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29 avril 2015 3 29 /04 /avril /2015 14:55
photo SIAE

photo SIAE


source SIAE

A deux mois du Salon, la totalité des 130 000m² de surface d'exposition a été réservée.
2 200 exposants représentant 47 pays à travers le monde seront présents pour vous rencontrer, vous présenter leur savoir-faire et conclure des accords professionnels.
De nombreux aéronefs français et étrangers sont attendus en exposition statique ou en présentation en vol, avec notamment le retour des avions militaires américains au Bourget.

Cette 51ème édition promet d'être riche en nouveautés et découvertes. Un fort accent est mis sur le développement durable avec notamment l'exposition CORAC qui présentera les avancées et les projets de l'industrie aéronautique et spatial en matière de R&D relatif au développement durable.

La liste des Exposants détaillée est déjà en ligne sur le site Internet du Salon ainsi que la liste des Nouveautés, régulièrement mise à jour des nouvelles innovations déclarées par nos exposants. Le plan du Salon ainsi que la liste des événements et celle des aéronefs seront prochainement disponibles.

 

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29 avril 2015 3 29 /04 /avril /2015 07:50
photo Lockheed Martin

photo Lockheed Martin


20 avr. 2015 by Lockheed Martin

 

The British Army’s Warrior armoured vehicle demonstrated its firepower and fighting capability during successful firing trials in Scotland. The new turret and cannon, which has been designed and installed by engineers at Lockheed Martin UK's Ampthill site were tested during trials at Kirkcudbright ranges.

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29 avril 2015 3 29 /04 /avril /2015 07:50
projet DART-450 photo Diamond Aircraft

projet DART-450 photo Diamond Aircraft

 

23 avril 2015 par Gil Roy – Aerobuzz.fr

 

Le programme de l’avion monoturbine DA50-JP7 en cours de développement par le constructeur autrichien Diamond Aircraft pourrait déboucher sur un avion biplace d’entrainement militaire et de reconnaissance.

 

Le constructeur autrichien d’aviation générale exposait à Aero 2015, son DA50-JP7, un gros monoturbopropulseur équipé d’une turbine ukrainienne Motor Sich de 465 ch développée conjointement avec Ivchenko Progress. Dévoilé en 2013 à Aero, il a effectué son premier vol le 19 janvier 2015 et il est venu en vol de Wiener Neustadt. Les performances au décollage et en montée de ce 7 places sont impressionnantes. Le taux de montée annoncé est de 2.500 ft/mn et la vitesse de croisière de 200 kts. Il pourrait être certifié avant fin 2016.

 

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29 avril 2015 3 29 /04 /avril /2015 06:55
OPEX Apr 2015 photo ECPAD - Armée de Terre - Marine Nationale - Armée de l'Air

OPEX Apr 2015 photo ECPAD - Armée de Terre - Marine Nationale - Armée de l'Air

 

29/04/2015 Par Véronique Guillermard - LeFigaro.fr

 

Les armées durement sollicitées en Afrique et au Moyen-Orient, espèrent qu'un effort important sera porté sur le financement de la maintenance et la modernisation de leurs équipements ainsi que sur l'achat de matériels neufs.



Les armées attendent les arbitrages de François Hollande. Budget, effectifs, nouveaux équipements… La révision de la Loi de programmation militaire (2014-2019) leur donnera-t-elle les moyens de remplir leur mission en opérations extérieures (OPEX), sur le territoire national (opération Sentinelle) mais aussi sur la Toile, lieu de la nouvelle cyberguerre? Le ministère de la Défense a besoin de 3 à 9 milliards supplémentaires, selon les évaluations.

La France dépense peu ou prou 10 milliards par an (11,3 milliards en 2014) pour équiper ses armées. Ce budget représente un petit tiers des crédits militaires annuels (31,4 milliards en 2014 et en 2015). Ainsi que des contrats pour les industriels de la défense, qui doivent souvent jongler avec des glissements de calendrier de livraison. L'engagement intensif des armées en Afrique et au Moyen-Orient ainsi que sur le territoire national depuis les attentats de janvier 2015 à Paris, a changé la donne.

En matière d'équipement, il y a urgence. Sur le terrain, les matériels s'usent de façon prématurée, ce qui renchérit les coûts de maintenance, dont les crédits ne suffisent plus malgré un effort acté dans la LPM (+3,4 % par an, à 20,6 milliards en six ans). À cela s'ajoutent les efforts à réaliser dans quatre domaines prioritaires définis par Jean-Yves Le Drian: la cyberdéfense, le renseignement aérien et spatial, l'équipement des forces spéciales et un plan hélicoptères pour doper les capacités d'aérocombat.

 

Quatre priorités: renseignements, forces spéciales, cyberdéfense, hélicoptères

Pour compliquer l'équation, il manque 2,2 milliards sur la seule année 2015 au budget de la Défense, en raison de l'absence de recettes exceptionnelles. Pour pallier ce manque, Jean-Yves Le Drian prône la création de deux sociétés de projet publiques, permettant aux armées de louer des Airbus A 400M (4) et des frégates (3) plutôt que de les acheter. Un projet qui ne fait pas l'unanimité à l'Assemblée nationale et qui fait l'objet d'un bras de fer avec Bercy, opposé à ces sociétés de leasing.

L'armée de l'air attend au moins 3 Airbus A 400M et espère disposer dès cette année de la capacité de largage aéroporté (hommes et matériels). Airbus DS mène actuellement des tests en vol pour valider cette capacité. Le constructeur a engagé des discussions avec la DGA. Il doit confirmer le calendrier de livraisons de l'A 400M mi-2015 Si Airbus DS ne tient pas ses engagements, la LPM révisée pourrait prendre des mesures correctives et acter l'achat d'avions américains (C130 J Hercule).

En matière de renseignement, le ministre de la défense a déjà lancé mi-mars, le programme Ceres (commandes de 3 satellites d'écoute électromagnétique). Et il prévoit de commander un 3e satellite espion Musis cette année. Dans le renseignement aérien, Jean-Yves Le Drian vise l'entrée en service d'un troisième drone de surveillance (MALE) Reaper américain en 2015 et deux commandes supplémentaires. Il prévoit aussi de notifier des études d'ici à la fin de l'année, pour préparer un futur drone MALE européen, dans la perspective d'une mise en service en 2025.

 

Développement de nouveaux blindés

Au chapitre des hélicoptères, il s'agit d'accélérer le plan de modernisation de l'Alat (aviation légère de l'armée de Terre). En 2015, elle doit recevoir 4 NH 90 Caiman (transport), 5 Tigre (engins d'attaque) et 7 Cougar rénovés. Des livraisons revues à la baisse (division par deux pour le NH 90 par exemple) après négociation avec la DGA. La LPM révisée reviendra-t-elle sur ces baisses de livraison?

De son côté, l'armée de terre espère que son programme (Scorpion) de modernisation, connaîtra un coup d'accélérateur. Depuis décembre 2014, deux contrats ont été notifiés. Le premier, de 790 millions d'euros, permet à Nexter, Thales et Renault Trucs Defense, d'enclencher le développement de deux nouveaux blindés: le VBMR pour succéder au VAB, le véhicule à tout faire des fantassins, et l'EBRC (reconnaissance et combat) qui succédera aux AMX-10 RC. Le second, de 300 millions d'euros, a lancé le plan de rénovation en profondeur de 200 chars d'assaut Leclerc.

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28 avril 2015 2 28 /04 /avril /2015 16:55
Condor photo DAE

Condor photo DAE

 

24 avril 2015 par Frédéric Lert – Aerobuzz.fr

 

Dépassée la livraison de colis par DHL avec des drones ! Avec le projet Condor, la PME française Demonfort Airborne Engineering propose aujourd’hui le transport de parachutistes. Un engin à priori réservé aux forces spéciales…

 

Ancien parachutiste d’essais de la marine, Thierry Demonfort est massif et direct, avec le sommet du crâne lisse comme le fuselage d’un P-51. En 2013, il a fondé la société DAE (Demonfort Airborne Engineering) avec une idée en tête : innover au profit des forces spéciales. Avec le Condor, drone cargo aérolargable qui semble tout droit sorti d’un James Bond, nul doute que la mission soit remplie…

 

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28 avril 2015 2 28 /04 /avril /2015 11:50
photo BAE Systems

photo BAE Systems


23 avr. 2015 by BAE Systems

 

We sent our own roving reporter Francesca to find out more about the Forward Island for HMS PRINCE OF WALES as it left its dock hall in Glasgow for the first time ahead of delivery.

The Forward Island or 'Upper Block 07' is where HMS PRINCE OF WALES will be commanded atop the flight deck and is known as the Forward Island. As the main hub of the ship it contains the bridge and approximately 100 vital mission systems compartments.

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28 avril 2015 2 28 /04 /avril /2015 11:50
BAE Systems Munitions Solutions


20 avr. 2015 by BAE Systems

 

An overview of our Munitions business

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28 avril 2015 2 28 /04 /avril /2015 11:25
 KC-390 Protection Comes First (English)

22 Avr. 2015 by Embraer

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27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 16:56
SOFINS, l’innovation au service des forces spéciales

 

24/04/2015 Ministère de la Défense

 

Rendez-vous de la communauté de défense des forces spéciales et étrangères avec les entreprises et le secteur de la recherche, le « Special operations forces innovation network seminar » (SOFINS) s’est tenu du 14 au 16 Avril 2015 sur le camp de Souge en Gironde.

 

Conçu par le Commandement des opérations spéciales (COS) sous le haut patronage du ministère de la Défense et en partenariat avec la Délégation générale de l’armement (DGA), Sofins permet de créer un contact direct entre les forces spéciales et les entreprises, pour répondre au mieux aux besoins particuliers des unités sur le terrain. Retour en images sur cet  événement devenu incontournable.

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27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 16:50
Le Caracal (H225M – photo Airbus HC) a remporté la compétition en Pologne face à ses concurrents américain et italien

Le Caracal (H225M – photo Airbus HC) a remporté la compétition en Pologne face à ses concurrents américain et italien

 

21/04/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Le constructeur de Marignane a remporté une compétition estimée entre 2 et 2,3 milliards d'euros en Pologne. Elle porte sur la livraison de 50 appareils de transports multirôles de type Caracal (H725) à Varsovie.

 

C'est une très grande performance commerciale réalisée par Airbus Helicopters. Selon une information du journal polonais "Gazeta Wyborcza", que "La Tribune" a confirmé selon des sources proches du dossier, le constructeur de Marignane a remporté l'appel d'offres pour une commande de 50 hélicoptères de transport multirôles passée par la Pologne. Les autorités polonaises ont retenu le Caracal (H225M) d'Airbus Helicopters dans le cadre d'un contrat estimé entre 2 et 2,3 milliards d'euros. Une annonce devrait être faite cet après-midi.

 

Pour livrer à la Pologne 50 hélicoptères militaires (contre 70 initialement), ils étaient trois en lice. L'américain Sikorsky, l'italo-Britannique AgustaWestland et l'européen Airbus Helicopters, avaient répondu à un appel d'offres de Varsovie pour un contrat estimé trois milliards de dollars (2,5 milliards d'euros), avait annoncé fin décembre le ministère de la Défense polonais.

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27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 16:50
Méga-contrat en Pologne : les trois clés du succès d'Airbus Helicopters

Défense l'armée polonaise a véritablement découvert les qualités de l'EC725 présenté par Airbus Helicopters à Kielce en 2012 (photo Armée de l'Air)

 

21/04/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

La machine - le Caracal -, l'offre industrielle et les hommes ont été les trois facteurs déterminants du succès d'Airbus Helicopters en Pologne. Le constructeur de Marignane est présélectionné pour un contrat de l'ordre de 2 à 2,3 milliards d'euros pour la vente de 50 appareils.

 

Airbus Helicopters a remporté "le contrat de la décennie en Europe" dans le domaine des hélicoptères. C'est comme cela qu'en interne on désignait cette campagne majeure pour le constructeur de Marignane, qui a longtemps été considéré comme un simple outsider face à ses deux rivaux, l'américain Sikorsky et l'italien AgustaWestland, déjà très bien implantés industriellement en Pologne. Avec son partenaire le motoriste Turbomeca (Safran), Airbus Helicopters se sont d'ailleurs beaucoup engagés sur le plan industriel pour séduire la Pologne.

Avec succès finalement, le constructeur franco-allemand ayant été présélectionné pour entrer en négociations exclusives avec Varsovie. La signature du contrat est attendue en septembre tandis que les premières livraisons du Caracal sont prévues à partir de 2017.

 

Une compétition très, très dure

Que la compétition fut longue et extrêmement difficile pour les équipes d'Airbus Helicopters face à des concurrents prêts à tout, y compris à des opérations de piratage informatique. En outre, la saga de la livraison des deux porte-hélicoptères Mistral à la Russie a compliqué les chances d'Airbus Helicopters à l'automne 2014 et a miné le moral des équipes engagées dans cette campagne.

Le gouvernement polonais a également hésité sur les volumes qu'il souhaitait offrir à son armée, désireuse d'acquérir des hélicoptères de transport. Au bout du bout, il a finalement opté pour l'acquisition de 50 hélicoptères de transport (contre 70 appareils dans l'appel d'offre) pour un montant estimé entre 2 et 2,3 milliards d'euros. Trois compétiteurs - l'italien AgustaWestland (AW149), Airbus Helicopters (Caracal ou H225M) et l'américain Sikorsky (S-70) - se sont rapidement positionnés.

 

Comment Airbus Helicopters a gagné

Deux personnes, bien aidées par toutes les équipes d'Airbus Helicopters et d'Airbus Group mobilisées par cette campagne majeure pour l'avenir de l'entreprise, incarnent cette grande performance commerciale. Notamment les deux principales chevilles ouvrières de la campagne en Pologne, Olivier Michalon, patron des ventes Europe d'Airbus Helicopters, et son adjoint Mickaël Péru. Le vice-président exécutif en charge des ventes et des services au niveau mondial Dominique Maudet, a également beaucoup mouillé sa chemise pour la réussite du constructeur franco-allemand. Trois anciens de la maison qui ont su garder le cap et la tête froide malgré les montagnes russes par lesquelles ils sont passés pendant trois ans. Enfin, le ministre de la Défense Jean-Yves le Drian, qui a rencontré depuis son arrivée à l'Hôtel de Brienne en 2012 au moins quinze fois son homologue polonais, Tomasz Siemoniak, ainsi que François Hollande se sont également beaucoup dépensé comme à leur habitude pour faire aboutir l'offre française.

Après avoir pris du retard à l'allumage en Pologne en 2012, en raison du manque de fair-play d'AgustaWestland, le constructeur franco-allemand a mis les gaz pour rattraper ses concurrents partis plus vite et surtout déjà bien installés en Pologne. Airbus Helicopters a proposé dans son offre que la Pologne devienne l'un de ses piliers pays au même titre que la France et l'Allemagne. Ainsi, le PDG d'Airbus Helicopters Guillaume Faury a joué à fonds la carte européenne et a démontré que cet appel d'offres peut déboucher sur des partenariats plus globaux.

"Nous sommes convaincus de la capacité d'Airbus Group de proposer des produits mais aussi d'offrir l'opportunité pour l'industrie polonaise de prendre part à un rôle plus important, de participer à l'avenir à des programmes d'envergure, que ce soit des programmes militaires ou civils, que le groupe Airbus lance et développe par nature", avait expliqué son PDG, Guillaume Faury, lors du salon de Farnborough en juillet 2014.

En outre, l'armée polonaise a véritablement découvert les qualités du H225M présenté par Airbus Helicopters à Kielce en 2012. Elle s'est montrée très intéressée par cet appareil, qui correspond bien à ses besoins opérationnels et qui a fait ses preuves au combat (combat proven) en Afghanistan, en Libye et au Mali même si dans ce pays du Sahel, les turbines ont souffert. Mais en règle général, H225M s'est très bien comporté sur tous ces théâtres d'opération. Mieux en tout cas que les deux autres appareils en compétition.

 

Des projets d'usine en Pologne

Dans le cadre de cette campagne stratégique, le constructeur basé à Marignane a signé en 2013 un accord industriel avec le polonais WZL 1. Cette entreprise basée à Lodz et spécialisée dans la maintenance aéronautique assemblera le Caracal si le constructeur franco-allemand gagne la compétition. En outre, le groupe Airbus a ouvert en février un centre de recherche et de développement à Lodz, en Pologne. "Nous sommes maintenant à Lodz parce que nous avons trouvé ici de très bons ingénieurs, un très bon environnement pour des investissements", avait expliqué Guillaume Faury.

De son côté, le motoriste et partenaire d'Airbus Helicopters dans cet appel d'offre, Turbomeca, installera aussi une chaîne d'assemblage pour les turbines du H225M. Safran a déjà pour sa part une usine implantée à Sedziszow Malopolski dans le sud-est de la Pologne (Hispano-Suiza) et qui emploie plus de 500 personnes. Elle produit des pignons et des carters pour les transmissions de puissance et fait le montage. Elle produit des composants pour moteurs d'avions, d'hélicoptères et de nacelles.

 

Ce que proposait la concurrence

AgustaWestland et Sikorsky avaient également des accords industriels avec des groupes polonais s'ils remportent la compétition. Le groupe italien a racheté en 2010 l'usine de PZL à Swidnik (sud), qui produit des hélicoptères Sokol utilisés dans les opérations de sauvetage, la lutte contre les incendies et le transport, notamment militaire. Ils sont vendus en Pologne, en République tchèque et en Corée du Sud.

Sikorsky Aircraft produit, quant à lui, dans son usine de Mielec (sud) sa nouvelle version de l'hélicoptère Black Hawk, S70i, destinée à l'exportation.

 

Une extraballe

Pour AgustaWestland et Sikorsky, une seconde chance d'offre à eux. Le ministère polonais de la Défense polonais a lancé en juillet 2014 un programme d'achat d'hélicoptères (entre 20 et 30), estimé à près d'un milliard d'euros. L'appel d'offre pourrait être formellement lancé "d'ici à la fin de 2015", explique-t-on de source proche du ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian. Il pourrait donc équilibrer leur choix, comme au Qatar (hélicoptères de transport pour la France, d'attaque pour les États-Unis). Le lancement de cette opération a été avancé de quelques années à la suite de la crise en Ukraine.

Airbus Helicopters concourt avec le Tigre contre l'Apache de l'américain Boeing et l'AW-129 Mangusta d'AgustaWestland. Les constructeurs intéressés avaient jusqu'au 1er août pour manifester leur volonté de participer à une étude du marché. Une demande d'informations (RFI) sera lancée mi-octobre et un appel d'offre (RFP) est attendu en 2015.

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18 avril 2015 6 18 /04 /avril /2015 07:55
Thales, aux côtés des forces, écrit le futur des radiocommunications de défense


16 avr. 2015 Thales group

 

Thales est n°2 mondial et leader européen dans le domaine des radios et solutions de communication embarquées pour les trois milieux : terre, air, mer. Nous équipons les forces terrestres de 50 pays et 40 forces navales et sommes à bord de 70 types d’aéronefs. Aujourd’hui, nous définissons et développons, aux côtés des forces, la nouvelle génération des radiocommunications militaires, avec les solutions radio logicielles parmi les plus performantes et sécurisées du monde. Partout dans le monde, les radiocommunications de Thales accélèrent la numérisation de l’espace de bataille et contribuent à la supériorité opérationnelle des forces.

 

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17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 11:35
LIMA 2015

 

13/04/2015 by SITTA

 

La 13ème édition du salon « Langkawi International Maritime & Aerospace Exhibition » (LIMA 2015) consacré à l’aéronautique et la marine s’est déroulée au centre international des expositions de « Mahsuri » à Langkawi du 17 au 21 mars 2015. Avec une participation de 500 sociétés de 36 pays différents, la 13ème édition bisannuelle a attiré plus de 38 000 visiteurs et réaffirmé sa position importante dans les domaines de la défense maritime et aéronautique dans la région asiatique. Le point fort de cet événement a été la présence du premier avion de transport A400 M livré à la Royal Malaysian Air Force par la société Airbus et qui viendra renforcer sa flotte de C-130.

 

LIMA 2015 est une opportunité pour les constructeurs de présenter les programmes de développement de leurs appareils en service dans de nombreux pays. Ce sont 49 aéronefs qui ont été présentés en statique et certains en dynamique par les sociétés Dassault (Rafale), Lockheed-Martin (F-16CJ), et Soukhoi (SU-30 MKM).

Dans le domaine de la défense navale, 19 grands navires de guerre du Pakistan, de l’inde, des Etats-Unis, de Singapour, de la Russie et de l’Australie étaient présents à Langkawi.

Le pavillon francais était representé par le Groupement des Industries de Construction et Activités Navales (GICAN) et des sociétés DCNS, Thalès et Safran qui ont proposé une grande variété de produits de haute technologie et fait preuve de dynamisme tout au long de la manifestation.

Le salon a été inauguré par le ministre malaisien de la défense, Monsieur Datuk Seri Hishammuddin Tun Hussein, en présence de hautes autorités civiles et militaires, tant malaisiennes qu’étrangères.

Parmi les nombreux matériels présentés par les industriels, figuraient :

-      La corvette Gowind de société malaisienne BOUSTEAD ;

-      La munition petit calibre de la société malaisienne SME ;

-      La frégate type 26 de la société anglaise BAE System ;

-      L’optique DCL-120 de la société coréenne DI OPTICAL ;

-      La lunette de visée diurne SW-1424 de la société coréenne de la société coréenne FOCUS OPTECH ;

-      Le drone terrestre Scobot-200 de la société coréenne FOOSUNG FIRSTEC ;

-      Le Radar mobile MSR et boule optronique CATS de la société turque ASELSAN ;

-      Le Radar SAR de la société japonaise MITSUBISHI ELECTRIC ;

-      Le Mégaphone MASS CS-424 de la société italienne SITEPITALIA.

Rendez-vous est d’ores et déjà fixé en 2017 pour la 14ème édition du salon LIMA.

 

Revue navale

La treizième édition du salon LIMA a accueilli une quarantaine de bâtiments de guerre au mouillage au Resorts World Langkawi. La revue navale fut l’occasion de découvrir de nombreuses unités en service dans les marines asiatiques, dont la nouvelle corvette indienne Kamorta, la frégate coréenne Dae Jo Young ou le patrouilleur Darulehsan du Sultanat de Bruneï. On notera la présence à quai de la frégate Jebatet du sous-marin Tunku Abdul Rahman, qui font la fierté de la marine malaisienne, ainsi que de trois navires de la marine russe : le destroyer Panteleyev, le ravitailleur Pechenega et le remorqueur SB-522.

Frégate Jebat(Malaisie).

Patrouilleur Darulehsan(Sultanat de Bruneï)

 

Meeting aérien

La principale attraction du meeting aérien fut la présentation du nouvel avion de transport A-400M moins d’une semaine après sa mise en service au sein de l’Armée de l’air malaisienne. Les quatre avions commandés vont considérablement augmenter ses capacités de transport.

A-400M (Malaisie)

Malgré un accident la veille du salon, les démonstrations aériennes ont attiré un large public avec la patrouille acrobatique chinoise. Composée uniquement de pilotes féminins, cette formation sur avions de chasse J-10 s’est produite pour la première fois hors de ses frontières.

Patrouille acrobatique chinoise sur J-10.

Pour conquérir le marché malaisien, le Rafale de la société française Dassault a effectué des prestations spectaculaires qui ont ravi tous les spectateurs. Les pilotes ont démontré toutes les capacités de manœuvrabilité de cet avion polyvalent avec un enchainement rapide de tonneaux et de vrilles serrées.

 

Parmi les nombreux matériels présentés dans le centre d’exposition du MIEC, l’équipe du SITTA s’est notamment attardée sur les points suivants :

 

BOUSTEAD HEAVY INDUSTRIES & DCNS 

 Associées dans une joint venture pour la maintenance des deux sous-marins Scorpene malaisiens, Boustead Heavy Industries et DCNS vont à nouveau collaborer pour la production de six corvettes Gowind. Ces navires bien armés (canon de 57 mm Bofors MK-3, 2 canons de 30 mm, missiles sol-air et antinavires) entreront au service actif dans la marine royale malaisienne à partir de 2025. Leurs missions seront en premier lieu la protection des approches maritimes et la lutte contre la piraterie et les trafics. Les Gowind, dénommés LCS pour Littoral Combat Ship, seront construites en Malaisie.

Maquette de la future frégate LCS

 

SME ORDNANCE 

 La munition MK 262 Mod 1 était la nouveauté du stand de SME Ordnance. Sa portée efficace est supérieure à 700 mètres. Elle possède un pouvoir d’arrêt amélioré, une meilleure précision et une capacité de pénétration plus importante. Chambrée en 5,56 x 45, elle atteint la vitesse de 853 m/s. 

 

BAE SYSTEMS 

 La firme britannique BAE Systems a présenté une grande variété de matériels dont une maquette du projet de frégate Type 26. La Royal Navy en a commandé 13, en remplacement de ses 13 unités de la classe Duke. Huit bâtiments seront à vocation anti-sous-marine et cinq seront multi-missions. Le premier exemplaire doit être livré en 2022. BAE Systems espère que les résultats des prochaines élections en Grande-Bretagne n’auront pas de conséquence sur ce contrat. Ils seront dotés de lanceurs verticaux MK-41 et de canons multitubes Phalanx. Toutes les frégates seront équipées d’un sonar de coque et seules celles spécialisées dans la détection de sous-marin auront un sonar à immersion variable.

Maquette de la frégate Type 26.

 

DI OPTICAL CO LTD (Corée du sud)

 Cet exposant sud-coréen présentait une large gamme d’optiques pour armes de petit calibre. Le DCL120, monté sur une mitrailleuse, a focalisé notre attention. Cette lunette de visée a cinq distances présélectionnées : 200 / 400 / 600 / 800 / 1200 mètres. Elle est alimentée soit par des batteries lithium-ion (1000 heures d’autonomie) soit par une source externe. Elle pèse 3 kg et ses dimensions sont :

Longueur : 330 mm

Largeur : 180 mm

Hauteur : 150 mm

Elle est compatible avec les mitrailleuses en calibre 12,7 mm en service dans les pays de l’OTAN (armes collectives pour l’infanterie, armes en sabord d’hélicoptères ou montées sur véhicule blindé).

Optique DCL120.

 

FOCUS OPTECH

FOCUS OPTECH était la deuxième société sud-coréenne spécialisée dans les optiques de visée pour les armements de petits calibres. La nouveauté était la lunette de visée diurne SW-1424 possède un grossissement de x 1 à x 4. Elle pèse 530 grammes et se monte sur des fusils de précision pour des tirs à courtes et moyennes distance. Sa longueur de 295 mm et son diamètre de 30 mm la rende très compacte. La qualité optique semble très bonne et devrait permettre à FOCUS OPTECH de remporter des marchés à l’exportation.

Lunette de visée SW-1424.

 

FOOSUNG FIRSTEC CO LTD

 Pour conquérir de nouveaux marchés en Asie du sud-est, FOOSUNG FIRSTEC, société sud-coréenne spécialisée dans les drones, a exposé une grande variété de systèmes. Le Scobot-200, un drone terrestre conçu pour la reconnaissance et la neutralisation de colis suspect, a attiré notre attention. Il dispose d’un bras mécanique articulé pour saisir les objets ou poser des charges explosives, ainsi qu’une caméra de télévision. Il se déplace à une vitesse de 10 km/h et pèse 32,5 kg (version basique). Son bras pèse 15 kg et la caméra montée sur un mât 3,1 kg. Il est alimenté par une batterie lithium-polymère de 700W (51,8V / 13,5 AH). Le pilotage et la transmission des images s’effectuent via une liaison radio jusqu’à un km. Des outils de neutralisation peuvent être montés sur le bras mobile (canon à eau sous pression, caméra IR…) pour le rendre plus efficace.

Scobot-200.

 

ASELSAN 

Le stand d’ASELSAN, grand équipementier turc, a accueilli de nombreux visiteurs curieux de découvrir ses dernières nouveautés. Notre attention s’est portée sur deux systèmes de détection : le radar de veille MSR et la boule optronique CATS.

Le MSR (Mobile Search Radar) est un radar mobile de veille et de poursuite 3D. Il peut détecter plusieurs aéronefs simultanément sur tout l’horizon à plus de 70 km avec une fréquence d’émission en bande X (site de -5° à +70°). Sa consommation électrique est de 4500W.

Ses dimensions sont :

Longueur : 170 cm

Largeur : 70 cm

Hauteur : 100 cm

Une antenne IFF est associée au radar pour interroger les aéronefs en mod1, 2, 3 et 3A, 4, 5, C et S.

Radar MSR.

La boule optronique CATS était la grande nouveauté sur le stand d’Aselsan. Elle peut être montée sur un hélicoptère ou un drone. Elle a une caméra infrarouge, une caméra TV haute résolution, un intensificateur de lumière et un télémètre laser (longueur d’onde de 1064 nm). Un désignateur laser (longueur d’onde de 850 ou 904 nm) peut aussi être intégré dans le système. La boule travaille en site de -20° à +115°.

 

Boule optronique CATS.

 

MITSUBISHI ELECTRIC

Cette société japonaise, qui expose rarement ses matériels militaires à l’étranger, a présenté son produit phare : un radar à antenne à ouverture synthétique encore en développement. Destiné à équipé les hélicoptères civils (police, secours en mer), il est proposé à l’export pour des appareils militaires. Mitsubishi l’annonce comme un radar très performant, avec une grande portée de détection et une très bonne résolution. Capable de travailler par mauvaises conditions météorologiques, il possède un dispositif de détection de cible mobile et présente des images en temps réel.

Radar aéroporté japonais.

 

SITEPITALIA

Le MASS CS-424 de la société italienne Sitepitalia a été présenté sur le stand malaisien de la compagnie Radimax. Cet appareil embarqué sur les frégates italiennes de défense aérienne type Horizon,  sert à l’autoprotection de bâtiment de guerre. Il possède deux fonctions : haut parleur très puissant pour la mise en garde ou système sonore incapacitant (niveau sonore : 156 dB, portée maximale : 3000 m). Les utilisateurs du MASS CS-424 peuvent utiliser des options supplémentaires telles qu’un télémètre laser, un stroboscope lumineux ou une caméra IR.

MASS CS-424.

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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 12:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

7 Avril 2015 Source : Marine nationale

 

Dans le cadre de la 4ème édition de la semaine nationale de l’Industrie, le Centre d’Instruction Naval (CIN) de Saint Mandrier a ouvert ses portes au public, en partenariat avec la maison de l’Emploi de Toulon Provence Méditerranée et de la direction des services départementaux de l’Education nationale.

Cette action visait à promouvoir les métiers de l’industrie et notamment ceux de la Marine nationale auprès du grand public et en particulier des jeunes et des demandeurs d'emploi. Elle a permis également au public de rencontrer les hommes et les femmes de l’industrie et des services associés, de découvrir les sites industriels du 21ème siècle et de prendre conscience du rôle structurant de l’industrie en France.

Le 31 mars, le CIN a accueilli une trentaine d’élèves des collèges Reynier de Six-Fours et Le Vigneret du Castellet. Le 3 avril, une trentaine d’élèves du lycée Cisson de Toulon ainsi qu’une vingtaine de chefs d’entreprises locales ont pu découvrir les métiers techniques enseignés au CIN.

Après une conférence de présentation prononcée par le capitaine de frégate Delmaire-Sizes, adjoint du directeur de l’enseignement, et monsieur Perrier, proviseur du CIN, les visiteurs ont pu découvrir les formations et outils pédagogiques dans les domaines du secourisme, de la mécanique et de l’électrotechnique.

Parallèlement à ces visites, le proviseur du CIN s’est déplacé à la cité scolaire Thomas Edison à Lorgues pour présenter les métiers techniques de la Marine devant des élèves BAC PRO SEN et STI2D «informatique et réseaux ».

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9 avril 2015 4 09 /04 /avril /2015 10:55
Aéronautique : ne pas négliger l'innovation pour des profits immédiats

La filière aéronautique française doit poursuivre ses investissements pour rester un des leaders mondiaux et garder un coup d'avance qui lui permet de transférer sa technologie d'hier (ici une vue d'artiste du programme franco-britannique FCAS) (Crédits : Dassault Aviation)

 

07/04/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

En dépit de sa forme actuelle, la filière aéronautique doit continuer à investir dans la recherche. Et ne pas tomber dans une stratégie financière à courte vue, imposée par les marchés financiers

 

La filière aéronautique est aujourd'hui en pleine forme. Les commandes se multiplient, les cadences de production augmentent, le trafic aérien s'envole. Bref tout va pour le mieux pour cette filière d'excellence française, dont le seul problème est de savoir comment répondre à la demande en augmentant les cadences. Un problème de riches mais c'est peut être également le moment de rappeler pourquoi elle a aujourd'hui un tel succès. Trois constats que les acteurs de la filière oublient ou veulent oublier et une conclusion en forme d'avertissement.

 

1/ La filière s'éloigne (trop?) de l'esprit des pionniers

La filière aéronautique s'éloigne de plus en plus de l'esprit des pionniers des années 70-80. Si aujourd'hui toute la filière est en aussi bonne forme c'est parce que ces pionniers ont su prendre certains risques, qui seraient peut-être jugés insensés par les actuelles directions financières. Un exemple : quelle entreprise prendrait le risque aujourd'hui de lancer un programme aussi consommateur de cash comme le moteur CFM-56 en partant de zéro, comme Snecma l'a fait dans les années 1970. Un moteur qui ne s'est pas vendu pendant les cinq premières années de commercialisation...

Aujourd'hui, les dirigeants se focalisent de plus en plus sur leur EBIT. Il y a actuellement une doctrine très en vogue dans la filière : si une entreprise n'a pas un EBIT à plus de 10%, elle n'a pas réussi. Une communication à destination des marchés qui ne voient que le court terme. Loin, très loin des cycles longs de l'industrie en général, et de la filière aéronautique en particulier. Bien sûr une entreprise avec un EBIT à 10% est en très bonne santé mais ce n'est pas une fin en soi. Surtout cela ne vaut pas comme stratégie. Notamment sur le long terme.

Quand Airbus Group ou même Thales visent à tout prix et à court terme un EBIT à 10%, ce n'est pas rassurant sur les arbitrages qu'ils font pour y parvenir. Des arbitrages qui sur le long terme peuvent être catastrophiques, en matière de renouvellement de portefeuille produits. Donc, elles doivent continuer aujourd'hui à investir dans la recherche pour rester dans quinze ans en aussi bonne forme qu'aujourd'hui. Ne vaut-il pas mieux une entreprise avec un EBIT à 8% ou 9% et qui consacre une partie de ses ressources financières à l'innovation, à la recherche et préserve son avenir plutôt qu'une entreprise à 10%?

 

2/ La filière oublie (trop?) souvent le rôle de l'Etat

Dans la filière aéronautique, il n'est pas rare d'entendre certains dirigeants dire qu'il faut moins d'État. Mais encore une fois, si la filière aéronautique est en bonne forme, c'est un peu grâce à l'État aussi... En revanche, quand cela va mal, vers qui la filière se tourne toujours? L'État. Les entreprises du secteur sont les premières à se tourner vers l'État pour une aide, une subvention... Un constat, pas une critique. Ce serait bien aussi que la filière valorise son rôle de temps en temps.

D'ailleurs l'État, heureusement qu'il est là. Des organismes publics comme l'ONERA font un travail incroyable. C'est un outil formidable pour la recherche amont pour toute la filière. Dommage que ses budgets ne soient pas la hauteur de sa mission. Car c'est un peu grâce à l'ONERA que les entreprises de la filière ont pu lancer hier, aujourd'hui et peut-être encore demain tout ou partie des programmes majeurs de R&D. Qui sait par exemple que l'ONERA est à l'origine des pâles révolutionnaires du H160, le dernier appareil lancé en février par Airbus Helicopters? Merci Qui? Merci l'Etat...

 

3/ Une filière qui transfère (trop?) les technologies

Enfin troisième et dernier constat, l'industrie aéronautique est une industrie mondialisée.
Mais qui dit mondialisée, dit aussi transferts de technologies pour gagner logiquement des marchés et donc des parts de marchés. Et Airbus Group, Thales, Safran, Dassault Aviation etc... entrainent toute la "supply chain" à l'étranger pour s'implanter et/ou transférer de la technologie. Le contrat Rafale en Inde illustre parfaitement cette tendance.

Conclusion, si la filière n'investit plus et si elle reste focalisée sur un EBIT à 10% et plus pour rémunérer des actionnaires toujours plus gourmands, elle ne gardera pas son coup d'avance qui lui permet aujourd'hui de transférer la technologie d'hier. Enfin, il y aura tôt ou tard, le plus tard possible d'ailleurs, un retournement de cycle. Les entreprises ont-elles  déjà réfléchi quelles seront les usines qui fermeront : celles en France ou les usines installées à l'étranger?

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8 avril 2015 3 08 /04 /avril /2015 11:50
Zephyr UAS - Eco-friendly, yet powerful


6 avr. 2015 Airbus DS

 

Zephyr is a High Altitude Pseudo-Satellite (HAPS) UAS/UAV which runs on solar power. This unmanned aircraft provides local satellite-like services. It endures like a satellite, focuses like an aircraft and is cheaper than either of them.

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 11:40
More than 100,000 people will visit Army-2015

 

31 Mar 2015 by Rostec

 

More than 500 military-industrial companies will participate in the forum

 

The International Military-Technical Forum Army-2015 will be held June 16-19, 2015, in the Moscow region. More than 500 companies are expected to present their products at the exhibition. According to organizers, over the course of four days, more than 100,000 guests, as well as representatives of the military-diplomatic corps of more than 100 countries, will visit the forum and exposition.

The Russian Defense Ministry is facilitating the forum, the first it has organized on this scale.

The forum seeks to facilitate all necessary conditions for reaching technical and technological solutions for the production of weapons, as well as military and special equipment, and to create a positive image for the Armed Forces of the Russian Federation.

Many leading enterprises and holdings companies of Russia’s military-industrial complex have already confirmed their participation in the Army-2015 forum, including: Rosoboronexport, United Aircraft Corporation, Russian Helicopters, United Engine Corporation, holdings of Ruselectronics, High Precision Systems, and others. Leading Russian research institutes, civil and military institutions of higher education, as well as a number of large foreign companies that produce military equipment, are also expected to participate.

In the city of Kubinka, Patriot Park of Culture and Leisure of the Russian Armed Forces is under construction and will be home to an aviation sector that features airplanes, helicopters, weapons, and military equipment for aerospace and defense troops. At least 43 pieces of equipment will be housed here, which will also be a demonstration site for military and aerobatic flights from the teams Russian Knights, Swifts, and Golden Eagles.

Demonstrations will also take place at land and water sectors, where visitors can see tanks, self-propelled guns, armored personnel carriers and battle vehicles, modern automotive and robotic equipment, and unmanned systems. In total, 75 pieces of equipment will be housed here. Sample units will fire on simulated enemies and overcome land obstacles on a test track, or water obstacles on a hydraulic course constructed specially for this event.

The business part of the forum will consist of round tables and training workshops with the participation of representatives of the military administration. In addition, several dozen sections of the Scientific and Technical Council of the Russian Ministry of Defense will be organized. Experts will discuss topics including the development of robotic systems for military use, control of troops, the simulation of weapons and combat operations, and issues regarding national security in the Arctic.

Meetings of the highest level, including those with representatives of foreign delegations, are planned to take place during the forum.

“I am confident that the possibility of direct communication with leading experts and an exchange of views on future design decisions of breakthrough technologies and their practical applications will promote the development of military thought and strengthen international military-technical cooperation,” said Sergey Shoigu, Russian Defense Minister.



Construction and installation is currently underway at Patriot Park for a year-round exhibition of arms and military equipment. According to the Defense Minister, this area will be able to compete with the largest military exhibitions around the world.

The park has an area of 5,414 hectares. It will be divided into five main areas: exhibition halls, museum exhibits, demonstration sites for modern models of equipment and weapons, military-historical reconstruction, and a cultural and recreational area.

Patriot Park is estimated to be able to accommodate 20,000 people a day. Visitors will be able to do more than see the exhibits. Beginning in June of this year, they will have the opportunity to purchase military vehicles, along with various types of uniforms and equipment.

It may be recalled that an agreement to establish an exhibition site to display weapons and military and special equipment at Patriot Park was signed in December 2014 by Sergey Chemezov, CEO of Rostec Corporation, Sergey Shoigu, Russian Defense Minister and Army General, Denis Manturov, Russian Minister of Industry and Trade, and Andrey Vorobyov, Moscow Region Governor.

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 16:55
Le ministre de la Défense passe les troupes du 3e RIMa en revue - photo R. pellegrino ECPAD

Le ministre de la Défense passe les troupes du 3e RIMa en revue - photo R. pellegrino ECPAD

 

08/04/2015 Ministère de la Défense

 

Le 3 avril 2015, le ministre de la Défense s’est rendu en Bretagne, à Vannes (Morbihan), pour une cérémonie en l’honneur du 3e régiment d’infanterie de marine (3e RIMa). Il a ensuite visité l’entreprise Multiplast, spécialisée en matériel nautique et aéronautique, et partenaire du ministère de la Défense.

 

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, s’est rendu le 3 avril à Vannes, dans le Morbihan, pour la cérémonie du 3e régiment d’infanterie de marine (3e RIMa) mettant un terme au mandat de groupement tactique interarmées (GTIA) Korrigan. Déployé en République Centrafricaine depuis novembre 2014, les éléments de ce GTIA de la force Sangaris ont reçu de la part de Jean-Yves Le Drian ses « plus chaleureuses félicitations pour les succès remportés. […] L’ensemble de ces actions, conduites aux côtés de la MINUSCA, a favorisé l’installation d’un niveau de sécurité permettant à la population centrafricaine de bénéficier de nouveau d’un environnement économique et administratif stable ». Le ministre de la Défense a réassuré « l’engagement de la Nation, qui se tiendra toujours aux côtés de celles et ceux qui ont fait le choix de la défendre, de défendre ses intérêts et ses valeurs ».

 

Lors de cette cérémonie, le ministre a également décoré Yvette Lecomte, présidente départementale du concours national de la Résistance, de l’insigne d’officier de l’Ordre National du Mérite. « Pendant quarante-cinq ans, vous avez œuvré avec talent et passion à servir mais aussi améliorer notre service éducatif. […]Comme professeur tout d’abord […]. Comme inspectrice d’académie ensuite, vous n’avez cessé de travailler à une meilleure organisation de notre éducation. »

 

Jean-Yves Le Drian s’est par la suite rendu dans les locaux de l’entreprise Multiplast, entreprise partenaire du ministère de la Défense, spécialisée en matériel nautique et aéronautique. Devant les personnels du chantier, il a félicité la société pour ses « prouessestechnologiques exceptionnelles », entre autres le « projet Solar Impulse 2, qui est en train de faire le tour du globe sans le moindre carburant ». Il a également tenu à « remercier [l’entreprise] pour faire bénéficier le secteur de la défense d’une telle excellence technologique ».

 Jean-Yves Le Drian discute avec le personnel du chantier de l'entreprise Multiplast - photo R. pellegrino ECPAD

Jean-Yves Le Drian discute avec le personnel du chantier de l'entreprise Multiplast - photo R. pellegrino ECPAD

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 16:40
Kalashnikov will increase the level of investment by a billion rubles

CEO of Concern Kalashnikov, Aleksey Krivoruchko, spoke in an interview with Vesti.ru about how sanctions have affected the work of the company, which, despite the sanctions being in place, has managed to increase its production capacity, and about the newly reshaped global geography of the weapons purchasing market.

 

02.04.2015 by Rostec

 

CEO of the Concern Aleksey Krivoruchko discussed how it was possible to increase production under sanctions


 

 

 

- Earlier you mentioned the launch of boats and drones. What is the volume of investment in these areas?

- The amount of investment will be approximately 700-800 million rubles for the two companies. We purchase a share in the assets of the already existing companies, which are promising and already present in the market. We believe this investment will be very promising, since it is an area that we are seriously pursuing.

 

- In your opinion, why is there such an interest in these particular areas?

- With regard to the boats, this niche is still quite reasonably free. They are light, small boats, and we believe that this niche is going to develop further, both for the Defense Ministry and for other customers, including those in the civil field. And also, we are considering installing weapons of our production on these boats.

 

Our program will increase due to currency exchange rates. Originally it stood at 5 billion rubles. Now it will be no less than 6 billion rubles

CEO OF CONCERN KALASHNIKOV ALEKSEY KRIVORUCHKO

 

- As far as boats and drones go, who are your main customers?

- We are currently working on exporting boats and drones, and we hope and believe that there will be many export orders.

 

- Who else are you looking at as potential buyers in the long term?

- There’s EMERCOM, and Customs who were buying and will continue to buy, and, of course, the Ministry of the Interior. Therefore, we believe that there is a great potential for development.

 

- What kind of return on these investments do you expect?

- We expect to fully recoup this investment within three years.

 

- Our experts believe the way for the Concern to reach its past capacity is now possible by expanding and updating the range. What other projects can be expected in the near future?

- Our primary area of activity, is, of course, small arms of various calibers, and we are conducting more development in this field, with already more than 40 works in progress, and many of these works we will showcase this year at the "Russian Army" Expo in the Maritime Defense hall of the exhibition. Therefore, we have a lot to do, and you are absolutely right, without modern, new developments, it is, of course, hard to expand to larger volumes of production and sales, including abroad. The investment program, which was around 5 billion rubles, will increase in the overall amount, primarily due to currency exchange rates. And we now know that it will be an investment of at least 6 billion rubles. Approximately one and a half billion has been invested last year, and about one and a half billion will also be invested this year, meaning that, in regards to the investment program, we are not making any reductions. So far, we have a situation that allows us to save on all volumes.

 

We have no personnel reductions, and instead have increased production by more than half this year, compared to 2014.

CEO OF CONCERN KALASHNIKOV ALEKSEY KRIVORUCHKO

 

- Are there any other areas for reducing costs, as far as you know, within the company?

- The Concern has a lot of experience in reducing costs, due to the fact that for many years there was no new technology, or for that matter, new equipment. And today we already have a great example: we changed out 30 machines for one machine, which is much more technologically advanced. And, of course, there is the transition to new technology when it comes to metals that can save tens or even hundreds of percentage points in costs. This is one of the key areas where we are seeing positive results.

 

- So, as it turns out, you are reducing costs through investment and through the purchase of new equipment?

- Partly so, even though up to now the Concern has been profitable, but it is impossible to acquire new machines and technologies without making the necessary investment. However, for now it has a strong effect, and today we were able to increase production by more than double over the previous year, in comparison to 2013, proving that, in that regard, it is working.

 

- So the main effect is already visible. But what is the main result that you are aiming for?

- We are planning very seriously to reduce our costs, both in production and overhead costs. We expect to finalize our investment program in 2017.

 

- Nowadays, many companies are trying to reduce personnel, how do you see your future staffing concerns?

- We are not planning any reductions, there are even jobs available for hiring - mainly for workers. We were able to expand the overall enterprise by expanding our exports. We have our orders. We have a large order from the Defense Ministry, and therefore, we have no plans to implement cuts, and instead, we expect a production increase even two times greater than the growth of 2014.

 

- How have sanctions affected the work of Kalashnikov Concern and what results have you achieved during 2014 ?

- They really had a huge affect upon us. Of all the companies that were targeted on the sanctions list, we were the only one that had almost 80 percent of products that were exported to the United States market - they were our civilian weapon sales. For us, this was certainly a serious blow. But thanks to the work with our colleagues at Rosoboronexport and other companies, we were to completely replace these volumes. And as I said, in 2014, we increased the volume almost two-fold compared to 2013 - despite the sanctions. So this is one of our, let's say, problem areas.

The second issue, which is also connected with the sanctions, it that it has become difficult to obtain foreign exchange transfers from customers. Banks are afraid to cooperate with us, which created a number of difficulties.

And the third area, which is also affected by the sanctions, is the supply of equipment. Equipment from European or other manufacturers. You may buy equipment from a European manufacturer, and then, for reasons beyond you, they refuse to supply spare parts or other services. For us, this was, of course, a bit of a kick and a lesson learned, so now we go to Russian manufacturers for machine tools, and as of right now, the industry is actively developing. We also work with Asian producers.

 

- Some people believe that 100 percent import substitution is impossible. As far as the Concern goes, do you imagine making it happen?

- In our case, thankfully, it is entirely possible to pull it off, thanks to our partners in Asia. To date, we have had cases of refusal to supply equipment, and it is only caused a negative impact in regards to the image of those companies.

 

Almost 80% of the products were shipped to the United States, so the sanctions and closing of this market was a serious blow for us, but we were able to completely replace these volumes

CEO OF CONCERN KALASHNIKOV ALEKSEY KRIVORUCHKO

 

- What is the current ratio between imported and domestic equipment?

- Not all equipment is made in Russia - but around 15-20% we purchase from Russian and Belorussian manufacturers.

 

- At what prices are you now having to buy imported components and how have they changed after the imposition of sanctions?

- In rubles, it is certainly more expensive, but these are very good quality products, which are still much cheaper than the European ones.

 

- You say that previously Kalashnikov Concern had 80 percent of its sales coming from the United States. Who became the new buyer that filled the void?

- A year ago, we had 80 percent civilian weapons being sold. Then, due to the ban, we had to reorient our civilian market, and, of course, we had to refocus our strategy and production. And today we have realigned 80 percent of our production to military weapons. In this area, the main customers are Africa and the Middle East, as well as South East Asia, Latin America, and the countries where we have been able to significantly increase sales by working with Rosoboronexport.

 

- When you were talking about drones and boats, you mentioned purchasing of companies. Do you have any such purchases planned for the future?

-Indeed, these options are not excluded - they are definitely being considered fully. We have already conducted a detailed study of purchasing abroad, however, because of the sanctions, we have suspended it for now and hope that it will soon come back online.

 

- What are the financial goals and objectives of Kalashnikov Concern for 2015?

- As you already know from the Company’s reporting statement for 2014, we carried a net profit. It was relatively small at 88 million rubles, but this was a very positive result, considering the imposition of sanctions. This year we plan to significantly increase net income and revenue, so we have great confidence in the future.

 

- Significantly, by how much?

- We have a number of contracts that we have to implement. There are a number of difficulties involved, but we are planning for an increase of up to 15 billion rubles in the near future, compared to 4 billion in the past.

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2 avril 2015 4 02 /04 /avril /2015 16:55
Jean-François Chanut

Jean-François Chanut

 

31 mars 2015 par JDE

 

Michel Ferey passe la main à Jean-François Chanut, président de Ratier Figeac SAS à partir du 1er avril.

 

Jean-François Chanut a été nommé président de Ratier Figeac lors de l'assemblée générale du sous-traitant aéronautique, le 24 mars dernier. Il remplace Michel Ferey, président et directeur général depuis 2010 de Propeller Systems, entité du groupe américain UTC Aerospace Systems et qui regroupe Ratier-Figeac en France, une unité à Windsor Locks aux Etats-Unis ainsi que RFM, filiale marocaine de Ratier-Figeac. Dans le cadre de son départ à la retraite, Michel Ferey reste toutefois dans l'entreprise puisqu'il prend la présidence du comité de surveillance de Ratier Figeac, succédant à Robert Vitrat.

 

Suite de l’article

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2 avril 2015 4 02 /04 /avril /2015 16:20
USNS Trenton (JHSV 5) - photo US Navy

USNS Trenton (JHSV 5) - photo US Navy

 

Apr 1, 2015 ASDNews Source : US Navy

 

The joint high speed vessel USNS Trenton (JHSV 5) completed acceptance trials at the Austal USA shipyard March 13, the Navy announced March 24. The week-long trials were held in the Gulf of Mexico and overseen by the Navy's Board of Inspection and Survey (INSURV). INSURV worked alongside the shipyard to demonstrate the ship's equipment and system operation to ensure it is ready for delivery and fulfills all contractual requirements.

 

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2 avril 2015 4 02 /04 /avril /2015 11:35
Stinger® missile - photo Raytheon

Stinger® missile - photo Raytheon

 

Mar 31, 2015 ASDNews Source : Raytheon

 

Systems to Go Aboard Apache Helicopters

 

Raytheon Company (NYSE: RTN) signed a $35 million contract to deliver Stinger® missiles and air-to-air launchers to the Republic of Korea Army in support of their recent procurement of AH-64 Apache helicopters.

 

Under the previously announced foreign military sale, Raytheon will begin deliveries of the Stinger weapon systems in 2017.

 

"Stinger provides vital self-protection capabilities as well as defensive counter-air protection of aviation and ground forces," said Michelle Lohmeier, vice president of Raytheon's Land Warfare Systems product line. "Most importantly, Stinger operates day and night, in all environmental conditions and allows for the engagement of multiple targets within seconds."

 

This agreement highlights a renewed global interest in air-to-air Stinger as a key component of attack and light attack helicopter mission configurations. Stinger greatly enhances the capabilities of the aircraft to successfully perform today's missions while countering existing threats.

 

"With the emergence of unmanned aerial vehicles in the battlespace and the key role of helicopters, the evolved technology of air-to-air Stinger is easily adapted to defeat evolving threats," said Jack Elliot, Raytheon's Stinger program director. "Stinger is an immediate- response weapon of choice against a wide range of air threats for protection of both fixed sites and maneuver forces."

 

About Stinger

Stinger-RMP (reprogrammable microprocessor) Blk 1, the current production version of Stinger, has maintained a greater than 90 percent success rate in reliability and training tests against advanced threat targets. The combination of supersonic speed, agility, highly accurate guidance and control system, and lethal warhead gives Stinger the operational edge against all classes of helicopters, UAVs, cruise missiles, and fixed-wing aircraft. In service in 19 countries, Stinger not only has a surface-to-air capability from land and sea, but also an air-to-air capability that can be integrated into most fixed- or rotary-wing platforms.

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2 avril 2015 4 02 /04 /avril /2015 11:30
Stunner missile (Photo Rafael)

Stunner missile (Photo Rafael)

 

April 1, 2015 By Barbara Opall-Rome – Defense News

 

TEL AVIV — Israel's Missile Defense Organization (IMDO) on Wednesday declared its successful completion of a third series of intercept tests for the Stunner missile.

 

Developed by state-owned Rafael and Raytheon, the US-Israel-funded interceptor is part of Israel's planned David's Sling active defense system.

 

"In the past few days, we conducted a series of tests. After evaluating all the data, we're defining the series as a full success," said Yair Ramati, IMDO director.

 

In an interview Wednesday, Ramati said the tests were conducted against targets representative of the long-range rockets and short-range missiles that David's Sling is designed to defend against.

 

He added that IMDO and the Pentagon's Missile Defense Agency are planning a fourth series of flight tests this year, after which the Israel Air Force should be prepared to declare initial operating capability.

 

Israel plans to deploy David's Sling as its newest layer of active defenses above Iron Dome — operationally proven against Katyusha and Grad-type rockets — and below Arrow-2, which is designed to intercept Scud- and Shihad-class tactical ballistic missiles.

 

Arrow-3, a joint US-Israel Upper Tier interceptor, will comprise Israel's highest layer of active defense and aims to destroy advanced, potentially nuclear-tipped ballistic missiles outside of Earth's atmosphere.

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2 avril 2015 4 02 /04 /avril /2015 11:20
photo Raytheon

photo Raytheon

 

Mar 31, 2015 ASDNews Source : Raytheon

 

Raytheon Company (NYSE: RTN) received a $91.5 million U.S. Air Force contract modification award for the Miniature Air Launched Decoy Jammer (MALD-J) missile. The contract modification is for Lot 8. Work will be performed in Tucson and is expected to be complete by June 2017. This award was booked in the first quarter 2015.

 

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2 avril 2015 4 02 /04 /avril /2015 11:20
USS Donald Cook (DDG 75) - phot US Navy

USS Donald Cook (DDG 75) - phot US Navy

 

BATH, Maine, April 1, 2015 /PRNewswire/

 

The U.S. Navy has awarded funding for the construction of DDG 122, the Fiscal Year 2015 Arleigh Burke-class destroyer under contract at General Dynamics Bath Iron Works. This $610.4 million contract modification fully funds this ship which was awarded in 2013 as part of a multi-ship competition for DDG 51 class destroyers. The total value of the five-ship contract is approximately $3.4 billion. General Dynamics Bath Iron Works is a business unit of General Dynamics (NYSE: GD).

Fred Harris, president of Bath Iron Works, said, "This announcement allows us to continue efforts associated with planning and construction of DDG 122. We appreciate the leadership of Senators Collins and King and the strong support of our entire delegation in matters of national defense. We are grateful for their recognition of the contributions made by the people of BIW to the U.S. Navy's important shipbuilding programs."

There are currently three DDG 51 destroyers in production at Bath Iron Works, Rafael Peralta (DDG 115), Thomas Hudner (DDG 116) and Daniel Inouye (DDG 118). The shipyard began fabrication on DDG 115 in November 2011, and delivery to the Navy is scheduled for 2016. Fabrication on DDG 116 began in November 2012, and that ship is scheduled to be delivered to the Navy in 2017. Fabrication has just begun on DDG 118, the first ship of the 2013 multi-ship award.

Bath Iron Works is also building the three ships in the planned three-vessel Zumwalt-class of destroyers, Zumwalt (DDG 1000), Michael Monsoor (DDG 1001) and Lyndon Johnson (DDG 1002).

The Arleigh Burke-class destroyer is a multi-mission combatant that offers defense against a wide range of threats, including ballistic missiles. It operates in support of carrier battle groups, surface action groups, amphibious groups and replenishment groups, providing a complete array of anti-submarine (ASW), anti-air (AAW) and anti-surface (ASUW) capabilities. Designed for survivability, the ships incorporate all-steel construction and have gas turbine propulsion. The combination of the ships' AEGIS combat system, the Vertical Launching System, an advanced ASW system, two embarked SH-60 helicopters, advanced anti-aircraft missiles and Tomahawk anti-ship and land-attack missiles make the Arleigh Burke class the most powerful surface combatant ever put to sea.

 

Bath Iron Works currently employs roughly 5,600 people.

More information about General Dynamics Bath Iron Works can be found at www.gdbiw.com.

More information about General Dynamics is available at www.gd.com.

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