'ailleurs aussi le cas pour l'achat de l'armée égyptienne de neuf avions de transports CASA d'Airbus Group. L'armée de l'air égyptienne (Egypt Air Force) exploite déjà cinq C-295 sur les 12 commandés.

 

Deux nouveaux sous-marins allemands

 

L'Égypte aurait également exercé une option pour l'acquisition de deux sous-marins U-209 supplémentaires fabriqués par le groupe naval allemand TKMS. Il s'agit d'une option sur deux nouveaux bâtiments, qui serait exercé par Le Caire dans le cadre du contrat de gré à gré signé à l'été 2011 pour un montant de 920 millions d'euros. Puis un acompte avait été versé quelques mois plus tard en décembre. Le premier sous-marin armé de missiles mer-mer Harpoon Block II de Boeing, serait livré en 2016.

 

En contrepartie de cette vente au Caire, Berlin a décidé la semaine dernière de lancer la construction du sixième sous-marin Dophin (des U-214 modifiés pour lancer des missiles nucléaires) à Israël. Trois bâtiments ont été déjà livrés tandis que deux autres sont en construction dans le chantier naval allemand de Kiel. Des Dolphin qui confèrent une supériorité opérationnelle et technologique aux Israéliens face aux Égyptiens.

 

Le Caire fait aussi son marché en Russie

 

La Russie et l'Égypte sont proches de conclure des contrats sur l'achat d'armements d'un montant de plus de 3 milliards de dollars (2,18 milliards d'euros), avait annoncé mi-février le quotidien économique russe Vedomosti. Les deux parties ont "paraphé ou signé des contrats pour plus de 3 milliards de dollars" qui portent sur "l'achat d'avions de chasse MiG-29M/M2, de systèmes de défense antiaérienne de différents types, d'hélicoptères Mi-35" et d'autres armements russes, avait précisé le journal, citant des sources au sein de l'industrie de la défense russe. Ces achats doivent être financés par l'Arabie Saoudite et les Emirats arabes unis, selon Vedomosti.

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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 19:35
Turkey To Buy Helos for Coast Guardc

Turkey's procurement authorities have launched a new program for the purchase of four utility helicopters for the country's Coast Guard, with an option to buy two more, the procurement agency said. (Turkish Aerospace Industries)

 

Mar. 3, 2014 - By BURAK EGE BEKDIL – Defense News

 

ANKARA — Turkey’s procurement authorities have launched a new program for the purchase of four utility helicopters for the country’s Coast Guard, with an option to buy two more, the procurement agency said.

 

The Undersecretariat for Defense Industries said Feb. 28 that the contract involves four helicopters, spare parts, ground support, training, technical assistance/support and two optional helicopters and related ILS goods and services. Bidders should also include industrial participation and offset terms in their bids, due June 16.

 

Turkish Prime Minister Recep Tayyip Erdogan announced Feb. 21 that his government and US helicopter manufacturer Sikorsky Aircraft had signed a long-dormant $3.5 billion contract to co-produce an initial batch of 109 utility helicopters. Penning the deal had been delayed since last May over factors that top Turkish procurement managers blamed on “US corporate and other bureaucracy.”

 

Turkey in 2011 selected Sikorsky over Italian-British AgustaWestland as its partner company to lead production of the country’s next-generation utility helicopters. Sikorsky proposed the T-70, a Turkish version of its S-70 Black Hawk International., which is used by dozens of militaries, including Turkey’s. AgustaWestland was competing with its TUHP 149, a Turkish version of its new A-149.

 

With follow-on orders of the T-70, more than 600 could be built at a cost of more than $20 billion, defense analysts said.

 

Most helicopters in the first batch will go to the military, with the Gendarmerie receiving the largest portion, and the Army, Navy, Air Force and special operations command each getting their share. The remaining machines will go to the Security Directorate, meaning the police forces, and to the Firefighting Department.

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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 12:30
La Turquie pourrait commander ses premiers F-35 en 2015

 

 

28/02/2014 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

Reuters rapporte que la Turquie serait susceptible de débuter ses commandes de F-35 à partir de 2015, avec une commande initiale de deux appareils. La livraison est espérée pour 2017-2018.

 

La Turquie fait partie des pays partenaires du programme F-35 de Lockheed Martin, elle a prévu d’en acquérir 100 exemplaires, pour un coût estimé à 16 milliards de dollars.

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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 12:30
Retard de livraison de l'A400M MSN9 : Ankara répond à Airbus

 

28/02/2014 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

Le différend qui oppose actuellement la Turquie à Airbus Defence & Space continue. Murad Bayar, secrétaire d’État de l’industrie de Défense, a déclaré jeudi que la Turquie allait demander des compensations financières à Airbus pour le retard de livraison du premier A400M, l’exemplaire MSN9.

 

Reuters rapporte les propos tenus par Bayar devant les journalistes, un message plutôt clair qui confirme le bras de fer entre le gouvernement et l’industriel : « Mon message pour Airbus est le suivant : Il devrait d’abord s’occuper de remplir les termes du contrat », réfutant la notion de « marchandage » lâchée par le PDG d’Airbus Group Tom Enders lors de la présentation des résultats annuels le 26 février dernier.

 

Selon Murad Bayar, le retard de livraison est dû au fait qu’Airbus n’aurait pas rempli toutes les exigences techniques contractuelles, un fait contesté par l’industriel, qui assure que l’avion est « opérationnel ».

 

L’A400M va obtenir ses capacités militaires « au fur et à mesure » et n’est donc pas livré pleinement opérationnel selon le cahier des charges. A titre d'exemple, les deux premiers A400M français peuvent effectuer des vols logistiques, mais doivent encore obtenir le standard qui leur permettra d’accomplir tout l'éventail de leurs missions tactiques.

 

Le secrétaire d’État espère toutefois que le premier A400M de l’armée de l’air turque sera livré au mois de mars.

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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 08:30
source BBC

source BBC

 

02.03.2014 Jérôme Bastion correspondant à Istanbul - RFI

 

La situation en Ukraine ne préoccupe pas seulement Paris, Washington, Londres et Berlin. Elle est suivie également de près en Turquie, puisque 12% des Criméens sont des Tatars turcophones. Le ministre turc des Affaires étrangères était d'ailleurs samedi soir à Kiev.

 

Dès son retour en Turquie, le chef de la diplomatie turque a indiqué avoir appelé ses homologues américain, allemand, français et polonais entre autres pour rendre compte de la situation en Ukraine, et particulièrement en Crimée, où vit une importante minorité turcophone, les Tatars, dont le sort préoccupe Ankara. Si Ahmet Davutoglu n’a pu se rendre en Crimée, c’est dans la capitale ukrainienne qu’il a rencontré le député et ancien chef du Parlement tatar, Mustafa Kirimoglu, pour qui, comme il l’a dit au diplomate turc, la Crimée est aujourd’hui « de facto sous occupation ».

 

« La Turquie fera tout son possible pour assurer la stabilité de la Crimée au sein d’une Ukraine unie », a assuré M. Davutoglu, qui a également rencontré les nouveaux dirigeants ukrainiens, le ministre des Affaires étrangères Deshchitsa, le Premier ministre Iatseniouk, le président par intérim Olexandre Tourtchinov. Pour M. Davutoglu, « les véritables propriétaires de la région autonome de Crimée sont les Tatars, et leur droit et leur existence doivent être garantis, mais il s’est bien gardé d’évoquer l’attitude de la Russie, souhaitant simplement que « les Tatars retrouvent la paix et la prospérité – qu’ils n’ont en fait jamais eue – en tant que citoyens à part entière de l’Ukraine ».

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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 11:30
Défense anti-missiles : pourquoi MBDA et Thales peuvent espérer en Turquie

Les industriels MBDA et Thales sur le pied de guerre pour supplanter les Chinois dans la défense aérienne en Turquie

 

28/02/2014 Michel Cabirol, à Ankara - LaTribune.fr

 

En dépit du choix d'un industriel chinois pour fournir un système de défense aérienne de longue portée à la Turquie, les deux industriels français MBDA et Thales peuvent encore espérer être appelés par le ministère de la Défense turc pour remplacer CPMIEC.

 

La France a fait le job en Turquie. Et plutôt bien, même si les industriels - le missilier MBDA et le radariste Thales dans le cadre du GIE Eurosam - ne sont pas encore en première ligne pour négocier un contrat de l'ordre de 3 à 4 milliards de dollars - selon les groupes concurrents - portant sur un système de défense aérienne de longue portée (Air Defence). Toutefois, lors du séminaire d'armement franco-turc organisé jeudi à Ankara, le programme T-Loramids pour le moment encore promis aux Chinois, était bien dans tous les esprits de la délégation française.

Une délégation très, très prudente dans toutes les déclarations officielles pour ne pas froisser les Turcs, eux-mêmes très embêtés finalement par leur choix initial. "Nous respectons le choix qui a été fait", a expliqué le PDG de MBDA, Antoine Bouvier, présent jeudi à Ankara. "Nous clarifions et améliorons notre offre dans le respect de la négociation avec le SSM (secrétariat d'Etat turc aux Industries de défense, ndlr)", a-t-il toutefois précisé lors d'une conférence de presse organisé par le GIFAS.

 

Comment sortir la tête haute ?

"En Turquie, tout le monde est arrivé à la conclusion qu'il faut arrêter la négociation avec les Chinois mais personne ne sait encore comment faire. C'est toute la question aujourd'hui", explique un bon connaisseur du dossier. Un rétropédalage entamé officiellement de façon récente. "Il existe certains points de risques (dans les discussions avec les Chinois) mais pour l'instant ce n'est pas au niveau de nous apporter de gros blocages", avait indiqué le 17 février le secrétaire d'Etat turc aux Industries de défense (SSM), Murad Bayar, dans un entretien au journal "Hürriyet".

Il faut également préserver le soldat Bayar en trouvant une solution pour qu'il sorte la tête haute de ce micmac. D'où un appel du pied vers Pékin, l'un des principaux partenaires de l'industrie turque, qui viendrait à la rescousse du ministère de la défense turc, selon des sources concordantes. A suivre.

 

Eurosam en embuscade

Interrogé si les autorités turques n'étaient pas "entièrement convaincues" des capacités de cet armement, Murad Bayar avait répondu : "Nous pouvons effectivement le dire. Si nous constatons que le projet ne peut continuer avec la Chine alors nous prendrons en considération la deuxième offre", en l'occurrence celle faite par la société franco-italienne Eurosam. Les deux industriels tricolores, qui étaient arrivés devant les américains, proposent le système SAMP/T, armé de missiles Aster 30 (MBDA) et équipé des radars Arabel et/ou GM400 (Thales). A ce jour, il n'existe aucune négociation officielle entre la Turquie et Eurosam puisque CPMIEC (China Precision Machinery Import-Export Corp.) reste toujours le premier choix des Turcs ("prefer bidder").

Mais Ankara s'est laissé une issue au cas où la négociation avec les Chinois échoueraient, en demandant fin janvier aux français et aux américains de proroger leur offre de trois mois, soit jusqu'à fin avril - un deuxième et dernier report. Ce qui en soi est habituel dans ce genre d'appel d'offre."Cela faisait partie de l'accord entre les Turcs et les groupes sélectionnés pour l'appel d'offre, c'est automatique", confirme-t-on à "La Tribune".

 

Amélioration de l'offre de MBDA et Thales

Du coup, mi-février les deux groupes - MBDA et Thales - ont affiné leur offre notamment au niveau des prix (à la baisse) et des contreparties industrielles (à la hausse) pour les groupes turcs, notamment Roketsan (le MBDA turc) et Aselsan (le Thales turc) ainsi qu'un tissu de sous-traitants locaux. MBDA et Thales étaient lors du choix fait par le SSM plus cher d'environ un milliard de dollars face à une offre chinoise très (trop ?) compétitive. En outre, le SSM est considéré comme un négociateur très redoutable et qui est craint par la plupart des groupes d'armement internationaux. "C'est simple avec eux, à la fin de la négociation vous n'avez plus de marges", ironise un industriel.

La Turquie peut-elle finalement casser l'appel d'offre ? Certains estiment la menace potentielle.  D'autres au contraire notent qu'Ankara a un besoin urgent de ce système de défense aérienne qui sera installé proche de la frontière syrienne. Au final, c'est bel et bien le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, qui aura le dernier mot en dépit de ses actuels déboires politiques. C'est lui et lui seul qui a souhaité un rapprochement stratégique avec la Chine.

 

La danse du ventre de la France

Outre l'organisation du séminaire armements franco-turc à Ankara, une délégation d'une soixantaine d'entreprises françaises membres du GIFAS (Groupement des industriels français de l'aéronautique et du spatial) est venue trois jours en Turquie (Istanbul, Ankara, Izmir et Eskisehir) pour chercher des coopérations avec des sociétés turques dans le domaine de l'aéronautique et du spatial. "La France et la Turquie partagent la même ambition de développer et de soutenir sur le long terme leur propre industrie nationale de défense", qui "fabrique leurs  propres équipements militaires", a expliqué le Délégué général pour l'armement (DGA), Laurent Collet-Billon lors du séminaire franco-turc. Et de proposer "une nouvelle étape dans les relations" entre Paris et Ankara sur la base du principe "gagnant-gagnant".

"Cela fait sens que les industriels français et turcs se réunissent et étudient les opportunités pour coopérer à l'exportation ou équiper leurs propres forces armées", a-t-il expliqué. D'autant que le président du GIFAS, Marwan Lahoud, estime que la Turquie et l'industrie turque sont très matures aujourd'hui pour des coopérations de haut niveau et développer leur propre industrie aéronautique. "Le pays possède une activité industrielle assez intense et ambitionne de devenir une grande puissance aéronautique", a-t-il confirmé. Et donc les industriels français sont prêts à donner une "nouvelle impulsion" à la coopération franco-turque, a souligné Marwan Lahoud. Une coopération franco-turque toujours à la merci de la question arménienne, un chiffon rouge pour Ankara et la rue turque.

 

Pourquoi CPMIEC avait été sélectionné

A la surprise générale, le groupe chinois CPMIEC (China Precision Machinery Import-Export Corp.) avait remporté en septembre dernier l'appel d'offres international lancé par la Turquie en vue d'acquérir un système de défense aérienne. Le sous-secrétariat de l'Industrie de la Défense (SSM) avait indiqué qu'il avait "décidé d'entamer les pourparlers avec la compagnie CPMIEC pour la production conjointe des systèmes et de leurs missiles en Turquie sur le prix négocié", selon un communiqué.

Pourquoi les Turcs avaient-ils sélectionné les Chinois ? Parce qu'ils étaient - et de loin - les mieux-disants avec une offre à 3 milliards de dollars et qu'ils avaient une coopération industrielle très compétitive également par rapport aux concurrents américains (Lockheed Martin/Raytheon) et européens (Eurosam). Mais aussi en faveur du rapprochement avec la Chine voulu et assumé par le Premier ministre turc, rappelle un bon observateur de la politique turque.

Les Américains ne veulent pas d'un système chinois aussi stratégique au cœur de l'alliance atlantique. La Turquie a besoin de brancher sa future architecture de défense antimissile avec les systèmes de l'OTAN, dont certaines données très sensibles pour l'identification d'un ami ou d'un ennemi ("Identify Friend and Foe system"). Des données ultra-secrètes et qui ne peuvent pas être bien sûr installées sur un système chinois.

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27 février 2014 4 27 /02 /février /2014 12:30
L’A400M MSN9, pomme de discorde entre Airbus et Ankara

 

26.02.2014 Helen Chachaty à Toulouse-Blagnac - journal-aviation.com

 

C’est la devinette du jour : Avion de transport tactique et stratégique de nouvelle génération, il est stationné sur le tarmac de l’usine d’Airbus Defence & Space de Séville depuis deux mois et n’a toujours pas été « récupéré » par son client. Qui est-ce ? Le premier A400M destiné à l’armée de l’air turque, l’exemplaire MSN9.

 

Une situation qui devient « de plus en plus inacceptable » pour Tom Enders, CEO d’Airbus Group, qui déplore le fait que l’avion soit toujours cloué au sol. « L’avion est prêt à voler, il est opérationnel, mais nous sommes toujours en cours de négociations [avec le gouvernement turc] », a déclaré le PDG lors de la présentation des résultats annuels du groupe ce 26 février. Il n’a pas caché son mécontentement face à cette situation qui s’éternise dans le temps, a même parlé de « marchandage » de la part de la Turquie, sans toutefois entrer dans les détails des points d’achoppement qui empêchent MSN9 de rejoindre sa future base.

 

Cédric Gautier, directeur du programme A400M chez Airbus Defence & Space, avait abondé en ce sens en janvier dernier, assurant que l’avion était prêt « depuis très longtemps », le client turc n’ayant qu’à venir le chercher.

 

La situation est problématique, elle pourrait même impacter sur les prospects à l’export, car, comme le déclare Tom Enders, « c’est un vrai problème pour un programme multinational. Comment peut-on envisager d’augmenter la cadence de production si nous ne sommes mêmes pas sûrs que le client prenne l’avion » ? Le CEO a même appelé au soutien des autres pays partenaires (France, Allemagne, Luxembourg, Espagne, Grande-Bretagne, Belgique) dans ce « conflit ».

 

La vente d’A400M à l’étranger représente un enjeu important pour Airbus Defence & Space, qui ne compte pour l’instant que la Malaisie comme pays non-partenaire du programme. Chez l’industriel, « on a des ambitions », car la première mission opérationnelle de MSN8, le second exemplaire de l’armée de l’air a fait monter l’intérêt « de manière flagrante ». Airbus DS table sur une prise de commande à l’export en 2015, une perspective jugée « raisonnable ».

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 18:30
Critical Turk Procurement Meeting Put Off Amid Political Scandal

 

 

Feb. 25, 2014 - By BURAK EGE BEKDIL – Defense news

 

ANKARA — A critical Turkish meeting planned for today in which the government would discuss billions of dollars worth of programs and contracts has been put off amid new allegations of corruption against the government, officials said.

 

The meeting of the Defense Industry Executive Committee, Turkey’s ultimate decision-making body in procurement, has been postponed to an unknown date.

 

“We will have to wait for the prime minister’s word as to when a meeting should gather,” a procurement official said.

 

The committee is chaired by Prime Minister Recep Tayyip Erdogan. Its other members are Defense Minister Ismet Yilmaz; Gen. Necdet Ozel, chief of the military General Staff; and the country’s top procurement officer, Murad Bayar.

 

Topics would have included whether to proceed with Turkey’s indigenous fighter jet program, and a highly controversial decision to select a Chinese bidder for construction of the country’s first long-range air and anti-missile defense system.

 

Other agenda items were a possible joint venture with Japan’s Mitsubishi Heavy Industries to develop an engine for what will become Turkey’s indigenous new-generation tank, a new logistical support ship and assault boats for the Navy.

 

Erdogan, who has been facing a slew of corruption allegations since December, got a fresh blow late on Feb. 24 when unidentified sources revealed wiretap recordings incriminating him on fresh charges. In a speech on Feb. 25, Erdogan denied the authenticity of those recordings.

 

The wiretap leaked into the Internet Feb. 24 and contained four phone conversations between Erdogan and his son dating back to Dec. 17, the day when massive graft raids were conducted by the police. In these recordings Erdogan is heard ordering his son to move all the cash stocks at his home to other locations.

 

The voice recordings have sent shockwaves through Turkish politics, prompting the Prime Minister’s Office to issue a statement denouncing a “manipulation” and calls from the opposition for resignation.

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