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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 17:55
Défense : la France a exporté pour 6,3 milliards d'euros d'armes en 2013

C'est l'Arabie Saoudite qui a été le meilleur client de la France en 2013 avec 1,8 milliard d'euros de commandes, soit plus du quart du montant des contrats engrangés (6,3 milliards d'euros)

 

29/01/2014 Michel Cabirol - LaTribune.fr

 

Après une année difficile en 2012 en matière d'exportations (4,8 milliards d'euros de commandes), les industriels de la défense tricolores ont réussi à augmenter de 31 % leurs prises de commandes en 2013. Ils ont exporté l'année dernière au moins 6,3 milliards d'euros de ventes de systèmes d'armes.

 

C'est une bonne nouvelle pour les industriels de l'armement tricolores. Après une année difficile en 2012 en matière d'exportations (4,8 milliards d'euros de commandes), ils ont réussi à augmenter de 31 % leurs prises de commandes en 2013 pour atteindre au moins 6,3 milliards d'euros de ventes fermes de systèmes d'armes. Un chiffre qui reste encore à affiner mais il serait fiable à 95 %, assure-t-on au ministère de la Défense. Avec ce chiffre, la France réalise plutôt un bon cru, proche de celui de 2011 (6,5 milliards), et reste encore bien calé à la quatrième place devant Israël, le rival le plus dangereux pour la France... mais derrière les Etats-Unis, la Russie et la Grande-Bretagne. Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, doit annoncer ce chiffre ce jeudi à Brest lors de la cérémonie de la remise de la frégate multimissions (FREMM) Mohammed VI au Maroc.

 

Un niveau d'exportations rassurant, estime le ministère de la Défense, car les industriels ont réussi à signer en 2013 huit contrats supérieurs à 200 millions d'euros (contre trois en 2012). "C'est un retour significatif de grands contrats comme le contrat LEX signé en Arabie Saoudite", explique-t-on à l'Hôtel de Brienne. Mais pas encore de mégacontrat ou de "jumbo deal" signé, qui donnerait une réelle bouffée d'oxygène à l'industrie d'armement tricolore, notamment à la filière aéronautique avec le Rafale. Toutefois, le socle des exportations françaises - les contrats de moins de 200 millions d'euros - est en croissance de 7 %. "Un total significatif", estime le ministère. En tête des industriels tricolores à l'export, MBDA et Thales, qui ont glané respectivement chacun 1,5 milliard de prises de commandes.

 

L'Arabie Saoudite à nouveau bon client de la France

 

Comme au bon vieux temps - mais pas si lointain finalement après la parenthèse du quinquennat Sarkozy -, c'est l'Arabie Saoudite qui a été le meilleur client de la France avec 1,8 milliard d'euros de commandes. Soit plus du quart du montant des contrats engrangés en 2013 (28 %) même si la France pouvait espérer plus avec le programme Mark 3 (4 milliards d'euros pour Thales). C'est évidemment le programme LEX (Life Extension) portant sur la modernisation des frégates saoudiennes Sawari I qui pèse lourd dans la balance (570 millions d'euros de parts françaises pour un contrat évalué à 1,15 milliard).

 

Par ailleurs, les missiliers MBDA, Sagem (groupe Safran) et Thales ont engrangé toute une série de contrats portant sur l'équipement des différentes forces saoudiennes. MBDA fournira à l'armée de l'air saoudienne un lot supplémentaire de missiles de croisière Storm Shadow, dont la fabrication est en partie en France. Il va va équiper de missiles sol-air VL Mica la Garde nationale, l'armée privée du roi commandée par le prince Mitaeb bin Abdullah. Ce contrat, qui s'élève à un peu plus de 150 millions d'euros, va permettre de remplacer le parc de missiles Mistral, dont le fournisseur était déjà MBDA. A terme, le missilier table sur plus de 500 millions d'euros de commandes au total.

 

Le missilier participe aussi au contrat LEX et va équiper les pétroliers de son nouveau système surface-air à très courte portée Simbad-RC (un peu plus de 40 millions d'euros). Par aileurs, Sagem a placé sa bombe AASM sous les Tornado saoudiens et Thales avait signé en début d'année un nouveau contrat de support (OASIS 8) des missiles de défense aérienne Crotale (de l'ordre de 140 millions d'euros).

 

Singapour deuxième client de la France

 

En dépit de l'échec de DCNS à Singapour qui a choisi le rival allemand ThyssenKrupp Marine System pour l'achat de deux deux sous-marins (1,8 milliard d'euros), l'Ile-Etat se classe au deuxième rang des clients des industriels français. Deux contrats ont été signés, l'un portant sur la vente de six avions ravitailleurs MRTT (la part française s'élève à un tiers du contrat sur ce type d'appareils), l'autre sur des missiles Aster 30 (MBDA).

 

Par région, c'est évidemment le Moyen-Orient qui arrive en tête des meilleurs clients de l'industrie française en absorbant 40 % des exportations tricolores. Outre l'Arabie Saoudite, Paris a également fait son retour aux Emirats Arabes Unis (EAU). Thales y a vendu 17 radars Ground Master 200, un radar de défense aérienne base couche, 3D tactique multi-missions à moyenne portée (200 kilomètres), pour un montant estimé à environ 250 millions d'euros (part française : moins de 200 millions d'euros). Il est notamment fabriqué à Limours (Essonne) et à Ymare, près de Rouen (Seine-Maritime). Le contrat de deux satellites espions (Falcon Eye) devrait être mis en vigueur en 2014 (700 millions d'euros).

 

Derrière le Moyen-Orient, viennent l'Asie du Sud-Est (16 %), dont Singapour et la Malaisie, l'Afrique du Nord (11 %), notamment le Maroc, et l'Amérique latine (11 %), dont notamment le Brésil (vente d'un satellite dual de télécoms pour environ 400 millions de dollars lancement compris) et en Bolivie (six hélicoptères SuperPuma pour 150 millions d'euros). En Amérique Latine, Paris reprend pied également au Pérou et Colombie.

 

Les missiles, première filière exportatrice

 

En 2013, les missiles français ont eu beaucoup de succès à l'export. MBDA mais aussi Thales et Safran (bombes AASM) se sont partagés plusieurs commandes, principalement en Arabie Saoudite pour les trois missiliers.

 

Puis viennent les constructeurs de satellites (Airbus Space Systems et Thales Alenia Space) avec la filière de satellites d'observation Helios et Pléiades et de télécoms militaires (Brésil). Soit selon le ministère de la défense un huitième des prises de commandes en 2013 (environ 800 millions d'euros). Soit quatre fois plus qu'en 2012. Les hélicoptères avec Airbus Helicopters ont également été à l'honneur notamment avec des contrats en Bolivie (150 millions) et en Ouzbékistan (10 Fennec et 6 Cougar), selon le ministère.

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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 17:30
Oman confie sa défense aérienne à l'américain Raytheon

 

21/01/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Raytheon équipera le sultanat d'un système de défense aérienne NASAMS (lanceur fixes) et SLAMRAAM (lanceurs mobiles). Un contrat estimé par les diplomates américains à 2,1 milliards de dollars mais qui était promis au missilier européen MBDA.
 

Les Etats-Unis ont gagné. Par la force. Entre Paris et Washington, le sultan d'Oman, Qabous bin Saïd, a choisi... le plus puissant. Et c'est donc Raytheon qui équipera le sultanat d'un système de défense aérienne NASAMS (National Advanced Surface-to-Air Missile System), un lanceur fixe armé par des missiles AMRAAM, un contrat de 1,28 milliard de dollars, selon Raytheon. Hasard ou pas de calendrier, Oman a signé le contrat avec Raytheon la veille d'un déplacement ce mardi de la ministre du Commerce extérieur, Nicole Bricq à Mascate. Ce qui manque un peu de tact d'autant que c'est la première visite d'un membre du gouvernement français depuis bien longtemps à Mascate.

Le contrat a été paraphé lundi entre le ministre des Affaires de défense, Sayyid Badr bin Saud bin Harib al-Busaidi, et le Dr Thomas A. Kennedy, qui sera PDG de Raytheon à compter du 31 mars 2014. Pourtant, initialement il était promis à MBDA... "Le contrat avec Oman, que nous avons perdu, a expliqué Antoine Bouvier aux députés, s'élevait à un milliard d'euros, soit deux années de notre chiffre d'affaire en France", avait expliqué cet automne à l'Assemblée nationale le PDG de MBDA, Antoine Bouvier.

 

La puissance de feu américaine

En mai dernier lors d'une visite à Mascate, le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, avait fini le travail en forçant la main des Omanais contraints de choisir un système de défense aérienne américain. La puissance américaine avait eu raison de MBDA, qui avait de bonnes références dans ce pays du Golfe mais qui s'est fait souffler le contrat par Raytheon, bien appuyé par la puissance de feu de l'administration américaine. "En janvier 2013, les Omanais ont décidé d'acheter un système de défense sol-air fabriqué par Raytheon... ce pour quoi le secrétaire (d'État) faisait campagne lorsqu'il était au Sénat", a indiqué un haut responsable du département d'État.

Dans un communiqué commun publié au terme de la visite de John Kerry, les deux pays avaient indiqué que "les négociations finales sur l'achat du système sont en cours avec Raytheon et une conclusion définitive du contrat est attendue après un accord sur les aspects techniques du système (...) et d'autres questions annexes".

 

Manurhin à Oman

En revanche, le fabricant de machines de munitions Manurhin basé à Mulhouse (Haut-Rhin) avait annoncé en décembre avoir décroché le plus important contrat de son histoire, de plus de 60 millions d'euros, pour construire une usine dans le sultanat d'Oman. Manurhin participera à hauteur de "60 à 80 millions d'euros" à la création d'une usine de fabrication de cartouches dans le sultanat d'Oman qui sera opérationnelle dans trois ans, a annoncé le président du conseil de surveillance, Rémy Thannberger.

Il porte à près de 200 millions d'euros le carnet de commandes de Manurhin, soit l'équivalent de plus de six ans d'activité, selon 'entreprise alsacienne. Manurhin, qui emploie 130 salariés, réalisera un chiffre d'affaires de 30 à 35 millions d'euros cette année 2013, soit le double de 2012 (17 millions d'euros), a relevé Remy Thannberger.

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2 février 2014 7 02 /02 /février /2014 17:50
UK, French Leaders Agree To Cooperate on Drone, Missile and More

UK Prime Minister David Cameron, right, introduces French President François Hollande to Royal Air Force members in front of an A400M airlifter at Brize Norton air base in central England on Jan. 31. The leaders agreed during the one-day summit to cooperate on some key defense projects. - photo Elysée

 

Feb. 1, 2014 - By PIERRE TRAN – Defense News

 

PARIS — Britain and France agreed Jan. 31 to invest £200 million (US $329 million) for two-year studies on a future combat drone, and signed up for work on an anti-ship missile and an anti-mine system, French government and industry sources said.

 

Defense ministers from the countries signed memorandums of understanding at a meeting led by British Prime Minister David Cameron and French President François Hollande, held at the Brize Norton air base in the UK.

 

London and Paris will equally fund a total £120 million, two-year common feasibility study for the combat drone, dubbed the Future Air Combat System, the French MoD said in a statement.

 

Each country also will fund a total of £80 million for national studies on the unmanned fighter, a defense official and an industry executive said.

 

“This launch by the French and British authorities is contributing to the development of the combat air systems sector and is paving the way for the future in this strategic field,” Dassault Executive Chairman Eric Trappier said in a statement.

 

Dassault and BAE Systems lead the drone project, with Rolls-Royce and Snecma, and Selex and Thales teamed respectively for the engine and electronic systems.

 

An agreement for the MBDA helicopter-borne missile, dubbed Anti-Navire Léger/Future Air-to-Surface Guided Weapon (Heavy), is a step toward British and French interdependence, based on a specialization of industrial skills, a second French official said.

 

The €500 million missile program is equally shared between the partner nations. Paris hopes the consolidation move will send a signal to other governments as European defense budgets erode, the official said.

 

An anti-mine study, dubbed Maritime Mine Counter Measures, will launch development of prototype surface and underwater drones.

 

Other commitments included continuing efforts to form a 10,000-strong combined joint expeditionary force by 2016 and anti-terrorism work.

 

France sees the agreements as moving ahead on the 2010 Lancaster House treaty, which aimed to boost defense cooperation.

 

Cameron and Hollande and ministers met for bilateral talks after watching a demonstration including an Airbus A400M airlifter, A330 multirole tanker and transport, Boeing C-17 transport, Thales UK Watchkeeper tactical drone, and infantry fighting vehicle Véhicule Blindé Combat d’Infanterie from Nexter and Renault Trucks Defense.

 

Brize Norton is a hub for transport flights, and British planes take off from there to support French troops in the Central African Republic and Mali.

 

France offered Paris-based reporters seats on the A400M flying to the summit, which was held in Cameron’s political constituency. Besides defense, the two countries signed up to cooperate on nuclear energy and space observation, including a link up between French and UK space agencies

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2 février 2014 7 02 /02 /février /2014 17:40
US warns Moscow of concern over cruise missile test

 

 

Jan 30, 2014 Spacewar.com (AFP)

 

Washington - The United States has raised concerns with Moscow over a reported Russian test of a cruise missile and is evaluating whether it breaks a 1987 treaty, a US official said Thursday.

 

Washington has raised "the possibility of... a violation," State Department spokeswoman Jen Psaki said, amid reports that Russia had tested a new ground-launched cruise missile.

 

The New York Times said Thursday that Moscow had begun testing the new missile as early as 2008, and that the State Department's senior arms control official Rose Gottemoeller had repeatedly raised the issue with Moscow since May.

 

Psaki said she could not refute the details of the Times report, and there was an ongoing interagency review to determine whether the Russians had violated the terms of a US-Russian arms control pact.

 

The 1987 Intermediate-Range Nuclear Forces Treaty (INF), signed by then US president Ronald Reagan and his Russian counterpart Mikhail Gorbachev, eliminated nuclear and conventional intermediate range ground-launched ballistic and cruise missiles.

 

"The important note here is that there's still an ongoing review, an interagency review determining if there was a violation," Psaki stressed, adding the consultations had been continuing for some months.

 

"We do of course take questions about compliance with arms control treaties, including the INF Treaty, very seriously."

 

A NATO official said "this is a serious matter" adding that the treaty was "a key component of Euro-Atlantic security."

 

"Compliance with arms control treaties is a fundamental requirement if we are to have more transparency in our dialogue with Russia. NATO allies consult at all times on all matters relevant to their security," the official added.

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1 février 2014 6 01 /02 /février /2014 17:50
Britanniques et Français avancent au moins en défense

01.02.2014 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord. - Défense Globale

Le sommet franco-britannique du 31 janvier, sur la base de la Royal Air Force de Brize-Norton près d'Oxford, a permis de prolonger les accords de Lancaster House, signés en 2010. Cette entente cordiale entre David Cameron et François Hollande s'illustre essentiellement dans le domaine de l'industrie (drone, missile anti-navire léger) même si on n'oublie pas le Combined joint expeditionary force (CJEF ou en french Force expéditionnaire commune interarmées), notamment entre parachutistes français et capacités d'aérolargage britanniques.
C'est surtout sur le plan de la politique européenne que les deux présidents ont des divergences majeures. Le traité de Lancaster House va vivre. Au moins jusqu'au référendum sur le maintien dans l'UE, prévu au Royaume-Uni avant la fin 2017.
Le 31 janvier, Britanniques et Français ont donc signé une lettre d'intention pour le lancement d'une nouvelle phase de travaux dans le domaine des drones de combat.

La France et le Royaume-Uni s'engagent conjointement à hauteur de 120M£ (145M€) sur un programme qui durera 2 ans. Ils confirment ainsi la phase préparatoire décidée en juillet 2012 et qui a impliqué Dassault-Aviation et BAE Systems comme chefs de file du projet, Thales et Selex ES pour l'électronique embarquée et les senseurs, ainsi que Safran et Rolls-Royce pour la propulsion.

Les deux parties ont également signé un arrangement cadre pour le lancement de la phase de développement et de production du missile antinavire léger (ANL pour hélicoptères par MBDA) et un autre pour le développement d'un prototype de drones de surface et sous-marins destinés à détecter et neutraliser les mines navales sur les fonds marins (projet de coopération Maritime Mine Counter Measures, MMCM).

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29 janvier 2014 3 29 /01 /janvier /2014 12:35
Strategic Weapons: India Builds A Mobile Missile Aimed At China

 

 

January 29, 2014: Strategy page

 

On January 20th India successfully tested its new Agni IV IRBM (Intermediate Range Ballistic Missile). This test was in combat configuration with the missile launched from its 8x8 transporter/launcher vehicle. The Agni IV is a 17 ton, two-stage, solid fuel missile that was first tested in 2011. It has a maximum range of 4,000 kilometers and a payload of one ton. During tests it has landed with a hundred meters of its aiming point, which is satisfactory for the nuclear weapon the missile is designed to deliver. Because of the success of this test the Agni IV is expected to enter mass production later in 2014.

 

Agni IV is, as its name implies, part of family of missiles. India began work on the Agni series in the 1990s and this effort was accelerated after India and Pakistan tested nuclear weapons in 1998. All the Agni missiles use solid fuel.

 

The Agni I is a 12 ton missile that was first tested in 2002. It has a maximum range of 1,200 kilometers and a payload of one ton.

 

The Agni II is a 16 ton missile that was first tested in 1999. It has a maximum range of 2,000 kilometers and a payload of one ton.

 

The Agni III is a 48 ton missile that was first tested in 2006. It has a maximum range of 3,500 kilometers and a payload of 1.5 tons.

 

Agni IV was originally called Agni II Prime as it is basically a replacement for the Agni II.

 

The Agni V is a solid fuel missile that is still under development. It is supposed to have a maximum range of 5,000 kilometers and a payload of one ton.

 

There is said to be an Agni version in the works that would have a range of 10,000 kilometers, which would make it an ICBM (Intercontinental Ballistic Missile).

 

While the initial target for Agni missiles was Pakistan, in the last decade China has become the primary destination. It took a while for India to accept this shift. This wasn't easy. For example, in 2008 India halted development work on the Agni III because it was really only useful against China. Since India had been working hard to develop better economic and diplomatic ties with China, putting the Agni III on ice seemed a good idea at the time. It was also believed that shutting down the Agni III project would save a lot of money, as each Agni III built would have cost $20 million. Not a good investment for a weapon that will only antagonize a nation you are trying to develop better relationships with. This halt did not last long and now the Agni III is in service. It can hit targets throughout most of China. The Agni IV missiles will also be aimed at China.

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29 janvier 2014 3 29 /01 /janvier /2014 12:35
USA: 7th Fleet Ballistic Missile Team Supports JMSDF in Exercise Keen Edge

 

 

29 January 2014 By Mass Communication Specialist 2nd Class Toni Burton – Pacific Sentinel

 

YOKOSUKA, Japan - U.S. 7th Fleet, U.S. Forces Japan and Japan Self Defense Force (JMSDF) operators will hone their Ballistic Missile Defense (BMD) skills in exercise Keen Edge 2014 which runs through Jan. 31.

 

Throughout the exercise, Japanese and U.S. headquarter staffs will simulate the tactical defensive steps that would be taken in the event of a crisis or contingency.

 

"The successful defense of Japanese and U.S. interests from unanticipated ballistic missile threats requires detailed planning, precision ship stationing and lightning quick reactions," said Lt. Cmdr. Matthew Klobukowski, 7th Fleet integrated air and missile defense officer. "BMD is one of the many missions the U.S. and Japan train for together."

 

Since 1986, the United States military and JMSDF have collaborated and planned a biennial joint-bilateral exercise referred to as Keen Edge.

 

"Keen Edge 14 helps the U.S. military and JMSDF build relationships ensuring we can work effectively together to defend Japan and U.S. forces based here. Our goal is to provide credible and tangible defensive combat power to ensure security and stability in the region." explained Klobukowski.

 

This year, Keen Edge will focus on the importance of bilateral coordination, force protection, host nation support, ballistic missile defense and non-combatant evacuation operations. More than 500 U.S. military personnel will participate in the exercise.

 

The exercise builds on recent Aegis Ballistic Missile Defense achievements such as the October 2013 intercept of a medium-range ballistic missile target over the Pacific Ocean by the Aegis BMD 4.0 Weapon System and a Standard Missile-3 (SM-3) Block IB guided missile, the 28th successful intercept in 34 flight test attempts for the Aegis BMD program since flight testing began in 2002.

 

Aegis BMD is the naval component of the MDA's Ballistic Missile Defense System. The Aegis BMD engagement capability defeats short- to intermediate-range, unitary and separating, midcourse-phase ballistic missile threats with the SM-3, as well as short-range ballistic missiles in the terminal phase with the Standard Missile-2 (SM-2) Block IV missile.

 

US Pacific Fleet

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27 janvier 2014 1 27 /01 /janvier /2014 11:55
Le Rafale emporte du lourd !

 

26 janvier 2014 Aerobuzz.fr

 

Le Rafale a effectué avec succès ses premiers vols d’essais dans une nouvelle configuration très lourdement armée, comprenant 6 missiles air-sol de précision AASM Hammer, 4 missiles air-air moyenne et longue portée de la famille MICA, 2 missiles Meteor très longue portée ainsi que 3 réservoirs de 2 000 litres.

En démultipliant les capacités de ses 14 points d’emport dont 8 sous voilure, le Rafale est, selon Dassault Aviation, le seul chasseur au monde capable de porter 1,5 fois sa propre masse. « Sa capacité à être omnirôle doit répondre aux besoins de pays qui veulent compter, à coûts maîtrisés, sur un outil opérationnel et polyvalent susceptible de remplir toutes les missions plus efficacement, en mobilisant moins de moyens. 2 Rafale représentent ainsi un potentiel équivalent à 6 avions de la classe Mirage 2000. », affirme le constructeur.

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Ainsi armé, le Rafale emporte 1,5 fois sa propre masse. - Dassault Aviation

Cette nouvelle configuration, inégalée par sa polyvalence et la puissance de feu qu’elle représente, a été rendue possible grâce à l’architecture ouverte de l’avion conçue, dès l’origine, pour remplir l’ensemble des missions dévolues jusqu’alors à 7 types d’avions différents en France.

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Ces travaux préliminaires, financés sur fonds propres de Dassault Aviation et qui aboutiront à une ouverture complète du domaine de vol, sont le fruit d’une collaboration avec la Direction Générale de l’Armement. - Dassault Aviation

Cette nouvelle évolution, qui allie grande autonomie et polyvalence du système d’armes, démontre la puissance et la supériorité opérationnelle du Rafale qui dispose déjà d’un éventail inédit de configurations, parmi lesquelles une capacité unique de frappe dans la profondeur, avec 2 missiles de croisière Scalp et 3 réservoirs de 2 000 litres, utilisée par les armées françaises lors de l’opération Harmattan en Libye en 2011.

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Le Rafale armé de 6 missiles air-sol de précision AASM Hammer, 4 missiles air-air moyenne et longue portée de la famille MICA, 2 missiles Meteor très longue portée ainsi que 3 réservoirs de 2 000 litres. - Dassault Aviation

Les premiers vols d’essais effectué récemment dans une nouvelle configuration très lourdement armée, comprenant 6 missiles air-sol de précision AASM Hammer, 4 missiles air-air moyenne et longue portée de la famille MICA, 2 missiles Meteor très longue portée ainsi que 3 réservoirs de 2 000 litres, ont semble-t-il donné satisfaction au constructeur.

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Ainsi armés, 2 Rafale représentent ainsi un potentiel équivalent à 6 avions de la classe Mirage 2000. - Dassault Aviation

Ces travaux préliminaires, financés sur fonds propres de Dassault Aviation et qui aboutiront à une ouverture complète du domaine de vol, sont le fruit d’une collaboration avec la Direction Générale de l’Armement.

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21 janvier 2014 2 21 /01 /janvier /2014 12:35
India: India Successfully Test Fires Agni-IV

21 January 2014 Pacific Sentinel

 

AGNI-IV, the 4000 kms range Nuclear Capable Ballistic Missile was successfully launched today at 1052 hrs from the Wheeler island off the coast of Odisha. This was the third consecutively successful trial and the last one in the series of development launches. The missile took off majestically, rose to a height of over 850 km, covered the intended range in about 20 minutes, hit the target with two digit accuracy; meeting all mission objectives and proving the capabilities of the missile. The AGNI-IV missile propelled by composite solid fuel rocket motor technology was launched from its road mobile launcher indigenously developed by DRDO. The long range Radars and Electro-Optical Tracking Systems (EOTS) located all along the coast have tracked and monitored all the parameters throughout the flight. Two ships located near the target point tracked the vehicle and witnessed the final event. The Defence Minister, Shri AK Antony congratulated the DG, DRDO and Scientific Advisor to Defence Minister, Shri Avinash Chander and his team on the success. 

 

 

“The event is of greater significance since the system was tested in its deliverable configuration with the active participation of Strategic Forces Command (SFC) personnel. The missile is now ready for induction and its serial production will now begin” said Shri Avinash Chander, who commanded the launch sequence. He congratulated all the team members from DRDO and SFC. ‘Today’s launch takes India’s level of deterrence and its preparedness and effectiveness to newer heights. Seen together with recent momentous events: the second launch of Agni 5, operational clearance of Tejas – Light Combat Aircraft, achieving the criticality of nuclear reactor of India’s first nuclear powered submarine ‘Arihant’, completion of development phase of underwater launched missile BO5 and development of mark II version of ‘Arjun – Main battle tank’, Shri Chander said. He further stated that it also reflects the high maturity level of India’s capabilities in design development and leading to production, contemporary weapons and platforms for strengthening its deterrence and defence capabilities. 

 

Agni-IV is equipped with state-of-the-art Avionics, 5th generation On Board Computer and distributed architecture. It has the latest features to correct and guide itself for inflight disturbances. The most accurate Ring Laser Gyro based Inertial Navigation System (RINS) and supported by highly reliable redundant Micro Navigation System (MINGS), ensured the vehicle reach the target within two digit accuracy. The re-entry heat shield withstood temperatures in the range of 4000 degree centigrade and made sure the avionics function normally with inside temperature remaining less than 50 degree centigrade. Agni-I, II, III and Prithvi are already in the arsenal of armed forces, giving them reach of over 3000 km, giving India an effective deterrence capability. 

 

Dr V.G. Sekaran, DS & DG (MSS) reviewed the launch activities and guided the team. Smt. Tessy Thomas, Project Director AGNI-IV led the team of scientists during the operation.

 

Indian Press Information Bureau

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21 janvier 2014 2 21 /01 /janvier /2014 08:55
DCNS et la Marine nationale simulent avec succès l’embarquement de missiles de croisière navals sur FREMM Normandie

 

10/01/2014 DCNS

 

Les équipes de DCNS poursuivent leurs travaux sur la FREMM Normandie, troisième de série, actuellement en bassin sur le site DCNS de Lorient. En décembre 2013, l’équipage de la Marine nationale du navire a notamment procédé, avec l’appui des équipes de DCNS, à l’embarquement d’une maquette de missile de croisière naval. A terme, la mise en œuvre de ces missiles donnera aux FREMM la capacité inédite pour une frégate d’une marine européenne de neutraliser une cible située à plusieurs centaines de kilomètres.

 

L’embarquement de cette maquette de missile a été mené à la demande de la Direction Générale de l’Armement (DGA) par l’équipage de la FREMM Normandie, avec l’assistance technique des équipes de DCNS et MBDA, le fournisseur des munitions et des installations de tir. Ces essais ont permis de vérifier la capacité des équipages à embarquer en sécurité des missiles de croisière navals à bord des FREMM.

 

« Des discussions sont en cours avec l’Etat pour l’organisation d’un tir du Missile de Croisière Naval, qui pourrait avoir lieu dès la fin 2014. Il marquerait une étape importante du programme FREMM » rappelle Anne Bianchi, Directrice des programmes FREMM au sein de DCNS. « Grâce à l’investissement des collaborateurs de DCNS, les FREMM constituent des navires de référence, avec les systèmes les plus performants qui soient ».

 

La possibilité de mettre en œuvre des missiles de croisière navals fera des FREMM les premiers bâtiments de surface d’Europe dotés de la capacité de neutraliser des cibles situées en profondeur dans les terres, à plusieurs centaines de kilomètres. Cette performance inédite est permise grâce au système de combat polyvalent de la FREMM qui offre également des capacités inégalées d’intervention dans de multiples situations, en particulier en matière de lutte anti-sous-marine.

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20 janvier 2014 1 20 /01 /janvier /2014 19:35
Testing of India's Agni IV Missile Advances

India tested its 4,000-kilometer-range Agni IV missile today. (Indian Defence Ministry)

 

Jan. 20, 2014 - By VIVEK RAGHUVANSHI  - Defense news

 

NEW DELHI — India’s flight test of its indigenous nuclear-capable Agni IV missile today could pave the way for user trials, according to the Ministry of Defence.

 

The surface-to-surface ballistic missile, with a range of 4,000 kilometers, can carry a warhead of up to 1 ton and is equipped with a re-entry heat shield, said a scientist at the Defence Research and Development Organization (DRDO), which is developing the missile. The two-stage, solid-propelled missile is 20 meters tall.

 

“The Agni IV missile propelled by composite solid fuel rocket motor technology was launched from its road mobile launcher indigenously developed by DRDO. The long range radars and Electro-Optical Tracking Systems located all along the coast have tracked and monitored all the parameters throughout the flight. Two ships located near the target point tracked the vehicle and witnessed the final event,” according to a Defence Ministry statement.

 

The missile is equipped with state-of-the-art avionics, a fifth-generation onboard computer and distributed architecture, and has features to correct and guide itself for inflight disturbances, according to the Defence Ministry statement.

 

The missile is equipped with a ring laser gyro-based inertial navigation system and supported by a redundant micronavigation system, according to the statement.

 

The re-entry heat shield withstood temperatures in the range of 4,000 degrees centigrade, protecting the avionics within, said the statement.

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19 janvier 2014 7 19 /01 /janvier /2014 12:35
Le nouveau dispositif chinois va-t-il enterrer le système de défense antimissile américain ?

 

18.01.204 Vassili Kachine, La Voix de la Russie

 

Le nouveau système pour les missiles balistiques intercontinentaux vient d’être testé en RPC. Les tests qui ont été menés démontrent que le déploiement des missiles chinois intercontinentaux équipés de ce nouveau système, est possible dans un avenir proche.

 

Les essais de l’ogive pour le missile balistique intercontinental, qui viennent de se dérouler en Chine sont le premier résultat pratique du programme ambitieux de l’armement balistique, élaboré par ce pays. Cela fait plusieurs années que l’Empire du Milieu développe les armes balistiques. En juillet 2012, les médias chinois ont parlé de la mise en service d'un tunnel aérodynamique, qui assure la ventilation des modèles d’avions à une vitesse allant jusqu'à 9M. Et récemment, c’est le premier test d’un appareil hypersonique qui vient d’être réalisé. Se posent alors les questions d’influence de cette nouvelle technologie sur la stratégie nucléaire chinoise et de la direction du développement des projets d’armes hypersoniques en Chine.

 

La Russie a terminé les tests des ogives hypersoniques en 2005, dans le cadre du projet d'amélioration de la stabilité des forces nucléaires stratégiques russes face au bouclier antimissile américain. Apparemment, la Russie était le premier pays à se doter d’une ogive prête à être déployée. La Chine suit les traces du complexe militaro-industriel russe, mais avec un retard de plusieurs années.

 

Néanmoins, les tests démontrent que le déploiement des missiles balistiques intercontinentaux chinois avec des ogives de ce type est possible déjà dans un avenir prévisible. Une ogive hypersonique en vol ne peut être interceptée par aucun système de défense antimissile existant ou en projet. En commençant le déploiement des missiles, la Chine pourrait augmenter la fiabilité de ses forces nucléaires.

 

Les travaux de construction de l’ogive supersonique sont liés avec un projet du nouveau missile balistique intercontinental, crée l’année dernière. Ces systèmes sont plus lourds que leurs prédécesseurs, nécessitant la construction d’un nouveau type de missiles, plus puissants.

 

On peut supposer que dans les conditions actuelles, la Chine, à l'instar de la Russie et des Etats-Unis, ne se limite pas au développement des technologies hypersoniques pour sa triade nucléaire stratégique. Les Etats-Unis considèrent la possibilité d’utilisation de ses armes non-nucléaires dans ses systèmes de frappe conventionnelle rapide (Prompt Global Strike, PGS). La Russie mène aussi des travaux de développement de ses armes non nucléaires hypersoniques.

 

La création des armes hypersoniques non nucléaires permettra de porter le programme de lutte chinois contre les groupes aéronavals américains à un autre niveau. La Chine se déplace déjà dans cette direction pour la création des moyens de frappe puissants des porte-avions de l’ennemi, grâce à la création des missiles antinavires DF- 21D. Ce missile complique la protection d’une escadre de porte-avions d’une frappe éventuelle. Si un missile de croisière hypersonique maniable sera utilisé comme un moyen d’attaque, la défense antimissile du porte-avions sera inutile et il va falloir changer les moyens de défense des missions militaires de toutes les flottes du monde.

 

La présence d’une arme hypersonique est un attribut nécessaire d’une superpuissance au 21e siècle. Et la Chine est en passe d’en devenir une. Toutefois il faudra un certain temps avant que ces armes puissent êtres déployés et mis en service. Nous verrons donc les résultats de ce projet seulement d’ici une dizaine d’années.

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17 janvier 2014 5 17 /01 /janvier /2014 13:50
Photo J Gietl

Photo J Gietl

 

16.01.2014 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

Un Eurofighter d’essai, IPA7, a emporté deux missiles de croisière Taurus KEPD 350 sous voilure pour un vol d’essai le 15 janvier. L’avion a décollé depuis le site de Manching, près de Munich en Allemagne afin notamment de réaliser des essais sur l’aérodynamique de cet équipement.

 

Le missile de croisière Taurus est développé par une co-entreprise entre MBDA Deutschland et Saab Dynamics. Pesant 1,4 tonne et mesurant cinq mètres de longueur, sa portée dépasse les 500 kilomètres selon MBDA. Il équipe déjà les Tornado allemands et les EF-18 espagnols.

 

Le consortium européen mène en parallèle des essais d’intégration du missile de croisière Storm Shadow (SCALP) sur l’avion d’essai IPA2 en Sardaigne.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 17:50
Missiles: MBDA très, très tenté par un contrat en Pologne

Thales propose dans le cadre du GIE Eurosam (MBDA 66 %, Thales 33 %) le système SAMP/T armé de missiles Aster 30 (

 

15/01/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

La Pologne veut moderniser sa défense aérienne. Elle a sélectionné cinq candidats, dont le missilier européen MBDA présent dans trois offres différentes.

 

 

La Pologne a choisi cinq candidats pour négocier avec eux l'achat de systèmes de défense aérienne dont elle veut équiper son armée, a indiqué mercredi le ministre polonais de la Défense, Tomasz Siemoniak. Le groupe d'électronique Thales, le consortium germano-italo-américain MEADS, l'américain Raytheon, le gouvernement d'Israël et le missilier européen MBDA associé à la holding polonaise d'armements PHO (Polish Defense Holding (PHO), ex-Buma), "ont été choisis parmi les fournisseurs potentiels pour poursuivre les négociations", a précisé le ministre à la presse.

Thales propose dans le cadre du GIE Eurosam (MBDA 66 %, Thales 33 %) le système SAMP/T armé de missiles Aster 30 (radar Arabel de Thales). Une offre soutenue par la France et l'Italie. MBDA (via MBDA Allemagne et MBDA Italie) est également dans le consortium international MEADS (Medium Extended Air Defense System), emmené par le groupe américain Lockheed Martin et soutenu par les États-Unis, l'Allemagne et l'Italie.

Enfin, le missilier propose des missiles Aster 30 dans le cadre de sa coopération avec PHO, qui fournira le radar. Trois chances sur cinq de gagner pour MBDA... En face de ces trois offres : Raytheon, associé au groupe norvégien Kongsberg (système NASAMS et missiles AMRAAM), et le  groupe israélien Rafael (Spyder-MR ADS), soutenu par le gouvernement israélien.

 

L'un des trois grands contrats visés par la France

C'est l'une des trois grandes campagnes actuelles en Pologne que lorgnent les groupes d'armement français avec les hélicoptères (Airbus Helicopters) et les sous-marins (DCNS). Selon nos informations, la Pologne prévoirait de consacrer un budget de plus de 6 milliards jusqu'à 2022 à l'acquisition de systèmes de missiles de courte et moyenne portée (défense aérienne). "Nous souhaitons obtenir à travers cet investissement un renforcement de notre potentiel défensif mais aussi créer des emplois et apporter un gain à la recherche" en Pologne, a expliqué le ministre.

La Pologne est engagée dans un vaste programme de modernisation de ses forces armées. Elle entend dépenser à cette fin 140 milliards de zlotys (33,3 milliards d'euros) au cours des prochaines années. Contrairement aux autres pays européens, la Pologne, membre de l'Otan depuis 1999, n'a rien sacrifié de son budget Défense à la crise. En vertu d'une loi de 2001, ce budget reste fixé à 1,95 % du PIB. Cette année, il s'élève à 32 milliards de zlotys (7,7 milliards d'euros), dont plus du quart est consacré à la modernisation.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 17:35
Parlementaire : une meilleure défense antimissile est nécessaire contre le Nord

 

 

SEOUL, 15 jan. (Yonhap)

 

La Corée du Sud devrait se doter d’un système de défense antimissile multiniveaux en complément du système actuel, qui serait insuffisant pour contrer les menaces balistiques de la Corée du Nord, selon le parlementaire Yoo Seong-min du parti Saenuri.

 

Yoo, chef du comité de défense parlementaire, a déclaré que le système de défense antimissile actuel n’est pas suffisant pour détruire les missiles à longue portée de la Corée du Nord.

 

Le pays possède 48 missiles PAC-2 importés d’Allemagne, ayant un taux d’interception inférieur à 40%. Le gouvernement a alloué un budget pour actualiser ce système à celui de PAC-3, ayant une meilleure précision. Séoul compte par ailleurs développer ses propres missiles sol-air de moyenne et longue portées dans le cadre de son projet de défense à moyen terme.

 

«Je me demande si le système de défense antimissile actuel est suffisant pour protéger les vies. S’il n’est pas suffisant et que les gens sont en danger, nous devrions établir une nouvelle stratégie de sécurité», a dit Yoo lors d’une réunion-débat à laquelle assistaient le ministre de la Défense Kim Kwan-jin, des responsables militaires et des experts sur la sécurité.

 

Selon Yoo, le pays devrait se munir du Terminal High Altitude Area Defense (THAAD) et du Standard Missile 3 (SM-3). Le THAAD est un système de défense antimissile développé par Lockheed Martin ayant une portée de 40 à 150km et capable d’intercepter les missiles en haute altitude et de longue portée. Le SM-3 est un missile lancé depuis les navires, utilisé par la marine américaine pour intercepter les missiles de courte et moyenne portées dans le cadre du système de défense antimissile Aegis. Les premières versions de ce missile ont une portée maximale de 500km.

 

Yoo a appelé le gouvernement à faire des efforts diplomatiques pour résoudre l’impasse nord-coréenne à travers un dialogue multilatéral, tout en enjoignant l’armée à se préparer contre les menaces d’agression. «Bien que le bouclier nucléaire américain contribuerait à la victoire en cas de guerre, il ne peut pas protéger les vies», a dit Yoo. «Les questions diplomatiques avec la Chine doivent être résolues diplomatiquement mais le gouvernement ne doit pas abandonner son système de défense antimissile à cause de l’opposition de la Chine.»

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10 janvier 2014 5 10 /01 /janvier /2014 14:40
Rafale photo S. Fort - Dassault Aviation

Rafale photo S. Fort - Dassault Aviation

10.01.2014 Michel Cabirol - LaTribune.fr

 

Le ministère de la Défense a signé un chèque d'environ 1 milliard d'euros pour améliorer les performances du Rafale. L'avion de combat de Dassault Aviation sera équipé du missile air-air Meteor et d'une nouvelle nacelle de désignation laser (Pod).

En dépit du dernier échec du Rafale au Brésil, la France croit toujours aux chances de l'avion de combat de Dassault Aviation à l'export. Et continue de l'améliorer. A l'occasion de la visite du site de Mérignac de Dassault Aviation, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a remis aux industriels concernés le contrat de développement et d'intégration d'un nouveau standard du Rafale dit F3R, comme il l'avait annoncé en novembre dans une interview à "La Tribune". Les négociations ont été finalisées avec la direction générale de l'armement (DGA) le 30 décembre dernier. Au total, "environ un milliard d'euros devraient être consacrés à ces travaux qui viendront irriguer l'ensemble du secteur industriel de l'aviation de combat", a expliqué le ministère de la Défense.

"C'est un signal très clair de notre volonté d'investir sur le Rafale et sur tout un secteur stratégique, celui de l'aéronautique de combat, pour le maintenir au meilleur niveau mondial", a indiqué Jean-Yves Le Drian. "C'est également la garantie de disposer sur le long terme d'une ligne de produits qui répondront aux exigences de l'export", a-t-il précisé. C'est clair, l'actuel gouvernement ne lâche pas ce fleuron de l'industrie nationale. Les meilleurs espoirs de vente du Rafale restent le Qatar et l'Inde. A moyenne échéance, les Emirats Arabes Unis et la Malaisie.

 

Le missile Meteor à bord du Rafale

Comme pour tous les précédents avions de combat français, le programme Rafale s'appuie sur des développements continus permettant d'adapter l'appareil par standards successifs à l'évolution du besoin. Ce nouveau standard repose notamment sur l'intégration du missile air-air longue portée Meteor (MBDA) et de la nacelle (ou Pod) de désignation laser nouvelle génération PDL NG, développée par Thales et dont le contrat a également été notifié le 30 décembre pour un montant de 119 millions d'euros. Le missile Meteor "très performant sera d'une efficacité maximale grâce au radar dit à antenne active qui équipe les Rafale livrés en série depuis mi-2013", a expliqué Dassault Aviation dans son communiqué.

La qualification du PDL NG est attendue "mi-2018 en cohérence avec celle du nouveau standard F3-R du Rafale", a précisé la DGA dans un communiqué séparé. Ce POD sera utilisé principalement pour la mise en œuvre des frappes air-sol, de jour comme de nuit. Développé par Thales Optronique, il vise à disposer de moyens adaptés pour la recherche et l'identification de cibles de petite taille et permettant des frappes air-sol de grande précision. Ce programme, prévu au titre de la Loi de programmation militaire (LPM) 2014-2019, permet de soutenir la filière optronique française. La LPM prévoit la commande de 20 PDL NG dont 16 seront livrés en 2018-2019.

 

Des évolutions qui renforcent sa polyvalence

Le standard F3-R du Rafale permet également des améliorations nécessaires pour faire face à l'évolution de l'environnement à l'horizon 2018 : améliorations du système d'armement à l'image de la bombe AASM (Armement Air Sol Modulaire) de Safran, et de navigation, des liaisons de données, du radar RBE2 et du système de guerre électronique Spectra... La version à guidage terminal laser des bombes AASM est particulièrement adaptée aux cibles mobiles. Cette famille d'armements à guidage principal GPS et propulseur additionnel a notamment permis au Rafale, pendant les opérations en Libye (2011), de détruire des objectifs à plusieurs dizaines de kilomètres de distance, avec une précision métrique.

L'ensemble de ces évolutions fonctionnelles et matérielles "renforce le caractère omnirôle du Rafale", a expliqué le ministère. En clair, sa polyvalence. Il peut, au cours du même vol, assurer différents types de missions, par exemple l'attaque au sol et la défense aérienne. Le Rafale assure toute la gamme de missions dévolues à un avion de chasse : supériorité et défense aérienne, attaque d'objectifs terrestres ou maritimes, appui-feu rapproché de troupes au sol, reconnaissance, frappe nucléaire. "C'est aussi le premier appareil conçu dès l'origine pour opérer aussi bien à partir d'une base terrestre que depuis un porte-avions", a également rappelé le ministère.

 

180 Rafale commandés

A ce jour, 180 avions de série ont été commandés et 126 appareils livrés dans ses 3 versions : à savoir 39 monoplace embarqué "M" pour la marine, 42 biplace "B" et 45 monoplace "C" pour l'armée de l'air. Le Rafale a été déployé pour des opérations de combat en  Afghanistan, en Libye et au Mali. Les principaux industriels assurant la réalisation du Rafale sont Dassault Aviation (maître d'œuvre), Thales (électronique), Safran (motoriste) et MBDA (missilier). Au total, 500 entreprises françaises sont associées au programme Rafale.

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10 janvier 2014 5 10 /01 /janvier /2014 13:56
MBDA-built MdCN missile

MBDA-built MdCN missile

 

10 January 2014 naval-technology.com

 

DCNS has tested loading of a model of the Missile de Croisière Naval (MdCN) naval cruise missile in cooperation with the French Navy crew of the third Frégate Européen multi-mission (FREMM)-class frigate Normandie.

 

During the loading trials, conducted at the company's dockyard in Lorient, Brittany, France, the DCNS technicians and French Navy crew demonstrated the loading of a model of the MdCN naval cruise missile.

 

The crew's ability to safely load the cruise missiles of board the FREMM frigates has also been demonstrated as part of the trial.

 

DCNS FREMM programme manager Anne Bianchi said: "Talks are ongoing with government services to set up a first firing of the MdCN from the ship, which could take place as early as this year."

 

MBDA received a contract from the DGA in 2006 for the supply of 200 MdCN naval missiles for installation on to the French Navy's Frégate Européen multi-mission (FREMM) ships and its Barracuda nuclear-powered attack submarines by 2014 and 2017 respectively.

 

The naval variant of the Storm Shadow / SCALP air-launched cruise missile system is being developed in two configurations; the first being a vertical launch from the FREMM vessels using the compact A70 vertical launcher, while the other is a submarine configuration, where the weapon can be launched through torpedo tubes.

 

The MdCN missile, capable of destroying infrastructure targets of high strategic value, underwent its first in-flight test from a vertical launcher in May 2010, while the first submarine trial was conducted successfully in June 2011.

 

The loading trial has been conducted at request of the French Direction Générale de l'Armement's (DGA), with the assistance of MBDA, the developer and supplier of the missile as well as the launcher installation

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10 janvier 2014 5 10 /01 /janvier /2014 08:40

 

MOSCOU, 8 janvier - RIA Novosti

 

De nouveaux équipements, dont des complexes radars, seront remis au cours de l'année 2014 aux Troupes de défense aérospatiale russe (VKO), a annoncé mercredi aux journalistes un porte-parole du ministère de la Défense du pays.

 

"En 2014, des unités du Commandement de la défense antiaérienne et antimissile des forces aérospatiales recevront six complexes de radars Nebo-M ainsi que 23 stations radar "Podlet" et "Sopka"", a indiqué la source.

 

Et de préciser que des radars modernisés, dont "Desna" et "Kasta", seraient remis aux troupes aérospatiales russes au cours de cette année.

 

Le commandant des troupes, Alexandre Golovko, avait antérieurement annoncé qu'en 2014 un lot de missiles sol-air S-400 équiperait les forces de la défense aérospatiale.

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10 janvier 2014 5 10 /01 /janvier /2014 08:35
UGM-84 Harpoon missile photo US Navy

UGM-84 Harpoon missile photo US Navy

 

09/01/2014 by Paul Fiddian - Armed Forces International's Lead Reporter

 

The Republic of China Navy has received its first consignment of Harpoon anti-ship missiles from the United States.

 

Placed in 2008, the Taiwanese Harpoon missile order comprises 32 UGM-84L Harpoon Block IIs and pairs of UTM-84L training missiles and weapon control systems.

 

According to Taiwanese officials, the submarine-launched Harpoons will reinforce the Republic of China Navy's attack capability, supplementing the Harpoon missile variants already carried by its frigates and the Republic of China Air Force's F-16 A/B Block 20 Fighting Falcon combat aircraft.

 

Taiwanese Harpoon Missiles

 

When first placed, the Taiwanese Harpoon missile order irked China, which strongly protested. More recently, Taiwanese-Chinese relations have improved significantly but still hanging over Taiwan is the prospect of an invasion. It's for that reason that Taiwan is steadily acquiring new or upgraded military technologies.

 

"The [Harpoon] missiles will be able to extend the range of the...submarines' striking capabilities, enabling them to launch a pre-emptive attack when necessary", explained Andrew Hsia - deputy defence minister - in comments quoted by Taiwan's Central News Agency.

 

Sub-Launched Harpoons

 

Each submarine-launched Harpoon has a 150 nautical mile range, greatly extending the reach of the Republic of China Navy's current in-service torpedoes. All-weather capable, the Block II missiles have an over-the-horizon capability and, fitted with a 500 pound blast warhead, are designed to strike a variety of targets.

 

The UGM-84L missiles will equip the Navy's two Chien Lung-class submarines. Constructed in The Netherlands, these are modified variants of the Zwaardvis-class submarines, themselves based on an earlier US-designed submarine. Named Hai Lung and Hai Hu, the two submarines entered service in 1987 and 1988, respectively, and each has now been modernised in order to carry the Harpoons.

 

With the first batch of Harpoons delivered, the remainder are scheduled to arrive in Taiwan before the end of 2016.

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10 janvier 2014 5 10 /01 /janvier /2014 08:20
Lockheed Martin Receives $449 Million in Contracts for JASSM® Production

 

 

Orlando, Fla., Jan. 9, 2014 Lockheed Martin

 

Lockheed Martin [NYSE: LMT] received two production contracts on Dec. 19 totaling $449 million from the U.S. Air Force for continued production of the Joint Air-to-Surface Standoff Missile (JASSM) and the Extended Range (ER) variant.

 

The Lot 11 and Lot 12 contracts include production of 340 baseline missiles and 100 ER missiles. The contracts also include systems engineering, logistics support, tooling and test equipment. This is the first time the JASSM program has been awarded consecutive production lots at the same time.

 

“These contracts bring the total number of JASSM cruise missiles on contract to over 2,100, and underscore the U.S. Air Force’s and Lockheed Martin’s commitment to the program,” said Jason Denney, program director of Long Range Strike Systems at Lockheed Martin Missiles and Fire Control. “JASSM’s high reliability and capability allow it to defeat high-value, well-defended current and future threats.”

 

The contract awards follow several JASSM program milestones, including Foreign Military Sales contracts to integrate JASSM onto the Republic of Finland’s F/A-18C/D aircraft. They also represent the third and fourth production lots for JASSM-ER, which successfully completed U.S. Air Force Initial Operational Test and Evaluation flight testing in August 2012.

 

Armed with a dual-mode penetrator and blast-fragmentation warhead, JASSM and JASSM-ER cruise autonomously day or night in all weather conditions. Both missiles share the same powerful capabilities and stealthy characteristics, though JASSM-ER has more than two-and-a-half times the range of the baseline JASSM for greater standoff margin. These 2,000-pound cruise missiles employ an infrared seeker and Global Positioning System receiver to dial into specific target aimpoints.

 

JASSM and JASSM-ER are critical weapons for the U.S. Air Force. Highly effective against high-value, well-fortified, fixed and relocatable targets, the stealthy JASSM is integrated on the U.S. Air Force’s B-1B, B-2, B-52, F-16 and F-15E. The B-1B also carries JASSM-ER.

 

Internationally, JASSM is integrated on the Royal Australian Air Force’s F/A-18A/B. Future integration efforts will focus on the U.S. and international versions of the Lockheed Martin F-35 Lightning II fighter aircraft and other international platforms.

 

JASSM is produced at the company’s award-winning manufacturing facility in Troy, Ala., honored as one of the “Top 10 Best Plants in America” by Industry Week magazine for 2012. The facility has assembled more than 1,400 JASSM cruise missiles for testing and operational use toward a total U.S. Air Force objective of 4,900.

 

Headquartered in Bethesda, Md., Lockheed Martin is a global security and aerospace company that employs about 116,000 people worldwide and is principally engaged in the research, design, development, manufacture, integration, and sustainment of advanced technology systems, products, and services. The Corporation’s net sales for 2012 were $47.2 billion.

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8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 12:55
Un nouveau commandant des sous-marins nucléaires à Brest

 

Brest - 07 Janvier Ouest-France

 

Fabrice d'Ornano succède à Fabrice Legrand à la tête de l'escadrille des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins.

 

Le capitaine de vaisseau Fabrice d’Ornano est le nouveau commandant de l’Escadrille des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (ESNLE). Il remplace le capitaine de vaisseau Fabrice Legrand qui prend ses fonctions de chef d’état-major à l’État-major de la force océanique stratégique et des forces sous-marines (EM Alfost).

 

Fabrice d’Ornano est né à Antony (92) en 1965 et a intégré l’École navale en 1987. Il a rejoint les forces sous-marines quelques années après et a servi sur sous-marins nucléaires d’attaque à Toulon et sur sous-marins nucléaires lanceurs d’engins à Brest. Il a, à son actif 23 665 heures de plongée.

 

L’Escadrille des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (ESNLE) est basée à Brest et compte quatre sous-marins à l’Ile-Longue : Le terrible, Le Vigilant, Le Triomphant et Le Téméraire.

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8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 12:30
Israël teste le système anti-missile Arrow 3 pendant la visite de Kerry

 

03 janvier 2014 Romandie.com (AFP)

 

JERUSALEM - Israël a procédé vendredi avec succès à un deuxième test de son système Arrow 3, mis au point avec les Etats-Unis pour intercepter les missiles balistiques, a indiqué un porte-parole du ministère de la Défense.

 

Cet essai a eu lieu en pleine visite du secrétaire d'Etat américain John Kerry en Israël et dans les Territoires palestiniens, où il s'efforce de faire avancer le processus de paix.

 

Un deuxième test en vol de l'intercepteur Arrow 3 a été mené avec succès (...) au-dessus de la mer Méditerranée le matin, a précisé le ministère dans un communiqué. Il a effectué une trajectoire extra-atmosphérique dans l'espace, conformément aux plans.

 

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui a revu M. Kerry vendredi après une première série d'entretiens jeudi, a salué la réussite de l'essai du système Arrow 3, fruit de la coopération israélo-américaine.

 

De son côté, le sénateur républicain John McCain, en visite en Israël et proche de la droite au pouvoir, a qualifié le test de succès historique.

 

M. McCain a estimé que ce système défensif atteste amplement (...) du meilleur de la technologie israélienne et américaine.

 

Arrow 3 (Hetz en hébreu), testé une première fois en février 2013, comporte un radar qui détecte les missiles, puis transmet les informations à un centre de contrôle, lequel déclenche le lancement d'un missile après avoir analysé et calculé la trajectoire de celui à intercepter.

 

Il est en partie financé par les Etats-Unis, avec notamment la participation de l'avionneur Boeing.

 

Le lancement du projet Arrow remonte à 1988, dans le cadre du programme antibalistique américain connu sous le nom de Star Wars. Il a été accéléré après le bombardement du territoire israélien par des missiles Scud irakiens durant la première guerre du Golfe, en 1991.

 

Israël accuse en outre l'Iran de vouloir se doter de l'arme atomique, et craint qu'il équipe ses missiles balistiques de têtes nucléaires, ce que dément Téhéran.

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8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 08:35
South Korea eyes more Aegis destroyers

 

SEOUL, Jan. 6 (UPI)

 

South Korea's Joint Chiefs of Staff have decided to procure three additional Aegis destroyers, bringing its Aegis fleet to six ships.

 

The vessels will be procured by the mid-2020s if a budget for them is secured, boosting the country's naval defenses against threats from North Korea, according to Ministry of National Defense officials.

 

"We'll expand our ballistic missile detection and tracking, and anti-submarine capability to prepare for asymmetric threats from North Korea, such as nuclear weapons, missiles and submarines, and their local provocation," an unidentified official said. "In real wartime, we will significantly improve our area anti-aircraft defense and striking power against surface ships and ground high-payoff targets.

 

"Moreover, for the potential threat around the Korean Peninsula, we will improve our reaction capability on the ocean sovereignty defense."

 

South Korea's Navy operates three Aegis destroyers, which were procured in 2008, 2010 and 2012. While one is operational, one is used as a standby vessel, with the third in maintenance.

 

"As we're seeking for further military strength, such as a task fleet, additional Aegis ships are essential for more effective operation," an MND official said.

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8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 08:30
Israel moves closer to anti-missile shield with Arrow 3 test

 

TEL AVIV, Israel, Jan. 6 (UPI)

 

Israel's latest test-firing of its high-altitude Arrow 3 anti-ballistic missile system marks a major step toward the Jewish state's plan to build a multilayer missile defense shield against everything from Iranian intermediate-range ballistic weapons to home-made rockets built by Palestinian militants.

 

The Arrow, under development by state-run Israel Aerospace Industries and the Boeing Co. of the United States, will be Israel's primary defense against ballistic missiles when it's declared operational. That's currently expected to be some time in 2015.

 

The system's upgraded missile underwent its second flight test Friday over the eastern Mediterranean although it did not involve an interception, officials reported.

 

The test took place at the Palmahim air force base on the coast south of Tel Aviv. The two-stage Arrow reached its operational altitude outside Earth's atmosphere where it is designed to shoot down ballistic missiles high enough to disintegrate chemical, biological or nuclear warheads.

 

Yair Ramati, head of the Israel Missile Defense Organization, said the test, which was attended by U.S. officials, involved the solid-fuel exo-atmosphere interceptor jettisoning its booster rocket.

 

"The kill vehicle continued to fly in space and conducted various maneuvers ... for a couple of minutes" using thrust vectors, Ramati reported.

 

The interceptors do not carry explosives, but destroy their targets by ramming them at closing speeds of thousands of feet per second and vaporizing them.

 

The Arrow 3 system will constitute the topmost tier of the planned Homa -- Hebrew for The Wall -- defense shield and will be dedicated to intercepting ballistic missiles held by Iran, the embattled Syrian regime of President Bashar Assad, and, increasingly, Hezbollah in Lebanon.

 

U.S. officials are reported to believe Hezbollah, which is backed Tehran and Damascus, is smuggling the components of advanced missile systems into Lebanon from Syria where the systems were delivered by Russia in the last two years to build up their arsenal of long-range weapons capable of hitting anywhere in Israel.

 

Shipments already in Lebanon are believed to include several supersonic P-800 Yakhont anti-ship missiles. Seventy-two of these weapons were delivered to Syria in 2012-13.

 

The Yakhont, considered the most advanced missile of its type in the world, "represents a new type of threat," Vice Adm. Eliezer Maron, Israel's former navy commander, warned Sunday, since defense systems to counter such missiles are subsonic.

 

He said Israel has defenses in place against the sea-skimming Yakhont, but gave no details. The Israelis say their offshore natural gas fields likely would be a prime target for the Yakhont.

 

The 33-month-old civil war in Syria has raised questions about Assad's control over his military's Russian Scud B and C ballistic missiles. Israel estimates the regime, which is decommissioning its chemical weapons, has used about half of its several dozen Scuds against rebel forces.

 

Arrow 3, which underwent its first flight test Feb. 25, 2012, is the latest variant of the system IAI, flagship of Israel's defense industry, which has been developing it with the Americans since 1988 at a cost well in excess of $1 billion.

 

Arrow 1 was first deployed in 2000. Arrow 2, with at least two batteries operational, will back up Arrow 3 at lower altitudes when the new variant becomes operational, picking off any ballistic missiles that get through the first line of defense in space.

 

The next tier down in the missile shield is the David's Sling system defense under development by Rafael Advanced Defense Systems and the U.S. Raytheon Co. to counter medium-range missiles and rockets.

 

The bottom layer is Rafael's upgraded Iron Dome system, primarily designed to intercept short-range rockets.

 

It was deployed in early 2012 and the Israeli military boasts it has destroyed 84.6 percent of the targets it engaged in clashes with Palestinian militants.

 

That claim has been questioned by some Israeli missile experts, who say it has been highly inflated to boost the morale of Israelis who have been repeatedly warned they face the prospects of sustained weeks-long missile bombardment by their adversaries if a new war breaks out.

 

This has fueled concerns the multi-tier defense system might not be able to cope with a major missile attack on all fronts, which single-interception trials cannot simulate.

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8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 07:35
Editorial: South Korea to Purchase Israeli Spike Missiles

 

08 January 2014 By Zachary Keck – Pacific Sentinel

 

According to news reports, South Korea will buy additional precision-guided missiles from Israel.

 

South Korea is purchasing additional Israeli-made Spike missiles local newspaper Chosun Ilbo reported, citing a statement released by South Korea’s Defense Acquisition Program Administration (DAPA).

“We’ve recently struck a deal with the Israeli manufacturer of the missile” the report cited DAPA as saying.

It went on to say that the missiles will be equipped on AgustaWestland’s Wildcat maritime choppers that South Korea intends to purchase. According to Chosun Ilbo, Spike missiles are capable of hitting a window-sized target from 25 kilometers away.

South Korea has previously purchased Spike missiles from Israel. The Republic of Korea (ROK) military began deploying the missiles back in May and first tested one of them in October of last year. Seoul also displayed them at a military parade in October. They are currently stationed on the Yeonpyeong and Baengnyeong Islands in the Yellow Sea near North Korea. 

 

Read the full story at The Diplomat

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