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22 avril 2013 1 22 /04 /avril /2013 16:35
Soviet tanks leave afghanistan in 1989 source BBC

Soviet tanks leave afghanistan in 1989 source BBC

MOSCOU, 19 avril - RIA Novosti

 

La direction de l'Otan a décidé de tenir compte de l'expérience de l'URSS pour le retrait de ses troupes d'Afghanistan, prévu pour 2014. En effet, les effectifs de l’alliance coïncident parfaitement avec ceux de l'armée soviétique en Afghanistan de 1988, écrit vendredi le quotidien Kommersant.

 

Plusieurs sources affirment que les représentants de l'Otan s'intéressent de près aux dossiers traitant du retrait des troupes soviétiques d'Afghanistan, ce que confirme une source de l'état-major des forces armées russes. Selon elle, l'Otan a contacté fin mars le ministère russe de la Défense pour demander officieusement un accès aux informations sur le retrait des troupes soviétiques d'Afghanistan en 1989. L'alliance souhaiterait rencontrer les responsables de l'époque et analyser les documents du ministère de la Défense portant sur la période afghane. De plus, l'Otan voudrait comparer les capacités de mobilisation de l'URSS à la fin de la campagne afghane à ses possibilités actuelles afin d'avoir un tableau plus clair et comprendre où et à quel moment des erreurs ont été commises.

 

"Il n'y a aucune raison de décliner la requête de nos partenaires, déclare une source du ministère de la Défense. Si cette information s'avérait utile, cela permettrait de renforcer notre dialogue.

 

" La source rappelle également que la stabilisation de la situation en Afghanistan est une priorité non seulement pour l'Otan mais aussi pour la Russie et l'OTSC (Organisation du traité de sécurité collective).

 

Selon les sources russes proches du Conseil Otan-Russie, l'intérêt de l'alliance n'est pas ponctuel. L'Otan s'était déjà intéressée à l'expérience afghane de l'URSS : fin 2011, ce thème avait été soulevé lors d'un entretien entre le général Boris Gromov (vétéran de la guerre en Afghanistan et ex-ministre adjoint de la Défense), gouverneur de la région de Moscou de l'époque, et la délégation de l'alliance présidée par le chef de l'Otan en Europe, l'amiral James Stavridis.

 

Les représentants de l'Otan n'affichent pas officiellement leur intention de faire appel à l'expérience soviétique. Le général Knud Bartels, président du Comité militaire de l'OTAN qui s'est rendu à Moscou en décembre dernier, a déclaré publiquement que l'alliance n'avait pas utilisé l'expérience soviétique pour la planification du retrait des troupes d'Afghanistan.

 

Les sources russes expliquent que de toute évidence, l'Otan souhaite éviter qu'on associe sa campagne afghane actuelle à la présence des troupes soviétiques – une période qualifiée d'"occupation" en Occident. C'est probablement ce qui explique le caractère officieux de la demande de l’alliance.

 

Fin mars, la presse britannique avait publié des extraits du rapport "Les leçons du retrait des troupes soviétiques d'Afghanistan", affirmant que l'Otan répétait les erreurs de l'URSS dans sa campagne afghane. Le document explique que chaque campagne a eu pour but d'imposer à l'Afghanistan une idéologie : communiste dans le cas soviétique et démocratique dans le cas de l'Otan. Selon les analystes britanniques, le gouvernement central était dans les deux cas soutenu par des forces extérieures, corrompu et impopulaire.

 

Les experts russes pensent que l'appel de l'Otan est tout à fait justifié. "C'est un axe très prometteur de coopération mais on ignore dans quelle mesure ce sera affiché, a déclaré Dmitri Danilov, chef du département de la sécurité européenne à l'Institut de l'Europe. L'expérience afghane de Moscou implique une grande base d'informations et une connaissance de la situation intérieure, y compris la disposition des forces et les relations interethniques. Beaucoup de choses ont changé depuis l'époque soviétique mais la continuité demeure et par conséquent, il ne faut pas sous-estimer cette expérience."

 

Des pourparlers à ce sujet pourraient se tenir pendant la conférence internationale pour la sécurité organisée par le ministère russe de la Défense, les 23 et 24 mai à Moscou.

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20 avril 2013 6 20 /04 /avril /2013 11:45
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

19/04/2013 Sources : EMA

 

Le 16 avril 2013, la frégate de surveillance (FS) Nivôse, engagée dans l’opération européenne de lutte contre la piraterie Atalante, a été ravitaillée à la mer par le pétrolier-ravitailleur américain l’ USNSLaramie.

 

Dans le cadre d’accords militaires entre les pays de l’OTAN, et sans être engagés dans la même opération, les bâtiments français ont la possibilité de se ravitailler en mer auprès des bâtiments de l’Alliance. Ces dispositions permettent au Nivôse de maintenir sa présence en mer plus longtemps et de pouvoir rejoindre à tout moment une nouvelle zone de patrouille sur ordre du bâtiment amiral de l’opération Atalante, la frégate lance-missiles portugaise NRP Alvares Cabral.

photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

Après s’être positionnée sur l’arrière du ravitailleur, la frégate française s’est glissée le long des 206 mètres de coque du ravitailleur. Selon les procédures habituelles, les deux bâtiments adoptent une route parallèle à moins de 40 mètres l’un de l’autre puis procèdent au ravitaillement en combustible de navigation et en carburant pour aéronef.

photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

La grande fluidité de cette opération est due à la maîtrise des procédures de l’OTAN par les deux équipages. Communiquant par messages tactiques et pavillons, les timoniers échangent les ordres. En quelques minutes, les tirs de lance-amarre des manœuvriers permettent d’établir la ligne de distance et les manches de distribution de carburant. Cette manœuvre a démontré une nouvelle fois l’interopérabilité des bâtiments de l’OTAN.

La frégate de surveillance Nivôse participe depuis le 10 avril 2013 à l’opération Atalante aux côtés du bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre, de la frégate anti-sous-marine (FASM) Georges Leygues et du patrouilleur Adroit.

L’opération Atalante a pour mission d’escorter les navires du programme alimentaire mondiale (PAM), de participer à la sécurité du trafic maritime et de contribuer à la dissuasion, à la prévention et à la répression des actes de piraterie au large des côtes somaliennes. La France participe à l’opération Atalante avec le déploiement permanent d’au moins une frégate de la Marine nationale. Le dispositif peut être renforcé ponctuellement d’un avion de patrouille maritime, le plus souvent un Atlantique 2 (ATL 2), d’un Falcon 50 ou d’un Awacs.

photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 13:05
Prise de fonction du COL Poulette nouveau SNR et JLSG commander

Prise de fonction du COL Poulette nouveau SNR et JLSG commander

19/04/2013 Sources : EMA

 

Le 15 avril 2013, au camp de Film City, à Pristina au Kosovo, a eu lieu la cérémonie de passation de commandement du Joint Logistics Support Group (JLSG) de la KFOR.

 

La cérémonie était présidée par le commandant de la KFOR (COMKFOR), le général Volker Halbauer, en présence de l’ambassadeur de France au Kosovo, son excellence Madame Maryse Daviet, et de nombreux invités.

 

Le colonel Thierry Poulette du Centre des Forces Terrestres (CFT) de Lille  succède au colonel Charles Sevin de l’Etablissement Central du SIMU (Service interarmées des munitions)  de Versailles.

 

Le JLSG a pour objectif d’assurer à la KFOR le soutien logistique de théâtre. En effet, compte tenu des coûts logistiques supportés par les nations participant aux opérations de l’OTAN depuis 2004, l’état-major de l’OTAN a décidé de faire  de la logistique multinationale une responsabilité collective, dans son concept de soutien logistique aux opérations NRF (Nato Response Force). Le JLSG de la KFOR a été le premier à être testé en opération en janvier 2010 pour en valider le concept.

passation de commandement au JLSG : Le 15 avril 2013, au camp de Film City, à Pristina au Kosovo, a eu lieu la cérémonie de passation de commandement du Joint Logistics Support Group (JLSG) de la KFOR

Prise de fonction du COL Sevin et COL Poulette devant le COMKFOR

Prise de fonction du COL Sevin et COL Poulette devant le COMKFOR

A l’occasion de la cérémonie, le colonel Poulette a également pris les fonctions de représentant des éléments français au Kosovo (SNR -Senior national representative).  Le SNR français, au sein de l’état-major de la KFOR, est responsable de l’engagement opérationnel  des militaires français dans l’opération. A ce titre il représente les forces françaises de la KFOR  auprès des autres contingents et constitue le lien entre le CPCO (Centre de planification et de conduite des opérations) de l’Etat-major des armées et l’Etat-major de la KFOR au Kosovo.

 

La KFOR participe au maintien d’un environnement sûr et sécurisé au profit de l’ensemble de la population du Kosovo, en collaboration avec la mission des Nations unies au Kosovo (MINUK), la mission de l’union européenne (EULEX). Déployée au Kosovo depuis 1999, la force armée multinationale KFOR (force pour le Kosovo), mise en œuvre par l’OTAN a connu plusieurs réorganisations en fonction de l’évolution de la situation sécuritaire.

 

Près de 320 militaires français sont actuellement engagés au Kosovo, dans le cadre de l’opération TRIDENT.

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12 avril 2013 5 12 /04 /avril /2013 07:55

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2013/images-avril-2013/le-general-thierry-caspar-fille-lambie-commandant-la-defense-aerienne-et-les-operations-aeriennes-cdaoa-et-monsieur-philippe-errera/2264275-1-fre-FR/le-general-thierry-caspar-fille-lambie-commandant-la-defense-aerienne-et-les-operations-aeriennes-cdaoa-et-monsieur-philippe-errera.jpg

Le général Thierry Caspar-Fille-Lambie, commandant la défense aérienne et les opérations

aériennes (CDAOA), et Monsieur Philippe Errera

 

11/04/2013 Armée de l'air

 

Le 9 avril 2013, le général Thierry Caspar-Fille-Lambie, commandant la défense aérienne et les opérations aériennes (CDAOA), a accueilli sur la base aérienne 942 de Lyon Mont-Verdun, Monsieur Philippe Errera, ambassadeur et représentant permanent de la France auprès de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (Otan).

 

Après le vote du 17 mars 2009 de l’Assemblée nationale, la France a réintégré le commandement militaire intégré, en particulier au sein du NATINADS(Nato Air Defense system - système Otan de défense aérienne intégrée). Monsieur Errera s’est ainsi vu présenter les trois grandes entités de la brigade aérienne des opérations : le centre national des opérations aériennes, le centre d’analyse et de simulation pour la préparation aux opérations aériennes ainsi que le Joint Force Air Component Command (JFACC- commandement de la composante aérienne de la force interarmées). Une visite au cœur du dispositif français de défense aérienne qui a donné l’opportunité au général Caspar-Fille-Lambie de mettre en exergue les formations enseignées en matière de commandement et de contrôle (C2 « Air ») et d’aborder les capacités nationales de planification, de programmation et de conduite des opérations aériennes.

 

L’opération Serval menée au Mali a servi d’exemple concret pour présenter les problématiques liées à la construction d’une structure « C2 Air » tout comme sa capacité à durer.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2013/images-avril-2013/presentation-au-centre-national-des-operations-aeriennes/2264353-1-fre-FR/presentation-au-centre-national-des-operations-aeriennes.jpg

Présentation au centre national des opérations aériennes

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11 avril 2013 4 11 /04 /avril /2013 07:50

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/1/10/Flag_of_Scotland.svg/800px-Flag_of_Scotland.svg.png

 

10 Apr 2013 By Auslan Cramb, Scottish Correspondent - telegraph.co.uk

 

An independent Scotland would not be able to join Nato unless it formally accepted its “nuclear umbrella”, according to the organisation’s former secretary general.

 

Lord Robertson of Port Ellen, who as George Robertson was a Labour defence secretary, said the confirmation from Nato that a separate Scottish state would have to apply for membership had left the SNP facing a “huge dilemma”.

 

It is committed to getting rid of Trident on the Clyde and he questioned whether its rank and file members would swallow the requirement to recognise the “supremacy” of US, UK and French nuclear weapons.

 

Opposition parties said Nato’s statement had left Alex Salmond’s defence policy in a “total mess”.

 

Lord Robertson supervised the entry of seven new members of Nato in 2002 and each one had to accept its strategic concept stating that “as long as nuclear weapons exist, Nato will remain a nuclear alliance”.

 

He said: “Either the SNP accept the central nuclear role of Nato and show that they will shed any principle to buy votes for separatism, or they reject the nuclear role of Nato and ensure that a separate Scottish state stays out of the world's most successful defence alliance."

 

The former cabinet minister added that all members of Nato, including Norway and Canada, backed the statement in favour of a nuclear deterrent.

 

He asked: “Does the SNP accept this unambiguous acceptance of the nuclear umbrella? The Strategic Concept has other deep problems for an SNP government. It goes on to say this: ‘The supreme guarantee of the security of the Allies is provided by the strategic nuclear forces of the Alliance, particularly of the United States; the independent strategic nuclear forces of the United Kingdom and France, which have a deterrent role of their own, contribute to the overall deterrence and security of the Allies”.

 

“Can the SNP, and its rank and file membership, swallow this unavoidable obligation? And where does the immediate expulsion of the Trident fleet from Scotland fit in this condition?”

 

He stepped into the debate after Nato said it had not had any discussions on Scottish independence, but a new state would not be a party to the North Atlantic Treaty, and therefore not a member of the alliance.

 

Michael Moore, the Scottish Secretary, said the First Minister had finally been forced to accept what everyone else has been telling him, that an independent Scotland would need to apply to Nato.

 

He added: “The SNP's party policy on Nato passed last year specifically states that, 'On independence, Scotland will inherit its treaty obligations with Nato'. This is a major u-turn by the party on their Nato policy and it shows that their claims have no foundation.”

 

Responding to a question from BBC Scotland, Nato said: "It appears widely agreed that, as a matter of law, a Scotland which has declared its independence and thereby established its separate statehood would be viewed as a new state.

 

"In the Nato context, the definitive determination on this question would be made by the member states, acting in the North Atlantic Council. If it were to choose to apply for Nato membership, its application would be subject to the normal procedure, as outlined in Article 10 of the Treaty."

 

The SNP is committed to non-nuclear membership of Nato after performing a controversial about turn on its previous opposition to the organisation at its annual conference last year.

 

Mr Salmond, who is in the US for the Scotland Week celebrations, said he was “certain” that its members would accept an independent Scotland opposed to nuclear weapons.

 

The First Minister, who has repeatedly pointed out that 25 of the 28 Nato members are non-nuclear, said membership could be negotiated in the period between a "yes" vote and Scotland becoming independent.

 

He added: “You have to come to agreement with your colleagues, and in that sense there is a parallel with the European Union, you notify your intent to remain a member.

 

"It is the exception rather than the rule to be a nuclear country, only Britain, France and America possess nuclear weapons.

 

"Many members of Nato, like Canada and Norway, have made it clear they won't host nuclear weapons on their soil, and that is respected by the other partners in the alliance.”

 

Jim Murphy, the Labour shadow defence secretary, said the SNP’s defence policy was in a “total mess”, adding: “This is yet another fact that the SNP wanted to keep Scotland in the dark about."

 

Ruth Davidson, the Scottish Conservative leader, said the SNP’s “chaotic” approach to Nato was to “stick its fingers in its ears and hope the assertions repeatedly made will eventually come true".

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11 avril 2013 4 11 /04 /avril /2013 07:20

CP-140 Aurora fleet - photo Canadian Forces

 

10/04/2013 par Jacques N. Godbout - 45enord.ca

 

Les équipages de deux avions de patrouille à long rayon d’action CP-140 Aurora sont revenus le mois dernier de l’exercice Proud Manta, rapporte aujourd’hui le site de l’Aviation royale canadienne.

 

Proud Manta, qui s’est déroulé au large des côtes de la Sicile, en Italie, du 23 février au 6 mars, est le plus grand exercice de guerre anti-sous-marine du monde : seize aéronefs, huit navires et quatre sous-marins de dix pays membres de l’OTAN participaient à l’exercice.

 

Du côté canadien, plus de 100 membres de l’Aviation royale canadienne (ARC) ont participé à l’exercice à partir de la à la base navale italienne de Sigonella.

 

Les deux Aurora et les quatre équipages appartenaient au 407e Escadron de patrouille à longue portée de la 19e Escadre Comox (Colombie-Britannique) ainsi et au 404e Escadron de patrouille à longue portée et d’entraînement et au 405e Escadron de patrouille à longue portée de la 14e Escadre Greenwood (Nouvelle-Écosse).

Un CC-177 Globemaster III du 429e Escadron de transport, basé à la 8e Escadre Trenton (Ontario), était également de la partie.

 

«Les scénarios d’entraînement comprenaient des exercices de communications entre des aéronefs, des navires et des sous-marins de plusieurs pays dans un contexte non menaçant ainsi que des scénarios de conduite de la guerre.», précise le texte de l’ARC.

 

Le CP-140 Aurora est le seul aéronef de surveillance à longue portée stratégique du Canada. Équipé de capteurs et de caméras perfectionnés, l’Aurora sert à patrouiller sur les côtes canadiennes et dans la région arctique afin d’exercer la souveraineté du Canada et de protéger nos eaux territoriales contre toute menace venant de l’étranger. L’Aurora est capable de détecter et de détruire les sous-marins furtifs de la toute dernière génération. Tout récemment, alors qu’il était stationné à Sigonella pour appuyer l’opération Unified Protector de l’OTAN, il a joué un rôle important dans le cadre de la contribution du Canada au soutien du peuple libyen.

 

Le CP-140 Aurora a un équipage de dix membres, dont deux pilotes, un mécanicien de bord, un navigateur tactique, un navigateur préposé aux communications et cinq opérateurs de détecteurs électroniques aéroportés. L’aéronef peut parcourir plus de 9 000 km – soit 5 000 milles marins – sans qu’il faille le ravitailler en carburant. Même s’il a été conçu pour la guerre anti-sous-marine, son autonomie de 17 heures en fait un appareil idéal pour toute une gamme de missions, dont la surveillance terrestre et la collecte de renseignements.

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 17:50

nato-emblem-300-dark-blue-lg

 

05 April 2013 thalesgroup.com

 

Massy, France (April 5, 2013) – On April 3rd, ThalesRaytheonSystems achieved a major milestone on the NATO Air Command and Control System (ACCS) program. This test program validated the ACCS system against a thorough list of operational requirements during 8 weeks of extensive testing at the NATO System Test and Validation Facility in Glons, Belgium.

 

This test was by far the most comprehensive and challenging test to date on the ACCS program, including the validation of all live system interfaces, full system redundancy, security requirements, and a highly complex series of performance tests that stressed the system in every aspect of peak load performance.

 

Successfully passing this important milestone now paves the way for NATO member states to proceed with system validation at their respective national air command and control facilities. Belgium, France, Germany and Italy will be the first four nations to conduct these tests, after which the ACCS system will be declared fully operational. Preparation for the national site tests has been taking place in parallel with system validation testing in order to ensure that this important capability is provided to the NATO operational community as soon as possible.

 

“This is a major step towards full deployment of a unified military air command and control system ultimately protecting 10 million square kilometers of airspace. The system will interconnect more than 20 military air control centers, providing a large spectrum of new and modern functionalities to all NATO air operators,” said Enzo Montalti, Program Director, Air C2, at NATO.

 

Elements of the ACCS are already in operational service at the NATO Air Command Center at Ramstein, Germany. They are currently being used 24/7 during Operation Active Fence in support of NATO’s Patriot deployment in Turkey.

 

“We are very proud of this success, which proves the readiness of the ACCS system to meet the challenging demands of our NATO customer’s mission.” said Jack Harrington, Chief Executive Officer of ThalesRaytheonSystems. “We are delighted to have worked so closely with NATO to reach this significant milestone and remain fully committed to the successful fielding of the ACCS system now underway at the 15 initial ACCS sites.”

 

Note to editors

 

ACCS is a smart defense system in that it provides all NATO nations with a common basis for training, standard procedures and centralized maintenance, significantly reducing support costs and increasing staffing flexibility. As NATO operations evolve in the future, ACCS is designed to adapt to new operational challenges, with continued advancements to Air C2 or additional ballistic missile defense capabilities. ACCS will provide the solid command and control foundation needed for future Alliance missions.

 

About ThalesRaytheonSystems

 

ThalesRaytheonSystems is an international company specializing in air defense systems, command and control systems, 3D air defense radars, battlefield and counterbattery radars. Since its inception in 2001, ThalesRaytheonSystems has become one of the defense industry’s most successful transatlantic joint ventures. The company employs 1,600 people and is equally owned by Thales and Raytheon.

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 16:50

http://www.heavyairliftwing.org/news/tizezer-repult-ora/image

 

April 8, 2013 defense-aerospace.com

(Source: NATO Support Agency; issued April 5, 2013)

 

SAC Heavy Airlift Wing C-17 Fleet Reaches 10 000 Flying Hours

 

A total flying time of 10 000 flying hours is the latest achievement of the Strategic Airlift Capability (SAC) Heavy Airlift Wing (HAW).

The 10 000 FH mark of the SAC fleet – three Boeing C-17 Globemaster III long-range cargo jets – was passed on the 2nd April 2013 on a training mission from the wing home base Pápa Air Base, Hungary by SAC-2, used for a check flight.

The HAW became active in July 2009 and its development from establishment phase to a fully operational unit has been quick.

Since the launch of the HAW, its C-17s have flown over 600 missions, delivered approximately 64 million pounds (over 29.000 tons) of cargo and carried over 38.000 passengers. The unit achieved Full Operational Capability (FOC) in November 2012. The HAW aircraft have performed a variety of missions according to the requests of the member nations.

In terms of number of missions, the most extensive operation of the HAW has been the support to the International Security Assistance Force (ISAF) in Afghanistan since 2009. The most recent new operation the wing entered in March this year, was to support the Economic Community of West African States (ECOWAS) actions in Mali taken according to a UN Security Council Resolution.

The Heavy Airlift Wing Commander, Colonel Frank Rombouts, expressed his sincere appreciation to all the SAC personnel to include the Heavy Airlift Wing, NATO Airlift Management Programme Office (NAMPO) and Boeing that make the C-17 operations of the multinational unit possible.

He also included Pápa Air Base, operated and maintained by the Hungarian Defence Forces, in his congratulations for making it possible to fly the C-17s on a daily basis.

"It would never have been possible without all the dedication and hard work of all personnel involved in the SAC Programme", Rombouts said.

The Strategic Airlift Capability and its operative arm, the Heavy Airlift Wing, based at Pápa Air Base, is a joint initiative of 12 nations: Hungary, Bulgaria, Estonia, Lithuania, the Netherlands, Norway, Poland, Romania, Slovenia and the United States (NATO members) and Finland and Sweden (NATO Partnership for Peace nations).

The 12 nations provide the programme with resources and personnel, and use it according to their agreed share of flying hours. Hungary is the host nation of the wing providing Pápa Air Base as its home base. The SAC C-17s also bear the Hungarian military aircraft insignia.

The manufacturer of the C-17, the Boeing Company, is responsible for contract flight line maintenance, engineering and technical support and management and supply of C-17 spare parts.

The aim of the SAC Programme with an expected lifespan of at least 30 years is to provide its member nations with strategic airlift capability, a resource needed in many different international and domestic operations. By acquiring, sharing and operating the C-17 fleet together the member nations can achieve access to an airlift resource that would be for most of them unfeasible to operate alone.

HAW Flight Hour Milestones:
• 1 000 flight hours: 12th February, 2010
• 2 000 flight hours: 12th August, 2010
• 3 000 flight hours: 7th December, 2010
• 4 000 flight hours: 1st April, 2011
• 5 000 flight hours: 9th September, 2011
• 6 000 flight hours: 9th December, 2011
• 7 000 flight hours: 1st April, 2012
• 8 000 flight hours: 16th August, 2012
• 9 000 flight hours: 7th December, 2012
• 10 000 flight hours: 2nd April, 2013

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6 avril 2013 6 06 /04 /avril /2013 11:35

Nuclear north korea

 

BRUXELLES, 6 avril - RIA Novosti

 

Les ministres des Affaires étrangères de Russie et des pays de l'Otan qui se réuniront à Bruxelles le 23 avril prochain se pencheront sans doute sur la situation autour de la Corée du Nord, a annoncé samedi à RIA Novosti une source diplomatique européenne.

 

"A la lumière des derniers événements, tout porte à croire que la discussion portera sur la situation autour de la Corée du Nord", a indiqué l'interlocuteur de l'agence, évoquant la future réunion ministérielle du Conseil Russie-Otan.

 

La péninsule coréenne connaît un net regain de tension ces dernières semaines. La Corée du Nord a transporté vendredi un deuxième missile de moyenne portée sur sa côte orientale et l'a hissé sur un lance-missiles mobile, alimentant les craintes d'un tir imminent qui aggraverait encore plus une situation déjà explosive.

 

Selon des experts américains, ce tir pourrait être réalisé à l'occasion des célébrations du 101e anniversaire de la naissance du fondateur de la République populaire démocratique de Corée (RPDC), Kim Il-song (né le 15 avril 1912, ndlr).

 

http://fr.rian.ru/images/19799/01/197990153.jpg

Rapport de forces sur la péninsule de Corée

 

Vendredi, Pyongyang s'est déclaré incapable de garantir la sécurité des ambassades étrangères à partir du 10 avril en cas de conflit. Aussi a-t-il proposé à l'ambassade russe, ainsi qu'aux autres ambassades, d'examiner la question de l'évacuation de leurs collaborateurs, compte tenu de l'aggravation de la situation sur la péninsule coréenne.

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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 16:50

http://assets.digital.cabinet-office.gov.uk/government/uploads/system/uploads/image_data/file/8613/s300_45143491G.jpg

HMS Victorious in the Clyde estuary (stock image)

Picture: Leading Airman Mez Merrill, Crown copyright

 

4 April 2013 Ministry of Defence

 

The Royal Navy's contribution to the alliance has been praised as it approaches 45 years of continuous submarine nuclear deterrent patrols.

 

NATO Secretary General Anders Fogh Rasmussen wrote to Defence Secretary Philip Hammond this week to thank the UK for its nuclear commitment to the alliance as the Royal Navy completed the 100th patrol by a Vanguard Class submarine.

 

In his letter, Mr Rasmussen wrote that NATO’s greatest responsibility is to protect and defend our territory and populations against attack. He stated that a great example of this has been the UK’s independent strategic nuclear forces which, through their constant vigilance and professionalism over these past 45 years, have helped ensure the freedom and security of the allies.

 

Philip Hammond said:

I welcome NATO’s acknowledgement of the UK’s continuing commitment to our collective security. Our ballistic missile submarine force forms a key part of the NATO security umbrella which protects the whole alliance.

 

Just because the Cold War is over doesn’t mean we should drop our guard or weaken our deterrent. No one knows what threats we may face in the future: powerful nuclear arsenals remain while a number of non-nuclear states are attempting to acquire nuclear weapons that could threaten us.

 

The Royal Navy’s continuous patrols beneath the oceans are vital to deterring our adversaries and key to reassuring our allies.

Prime Minister David Cameron visited HMS Victorious as she returned to Scotland today.

HMS Victorious
HMS Victorious (stock image) [Picture: Crown copyright]

The Prime Minister said:

As I visit HMS Victorious to welcome home her returning crew, I want to thank all those who provide our deterrent: the submariners, the families who support them and the 20,000 people who work onshore. All play their part in maintaining this nation’s ultimate weapon of defence.

The First Sea Lord, Admiral Sir Mark Stanhope, said:

Through the professionalism and commitment of its personnel operating and supporting Resolution and Vanguard Class ballistic missile submarines, the Royal Navy has played a fundamental role in the delivery of the independent strategic nuclear deterrent for the nation.

 

 I congratulate those who have undertaken this landmark 100th patrol of the Vanguard Class and recall with great pride their forebears, who have maintained continuous at-sea deterrence for some 45 years.

This week also marks the 50th anniversary of the UK-US Polaris Sales Agreement, the deal which enabled the UK’s purchase of the Polaris weapons system, and subsequently the Trident weapons system, with elements of the associated technical support.

 

The government is committed to maintaining a continuous submarine-based deterrent using the Trident ballistic missile system. There are 4 Vanguard Class deterrent submarines, one of which is always deployed on patrol.

Full text of Anders Fogh Rasmussen’s letter

Dear Secretary of State,

 

As our most recent strategic concept highlighted, the greatest responsibility of the alliance is to protect and defend our territory and populations against attack, as set out in Article 5 of the Washington Treaty.

 

A great example of this has been the UK’s independent strategic nuclear forces which, through their constant vigilance and professionalism over these past 45 years, have helped ensure the freedom and security of the allies.

 

These important UK capabilities will continue to play a crucial role as part of NATO’s appropriate mix of nuclear and conventional forces that both deter and defend against threats to our alliance.

 

With that in mind, I would wish to take this opportunity to congratulate the UK on the successful conclusion of the 100th patrol undertaken by the Vanguard class of submarine under Operation Relentless.

 

I would be grateful if you could please pass on my thanks to all those Royal Navy personnel who undertake these patrols, their families and those who support this operation for their dedication to this vital mission.

 

Yours sincerely,

 

Anders Fogh Rasmussen

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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 11:50

cyber warfare

 

2.04.2013 La Voix de la Russie

 

Les cyber attaques continuent de représenter une menace réelle pour l'OTAN, et la cyber défense restera une capacité centrale de l'Alliance.

 

L’OTAN a l’intention de la création des forces spéciales pour repousser les cyber attaques, a annoncé mardi le Secrétaire général de l’OTAN Anders Fogh Rasmussen.

 

« Nous avons un système de sécurité très efficace néanmoins l’OTAN se présente une cible pour des hackers. Mais il est nécessaire de le perfectionner, c’est « la course aux armements techniques» », a dit Rasmussen.

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 13:55

TLP, l'école des leaders par armee-de-l_air

 

26.03.2013 Par Armée de l'Air officiel

Du 4 au 30 mars 2013, près de 80 aviateurs ont participé au Tactical Leadership Programme (TLP), stage multinational formant les pilotes de chasse au label de « chef de mission ». Dispensée à Albacete en Espagne, cette formation est l’une des plus réputées et des plus exigeantes au monde.
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28 mars 2013 4 28 /03 /mars /2013 12:50

http://a136.idata.over-blog.com/300x200/4/22/09/08/Otan-Nato/Allied-Maritime-Component-Command---Northwood.gif

 

27/03/13 - 7sur7.be

 

Le quartier général de la marine de l'Alliance atlantique en Méditerranée (HQ MC Naples) a fermé mercredi après quarante ans d'activité et sera transféré à Northwood, en Grande-Bretagne, dans le cadre du redéploiement des forces armées de l'OTAN en Europe.

 

La base de commandement employait 180 militaires, issus de 19 nations, sur l'îlot de Nisida, situé en face à la ville de Naples, dans le sud de l'Italie.

 

Le centre de commandement maritime allié "MC Naples" était chargé depuis 1972 du contrôle de la navigation et des communications en mer Méditerranée. Ses membres ont joué un rôle actif lors de la guerre du Golfe et des crises dans les Balkans, et dernièrement lors de la crise libyenne.

 

En décembre 2012, le centre de Commandement interarmes "JFC Naples" avait quitté sa base historique de Bagnoli, près de Naples, pour des locaux modernes situés dans la même région.

 

La petite île de Nisida, qui aurait été décrite par Homère, et qui abrite un centre de détention pour mineurs, n'a pas encore reçu de nouvelle affectation.

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27 mars 2013 3 27 /03 /mars /2013 17:40

Nato Russia source natomission.ru

 

MOSCOU, 27 mars - RIA Novosti

 

La prochaine réunion du Conseil Russie-Otan au niveau des chefs des diplomaties aura lieu à Bruxelles en avril, a déclaré mercredi le délégué permanent de la Russie auprès de l'Alliance atlantique Alexandre Grouchko.

 

"La dernière réunion du Conseil Russie-Otan au niveau des ministres des Affaires étrangères s'est déroulée en décembre 2012. Une nouvelle réunion au niveau ministériel est programmée pour avril", a fait savoir M.Grouchko intervenant dans le cadre du jeu stratégique Modèle international du Conseil Russie-Otan (CRO-2013).

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27 mars 2013 3 27 /03 /mars /2013 17:40

Anders Fogh Rasmussen photo Nato

 

MOSCOU, 27 mars - RIA Novosti

 

Un système de défense antimissile unifié Russie-Otan ne serait pas efficace, a déclaré mercredi lors d'une vidéoconférence Moscou-Bruxelles le secrétaire général de l'Alliance Anders Fogh Rasmussen, intervenant dans le cadre du jeu stratégique Modèle international du Conseil Russie-Otan (CRO-2013).

 

"Je ne pense pas que ce soit efficace", a-t-il répondu à la question de  savoir si la mise en place d'un  système de défense antimissile unifié Russie-Otan était possible. 

 

Selon M.Rasmussen, l'Alliance préfère que deux systèmes de défense antimissile indépendants voient le jour. Les parties pourraient échanger des informations, interagir pour lutter contre les menaces communes et mener des manouvres conjointes. 

 

"Pour le moment, les populations de nos pays voudraient que leur sécurité soit assurée par leur propre Etat. Demandez aux Russes s'ils veulent que leur sécurité et celle du territoire russe soient assurées par l'Alliance. Je pense que la plupart d'entre eux répondront: +Non, c'est la responsabilité de notre pays+", a expliqué M.Rasmussen. 

 

Lors du sommet de l'Otan à Lisbonne en 2010, Moscou et Washington ont convenu de coopérer dans le domaine de la défense antimissile européenne. Toutefois, les parties n'arrivent toujours pas à s'entendre sur l'architecture du futur bouclier. Par ailleurs, le partenariat reste lettre morte, les Etats-Unis refusant de garantir que le futur bouclier ne menacera pas le potentiel nucléaire russe.

 

L'Alliance atlantique insiste sur la mise en place de deux systèmes de défense antimissile indépendants, mais coordonnés: l'un russe, l'autre otanien. Moscou propose pour sa part de créer un système indivisible intégrant les dispositifs des deux parties.

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24 mars 2013 7 24 /03 /mars /2013 12:30

Voies-de-retrait-d-Afghanistan-Jul-2012-source-LdDef.jpg

source LdDéf

 

March 22, 2013. defense-aerospace.com

(Source: International Relations and Security Network; issued March 21, 2013)

 

As ISAF prepares to withdraw its troops from Afghanistan, the instability of transport routes out of the country through Pakistan has opened up a powerful window of opportunity for Uzbekistan. A route northwards through the former Soviet state has become a preferred alternative to an exit via Karachi for the removal of vast quantities of military equipment (an article in Der Spiegel estimated that some 130,000 soldiers must leave Afghanistan within two years, together with at least 70,000 vehicles and 120,000 containers). But at what cost? And how does this reflect the relationship between Uzbekistan and NATO?

A Necessary Evil?

As drawdown has approached, there has been a thaw in relations between NATO, its partners and the controversial authoritarian Uzbek government. While this reflects the realpolitik of what is an infamously combustible region, the change has been a necessity. When Pakistan closed NATO’s supply routes in late 2011 in protest at the killing of Pakistani soldiers by US drones, the decision showed the fragility of the arrangement, prompting concerns that Islamabad could scupper the allied exit with a similar move in the future. The alliance was then forced to look at moving more of its equipment out of Afghanistan via the more expensive central Asian land route. But this has other disadvantages and has meant compromise on some of the partners’ previous stands on human rights issues. Indeed, even without the possible closure of Pakistan’s supply lines, NATO’s own research says the way out of landlocked Afghanistan through central Asia is “indispensable”.

An exit north would be via the so-called Northern Distribution Network (NDN), a web of air, rail and road links which was established in 2008. Forming a strategic transport corridor from the Baltic states via Tajikistan and Uzbekistan, over the Hairaton Bridge and ultimately to northern Afghanistan, Uzbekistan constructed the railway in order to improve supplies access for ISAF states. A report by the US Congressional Research Service noted, however, that there have been problems with this: “Although Uzbekistan’s rail network to Afghanistan has been relied upon to ship most of the fuel used by ISAF, corruption and bureaucracy in Uzbekistan have reportedly posed challenges to the use of the NDN routes through the country.”

And US tolerance of the Karimov government in Uzbekistan (reviled by many international human rights organizations) has been severely tested during the Afghanistan campaign, suffering a major rupture in 2005 following a mass shooting by Uzbek government forces in Andijan. Peaceful protests against the trial of 23 men accused of being Islamic extremists deteriorated into violence, with reports of Uzbek police targeting injured civilians as well as women and children. Hundreds of people are thought to have died. International outrage at the killings led to the Uzbek president Islam Karimov closing several US supported NGOs, the termination of US basing rights at the Karshi-Khanabad airbase, the freezing of diplomatic relations, and an EU-imposed arms embargo. But times have changed. Tighter Congressional restrictions which were also imposed on aid from the US have recently been relaxed and the EU lifted its arms embargo in 2009. In a research paper, NATO said that concerns about human rights issues will be overridden by the short-term logistical needs of the armed forces: “The withdrawal of cargo will coincide with the withdrawal of criticism, as concerns about poor human rights records move into the background and transit agreements to the fore”.

This does not mean that there has not been controversy over NATO states’ reluctance to engage more forcefully on human rights issues and the cost of Uzbekistan’s logistical support. According to the International Crisis Group, Germany maintained a relationship with Uzbekistan even in the face of the EU sanctions which followed the Andijan killings, providing military training and hosting an Uzbek minister at a clinic in Hanover despite his being on a list of proscribed persons. And in contrast to the punishment meted out to the US, Germany’s cooperation has ensured that its use of an air base at Termez has continued.

Contexts

Prior to 2005’s events, Uzbekistan had courted the US, EU and NATO as it sought to assert its position in the post-Soviet era and distance itself from the sphere of influence of its former imperial master, Russia. Yet Uzbekistan’s actions following the Andijan killings demonstrate the difficulties faced by NATO when working with unreliable partners who can leverage their own interests against ISAF’s need to remove its materiel from the region. Ultimately, until the withdrawal is complete - and it is still unclear when this will be - the only option open to NATO forces is to attempt some level of engagement with Uzbekistan. This includes diplomatic efforts to persuade President Karimov’s government to improve democratic conditions for Uzbeks as well as more coordination on tackling Islamic extremism and drug smuggling.

Over the past year or so, France, Germany and Britain have taken part in a concerted campaign to negotiate the terms of the drawdown with central Asian countries including Uzbekistan. President Karimov’s government has cannily looked to NATO for second-hand military equipment as part of the bargaining process. The UK government, for example, will part with a “gifting package… of surplus Leyland DAF trucks and Land Rover spares” ostensibly to help with regional policing and a potentially deteriorating security situation once ISAF forces have departed. The UK Defence Secretary stressed that: “Both items have been examined and cleared against the consolidated EU and national arms export licensing criteria, which include an assessment of whether the equipment might be used for human rights violations or internal repression.” According to some media reports, Uzbekistan has also hinted it would like to procure German helicopters as well as small arms, mine detectors and possibly even drones.

All of this must be seen in the context of Uzbekistan’s domestic and regional position. In late 2012, it withdrew from the Moscow-led Collective Security Treaty Organization and began to seek alliances both to balance Russian power and to establish itself regionally.

Vested Interests

Given that that there is the possibility of states on both exit routes derailing the logistics of the drawdown, it is interesting to look at what, if anything, the decision to favor the Uzbek route says about NATO’s priorities. It is important to remember at this stage that NATO is made up of states with individual as well as collective national interests. The economic advantages of partnerships in one of the world’s richest areas in terms of valuable minerals and energy cannot be underestimated, although advances in the discovery of shale gas are gradually bringing energy security and independence to countries such as the US.

But Uzbekistan’s role in the security of the region after ISAF forces withdraw is also important. Its links to Afghanistan - both cultural and through an ethnic Uzbek presence in Afghanistan - mean it is well placed to work as a partner in the post-2014 political security landscape. However, with Uzbekistan not appearing to budge on improving its image as a repressive state (in 2011 President Karimov’s daughter lost a libel case in France where she tried to prevent her father being labeled a dictator by the press and online media) NATO states may continue to face criticism for their apparent willingness to pursue short term geopolitical goals at the expense of improved human rights.

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22 mars 2013 5 22 /03 /mars /2013 17:30

Nato 03

 

Mar. 20, 2013 – Defense News (AFP)

 

WASHINGTON — NATO members are mulling plans for possible military action in Syria, but any intervention would occur only with a UN Security Council resolution and agreement from the alliance’s 28 members, NATO supreme commander Adm. James Stavridis said Tuesday.

 

Stavridis told the U.S. Senate Armed Services Committee that some NATO members considered targeting Syria’s air defense network, a strategy successfully used in Libya in 2011. But any NATO intervention would follow the same procedure that governed the action in Libya, Stavridis stressed — a UN Security Council resolution and agreement from the alliance’s membership.

 

“We are looking at a wide range of operations, and we are prepared, if called upon, to be engaged as we were in Libya,” Stavridis said.

 

NATO’s sole involvement in Syria’s brutal civil war to date has been to position Patriot missile batteries along the Turkish border to prevent air or missile launches from the Syrian side.

 

Stavridis said the Syrian conflict was deteriorating.

 

“The Syrian situation continues to become worse and worse and worse —70,000 killed, a million refugees pushed out of the country, probably 2.5 (million) internally displaced, no end in sight to a vicious civil war,” he said.

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 08:55

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2013/images-mars-2013/apres-une-premiere-phase-theorique-au-sol-les-vols-commencent-tres-rapidement/2232444-1-fre-FR/apres-une-premiere-phase-theorique-au-sol-les-vols-commencent-tres-rapidement.jpg

Après une première phase théorique au sol, les vols commencent très rapidement.

 

19/03/2013 Capitaine Karim Djemaï - Armée de l'air

 

Du 04 au 30 mars 2013, près de 80 aviateurs ont participé au Tactical Leadership Program (TLP), stage multinational formant les pilotes de chasse au label de «chef de mission». Dispensée à Albacete en Espagne, cette formation est l’une des plus réputées et des plus exigeantes au monde.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2013/images-mars-2013/en-35-ans-d-existence-la-methode-d-apprentissage-de-tlp-a-fait-ses-preuves./2232435-1-fre-FR/en-35-ans-d-existence-la-methode-d-apprentissage-de-tlp-a-fait-ses-preuves..jpg

En 35 ans d’existence, la méthode d’apprentissage de TLP a fait ses preuves.

 

Ce second volet de l’année 2013 rassemble près d’une trentaine d’avions « Blue Air » (simulant les forces amies), ainsi qu’une dizaine d’avions plastronnant des avions agresseurs, dits « Red Air ». Un avion-radar, ainsi que des hélicoptères complètent le dispositif aérien. L’ensemble de ces aéronefs provient de France, d’Espagne, des États-Unis, d’Italie, de Grèce, de Pologne, de Belgique et des Pays-Bas.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2013/images-mars-2013/dispensee-a-albacete-en-espagne-cette-formation-est-l-une-des-plus-reputees-au-monde/2232423-1-fre-FR/dispensee-a-albacete-en-espagne-cette-formation-est-l-une-des-plus-reputees-au-monde.jpg

Dispensée à Albacete en Espagne, cette formation est l’une des plus réputées au monde.

 

Côté français, huit avions de chasse ont été déployés : deux Mirage 2000C, deux Mirage 2000D, deux Mirage 2000N, ainsi que deux Alphajet remplissant le rôle d’Aggressors. Au sol, des spécialistes "guerre électronique" français sont également mobilisés, ainsi que des commandos espagnols dédiés aux missions de Close Air Support (CAS - appui aérien rapproché).

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2013/images-mars-2013/du-04-au-30-mars-2013-pres-de-80-aviateurs-participe-au-tactical-leadership-programme-tlp-en-espagne./2232339-1-fre-FR/du-04-au-30-mars-2013-pres-de-80-aviateurs-participe-au-tactical-leadership-programme-tlp-en-espagne..jpg

Du 04 au 30 mars 2013, près de 80 aviateurs participé au Tactical Leadership Programme (TLP) en Espagne.

 

« Les cours TLP bénéficient d’une variété de moyens internationaux unique en Europe, explique le commandant Sébastien Salgues, responsable de la Flying Branch (division des activités aériennes). Cela nous permet de dispenser une formation très proche de la réalité opérationnelle, dans un environnement totalement multinational.»

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2013/images-mars-2013/apres-ce-stage-les-pilotes-et-equipages-francais-obtiennent-la-qualification-de-mission-commander/2232351-1-fre-FR/apres-ce-stage-les-pilotes-et-equipages-francais-obtiennent-la-qualification-de-mission-commander.jpg

Après ce stage, les pilotes et équipages français obtiennent la qualification de « mission commander »

 

Jusqu’en 2009, la formation TLP était dispensée à Florennes en Belgique, mais l’encombrement et l’exiguïté de l’espace aérien belge et des pays environnants a nécessité un déplacement. Aujourd’hui, la taille des zones de travail en Espagne augmente considérablement la marge de manœuvre des équipages. En outre, la base aérienne d’Albacete bénéficie de conditions météorologiques plus clémentes, paramètre indispensable à l’activité aérienne.

 

En 35 ans d’existence, la méthode d’apprentissage de TLP a fait ses preuves. Après une première phase théorique au sol, les vols commencent très rapidement. Durant les quatre semaines de stage, une COMAO est programmée chaque jour. Cette dernière obéit à un scénario dont la difficulté est croissante. Tous les types de missions aériennes sont étudiés : interdiction aérienne, entraînement au combat de type DACT (Dissimilar Air Combat Training), attaques au sol, reconnaissance, missions de recherche et de sauvetage au combat (Combat Search and Rescue – CSAR)…

 

Réglées comme du papier à musique, les journées s’écoulent à une vitesse supersonique. « Pour un stagiaire, un jour à TLP dure au minimum douze heures, de 10h00 à 22h00, détaille le commandant Salgues. Les vols ne représentent qu’une petite partie de leur travail. La préparation en amont est longue et minutieuse. A posteriori, les vols sont suivis par des débriefings durant lesquels chaque action est finement décortiquée. La vingtaine d’instructeurs expérimentés de TLP suit les stagiaires pas à pas, du départ de la mission jusqu’au débriefing final. » Ce n’est qu’au prix de tous ces efforts que les pilotes et équipages français obtiennent la précieuse qualification de « mission commander »

 

 

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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 12:50

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/kosovo/130315-kosovo-toa-de-l-eei-francais/img_6509/2226779-1-fre-FR/img_6509.jpg

 

15/03/2013 Sources : EMA

 

Le 12 mars 2013, le Colonel Sevin, senior national representative (SNR) français de l’état-major de la KFOR, a présidé la cérémonie de relève de l’escadron d’éclairage et d’investigation (EEI) du Multinational Battle group Est (MNBG-E).

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/kosovo/130315-kosovo-toa-de-l-eei-francais/dsc_0065/2226794-1-fre-FR/dsc_0065.jpg

 

La cérémonie symbolisant la passation de suite entre le 2e escadron du 4e régiment de Dragons de Carpiagne (quittant) et le 4e  escadron du 1er régiment de Chasseurs de Thierville sur Meuse (arrivant) s’est déroulée dans le camp de Novo Selo, sous l’autorité du colonel Sevin, SNR, et en présence du lieutenant-colonel Carruthers (USA), chef du PC avancé de la brigade multinationale Est et du colonel Fatz, national contingent commander (NCC) des Français du Kosovo sur le théâtre.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/kosovo/130315-kosovo-toa-de-l-eei-francais/dsc_0038/2226789-1-fre-FR/dsc_0038.jpg

 

Le colonel Sevin a félicité le commandant d’unité et les militaires de l’escadron du 4e Dragon qui ont selon lui, accompli « avec professionnalisme et en permanence, un excellent travail dans des conditions rustiques ». L’escadron nouvellement déployé s’est promis de poursuivre la mission avec les mêmes objectifs !

 

L’escadron est placé sous le commandement tactique du Multinational Battle Group East depuis le 1er  janvier 2013. Il a pour mission de surveiller le poste administratif Dog 31, poste frontière situé sur la ligne administrative (ABL) entre la Serbie et le Kosovo. Il conduit des patrouilles mais aussi des opérations de contrôle des accès, de démantèlement de barrages et de renforcement du contrôle du trafic dans sa zone de responsabilité.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/kosovo/130315-kosovo-toa-de-l-eei-francais/2012-12-03-eei-cliches-18/2226784-1-fre-FR/2012-12-03-eei-cliches-18.jpg

 

La KFOR participe au maintien d’un environnement sûr et sécurisé au profit de l’ensemble de la population du Kosovo, en collaboration avec la mission des Nations unies au Kosovo (MINUK), la mission de l’union européenne (EULEX). Environ 320 militaires français sont engagés au Kosovo dans le cadre de l’opération Trident, au sein de la force armée multinationale KFOR (force pour le Kosovo), mise en œuvre par l’OTAN.

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14 mars 2013 4 14 /03 /mars /2013 17:50

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/sante/a-la-une/images-2013/epinato/2223176-1-fre-FR/epinato.jpg

 

14/03/2013 defense.gouv.fr

 

Du 4 au 7 mars 2013, le groupe de coordination multinational du « Deployment Health Surveillance Capability » (DHSC - Munich) du « NATO Military Medicine Centre of Excellence » (MilMed COE - Budapest) s’est réuni au sein de la KFOR à Pristina pour assurer le lancement du nouveau système de surveillance épidémiologique au sein des forces armées de l’OTAN : le système EPINATO version 2.

 

EPINATO 2 est complémentaire du Système de surveillance en temps réel qui sera utilisé pour l’OTAN dans les années à venir et qui est actuellement développé à partir du système d’Alerte et de surveillance en temps réel (ASTER) créé par le Centre d'épidémiologie et de santé publique des armées (CESPA) de Marseille, en collaboration avec Aix-Marseille Université.

 

La KFOR a été choisie pour la première mise en condition opérationnelle du système EPINATO version 2, développé selon le nouvel « Allied Medical Publication » (AMedP-21) relatif à la surveillance épidémiologique pour les forces de l’OTAN en opération.

 

Cette dernière version présente des évolutions importantes par rapport à celle utilisée depuis 1995 : une nouvelle liste d’événements sous surveillance, un programme de formation des utilisateurs, une analyse réalisée par le DHSC à Munich et une rétro-information largement diffusée.

 

Ces évolutions ont été rendues possibles grâce à une collaboration active entre le DHSC et le Centre d’épidémiologie et de santé publique des armées (CESPA) de Marseille. Le personnel du SSA déployé à Novo Selo au Kosovo a également activement participé à la phase pilote de ce déploiement opérationnel.

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 21:04

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2013/images-mars-2013/un-nouveau-commandement-air-de-l-otan-verra-le-jour-cet-ete/2220113-1-fre-FR/un-nouveau-commandement-air-de-l-otan-verra-le-jour-cet-ete.jpg

Un nouveau commandement Air de l'Otan verra le jour

cet été

 

11/03/2013 Caporal-chef Marie-Ange Ilmany - Armée de l'air

 

Pour la première fois, après la mise en œuvre de la nouvelle structure de commandement de l'Otan (Aircom), le général Philip M. Breedlove, commandant de l’Aircom, a réuni les commandants de centre C2 (Command and Control- commandement et conduite des opérations aériennes) de l’OTAN pour la AircomCommander’s conference du 28 février au 1er mars 2013.

 

Ainsi, le général Thierry Caspar-Fille-Lambie, commandant de la défense aérienne et des opérations aériennes (COMDAOA), accompagné du colonel Lahille, s’est rendu au Combined Air Operation Center (CAOC-centre interallié des opérations aériennes) de Kalkar, en Allemagne.

 

La conférence a principalement porté sur le processus de mise en œuvre de la nouvelle structure de commandement de l’Alliance. Longtemps articulée autour de deux commandements (Ramstein et Izmir), l’Aircom deviendra, cet été, l’unique commandement air de l’Otan, responsable de la totalité de l’espace aérien européen. Enfin, le rôle de l’Aircom en 2014 au sein de la NRF (Nato Response Force – force de réaction de l’Otan) a été évoqué.

 

La phase de transition vers la nouvelle configuration constitue un élément majeur de la transformation de l’Otan, qui doit se mettre en place d’ici le 1er juillet 2013, sans empêcher le bon fonctionnement des missions quotidiennes de l’Alliance, telle que la police du ciel, intégrée à l’Otan.

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 19:04

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2013/images-mars-2013/module-de-lancement-du-samp/2220257-1-fre-FR/module-de-lancement-du-samp.jpg

Module de lancement du SAMP

 

11/03/2013 Armée de l'air-  Economie et technologie

 

L’armée de l’air française a réussi le 6 mars 2013, avec l’armée de terre italienne, pour la première fois dans une architecture impliquant l’Otan, l’interception d’une cible représentative d’un missile balistique de théâtre par le système sol-air moyenne portée SAMP, appelé Mamba. Après environ 300 kilomètres de vol balistique, et avec une vitesse relative d'environ Mach 8 lors de l'impact, la cible a été détruite par un missile intercepteur ASTER 30.

 

Le système SAMP était connecté à l’Otan et à un radar d’alerte via un réseau de liaison de données L16 représentatif d’un dispositif opérationnel.

 

Ce tir d’évaluation technico-opérationnelle a été réalisé au centre DGA Essais de missiles de Biscarrosse, conjointement par le quatrième régiment d’artillerie de Mantoue (Italie) et l’équipe de marque de défense sol-air du centre d’expériences aériennes militaires (CEAM) de Mont-de-Marsan, appuyée par du personnel et du matériel de la brigade aérienne du contrôle de l'espace (BACE) du commandement des forces aériennes (CFA) ; plus particulièrement de l’escadron de défense sol-air (EDSA) 12/950 « Tursan » de Mont de Marsan ainsi que du commandement du soutien des forces aériennes (CSFA).

 

Ce succès fait suite aux deux tirs réussis en octobre 2010 et novembre 2011 contre le même type de menace. Il constitue une étape supplémentaire franchie dans la montée en puissance du SAMP au sein de l’armée de l’air et dans la démonstration des capacités du système d’arme et du personnel qui le servent à pouvoir contrer une menace balistique de théâtre dans un cadre Otan.

 

Les atouts du SAMP, baptisé Mamba par l’armée de l’air française, sont notamment la défense de zone à 360°, sa portée, sa puissance de feu, l’agilité du missile, la modularité, la capacité à traiter simultanément tout type de cibles aériennes modernes, la capacité à s’intégrer dans différentes chaines de commandement et l’aptitude à protéger des forces déployées grâce à sa mobilité.

 

Le déploiement du système se poursuit au sein de l’armée de l’air. Après les EDSA de Luxeuil, Mont de Marsan et Avord, c’est aujourd’hui celui de Saint-Dizier qui reçoit le système SAMP. L'escadron d’Istres sera, quant à lui, équipé d’ici 2014.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/air/actualites/images-2013/images-mars-2013/sequence-de-tir-du-mamba/2220141-1-fre-FR/sequence-de-tir-du-mamba.jpg

Séquence de tir du Mamba

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 16:50

ied-khost-08-2012

 

11 Mar 2013 By Angela Monaghan, Industry Correspondent - telegraph.co.uk

 

Defence manufacturer Cobham has won a £16m contract to supply NATO forces with bomb detection equipment.

 

The contract to provide vehicle mounted Improvised Explosive Device (IED) will be delivered by Cobham Antenna Systems in the UK.

 

"Cobham will deliver enhanced Counter-IED detection capabilities, which can be safely deployed from within the protection of mine-resistant ambush-protected vehicles," said Fred Cahill, vice president of the business.

 

"These advanced systems are designed for the most demanding military requirements and complements existing technology which Cobham provides to protect lives and livelihoods."

 

The FTSE 250 company said last week it would be willing to take on up to £800m of debt to fund acquisitions in its commercial division in an attempt to offset the impact of US spending cuts, replicating a trend in many defence businesses as budgets shrink.

 

The company's commercial work currently accounts for 34pc of overall revenue, while the US defence business contributes around 40pc of revenue.

 

The company said India’s growing defence market was providing good opportunities.

 

Andrew Gollan, an analyst at Investec, said Cobham had "ground out a solid performance in challenging defence and security markets".

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 12:54

ISAF-Logo

 

11 mars 2013 12h41 Romandie.com (AFP)

 

KABOUL - Plusieurs membres des forces de sécurité afghanes et de la coalition de l'Otan en Afghanistan ont été tués lundi dans l'est du pays lorsqu'au moins un homme portant un uniforme des forces afghanes a ouvert le feu sur eux, a-t-on appris auprès de l'Otan.

 

Un porte-parole de la mission de l'Otan en Afghanistan (Isaf) n'a toutefois pu confirmer le nombre précis d'assaillants, ni celui de tués et de blessés dans cette nouvelle attaque de l'intérieur présumée survenue sur une base militaire.

 

Je peux vous dire qu'une +attaque de l'intérieur+ est survenue dans le district de Jalrez, dans la province de Wardak, située à la porte de Kaboul, a déclaré à l'AFP Sediq Sediqqi, le porte-parole du ministère de l'Intérieur.

 

D'après un premier communiqué de l'Isaf, qui ne mentionnait que des blessés afghans et de la coalition, un membre des forces de sécurité afghanes a ouvert le feu sur des membres des forces de sécurité afghanes et des forces spéciales américaines à Jalrez avant d'être tué.

 

Le 24 février, le président Hamid Karzaï avait exigé le retrait des forces spéciales américaines de la province instable du Wardak, après qu'elles eurent créé des groupes armés illégaux générateurs d'insécurité. Cet ultimatum était arrivé à échéance dimanche.

 

Les soldats internationaux se battent contre l'insurrection menée par les talibans aux côtés des policiers et militaires afghans, qu'ils forment avant le retrait de l'essentiel des troupes étrangères à la fin 2014.

 

En 2012, plus de 60 soldats étrangers ont péri lors d'attaques de l'intérieur, d'hommes portant l'uniforme afghan sur les alliés de l'Otan, qui sont dues à des antagonismes culturels entre étrangers et afghans mais aussi à des infiltrations de talibans au sein des forces de sécurité afghanes.

 

Trois individus portant l'uniforme militaire afghan avaient par ailleurs tué vendredi un contractant civil de l'Otan dans la province de Kapisa (nord-est de Kaboul). En janvier, un soldat britannique avait été abattu par un militaire afghan.

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 18:20
Le Canada et l'OTAN

 

22 février 2013 BG - 12.065

 

Introduction

 

L’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN) est une alliance politique et militaire dont les objectifs principaux sont la défense collective de ses membres et le maintien de la paix démocratique dans la région de l’Atlantique Nord. Depuis sa création en 1949, l’OTAN constitue le principal pilier de la défense euro-atlantique et une pierre angulaire de la politique du Canada en matière de défense et de sécurité. Même si la nature et la portée des menaces auxquelles le Canada et ses alliés sont confrontés ont changé au fil du temps, les principes fondamentaux de l’OTAN que sont la solidarité, le dialogue et la coopération forment toujours la base de l’approche de l’Alliance en matière de sécurité collective. Les membres de l’OTAN sont mieux protégés, parce que les préoccupations liées à la sécurité sont examinées et traitées de manière collective, d’après un ensemble de principes communs et de valeurs partagées.

 

En sa qualité de membre fondateur de l’OTAN, le Canada a été et demeure un chef au sein de l’Alliance. Les Forces armées canadiennes ont participé à toutes les opérations de l’OTAN depuis sa création, mettant leur équipement moderne et déployable ainsi que leurs militaires hautement qualifiés au service des missions de l’Alliance. Les contributions récentes et constantes du Canada aux opérations de l’OTAN, notamment les services et les sacrifices consentis par les militaires des Forces armées canadiennes et les civils en Afghanistan, dans les Balkans et dans l’espace aérien de la Libye, démontrent clairement l’engagement et le rôle de chef de file de notre pays au sein de l’OTAN.

 

L’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord

 

Établie en vertu du Traité de Washington, l’OTAN a été créée à titre d’alliance de défense collective pour protéger l’Europe de l’Ouest contre la domination soviétique. Pendant la guerre froide, les alliés de l’OTAN ont consacré d’importantes ressources à la mise en place de structures militaires et civiles visant à offrir une protection accrue contre la menace expansionniste de l’Union soviétique. Cette longue période de coopération en matière de défense des Alliés a permis à l’OTAN d’acquérir d’importantes capacités militaires ainsi qu’une précieuse expérience dans la planification et l’exécution d’opérations militaires multinationales, et a jeté les bases d’une période de stabilité ininterrompue et sans précédent dans la zone euro-atlantique.

 

À la suite de la dissolution de l’Union soviétique et du Pacte de Varsovie, qui a marqué la fin de la guerre froide dans les années 1990, l’OTAN a adopté un nouvel esprit de coopération avec les pays non-membres dans le cadre d’une vaste approche de la sécurité transatlantique. Depuis ce temps, l’OTAN a mis de côté son rôle de dissuasion d’une menace précise pour aborder une gamme beaucoup plus vaste de défis en matière de sécurité, notamment la prolifération des armes de destruction massive et des technologies nécessaires pour assembler des missiles balistiques, les cyberattaques et le terrorisme transnational. Actuellement, l’OTAN participe, avec plus de 40 pays, à divers partenariats, notamment le Partenariat pour la paix, le Dialogue méditerranéen et l’Initiative de coopération d’Istanbul, de même qu’avec des organisations internationales comme les Nations Unies, l’Union européenne et l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe. L’Alliance préconise une approche globale de la défense, ses activités allant des opérations de soutien de la paix au Kosovo aux activités antiterroristes dans la Méditerranée, en plus d’opérations de combat et de la formation des forces de sécurité en Afghanistan. L’OTAN a invoqué pour la première fois l’article 5 du Traité de Washington le 12 septembre 2001, en réponse aux attaques terroristes contre les États-Unis.

 

Le Canada au sein de l’OTAN

 

Le Canada est au premier plan des efforts pour transformer et réformer l’Alliance pour veiller à ce qu’elle soit mieux en mesure d’agir en tant que pôle d’échanges politique et militaire permettant aux Alliés et aux partenaires non-membres de collaborer à relever les défis d’aujourd’hui en matière de sécurité.

 

Le fait de faire partie de l’Alliance permet au Canada de disposer d’un instrument militaire efficace qui l’aide à atteindre ses trois objectifs stratégiques en matière de défense et de sécurité : défendre le Canada et l’Amérique du Nord, et faire preuve de leadership à l’étranger. L’OTAN joue un rôle de moteur dans l’interopérabilité militaire du Canada avec ses alliés et partenaires. L’OTAN offre également un important forum politique au sein duquel le Canada peut présenter ses points de vue et ses intérêts et dégager un consensus au sujet des enjeux de l’heure. L’OTAN permet également au Canada de maximiser son partage d’information et de renforcer ses relations bilatérales avec ses alliés et partenaires.

 

Dans l’éventualité d’une crise qui menacerait la sécurité d’une nation membre de l’OTAN, le Canada pourrait rendre rapidement disponibles les forces d’intervention qu’il maintient pour les opérations de l’Alliance, notamment les forces terrestres, maritimes et aériennes, et les composantes de contrôle. La contribution actuelle du Canada aux structures de commandes de l’OTAN, et à la Délégation conjointe au siège de l’OTAN à Bruxelles, en Belgique, s’élève à environ 350 personnes. Avec leurs alliés et partenaires, les Forces armées canadiennes participent aux exercices de l’OTAN pour maintenir l’interopérabilité, et soutiennent les forces à haut niveau de préparation de l’OTAN. Le Canada fournit 5,94 pour cent des budgets communs de l’OTAN pour l’investissement et les opérations, ce qui en fait le sixième bailleur de fonds en importance parmi les Alliés.

 

Le Canada est représenté au sein de l’OTAN par le représentant permanent du Canada auprès du Conseil de l’Atlantique Nord, la plus haute instance dirigeante de l’Alliance. Le représentant militaire du Canada représente le chef d’état-major de la Défense au Comité militaire. En plus de ses réunions régulières avec les représentants permanents, le Conseil de l’Atlantique Nord se réunit régulièrement au niveau des chefs d’État et de gouvernement, ou des ministres des Affaires étrangères et de la Défense. Les chefs d’état‑major de la défense de l’OTAN tiennent également des réunions périodiques, normalement avant les réunions de haut niveau du Conseil de l’Atlantique Nord.

 

Le Canada et les rencontres des ministres de la Défense des pays membres de l’OTAN

 

Les rencontres des ministres de la Défense des pays membres de l’OTAN représentent des occasions importantes pour les ministres de la Défense de se réunir pour discuter des enjeux de l’heure liés à la défense et à la sécurité internationales. Ils permettent aux ministres de planifier directement les opérations de l’OTAN et de fournir des orientations pour veiller à ce que l’Alliance demeure bien positionnée pour mener à bien ses missions dans un environnement stratégique en pleine évolution. Au cours des dernières années, les ministres ont émis des directives sur la conduite des opérations de l’OTAN en Afghanistan, au Kosovo et en Libye. Ils ont également pris des décisions au sujet du développement de capacités cruciales et sur la transformation de l’Alliance afin de maximiser l’efficacité et l’efficience de l’OTAN dans un climat d’austérité financière, notamment d’initiatives de réforme financière. Finalement, ces rencontres ont permis aux ministres de positionner l’Alliance pour l’avenir, grâce au travail sur des projets comme la Défense intelligente et l’Initiative d’interconnexion des forces.

 

L’honorable Peter MacKay, ministre de la Défense nationale, représente le Canada lors des rencontres des ministres de la Défense de l’OTAN depuis octobre 2007. Son secrétaire parlementaire, M. Christopher Alexander, a également représenté le Canada à certaines occasions.

 

En plus de leurs réunions des 21 et 22 février 2013, où les ministres de la Défense de l’OTAN ont fait le point sur les progrès accomplis par rapport à différentes initiatives en matière de capacités et opérations en Afghanistan, voici des activités s’étant déroulées récemment :

  • Réunion des ministres de la Défense des pays membres de l’OTAN, 9 et 10 octobre 2012 – Discussions portant sur les opérations de l’OTAN en Afghanistan et au Kosovo ainsi que sur la mise en œuvre de l’ensemble de mesures en matière de défense adopté lors du Sommet de Chicago, qui inclut la Défense intelligente, la vision des Forces de l’OTAN à l’horizon 2020 et l’Initiative d’interconnexion des forces.
  • Réunion des ministres de la Défense des pays membres de l’OTAN, les 2 et 3 février 2012 – Discussions portant sur les opérations de l’OTAN et sur la réforme de l’OTAN en période d’austérité budgétaire au sein de l’Alliance.
  • Réunion des ministres des Affaires étrangères et des ministres de la Défense des pays membres de l’OTAN, 17 et 18 avril 2012 – En préparation du Sommet de Chicago, les ministres de la Défense ont souscrit à un ensemble de mesures pour les leaders présentant une vision stratégique pour l’OTAN : les Forces de l’OTAN à l’horizon 2020 et au-delà. Cette vision englobait des concepts fondamentaux, comme la Défense intelligente et l’Initiative d’interconnexion des forces.
  • Sommet de l’OTAN à Chicago, 20 et 21 mai 2012 – Le secrétaire d’État américain à la défense Panetta a présidé une réunion informelle des ministres de la Défense en marge du Sommet de Chicago, où le ministre MacKay s’est joint à ses collègues pour soutenir un plan de travail pour faire avancer l’ensemble de mesures en matière de défense adopté lors du Sommet de Chicago.
  • Réunion des ministres des Affaires étrangères, 7 et 8 décembre 2011 – Le ministre MacKay a représenté le Canada dans des discussions sur un éventail d’enjeux, comme la mission internationale en Afghanistan, et les leçons retenues de l’opération Unified Protector en Libye, où le Canada jouait un rôle de premier plan dans la protection des civils face au régime Kadhafi.
  • Réunion des ministres de la Défense des pays membres de l’OTAN, 5 et 6 octobre 2011 – Discussions portant sur les opérations de l’OTAN en Afghanistan, au Kosovo et en Libye. Parmi les autres sujets abordés, la mission de formation de l’OTAN en Afghanistan, et la réforme en cours et la transformation de l’Alliance.
  • Réunion des ministres de la Défense des pays membres de l’OTAN, 8 et 9 juin 2011 – Discussions portant sur la mission de l’OTAN à l’appui des objectifs de la communauté internationale en Libye. Parmi les autres sujets abordés, la réforme de la structure de commande de l’OTAN et de ses divers organismes.
  • Réunion des ministres de la Défense des pays membres de l’OTAN, 10 et 11 mars 2011 –Discussions portant surtout sur la réponse de l’OTAN à la crise en Libye. Les alliés ont également discuté de la mise en œuvre du nouveau Concept stratégique et des résultats du Sommet de l’OTAN tenu à Lisbonne en 2010.

 

Pour de plus amples renseignements concernant les opérations du Canada à l’échelle internationale

Pour de plus amples renseignements concernant la déclaration du Sommet de Chicago de l’OTAN

Pour de plus amples renseignements concernant la Déclaration du sommet sur les capacités de défense pour les forces de l’OTAN à l’horizon 2020

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