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15 novembre 2013 5 15 /11 /novembre /2013 08:20
second F-35A for the Royal Netherlands Air Force  photo Lockheed Martin

second F-35A for the Royal Netherlands Air Force photo Lockheed Martin

 

14/11/2013 Par Duncan Macrae – Air & Cosmos

 

Les restrictions budgétaires américaines obligent les industriels dans le secteur de la défense — même les plus grands — à réagir. Nouvel exemple ce jeudi 14 novembre avec l’annonce par Lockheed Martin de 4000 suppressions de postes et des fermetures d’usines.

 

Le géant américain, chef de file industriel sur le programme F-35, avait déjà fait savoir qu’il s’attendait à une baisse du chiffre d’affaires en 2013 à la suite du plafonnement des budgets de défense dans le monde occidental et de la fameuse « séquestration » des dépenses fédérales aux Etats-Unis. Il prévoit dorénavant une nouvelle baisse en 2014.

 

D’où l’annonce d’aujourd’hui. Celle-ce comprend la fermeture, d’ici mi-2015, des sites de Newtown (Pennsylvanie), Akron (Ohio), Goodyear (Arizona) et Horizon City (Texas). Un total de 2000 postes seront ainsi supprimés. Les 2000 suppressions restantes seront la conséquence de mesures « d’efficacité opérationnelle » qui seront mises en œuvre d’ici la fin de 2014 dans les branches Systèmes d’information, Systèmes de missions et Systèmes spatiaux.

 

Selon Lockheed Martin, ses effectifs ont déjà été réduits de 146 000 en 2008 à 116 000 actuellement. Il y a un mois, le groupe a annoncé un bond de 15 % du bénéfice net pour les trois premiers trimestres de 2013 alors que le chiffre d’affaires était en recul de 4 %.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 12:20
Pour L’US Air Force, il s’agit de remplacer les B-1B, B-2, B-52

Pour L’US Air Force, il s’agit de remplacer les B-1B, B-2, B-52

 

13 novembre 2013 Aerobuzz.fr

 

Boeing et Lockheed Martin ont décidé de s’associer pour réaliser le futur bombardier stratégique américain à long rayon d’action (LRS-B). Les deux constructeurs grillent la priorité à Northrop Grumman, le spécialiste de la question. Les racines de cette décision remontent aux années 80...

 

A défaut de savoir exactement ce que sera le futur bombardier stratégique américain, on sait déjà quelles seront les équipes alignées pour le réaliser. Boeing et Lockheed Martin ont annoncé fin octobre leur volonté de s’associer pour le concourir. Tandis que Northrop Grumman, grand spécialiste de la question depuis le très secret programme B2 « Spirit », l’avion le plus cher de tous les temps, réserve sa réponse.

 

Avec cette décision, Lockheed Martin et son département « Skunk Works » tiennent leur revanche. En effet, l’avionneur américain, auquel on doit le F/A 22 Raptor ou encore le F35 Lightning II est un pionnier des avions furtifs. Ses premières recherches, remontent aux années 60. L’avionneur avait d’abord tenté de diminuer la signature radar des avions espions U2, sans succès notable, car cet avion n’a jamais été conçu au départ pour avoir une faible signature radar.

 

Une leçon parfaitement intégrée dès les premières épures de son successeur, le fantastique SR-71 Blackbird. Ainsi, outre la silhouette générale de l’avant de l’appareil, aux formes douces, et l’inclinaison des dérives, un traitement spécifique des bords d’attaque de la voilure a été appliqué sur l’appareil. Le tout, complété par un ensemble de brouillage actif dernier cri pour l’époque. A défaut d’être furtif, cet avion était discret.

 

Mais le vrai saut technologique a été accompli dans les années 70, grâce aux équations du savant russe Ufimtsev, qui ont rendu possible la mise au point de l’avion d’attaque F-117 Nighthawk, parfaitement invisible et terriblement efficace lors de la première guerre d’Irak. Par la suite Lockheed Martin a travaillé pour le Pentagone sur quantité de programmes aussi furtifs que secrets. Pendant ce temps Northrop Grumman, grand spécialiste des avions embarqués, sentait le vent tourner et décidait de s’engager sur la voie des avions furtifs. C’est donc tout naturellement qu’il a tenté de débaucher le « père » du F117, feu Ben Rich. Peine perdue, car le chef d’alors et fondateur des « Skunk Works » veillait au grain. Aussi l’attribution du contrat de bombardier furtif B2 à Northrop Grumman dans les années 80 fut une vraie déception pour Lockheed Martin.

 

Aujourd’hui, les B52 en service ont aux alentours de cinquante ans, les B1B Lancer de Rockwell remontent aux années 80 tandis que les 19 B2 Spirit, récents et polyvalents coutent une vraie fortune à l’entretien. Pendant ce temps, les systèmes de détection et de défense anti aérienne réalisés en Russie, en Chine et en Europe sont de plus en plus performants. Pire, la Russie affirme vouloir se doter de bombardiers stratégiques furtifs réalisés dans le cadre du programme PAK-DA. Ces avions remplaceront les TU-95 et autres TU-160. Et la Chine ne cache plus ses ambitions en matière d’aéronefs avancés. Du coup le Pentagone réfléchit à un engin furtif, raisonnablement moderne et surtout abordable ; on parle de 100 à 200 M$ l’unité.

 

Le futur bombardier stratégique américain devrait être capable de mettre en œuvre des armes nucléaires et conventionnelles à plusieurs milliers de kilomètres de sa base de départ. Idéalement il devra être capable de pénétrer les défenses anti aériennes les plus modernes pour les détruire ou collecter des données tactiques. Certains spécialistes américains estiment qu’il pourrait même être doté d’armes à impulsions électro magnétiques ou laser. De son côté Lockheed Martin affine sa réponse et laisse filtrer dans la presse des vues d’artiste d’un engin de reconnaissance hypersonique, on parle de Mach 6, furtif baptisé SR-72…

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11 novembre 2013 1 11 /11 /novembre /2013 17:35
Projet F-X : décision fin novembre, Lockheed Martin bien placé, EADS et Boeing menacés

 

SEOUL, 11 nov. (Yonhap)

 

Le gouvernement communiquera à la fin du mois en cours les nouvelles conditions (plus strictes) de son programme d’achat d’avions de chasse (F-X) pour remplacer une partie de sa flotte vieillissante, a annoncé ce lundi le ministère de la Défense.

 

Après avoir finalement écarté le Silent Eagle de Boeing pour sa faible capacité furtive, le seul avion qui respectait le budget de 8.300 milliards de wons (7,2 milliards de dollars) de l’appel d’offres, Séoul cherche à présent un chasseur techniquement plus avancé, accroissant ainsi grandement les chances de Lockheed Martin, constructeur du F-35.

 

Alors que des consultations ont lieu actuellement, l’armée de l’air a récemment fait part de son souhait d’acquérir un avion de combat possédant une surface équivalente radar (SER) réduite, mesurant la furtivité d’un appareil, et une capacité de guerre renforcée. Ces conditions semble-t-il seront confirmées dans les prochaines semaines.

 

«Le Comité des chefs d’état-major interarmées (JCS) aura une réunion fin novembre pour décider des capacités opérationnelles militaires», a indiqué le porte-parole du ministère Kim Min-seok en conférence de presse. Une fois que les critères auront été confirmés, l’armée établira un plan d’achat et l’Administration du programme d’acquisition de défense (DAPA) lancera un nouvel appel d’offres.

 

Les nouvelles grandes lignes, si elles sont adoptées réellement, auront un impact radical sur chacune des entreprises concernées en ce sens que le F-15 de Boeing et l’Eurofighter d’EADS ont des capacités furtives relativement faibles. En effet, seul le F-35 répondrait à ces exigences strictes. Celui-ci est vendu uniquement dans le cadre du programme américain de vente d’Etat à Etat de matériels militaires, appelé FMS (Foreign Military Sales).

 

«Comme nous ne savons pas encore si la demande portera sur un ou plusieurs types d’appareil, la réunion du JCS sera très importante», a noté Kim. Concernant le budget estimé, le porte-parole a déclaré que son ministère consulterait le ministère des Finances pour tenter d’obtenir 120% du budget global initial pour le projet F-X.

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 18:20
Lockheed Martin dévoile le SR-72, successeur sans pilote du Blackbird

 

05.11.2013 Helen Chachaty et Romain Guillot - journal-aviation.com

 

Dans un communiqué publié suite à un article d’Aviation Week, Lockheed Martin a dévoilé le 1er novembre son dernier projet en date : le SR-72, un démonstrateur de drone hypersonique, présenté comme « l’héritier du Blackbird » par Aviationweek.

 

Le projet, secrètement développé par le bureau d’études Skunk Works, serait capable, aux dires de l’avionneur américain, de voler jusqu’à Mach 6, soit deux fois la vitesse du SR-71 Blackbird. Le drone biréacteurs supersonique serait destiné aux missions de surveillance, de reconnaissance et de renseignement, avec une capacité d’emport d’armement, et notamment des missiles hypersoniques.

 

Brad Leland, directeur de programme « hypersonique » chez Lockheed Martin, a déclaré dans le communiqué : « La vitesse est le prochain enjeu dans le domaine de l’aviation pour contrer les menaces émergentes des prochaines décennies », comme le confirme le titre du communiqué de l’avionneur : « Speed is the new stealth ».

 

Le SR-72 combinera deux motorisations partageant les mêmes entrées d’air et les mêmes tuyères d’éjection pour réduire la trainée de l’appareil. Un réacteur conventionnel permettra à l’appareil de décoller puis d’atteindre une vitesse proche de Mach 3. Un statoréacteur bimode (pouvant fonctionner comme un superstatoréacteur à des vitesses hypersoniques) prendra ensuite le relais jusqu’à Mach 6 (voir schéma ci-dessous).

 

Lockheed Martin annonce par ailleurs que le système pourrait être opérationnel à partir de 2030, tandis qu’Aviation Week parle d’un démonstrateur dès 2018.

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4 novembre 2013 1 04 /11 /novembre /2013 08:20
Lockheed Martin’s SR-72 – A Mach 6 Armed ISR Aircraft Revealed

 

 

November 2, 2013. David Pugliese Defence Watch

 

Lockheed Martin’s Skunk Works has revealed to AW&ST details of long-running plans for what it describes as an affordable hypersonic intelligence, surveillance and reconnaissance (ISR) and strike platform that could enter development in demonstrator form as soon as 2018.

 

More from AW&ST

 

“Dubbed the SR-72, the twin-engine aircraft is designed for a Mach 6 cruise, around twice the speed of its forebear, and will have the optional capability to strike targets.

 

A vehicle penetrating at high altitude and Mach 6, a speed viewed by Lockheed Martin as the “sweet spot” for practical air-breathing hypersonics, is expected to survive where even stealthy, advanced subsonic or supersonic aircraft and unmanned vehicles might not. Moreover, an armed ISR platform would also have the ability to strike targets before they could hide.

 

“The Skunk Works has been working with Aerojet Rocketdyne for the past seven years to develop a method to integrate an off-the-shelf turbine with a scramjet to power the aircraft from standstill to Mach 6 plus,” says Brad Leland, portfolio manager for air-breathing hypersonic technologies. “Our approach builds on HTV-3X, but this extends a lot beyond that and addresses the one key technical issue that remained on that program: the high-speed turbine engine,” he adds, referring to the U.S. Air Force/Defense Advanced Research Projects Agency (Darpa) reusable hypersonic demonstrator canceled in 2008.:

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4 novembre 2013 1 04 /11 /novembre /2013 06:35
photo US Navy

photo US Navy

 

01/11/2013 by Paul Fiddian - Armed Forces International's Lead Reporter

 

Hot on the heels of China's recent nuclear submarine fleet unveiling, Taiwan has now showcased its first delivered submarine-hunting Lockheed P-3C Orion maritime patrol aircraft.

 

The first Taiwanese Orion made its public debut at a handover event staged on 31 October 2013, in the presence of defence officials and Ma Ying-yeou - the President of Taiwan. The aircraft is one of 12 ultimately set to equip the Republic of China (Taiwanese) Navy, with three more airframes scheduled to arrive in coming weeks and the remainder by 2015.

 

According to President Ma, the Taiwanese P-3C fleet is "the most advanced among the hundreds that are serving many countries in the world." He added: "I believe that after the aircraft join the air force, we will see our underwater anti-submarine, ship-to-ship and air attack capabilities greatly enhanced."

 

Taiwanese Navy Orions

 

The Taiwanese Navy Orions are refurbished P-3C models. Capable of carrying out sustained 17 hour patrol missions, each carries MK46 torpedoes and Harpoon missiles. Military experts suggest that, equipped with these advanced maritime patrol aircraft, Taiwan's submarine-hunting capability will become no less than ten times more effective than at present.

 

In Republic of China Navy service, the Orions are the replacement for Taiwan's Grumman S-2T Turbo Trackers, which arrived in 1999. 27 Turbo Trackers were supplied but barely 50 per cent of them remain active. All Taiwanese Turbo Trackers now serve within the Republic of China Air Force.

 

A key component of NATO's maritime patrol capability, the Orion was originally the US Navy's Lockheed P-2 Neptune replacement and has now been in service for more than 50 years. Adapted from the Lockheed L-188 Electra airliner, it was given a weapons bay and a MAD (magnetic anomaly detector) system, used to detect submarines.

 

Taiwanese Submarine Hunters

 

News of the Taiwanese P-3C submarine hunters purchase first emerged in 2007, after former President Chen Shui-bian stressed the need for strengthened defences against China.

 

Almost six years on, his successor yesterday announced: "Although ties with the Chinese mainland have improved significantly in the last five years, they have not changed their military deployments targeting Taiwan. We must not relax our military preparations."

 

Right now, it's thought that China's PLA (People's Liberation Army) has some 1,500 missiles pointed Taiwan's way.

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1 novembre 2013 5 01 /11 /novembre /2013 12:20
LONGBOW Receives $92 M LCCS Award for US Army's Apache Helicopter

 

 

Oct 31, 2013 ASDNews Source : Lockheed Martin Corporation

 

LONGBOW LLC, a joint venture between Lockheed Martin and Northrop Grumman, received a $92.8 million contract from the U. S. Army to provide Life Cycle Contractor Support (LCCS) for LONGBOW programs on the AH-64D and AH-64E helicopters.

 

The LCCS contract provides integrated logistics support for LONGBOW Fire Control Radar (FCR) systems equipping AH-64D and AH-64E Apache helicopters. The contract also includes support for the AH-64E Unmanned Aerial System Tactical Common Data Link Assembly (UTA) and upgraded FCR Radar Electronics Unit (REU). The period of performance for the LCCS contract extends through 2016.

 

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1 novembre 2013 5 01 /11 /novembre /2013 12:20
F-35 Weekly Update: 31st October 2013

 

31.10.2013 Defence IQ Press


South Korea is nearing a decision to buy some Lockheed Martin Corp F-35 fighter jets, but may keep its options open for a limited purchase of Boeing Co's (BA.N) F-15, sources familiar with the country's fighter competition said on Wednesday.

South Korean officials could announce their plans as early as November to secure the funding needed to ensure initial deliveries of the F-35 in 2017, according to multiple sources who were not authorized to speak publicly. They cautioned that the decisions were not yet final, and an announcement could still be postponed if the decision-making process hits a snag.

South Korea's fighter competition has been closely watched given its importance to Boeing, which is keen to extend its F-15 production line beyond 2018, and to Lockheed, which is trying to drive down the price of the F-35 by securing more buyers.

Boeing's new F-15 Silent Eagle model was the only bid that came in under South Korea's budget cap of 8.3 trillion won ($7.2 billion). But Seoul last month rejected that offer and said it needed a fifth-generation warplane that is nearly invisible to enemy radar - a move widely seen as an endorsement of the F-35.

Europe's Eurofighter also plans to bid again for the order, but the head of Europe's EADS (EAD.PA) acknowledged last month that the company faced a tough battle against its U.S. rivals.

South Korean officials have said they are examining a mixed procurement approach that could help Seoul maintain sufficient numbers of fighters in its fleet if the F-35 runs into further delays. They are also looking at reducing the size of the order to 40 or 50 planes.

Analysts say Boeing is now offering Seoul a range of options for an upgraded F-15, instead of the more expensive Silent Eagle variant the company initially proposed, although the Silent Eagle version technically remains an option.

South Korean officials are under pressure to commit to at least some F-35 purchases soon, given their own budget deadlines, and the need to start buying certain "long-lead" materials needed for any jets that would be delivered in 2017.

Seoul may put off, at least for now, whether to buy a smaller number of F-15 variants, the sources said.

"South Korea will need to decide on a plan as soon as possible in order to secure (the project's) budget for next year," said one source with direct knowledge of a task force set up last month to review options for the delayed fighter jet buy. [Reuters]

 

The Lockheed Martin Corp F-35 fighter jet dropped a 500-pound bomb this week, hitting a tank at Edwards Air Force Base in California and marking the first time the new warplane has fired a laser-guided weapon, the Pentagon said Wednesday.

An F-35 B-model jet released the Guided Bomb Unit-12 (GBU-12) Paveway II bomb from its internal weapons bay while flying at around 25,000 feet, successfully smashing into a tank parked on the ground, the Pentagon's F-35 program office said in a statement. It took 35 seconds to hit the target.

"This guided weapons delivery test of a GBU-12 marks the first time the F-35 truly became a weapon system," said Marine Corps Major Richard Rusnok, the pilot who flew the plane during the weapons test Tuesday. "It represents another step forward in development of this vital program."

Different F-35 models have test-fired missiles during flight and over water. But this marked the first time the jet had fired a guided weapon at a ground target.

After more than a decade of development, the $392 billion F-35 Joint Strike Fighter program is making strides in testing, production and operations. The Marine Corps plans to start operating the planes in mid-2015.

The Pentagon's top arms buyer, Frank Kendall, this week said the F-35 program had made sufficient progress to budget for higher production in fiscal year 2015, but said he remained concerned about progress on the jet's software, reliability and a computer-based logistics system.

The GBU-12 weapons test will be followed later on Wednesday by a live fire test at Edwards Air Force Base of an AIM-120 Advanced Medium Range Air to Air Missile, or AMRAAM, built by Raytheon Co.

A test of the F-35's ability to drop a 1,000-pound GBU-32 built by Boeing Co is planned next month. [Reuters]

 

The Pentagon's chief arms buyer wants details on how Lockheed Martin Corp and other companies will be held accountable for the quality and reliability of the F-35 fighter jet as he considers whether to approve an increase in the plane's production, U.S. defense officials said on Friday.

Frank Kendall, undersecretary of defense for acquisition, technology and logistics, is asking the Pentagon office that runs the $392 billion F-35 program to map out how it will ensure the quality, reliability and maintainability of the new warplanes as production ramps up in coming years, said the officials, who were not authorized to speak publicly.

Kendall chaired a five-hour review of the Pentagon's biggest arms program on Monday that showed progress in F-35 development, production and testing, and confirmed that Lockheed and its suppliers were technically ready to increase production.

But Kendall and other Pentagon officials want to make sure that they have contractual language and other tools in hand to hold Lockheed and engine maker Pratt & Whitney, a unit of United Technologies Corp, responsible if problems arise.

"The government wants to see how it can incentivize the contractors to do well, and what leverage it will have if they don't," said one source familiar with the program.

The Pentagon drive for more rigorous oversight could result in additional clauses in the next contracts for jets and engines. The contracts are being negotiated separately by Pratt and Lockheed with the government in coming months.

Government plans call for Lockheed to increase F-35 production from around 36 planes this year to 45 in 2016 and ramping up to 110 planes a year by the end of the decade. The company expects to build about 200 jets a year when the program, the largest in Pentagon history, is in full production.

Decisions on future production rates have been complicated by the lack of a federal government budget for the new fiscal year that began October 1 and uncertainty about additional cuts in Pentagon spending due to take effect under sequestration unless Congress agrees on other deficit-reducing measures. [Reuters]

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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 18:20
Le caillou, prochaine arme d'espionnage des États-Unis ?

SPAN (Self-Powered Ad-hoc Network) - photo Lockheed Martin

 

29/10/2013 Par Sébastian SEIBT -- france24.com

 

L’un des principaux groupes américains de défense, Lockheed Martins, a démontré les capacités de surveillance d’un… caillou. Ou plutôt de capteurs qui peuvent être placés dans des pierres afin de rendre les dispositifs de surveillance plus discrets.

 

Il n'y a pas que la NSA qui espionne, il y a aussi les cailloux. Lockheed Martin, le géant américain de la défense, a réaffirmé, la semaine dernière lors de l’AUSA (le rassemblement annuel de tous ceux qui travaillent avec l’armée américaine) vouloir pousser sur le terrain son nouveau super-espion qui tient... dans un caillou.

 

Baptisée SPAN (pour "Self-Powered Ad-hoc Network" - réseau ad-hoc auto-alimenté), cette technologie est en développement depuis près d’une décennie. Il s’agit d’un capteur suffisamment petit pour être placé dans des réceptacles aussi anodins que des petites pierres. À la différence des premiers prototypes, les SPAN de dernière génération peuvent être laissés "à l’abandon" sur place pendant des années car ils se rechargent grâce à l’énergie solaire. D’après Matt Plyburn, un responsable de Lockheed Martin interrogé par le site spécialisé dans les nouvelles technologies "Wired", ces petits dispositifs auraient une durée de vie de plus de 20 ans.

 

Une fois qu’un de ces mini-maîtres espions perçoit un mouvement suspect, il avertit un drone ou un agent en chair et en os qui peut ensuite aller observer de plus près de quoi il en retourne. Tout le défi de ces dernières années a été, pour les ingénieurs de Lockheed Martins, de réduire le nombre de "faux positifs". Le groupe américain assure qu’aujourd’hui, ses sentinelles rocailleuses savent parfaitement faire la part des choses. Mais pour l’heure, l'efficacité des SPAN n'a pas encore été officiellement testée.

 

Pour Lockheed, les SPAN seraient de parfaits compagnons technologiques pour améliorer la surveillance aux frontières ou encore aux abords des QG des grands groupes qui hébergent d’importants secrets industriels. Le but, d’après Lockheed Martin, est d’offrir un système "de surveillance non-intrusive et en continu" à un coût opérationnel défiant toute concurrence, rapporte la chaîne russe d’informations en continu Russia Today. Chaque capteur est vendu 1 000 dollars. L’idée est de quadriller au maximum une zone grâce à ces cailloux afin de la sécuriser.

 

Ils voient des cailloux partout

 

Des espions tout terrain que l'armée américaine laisserait en souvenir au moment de quitter des zones où, comme en Afghanistan, les conflits sont toujours latents. "Nous allons laisser un grand nombre d’agents en Afghanistan et ils vont avoir besoin de ce genre de technologie facile à mettre en place pour surveiller, par exemple, un village sans pour autant installer des dispositifs trop voyants", affirme Matt Plyburn.

 

Lockheed Martin n’est pas le seul à travailler sur ce genre de technologie. L’armée américaine finance, à hauteur de plusieurs millions de dollars, la société américaine Camgian Microsystem pour travailler sur des technologies de réduction de consommation d’énergie de ce genre de capteurs. Depuis 2008, Textron, un groupe américain spécialisé dans les technologies militaires, commercialise un système qui ressemble beaucoup au SPAN sans être aussi discret.

 

Même les services secrets britanniques se sont déjà intéressés aux cailloux espions. Mais ils en ont gardé un amer souvenir : ils avaient essayé en 2006 d’espionner les Russes en installant un micro dans un caillou en plastique déposé dans une rue de Moscou. La Russie avait, rapidement, découvert le subterfuge, ce qui avait déclenché une mini-crise diplomatique entre les deux pays. "L’épisode du caillou espion a été plutôt embarrassant", a reconnu en 2012 Jonathan Powell, l’un des principaux conseiller de Tony Blair qui était Premier ministre britannique à l’époque.

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28 octobre 2013 1 28 /10 /octobre /2013 08:20
Boeing et Lockheed veulent s'allier pour le prochain bombardier américain

 

25 octobre 2013 Romandie.com (AFP)

 

NEW YORK - Les américains Boeing et Lockheed Martin ont annoncé vendredi qu'ils allaient s'allier pour faire une offre conjointe afin de remporter le contrat du prochain avion bombardier américain, évalué à quelque 55 milliards de dollars.

 

Boeing et Lockheed Martin font équipe pour participer à la compétition pour le programme de l'armée de l'Air américaine de chasseur bombardier de longue portée, et Boeing sera le principal sous-traitant avec Lockheed Martin comme principal équipier, ont indiqué le constructeur aéronautique et le groupe de défense dans un communiqué commun.

 

Les deux groupes mettent en commun près de deux siècles d'expérience combinée dans la conception, le développement et les essais d'avions pour nos clients de Défense partout dans le monde, ont-ils noté, sans donner de détails sur le montant du programme ou son calendrier.

 

Ensemble, les deux groupes seront en mesure d'offrir des systèmes uniques et abordables qu'ils ne seraient pas en mesure d'obtenir sans partenariat, ajoute le communiqué.

 

Une planification stable, associée à des méthodes de développement et de production efficaces et abordables, permettront à nos équipes de réduire les risques de développement en capitalisant sur les technologies matures et en intégrant des systèmes existants, a assuré le patron de la branche de défense chez Boeing, Dennis Muilenburg, cité dans le communiqué.

 

Le projet de développer un nouveau bombardier remonte à plusieurs années. L'objectif est de construire entre 80 et 100 bombardiers livrables après 2020, a indiqué à l'AFP un porte-parole de l'US Air Force, Ed Gulick.

 

Il n'a pas précisé le montant du contrat, mais l'appareil est généralement estimé à quelque 550 millions de dollars pièce.

 

En 2010, le secrétaire de l'US Air Force Michael Donley avait fait valoir que l'approche recherchée sur ce programme était la prudence, afin de ne pas reproduire de coûteuses expériences sur des programmes de bombardiers passés.

 

Il avait énuméré des capacités étroites, des technologies risquées, et des coûts élevés ayant entraîné des problèmes d'annulation et de faibles inventaires.

 

Il avait indiqué que l'armée de l'Air américaine se focaliserait donc pour le prochain bombardier sur des technologies existantes plutôt que sur des technologies de pointe.

 

L'armée de l'air avait par ailleurs indiqué en 2012 que l'horizon visé pour la mise en service des nouveaux bombardiers était la prochaine décennie.

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 07:35
Un lanceur THAAD [Terminal High Altitude Area Defense](US Missile Defense Agency)

Un lanceur THAAD [Terminal High Altitude Area Defense](US Missile Defense Agency)

16/10/2013 par Jacques N. Godbout - 45eNord.ca

 

 

L’armée sud-coréenne envisage d’acquérir le système de défense antimissile à haute altitude THAAD (Terminal High Altitude Area Defense) pour renforcer la capacité d’interception de son système KAMD (Korea’s Air and Missile Defense), a fait savoir  une source militaire, rapporte l’agence de presse sud-coréenne Yonhap.

 

Les Sud-Coréens écarteraient ainsi la possibilité d’acheter des missiles SM-3 (Standard Missile) pour les installer sur des destroyers Aegis. «Nous envisageons d’établir un système de défense antimissile multicouches mais le SM-3 ne fait pas l’objet d’un examen», a déclaré la source sous couvert d’anonymat selon ce que rapporte l’agence sud-coréenne.

 

Le système de défense antimissile compte trois phases: phase ascendante, phase intermédiaire et phase terminale.

 

En service depuis 2008, le Terminal High Altitude Area Defense (THAAD) de Lockheed Martin Space Systems est un système de missiles antibalistiques conçu pour détruire les missiles balistiques de portées moyenne ou intermédiaire dans leur dernière phase d’approche en s’écrasant contre eux (hit-to-kill).

 

Le missile ne transporte aucune ogive, c’est seulement son énergie cinétique qui sert à détruire.

 

Le THAAD est conçu, construit et monté par Lockheed Martin Space Systems .

 

Le ministère de la Défense a d’ailleurs souligné que «le missile SM-3 et les intercepteurs basés à terre (GBI:Ground-Based Interceptor) sont des systèmes d’interception de la phase intermédiaire et capables d’intercepter des missiles dans l’espace exo-atmosphérique» alors que les THAAD et PAC-3 (Patriot Advanced Capability) sont destinés à intercepter des missiles dans leur phase terminale.

 

Selon le rapport du ministère, écrit l’agence sud-coréenne, le système THAAD est donc mieux adapté au système de défense antimissile de couche basse de la phase terminale du KAMD que l’armée coréenne vise à construire que le SM-3.

 

Quant au système PAC-3, sa capacité d’interception a été remise en question au sein de l’armée.

 

«L’altitude d’interception du système PAC-3 est inférieure à 30 km, ce qui permet une seule chance d’intercepter des missiles et pourrait engendrer des dégâts en cas d’interception de missiles portant une ogive nucléaire ou des armes chimiques», a expliqué un responsable de l’armée sud-coréenne, soulignant que, en revanche, comme l’altitude d’interception du système THAAD se situe entre 40 et 150 km, il est possible de profiter de deux occasions d’interception en le déployant avec le système PAC-3 et de réduire les dégâts lors de l’interception de missiles dans la couche haute».

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 07:20
Liquidmetal Missile Canard Targeted for Future LM EAPS Test Flight

 

Oct 15, 2013 ASDNews Source : Liquidmetal Technologies

 

Liquidmetal® Technologies, Inc. (OTCQB: LQMT), the leading developer of amorphous alloys, has delivered missile canards that are being fitted for a future test of Lockheed Martin’s [NYSE: LMT] EAPS (Extended Area Protection and Survivability) missile.

 

The EAPS missile is an advanced performance, highly affordable hit-to-kill missile interceptor designed to defeat Rocket, Artillery and Mortar (RAM) targets with significantly reduced probabilities for collateral damage. Working in collaboration with Lockheed Martin’s advanced design team, Liquidmetal’s unique alloy and processing methods are yielding parts with remarkable dimensional consistency and precision at an unmatched level of affordability in comparison to any other precision fabrication method.

 

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 16:20
USAF planning to award second C-130J multiyear contract

 

Oct. 14, 2013 by Dave Majumdar – FG

 

Washington DC - The US Air Force has signaled its intention to award Lockheed Martin a second multi-year procurement deal for 79 C-130J Hercules tactical transports.

 

“The Air Force Life Cycle Management Center is planning for the procurement of seventy-nine C-130J aircraft or C-130J variants, associated mission equipment, and related support for all systems for FY14-FY18 [fiscal year 2014-fiscal year 2018] multi-year buy, with an option to purchase the USCG [US Coast Guard] five HC-130J aircraft,” says a USAF document.

 

The 79 aircraft are to be delivered between FY2016 and FY2020. According to Pentagon budget documents, the procurement would primarily cover the construction of USAF special operations aircraft, including 43 HC/MC/AC-130J variants. The remaining airframes would consist of 29 conventional C-130Js and seven US Marine Corps KC-130J tankers.

 

Lockheed has so far delivered more than 290 C-130Js to 13 countries. The company hopes to deliver its 300th example before the end of this year.

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 11:20
LM Awarded IDIQ Contract To Deliver Communications And Transmission Services To US Army

Oct 15, 2013 ASDNews Source : Lockheed Martin Corporation

 

The U.S. Army will soon be using satellite and terrestrial communications capabilities delivered in part by Lockheed Martin to support battlefield operations around the globe.

 

Lockheed Martin was awarded an indefinite-delivery/indefinite-quantity (IDIQ) contract to supply communications and transmissions systems to the U.S. Army's Project Manager of Defense Communications and Army Transmissions Systems (PM DCATS).  Under this contract with a ceiling of $4.1 billion, Lockheed Martin will compete for task orders to provide communications and transmission systems to meet the Army's challenge of affordably adapting to changing technology while significantly reducing energy usage.  All task orders must be initiated within the contract's five-year period of performance.

 

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 07:20
F-35: Lockheed mise tout sur le casque de Génération 2 et annule la recherche d’autres solutions (VIDÉO)

Vision Systems International développe le casque pour les pilotes des F-35 (Photo: VSI)

 

14/10/2013 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

 

Bae systems, F-35, Gen 2, JPO, Lockheed Martin, Rockwell Collins, Elbit Systems, Vision Systems International

 

Le programme américain de développement du F-35, le «US F-35 Joint Program Office» (JPO), mise tout sur le casque Vision Systems International Generation 2 de Rockwell Collins Elbit Systems et annule le programme similaire de BAE Systems.

 

C’est d’ailleurs le casque America Vision Systems Generation 2 (Gen 2) qui est utilisé actuellement dans la formation et l’entraînement.

 

Pourtant, les responsables du Pentagone avaient déjà été contraints dans le passé de reporter la phase de tests opérationnels du F-35 en raison de problèmes avec ce casque de haute technologie pour les futurs pilotes.

 

C’est pour cette raison que BAE Systems avait commencé à développer un casque alternatif en vertu d’une initiative parallèle du développement du casque – intégrant un casque de combat plus traditionnel équipé de lunettes de vision de nuit – dans le cas où les problèmes de développement du casque Gen 2 n’auraient pu être résolus de façon satisfaisante.

 

L’initiative visait également à réduire les risques et à résoudre certains autres problèmes techniques.

 

Avec cette décision d’annuler maintenant le programme de BAE, qui permettra aux contribuables américains d’épargner 45 millions $, le JPO se retrouve toutefois sans solution de rechange advenant de nouveaux problèmes avec le casque de Rockwell Collins Elbit.

 

C’est ce qu’on appelle mettre tous ses oeufs dans le même…casque.

 

La vice-présidente et directrice générale du programme du F-35 Lightning II chez Lockheed-Martin, Lorraine M. Martin, a déclaré quant à elle que sa société et ses fournisseurs continueront de se concentrer sur le développement et la livraison du casque et la fourniture de capacités conformes à la «déclaration de capacité opérationnelle initiale».

 

«La décision du gouvernement de procéder exclusivement avec le casque principal indique bien sa confiance dans les performances du casque et en la résolution de problèmes techniques déjà identifiés», a déclaré Mme Martin.

 

Le programme «helmet mounted display system (HMDS) doit aussi développer un casque de Genération 3 (Gen 3) qui disposera d’un appareil photo amélioré de vision nocturne, de nouveaux écrans à cristaux liquides, del’alignement automatique et d’améliorations logicielles.

 

La présentation du Gen 3est prévue pour 2016 et les tests de développement doivent commencer en 2017.

 

Quant au casque Gen 2, le Corps américain des Marines compte maintenant qu’il sera opérationnel pour les pilotes de F-35B dès juillet 2015.

 

En plus de fournir aux pilotes de chasse une «conscience situationnelle» sans précédent, les casques du F-35 leur fourniront toute l’information nécessaire pour remplir leurs missions dans toutes les conditions météorologiques, de jour comme de nuit.

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14 octobre 2013 1 14 /10 /octobre /2013 07:20
Le programme F-35 a atteint les 10.000 heures de vol

Un F-35B s’apprête à effectuer un atterrissage vertical, le 21 mars 2013 à la base de Yuma, en Arizona (Archives/Cpl. Ken Kalemkarian)

 

11/10/2013 par Nicolas Laffont – 45eNord.ca

 

Malgré ses nombreux et récents déboires, le programme F-35 Lightning II poursuit sa maturation opérationnelle avec le dépassement des 10.000 heures de vol. On note d’ailleurs une accélération du programme d’essais.

Plus de la moitié du total des heures ont été accumulées lors des 11 derniers mois. La flotte de F-35 a volé 6.492 fois pour un total de 10.077 heures de vol durant cette période. En comparaison, depuis le début des essais, il y a six ans, les F-35 n’avaient effectués que 5.000 heures de vol.

 

 

L’ensemble de la flotte d’essais de F-35 a contribué à augmenter les heures de vol, soit les aéronefs basés à Eglin Air Force Base en Floride, ceux du Marines Corps Air Station Yuma, en Arizona et les appareils de conduite et formation et développement basés sur les installations des bases d’Edwards AFB , en Californie, Naval Air Station Patuxent River, dans le Maryland et Nellis AFB.

Les trois variantes du F-35 soit: le F -35A à atterrissage classiques (CTOL), le F- 35B à décollage court/atterrissage vertical (STOVL) et la variante navale F -35C (CV) ont participé à cette étape du programme.

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10 octobre 2013 4 10 /10 /octobre /2013 06:50
BAE Awarded Latest Annual Nulka Rounds Production Contract

Oct 8, 2013 ASDNews Source : BAE Systems PLC

 

BAE Systems has secured a 15th successive annual contract to produce additional rounds for the Nulka active missile decoy.

 

Valued at approximately $35 million, the latest follow-on order will see production take place during 2014 in Edinburgh Parks, South Australia, and 2015 in Mulwala, New South Wales.

 

The rounds will be delivered to the Royal Australian Navy and the United States Navy, bringing the total number of rounds supplied by BAE Systems to more than 1200.

 

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:20
Un F-35 de Lockheed Martin prêt à s'envoler (Photo Lockheed Martin Aeronautics)

Un F-35 de Lockheed Martin prêt à s'envoler (Photo Lockheed Martin Aeronautics)

Oct. 1, 2013 by Zach Rosenberg – FG

 

Washington DC - A government quality assurance assessment of the Lockheed Martin F-35 found major faults with the programme, and criticised Lockheed and component suppliers for “insufficient rigor in design, manufacturing and quality assurance processes.”

 

The report from the Department of Defense’s Inspector General’s office was released on 30 September, outlining specific faults of the government’s Joint Program Office (JPO), primary contractor Lockheed and several subcontractors. The JPO, which is composed of officials from every major F-35 customer, largely agreed with the assessment.

 

“The F-35 JPO, Lockheed Martin, and its subcontractors were not ensuring that the necessary quality assurance process controls and disciplines were in place to produce a consistent and reliable product,” says the report. “This lack of process discipline and attention to detail creates an elevated risk of delivering nonconforming aircraft to the warfighter.”

 

The report made eight major recommendations, of which the JPO objected to two. Many are in the process of being corrected.

 

“As of 24 September 2013, 269 of the findings (78%) have been closed, with the remaining 74 still in work, with corrective action plans (CAPs) in development or approved but not fully implemented,” says the JPO, in a statement largely echoed by Lockheed. “The majority of the findings are consistent with weaknesses previously identified…and do not present new or critical issues that affect the health of the program.”

 

Such programme weaknesses are not uncommon in major defence programmes, and the F-35 has been repeatedly reviewed by a number of parties.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 11:20
F-35A US Air Force test aircraft. (Lockheed Martin)

F-35A US Air Force test aircraft. (Lockheed Martin)

01/10/2013 Michel Cabirol (avec agences) – laTribune.fr

 

Le géant de l'aéronautique n'a pas mis en place de "contrôles rigoureux de qualité", accuse l'inspection générale du Pentagone. Elle a signalé 363 problèmes liés à la conception et à la réalisation du F-35 qui pourraient porter préjudice à la sécurité de cet avion.

 

L'inspection générale du Pentagone a accusé lundi les fabricants de l'avion de chasse F-35 d'avoir mis en place des contrôles de qualité défaillants, compromettant la fiabilité et le sérieux de cet appareil aux coûts exorbitants pour l'armée américaine. Le bureau d'inspection a signalé 363 problèmes liés à la conception et à la réalisation du Joint Strike Fighter qui pourraient porter préjudice à la sécurité de cet avion.

 

Le géant de l'aéronautique Lockheed Martin et cinq de ses principaux sous-traitants n'ont pas mis en place de "contrôles rigoureux de qualité", affirme le Pentagone. Ces manquements "pourraient compromettre les performances, le sérieux et le budget de ce programme", précise le rapport de l'inspection générale. "Sans un contrôle adéquat du logiciel d'exploitation (de l'appareil), Lockheed Martin n'est pas en mesure de remplir les critères de sécurité exigés", dénonce encore l'inspection générale.

 

Une enveloppe de près de 400 milliards de dollars

 

Mis en place pour remplacer une grande partie de la flotte américaine d'avions de combat, le F-35 Lightning II (rallié par neuf pays) est le programme d'armement le plus cher de l'histoire des Etats-Unis, avec une enveloppe de 395,7 milliards de dollars qui ne cesse d'augmenter à mesure que les retards s'accumulent. Depuis l'attribution du contrat en 2001, une phase de mise au point et d'essais était prévue pour durer dix ans. Elle ne sera pas terminée avant 2016, repoussant d'autant la mise en service de l'appareil.

 

Les responsables du programme ont reconnu que le programme d'origine avait été bien trop ambitieux car il prévoyait que la fabrication de l'appareil démarre bien avant que les tests soient achevés.

 

Le Pentagone pointe les déficiences du système d'alimentation d'oxygène

 

Le rapport de lundi pointe également du doigt les sous-traitants de Lockheed Martin, notamment l'entreprise Honeywell accusée d'avoir fait de mauvais essais sur le système d'alimentation d'oxygène.

 

Les responsables du programme F-35 ont salué un rapport "minutieux et utile" tout en le minimisant. Ils estiment, dans un communiqué, que la plupart des problèmes signalés ne sont pas "nouveaux et ne constituent pas des problèmes fondamentaux dans la réalisation du programme". Sur les 343 recommandations que formule le rapport, 269 ont déjà été appliquées et 74 sont encore en cours, ont rapporté les responsables.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 07:50
BAE's LRLAP Program Aces Qualification Tests

Oct 1, 2013 ASDNews Source : BAE Systems PLC

 

    BAE Systems, with support from its subcontractor Lockheed Martin Corporation, successfully completed qualification testing for the 155-mm Long Range Land Attack Projectile (LRLAP)

 

During the recent tests, nine LRLAPs were successfully fired at White Sands Missile Range, New Mexico. These tests were designed to demonstrate accuracy, reliability, lethality, and time of arrival control. In addition, six of the nine rounds were subjected to an environmental qualification, which included temperature variation and vibration tests that proved the LRLAP’s reliability after exposure to different transportation situations and storage environments. Test requirements were met or exceeded, and all objectives were successfully demonstrated.

 

“I am incredibly proud of the success our team has had on this crucial development program,” said Chris Hughes, vice president and general manager of Weapon Systems at BAE Systems. “We have made significant progress in qualifying the LRLAP in support of the deployment of the Advanced Gun System aboard the DDG 1000. The LRLAP will provide the Navy with an affordable, ship-launched alternative to currently used missiles.”

 

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1 octobre 2013 2 01 /10 /octobre /2013 07:20
F-35 Weekly Update: 30th September 2013

09/30/2013  Defence IQ Press


 

The Pentagon on Friday said it had finalized two contracts with Lockheed Martin Corp (LMT.N) valued at $7.8 billion for 71 more F-35 fighter jets, citing what it called significant reductions in the cost of the new radar-evading warplane.

The U.S. Defense Department said it signed a $4.4 billion contract for a sixth batch of 36 F-35 aircraft, with the average cost of the planes down 2.5 percent from the previous deal. All but $743 million of that amount had already been awarded to the company under a preliminary contract.

The two sides also signed a $3.4 billion contract for 35 aircraft in a seventh batch, which reflected a 6 percent drop in the average price from the fifth group, it said in a statement.

The Pentagon's F-35 program office said the cost of each F-35 conventional takeoff A-model jet would drop to $98 million in the seventh batch of jets, excluding the engine, from $103 million in the sixth lot. It marks the first time the price of the jet will have dipped below $100 million.

The U.S. government buys the engines directly from Pratt & Whitney, a unit of United Technologies Corp (UTX.N), under a separate contract. [Reuters]

 

The massive hulk of a F-35 joint strike fighter sits inside a hangar at the west-side factory of Lockheed Martin Aeronautics.

About a half dozen mechanics and engineers stand by and admire the jet until a demure woman in a pants suit and flats emerges from behind the tail of the plane.

The attention shifts to her. It is all smiles and handshakes, but the body language says she’s the boss: Lorraine Martin, who was appointed in April as general manager of Lockheed Martin’s F-35 joint strike fighter Lightning II program, the costliest defense program in U.S. history.

“I help other people do their excellent work,” she said. “My job is really to clear out obstacles for the engineers, the software designers, the folks building the aircraft.”

Martin, 51, is part of a growing trend of U.S. business leaders who exemplify “authenticity” and are able motivate multi-generational employees of diverse backgrounds, North Texas business school professors say.

Standing just five-feet tall, she is a wisp of a woman in charge of a bear of a program that has been rocked by cost overruns and technical failures almost since it began in 2001. After a year as the program’s deputy manager, Martin was named general manager as part of a broad leadership shakeup at the defense giant. Orlando Carvalho replaced Larry Lawson as top executive of the aeronautics division. Lawson departed in March for another firm.

Martin has entered an arena fraught with complexity. She is leading an F-35 workforce of 6,000 at the Fort Worth plant during an uncertain period in the jet’s development, when even small mistakes are amplified and Pentagon leaders are apt to express dissatisfaction at any moment.

“Any weakness she may have had or demonstrated, she’d probably be the 90-day wonder,’’ said Billy Johnson, executive director of the professional leadership program at the College of Business, University of North Texas. “She’d been out pretty quick.” [Star-Telegram]

 

With Vermont’s highest elected officials still deep in Defense Dept. denial over the disaster that is the Air Force’s F-35 strike fighter, a local city council threatens to bring some military sanity to Vermont (but nowhere else) by exercising its landlord right to reject as a tenant a weapon of mass destruction that will wreak havoc on the local neighborhood.

This initiative comes from four members of Vermont’s Progressive Party on the Burlington City Council, who plan to introduce a resolution on October 7 effectively barring the F-35 from being based in the middle of Vermont’s most populated area. In contrast, Vermont’s official “leadership,” almost all Democrats, still thinks basing nuclear-capable warplanes in a Vermont community is a dandy idea.

Whatever they say – which is next to nothing – Vermont’s governor, two Senators, lone Congressmen, Burlington mayor, and most of the legislature remain effectively committed to a fool’s errand on behalf of the military-industrial complex, one that will do nothing good for the vast majority of their constituents and will do real harm to many of them. These representatives consistently refuse to meet with their constituents for serious discussion of health, safety, cost, and other issues. This is what the breakdown of American representative democracy looks like up close. [Global Research]

 

The company that makes the embattled F-35 fighter jet has hired Charles Bouchard, who was a lieutenant general in the Canadian Forces, for a top job.

Lockheed Martin Canada announced Tuesday it has hired Bouchard, effective immediately. Bouchard will report to the executive vice-president of Lockheed Martin International, Pat Dewar, the company said in a news release.

"Bouchard will assume leadership of the portfolio of Lockheed Martin activities in Canada and will be the corporation's lead representative in the country," according to the release.

"Bouchard's appointment is a result of Lockheed Martin International's focus on providing customers with direct access to the company's broad range of products and solutions."

Bouchard retired from the Canadian Forces in April 2012, after leading what many considered to be a successful NATO mission in Libya. The Libya mission provided air cover to protect civilians and allow rebel forces to overthrow long-time dictator Moammar Gadhafi — a mission in which fighter jets played a massive role.

"We added a tremendous leader to our organization today. Charles will facilitate access to Lockheed Martin's broad portfolio of products and technologies to help Canada address its security and citizen service challenges," said Dewar. "We highly value our customers in Canada and we're investing for long-term partnership and growth." [CBC News]

 

Software remains the biggest risk of the F-35 program, according to U.S. Air Force Lt. Gen. Christopher Bogdan, the program executive officer. In a presentation at the Air Force Association (AFA) Air & Space Conference on September 17, Bogdan also discussed progress in fixing the Joint Strike Fighter’s helmet-mounted display systems (HMDS), and program costs.

Lockheed Martin’s scheduled delivery of the full-capability Block 3F software in 2017 “highly depends” on the performance of interim Block 2B and 3I software releases, Bogdan said. Block 2B is the “initial warfighting” software that adds sensor capabilities missing from the current training software releases, plus the AIM-120 AAM, GBU-12 laser-guided bombs, and the GBU-32 Joint Direct Attack Munition (JDAM). Block 3I is the same software, but hosted on new processors.

The Block 2B software was slated to be delivered for flight-test last month, but has been delayed until April next year, according to testimony to a Congressional committee last June by Michael Gilmore, the Pentagon’s director of operational test and evaluation (DOT&E). It is not slated for release to the fleet until mid-2015. Moreover, Gilmore told the committee, F-35s equipped with Block 2B “would likely need significant support from other fourth-generation and fifth-generation combat systems to counter modern, existing threats, unless air superiority is somehow otherwise assured and the threat is cooperative.”

However, in a mandatory report to Congress last June, the Marine Corps said it will achieve initial operational capability (IOC) with the F-35B equipped with Block 2B by only six months later, in December 2015. In his AFA presentation, Bogdan said he is “confident” that the Marine Corps would achieve its planned IOC date. He earlier told Vanity Fair magazine (which published a long article on the F-35 this month) that there is nothing in U.S. procurement law to prevent the Marines declaring IOC before operational testing is complete.

The U.S. Air Force plans IOC of the F-35A version by December 2016, which is before the Block 3F software is available, Bogdan noted at AFA. Block 3F adds weapons such as the AIM-9X AAM and AGM-154 Joint Standoff Attack Weapon (JSOW), and sensor capabilities such as full radar synthetic aperture radar mapping (SAR), plus expansion of the flight envelope. The Navy plans to declare IOC of the F-35C carrier variant in February 2019. [AIN Online]

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27 septembre 2013 5 27 /09 /septembre /2013 11:30
Défense aérienne : la Turquie met KO Américains et Européens

Chinese S-300 (HongQi 9 [HQ-9]) launcher during China's 60th anniversary parade, 2009. photo Jian Kang

 

26/09/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Pourtant membre de l'OTAN, la Turquie a choisi un groupe chinois, CPMIEC, pour la fourniture d'un système de défense aérienne stratégique pour Ankara. Un contrat évalué à 4 milliards de dollars. C'est une énorme gifle pour les américains Raytheon et Lockheed Martin ainsi que les français MBDA et Thales.

 

C'est une énorme surprise... et un choix totalement incompréhensible au regard des alliances internationales. La Chine a remporté jeudi un appel d'offres de 4 milliards de dollars lancé par la Turquie portant sur l'acquisition de systèmes de missiles anti-aériens et de missiles de longue portée. Le sous-secrétariat de l'Industrie de la Défense (SSM) a "décidé d'entamer les pourparlers avec la compagnie CPMIEC de la République populaire de Chine pour la production conjointe des systèmes et de leurs missiles en Turquie sur le prix négocié", selon un communiqué.

 

C'est aussi un énorme claque pour le consortium américain formé par Raytheon et Lockheed Martin mais aussi pour le groupe franco-italien Eurosam (MBDA et Thales) et à un degré moindre le russe Rosoboronexport. Cela risque de tanguer les jours prochains entre Ankara et Washington. Pourquoi un tel choix ? Selon le magazine "Defence News", les Chinois auraient proposé à Ankara trois milliards de dollars, un prix défiant toute concurrence pour un contrat estimé pourtant à 4 milliards de dollars

 

La Turquie pays membre de l'OTAN

 

Pourtant, en janvier, l'Otan avait commencé à déployer des missiles sol-air Patriot pour protéger la Turquie d'un éventuel débordement du conflit syrien. Les batteries de missiles Patriot, destinées à assurer la défense du territoire turc contre les avions et les missiles à courte portée, ont été fournies par les Etats-Unis, l'Allemagne et les Pays-Bas.

 

Thales et MBDA espéraient beaucoup en Turquie. D'autant qu'il existait de nombreux contacts à haut niveau entre les deux pays. François Hollande avait d'ailleurs récemment rencontré son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan, pour lui proposer une visite d'Etat.

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 16:30
Lockheed Martin Supports US Department of Commerce Cyber Security Trade Mission to Saudi Arabia and Kuwait

Sep 26, 2013 ASDNews Source : Lockheed Martin Corporation

 

Lockheed Martin [NYSE: LMT] joined a cyber security and critical infrastructure protection trade mission to Saudi Arabia and Kuwait led by the Department of Commerce. Headed by Under Secretary of Commerce for International Trade Francisco Sánchez, the goal of this trade mission is to introduce U.S. firms to high-level government officials and potential partners in the Middle Eastern market.

 

“I’m proud to have Lockheed Martin join me for this important trade mission focused on cyber security and critical infrastructure protection,” said Under Secretary of Commerce for International Trade Francisco Sánchez. “Lockheed Martin offers the high-quality technology, products, and expertise that help public and private sector entities in these two critical trading partners achieve their specific cyber security and infrastructure protection goals.”

 

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 07:20
Trident II D5 Missile Logs 148th Successful Test-Flight

Sept. 25, 2013 defense-aerospace.com

(Source: Lockheed Martin; issued September 24, 2013)

 

Lockheed Martin-Built Trident II D5 Missile Achieves A Total of 148 Successful Test Flights Since 1989

 

SUNNYVALE, Calif. --- The U.S. Navy has conducted four successful test flights of the Trident II D5 Fleet Ballistic Missiles built by Lockheed Martin. The U.S. Navy launched the unarmed missiles Sept. 10 and 12 in the Atlantic Ocean from a submerged Ohio-class submarine home-ported at Naval Submarine Base Kings Bay, Georgia.

 

This event marked the 145th, 146th, 147th and 148th successful test flights of the D5 missile since design completion in 1989 – a reliability record unmatched by any other large ballistic missile.

 

"This ultra-capable system serves a critical role in deterring aggression," said Doug White, vice president of Fleet Ballistic Missile programs, Lockheed Martin Space Systems Company, the Navy's Trident missile prime contractor. "We are dedicated to supporting Navy Strategic Systems Programs in assuring the system's continued readiness, reliability, performance and affordability."

 

The Navy launched the missiles as part of Follow-on Commander's Evaluation Tests. The missiles had been converted into test configurations using kits produced by Lockheed Martin that contain range safety devices and flight telemetry instrumentation. As required by the Department of Defense's National Command Authority, the U.S. Navy conducts a continuing series of operational system evaluation tests of the Trident Strategic Weapon System under the testing guidelines of the Joint Chiefs of Staff.

 

First deployed in 1990, the D5 missile is currently aboard U.S. Navy Ohio-class and U.K. Royal Navy Vanguard-class submarines. The three-stage, solid-propellant, inertial-guided ballistic missile can travel a nominal range of 4,000 nautical miles and carries multiple independently targeted reentry bodies. The Fleet Ballistic Missile team has produced six generations, each more capable than its predecessor: the Polaris A1, Polaris A2, Polaris A3, Poseidon C3, Trident I C4 and Trident II D5 missiles.

 

Lockheed Martin has been the Navy's strategic missile prime contractor since the program's inception in 1955. The United States and the United Kingdom signed the Polaris Sales Agreement in 1963, which was modified in 1982 to provide for the Trident II D5 missile system. Since 1968, Lockheed Martin has provided program management and engineering services to the Royal Navy under the terms of the agreement.

 

Lockheed Martin employees, principally in California, Georgia, Florida, Washington, Utah, Virginia, Scotland and England, support the design, development, production, test, operation and sustainment of the Trident Strategic Weapon System.

 

Lockheed Martin leads the industry in performance and domain expertise in strategic missile and missile defense systems, designing and producing ballistic missiles, interceptors, target missiles and reentry systems with unmatched reliability and a focus on affordable high-quality systems and services.

 

 

Headquartered in Bethesda, Md., Lockheed Martin is a global security and aerospace company that employs about 116,000 people worldwide and is principally engaged in the research, design, development, manufacture, integration and sustainment of advanced technology systems, products, and services. The corporation's net sales for 2012 were $47.2 billion.

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 07:20
LM Receives $18 M Contract to Transition the LRLAP to Production

Sep 24, 2013 ASDNews Source : Lockheed Martin Corporation

 

Lockheed Martin [NYSE: LMT] received an $18 million contract from the National Warhead and Energetic Consortium to transition the Long Range Land Attack Projectile (LRLAP) to production.

 

The contract includes developing production line tooling, test equipment and manufacturing process plans for initial production of the advanced projectile. The guidance and control unit will be assembled at Lockheed Martin’s Ocala, Fla., facility. Final assembly of LRLAP will be performed at the company’s Troy, Ala., facility.

 

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