September 28, 2012 Donna Miles / American Forces Press Service – defpro.com

WASHINGTON | Hoping to build on successes over the past year in combating piracy, the top U.S. commander in Europe and other key stakeholders in the fight gathered in London this week to help chart the way forward.

Navy Adm. James G. Stavridis, who also serves as the NATO commander, joined leaders from the NATO Maritime Component Command, European Union, shipping security officials and other experts to explore ways to improve their cooperation in tackling this transnational threat.

“We face a significant global problem that has caused extensive and expensive disruptions to the global maritime grid,” Stavridis noted in his blog post on the U.S. European Command website. “In particular, off the Horn of Africa in the northern Indian Ocean, we’ve seen hundreds of pirate attacks and dozens of successful hijackings over the past years.”

He estimated costs to the international community as high as $5 billion to $10 billion per year, noting that hundreds of mariners have been held hostage by pirates for ransom.

“Although the success rate and the numbers of attacks are down this year, we still have seven ships and more than 100 hostages held by Somali pirates on the largely ungoverned east coast of Africa,” the admiral said.

NATO, the European Union and a variety of other nations, including Russia, China, Japan, South Korea, India, Iran and the Gulf States, have come together to help address this problem, he noted. With a fleet that averages 20 to 30 ships, they patrol waters stretching from the Red Sea, past the Gulf of Aden and down into the northern Indian Ocean.

Shared concern about the problem led last week to the first bilateral counter-piracy exercise between the United States and China. Crew from the guided-missile destroyer USS Winston S. Churchill and other Navy assets joined Chinese People’s Liberation Army sea elements, including the frigate Yi Yang, for training near the Horn of Africa.

The sailors’ focus was on bilateral interoperability in detecting, boarding and searching suspected vessels, as well as the ability of both Chinese and American naval assets to respond to pirated vessels, a USS Winston S. Churchill spokesman reported.

Meanwhile, the shipping industry has implemented best business practices: traveling in convoys, hardening their defenses such as stringing concertina wire along their decks, posting lookouts and hiring private teams, Stavridis reported. They appear to be paying off, he said, recognizing that although many ships with embarked private security teams have been attacked, none has been successfully hijacked.

Participants at this week’s conference, co-hosted by the U.N.-sponsored International Maritime Organization, discussed ways to increase cooperation between shippers and protecting forces and ways to move ashore to pre-empt pirate strikes and disrupt pirates’ bases and logistics systems.

Another focus, Stavridis said, was on building capacity within local coast guards and to applying a comprehensive approach to make piracy less attractive as an occupation.

29 sept 2012 Rachad Suleymanov – APA

Bakou.. Une exposition et conférence internationale de défense « Soldat de l’avenir – 2012 » seront organisées de 17 à 19 octobre au capital tchèque Prague.

Comme rapporte APA citant le Comité organisateur de l’exposition, dans l’exposition organisée par l’OTAN seront exposés les plans militaires de l’Alliance, les présentations sur les projets de modernisation menés dans les forces armées des pays membres.

Les entrepreneurs militaires des différents pays feront la démonstration de leurs produits.

Il est prévu que l’Azerbaïdjan sera représenté par la délégation conduite par le ministre azerbaïdjanais de la défense, colonel-général Safar Abiyev.

En même temps seront exposés les kits de fournitures élaborés et en cours d’élaboration dans la cadre du programme « Soldat de l’avenir – 2012 » dans les différents pays.

28.09.2012 NATO - Allied Command Transformation (ACT)

MOSCOU, 27 septembre - RIA Novosti

La rhétorique hostile de la Russie et de l'Otan peut être comparée à une mauvaise habitude dont il est difficile de se débarrasser, a estimé jeudi le directeur du bureau d'information de l'Alliance à Moscou Robert Pszczel.

"A l'heure actuelle, les Russes regardent l'Otan plutôt avec méfiance, alors que l'image de la Russie en Europe n'est pas brillante non plus, ce qui s'explique pour beaucoup par une vieille habitude", a constaté M.Pszczel, intervenant lors de la conférence "Russie-Otan: 15 ans sur la voie du partenariat" qui se déroule dans la capitale russe.

Il a avoué d'avoir arrêté de fumer dimanche dernier, ce qui était pénible pour lui.

"Au début, c'est pénible, mais ensuite cela va mieux (…). Je pense que si nous abandonnons une telle rhétorique (hostile entre la Russie et l'Otan), cela profitera à nous tous", a conclu le chef du bureau d'information.

Le développement du système de défense antimissile américain, notamment son déploiement en Europe, constitue une pierre d'achoppement des relations russo-américaines. Washington refuse de garantir que le nouveau système ne visera pas les forces de dissuasion nucléaire russes. Moscou menace de déployer des missiles sol-air Iskander dans la région de Kaliningrad, enclavée entre la Lituanie et la Pologne, et de prendre d'autres mesures militaires et politiques.

27/09/2012 Armée de l'air

Du 24 septembre au 7 octobre 2012, la marine nationale conduit un exercice majeur de l’Otan, baptisé Noble Mariner 12, en Méditerranée. L’armée de l’air intervient en support des moyens déployés à cette occasion.

Autour du bâtiment de projection et de commandement "Tonnerre", une vingtaine de navires de dix nations de l’Otan, des hélicoptères, des avions de patrouille maritime et des avions de chasse constituent la Task Force (TF) 445. Côté armée de l’air, deux Mirage 2000N de la base aérienne (BA) 125 d’Istres, deux Mirage 2000-5 de la BA 115 d’Orange et un avion-radar E-3F de la BA 702 d’Avord renforcent le dispositif mis en place en Méditerranée. La TF 445 évolue selon un scénario de crise, au cœur d’un environnement soumis à de multiples menaces.

Noble Mariner 12 offre l’opportunité aux nations membres de développer leur interopérabilité et de renforcer leur coopération dans tous les domaines de lutte. L’exercice s’inscrit dans le processus de certification de la marine nationale à exercer le commandement de la composante maritime au sein de la force de réaction rapide de l’Otan (Nato Response Force - NRF).

Créée en 2002, la NRF est une force multinationale. Elle fait appel aux technologies de pointe, regroupant des composantes terre, mer, air et forces spéciales, que l’Alliance atlantique peut déployer pour apporter rapidement une réponse militaire à une crise émergente.

05.09.2012 by SLT.AUBOUT - CESA

Du 9 au 11 octobre 2012, le Joint Air Power Competence Centre (JAPCC) ou Centre interarmées de compétences en matière de puissance aérienne, organise sa grande conférence annuelle sur le thème “Warfare in the 21st Century - Decline or Rise of Air Power” ?

En coopération avec 15 autres pays, l’Allemagne a ouvert ce centre à Kalkar (Allemagne) afin d’améliorer les opérations aériennes, spatiales, terrestres et maritimes de l’Alliance sur le plan de la puissance aérienne. Le JAPCC est un Centre d’excellence de l’OTAN.

Chaque année, le JAPCC organise une conférence visant à engager une réflexion sur l’emploi de la puissance aérienne.

La conférence est payante :
  175 euros pour la totalité de la conférence ;
  140 euros pour la conférence du 10 octobre uniquement ;
  50 euros pour la conférence du 11 octobre uniquement.

Pour plus d’informations et pour vous inscrire, il suffit de vous rendre sur le site du JAPCC.

26/09/2012 Lynda Verhaeghe

A la fin du mois de septembre, le général Stéphane Abrial, Commandant suprême allié Transformation, sera relevé par un autre officier français, le général Jean-Paul Paloméros. Après trois années au service de la modernisation de l’Otan, il nous dresse un bilan de son mandat.

Quel bilan pouvez-vous dresser de votre mandat à la tête de ce commandement stratégique de l’Otan ?

La fonction de Commandant suprême allié Transformation implique un travail dans la durée dont la portée ne peut se mesurer qu’à moyen, voire très long terme. C’est pourquoi, au bout de ces trois années, il me semble un peu prématuré de vouloir dresser un bilan exhaustif de ce qui a été accompli. Néanmoins, il faut noter que, aujourd’hui, le Commandement allié Transformation (ACT) est impliqué dans la plupart des grands dossiers et se situe au cœur des sujets de préoccupation de l’Otan. Il a notamment contribué à la mise en place d’un grand nombre de réformes, qu’elles soient relatives à l’évolution de la structure de commandement, des agences, ou encore à l’élaboration du nouveau concept stratégique. Nous avons aussi beaucoup travaillé à la complémentarité entre l’Otan et l’Union européenne. Dans ce cadre, nous avons en particulier noué des relations étroites avec l’Agence européenne de défense, afin que les projets relatifs au renforcement et à la rationalisation des capacités militaires des alliés, initiés au sein de l’Otan dans le cadre du concept de « Smart Defence »(« Défense intelligente »), soient cohérents et complémentaires avec ceux développés au sein de l’Union européenne dans le cadre du « Pooling and sharing » (« Mutualisation et partage ») et qu’ils se renforcent mutuellement, prouvant ainsi que le développement capacitaire au sein de l’Otan contribue indirectement à celui de l’Union européenne.

Qu’en est-il des projets mis en œuvre dans le cadre l’initiative que vous avez tant soutenue de « Smart Defence »?

La plupart de ces projets de long terme ayant été lancés lors du sommet de Chicago en mai dernier, rares sont ceux à avoir déjà abouti, mais nous sommes sur la bonne voie. Nous avons, par exemple, mis en place un projet relatif au soutien médical en opérations en totale complémentarité avec l’Union européenne. Nous avons également travaillé à une meilleure coordination des avions de patrouille maritime des alliés, domaine pour lequel une cellule d’activation a été mise en place depuis le mois de juillet. Nous suivons aussi l’adoption de standards communs pour une interface universelle d’armement des avions de combat et un projet majeur de renseignement, surveillance et acquisition, porté de concert par la France et les Etats-Unis. Ce ne sont là que quelques exemples car vingt-quatre projets sont déjà en cours de mise en œuvre, auxquels dix autres devraient venir s’ajouter d’ici la fin de l’année. Au total, ce sont près de cent-cinquante idées qui sont en cours d’exploitation avec une forte adhésion des nations en charge de leur développement. Il faut noter que la France est l’une des nations les plus impliquées.

Peut-on considérer qu’ACT prend d’autant plus d’ampleur avec l’élargissement de ses prérogatives à la formation ?

Les nations sont responsables de la formation et de l’entraînement militaire de base.  ACT, de son côté, était jusqu'à présent en charge de la formation individuelle pour donner la culture et les connaissances essentielles pour opérer dans un environnement Otan. Depuis juillet 2012, nous avons aussi pris la responsabilité de l’organisation de l’entraînement et des exercices collectifs (c’est-à-dire en unités), géré auparavant par le Commandement allié Opérations. Cet élargissement du champ d’action d’ACT, est à mon sens bénéfique pour tous, car il permet de gagner tant en efficacité qu’en coûts.

D’après-vous, quels dossiers attendent votre successeur désigné, le général Jean-Paul Paloméros ?

Comme je vous l’ai dit, cette nomination, comme les dossiers qui attendent mon successeur, s’inscrivent dans la continuité et la durée. Il faut noter que le rôle et l’importance centrale d’ACT vont croissants. Le général Paloméros aura la charge de mener à bien, de front, les initiatives « Smart Defence » et « Connected Forces » (« Forces Connectées »), dont l’objectif est de maintenir l’interopérabilité de nos forces malgré une baisse probable du rythme opérationnel dans les années à venir. Concrètement, l’enjeu d’ACT est de s’assurer de l‘efficacité au combat des forces qui pourraient être engagées par nos nations dans une opération de l’Alliance, et ce dans un contexte global de crise économique et de baisse des budgets de défense.

Comment analysez-vous le maintien d’un officier français à cette fonction stratégique de l’Alliance Atlantique ?

SACT, à l’instar de son homologue américain SACEUR, est l’un des deux grands commandeurs stratégiques de l’Otan. Cette fonction offre une très forte visibilité à la personne qui l’occupe et à la nation dont il est issu : il n’est donc pas anodin qu’elle soit confiée à un Français. Il n’est pas non plus anodin que ce soit un Français, un Européen, qui porte la voix de l’Otan sur le territoire américain. La France en prenant ce poste en 2009 a montré qu’elle voulait être un acteur majeur de la transformation de l’Otan. Nous l’avons vu, de nombreux chantiers clés sont en cours. Il est donc logique que notre pays ait souhaité conserver ce poste dans la nouvelle structure de commandement.

24/09/2012 Sources : EMA

Du 14 au 16 septembre 2012, l’amiral Edouard Guillaud s’est rendu à Sibiu, en Roumanie, où il a rencontré ses homologues de l’OTAN dans le cadre de la MCCS (Military Committee in Chiefs of Staff Session), réunion du comité militaire des chefs d’état-major.

Les échanges ont notamment porté sur les engagements opérationnels de l’alliance atlantique en Afghanistan (ISAF), au Kosovo (KFOR) ou encore dans la lutte contre la piraterie dans le Golfe d’Aden et en océan Indien (Ocean Shield). Les chefs militaires de l’OTAN et des Nations ont également examiné la situation au Moyen-Orient et abordé les questions liées à la transformation de l’OTAN, au moment où le général d’armée aérienne Jean-Paul Paloméros s’apprête à prendre le 28 septembre les fonctions de Supreme Allied Commander for Transformation (SACT).

Cette conférence a également été l’occasion, pour l’amiral Guillaud, de rencontrer plusieurs de ses homologues étrangers.

20 septembre 2012 Par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

Du 24 septembre au 7 octobre 2012, la marine française conduit une manœuvre majeure de l’Otan, Noble Mariner 12 (NOMR 12), en mer Méditerranée.

NOMR 12 s’inscrit dans le cycle de préparation de la Nato Response Force (NRF), force de réaction rapide de l’Otan. Il a pour but de certifier la capacité de la France à exercer le commandement de la composante maritime de la NRF.

La force navale déployée, la Task Force (TF) 445, est composée de vingt-cinq bâtiments issus de dix nations, sept hélicoptères et trois avions de patrouille maritime, dirigés par un état-major de force de 150 personnes embarquées à bord du BPC Tonnerre.

La TF 445 évoluera selon un scénario de crise, au cœur d’un environnement soumis à de multiples menaces, qui démontre parfaitement la solidarité et la force des membres de l’Otan et de leurs partenaires.

NOMR 12 va permettre d’entraîner l’ensemble des unités et l’état-major dans tous les domaines de lutte, en soulignant le caractère expéditionnaire de la NRF.

Cette manœuvre de haut niveau, qui met en œuvre de façon réaliste les structures de commandement, de contrôle et de communication des unités militaires de l’Otan, permet aux nations membres et partenaires de développer leur interopérabilité et leur coopération opérationnelles.

Le vice-amiral Philippe Coindreau, commandant la Force aéromaritime de réaction rapide française (FRMARFOR), exercera le commandement de la TF 445 à la mer.

La France prendra le commandement de la composante maritime de la NRF à compter du 1er janvier 2013, pour une durée d’un an.

Source : Marine Nationale (Force d’Action Navale)

September 19, 2012 defpro.com

Hungary will host NATO’s top-level military forum, the Chiefs of Defence Meeting next year, the Ministry of Defence informed Hungarian News Agency MTI in a press release on Monday, 17 September.

The top-level military representatives of NATO member countries will meet in Budapest in autumn 2013. The NATO Military Committee (MC) meets at the level of Chiefs of Defence (CHODs) of the member states’ armed forces three times a year – twice at NATO Headquarters in Brussels and once in a member state of the Alliance. In accordance with the rotational system, Budapest will host the meeting in 2013 – Hungarian Chief of Defence Gen. Dr. Tibor Benk? announced to the participants of the Military Committee.

The Hungarian Defence Forces have recently been requested by NATO to provide Force Protection again for the next six months at the Kabul International Airport (KAIA) in Afghanistan, which attests to the Hungarian soldiers’ excellent performance and recognition within NATO.

This opinion was voiced by United States Secretary of Defence Leon Panetta during a meeting with Defence Minister Csaba Hende in the United States, where the Secretary of Defence expressed the United States’ gratitude for the role of the Hungarian Defence Forces in Afghanistan and called the Hungarian troops’ contribution to the NATO-led International Security Assistance Force (ISAF) very effective.

sept 18, 2012 Nicolas Gros-Verheyde (BRUXELLES2)

Le quartier général de Northwood (près de Londres) a pris le commandement des quatre groupes permanents de forces navales de l’OTAN. C’est-à-dire : les deux groupes permanents maritimes ( SNMG 1 et SNMG 2 ), et les deux groupes de lutte anti-mines (SNMCMG). « Une importante étape — souligne le contre-amiral Ort, chef d’Etat-Major de Northwood —. Bien que ce ne soit qu’une parmi les nombreuses étapes du processus de réforme des structures de commandement de l’OTAN. Cela permettra d’augmenter la coordination de nos moyens ».  

La réforme des commandements avait été initiée dans ses grands principes au sommet de l’Alliance à Lisbonne (novembre 2010) et ses détails approuvés par les ministres de la Défense en juin 2011. A terme, les responsabilités opérationnelles, jusqu’ici assurées par le commandement maritime de Naples et celui de Northwood, vont être regroupés dans un seul commandement maritime (MARCOM).

Northwood n’est pas encore tout à fait le seul QG maritime de l’organisation de l’Alliance atlantique. Le processus est en cours – précise-t-on à l’Alliance – et devrait se terminer en mars 2013. C’est Naples qui assurera jusqu’à là l’OpCon, le contrôle opérationnel, des forces de l’OTAN déployées en Méditerranée et en particulier de l’opération « Active Endeavour » (opération anti-terrorisme et surveillance de la Méditerranée). Le transfert de l’opération « Active Endeavour » de Naples à Northwood et la clôture de Naples devrait se faire le 28 mars 2013.

RIGA, 17 septembre - RIA Novosti

L'Otan considère la Russie comme son partenaire en dépit des divergences qui persistent entre Moscou et l'Alliance sur plusieurs questions, a déclaré le secrétaire général adjoint de l'Otan Alexander Vershbow dans une interview au journal letton Tchas (L'Heure).

"Nous considérons la Russie comme un partenaire. C'est un pays avec lequel nous partageons plusieurs intérêts stratégiques. Dans le même temps, nous ne sommes pour le moment pas parvenus à atteindre un partenariat stratégique, ce que nous avions espéré en 1997 au moment de la signature de l'Acte fondateur Otan-Russie à Paris. Il existe plusieurs points sur lesquels nos avis divergent. Dans les années 1990, c'était le Kosovo; il n'y a pas longtemps, c'était la Libye. Pourtant, nous continuons de coopérer étroitement en Afghanistan (…) car il est de notre intérêt commun que ce pays soit dirigé par des leaders responsables", a indiqué M.Vershbow.

Le vice-chef de l'Alliance a également espéré que l'Otan et la Russie trouveront un terrain d'entente sur le problème de la défense antimissile européenne.

"Jusqu'à présent, la Russie a refusé de comprendre la vocation et le potentiel du bouclier antimissile en Europe de l'Est. Contrairement aux déclarations des dirigeants russes, il ne vise pas la Russie, mais est destiné à contrer les menaces émanant de l'extérieur des frontières européennes, notamment depuis le Sud et le Proche-Orient, où les risques s'accentuent. Nous espérons que l'état de choses actuel sera pris en compte et que nous nous dirigerons vers une coopération fructueuse", a déclaré l'interlocuteur du journal.

September 13, 2012 Senior Airman Natasha Stannard / 52nd Fighter Wing Public Affairs / AFNS – defpro.com

NAMEST AIR BASE, Czech Republic | The U.S. Air Force joins 15 other nations in Ramstein Rover 2012 here from Sept. 5-22. RARO 12 is a NATO exercise focusing on forward air control and close air support capabilities.

A-10 Thunderbolt IIs from the 81st Fighter Squadron, out of Spangdahlem Air Base, Germany, are flying throughout the exercise to provide close air support for various forward air control training missions.

The purpose of the exercise is to establish standardization and interoperability for forward air control and close air support missions for nations that may work together in contingency operations. In that regard, the squadron is working with working the militaries of the United Kingdom, Turkey, Slovenia, Slovakia, Poland, Norway, the Netherlands, Latvia, Italy, Greece, Germany, France, Estonia, Belgium and the Czech Republic.

"It's imperative we train with our NATO partners to establish common standards and terminology," said Lt. Col. Clinton Eichelberger, 81st Fighter Squadron commander. "We all need to be very clear of what has to happen when putting weapons on the ground in close proximity to friendly forces."

Because A-10 squadrons often work with NATO partners in contingency operations, it's important for them to build partnerships and create standardized tactics, techniques and procedures in a training environment, officials said. This way, they can work together to execute combatant commander's missions seamlessly in contingency operations.

The A-10s role in close air support is critical to forward air control missions because the pilots work hand-in-hand with the air controllers on the ground to identify threats and targets while mitigating risks to civilians in contingency operations, officials said.

"The A-10 aircraft is a backbone to close air support operations within NATO," said German air force Col. Harry H. Schnell, RARO 12 exercise director. "To have the A-10s on board gives me the opportunity to give the best flying asset available to train the guys on the ground. This pairing of the A-10s and the guys on the ground is what we may expect in-theater the most. "

The forward air controller is also a critical link to the A-10's close air support mission because they control where the weapons deploying from the aircraft go by telling the pilots where the targets are and determining a safe distance from which to launch their weapons.

"Without forward air controllers and joint terminal attack controllers on the ground we wouldn't be able to do what we do," Eichelberger said. "A majority of the work we do is close air support, and close air support would not exist without communication with the ground commander. ... That communication piece is the forward air controller or the joint terminal attack controller."

Air controllers must be able to execute coordinates for air support immediately because enemy forces can be established as threats without any given notice. Once the threat is established, air support has to be able to support the troops on the ground without firing at friendly forces or civilians.

The training at RARO 12 helps both air controllers and pilots establish procedures and share techniques that will mitigate risks to non-targets.

"The greatest benefit of this exercise is to send JTAC and FAC teams to the theater and know that they are all working on the same foundation -- using the same procedures, sharing knowledge of equipment and knowledge of what air assets are capable of," said Schnell.