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16 mars 2014 7 16 /03 /mars /2014 13:45
La France va installer une base militaire au nord du Mali, près de la frontière algérienne

 

15 mars 2014 Maghreb Emergent

 

L'Algérie, rapporte Jeune Afrique, sera officiellement informée de cette décision lors d'une visite du ministre de la Défense français à Alger. Selon le site d'information malien Maliactu "une partie des marchés obtenus par les entreprises françaises consiste au réaménagement de la piste d'atterrissage de l'aéroport du camp de la ville de Tessalit" qui devrait accueillir la base.

 

La France, a rapporté hier Jeune Afrique, va installer une base militaire avancée dans le nord du Mali, à Tessalit, non loin de la frontière algérienne.

Cette décision, précise le magazine panafricain paraissant à Paris, "a déjà été prise mais elle ne sera pas officialisée tant que le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, n'en aura pas informé son homologue algérien de vive voix lors d'un déplacement ministériel à Alger".

Un journal d'information malien a rapporté la même information le lendemain. Selon Maliactu, l'intervention française au Mali "a dévoilé son agenda caché". Il s'agit de " l'installation d'une base militaire permanente à Tessalit", écrit-il précisant qu'"une partie des marchés obtenus par les entreprises françaises consiste au réaménagement de la piste d'atterrissage de l'aéroport du camp de la ville".

Maliactu souligne que "la France semble avoir commencé son installation en attendant la signature de l'accord de défense qui devra officialiser l'acte de fait ". Il conclut : "Il est primordiale pour la France de ménager ce pays, qui facilite actuellement le ravitaillement des troupes françaises présentes dans le nord du Mali à partir de son territoire."

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16 mars 2014 7 16 /03 /mars /2014 12:45
Serval : Travaux de terrassement à Tessalit

 

Crédits photos : EMA / armée de Terre

 

13 février 2014, la force Serval réalise des travaux de terrassement sur le camp de Tessalit.
Environ 2300 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de lutte contre les groupes armées terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

 

Reportage photos

 

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16 mars 2014 7 16 /03 /mars /2014 12:45
Visite du chef d’état-major général des armées (CEMGA)


09.03.2014 EUTM Mali
 

A quelques jours de la fin de la formation du 4e bataillon malien « Balanzan », le chef d’état-major général des armées maliennes (CEMGA), le général Mahamane Touré, s’est rendu au camp d’entrainement de la mission EUTM à Koulikoro afin d’y rencontrer les soldats du 4e GTIA, pour faire le point sur la formation et observer leurs conditions d’entrainement.

A son arrivée, le CEMGA, accompagné par le général Bruno Guibert, commandant EUTM, a été accueilli par le colonel Alexis Uhrich, commandant le camp d’entrainement de la mission Européenne, qui lui a présenté les objectifs  et l’organisation de la formation dispensée par les 200 instructeurs européens. Le général Touré s’est ensuite rendu sur les aires d’entrainement afin d’observer l’instruction des soldats du bataillon Balanzan.

Le CEMGA a salué la qualité de la formation dispensée par la mission européenne et s’est dit satisfait de l’état d’esprit des soldats maliens à quelques jours de la fin de leur formation. Le CEMGA a particulièrement souligné l’aspect pratique de l’entrainement, en adéquation la situation opérationnelle au Nord du pays et avec les missions qui seront confiées au bataillon au cours de son déploiement.

 

Visit of the Malian joint chief of staff

A few days before the end of the training of the fourth battalion « Balanzan », the Malian Joint Chief of Staff (CEMGA), General Mahamane Touré has visited the European Training mission’s training camp in Koulikoro to meet the soldiers from the 4th GTIA there, to see the training carried out by his soldiers and their living conditions.

Upon his arrival de the CEMGA, accompanied by General Bruno Guibert, EUTM commander was welcomed by Colonel Alex Uhrich, the European mission training camp commander. He briefed the CEMGA about the objectives and the organization of the training provided by the 200 European instructors. Afterwards, General Touré visited the training areas to witness the training of the battalion.

The CEMGA outlined the quality of the European training and said to be very satisfied with the Malian soldiers’ mood and confidence, just a few days before the end of their training. The CEMGA particularly highlighted the practical part of the training, in accordance with the operational situation in the north of the country and with the missions which the battalion will have to accomplish during its deployment.

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15 mars 2014 6 15 /03 /mars /2014 08:45
Instructeur français d’EUTM Mali (crédits: G Belan)

Instructeur français d’EUTM Mali (crédits: G Belan)

 

14 mars, 2014 Guillaume Belan (FOB)

 

Les éléments précurseurs de la brigade franco-allemande sont déjà arrivés au Mali, prenant leurs consignes et préparant l’arrivée du gros de la force, qui va commencer à arriver dès début avril. Au total, ce sont 160 soldats issus de la BFA qui vont mettre pieds sur le territoire maliens dans le cadre de la formation de l’armée malienne (EUTM Mali), à la fois à Bamako à l’Etat Major (MHQ) ainsi qu’à Koulikoro au camps d’entrainement (KTC).

 

 

Instructeur français d’EUTM Mali (crédits: G Belan)

Instructeur français d’EUTM Mali (crédits: G Belan)

Mais attention, il ne s’agit pas à proprement parler d’un déploiement de la BFA, relève le général Bruno Guibert, commandant de l’EUTM Mali, mais bien de relèves nationales prélevées dans les unités de la BFA. La nuance est de taille, car cela signifie que si des unités de la BFA sont déployés au Mali, ce n’est pas dans le cadre de la Brigade mais bien des contingents nationaux.

 

Ainsi, bien que la France conserve pour le second mandat, la position de nation leader d’EUTM, sa présence va diminuer. De 113 aujourd’hui, les soldats français ne seront plus que 75 à partir de la mi-mai, date du début du second mandat d’EUTM Mali. Les unités françaises de la BFA vont remplacer le détachement constitué principalement du 92ème et 126ème régiments d’infanterie.

 

Côté allemand, le mouvement sera proportionnellement inverse, de 70 soldats, la présence allemande va augmenter à une centaine de soldats.

 

Pour le second mandat d’EUTM Mali, les soldats de la BFA « vont prendre leur responsabilité de manière croissante dans cadre d’EUTM » a indiqué le général Guibert, mais tout en « conservant les présences européennes de la mission ». Excepté la Pologne, qui a décidé de ne pas renouveler sa participation pour le second mandat, au grand dam des instructeurs polonais sur place. Et d’EUTM, qui n’a toujours pas de remplaçant déclaré pour ces 14 instructeurs qui s’occupaient de la formation logistique, un volet pourtant fondamental dans un pays grand comme deux fois la France.

 

Pour mémoire, EUTM c’est aujourd’hui 22 nations européennes pour 560 soldats sur le territoire malien, qui conseillent et forment l’armée malienne. Le contingent espagnol est le plus important avec 117 soldats, assurant la mission de force protection.

 

« Nous sommes très optimiste sur les bons résultats des bataillons maliens formés. Nous avons ici une démarche cohérente et nouvelle. EUTM préfigure ce que peut faire l’UE en matière d’entrainement et de conseil.  Un modèle exportable dans d’autres pays, comme pour la RCA », a précisé le général français.

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15 mars 2014 6 15 /03 /mars /2014 08:45
Soldats maliens (crédits G Belan)

Soldats maliens (crédits G Belan)

 

14 mars, 2014 Guillaume Belan (FOB)



En reportage cette semaine au Mali, FOB débute une série d’articles sur la situation sur place, notamment l’action d’EUTM Mali et la reconstruction des forces armées maliennes (FAMA). Premier volet, un point sur la présence française et l’opération Serval. Rencontre avec le général Foucaud, commandant la force française.

 

A un peu plus d’un an de présence française au Mali depuis le déclenchement de l’opération Serval, « les objectifs militaires et politique ont été atteints » a précisé le général Foucaud. L’intégrité du territoire a été sauvegardée, un Président et une assemblée nationale ont été désignés dans des conditions démocratiques et sécuritaires satisfaisantes. Et les groupes armés terroristes (GAT) ont été fortement affaiblis. Bref, les objectifs premiers de l’intervention française, lancée en urgence, il y a un an, sont remplis.

 

 
Le général Foucaud, commandant Serval, à Bamako (crédits: G Belan)

Le général Foucaud, commandant Serval, à Bamako (crédits: G Belan)

 

« Une situation qui reste fragile »

 

« L’essai doit maintenant être transformé dans la durée » reconnaît le général Foucaud. Car les GAT sont toujours présents dans le nord du pays, estimés à « plusieurs centaines (… ) et tentent de se reconstituer ». Les djihadistes (AQMI , Ansar Dine, Mujao…) adoptent dorénavant des tactiques de guerre asymétriques, à savoir tirs de roquettes, IED… afin de peser sur les forces (MINUSMA, FAMA, Serval) et la population. Les derniers accrochages datent du 4 et 5 mars, dans la vallée d’Ametettaï, où une dizaine de combattants ont été neutralisés, dont peut-être un de leurs chefs emblématiques.

 

Serval: diminution et réorganisation

 

Serval aujourd’hui, c’est encore 1600 soldats sur place, un nombre qui va descendre à 1100 cet été. Avec la perte de certaines capacités. Les VBCI notamment vont bientôt rejoindre le territoire national. Certaines fonctions seront par contre préservées, voir développées, notamment pour la partie aéromobilité, jugée comme « élément clef » , vu l’élongation du théâtre. « L’action de la France s’inscrit dans la durée, nous continuerons d’être présents en fournissant des appuis en renseignement, santé, close air support, logistique… »

 

De Bamako à Gao

 

Le « centre de gravité » de Serval va se déplacer dans les mois qui viennent dans le Nord, à Gao. Ainsi si les français devraient conserver un point à Bamako, proche de l’aéroport, l’essentiel du dispositif, y compris l’état-major pourrait basculer à Gao. Un mouvement somme tout logique, vu que toutes les forces combattantes françaises sont dans le nord, là où est la menace.

 

Une issue régionale

 

Première étape nécessaire, le dialogue national. « il faut la signature d’un accord entre le nord et Bamako, c’est urgent » reconnaît le général Foucaud. Bien que très délicat, « des signes montrent que les lignes bougent, mais il y a encore du boulot ».

Autre aspect essentiel d’un retour à la stabilité du nord du pays, le dialogue avec les pays voisins. « Il faut encourager les actions bilatérales, impliquer ces états et les appuyer ». Certains  pays sont réceptifs à ces appels du pied, notamment le Tchad ou le Niger, avec qui des contacts entre armées ont été établies (opérations Meharee en janvier/février 2014). « Ces armées retournent dans des zones où elles n’étaient pas allées depuis longtemps » admet le commandant de Serval. « L’avenir, ce sont des unités mixtes » (FAMA et armées limitrophes). Plus problématique, les relations avec l’Algérie, peu évidentes. Pourtant « Il n’y a pas de solution sans l’Algérie » insiste le général français « il faut arriver à travailler avec eux ».

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 23:45
Serval : point de situation du jeudi 13 mars

 

14/03/2014 Sources : EMA

 

Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec environ 60 sorties, dont une vingtaine effectuées par les avions de chasse. 30 sorties ont été dédiées aux missions de transport et une dizaine aux missions de renseignement et de ravitaillement.

 

Le lundi 10 mars, le général de division Marc Foucaud, commandant de la force SERVAL, s’est rendu sur Tessalit pour rencontrer les DLAO 1 et 5 (détachement de liaison d’appui opérationnel), ainsi que le général Ousmane, chef du contingent tchadien de la MINUSMA et le chef de corps du GTIA SIGUI. Cette visite lui a permis de faire un point de situation avec les différents acteurs de terrain sur la situation sécuritaire dans la région.

 

Le 11 mars, dans la région d’Aguelhok, un VAB du DLAO1 a été l’objet d’une explosion déclenchée par un engin explosif improvisé, alors qu’il était engagé dans une mission de contrôle de zone en appui des forces armées maliennes. Cette explosion n’a fait qu’un blessé léger.

 

Du 11 au 13 mars, le général de corps d’armée Castres, sous-chef d’état-major des opérations de l’EMA, et Mme Landais, directrice des Affaires Juridiques, se sont rendus au Mali pour une visite de trois jours sur le théâtre. Après une présentation de la mission EUTM Mali à Bamako le mercredi 12 mars, la délégation s’est rendue à Tombouctou pour rencontrer les forces partenaires, ainsi que les éléments du DLAO présent sur place.

 

Le mercredi 12 mars, le général de corps d’armée Wolfgang Wosolsobe,  chef d’état-major de l’Union européenne (EMUE) en déplacement auprès d’EUTM Mali, s’est rendu sur le camp « Damien Boiteux » à Bamako pour rencontrer le général de division Foucaud, afin d’échanger sur la situation sécuritaire au Mali ainsi que sur les relations qui se sont tissées entre les unités françaises et les GTIA maliens formés par EUTM Mali. Le COMANFOR Serval lui a présenté la fonction d’assistance militaire opérationnelle et le rôle des DLAO.

 

Environ 1600 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 17:45
With training and partnerships, U.S. military treads lightly in Africa

A Boeing Osprey used by the US Marine Corps

 

13 March 2014 defenceWeb (Reuters)

 

On a dusty training ground in Niger, U.S. Special Forces teach local troops to deal with suspects who resist arrest. "Speed, aggression, surprise!" an instructor barks as two Nigeriens wrestle a U.S. adviser out of a car.

 

The drill in the border town of Diffa is part of Operation Flintlock, a counter-terrorism exercise for nations on the Sahara's southern flanks that the United States organizes each year. Washington's aim is to tackle Islamist militants in the Sahel region while keeping its military presence in Africa light.

 

A growing number of European nations taking part shows their increasing concern about security in West Africa. Central to the international effort is a blossoming relationship between the United States and France, the former colonial power and traditional "policeman" of the turbulent region.

 

When Paris deployed 4,000 troops to fight Islamist militants in neighboring Mali last year, the U.S. military lent a hand by airlifting French soldiers and equipment, providing intelligence and training African forces to join the operation.

 

French troops are stretched by hunting the militants in Mali and tackling religious violence in Central African Republic, so only a handful participated in Flintlock. Nevertheless, they welcomed their new partnership with Washington.

 

"The Americans want to get involved in Africa. That's good for us. We know that with the Americans it will be more efficient," said a French Special Forces officer, who asked not to be named. "We use American logistics - that's what we are missing. On the other hand, we provide the local knowledge."

 

The United States fast-tracked the sale of 12 Reaper drones to France last year, the first two of which started operating in Niger in January alongside U.S. drones already there.

 

In a reminder of the partnership, a drone quietly taxied past troops and dignitaries at Flintlock's closing ceremony in the capital of Niamey before taking off to scour the Sahara.

 

U.S. FACING BUDGET CUTS

 

Military experts say direct U.S. military action in Africa is limited to short raids on "high-value" targets in places such as Somalia and Libya, while French troops take on longer, bigger operations.

 

J. Peter Pham, director of the Africa Center at the U.S.-based Atlantic Council, said this arrangement suited U.S. military planners who face budget cuts and a diminished American appetite for combat after conflicts in Iraq and Afghanistan.

 

However, he warned that the French military was at the limit of its ability to strike militants hard. "If the French are not able to provide that blunt instrument, is the U.S. willing to do so?"

 

Nine years after the Flintlock exercises began, the enemy has evolved from a group of Algerian-dominated fighters focused on northern Mali and now threatens nations across the Sahara and the arid Sahel belt to the south.

 

For most of 2012, militants occupied northern Mali, a desert zone the size of France. Scattered by a French offensive last year, many are believed to be regrouping in southern Libya.

 

Hundreds of people are being killed every month in clashes with Boko Haram militants in northern Nigeria. Many in Niger fear this conflict could spill over the border and the government in Niamey has appealed for more military support.

 

"Instability in neighboring states has given everybody a new incentive," General James Linder, commander of U.S. Special Operations Command Africa, told Reuters while visiting Niger

 

This year's three-week Flintlock exercise - involving over 1,000 troops from 18 nations - was the biggest yet and runs alongside more permanent training by U.S. Special Forces in Niger, Mauritania, Senegal and Chad.

 

Training in Diffa, only a few kilometers from where Boko Haram militants are fighting the Nigerian army across the border, ranged from basic patrolling skills and setting up checkpoints to sharing intelligence and providing medical care.

 

In a region where armies often lack basics such as ammunition for target practice and fuel for vehicles, the quality and tempo of the U.S.-sponsored exercise eclipses the training most soldiers in the region receive in a year.

 

Colonel Mounkaila Sofiani, the local Niger commander, said Flintlock and other U.S. initiatives helped his country to tackle threats from the west, north and south better. "Little by little people are being trained," he said. "Once there are enough, they'll form the spine of a reliable force."

 

Training is meant to build up coordination between armies but Sofiani said just finding radio equipment compatible between nations is difficult. In the field, officers exchange mobile phone numbers to bypass blockages in official channels.

 

A lack of trust between governments also hinders responses. At a recent meeting of intelligence chiefs, the Nigerien and Libyan representatives argued over the risk of instability spreading from Libya's lawless south, a diplomat told Reuters.

 

Coups in Mauritania, Niger and Mali since the Flintlock exercises began also halted cooperation until civilian rule was restored. Mali's 2012 coup, led by a captain with U.S. training, opened the door to the Islamist takeover of the north, prompting questions about what the years of exercises had achieved.

 

Pham said better military capabilities had not been matched by improvements in governance, citing a failure by Mali to tackle corruption. Chad's military, however, has won praise for leading the charge alongside French troops in flushing out the militants from Mali's desolate northern mountains.

 

U.S. officials stress the exercise is African-led and are wary about people reading too much into U.S. troops being on the ground near African conflicts. But the show of foreign support is popular in Diffa.

 

"It sends a message to Boko Haram and others," said Inoussa Saouna, the central government's representative in Diffa. "Before Mali, we thought terrorism was a problem for whites but now we've experienced it ourselves."

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 17:45
With training and partnerships, U.S. military treads lightly in Africa

A Boeing Osprey used by the US Marine Corps

 

13 March 2014 defenceWeb (Reuters)

 

On a dusty training ground in Niger, U.S. Special Forces teach local troops to deal with suspects who resist arrest. "Speed, aggression, surprise!" an instructor barks as two Nigeriens wrestle a U.S. adviser out of a car.

 

The drill in the border town of Diffa is part of Operation Flintlock, a counter-terrorism exercise for nations on the Sahara's southern flanks that the United States organizes each year. Washington's aim is to tackle Islamist militants in the Sahel region while keeping its military presence in Africa light.

 

A growing number of European nations taking part shows their increasing concern about security in West Africa. Central to the international effort is a blossoming relationship between the United States and France, the former colonial power and traditional "policeman" of the turbulent region.

 

When Paris deployed 4,000 troops to fight Islamist militants in neighboring Mali last year, the U.S. military lent a hand by airlifting French soldiers and equipment, providing intelligence and training African forces to join the operation.

 

French troops are stretched by hunting the militants in Mali and tackling religious violence in Central African Republic, so only a handful participated in Flintlock. Nevertheless, they welcomed their new partnership with Washington.

 

"The Americans want to get involved in Africa. That's good for us. We know that with the Americans it will be more efficient," said a French Special Forces officer, who asked not to be named. "We use American logistics - that's what we are missing. On the other hand, we provide the local knowledge."

 

The United States fast-tracked the sale of 12 Reaper drones to France last year, the first two of which started operating in Niger in January alongside U.S. drones already there.

 

In a reminder of the partnership, a drone quietly taxied past troops and dignitaries at Flintlock's closing ceremony in the capital of Niamey before taking off to scour the Sahara.

 

U.S. FACING BUDGET CUTS

 

Military experts say direct U.S. military action in Africa is limited to short raids on "high-value" targets in places such as Somalia and Libya, while French troops take on longer, bigger operations.

 

J. Peter Pham, director of the Africa Center at the U.S.-based Atlantic Council, said this arrangement suited U.S. military planners who face budget cuts and a diminished American appetite for combat after conflicts in Iraq and Afghanistan.

 

However, he warned that the French military was at the limit of its ability to strike militants hard. "If the French are not able to provide that blunt instrument, is the U.S. willing to do so?"

 

Nine years after the Flintlock exercises began, the enemy has evolved from a group of Algerian-dominated fighters focused on northern Mali and now threatens nations across the Sahara and the arid Sahel belt to the south.

 

For most of 2012, militants occupied northern Mali, a desert zone the size of France. Scattered by a French offensive last year, many are believed to be regrouping in southern Libya.

 

Hundreds of people are being killed every month in clashes with Boko Haram militants in northern Nigeria. Many in Niger fear this conflict could spill over the border and the government in Niamey has appealed for more military support.

 

"Instability in neighboring states has given everybody a new incentive," General James Linder, commander of U.S. Special Operations Command Africa, told Reuters while visiting Niger

 

This year's three-week Flintlock exercise - involving over 1,000 troops from 18 nations - was the biggest yet and runs alongside more permanent training by U.S. Special Forces in Niger, Mauritania, Senegal and Chad.

 

Training in Diffa, only a few kilometers from where Boko Haram militants are fighting the Nigerian army across the border, ranged from basic patrolling skills and setting up checkpoints to sharing intelligence and providing medical care.

 

In a region where armies often lack basics such as ammunition for target practice and fuel for vehicles, the quality and tempo of the U.S.-sponsored exercise eclipses the training most soldiers in the region receive in a year.

 

Colonel Mounkaila Sofiani, the local Niger commander, said Flintlock and other U.S. initiatives helped his country to tackle threats from the west, north and south better. "Little by little people are being trained," he said. "Once there are enough, they'll form the spine of a reliable force."

 

Training is meant to build up coordination between armies but Sofiani said just finding radio equipment compatible between nations is difficult. In the field, officers exchange mobile phone numbers to bypass blockages in official channels.

 

A lack of trust between governments also hinders responses. At a recent meeting of intelligence chiefs, the Nigerien and Libyan representatives argued over the risk of instability spreading from Libya's lawless south, a diplomat told Reuters.

 

Coups in Mauritania, Niger and Mali since the Flintlock exercises began also halted cooperation until civilian rule was restored. Mali's 2012 coup, led by a captain with U.S. training, opened the door to the Islamist takeover of the north, prompting questions about what the years of exercises had achieved.

 

Pham said better military capabilities had not been matched by improvements in governance, citing a failure by Mali to tackle corruption. Chad's military, however, has won praise for leading the charge alongside French troops in flushing out the militants from Mali's desolate northern mountains.

 

U.S. officials stress the exercise is African-led and are wary about people reading too much into U.S. troops being on the ground near African conflicts. But the show of foreign support is popular in Diffa.

 

"It sends a message to Boko Haram and others," said Inoussa Saouna, the central government's representative in Diffa. "Before Mali, we thought terrorism was a problem for whites but now we've experienced it ourselves."

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 21:45
Shoulder-launched anti-aircraft missiles flow abroad from Libya

 

12 March 2014 defenceWeb (Reuters)

 

Shoulder-launched anti-aircraft missiles have been trafficked out of Libya to Chad, Mali, Tunisia, Lebanon and likely Central African Republic, with attempts made to send them to Syrian opposition groups, according to a U.N. report on Tuesday.

 

An independent panel of experts monitoring U.N. sanctions on Libya, that include an arms embargo imposed at the start of the 2011 uprising that ousted leader Muammar Gaddafi, reported that the weapons, known as MANPADs, that were found in Mali and Tunisia "were clearly part of terrorist groups' arsenals."

 

"Despite efforts by Libya and other countries to account for and secure MANPADs in Libya, Panel sources state that thousands of MANPADs were still available in arsenals controlled by a wide array of non-state actors with tenuous or non-existent links to Libyan national authorities," the experts said in their final report to the U.N. Security Council.

 

"To date the Panel has documented transfers of Libyan MANPADs and other short range surface to air missiles in ... Chad, Mali, Tunisia, Lebanon and potentially Central African Republic (the latter case still being under investigation)," the experts said.

 

The fragile Libyan government is struggling to rein in militias that helped oust Gaddafi and now defy state authority. It has little control over its borders and while trying to rebuild its army, analysts say it is not yet a match for battle-hardened militias who ousted Gaddafi in eight-months.

 

"Over the past three years, Libya has become a primary source of illicit weapons," according to the U.N. report.

 

The U.N. experts said Libya has been a key source of arms for Syria opposition groups due to "popular sympathies for the Syrian opposition, large available stockpiles of weapons, the lack of law enforcement and a new generation of domestic arms dealers who appeared during the Libyan uprising."

 

"Sources indicated to the Panel that the Syrian Arab Republic is also becoming a source of onward proliferation itself, including to Iraq and Lebanon," according to the report, which covers the past year.

 

The panel said that weapons found aboard a ship, the Letfallah II, when it was seized by Lebanese authorities in 2012 "proved there had been attempts to transfer MANPADs to the Syrian opposition from Libya."

 

FACEBOOK TRADE

 

Under the arms embargo the Libyan government must notify the U.N. Security Council Libya sanctions committee of any weapons purchases it intends to make.

 

"The Panel has reason to believe that some transfers of arms and ammunition have taken place since the end of the revolution in violation of the arms embargo," the experts said. "Those transfers undermine the effort of the Libyan authorities to build an accountable and transparent procurement process."

 

Libya's U.N. envoy Ibrahim Dabbashi said on Monday that "any request for approval for exporting weapons to Libya that is not done via the Libyan mission at the U.N. or with the knowledge of this mission would be considered a request from a party that does not belong to the Libyan government."

 

A year ago the U.N. Security Council made it easier for Libya to obtain non-lethal equipment such as bulletproof vests and armored cars but expressed concern at the spread of weapons from the country to nearby states.

 

The U.N. experts expressed concern about arms flowing into the civilian market in Libya in violation of the arm embargo. The report found that a number of shops openly sell small arms and that weapons on display were brand new.

 

"Retailers explained that most of the materiel was procured for Turkey because of low prices," said the experts, adding that Turkey was investigating the claims. "New guns are also advertised on Facebook pages dedicated to trade between private individuals."

 

Facebook Inc and its photo sharing subsidiary, Instagram, announced last week that they will delete posts offering to buy or sell guns without background checks.

 

"Handguns and related ammunition are still the weapon of choice," according to the report. "Importing such materiel is therefore a lucrative business and seizures bound for Libya made in 2013 clearly reflect that trend."

 

The full Panel of Experts report can be seen here

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 13:45
source BBC Africa

source BBC Africa

 

08.03.2014 par RFI
 

L’Algérie et le Mali vont relancer leur coopération sécuritaire dans les zones transfrontalières. C’est ce qu’à annoncé le ministre malien de la Défense, Soumeylou Boubeye Maïga, à la fin d’une visite de travail à Alger. Une coopération relancée au moment où le roi du Maroc achève une grande tournée d’influence en Afrique de l’Ouest.

 

Le Mali n’arrivait plus à contrôler ses régions frontalières avec l’Algérie. La coopération avec Alger a dû être suspendue. Désormais, elle peut reprendre. Et son principal objectif sera la lutte contre le trafic. Voilà ce qu’a annoncé ce samedi le ministre malien de la Défense.

Une commission est chargée d’organiser la coopération militaire entre les deux pays. Alger et Bamako évoquent également un échange de formations et des opérations militaires conjointes.

C’est la deuxième visite des officiels maliens chargé de la sécurité en mois de deux mois à Alger. Le 19 janvier, le président Ibrahim Boubacar Keïta avait fait le déplacement.

 

Au moment où le roi du Maroc achève sa tournée en Afrique de l'Ouest

Côté Algérien, on insiste : c’est Bamako qui a demandé de l’aide aux Algériens pour trouver une solution au conflit dans le nord du pays. Et la coopération s’intensifie.

Des déclarations qui interviennent alors que le roi du Maroc achève une tournée d’un mois en Afrique de l’Ouest. Ces dernières semaines, c’est bien Mohamed VI qui a donné à voir son influence auprès des Maliens. Une influence politique mais aussi économique qui pourrait gêner Alger. Selon la presse algériene, depuis plusieurs mois, les deux pays sont dans une nouvelle lutte d’influence sur le continent africain.

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 07:45
Le Mali remet son armée à niveau

 

 

10-03-2014 par RFI

 

Outre la formation des hommes de troupe actuellement assurée par les instructeurs de pays de l'Union européenne, le ministère malien de la Défense vient de lancer une formation en interne de quelques milliers de militaires.

 

La formation professionnelle en interne fait partie des fondamentaux d’une armée régulière. Or depuis 2008, les militaires maliens n’ont pas subi ces cycles de formation. Celles-ci se déroulent actuellement dans au moins six localités du Mali et dans plusieurs domaines : les transmissions, l’infanterie, les blindés. À cause de la situation dans le nord du pays, un des cycles de formation est intitulé : « face au risque terroriste ».

 

Jusqu’au mois de janvier 2015, 8 000 militaires, tous corps confondus, sont donc concernés par cette véritable remise à niveau qui doit déboucher sur l’élaboration d’un plan de carrière dans l’armée malienne. On ne devrait donc plus voir des capitaines mystérieusement bombardés généraux sans avoir mis les pieds dans une école de guerre, ou des sous-officiers porter du jour au lendemain des galons d’officiers. Malgré la crise économique, c’est le budget national qui prend en charge le coût financier de l’opération : environ 2 milliards de FCFA.

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7 mars 2014 5 07 /03 /mars /2014 17:45
Mali : l’Unité de distribution en produits de santé

 

06/03/2014 Sources : EMA

 

Du 28 février au 5 mars 2014, plus d’une demi-tonne de médicaments et de matériels médicaux stériles a été acheminée depuis la France vers le camp Damien Boiteux à Bamako. Ces médicaments et ces produits stériles seront redistribués dans les différents postes médicaux de la force Serval.

 

L’UDPS travaille en partenariat avec la Direction des approvisionnements en produits de santé des Armées (DAPSA), qui est basée au nord d’Orléans. Elle assure la livraison des médicaments en France et à l’étranger.

 

Au Mali, la pharmacie gère les stocks, réalise les commandes et approvisionne les différentes entités militaires basées sur le théâtre (Gao, Ansongo, Kidal, Tessalit…). La pharmacie du camp Damien Boiteux possède un stock qui lui permet de fonctionner au minimum deux mois de façon autonome. Certains produits, tels que les poches de sang, sont en revanche rapidement périssables et doivent être changés toutes les trois semaines.

 

Les militaires français déployés sur le sol malien poursuivent une mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

Mali : l’Unité de distribution en produits de santéMali : l’Unité de distribution en produits de santé
Mali : l’Unité de distribution en produits de santé
Mali : l’Unité de distribution en produits de santéMali : l’Unité de distribution en produits de santé
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7 mars 2014 5 07 /03 /mars /2014 16:45
Adrar-des-Ifoghas-mountains-source-BBC

Adrar-des-Ifoghas-mountains-source-BBC

 

07 March 2014 defenceWeb (Reuters)

 

French and Malian forces have killed about 10 suspected Islamist fighters during an operation in northern Mali's mountainous Adrar des Ifoghas region, French army spokesman Gilles Jaron said on Thursday.

 

Confirming comments made by French Defence Minister Jean-Yves Le Drian earlier on Thursday, armed forces spokesman Gilles Jaron said the militants had been spotted by a drone.

 

Air units were immediately called in to intervene, he said.

 

A French-led offensive in January 2013 drove out Islamist militants who had seized control of northern Mali. Small groups of fighters loyal to Islamist groups including the Movement for Unity and Jihad in West Africa and al Qaeda in the Maghreb still operate in the desert region, carrying out periodic attacks.

 

"We discovered about a dozen jihadists that were handling rocket launchers around a weapons' cache in the Adrar," Le Drian told Le Figaro, describing the incident which took place on Tuesday night.

 

According to the newspaper it was one of the first successful missions by U.S.-made Reaper unarmed surveillance drones, which Paris bought at the end of last year to replace its EADS-made Harfang drones.

 

"This shows that there are a number of jihadist networks that are seeking to hide out," Jaron said.

 

France is winding down its troop presence in Mali to 1,000 soldiers as a 12,000-strong U.N. mission comes into force.

 

However, Paris, which now has about 1,600 troops in Mali has said it will redeploy its forces across the region to counter Islamist militancy.

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7 mars 2014 5 07 /03 /mars /2014 16:45
Priorité 1 pour la sécurité !

7 mars 2014 Belgian Defense

 

Les recrues maliennes marchent dans le camp d'entraînement situé dans la ville de Koulikoro. Elles se préparent à lutter contre l'agitation qui perturbe le nord de leur pays. Raison pour laquelle, l'Union européenne y a envoyé des instructeurs. Afin de pouvoir mener leur tâche à bien, la sécurité est une priorité. Les instructeurs peuvent compter sur l'appui d'un détachement belge du Bataillon 12e de Ligne Prince Léopold- 13e de Ligne de Spa.

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7 mars 2014 5 07 /03 /mars /2014 14:45
Serval : opération anti-terroriste dans les Ifoghas

La force Serval a engagé une action combinée impliquant un drone Reaper, des Mirage 2000D ainsi que des hélicoptères de type Tigre. - Crédit: DGA

 

06/03/2014 Sources : EMA

 

Dans la nuit du mardi 4 au mercredi 5 mars 2014, les forces françaises ont conduit une opération combinée qui a permis de neutraliser un groupe d’une dizaine de terroristes dans l’Adrar des Ifoghas.

 

Le 4 mars dans l’après-midi, la force Serval a décelé la présence d’individus suspects qui progressaient dans la vallée de l’Amettetaï. Cette région, comme toutes celles susceptibles de servir d’abri aux terroristes, est une zone d’intérêt couverte par les moyens de renseignement français. Ces derniers ont permis d’identifier les membres de ce groupe comme des terroristes. Ils étaient entre autres armés de roquettes de 122mm, dont l’une a été mise à feu.

 

La force Serval a engagé une action combinée impliquant un drone Reaper, des Mirage 2000D ainsi que des hélicoptères de type Tigre. Elle a conduit à la neutralisation de ce groupe.

 

L’ensemble des capacités de renseignement et de combat présentes dans la région apporte souplesse et réactivité aux forces françaises pour conduire des opérations d’opportunité de ce type.

 

1600 militaires français sont présents sur le sol malien et poursuivent la mission de lutte contre les groupes armés terroristes tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

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7 mars 2014 5 07 /03 /mars /2014 14:45
Serval : point de situation du 6 mars 2014

 

07/03/2014 Sources : EMA

 

Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec environ 65 sorties, dont 25 effectuées par les avions de chasse. 20 sorties ont été dédiées aux missions de transport et une autre vingtaine aux missions de renseignement et de ravitaillement.

 

Les mouvements de relève de la force Serval, en particulier entre Korrigan et Vercors (groupement tactique désert, GTD), sont achevés. Près de 1600 militaires français sont désormais présents sur le sol malien et poursuivent la mission de lutte contre les groupes armés terroristes tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

 

En marge des patrouilles et opérations de contrôle de zone quotidiennes, le général de brigade Benoit Houssay, général adjoint des opérations de la force SERVAL, s’est rendu à Tessalit le 1ermars pour rencontrer les deux détachements de liaison et d’appui opérationnel (DLAO) et leurs forces armées partenaires (FAMA et MINUSMA). Les DLAO sont engagés régulièrement en mission de patrouille ou de contrôle de zone aux côtés des militaires maliens et africains dans le Nord Mali.

 

A Tessalit le 2 mars vers midi, une détonation a été entendue à une centaine de mètres au nord-est (plateau de Batal) du camp où sont stationnés les DLAO. Il s’agissait de l’explosion d’une roquette de 122 mm qui n’a fait ni dégât ni victime. Ce mode d’action des groupes armés terroristes illustre leur volonté de marquer les esprits, sans disposer pour autant des capacités à engager le combat. Les deux DLAO ont été engagés dans des patrouilles avec les forces armées maliennes (FAMA) et la MINUSMA dans la zone présumée du départ du coup distant d’une dizaine de kilomètres pour conduire des actions de reconnaissance. Le 3 mars, l’escadron du GTIA Vercors (Azur) a été engagé avec une unité FAMA dans la zone du plateau de Batal pour y reconnaitre une zone d’implantation d’un poste de surveillance permanent. Les militaires français ont ainsi facilité l’installation de leurs homologues maliens en leur apportant leur appui et leurs conseils.

 

Le 4 mars dans l’après-midi, la force Serval a décelé la présence d’individus suspects qui progressaient dans la vallée de l’Amettetaï. Cette région, comme toutes celles susceptibles de servir d’abri aux terroristes, est une zone d’intérêt couverte par les moyens de renseignement français. Ces derniers ont permis d’identifier les membres de ce groupe comme des terroristes. Ils étaient entre autres armés de roquettes de 122mm, dont l’une a été mise à feu. La force Serval a engagé une action combinée impliquant un drone Reaper, des Mirage 2000D ainsi que des hélicoptères de type Tigre. Elle a conduit à la neutralisation de ce groupe.

 

Enfin, la force Serval a reçu la visite le 28 février à Bamako de Madame Najat Vallaud Belkacem, porte-parole du Gouvernement et ministre des Droits de la femme puis c’est le député-maire de Grenoble, monsieur Michel Destot, membre de la commission des affaires Etrangères de l’Assemblée Nationale, qui a allé retrouver les soldats des troupes de montagne déployés à Bamako et Gao ou sur le terrain à Ansango avec les hommes du DLAO.

Serval : point de situation du 6 mars 2014
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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 12:45
Mali : visite du général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées

 

 

04/03/2014 Sources : EMA

 

Le 27 février 2014, dans le cadre de sa prise de fonction, le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, s’est rendu au Mali pour y rencontrer les soldats français déployés en opération.

 

La première étape de cette visite a été consacrée aux instructeurs de la mission européenne de formation de l’armée malienne (EUTM). Sur le camp de Koulikoro, le CEMA a ainsi pu prendre la mesure de la coopération qui s’est développée entre les différentes nationalités représentées au sein de la mission EUTM et les forces armées maliennes, bien décidées à profiter de l’instruction dispensée pour renforcer leur capacité opérationnelle.

 

Plus tard, devant les soldats de la force Serval stationnés sur le camp Boiteux à Bamako, le général d’armée de Villiers a rappelé l’importance des opérations en cours, tout en soulignant la nécessité d’en prolonger les effets en renforçant la sécurité de la bande sahélo-saharienne. Dans son adresse aux troupes, il a par ailleurs tenu a saluer le travail accompli depuis les premiers jours de l’opération: « le combat mené ici au Mali est difficile, mais c’est un combat à la mesure du soldat français : un soldat professionnel, aguerri, qui maîtrise tous les savoir-faire ».Mais au-delà du discours, il a surtout souhaité aller à la rencontre des hommes et des femmes de Serval pour qu’ils lui livrent directement leur appréciation du terrain.

 

Le CEMA a terminé sa visite à Bamako en rencontrant l’ambassadeur de France, les autorités maliennes ainsi que celles de la MINUSMA, avant de rejoindre dans la soirée la force Sangaris déployée en République Centrafricaine.

 

Les militaires français actuellement présents sur le sol malien poursuivent une mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

Mali : visite du général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées
Mali : visite du général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des arméesMali : visite du général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées
Mali : visite du général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées
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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 07:45
Serval : Actions civilo-militaires à Tessalit

 

28.02.2014 EMA / ECPAD

 

Le 9 février 2014, les soldats du détachement de liaison et d’appui opérationnel (DLAO) de Tessalit ont appuyé une action de coopération civilo-militaire (CIMIC) dans la ville.

Ce genre d’action s’inscrit dans le cadre d’une normalisation et d’une relance du développement dans la région du nord du Mali. Les équipes CIMIC de Serval et le DLAO agissent en soutien de la MINUSMA pour la mise en œuvre de ce volet développement.

 

Reportage photos

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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 10:45
Serval : point de situation du jeudi 27 février

 

 

28/02/2014 Sources : EMA

 

Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec environ soixante-cinq sorties, dont une vingtaine effectuées par les avions de chasse. Trente sorties ont été dédiées aux missions de transport et quinze aux missions de renseignement et de ravitaillement.

 

Les opérations au sol se poursuivent également avec près d’une trentaine de patrouilles exécutées par le groupement tactique interarmes (GTIA) Vercors dans la région de Gao élargie et des opérations de contrôle de zone dans la région de Bourem.

 

Les détachements de liaison et d’appui opérationnel (DLAO) poursuivent également leurs missions d’appui des FAMA et de la MINUSMA : des patrouilles ont été organisées dans les régions de Tombouctou, de Kidal et d’Ansongo.

 

Le jeudi 20 février, dans la région de Tessalit, des tirs d’armes légères (7,62 mm) ont visé une patrouille d’hélicoptères en mission de reconnaissance. La Gazelle qui a été ciblée par ces tirs n’a pas subi de dommage matériel important et a pu se poser sans heurt en fin de mission. Son chef de bord blessé à la main, a rapidement été pris en compte par le service de santé des armées avant d’être évacué et opéré le jour même sur Gao. Son état est aujourd’hui stable. Le militaire a été rapatrié en France dès le lendemain.

 

Le mercredi 26 février, les EOD (Explosive Ordonance Disposal) du DLAO 2 sont intervenus près de l’aéroport de Kidal suite à l’explosion d’un engin explosif improvisé (IED) au passage du véhicule d’une ONG.

 

Enfin, le jeudi 27 février, le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, est venu inspecter le camp Damien Boiteux à Bamako. Il s’agissait d’une première étape dans ses inspections des différents théâtres d’opérations. Il s’agissait aussi de rencontrer les troupes françaises déployées en Afrique et les différents partenaires politiques et militaires de la région. Le CEMA a ensuite rejoint dans la soirée la force Sangaris stationnée en République Centrafricaine.

 

Le GTIA Vercors, basé sur la plateforme opérationnelle Désert (PFOD) de Gao,  approfondit la connaissance de sa zone des opérations.

 

Environ 2300 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

Serval : point de situation du jeudi 27 févrierServal : point de situation du jeudi 27 février
Serval : point de situation du jeudi 27 février
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27 février 2014 4 27 /02 /février /2014 12:45
Beau bilan pour le BATLOG Normandie-Provence

 

 

26/02/2014 Armée de Terre

 

21 février 2014 : la mission du bataillon logistique Normandie-Provence, armé par le 2e régiment de matériel (2e RMAT) et  projeté au Mali dans le cadre de l’opération SERVAL, touche à sa fin. Malgré les conditions difficiles et éprouvantes, les hommes et les femmes qui le composent ont toujours su répondre aux exigences opérationnelles et démontrer leurs qualités de soldats.

 

« Provenant de 75 formations, avec plus de 200 spécialités différentes, vous avez réussi à bâtir un solide et courageux bataillon, soudé et parfaitement intégré dans la manœuvre opérationnelle », a déclaré le chef de corps, le colonel de Roquefeuil. Après quatre mois de présence sur le sol malien, il est l’heure du bilan : 1 350 personnes engagées, 2 560 tonnes transportées et 2 165 637 km parcourus, 400 réparations effectuées, 3 080 consultations, 55 opérations chirurgicales,  155 000 repas servis et 70 000 rations distribuées…  Autant de chiffres qui démontrent toute l’importance de la logistique sur les théâtres d’opérations extérieures. Le BATLOG Normandie-Provence aura écrit une belle page de l’histoire de la logistique française au Mali. La relève est désormais assurée par le bataillon logistique Camargue, armé par le 503e régiment du train.

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 11:45
10000 heures de vol du drone Harfang

 

24/02/2014 Actus Air

 

Engagé depuis le 17 janvier 2013 en soutien des opérations françaises au Mali, l’escadron de drones 1/33 « Belfort » a passé dans la nuit du 15 au 16 février 2014 la barre symbolique des 10000 heures de vol du système intérimaire de drone MALE* (SIDM) Harfang.

 

Cet événement représente une étape majeure dans l’histoire des drones de l’armée de l’air en général et de l’escadron de drones 1/33 « Belfort » et de son personnel, en particulier. L’histoire retiendra que c’est un avion de l’escadrille d’Antoine de Saint-Exupéry, la SAL-33 « la hache » d’Alfred Bordage, centenaire cette année, qui a effectué ce vol historique en opérations extérieures juste après celui du premier vol du Reaper.

 

Ces 10000 heures de vol constituent un capital d’expérience accumulé au cours des différentes opérations des dernières années. Cet événement est concomitant avec un autre passage symbolique le 12 février dernier, celui des 3000 heures de vol au profit de l’opération Serval. Les drones de l’armée de l’air ont ainsi effectué, depuis leurs premiers engagements opérationnels en 2009, plus de 900 missions opérationnelles de renseignement, de surveillance et d’appui aux opérations dont le guidage de bombes de précision tirées par d’autres aéronefs.

 

Avec l’arrivée du Reaper dont la mise en service opérationnelle a déjà été prononcée, les armées disposent d’une capacité renforcée pour appuyer ses opérations dans la bande sahélo-sahélienne (BSS) au moyen de ses drones ISR (Intelligence, surveillance, reconnaissance).

 

*MALE : moyenne altitude longue endurance

10000 heures de vol du drone Harfang
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23 février 2014 7 23 /02 /février /2014 08:45
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 20 février

 

21/02/2014 Sources : EMA

 

Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec environ 70 sorties, dont 25 effectuées par les avions de chasse. 30 sorties ont été dédiées aux missions de transport et 15 aux missions de renseignement et de ravitaillement.

 

Les 14 et 15 février 2014, le général de brigade Benoît Houssay, général adjoint opérations de la force interarmées Serval a effectué une visite sur la plateforme opérationnelle Désert (PFOD) de Gao ainsi qu’au détachement de liaison et d’assistance opérationnelle (DLAO) basé à Ansango. L’objectif de cette visite était de rencontrer les unités de la PFOD nouvellement arrivées, suite aux mouvements de relèves, dont le groupement tactique interarmes (GTIA) Vercors qui vient de succéder au GTIA Korrigan.

 

Le 17 février, vingt six véhicules de liaison de reconnaissance et d’appui (VLRA) en provenance d’Abidjan ont été acheminés à Gao pour armer le GTIA Vercors. La mise en place de ces VLRA fait suite à une expérimentation menée début septembre 2013. Huit VLRA de la force Licorne, en Côte d’Ivoire, avaient été engagés dans le cadre de l’opération Serval et affectés à deux sections d’infanterie. Parfaitement adaptables au désert, les VLRA offrent une très bonne motricité dans le sable et s’enlisent peu. De plus, chaque VLRA est équipé d’un réservoir d’eau ce qui permet une autonomie de déplacement dans le désert.

 

Faisant suite à une première action de coopération civilo-militaire (CIMIC) menée à Tessalit les 11 et 12 février, les équipes CIMIC de la force Serval se sont rendues du 17 au 19 février dans les villes d’Anéfis et d’Aghelok. Ces actions s’inscrivent dans le cadre d’une normalisation et d’une relance du développement dans la région du nord du Mali. A Anéfis et Aghelok la force était accompagnée des acteurs locaux, du président du conseil général de Kidal, des maires des deux villes, d’officiers de la MINUSMA et des forces armées maliennes (FAMA.) Cette visite a été l’occasion d’étudier les propositions faites par les mairies, les associations et la population dans les domaines des travaux publics, du maraîchage, de la prévention sanitaire et de l’éducation. Les équipes CIMIC de Serval agissent en soutien de la MINUSMA sur la mise en œuvre de ce volet de développement.

 

Le 18 février, pour commémorer la date d’anniversaire de la fondation du Conseil international du sport militaire (CISM), cinquante militaires de la force Serval ont participé au «CISM DAY RUN», un cross amical de 8 km dans les rues de Bamako organisé par les Forces Armées Maliennes (FAMa). A leurs côtés, se trouvaient les militaires engagés dans la mission EUTM Mali et celle de la MINUSMA. Au total plus de 500 participants ont répondu présents pour symboliser « l’amitié par le sport » chez les militaires de l’ensemble des nationalités œuvrant pour la stabilité sécuritaire du Mali.

 

Le 19 février, le bataillon logistique (BATLOG) Camargue, armé par le 503e  régiment du train (503e RT), a succédé au BATLOG Normandie-Provence, armé par le 2e  régiment du matériel (2e RMAT). Le colonel Renaut, chef de corps du 503e RT succéde au colonel de Roquefeuil, chef de corps du 2e RMAT, à la tête du BATLOG.

 

Les 19 et 20 janvier, le président permanent du Conseil européen, M. Herman Van Rompuy, a effectué une visite à Bamako. Une occasion de faire le point sur la coopération entre le Mali et l’Union européenne et d’évoquer avec le président Ibrahim Boubacar Keita, ainsi que les autorités maliennes, la question cruciale du dialogue de paix nationale et du processus de réconciliation. Le 20 janvier, accompagné d’une délégation d’une dizaine de personnes, M. Van Rompuy s’est rendu au camp Damien Boiteux pour s’entretenir avec le général de brigade Benoit Houssay sur la situation et les perspectives militaires au Mali.

 

Environ 2300 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 20 février
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 20 février
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 20 février
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 20 février
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 20 février
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 20 février
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 20 février
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 20 février
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 20 février
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 20 février
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 20 février
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 20 février
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23 février 2014 7 23 /02 /février /2014 08:45
La brigade franco-allemande confirmée à la tête d'EUTM Mali

 

19.02.2014 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord. – Défense Globale

 

Le Conseil franco-allemand des ministres de ce mercredi 19 février a confirmé que la brigade franco-allemande prendrait des responsabilités dans la mission européenne de formation de l'armée malienne, EUTM Mali.

 

Pour le reste, ce conseil a milité dans ses conclusions pour le rapprochement des analyses stratégiques et la coordination systématique des décisions importantes dans le domaine de la politique étrangère et de défense ; des déplacements conjoints des Ministres ; la participation des ministres des Affaires étrangères au Conseil des ministres de l’autre partie.

 

On encourage également le soutien au développement d’une nouvelle génération de drones de surveillance, le renforcement des partenariats industriels et technologiques. Ainsi que le développement de l’interopérabilité entre les deux forces armées et des coopérations renforcées entre les deux communautés du renseignement.

 

« La France et l’Allemagne ont décidé d’engager des éléments de la BFA au Mali : ce premier déploiement dans le cadre de l’UE et sur un théâtre africain incarnera leur engagement commun pour la stabilisation de la région », précise un communiqué du Conseil franco-allemand diffusé par le ministère français des Affaires étrangères.

 

La BFA, basée à Mullheim en Allemagne (avec des Français au sein du quartier général), regroupe environ 4 800 hommes des deux côtés du Rhin. Des éléments de la BFA ont déjà participé à des opérations extérieures en Afghanistan et au Kosovo.

 

Au moment où la France a décidé de remplacer son régiment d'infanterie de la brigade franco-allemande (dissolution du 110e RI de Donaueschingen cet été, environ 75 % de l'effectif connaît sa nouvelle affectation, remplacement par le 1er RI de Sarrebourg), cette implication (certes mesurée) est à prendre compte. L'Allemagne semble vouloir assumer plus de responsabilités internationales. La France ne s'en plaindra pas...

 

Pour l'instant, la mission EUTM Mali a impliqué à des degrés divers vingt-trois Etats-membres de l'Union européenne : Autriche, Belgique, Bulgarie, République tchèque, Estonie, Finlande, France, Allemagne, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Letonnie, Lituanie, Luxembourg, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Slovénie, Espagne, Suède et Royaume-Uni. Son commandant est actuellement le général de brigade Bruno Guibert.

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19 février 2014 3 19 /02 /février /2014 13:45
Serval : visite du général adjoint opérations

 

19/02/2014 Sources : EMA

 

Les 14 et 15 février 2014, le général de brigade Benoît Houssay, général adjoint opérations, a effectué une visite sur la plateforme opérationnelle Désert (PFOD) de Gao ainsi qu’au détachement de liaison et d’assistance opérationnelle (DLAO) 3 basé à Ansongo, à une centaine de kilomètre au sud de Gao.

 

L’objectif de cette visite était de rencontrer les unités de la PFOD nouvellement arrivées au Mali, dont le GTIA Vercors qui vient de succéder au GTIA Korrigan.

 

Après une visite du nouveau centre opérations, du bataillon logistique et du sous-groupement aéromobile, il s’est rendu dans les zones de vie des unités élémentaires afin d’échanger avec l’encadrement et les militaires présents.

 

Environ 2300 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

Serval : visite du général adjoint opérations
Serval : visite du général adjoint opérations
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18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 22:45
Des soldats suédois au Mali et en RCA?

 

18.02.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Le ministre des Affaires étrangères de Suède, Carl Bildt, a confirmé que son pays étudiait l'envoi de troupes de combat dans deux pays d'Afrique pour y soutenir les missions de paix de l'Onu.

k3_undbat.jpgAu Mali, quelque 200 soldats d'une unité de reconnaissance basée à Karlsborg (le underrättelsebataljonen) pourraient être déployés à Tombouctou. Voir le patch de ce bataillon ci-contre.

En RCA, les Suédois envisagent de fournir un petit contingent de 50 soldats des forces spéciales. Ces troupes rejoindraient la RCA vers le mois de juin.

Un texte sera présenté au Parlement pour approbation dans les semaines qui viennent.

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