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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 13:30
HAFEET Air Defence Vehicle - photo MBDA

HAFEET Air Defence Vehicle - photo MBDA

 

Feb 23, 2015 defense-aerospace.com

(Source: MBDA; issued Feb 22, 2015)

 

ABU DHABI --- MBDA and NIMR Automotive LLC, a light-medium weight military vehicle manufacturer based in Abu Dhabi, UAE and part of the Emirates Defence Industries Company (EDIC), an integrated national defence and services manufacturing platform, have entered into a commercial partnership to address a requirement of the Emirates Defence Forces for a high efficiency V-SHORAD air defence system.

The new HAFEET ADV proposed by the two companies features the MBDA MPCS (Multi-Purpose Combat System including a turret, sensors, IFF, Mistral missiles, command & firing posts and shelter equipment) that would be installed on NIMR’s latest HAFEET 640A all-terrain light armoured vehicle platform.

The combination of the MPCS equipped with MBDA’s latest generation Mistral missiles and of the NIMR vehicle would provide an unmatched mobile air defence capability allowing protection of convoys, armoured brigades in their manoeuvers as well as any land infrastructure or assets.

The two companies have already completed preliminary engineering studies and are in the stage of integrating the full system if ordered. Most of the HAFEET ADV components already exist and are modular.

Already in service in several forces in the world, the MPCS turret comprises a gyro-stabilized day/thermal sensor suite with integrated laser rangefinder. With four ready-to-fire, fire and forget, IR Mistral missiles, the HAFEET ADV enables the interception of a large spectrum of threats (high manoeuvering fighters, combat helicopters, UAV, UCAV, cruise missiles) at ranges exceeding 6 km and altitudes up to 5,000 m.

NIMR CEO Dr Fahad Saif Harhara stated “The HAFEET ADV concept is based on NIMR 6x6 tactical platform which combines high levels of mobility and protection to provide a multi-role platform for a broad spectrum of mission requirements”.

The MPCS system allows for low crew workload and short reaction time to provide Air Defence Forces with an outstanding high fire power against stressing attacks: a unit of six HAFEET ADVs can engage up to 24 different targets coming from any direction in less than 20 seconds with a reload capability of 48 Mistral missiles (8 additional Mistral missiles inside the HAFEET ADV shelter).

The HAFEET ADV can be operated in autonomous mode or in coordinated mode with MBDA’s latest generation of MCP (Mistral Coordination Post) equipped with 3D radar.

HAFEET ADV can be operated by a two or three man crew including a team leader and is air transportable.

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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 12:30
photo F. Robineau / Dassault Aviation

photo F. Robineau / Dassault Aviation

 

17 février 2015 par  Jacques Marouani - electroniques.biz

 

Au sein du GIE Rafale, ce sont 7000 salariés qui sont concernés chez ces trois équipementiers, qui coopèrent par ailleurs avec 500 entreprises sous-traitantes.

 

Thales, Dassault et Snecma (groupe Safran) seront les principaux bénéficiaires de la sélection de l’avion de combat omnirôle Rafale et de la frégate multi-missions Fremm par l’Égypte pour équiper les forces armées de ce pays. Au sein du GIE Rafale, ce sont 7000 salariés qui sont concernés chez ces trois équipementiers, qui coopérent par ailleurs avec 500 entreprises sous-traitantes.

 

Thales estime que les systèmes et équipements qu'il fournit pour le Rafale représentent environ 25% de leur valeur totale du Rafale et 20% de la Fremm.

 

1600 salariés sont concernés à l'usine Thales de Brest qui emploie 1600 personnes, dont 1000 ingénieurs. Celle-ci produit l'un des systèmes de pointe du Rafale.

 

L'officialisation de la vente de 24 appareils à l'Egypte est aussi une excellente nouvelle pour le site Thales d'Etrelles (Ile-et-Vilaine), près de Rennes, qui manquait de contrats à l'export. Une partie des radars équipant le Rafale sera produite dans cette usine. Le site d'Etrelles conçoit notamment le module intégré dans le nez de l'avion. Un composant qui améliore la détection des cibles et élargit le champ de vision. Il est aussi utilisé dans le guidage des missiles.

 

Selon "Le Monde", l'ensemble du contrat est évalué à 5,2 milliards d’euros et comprend cinq volets différents, dont trois majeurs : la vente des 24 Rafale pour le tandem Thales- Dassault Aviation ; celle de la frégate multimission Fremm, fabriquée par DCNS ; et la vente de missiles air-air Mica et de croisière Scalp, produits par MBDA. A ces contrats principaux s’en ajoutent deux autres : l’un avec Sagem, pour les missiles air-sol 2ASM ; l’autre avec le groupe Etienne Lacroix, concernant les systèmes de leurre du Rafale.

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 10:30
Photo F. Robineau, Dassault Aviation

Photo F. Robineau, Dassault Aviation

 

16 février 2015 par Gil Roy – Aerobuzz.fr

 

Le premier contrat export du Rafale a été signé, lundi 16 février 2015, au Caire, avec l’Egypte. Il porte sur 24 exemplaires et prévoit les trois premières livraisons dès cet été. Les 3 suivantes, six mois plus tard. L’Egypte est pressée…

 

Tout est allé très vite dans ce contrat signé avec l’Egypte. Alors que Dassault a remporté l’appel d’offres indien, il y a trois ans, et que la signature du contrat d’achat de 126 Rafale (assorti de 63 options) n’a toujours pas été apposée, l’Egypte n’aura mis que trois mois pour se décider.

« L’ensemble de la profession se réjouit du succès de Dassault Aviation pour la signature du premier contrat à l’export du Rafale. Il s’agit d’un succès éclatant pour l’ensemble de l’industrie aéronautique française, tant pour Safran, Thales, MBDA, que pour les centaines de sous-traitants et fournisseurs du programme Rafale implantés dans de nombreuses régions françaises. Ce sont 7.000 emplois qui sont concernés.  », a déclaré Marwan Lahoud, Président
 du Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales (GIFAS). Thales, membre du GIE Rafale aux côtés de Dassault Aviation et de SNECMA (Safran), précise pour sa part, que sa participation représente environ 25% de la valeur totale du Rafale : « Thales équipe cet avion de combat de systèmes lui offrant une capacité multi senseur tels que le RBE2 AESA, premier radar de combat européen à balayage électronique à antenne active, le système de guerre électronique SPECTRA, l’optronique, la suite de communication, navigation, identification, l’avionique et les systèmes de génération électrique ».

 

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16 février 2015 1 16 /02 /février /2015 15:55
Tir d'un missile de moyenne portée (MMP) à DGA Techniques terrestres le 2 février 2015

Tir d'un missile de moyenne portée (MMP) à DGA Techniques terrestres le 2 février 2015

 

16/02/2015 DGA

 

La direction générale de l’armement (DGA) a réalisé avec succès le premier tir du missile de combat terrestre (missile de moyenne portée - MMP) le 2 février 2015, successeur du système d’arme Milan.

 

Effectué sur le site de DGA Techniques terrestres à Bourges, ce tir de mise au point vient confirmer l’excellente précision de la poursuite du MMP après un accrochage en vol sur une cible à plus de 4 000 mètres, masquée au départ du coup. Cette réussite est le fruit d’un travail coordonné d’acteurs étatiques (DGA et armée de terre) et industriels (MBDA France).

 

Le MMP est un missile de nouvelle génération à haute technologie. Il constitue l’un des nouveaux programmes du ministère de la Défense destinés à la modernisation de l’armée de terre au titre de la loi de programmation militaire 2014-2019.

 

Ce missile polyvalent, conçu par la société MBDA France, est en phase de développement. Le contrat de développement a été notifié par la DGA le 3 décembre 2013. Il permettra aux forces de neutraliser les différents types de cibles rencontrés sur l’ensemble des théâtres d’opérations avec une grande précision, tout en maîtrisant les dommages collatéraux et en réduisant leur vulnérabilité pendant le tir. La date de livraison de ce système dans les forces est prévue en 2017.

 

D’autres campagnes d’essais du MMP sont d’ores et déjà programmées à DGA Techniques terrestres au cours du premier trimestre 2015.

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 08:56
photo Laurent Guichardon MBDA

photo Laurent Guichardon MBDA

 

12/02/2015 DGA

 

 

Lundi 2 février 2015, la Direction générale de l’armement (DGA) a réalisé avec succès le premier tir du missile de combat terrestre (Missile de moyenne portée - MMP), successeur du système d’arme MILAN.

 

Effectué sur le site de DGA Techniques terrestres à Bourges, ce tir de mise au point vient confirmer l’excellente précision de la poursuite du MMP après un accrochage en vol sur une cible à plus de 4.000 mètres, masquée au départ du coup. Cette réussite est le fruit d’un travail coordonné d’acteurs étatiques (DGA et armée de terre) et industriels (MBDA France).

 

Le MMP est un missile de nouvelle génération à haute technologie. Il constitue l’un des nouveaux programmes du ministère de la Défense destinés à la modernisation de l’armée de terre au titre de la Loi de programmation militaire 2014-2019.

 

Ce missile polyvalent, conçu par la société MBDA France, est en phase de développement. Le contrat de développement a été notifié par la DGA le 3 décembre 2013. Il permettra aux forces de neutraliser les différents types de cibles rencontrés sur l’ensemble des théâtres d’opérations avec une grande précision, tout en maîtrisant les dommages collatéraux et en réduisant leur vulnérabilité pendant le tir. La date de livraison de ce système dans les forces est prévue en 2017.

 

D’autres campagnes d’essais du MMP sont d’ores et déjà programmées à DGA Techniques terrestres au cours du premier trimestre 2015.

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12 février 2015 4 12 /02 /février /2015 16:55
photo Laurent Guichardon MBDA

photo Laurent Guichardon MBDA

 

Monday, 2nd February 2015 : by MBDA

 

The French Defence Procurement Agency (Direction Générale de l’Armement) successfully carried out the first firing of MMP (Missile de Moyenne Portée or Medium Range Missile), the successor to the Milan weapon system. Carried out at the DGA Techniques Terrestres site in Bourges (central France), the firing test served to confirm MMP’s excellent accuracy in locking onto a target at a distance of more than 4,000m and that was hidden from view at launch. This success is the result of the coordinated efforts of both state (DGA and French Army) and industrial (MBDA France) participants.

 

MMP is a high technology, new generation missile forming one of the French MoD’s new programmes within the Military Planning Act 2014-2019 aimed at modernising the French Army.

 

This versatile missile, conceived by MBDA France, is currently in its development phase following the notification of a development contract by the DGA on 3rd December 2013. It will enable the armed forces to neutralise, with a high level of precision, the many different types of target that might be confronted during operations, ensuring that collateral damage is kept to a minimum and at the same time maximizing the safety of the operator. The delivery date of the system to the French Army is scheduled for 2017.

 

Further test firings have already been programmed by the DGA Techniques Terrestres to take place during the first quarter of 2015.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 17:50
photo  MBDA - Laurent Guichardon

photo MBDA - Laurent Guichardon

 

09/02/2015 by MBDA

 

At the beginning of December 2014, MBDA delivered the first PCP (Platoon Command Post) and IMCP (Improved Missile Control Post) air defence command and control (C2) systems destined for an export customer. Production of the remaining systems currently under order will be spread over the next two years.

 

These PCP and IMCP systems will form the first air defence sections enabling the operation and coordination of Mistral and/or VL MICA systems. The PCP module is used for the command and control of multi-layered surface to air units. It provides the interface with systems or other sources responsible for coordinating the air space as well with other PCP modules deployed in neighbouring zones. Equipped with the latest 3D radar capable of detecting and identifying aerial targets at ranges of up to 80km, the IMCP module provides the detection, identification and target tracking functions for PCP.

 

At the heart of the range of surface to air C2 systems offered by MBDA, the combination of the new PCP and IMCP systems will allow a greater flexibility in adapting the number and kind of effectors to meet the requirements posed by the particular threat and the mission.

 

With 70,000 surface to air missiles, more than 4,000 firing units and around 2,000 C2 systems sold over the last 50 years, MBDA covers all the elements of an air defence system.

 

Antoine Bouvier, MBDA’s Chief Executive Officer, said : “ The PCP and MCP systems which we are delivering today are at the forefront of C2 technology. The fact that MBDA is able to deliver these first units within the timeframe announced at the launch of the programme in 2011, is another proof of the company’s unequalled experience in the air defence domain”

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 12:55
photo Laurent Guichardon - MBDA

photo Laurent Guichardon - MBDA

 

10/02/2015 par Marek Boudeville - Air  & Cosmos

 

MBDA annonce avoir livré début décembre 2014 pour la première fois à un client export non dévoilé un PCP ( poste de commandement pour défense aérienne) et un IMCP ( poste de contrôle de missiles améliorés). Les PCP et  IMCP permettront de coordonner un système de défense aérienne mettant en œuvre des missiles sol-air Mistral et Mica.

 

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 11:55
Le classement des entreprises qui ont profité des milliards de la défense en 2014

Selon le chiffre encore provisoire de la DGA, le montant des exportations a atteint 8,06 milliards d'euros en 2014. (Crédits : DCNS)

 

10/02/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

En 2014, DCNS a été l'industriel de la défense qui a le plus profité des paiements du ministère de la Défense (2,14 milliards d'euros). Le groupe naval est suivi de près par Airbus Group (1,9 milliard) et le CEA (1,94 milliard).

 

C'est DCNS, qui a décroché en 2014 le pompon dans le cadre de la répartition des paiements de la direction générale de l'armement (DGA) aux industriels de la défense. Soit 11,32 milliards au total à se partager en hausse par rapport à 2013 (10,9 milliards). L'année dernière, le groupe naval a touché 2,14 milliards d'euros de versements de la part de la DGA (contre 1,94 milliard pour Airbus Group en 2013). DCNS, qui avait déjà engrangé 1,82 milliard de paiements en 2013, continue de profiter de l'exécution de ces grands programmes : les frégates FREMM, les sous-marins nucléaire d'attaque (SNA) Barracuda ainsi que de la modernisation des SNLE (sous-marins nucléaires lanceurs d'engins) pour les adapter au dernier standard du missile nucléaire M51.3.

Airbus Group doit se contenter l'an dernier de la deuxième place, le montant des paiements de la DGA restant toutefois stable (1,97 milliard) tandis que le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) complète le podium en 2014 (1,94 milliard). Derrière ce trio de tête, suivent Thales (1,43 milliard, contre 1,47 milliard en 2013), Safran (967 millions, contre 1 milliard en 2013), l'avionneur Dassault Aviation (700 millions, contre 656 millions en 2013), le Centre national d'études spatiales (385 millions, contre 105 millions en 2013), Nexter (330 millions, contre 529 millions en 2013), MBDA (304 millions, contre 498 millions en 2013) et enfin Renault Trucks Defense (94 millions, contre 128 en 2013). Enfin, les autres entreprises se partagent 1,05 milliard d'euros. "Nous sommes au rendez-vous de la base industrielle et technologique de défense", a affirmé le délégué général pour l'armement, Laurent Collet-Billon.

 

Thales à nouveau champion de la R&T

Dans le domaine de la préparation de l'avenir dans le cadre des études amont, c'est une nouvelle fois Thales qui a terminé au premier rang des fournisseurs de la DGA (188 millions, contre 198 millions en 2013) sur un total de 774 millions d'euros investis par le ministère de la Défense (contre 776 millions en 2013). "Un montant juste suffisant", a rappelé Laurent Collet-Billon.

Safran (89 millions, contre 86 millions en 2013) et DCNS (71 millions, contre 52 millions) complètent le podium. Airbus Group (67 millions), Dassault (44 millions), MBDA (42 millions) et Nexter (10 millions) ont également engrangé des paiements de la DGA en 2014.

 

Un report de charges contenu

"Ce résultat est conforme à la loi de programmation militaire, dès sa première année. Il préserve tous les secteurs industriels de défense et permet de développer les technologies et les compétences dont nous aurons besoin demain", a estimé Laurent Collet-Billon, qui a assuré que "le démarrage de la LPM était capital". Tous les grands programmes ont été notifiés, a-t-il rappelé. Enfin, la DGA a passé des commandes majeures pour l'équipement des armées : avions ravitailleurs MRTT (Airbus Group), Scorpion (Nexter, Renault Trucks Defense et Thales), missile nucléaire M51.3 (Airbus Group) et sous-marins d'attaque (SNA) Barracuda (DCNS).

En outre, le report de charges a été stabilisé à 2,3/2,4 milliards d'euros, selon le patron de la DGA. Comment ? La DGA a mis un "léger coup de frein aux engagements", a profité de "bonnes négociations" avec les industriels et surtout a réglé aux fournisseurs une somme de 1,8 milliard d'euros avant le 10 janvier dernier. Pour 2015, Laurent Collet-Billon compte sur les sociétés de projets pour garantir la bonne exécution de la deuxième année de la LPM. "Il faut changer de logiciel sinon on va se prendre le mur budgétaire en pleine poire", a-t-il estimé. D'où le recours aux sociétés de projet, très certainement "une par matériel" : entre 4 et 6 A400M et deux ou trois frégates FREMM.

 

Des exportations à plus de 8 milliards d'euros

Selon le chiffre encore provisoire de la DGA, le montant des exportations a atteint 8,06 milliards d'euros en 2014. Soit une hausse de 17 % par rapport à 2013, qui était déjà une bonne année. Ce montant de plus de 8 milliards est seulement la seconde fois qu'il a été atteint depuis 2000 (en 2009 : 8,16 milliards grâce à l'exportation des Scorpène au Brésil). Une très belle année qui comprend notamment le contrat tripartite Donas entre l'Arabie Saoudite, le financier, le Liban, l'acheteur et la France, le vendeur pour un montant de 3 milliards de dollars... même si les contrats pour les industriels ne sont pas encore entrés en vigueur.

En outre, en moins de six mois, DCNS a vendu au Caire quatre corvettes Gowind de 2.400 tonnes, équipées de son système de combat Setis, pour un montant de 1 milliard d'euros. Airbus Space Systems et Thales Alenia Space ont réussi également à finaliser le contrat de deux satellites d'observation aux Émirats Arabes Unis (EAU) pour un montant de 700 millions d'euros. Airbus Space Systems a également vendu un satellite d'observation au Pérou pour 200 millions d'euros environ. En octobre, Thales a signé un contrat près de 200 millions d'euros portant sur la fourniture d'un système de communications militaires pour le Qatar.

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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 19:55
Tir du missile Aster 30 de la frégate Chevalier Paul - photo DGA

Tir du missile Aster 30 de la frégate Chevalier Paul - photo DGA

 

09/02/2015 DGA

 

DGA Essais de missiles, depuis son site du Levant, a conduit, le 13 janvier 2015, au profit de la marine, un tir complexe d’entraînement : le tir d’un missile Aster 30 d’entraînement depuis la frégate de défense antiaérienne « Chevalier Paul » contre une cible aérienne poursuivant un aéronef ami. L’objectif était de confirmer la capacité de discrimination et d'interception de l'Aster 30 face à deux pistes radar très imbriquées.

 

Le scénario élaboré, construit pour la marine en collaboration avec DGA Techniques navales et DGA Maitrise de l’information, a permis, notamment grâce à l’instrumentation du missile d’entraînement, de recueillir des données techniques permettant de d’observer finement la phase finale d’interception.

 

Au-delà de la priorité d’assurer la sauvegarde des biens et des personnes dans le cadre d’un scénario complexe mettant en vol trois moyens véloces dont un missile équipé d’instruments de mesures, le défi d’effectuer un vol en patrouille de deux cibles Mirach à des distances imposées et proches a été relevé par DGA Essais de missiles.

 

Ce tir a illustré les excellentes qualités du système PAAMS et du missile Aster en situations complexes, notamment pour des scénarios où amis et ennemis sont imbriqués. C’est un des rares systèmes opérationnels au monde capable d’une telle performance.

 

Le système PAAMS, développé en coopération avec l'Italie et la Grande-Bretagne, se compose d'un radar multifonctions, d'un radar de surveillance, des missiles de type Aster 15 ou Aster 30, d'un système de lancement vertical et d'un système de commandement et de contrôle. Ce système assure des missions d'autodéfense, de défense locale d'un groupe de bâtiments et de défense de zone à moyenne portée.

 

 

 

 

 

 

 

Aster 30 : Tir complexe réussi à DGA Essais de missilesAster 30 : Tir complexe réussi à DGA Essais de missiles
Aster 30 : Tir complexe réussi à DGA Essais de missiles
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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 14:35
Achat d'armes : l'Inde est-il un pays fiable ?

Armement - Le Premier ministre indien Narendra Modi va-t-il faire entrer l'Inde dans une ère moderne en matière d'acquisition d'armes?

 

09/02/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Contrats cassés, négociations qui traînent, appels d'offre annulés, exigences extravagantes... L'Inde ne ne comporte vraiment pas en pays responsable en matière d'achats d'armements.

 

Industriels cardiaques s'abstenir... Pour se lancer dans un appel d'offre en Inde dans le domaine de l'armement, il faut d'abord s'armer de beaucoup, beaucoup de patience. Mais pas que... Car l'industriel qui a gagné après une longue, très longue procédure, peut encore tout perdre. En Inde, le jeu "Qui perd gagne" en matière d'achats d'armements est très en vogue. Les groupes français ont malheureusement beaucoup subi de décisions en leur défaveur ces dernières années. En dépit de nombreux déboires, ils ont courbé l'échine face aux enjeux colossaux d'équipements en matière militaire de l'Inde, considéré comme un eldorado par les industriels de l'armement du monde entier.

Peut-être François Hollande en touchera-t-il deux mot au Premier ministre indien Narendra Modi qui se rendra en avril en France pour son premier déplacement en Europe. Les deux hommes d'État devraient discuter du renforcement du partenariat stratégique entre les deux pays et de leur coopération économique. Cette visite de deux jours se déroulera pour partie en province, a précisé Laurent Fabius à quelques journalistes après un entretien avec le Premier ministre indien à New Delhi. En attendant cette visite, tous les industriels de la planète se donnent rendez-vous au salon aéronautique Aero India 2015 (18-22 février) à Bangalore.

 

La demande extravagante de New Delhi

Le méga-contrat pour la vente de 126 avions de combat Rafale à l'Inde, en discussion depuis janvier 2012, devrait figurer en bonne place dans les discussions. Trois ans que Dassault Aviation et ses partenaires et le ministère de la Défense indien sont en négociations exclusives. En décembre dernier, un porte-parole du ministère indien de la Défense avait expliqué que sur le Rafale, "il a été décidé que tout désaccord serait résolu de manière accélérée". La France pouvait être donc rassurée...

Sauf qu'aujourd'hui les négociations sont bel et bien bloquées. Les Indiens souhaitent que les industriels français, Dassault Aviation en tête, garantissent les Rafale qui sortent des usines de HAL (Hindustan Aeronautics Limited), l'industriel étatique indien (délais, dommages...). Et à juste titre, l'avionneur refuse cette demande extravagante. Un désaccord majeur qui pourrait faire le jeu des Russes et des Britanniques, qui n'ont eu de cesse de rappeler en outre à New Delhi combien les Français ne sont pas fiables en termes de livraison. Ils font expressément référence au deux porte-hélicoptères de la classe Mistral fabriqués par DCNS pour le compte de la marine russe. Deux bâtiments dont la livraisons est bloquée par Paris en raison du conflit ukrainien.

En Inde, "tous les interlocuteurs russes des Indiens disent de nous que nous ne sommes pas fiables. Les Anglais également", expliquait en 2014 aux sénateurs un des plus hauts responsables du ministère de la Défense, le délégué général pour l'armement, Laurent Collet-Billon.

 

Des hélicoptères Fennec au système de défense aérienne SR-SAM

Des déboires, l'industrie d'armement française en a connu un certain nombre en Inde. A commencer par Dassault Aviation. Charles Edelstenne, alors Le PDG, a gardé en travers de la gorge un appel d'offre lancé par New Delhi pour des avions d'entraînement sur lequel le groupe français, qui proposait ses Alpha Jet, avait négocié... pendant vingt-deux ans, avant de jeter l'éponge. Plus récemment, l'Inde a annulé en 2007 un appel d'offres pour l'achat de 197 hélicoptères qui avait été gagné avec son modèle Fennec par Airbus Helicopter (Airbus Group). Ce contrat de 400 millions d'euros pour 197 machines pouvait monter à 1,5 milliard avec l'achat au total de 600 machines.

En 2010, New Delhi a annulé une commande portant sur l'acquisition de six avions ravitailleurs MRTT (Multi-Role Tanker Transport) d'Airbus Group en raison de de son prix élevé, contre les recommandations de l'Indian Air Force (IAF). Mais trois ans plus tard, l'Inde a à nouveau sélectionné cet appareil. Le contrat reste encore à signer. Enfin, trois ans après terminé les négociations et signé en décembre 2011, MBDA attend toujours la mise en vigueur du programme du système de défense aérien, SR-SAM (Short Range Surface to Air Missile), qui est pourtant un programme en coopération.

 

Faut-il débrancher le SR-SAM?

Ce missile sol-air de nouvelle génération doit être co-développé avec la DRDO (Defence Research and Development Organisation) et coproduit en Inde avec Bharat Dynamics Limited, estimé à 4,5 milliards d'euros, dont 1,8 milliard d'euros pour MBDA), est sur la sellette, faute de financement. Pourtant, en février 2013 à l'issue de la visite de François Hollande en Inde, un communiqué de l'ancien Premier ministre indien, Dr Manmohan Singh's avait annoncé avoir conclu avec les industriels les négociations sur le missile SR-SAM.

New Delhi a promulgué en juin 2013 de nouvelles procédures de passation des marchés de défense en plus des 30 % d'offset que les Indiens exigent pour accorder des contrats aux industriels étrangers. Des exigences qui visent notamment à développer une industrie de défense indienne robuste. Clairement, New Delhi a donné une impulsion à "l'indigénisation" des achats d'armements en donnant une plus grande préférence aux entreprises indiennes.

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3 février 2015 2 03 /02 /février /2015 20:50
MBDA : une année commerciale record en 2014 sous le signe de l'Union Jack

Premier contrat export pour le missile air-air Meteor développé par le missilier MBDA en Arabie Saoudite en 2014 (photo MBDA)

 

03/02/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

MBDA va-t-il à nouveau battre son record de commandes en 2014 ? C'est possible car le missilier, tout comme en 2013, a réalisé 4 milliards d'euros de prises de commandes, dont une majeure en Arabie Saoudite (contrat Meteor).

 

Bis repetita pour MBDA au niveau commercial. Après avoir réussi une belle année en 2013 (4 milliards d'euros, dont 2,2 milliards à l'export), le missilier européen a réédité l'année dernière sa performance commerciale. Et ce en dépit de quelques déceptions de prises de commandes attendues en 2014. Selon plusieurs sources concordantes, MBDA a toutefois réussi à engranger environ 4 milliards d'euros de commandes, dont un peu plus de 2 milliards à l'export. Des commandes qui concernent essentiellement des missiles de fabrication britannique.

En tout cas, cette performance va à nouveau ravir le PDG de MBDA, Antoine Bouvier, qui avait fixé pour 2013 un objectif à ses troupes commerciales d'avoir un ratio chiffre d'affaires, prises de commandes (le fameux book to bill) supérieur à 1. Et bingo, le groupe y parvient deux années consécutives alors que le carnet de commandes déclinait inexorablement depuis 2009. Il était même passé en 2012 pour la première fois depuis la création de MBDA en 2001 sous la barre symbolique des 10 milliards d'euros (9,8 milliards). En 2009, le carnet s'élevait à 12 milliards, déjà en net retrait par rapport à 2003 (14,8 milliards).

Seule ombre au tableau, le chiffre d'affaires de MBDA devrait être à la baisse en raison des efforts consentis (réduction des livraisons négociée avec la direction générale de l'armement) par Antoine Bouvier en vue de préserver l'avenir avec le développement de nouveaux programmes : Missile terrestre de nouvelle génération (MMP), Anti Navire Léger (ANL), CAMM, un missile britannique qui répondra aux besoins futurs des marines, forces terrestres et forces aériennes en matière de défense anti-aérienne.

 

Arabie saoudite : un contrat Meteor qui fait du bien

Longtemps, les équipes du patron de l'export Jean-Luc Lamothe se sont rongées les ongles, attendant la mise en vigueur d'un contrat qui fait passer l'année du bon côté ou pas. Ce ne donc sera ni T-Loramids (Air Defence en Turquie), estimé à 3 à 4 milliards d'euros, ni le programme polonais Wisla (environ 4 milliards), ni un contrat export Rafale avec la panoplie de missiles MBDA, ni bien sûr SRSAM (Air Defence en Inde), un programme en perdition... Selon des sources concordantes, la bonne surprise est venue en fin d'année d'Arabie Saoudite, qui a équipé ses Eurofighter fournis par BAE Systems de missiles air-air Meteor, un contrat estimé à un plus de 1 milliard d'euros. C'est d'ailleurs le premier contrat export du Meteor.

Une nouvelle fois l'Arabie Saoudite est venue sauver l'année commerciale de MBDA. En 2013, le missilier y avait gagné cinq contrats, selon nos informations. Notamment BAE Systems avait choisi le missilier européen pour fournir à l'armée de l'air saoudienne le missile air-sol britannique le Dual-Mode Brimstone. En outre, il équipera l'armée de l'air saoudienne un lot supplémentaire de missiles de croisière Storm Shadow. Soit environ une commande évaluée pour MBDA à 500 millions d'euros.

 

Enfin un contrat en Inde

Outre l'Arabie saoudite, MBDA a enfin obtenu en Inde en début d'année un contrat attendu pendant très longtemps. New Delhi a mis en vigueur un contrat estimé à 428 millions de dollars en vue d'équiper les vieux Jaguar de l'armée de l'air indienne de missiles britanniques air-air de courte portée Asraam. Outre le SR-SAM (Short Range Surface to Air Missile), un missile sol-air de nouvelle génération co-développé et coproduit en Inde avec Bharat Dynamics Limited, le missilier a plus d'une trentaine de campagnes en cours actuellement en Inde dont celles concernant MMRCA (Scalp, Meteor...).

Enfin, MBDA a obtenu plusieurs autres contrats de taille plus modeste. Notamment deux  nouvelles commandes pour le missile britannique surface-air Sea Ceptor à la marine brésilienne et néo-zélandaise après la Grande-Bretagne. MBDA a également vendu ses installations de tir (50 millions d'euros environ) sur les quatre corvettes vendues par DCNS à l'Égypte. Enfin, le Chili et le Maroc ont passé des petites commandes en vue de compléter leurs armements.

 

Deux déceptions commerciales

Au rang des déceptions commerciales, il y a bien sûr le programme SR-SAM en Inde, qui semble en mauvaise posture pour MBDA alors que cela fait trois ans que les négociations sont pourtant terminées, depuis décembre 2011. Mais le nouveau gouvernement indien pourrait annuler le programme SRSAM (Short Range Surface to Air Missile) faute de trouver un financement. Ce missile sol-air de nouvelle génération devait être co-développé avec la DRDO (Defence Research and Development Organisation) et coproduit en Inde avec Bharat Dynamics Limited.

Par ailleurs, le missilier comptait beaucoup en France sur le programme AT4 CS, un programme de lance-roquette, destinés à la Marine et aux armées de Terre et de l'Air. Un matériel qui venait parfaitement compléter la trame missile-roquette de MBDA, selon la stratégie définie par Antoine Bouvier. Mais finalement, après avoir beaucoup pataugé, le missilier, associé à l'espagnol Instalaza a perdu face au suédois Saab, associé à Nexter. La première commande s'élève à 32 millions d'euros, mais le contrat, toutes options comprises jusqu'à 2024, pourrait monter jusqu'à 220 millions d'euros. En outre, Antoine Bouvier voulait avec ce contrat faire entrer l'Espagne dans la galaxie MBDA à travers Instalaza. Echec et mat...

 

Des commandes domestiques en demi-teinte

S'agissant des commandes nationales, MBDA a obtenu fin mars 2014 après quelques péripéties la signature de la phase de développement et de production du programme de missile FASGW(H)/ANL (Future Anti Surface Guided Weapon (Heavy)/Anti Navire Léger). Ce contrat d'un montant d'environ 600 millions d'euros est financé conjointement par la France et le Royaume-Uni. Cette nouvelle phase de travaux vient poursuivre les étapes de faisabilité et de conception financées conjointement par les deux nations depuis 2009.

En outre, le missilier a signé un contrat d'étude de près 50 millions d'euros (36 millions de livres) avec le ministère de la Défense britannique pour adapter le système CAMM à l'environnement terrestre. MBDA propose à l'armée de terre une variante, appelée Future Local Area Air Defence System (FLAADS Land). Enfin, le missilier a signé de très nombreux contrat de supports et de maintien en condition opérationnel avec les armées françaises, britanniques, italiennes et allemandes.

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16 janvier 2015 5 16 /01 /janvier /2015 13:55
L'Egypte proche d'un accord pour l'achat d'une vingtaine d'avions Rafale (presse)

 

Paris, 16 jan 2015 Marine & Océans (AFP)

 

L'Egypte est proche d'un accord avec la France sur l'achat d'une vingtaine d'avions de combat Rafale et de deux frégates FREMM pour 5 à 6 milliards d'euros, affirme vendredi le site d'informations financières La Tribune, citant des sources concordantes.

 

Après la venue en décembre à Paris d'une délégation de militaires égyptiens, des responsables du Trésor français se sont rendus en début de semaine au Caire pour évaluer la garantie de l'Egypte "et visiblement les Egyptiens ont répondu positivement aux questions et surtout aux attentes de la délégation française", indique la Tribune.

 

Les PDG de Dassault Aviation Eric Trappier, des chantiers navals DCNS qui construisent les frégates, Hervé Guillou, et du missilier MBDA qui arme les avions Rafale, Antoine Bouvier, se sont ensuite rendus jeudi dans la capitale égyptienne.

 

Selon le site, une signature pourrait intervenir d'ici à la fin du mois ou dans quelques semaines. Mais il souligne qu'il faut encore rester prudent sur l'issue des négociations.

 

Le montant du contrat pour les avions Rafale, fabriqués par Dassault Aviation, serait de 3,6 milliards d'euros. Même si des négociations sont en cours avec l'Inde et le Qatar, cet avion de combat n'a jamais été vendu à l'exportation.

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16 janvier 2015 5 16 /01 /janvier /2015 12:55
photo DGA

photo DGA

 

16/01/2015 Sources : Marine nationale

 

Le 13 janvier 2015, en coordination avec la DGA, la frégate de défense aérienne Chevalier Paul a effectué un tir de missile surface-air Aster 30.

 

Alors que le groupe aéronaval (GAN) constitué autour du Charles de Gaulle s’apprête à rejoindre l’océan Indien pour assurer une mission de présence opérationnelle et de pré-positionnement dans cette zone stratégique pour la France, l’ensemble de l’équipage du Chevalier Paul a orienté tous ses efforts en vue de la réalisation de ce tir Aster.

 

Le scénario consistait à explorer les limites du domaine de discrimination du système d’armes de la FDA afin d’identifier, entre deux pistes très proches,  un aéronef ami et un ennemi, puis d’engager ce-dernier. Ce tir a permis de confirmer les qualités exceptionnelles du système de défense aérienne de zone des FDA. Ceci permettant aux frégates de défense aériennes Forbin et Chevalier Paul, de conforter leur place parmi les meilleurs bâtiments anti-aériens.

 

Fort de cette réussite, le Chevalier Paul et son hélicoptère embarqué Caïman Marine, sont parés à assurer l’escorte du GAN dans le cadre de la mission Arromanches.

 

Frégate de défense aérienne, le Chevalier Paul est un condensé de technologies et de capacités militaires de pointe. Escorte préférentielle des porte-avions, que ce soit le Charles de Gaulle ou, très régulièrement, les porte-avions américains, le Chevalier Paul assume toutes les missions de protection, de l’escorte rapprochée à la maîtrise élargie de l’espace aéromaritime.

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13 janvier 2015 2 13 /01 /janvier /2015 08:55
Signature d’une convention de partenariat entre MBDA et Phelma

Signée pour trois ans par Pierre Benech, directeur de Phelma, Stéphanie Kraemer, responsable relations écoles et marketing RH à MBDA et Bruno Lerat, responsable du département « composants, technologies & prototypes » de l’ingénierie éectronique à MBDA, cette convention de partenariat permettra d’inscrire dans la durée les relations entre MBDA et Phelma.

 

12 janvier 2015 par Jacques Marouani - electroniques.biz

 

Chaque année, MBDA recrute des stagiaires ou diplômés de Phelma.

 

Grenoble INP-Phelma, grande école d'ingénieurs de physique, électronique et matériaux, vient de signer une convention de partenariat avec MBDA, spécialiste des missiles et systèmes de missiles. MBDA recrute chaque année environ 300 collaborateurs. Les profils recrutés sont majoritairement des ingénieurs des secteurs de l’électronique, de la simulation, de la mécanique, des études systèmes, du logiciel ou du système embarqué. Dans une moindre mesure, le secteur des matériaux de structure est également concerné.

 

Chaque année, MBDA recrute des stagiaires ou diplômés de Phelma. Pour l’année 2014 la société a ainsi accueilli quatre stagiaires de troisième année en projets de fin d’études et embauché trois élèves diplômés Phelma. L’entreprise participe depuis 4 ans à sa Journée des partenaires. Son service RH participe également depuis plusieurs années à la journée de simulations d’entretiens d’embauches pour les élèves de 3ème année de Phelma.

 

MBDA est une société d’intérêt pour le groupe Grenoble INP et plus particulièrement pour les filières propres à Phelma (comme Systèmes électroniques intégrés – SEI) et celles communes avec l’Ense3 et l’Ensimag, (comme Signal, image, communication, multimédia – SICOM ou Systèmes et logiciels embarqués - SLE). Elle est fortement intéressée par la filière par apprentissage que Phelma propose depuis quelques années dans le domaine de la conception de systèmes intégrés.

 

Suite à ce partenariat, la société MBDA sera amenée à faire des conférences techniques au sein des cours pour les filières d’intérêt pour l’entreprise.

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15 décembre 2014 1 15 /12 /décembre /2014 13:50
HMS Richmond Seawolf missile firing

 

12 déc. 2014 Royal Navy

 

With a flash of fire and smoke Royal Navy warship HMS Richmond has bared her teeth as she blasted targets into oblivion using two Seawolf missiles.

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12 décembre 2014 5 12 /12 /décembre /2014 17:50
Brimstone on Typhoon - photo BAE Systems

Brimstone on Typhoon - photo BAE Systems

 

12 December 2014 BAE Systems

 

We have completed the first full trial installation of MBDA’s Brimstone missile onto a Typhoon aircraft.

 

The trial fit is an important milestone in demonstrating the integration of the missile with the aircraft and follows the successful completion of an initial £5M study contract awarded to us by the UK’s Ministry of Defence earlier this year.  The trials are helping to pave the way for Brimstone 2 integration for the UK’s Royal Air Force (RAF) by 2018. 

 

Six Brimstone missiles were fitted to the aircraft, each wing carrying a launcher with three missiles. Training missiles were used for the purposes of the trial and demonstrated that the weapon can be fitted to the aircraft.  The aircraft was also fitted with two Paveway IV precision guided bombs, showing the baseline Phase 3 Enhancements Air-to-Surface configuration which will provide RAF Typhoon operators with a multi-role platform capable of addressing a wide range of target sets and delivering a variety of proportional precision weapon effects.

 

Andy Blythe, Test Pilot said “Brimstone is an extremely flexible combat low collateral damage missile which was proven on the Tornado GR4.  Brimstone 2 is the next iteration of the weapon and building on its previous successes, will undoubtedly provide the RAF with a potent capability. When the system is paired with Typhoon and Paveway IV, the aircraft will be able to engage a huge cross section of potential targets.”

 

The current Dual Mode Seeker Brimstone which Brimstone 2 replaces is effective against the most challenging, high speed and manoeuvring targets over land and sea. As a low collateral, close air support weapon it is already combat proven by the RAF in Afghanistan, Libya and most recently in Iraq on the Tornado GR4.

 

Fitting of the Brimstone missile comes in a year that has seen progress across a range of programmes for Typhoon.  The UK RAF are now operating the most advanced Typhoon to date with the latest Phase 1 Enhancement package now in operation.  This upgrade delivers true simultaneous swing-role capability to Typhoon.

 

Progress is also being made across a number of weapons programmes including the award of a full integration contract for the Storm Shadow weapon and further trials to fully integrate the Meteor Beyond Visual Range Air-To-Air missile.  In addition an EUR1bn contract to develop and fit the Captor E-Scan radar was signed on 19 November which will give Typhoon one of the most advanced radar systems in the world, providing a wider field of regard than any other combat aircraft.  

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10 décembre 2014 3 10 /12 /décembre /2014 17:50
Further Meteor firing trials begin for Typhoon

 

04 December 2014 BAE Systems
 

A Typhoon aircraft has successfully completed the first in a series of live firings of the MBDA Meteor Beyond Visual Range Air-to-Air Missile. This continues the series of trials we lead to demonstrate integration of the Meteor missile with Typhoon's weapon system.

 

Following contract signature in 2013 for the full integration of Meteor onto Typhoon, the trials continue to demonstrate that the weapon operates effectively with the aircraft.

Led by ourselves with support from MBDA, Selex, Qinetiq and MOD, the trials were conducted  in November 2014  at the MOD’s Hebrides firing range in the UK and further developed and tested the integration of the missile with the weapon system as well as expanding the jettison envelope by conducting firings at different altitudes and speeds. The trials also tested the interface of the missile with the weapon system for both pre-launch priming and post launch datalink functions between the missile and radar.

Test pilot Nat Makepeace flew the sortie and  said: “The aircraft and the weapon performed exactly as expected.  It’s very easy and intuitive to operate, and the trials demonstrated that we can operate in an expanded envelope safely and accurately.  This is a significant step forward for the full integration of the Meteor missile onto the Typhoon aircraft.”

Produced by MBDA, Meteor is an active radar guided missile designed to provide a multi-shot capability against long-range manoeuvring targets, such as fast jets, small unmanned aerial vehicles and cruise missiles in a heavy electronic countermeasures environment.

Capable of engaging air targets during day and night, and in all-weather conditions, the Meteor will complement Typhoon’s existing missile systems, providing pilots with a greater choice of weapons during combat.

Further firing trials are scheduled to be carried out as part of the Meteor Integration contract to fully expand the launch envelope and weapon system integration which will culminate in the integration being complete in 2017.

These trials take place in a year that has seen progress across a range of programmes for Typhoon. The UK RAF are now operating the most advanced Typhoon to date with the latest Phase 1 Enhancement package now in operation. This upgrade delivers true simultaneous swing-role capability to Typhoon. Progress is also being made across a number of weapons programmes including the award of a full integration contract for the Storm Shadow weapon and the first multiple release of a Paveway IV bomb.

A £800m contract to develop and fit the Captor E-Scan radar was signed in November which will give Typhoon one of the most advanced radar systems in the world, providing a wider field of regard than any other combat aircraft. Typhoon is already regarded as one of the world’s leading swing-role combat aircraft and continues to be upgraded to provide decades of effective, relevant effect. 

 
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10 décembre 2014 3 10 /12 /décembre /2014 16:55
Aéronautique : l’évaluation du Rafale F3R par le CEPA

 

8 Décembre 2014 Source : Marine nationale

 

Du 1e au 4 décembre 2014, les pilotes du centre d’expérimentations pratiques de l’aéronautique navale (CEPA) ont participé à la première revue d’aptitude à l’utilisation du standard F3R du Rafale. Cette campagne leur a notamment permis d’évaluer en vol la conduite de tir du missile air-air Meteor dans un contexte opérationnel et de proposer des améliorations du système. Grace à l’allonge du missile Meteor et à la portée de détection du radar à antenne active AESA, le Rafale F3R disposera d’une capacité d’interception sans équivalent.

 

Outre ces nouvelles capacités de défense aérienne par rapport au F3 actuellement en service,  le F3R emportera également le nouveau pod de désignation laser dans ses actions air-sol et une nouvelle nacelle de ravitaillement, indispensable lors des opérations autour du GAN (groupe aéro-naval).

 

Sa mise en service dans la Marine est prévue à l’horizon 2020.

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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 12:55
Yves Barillé, nouveau directeur de la Communication d’Airbus Hélicopters

 

03.12.2014 Aerobuzz.fr
 

Yves Barillé est le futur directeur de la Communication d’Airbus Helicopters. Après sa prise de fonction au mois de mars 2015, il sera hiérarchiquement rattaché à Guillaume Faury, président et directeur général d’Airbus Helicopters. Il dirigera alors l’ensemble des activités de communication internes et externes d’Airbus Helicopters. Yves Barillé était directeur de la Communication Groupe chez le missilier international MBDA depuis mars 2008.

Âgé de 48 ans, M. Barillé a débuté sa carrière en 1991 au siège central du groupe Aerospatiale avant de rejoindre à Toulouse la direction de la Communication interne d’Aerospatiale Airbus en 1992. Entré chez Matra BAe Dynamics en 2000, il arrive pour préparer l’intégration des deux entreprises qui formeront MBDA en 2001. Avant d’accéder au poste de directeur de la Communication Groupe chez MBDA, M. Barillé avait été directeur de la Communication interne Groupe et directeur adjoint de la Communication.

Le nouveau directeur de la Communication d’Airbus Helicopters succède à Cécile Vion-Lanctuit, qui a rejoint Bombardier Transport.

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2 décembre 2014 2 02 /12 /décembre /2014 08:25
Brazil Picks MBDA’s Sea Ceptor for New Corvettes

 

December 2nd, 2014 defencetalk.com

 

The Brazilian Navy has selected MBDA’s Sea Ceptor to provide the local area air defence for its next generation Tamandaré class corvettes. After the UK’s Royal Navy (RN) and the Royal New Zealand Navy (RNZN), Brazil’s is now the third navy to have chosen Sea Ceptor. With discussions also well advanced with other leading navies around the world, Sea Ceptor is rapidly establishing a significant user community.

 

A production contract was awarded by the UK MoD in September 2013 for Sea Ceptor to provide the next generation Air Defence capability and so replace the Seawolf system on the Royal Navy’s Type 23 frigates from 2016 onwards. Sea Ceptor will subsequently be transferred to the Royal Navy’s new ships as they start entering service, when the Type 23s are replaced by the future Type 26s. This long term commitment to Sea Ceptor by the Royal Navy is a solid assurance to each new member of the weapon’s user community of the longevity of this new system over the years to come.

 

Sea Ceptor provides all-weather, night and day, 360° local area air defence coverage against multiple simultaneous targets including sea-skimming anti-ship missiles, helicopters and fast combat jets. In facing saturating attacks posed by a range of diverse threats, Sea Ceptor has a clear advantage thanks to its advanced technology, active radar seeker. The weapon is also capable of engaging surface targets.

 

A major feature lies in Sea Ceptor’s soft launch technology which does away with the need for a launcher efflux management system, thereby reducing overall mass and onboard footprint characteristics. This allows greater flexibility for the customer in choosing the weapon’s installation position, a particularly important feature for smaller vessels. It also allows for easy installation as a retrofit on older ships.

 

With a significant presence in five European countries and within the USA, in 2013 MBDA achieved a turnover of 2.8 billion euros with an order book of 10.8 billion euros. With more than 90 armed forces customers in the world, MBDA is a world leader in missiles and missile systems.

 

MBDA is jointly held by Airbus Group (37.5%), BAE Systems (37.5%), and Finmeccanica (25%).

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30 novembre 2014 7 30 /11 /novembre /2014 07:55
France Studies Nuclear Missile Replacement

Replacement Weapon: A Rafale flies with the air-sol moyenne portée-améliorée nuclear missile. The successor to the missile has been dubbed the ASN4G. (French Defense Ministry)

 

Nov. 29, 2014 - By PIERRE TRAN – Defense News

 

PARIS — France has launched studies for an airborne nuclear-tipped missile to replace the current weapon, with the focus on stealth and hypersonic technology on the next-generation atomic arms, Defense Minister Jean-Yves Le Drian said.

 

The Air Force flies the Dassault Mirage 2000N and Rafale F3 fighters armed with the air-sol moyenne portée-améliorée (ASMP-A) nuclear missile, respectively on the Gascogne and La Fayette squadrons. These are the airborne systems in addition to the four ballistic nuclear missile submarines.

 

“The studies for the successor to the ASMP-A missile, dubbed ASN4G, have already begun,” Le Drian told a high-level conference on the French nuclear deterrent on Nov. 20. ASN4G is understood to refer to air-sol nucléaire fourth-generation, an industry executive said.

 

The sensitivity of the deterrent was such that the conference organizer showed an extended video clip of a training mission that obscured an ASMP-A missile carried under the fuselage of a Rafale. A special edition of specialist magazine Air & Cosmos carried a cover picture of a weapon marked ASMP-A under a Rafale. The published pictures are understood to have been adapted by the Air Force to avoid giving too much detail. Air & Cosmos was not available for comment.

 

Copies of the magazine were distributed at the conference.

 

“The daring concepts, for example, based on stealth and hypersonic technologies, at the forefront of technological development, will be explored,” Le Drian said.

 

The projects are key to overcoming the enemy’s interdiction and also for the domestic industrial and technology base, he said.

 

“The choice of the future weapon system, comprising the ASN4G missile and a platform to be decided, is therefore a major issue for the services,” he said. The project is closely tied to the future format of the Air Force, he said.

 

Work began in the summer on the ASMP-A, intended to allow the air-breathing missile to defeat future air defense systems out to 2035, Le Drian said. The work consists of design and development studies for the mid-life upgrade, a source said.

 

Chief of the Air Staff Gen. Denis Mercier previously gave a glimpse of the technology studies on the future airborne weapon, which will call for a choice between stealth or speed.

 

A stealth study and one on hypersonic speed are underway for the successor to the ASMP-A, Mercier told the defense committee of the lower-house National Assembly in April. The hypersonic weapon might be capable of Mach 7 or 8, he said.

 

MBDA is prime contractor on the ASMP-A.

 

Mercier told the parliamentarians he preferred the hypersonic missile.

 

“It’s the second solution that I prefer,” he said. Mastery of the hypersonic is already a given factor, he said. The U.S., Russia, China, India are looking at the hypersonic technology as they consider a modernization of the airborne nuclear element, with experimental work conducted, he said.

 

On the future platform carrying the atomic weapon, a choice had to be made on the architecture and performance of the missile, he said. Two options are under study: a new generation fighter, and a bomber.

 

“The challenge is to select a system able to penetrate defense systems which will be deployed in 20 to 50 years,” he said. The work was also important for the industrial base, he said.

 

Anti-missile defense has made much progress against ballistic and cruise weapons, he said.

 

The work on the stealth or hypersonic missile technology will influence development of the future aircraft. For instance, if a hypersonic missile were capable of flying at Mach 7 and were 20 meters long, the aircraft would need to be a large plane, such an Airbus A400M, rather than a fighter such as the Rafale.

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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 11:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

18 Novembre 2014 Marine Nationale

 

La frégate La Fayette a procédé à un tir en salve de deux missiles Mer Mer 40. Evénement peu courant, ce tir a pu se dérouler dans les meilleures conditions grâce à une préparation fine de tout l’équipage.

 

Après un blanchiment de la zone par un avion de patrouille maritime Atlantique 2, et dès la fenêtre de tir ouverte, la messe fut dite et le compte à rebours tenu.

 

Les deux missiles partis en salve ont atteint leur objectif, montrant le savoir faire intact de la Marine à mettre en œuvre et entretenir un système d’armes complexe pour des conflits de haute intensité.

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16 novembre 2014 7 16 /11 /novembre /2014 17:55
GIRO 2014


17/10/2014  -CDEF/Comm

 

La première réunion du Groupe d’information et de réflexion opérationnelle (GIRO), qui a réuni une cinquantaine d’experts de l’industrie de défense ainsi que des représentants du Centre de doctrine d’emploi des forces, de la Section technique de l’armée de Terre et de l’État-major de l’armée de Terre, a eu lieu le 6 mai dernier en amphithéâtre de Bourcet, à l’École militaire.

 

Sous la présidence du général Jean-François Parlanti, commandant le CDEF, et du général de corps d’armée (2S) Georges Ladevèze, conseiller Défense du président d’AIRBUS HELICOPTERS, les thèmes abordés ont permis de réaliser un point de situation sur les sujets en cours concernant l’emploi des forces (CDEF) et les derniers Retours d’expérience en termes d’équipements (STAT). Deux industriels, MBDA et NEXTER, ont également fait part à l’assemblée des avancées sur deux programmes d’armements : le Missile moyenne portée (MMP), successeur du missile MILAN, et la future mise aux normes du VBCI dans la cadre de son intégration dans le programme SCORPION.

 

La séance a été clôturée par le vote et la nomination du général de corps d’armée (2S) Jean-Tristan Verna, vice-président Public Affairs France  d’AIRBUS GROUP, comme nouveau co-président du GIRO, le général (2S) Ladevèze quittant ses fonctions chez l’industriel.

GIRO 2014
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11 novembre 2014 2 11 /11 /novembre /2014 13:55
Aujourd'hui, le déminage est un business : un tiers des obus de 14-18 n'ont pas explosé..

 

10 novembre 2014 par Ludovic Dupin - L'Usine Nouvelle n° 3375

 

Le centenaire de la Grande Guerre n’est pas qu’une affaire de commémorations. Les conflits ont laissé des souvenirs explosifs dans le sous-sol français.

 

A chaque guerre, ses tristes souvenirs. Obus, grenades, bombes et autres engins de destruction restent encore très présents sur le territoire français, enfouis ici ou là. La guerre de 1870 a ainsi frappé le sud de Paris, quand les Prussiens ont assiégé les forts de Vanves et d’Issy-les-Moulineaux. La Grande Guerre a laissé des millions de munitions enterrées dans le nord-est : près de 30% du milliard d’obus tirés pendant le conflit n’ont pas explosé. Entre 1939 et 1945, les bombardements allemands, puis alliés, ont visé des villes et des points stratégiques (aéroport, ports, usines…). On retrouve même des boulets explosifs datant du Premier Empire !

 

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