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5 décembre 2015 6 05 /12 /décembre /2015 18:45
photo EMA / Armée de l'Air

photo EMA / Armée de l'Air

 

27/11/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Malgré une zone d’action étendue sur cinq pays, la force Barkhane est en mesure de faire basculer ses efforts sur les différentes bases avancées en fonction des objectifs opérationnels. En effet, le Détachement de transit interarmées (DéTIA) basé à N’Djaména assure de façon permanente le soutien logistique aérien de l’opération Barkhane.

 

Articulé autour d’une vingtaine de femmes et hommes du 1er régiment du train parachutiste et de l’armée de l’Air, le DéTIA occupe un rôle clé dans la mise en œuvre des opérations de la force Barkhane. Sa mission consiste à soutenir la force en transportant le personnel et le matériel nécessaire au déroulement des opérations et des missions.

 

Le DéTIA assure la gestion des priorités de livraison par air entre les différentes emprises de la force mais également avec la France. Il met en œuvre la préparation et le conditionnement des palettes de matériels et de ravitaillement des unités.

 

Il assure aussi la formation du personnel militaire dans plusieurs domaines de spécialité, tels que la formation au posé d’assaut, l’instruction marquage au sol dans le cadre des livraisons larguées par air et le déconditionnement des colis.

 

Depuis le lancement de l’opération Barkhane, le DéTIA de N’Djaména a mis en place 1 400 vols, permettant le transport de 30 000 militaires et de plus de 6 000 tonnes de fret.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 500 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.

photo EMA / Armée de l'Airphoto EMA / Armée de l'Airphoto EMA / Armée de l'Air
photo EMA / Armée de l'Air

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27 novembre 2015 5 27 /11 /novembre /2015 13:55
Logistique militaire : la Défense se réinvente une supply chain

Dans sa démarche, le projet militaire n’est pas différent des problématiques actuelles d’optimisation logistique de bout en bout des entreprises civiles, dont l’élément fondamental est le désilotage. photo MinDefFR

 

26.11.2015 Par Luc Battais wk-transport-logistique.fr

 

L’État-major des armées françaises s'est engagé dans une vaste refonte de la supply chain militaire. Un chantier colossal qui doit répondre aux nouveaux besoins des armées, très sollicitées sur tous les fronts. Décryptage.

 

Le chantier de refonte de la supply chain militaire mené l’État-major des armées françaises (EMA) depuis plusieurs mois couvre l’armée de l’Air, de Terre, la Marine nationale, les directions et les services. Les militaires, eux aussi, "désilotent".

Ce chantier mobilise une équipe projet de soixante spécialistes des armées, pilotée par le général de division Richard Bienfait (lire l'interview du général Bienfait : "Le projet supply chain est en réalité une refonte complète de la logistique des armées" - accès abonnés), assisté du lieutenant-colonel Stéphane Gauthier, avec l’appui du cabinet EY.


La fin de l'organisation en silo

Dans sa démarche, le projet militaire n’est pas différent des problématiques actuelles d’optimisation logistique de bout en bout des entreprises civiles, dont l’élément fondamental est le désilotage. Mais c’est une révolution copernicienne pour les trois armées françaises, longtemps habituées à disposer chacune de leur propre organisation, de leur territoire d’influence au sein du ministère de la Défense, sur la base de leur culture interne.

Plus précisément, s’agissant du chantier supply chain, c’est la continuation d’un mouvement de désilotage engagé au début des années 2000, notamment avec la création de la Structure intégrée de maintien en condition opérationnelle (MCO) des matériels aéronautiques du ministère de la Défense (Simmad), qui permet de mutualiser un certain nombre de fonctions de maintenance de tous les aéronefs de la Défense.


Pourquoi un changement de modèle ?

Le changement de modèle est guidé par la nécessité d'adapter l'organisation des armées à des missions qui ont évolué avec le nouvel état du monde et les nouvelles contraintes budgétaires. Les armées font la guerre plus souvent et plus loin, avec des matériels de plus en plus coûteux. Parallèlement, elles réinvestissent aussi le territoire national en réponse, notamment, aux attentats sur le sol français.


De multiples défis logistiques

Les questions de mise à niveau et d’harmonisation des process, des référentiels et des outils constituent partout ailleurs un corpus impressionnant de défis logistiques. Mais s’agissant des armées, les conditions actuelles de soutien à la préparation opérationnelle et à l’engagement lié aux cadres d’action des forces françaises créent un niveau de complexité sans égal dans l’organisation.

Le général Richard Bienfait explique : "Dans le domaine de la logistique, le ministre de la Défense a demandé au chef d’État-major des armées de lui proposer et de mettre en œuvre une nouvelle organisation permettant d’améliorer la disponibilité des parcs, de contenir la hausse des coûts de maintien en condition opérationnelle, de diminuer les coûts logistiques et d’optimiser la gestion des stocks tant dans le flux de rechanges que dans leurs modes d’entreposage. Bref, de repenser, selon une logique de bout en bout et de cohérence fonctionnelle, l’ensemble des chaînes de soutien des forces armées".

Le lieutenant-colonel Stéphane Gauthier, référent supply chain à l’État-major des armées, précise : "Au moins pour la logistique physique, tous les types de soutien sont concernés : maintenance des matériels (MCO), soutien du combattant, carburants, munitions, santé… Le projet couvre les processus de supply chain management et l’ensemble des problématiques liées à la logistique physique d’entreposage et d’acheminement, en métropole et hors des frontières nationales". (...)
 

Lire l'intégralité de cet article dans Logistiques Magazine n° 304 de novembre 2015 : "La Défense se réinvente une supply chain" (accès abonnés)

 

Consulter les autres articles du dossier "Supply chain militaire" (accès abonnés) :

> L'interview du Général Richard Bienfait : "Le projet supply chain est en réalité une refonte complète de la logistique des armées"

> Supply chain des matériels aéronautiques : "La Simmad: une mutation en plein décollage"

> La chaîne de distribution du fret banalisé : "Réforme du plan de transport terrestre"

> Reportage : "Moulins, fer de lance de l’armée de Terre"

> Métiers : "La formation, enjeu majeur pour la supply chain"

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20 novembre 2015 5 20 /11 /novembre /2015 13:55
photo Ministère de la Defense

photo Ministère de la Defense


20/11/2015 Ministère de la Défense

 

Le 18 novembre 2015, le Groupe aéronaval (GAN) a appareillé pour la Méditerranée orientale. Il prendra part rapidement aux opérations de la Coalition contre Daech et complètera ainsi le dispositif déjà engagé au Levant. En amont de ce déploiement, courant octobre, le porte-avions a fait appel aux moyens et savoir-faire du 519e groupe de transit maritime.

 

Alors que le porte-avions Charles de Gaulle appareillait à Toulon en octobre, le 519e GTM est intervenu en renfort en fournissant les moyens techniques et humains indispensables au déploiement du GAN. En dotant la Marine nationale d’une grue et du personnel de manutention nécessaire, le groupe a permis le chargement/déchargement de matériels (missiles et munitions), mais également et surtout les opérations de levage nécessaires en cas d’accident ou de crash d’aéronef. La présence d’un tel moyen de levage est un pré-requis opérationnel indispensable à l’appareillage du GAN. Le 519e GTM s’est ainsi trouvé impliqué dans la participation aux exercices en mer pour la qualification des pilotes de l’aéronavale. Equipé de ces moyens, le porte-avions a donc pris la mer mercredi 18 novembre pour une nouvelle mission baptisée Arromanches 2, avec à son bord la grue et deux militaires du 519e GTM. Comme en témoigne le colonel Fontaine, commandant le groupe : « nous avons souhaité contribuer immédiatement au soutien de la mission Arromanches 2 dont la portée stratégique ne pouvait souffrir d’aucun retard ». Par son intervention rapide, le 519e GTM a donc permis au porte-avions d’appareiller dans les temps pour ainsi être rapidement déployé ces derniers jours.

 

Lien vers Dossier de presse Arromanches - GAN (format pdf, 6 MB).

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18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 20:55
photo 1e BL - Armée de Terre

photo 1e BL - Armée de Terre

 

18/11/2015 Armée de Terre

 

48 heures après les attentats du 13 novembre à Paris, l’opération Sentinelle était renforcée de 1 000 hommes et femmes venus de toute la France. Pour coordonner cette montée en puissance, la 1re brigade logistique est entrée en piste très tôt samedi matin…

 

Toutes les 6 semaines, c’est la même mécanique qui se met en marche : les experts du centre de mise en œuvre (CMO) de la 1re brigade logistique travaillent en auto-relève pour assurer l’arrivée d’environ 4 000 soldats en Ile de France et le retour de 4 000 autres vers leur garnison. Un flux de 8000 hommes à envisager sur une période habituelle de 6 jours.

 

Ce week-end, le rythme s’est trouvé accéléré : en 48 heures, ces experts ont dû gérer l’arrivée et le déploiement fluide et rapide de plus de 1000 soldats supplémentaires, venant de 22 entités différentes.

 

Depuis le 8 janvier 2015, le CMO coordonne en effet les mouvements de relèves du dispositif Sentinelle d’Ile de France. Cette petite entité de l’armée de Terre travaille en deux phases :

- en amont : la planification de la relève avec les différents interlocuteurs (le niveau tactique sur zone, mais également les services du commissariat pour les véhicules et la perception de l’équipement sur la zone de transit de Brétigny, etc.) ;

- en temps réel : la conduite de la relève depuis le centre opérationnel de Saint-Germain-en-Laye afin de s’adapter aux impondérables d’un tel engagement.

 

Ce weekend, le CMO a donc été mis en alerte dans la nuit du 13 au 14 novembre pour assurer le déploiement exceptionnel qui lui était confié. Outre ce centre, près de 1000 hommes de la brigade logistique sont actuellement engagés sur l’opération Sentinelle, que ce soit sur les missions de surveillance, d’organisation ou sur des missions d’approvisionnement.

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18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 12:45
Opération BARKHANE: le Canada supporte les militaires français

Un CC-177 Globemaster III des Forces armées canadiennes, en route pour Bamako, au Mali, le 17 janvier 2013. (Archives/Caméra de combat des Forces canadiennes)

 

17 novembre 2015 par Nicolas Laffont – 45eNord.ca

 

Les Forces armées canadiennes ont déployé personnel et avion de transport CC-177 Globemaster pour transporter du personnel et des équipements militaires français entre la France et le Tchad ou le Niger.

 

Sur requête du ministère de la Défense français, le premier vol a eu lieu le 28 septembre 2015. L’avion a volé de la base d’Évreux-Fauville (France) à l’aéroport international Diori Hamani (Niamey, Niger).

 

La mise à disposition de la capacité de transport stratégique de transport lourd de l’Aviation royale canadienne est une contribution épisodique de soutien logistique au gouvernement de la France.

 

La date butoir est pour le moment du 31 décembre 2015 et d’ici là jusqu’à quatre autres vols entre la France et le Sahel sont autorisés. Ces vols pourraient se faire jusqu’à Niamey (Niger), où se trouve la base d’un pôle de renseignement de l’Opération BARKHANE ou jusqu’à N’Djaména (Tchad) où se trouve la base de l’état-major et des forces aériennes.

 

Entre le 15 janvier et le 31 mars 2013, l’Aviation royale canadienne a fourni un soutien aérien logistique continu au gouvernement de la France dans son intervention militaire au Mali, un pays d’Afrique de l’Ouest pour freiner les progrès d’extrémistes islamiques liés à Al-Qaïda et reprendre le territoire occupé par ceux-ci. Depuis le 31 mars 2013, le soutien canadien à la France a été périodique et la dernière mission remontait au 16 octobre 2013.

 

Le 14 mars 2013, le Premier ministre Harper avait annoncé que le déploiement d’un CC 177 pour le transport aérien stratégique afin de soutenir les opérations françaises au Sahel se poursuivrait aussi longtemps que le Canada identifiera un besoin.

 

Le Canada possède cinq CC-177 Globemaster de transport qui sont basés à la 8e Escadre Trenton.

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16 novembre 2015 1 16 /11 /novembre /2015 17:30
photo EMA / Marine Nationale

photo EMA / Marine Nationale

 

16/11/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Déployée du 19 octobre au 2 novembre 2015 dans le golfe Arabo-Persique dans le cadre de l’opération Chammal, la frégate anti-aérienne Cassard a effectué son escale logistique de mi-déploiement à Abou Dhabi, aux Émirats Arabes Unis.

 

Après plusieurs mois d’activité intense dans des conditions climatiques éprouvantes pour le matériel et pour le personnel, notamment au sein de la Ve flotte américaine, le Cassard avait besoin d’une pause logistique pour effectuer des maintenances indispensables avant d’entamer sa deuxième partie de mission. L’équipage a conduit des visites périodiques de moteurs ainsi que de nombreux travaux d’entretien préventifs et correctifs, avec le concours de la base navale d’Abou Dhabi et des services de soutien des Forces Françaises aux Emirats Arabes Unis (FFEAU). Dans un hangar de la base navale, l’équipe technique du détachement 36 F a redonné un plein potentiel technique à l’hélicoptère Panther.

 

Enfin, le Cassard a mené des actions de coopération avec les forces émiriennes : deux entraînements avec les marins pompiers locaux ont notamment été conduits à quai et en mer ; un passex (entraînement commun en mer) avec la frégate Abu Dhabi a permis d’entretenir la coopération entre les marines émiriennes et françaises.

 

Après 14 jours de régénération organique, le Cassard est prêt à repartir en mission.

 

Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise 700 militaires. Elle vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un appui (aérien et formation) aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste Daech. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale, trois Mirage 2000D et trois Mirage 2000N), d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2 et de la FAA Cassard.

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16 novembre 2015 1 16 /11 /novembre /2015 15:30
Syrie: la coalition menée par les Etats-Unis détruit 116 camions-citernes de l'EI

 

16 novembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Beyrouth - La coalition antijihadistes conduite par les Etats-Unis a détruit 116 camions-citernes utilisés par le groupe Etat islamique (EI) dans l'est de la Syrie, a affirmé lundi le Pentagone.

 

Ces camions ont été détruits dimanche près de Boukamal, une localité tenue par l'EI à la frontière avec l'Irak, selon le communiqué.

 

L'EI contrôle la majorité des champs pétroliers de Syrie, notamment dans la province de Deir Ezzor. Selon une enquête publiée en octobre par le Financial Times, la contrebande de pétrole rapporte aux jihadistes 1,5 million de dollars par jour lorsque le prix moyen s'établit à 45 dollars le baril.

 

Selon le site du New York Times, deux avions F-15 ont lâché des tracts une heure avant l'attaque appelant les chauffeurs à quitter leur véhicule.

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6 novembre 2015 5 06 /11 /novembre /2015 08:45
photo EMA

photo EMA

 

05/11/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 25 septembre au 9 octobre 2015, le centre de coordination interarmées des transits, transports et mouvements des Forces françaises en Côte d’Ivoire (FFCI) a procédé au déchargement puis au rechargement de fret en provenance de métropole.

 

Ces manœuvres logistiques régulières permettent les relèves de véhicules, le transport de pièces mécaniques et le ravitaillement en munitions ou en vivres des forces françaises dans la sous-région. Le navire roulier affrété depuis Toulon pour réaliser cette opération logistique a atteint le port d’Abidjan le 27 septembre 2015 avec à son bord du matériel destiné aux FFCI et à la force Barkhane. Une quarantaine de militaires français armés par le 2e régiment de dragons, le 40e régiment de transmission, les 121e et 516e régiments du train et le 519e groupement de transbordement maritime ont prêté mains fortes aux FFCI. Leur mission consistait à décharger en moins de 24 heures le fret destiné à assurer les principales relèves matérielles et logistiques des forces françaises déployées en Côte d’Ivoire et dans la bande sahélo-saharienne.

 

Ce chargement comprenait plus de 60 containers et 23 véhicules, dont des véhicules P4, des GBC180, des véhicules de l’avant blindé, des TRM 10 000 et des porteurs polyvalents logistiques. Une partie de ces matériels ont ensuite été acheminés depuis Abidjan vers Niamey au Mali au profit de Barkhane.

 

Après avoir poursuivi sa route jusqu’au port de Douala au Cameroun, l’affrété s’est de nouveau amarré à Abidjan lors de son trajet de retour vers la France. Au cours de cette escale, 173 containers et 20 véhicules ont été chargés pour rapatriement.

 

Les FFCI, créées le 1er janvier 2015, assurent la protection des ressortissants français et entretiennent la coopération militaire régionale, notamment bilatérale avec les Forces de la République de Côte d’Ivoire. Elles sont également en mesure d’appuyer les partenaires de la région, notamment l’ONUCI. En tant que base opérationnelle avancée, elles constituent le point d’appui principal de nos forces de présence sur la façade ouest-africaine, et sont un réservoir de force rapidement projetable en cas de crise dans la région.

photo EMA

photo EMA

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 17:35
C-17A Globemaster - photo Australia MoD

C-17A Globemaster - photo Australia MoD

 

Nov 4, 2015 ASDNews Source : MoD Australia

 

The Royal Australian Air Force has officially welcomed its newest aircraft into service at RAAF Base Amberley today. The acquisition of two additional Boeing C-17A Globemaster III aircraft, and associated equipment and facilities, is a $1 billion investment in Australia’s ability to provide vital heavy airlift to a range of global military operations.”With extraordinary lift and range, the C-17A Globemaster is an integral part of the Australian Defence Force’s airlift capability. It allows Australia to rapidly deploy troops, combat equipment, tanks, helicopters and humanitarian resources worldwide,” Minister Brough said.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 12:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

03/11/2015 Sources : État-major des armées

 

Depuis le mois de juin 2015 et pour sa 6e opération consécutive, le commandant Louis a été projeté à Niamey (Niger) comme chef du Centre de coordination interarmées des transports, transits et mouvements (CCITTM).

 

Entré en service comme sous-officier, le commandant Louis a réussi le concours de l’École militaire interarmes. Il a ensuite choisi l’arme du train pour se spécialiser dans le « mouvement ». Avant d’être projeté à Niamey, il commandait la section « voies ferrées et navigables » au sein du centre des transports et transits de surface de l’armée de Terre, à Montlhéry.

Niamey constitue le point central de toutes les entrées et sorties du fuseau Ouest de l’opération Barkhane. En charge de l’ensemble des transports pour ce fuseau, qu’il s’agisse du personnel ou du fret, en provenance de France ou intra-théâtre, le commandant Louis dirige une équipe de quatre personnes et dispose également de moyens aériens. « Pour schématiser, le détachement Air de Niamey est un peu le hall d’entrée du fuseau Ouest, le CCITTM en est la porte d’entrée et de sortie »  résume le commandant Louis.

En effet, le CCITTM reçoit et envoie le fret de France par A400M, C17 ou Antonov 124 principalement, et dispose d’avions Airbus pour le personnel. En outre, il transporte personnel et matériel sur le théâtre soit par voie aérienne, soit par voie routière (vecteurs de la force ou transporteurs locaux).

Suite de l’article

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3 novembre 2015 2 03 /11 /novembre /2015 08:56
photo Armée de Terre

photo Armée de Terre

 

02/11/2015 armée de Terre

 

Le 29 octobre 2015, une cérémonie de remise de bleuets a été organisée à Montlhéry à l'initiative du centre de formation initiale des militaires du rang (CFIM) de la 1re brigade logistique (1re BL). L'occasion de revenir sur les origines de cet insigne né au lendemain de la Première Guerre mondiale.

 

En 1918, le premier conflit mondial laisse derrière lui plus de 20 millions de blessés et d'invalides dont certains, gravement mutilés, ne peuvent plus travailler. Au lendemain de la guerre, toutes les énergies sont mobilisées par la reconstruction qu'elle soit économique, humaine ou matérielle. A l'instar des dispositifs mis en place par l’État naissent des initiatives de solidarité privées ou associatives de toutes sortes. C'est dans ce contexte que le Bleuet de France voit le jour.

 

Aux origines du Bleuet de France, deux femmes de leur temps à l'écoute des souffrances de leurs contemporains : Charlotte Malleterre et Suzanne Leenhardt, toutes deux infirmières au sein de l'institution Nationale des Invalides. En 1925, elles créent un atelier pour les pensionnaires de l'institution dans lequel ces derniers confectionnent des fleurs de bleuets en tissu pour reprendre goût à la vie.

 

Cette initiative se développe et prend rapidement une dimension nationale. A l'occasion du 11 novembre 1934, il est décidé de vendre, pour la première fois, les fleurs de bleuets fabriquées par les anciens combattants sur la voie publique parisienne: 128 000 fleurs seront vendues. En 1935, l'Etat décide de la vente officielle du Bleuet chaque 11 novembre, partout en France. La fleur devient le symbole national du Souvenir. En 1991, l'Œuvre est prise en charge par l'Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre.

 

Aujourd'hui, la vocation du Bleuet de France perdure et l'Œuvre agit sur de nouveaux fronts en favorisant, aux côtés des actions sociales traditionnelles, la transmission de la mémoire comme véritable vecteur de solidarité entre les générations. C'est dans ce cadre qu'une cérémonie de remise de bleuets aux stagiaires du CFIM de Montlhéry a été organisée par la 1re BL comme l'explique le colonel Prigent, adjoint du commandant: "nous avons tenu à organiser cette cérémonie pour marquer l'action symbolique et collective de dons auxquels ont contribué tous nos jeunes stagiaires du CFIM mais aussi leurs encadrants et les cadres de l'état-major".

 

L'occasion de mettre en avant les 350 stagiaires qui, entrés il y a seulement quelques semaines au sein de la grande famille de l'armée de Terre, ont d'emblée manifesté leur adhésion à l'une de ses valeurs fortes: la solidarité.

 

photo Bleuet de France

photo Bleuet de France

Note RP Defense : voir la page Facebook du Bleuet de France

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29 octobre 2015 4 29 /10 /octobre /2015 17:50
Soldats français du SEA et américains 515th Transportation Company côte à côte durant TJ15

Soldats français du SEA et américains 515th Transportation Company côte à côte durant TJ15

 

28 octobre, 2015 Nathan Gain (FOB)

 

Depuis une semaine, plus de 36 000 soldats issus de 28 nations membres de l’OTAN et 9 pays partenaires sont engagés dans le plus grand exercice militaire allié de la décennie. Mobilisant plus de 140 avions, 7 sous-marins et 60 navires, Trident Juncture 2015 (TJ15) aura lieu jusqu’au 6 novembre prochain en Espagne, Italie et au Portugal. À ce titre, il s’agit du plus vaste exercice militaire allié depuis « Strong Resolve », mené en 2002 en Pologne et en Norvège.

 

Trident Juncture répond à quatre objectifs majeurs pour les forces de l’OTAN, à commencet par tester et certifier le « Joint Force Command Force Brunssum », état-major situé aux Pays-Bas et appelé à prendre les commandes de la force de réaction de l’OTAN (NRF) en 2016. TJ15 servira également à tester la nouvelle « Very High Readiness Joint Task Force » (ou VJTF). Fer de lance de la NRF, la VJTF doit assurer le déploiement d’une brigade de combat de 5000 hommes en l’espace de quelques jours. Enfin, cet exercice d’envergure permettra aux forces engagées de s’exercer aux missions ISR conjointes en utilisant les technologies de pointe en usage dans les armées alliées ; ainsi que d’améliorer l’interopérabilité des forces spéciales et la réalisation d’opérations maritimes complexes.

 

Les forces armées françaises participent à cet exercice considéré comme « indispensable à l’entretien et au perfectionnement de notre capacité d’engagement en interalliés », rappelle le ministère de la Défense. Ainsi, les composantes aériennes, navales et terrestres seront présentes, grâce au déploiement de 3 Mirage 2000-5, un détachement de défense aérienne [oeuvrant sur Crotale NG et SAMP/T], un détachement TOC APOD, la frégate légère furtive Surcouf, le bâtiment de commandement et de ravitaillement Somme et le chasseur de mines tripartite Sagittaire, » précise le ministère de la Défense. L’armée de Terre est particulièrement attendue pour son expertise en matière de soutien logistique opérationnel, et prendra à ce titre le commandement d’une unité multinationale de soutien pétrolier composée d’unités lituaniennes, américaines, britanniques, espagnoles et italiennes et armée par le SEA. Une section de soldats français spécialisés en matière de guerre électronique opérera également au sein du « Joint Electronic Warfare Core Staff », basé en Grande-Bretagne.

 

Rappelons que la France, par l’intermédiaire du Général Denis Mercier, est en charge de l’un des deux commandements majeurs de l’OTAN, à savoir le Commandement allié Transformation (SACT). En charge de l’amélioration des missions d’entraînement et des capacités, et de la mise en place des doctrines communes aux pays membres, le Général Mercier et le SACT sont donc à la fois au cœur et à la base d’un exercice tel que TJ15.

 

Certes, l’engagement de la France au sein de ces manœuvres reste modeste, mais il reste symboliquement fort pour un pays dont l’engagement opérationnel soutenu sur les théâtres d’OPEX et national nécessité la mobilisation de l’ensemble de ses forces vives.

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28 octobre 2015 3 28 /10 /octobre /2015 17:30
RAAF KC-30A Refuels E-7A Wedgetail Above Iraq

 

October 28, 2015 By Australian Department of Defence - defencetalk.com

 

A Royal Australian Air Force KC-30A Multi-Role Tanker Transport aircraft has used its air‑to‑air refueling boom for the first time on operations while refueling a RAAF E-7A Wedgetail last week during a Coalition mission above Iraq. The air-to-air boom refuelling process involved two large aircraft, military versions of the Airbus A330 and Boeing 737-700, approaching within metres of each other while in flight and transferring fuel via a maneuverable pipe, known as a boom, which extends back from the rear of the KC-30A. This type of refuelling involves use of the AAR boom at the rear of the aircraft, rather than the wingtip AAR drogues used to refuel smaller aircraft equipped with an AAR probe. Commander of the Australian Air Task Group, Air Commodore Stuart Bellingham, said establishing and proving the operational boom refueling capability was yet another in a long list of accomplishments by the Australian Defence Force team in the Middle East.

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27 octobre 2015 2 27 /10 /octobre /2015 12:25
Le déploiement sur le théâtre Antilles/Guyane d’un A400M a été optimisé à son maximum - photo FAA

Le déploiement sur le théâtre Antilles/Guyane d’un A400M a été optimisé à son maximum - photo FAA

 

Du 18 au 19 octobre 2015, un A400M de l'armée de l'Air était déployé sur les îles de Martinique et de Guadeloupe pour une mission de transport logistique opérationnel.

Découvrez les photos de cet impressionnant avion de transport militaire polyvalent.

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16 octobre 2015 5 16 /10 /octobre /2015 16:55
photo DCSSA

photo DCSSA

 

15/10/2015  DCSSA

 

Le Bâtiment d’ingénierie biomédicale (BIB) inauguré ce jeudi 15 octobre à Orléans a pour mission d’assurer la maintenance des matériels biomédicaux, la logistique des produits de santé et la constitution des dotations des unités médicales opérationnelles, indispensables au service de santé des armées sur les théâtres d’opérations extérieures.

 

Lieu de stockage et de préparation des produits de santé, mais aussi « laboratoire » de conception et d’innovation, le bâtiment d’ingénierie biomédicale est un outil pour permettre au SSA de répondre au contrat opérationnel qui lui est confié par les armées : être présent au plus près des combats pour donner un maximum de chance de survie et de récupération fonctionnelle aux blessés de guerre.

Le directeur central a souligné la contribution directe de l’Etablissement Central des Matériels du Service de Santé des Armées et plus particulièrement du Bâtiment d’Ingénierie Biomédicale à la mission opérationnelle du Service. « C’est grâce au travail de conception et à la constitution et au stockage des « Unités Médicales Opérationnelles » que nos équipes peuvent agir sur le terrain. »

Les unités médicales de circonstances, tels que le kit d’évacuation et le laboratoire P3 mobile projeté en Guinée pour faire face à la crise sanitaire provoquée par le virus Ebola, sont en partie mises au point au sein du BIB.

 

Le bâtiment d’ingénierie biomédicale, c’est :

- 1 500 m² dédiés aux activités d’expertise, de maintenance biomédicale et de constitution des stocks ;
- 17 000 m² de surface utile ;
- 3 800 m² de surface d’entreposage au sol (900 emplacements) ;
- 5 800 m² aménagés en palettiers (8 400 emplacements) ;
- 1 trans-stockeur automatisé comprenant 770 tiroirs pouvant accueillir près de 8 000 références d’articles ;
- 1 salle de charge dotée de 1 000 prises pour recharger les batteries des dispositifs médicaux ;
- 6 quais pour gros porteurs ;
- 2 quais pour camionnettes ;
- 1 réseau de protection incendie par sprinklers.

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16 octobre 2015 5 16 /10 /octobre /2015 07:50
Commando Fliers Receive Upgraded Merlins

AgustaWestland Merlin Mk3i helicopters arrive at their news base at RNAS Yeovilton, from where they will support the Royal Marines until their intended aircraft, the Merlin Mk 4, becomes available in 2017. (RN photo)

 

Oct 15, 2015 defense-aerospace.com

(Source: Royal Navy; issued Oct 14, 2015)

 

 

On a very wet day in Somerset, the first of seven next-generation Merlins which will carry Royal Marines into battle arrives at its new home.

This is Merlin iMk3 – ‘i’ for interim – better suited to supporting the green berets on amphibious operations than the ‘basic’ Mk3.

The Merlin is taking over from the venerable Sea King as the workhorse of the Commando Helicopter Force.

A big step forward from its predecessor (it’s 30 years more modern), battlefield Merlin Mk3 – which has been transferred to the Fleet Air Arm from the RAF – prefers operations over land than sea, whereas the Royal Marines operate in both environments.

The iMk3 plugs the gap between the Sea King bowing out of service at the end of March and the arrival of the ‘fully marinised’ Merlin Mk4 in late 2017, when the first of 25 fourth-generation helicopters join the force at their base in Yeovilton.

The interim model features a folding main rotor head, strengthened undercarriage and communications upgrades – but outwardly looks pretty much the same as a normal Mk3.

The Mk4 goes further – enhanced avionics suite, automatic folding main rotor head and folding tail, making it perfect for operations at sea.

For the time being, however, the iMk3, delivered by the Merlin’s constructor AgustaWestland in Yeovil, fills the Sea King’s boots quite nicely.

“Today marks another key milestone in the history of the Commando Helicopter Force.

"With more iMk3s due to arrive soon, we’ll be well on our way to delivering real capability to our primary customer – the Royal Marines,” said Lt Cdr Ben McGreal, 846 Naval Air Squadron’s Merlin Flight Commander.

“It’s also not often that you can say that you’re the first to fly a new type of aircraft in the Royal Navy, so today is a very special day.”

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15 octobre 2015 4 15 /10 /octobre /2015 12:50
photo EMA / Marine Nationale

photo EMA / Marine Nationale

 

15/10/2015 Sources : Marine nationale

 

Du 8 au 15 octobre 2015, les marines française et britannique ont participé au large de la Corse à l’exercice Corsican Lion 2015, activité de préparation opérationnelle axée sur la projection de forces de la mer vers la terre.

 

Cet entraînement interalliés et interarmées s’inscrit dans le cadre des accords de Lancaster House signés en 2010 entre la France et le Royaume-Uni qui entérinent une coopération accrue en matière de défense et de sécurité. Il prévoit la mise en œuvre d’ici 2016 d’une force expéditionnaire commune inter-armées franco-britannique (Combined Joint Expeditionary Force, CJEF), capable entre autre, d’intervenir depuis la mer. La CJEF pourra être engagée dans des missions bilatérales mais aussi dans le cadre de coalitions internationales.

 

Corsican Lion 2015 est une étape supplémentaire dans la montée en puissance des capacités amphibies de la CJEF et s’inscrit à ce titre dans la continuité de l’édition de 2012 qui avait certifié la composante maritime de la CJEF. L’édition 2015 précède quant à elle l’exercice de certification finale Griffin Strike qui aura lieu en 2016 et qui sera multicomposante.

 

Le Task group Corsican Lion 2015 était composé de trois bâtiments porte-hélicoptères et amphibies : le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude, le HMS Ocean et le HMS Bulwark. Les batelleries anglaise (landing craft utility (LCU) et landing craft vehicle and personnel (LCVP)) et française de la Flottille Amphibie (engin de débarquement amphibie rapide (EDA-R) et chalands de débarquement (CTM)) ont également été engagées. Au total, plus de 2000 militaires ont été mobilisés pour cette édition 2015, dont 250 Royal Marines, ainsi que 12 hélicoptères d’assaut ou de transport britanniques.

 

L’exercice s’est déroulé en deux phases. La première était consacrée à la mécanisation et à l’entraînement au large de la Haute-Corse durant trois jours. Au cours cette période, les marins britanniques et français ont effectué, de jour comme de nuit, des exercices de manœuvres à bord des bâtiments, mais aussi sur les plages du nord de la Corse. Les hélicoptères britanniques, Chinook, Merlin et Wildcat ont effectué des séries d’appontages et de ravitaillements sur les trois bâtiments afin de parfaire leur interopérabilité. Enfin, les engins de débarquement britanniques et français ont effectué des manœuvres de porte à porte ou d’enradiage dans le Dixmudeet le HMS Bulwark avec des troupes et des véhicules des deux nationalités.

 

Au terme de cette montée en puissance, la deuxième phase de l’exercice a été lancée au large de la Corse du Sud. Le scenario simulait une opération franco-britannique d’évacuation de ressortissants.

 

A l’aube du 11 octobre, à bord du BPC Dixmude, 130 Royal Marines ont été héliportés par vagues successives vers la terre afin de s’emparer et de sécuriser le site d’évacuation. Ils ont ensuite bénéficié du soutien des troupes et des véhicules qui ont débarqués sur la côte par moyens amphibies. Durant cette phase de sécurisation de zone, le Bulwark, l’Ocean et le Dixmude ont croisés à proximité des côtes, prêts à intervenir pour accueillir les ressortissants.

 

Le lendemain, les batelleries françaises et anglaises ont effectué les rotations pour accueillir, enregistrer et prendre en charge les ressortissants qui étaient joués par une quarantaine de marins français et anglais. Ces manœuvres étaient en permanence sécurisées par les troupes présentes au sol. Durant deux jours, l’exercice d’évacuation depuis la terre a été répété à plusieurs reprises utilisant à chaque fois une batellerie et un bâtiment différent. Ces manœuvres ont permis de valider l’interopérabilité de l’ensemble des capacités amphibies françaises et anglaises pour mener ce type d’action dans le cadre d’une opération bilatérale. La capacité à mettre en œuvre des forces flexibles, rapidement déployables et interopérables est un impératif opérationnel partagé entre les alliés.

 

Évacuation de ressortissants (RESEVAC) en chiffres :

Au cours des dernières années, la Marine nationale a accompli, seule ou avec le soutien des marines alliées trois RESEVAC. Plus de 8000 personnes ont ainsi été évacuées au Liban en 2006, en Libye en 2014 et au Yémen en avril dernier.

photo EMA / Marine Nationalephoto EMA / Marine Nationale

photo EMA / Marine Nationale

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15 octobre 2015 4 15 /10 /octobre /2015 11:55
Bâtiment d'ingénierie biomédicale du service de santé des armées

14 oct. 2015 par DCSSA

Le ravitaillement sanitaire remplit trois missions : il soutient les forces engagées en opérations, il ravitaille les hôpitaux et les centres médicaux des forces en métropole et dans les DOM -TOM-COM, il stocke et fabrique des produits de santé pour les besoins des armées et de la communauté nationale.

voir Ravitaillement sanitaire

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14 octobre 2015 3 14 /10 /octobre /2015 11:20
photo US Navy

photo US Navy


13 oct. 2015 NAVAIRSYSCOM

 

For 50 years, the C-2A Greyhound has delivered solutions and smiles across the seas. Watch to learn more about this "workhorse" of the Navy and see the integral logistical support it continues to provide deployed combat groups today.

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14 octobre 2015 3 14 /10 /octobre /2015 06:45
EDA installs energy management equipment at EUTM Mali camp

 

Mali - 13 October, 2015 by European Defence Agency
 

The European Defence Agency (EDA) last week successfully installed energy management equipment at camp Koulikoro, the location for the European Union’s Training Mission (EUTM) in Mali. The equipment is part of EDA’s Smart Camp Technical Demonstrator project which analyses the benefits of integrating new technologies into traditional power grids for deployed camps.

 

The elements installed include fixed solar photovoltaic panels on a test building (16KWp), flexible soldier portable solar photovoltaic panels as well as monitoring and metering equipment for water and electricity. The test building is occupied by the Belgium contingent who will provide valuable feedback regarding end-user experience with energy demand management. 
 

Objective of Demonstrator

The demonstrator will be installed initially for a test phase of twelve weeks. The objectives are to:

  1. Test efficiency of various types of photovoltaic panels in specific climatic conditions;
  2. Test the integration of renewables with battery storage in a deployment scenario;
  3. Test demand management technology and its impact, if any, on inhabitants;
  4. Raise awareness of energy efficiency and renewable energy as a military capability;
  5. Encourage energy efficient behaviour among troops;
  6. Collect reliable data for analysis and sharing with other Member States and further work;
  7. Collect data to develop benchmarks for planning support tools for CSDP operations.

 

Further Opportunities for Energy & Environment Management

Following the test phase, further work can be envisaged including an upscaling of the equipment installed to provide more renewable power to the camp, water management technologies, waste management technologies including waste to energy conversion and further efficiency measures. A full report will be presented at the next Energy & Environment working group meeting on 12 and 13 November in Brussels.

 

More information:

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13 octobre 2015 2 13 /10 /octobre /2015 17:55
photo DGA

photo DGA

 

13/10/2015 Sources : Etat-major des armées

 

La direction générale de l’armement (DGA) a prononcé, le 29 septembre 2015, la qualification de la version non blindée du camion du programme « porteurs polyvalents terrestres » (PPT).

 

La loi de programmation militaire, actualisée en juillet dernier, prévoit la livraison d’un premier ensemble de 900 camions PPT, dans le cadre du renouvellement des capacités logistiques de l’armée de terre. Ce programme vise à la doter d’une nouvelle série de camions pour le ravitaillement, le transport de postes de commandement et de systèmes d’armes, ainsi que pour l’évacuation de véhicules endommagés, sur le territoire national et sur les théâtres d’opérations extérieurs. Sa gamme comprend à ce jour deux modèles : un transport de fret en conteneur et un véhicule dépanneur. Ils possèdent 4 essieux toutes roues motrices (8x8). La livraison des 200 premiers véhicules, commandés en 2010 et disposant d’une cabine blindée, avec protections balistiques et anti-mines, s’est achevée en juin 2015. Les deux modèles ont été utilisés en opération.

 

photo STAT / Armée de Terre

photo STAT / Armée de Terre

La version non-blindée, qui vient d’être qualifiée par la DGA, a fait l’objet d’une commande de 250 exemplaires camions de transport de fret, en janvier 2014. Elle sera complétée, d’ici la fin de l’année, par une commande de 450 véhicules identiques. Ces 700 véhicules seront livrés de 2016 à 2018.

photo DGA

photo DGA

REPERE

La qualification des systèmes d’armes est l’aboutissement d’un processus de vérification et de validation qui permet à la DGA d’attester qu’un produit, conforme au dossier de définition, satisfait aux exigences du besoin spécifié et qu’il peut être produit et soutenu.

 

En savoir +

Communique de Presse - La DGA qualifie la troisième version du nouveau camion de transport logistique de l’armée de terre (format pdf, 27 kB).

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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 16:30
(Archives / photo USAF)

(Archives / photo USAF)

 

Par

 

Les Etats-Unis apportent leur aide à des rebelles engagés dans des combats contre le régime de Bachar Al-Assad et contre l'Etat islamique. L'armée américaine a ainsi parachuté, dimanche en Syrie, des munitions de petit calibre destinées à des rebelles du nord du pays, a annoncé un responsable de l'US Air Force, lundi 12 octobre, sous couvert d'anonymat. Une opération en réaction à l'intervention aérienne de Moscou favorable à l'armée syrienne, à laquelle Washington est hostile

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8 octobre 2015 4 08 /10 /octobre /2015 15:55
[Teaser] Sous les cocardes N°3 - Les forces aériennes stratégiques


8 oct. 2015 Armée de l'Air

 

Pour ce troisième numéro de "Sous les cocardes" Aerostar TV vous emmène au sol et en vol avec les forces aériennes stratégiques.


Diffusion prévue le 8 ocotbre 2015 à 21h00 sur le canal 109 de la box Orange, ou encore en direct sur www.aerostar.tv

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7 octobre 2015 3 07 /10 /octobre /2015 12:45
Barkhane: De l’eau pour la base avancée de Madama

 

06/10/2015 Sources : Armée de l'air

 

Chef de détachement du groupement aérien d’appui aux opérations (GAAO) à Madama (Niger), du 8 mars au 29 juillet 2015, le capitaine Bruno a pris part à un défi de taille: produire puis traiter de l’eau dans ce site désertique et reculé du Niger. Un challenge relevé avec brio!

 

45°C à l’ombre, 64°C au soleil, du sable à perte de vue, une dizaine de bungalows, aucune structure métallo-textile… Les conditions semblent rudes pour produire de l’eau potable à Madama, au cœur du désert du Ténéré, au Niger. Pour relever ce challenge, une quinzaine d’aviateurs du groupement aérien d’appui aux opérations (GAAO) et du groupement aérien des installations aéronautiques (GAIA) a été déployée début mars 2015 sur cette base avancée, point d’appui essentiel des forces engagées dans l’opération Barkhane. Implanté sur la base aérienne 106 de Bordeaux-Mérignac, le GAAO est l’expert en infrastructure verticale de l’armée de l’air. Le GAIA, quant à lui, est chargé du maintien en condition opérationnelle de ces installations sensibles et de la fourniture au GAAO de l’ensemble du matériel de projection. «Deux aviateurs du GAIA ont renforcé nos rangs pour mettre en œuvre la station de potabilisation de l’eau et traiter les eaux usées, précise le capitaine Bruno, chef du détachement. À la fin de l’été, nous devions être autonomes en produisant notre eau, en la traitant, puis en mettant en place une station d’épuration.»

 

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Barkhane: De l’eau pour la base avancée de Madama
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5 octobre 2015 1 05 /10 /octobre /2015 07:45
Ukrainian An-70 military transport aircraft successfully overpassed a distance more than 13,000 km

 

Oct 4, 2015 By Dylan Vosman - defence-blog.com

 

From 22 to 26 September 2015, the AN−70 short takeoff and landing military transport performed an international flight and carried a military cargo within evaluation of transport capacity and widening the operational conditions. From the Kyiv−Antonov airport, the aircraft flew to Bangui, Central African Republic. This flight endured 9 hours 2 minutes. In Bangui, the AN−70 took on board a cargo weighting 23.6 tons. After that, the aircraft landed in Ndjamena, the Republic of Chad. According to Viktor Goncharov, test pilot of ANTONOV, the crew captain, “from Ndjamena airport we took off under a temperature of +33 Celsius degrees with a take−off weight close to the maximum. The aircraft confirmed designed data of the take off parameters including length of the runway distance. AN−70 also showed good climb rate“.

 

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