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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 11:55
Recette contractuelle du 1er simulateur de vol Caïman Marine

 

2 Avril 2015 Source : Marine nationale

 

La phase de recette contractuelle du premier simulateur de vol Caïman Marine en version initiale s’est achevée avec succès le vendredi 27 mars, sur la base d’aéronautique navale (BAN) de Lanvéoc-Poulmic.

 

Ce simulateur, développé par la société SOGITEC dans un cadre multinational et interarmées sous l’acronyme MRTD (Multi Role Training Device), est constitué d’un ensemble logiciel et matériel permettant la simulation des tous types de missions au profit des équipages d’hélicoptère Caïman Marine.

 

Développé à partir des technologies modernes en termes de puissance de calcul et de génération d’images, le MRTD permet un entrainement ultra-réaliste dans des cadres tactiques et environnementaux évolutifs.

 

Durant quinze jours, le système a été vérifié au regard des exigences contractuelles par les équipes étatiques ayant suivi son développement. Dans ce cadre, différentes missions démonstratives de celles réalisées dans la réalité, ont été menées avec succès. Au vu de ces résultats et des recommandations des experts étatiques, les représentants de la NAHEMA (agence OTAN responsable du programme NH90) et de la DGA ont signifié l’acceptation du système à la société SOGITEC.

 

Les prochaines semaines seront consacrées à la prise en main de ce moyen par le groupement d’instruction de la BAN Lanvéoc-Poulmic (préparation et conduite de séances d’instruction, maintenance), et aux dernières vérifications par les experts du CEPA/10S (représentativité dans des phases de vol particulières (vortex, appontage monomoteur), impacts physiologiques).

 

La mise en service opérationnel du simulateur de Lanvéoc est prévue dans les prochaines semaines.

Crédits Sogitec

Crédits Sogitec

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 11:50
Le cockpit dispense un nombre incalculable d’informations. Photo Daniel Orban – MIL.be

Le cockpit dispense un nombre incalculable d’informations. Photo Daniel Orban – MIL.be

 

31/03/2015 Virginie Flawinne – MIL.be

 

Les pilotes de la version navale du NH90 suivaient un entraînement intensif les deux dernières semaines du mois de mars en Italie. Ils s’y sont entraînés à affronter toutes sortes de situations qu’ils risqueraient de rencontrer au-dessus de la mer du Nord lors de missions de sauvetage.

 

La société Rotorsim abrite le simulateur NH90 de la Défense néerlandaise. Les pilotes de la base de Coxyde s’y exercent comme en pleine mer. « C’est très réaliste, on s’y croirait », vante le capitaine aviateur Eline Leurs. « On peut y simuler à peu près tout. C’est très utile, surtout pour cet appareil qui est l’un des plus complexes actuellement. »

 

 Photo Daniel Orban – MIL.be
 Photo Daniel Orban – MIL.be Photo Daniel Orban – MIL.be Photo Daniel Orban – MIL.be
 Photo Daniel Orban – MIL.be Photo Daniel Orban – MIL.be
 Photo Daniel Orban – MIL.be Photo Daniel Orban – MIL.be

Photo Daniel Orban – MIL.be

Eline est la plus jeune pilote de la version navale du NH90, l’hélicoptère remplaçant prochainement le Sea King. NH90 NFH et Sea King commenceront à alterner les vols de Search and Rescue (SAR) dès septembre. Il est donc temps que les pilotes soient fins prêts à maîtriser la nouvelle perle technologique, qu’un fossé sépare des précédents hélicoptères de la Défense.

 

« L’intérêt de la formation sur simulateur est notamment qu’il est des situations trop dangereuses à tester en conditions réelles », avance le major aviateur Kristof Geerts, responsable NH90 NFH de la base de Coxyde. Les pilotes apprennent à affronter toutes les situations pour continuer à sauver des vies lors de leurs missions SAR en mer du Nord.

Vidéo : Erwin Ceuppens

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 10:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

1 Avril 2015 Source : Marine nationale

 

Le Caïman Marine vient d’obtenir la validation d’une première capacité opérationnelle « leurrage » par le sous-chef d’état-major Plans/Programmes. Une partie des modes d’autoprotection antimissiles sont disponibles et viennent renforcer les capacités militaires de cet appareil de combat ASM embarqué.

 

C’est une étape de plus dans la montée en puissance du Caïman au sein de la Marine. Les prochaines étapes capacitaires concerneront le volet formation, avec la mise en service d’un premier simulateur de vol sur la BAN Lanvéoc-Poulmic dans les prochaines semaines, et le système de détection électromagnétique ESM en 2016.

 

Le Caïman Marine est un hélicoptère de combat embarqué dont la vocation première est de conduire des missions de lutte anti-sous-marine et de lutte anti-surface à partir des frégates de type Aquitaine (FREMM) et Forbin (FDA). Il peut également conduire des missions de contre-terrorisme maritime, de soutien d’une force navale et de secours maritime.

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31 mars 2015 2 31 /03 /mars /2015 07:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

30 Mars 2015 Source : Marine nationale

 

Jeudi 26 mars 2015, les équipes d’évaluation (EE) des quatre  départements bretons ont été hélitreuillées depuis un hélicoptère Caïman de la flottille 33F basé à Lanvéoc Poulmic sur le remorqueur Abeille Bourbon dans le cadre d’un  entraînement en mer d’Iroise.

 

Ordonnée par le préfet maritime, la projection d’équipes d’évaluation s’opère le plus souvent par hélicoptère par mauvais temps. L’hélitreuillage est toujours une opération délicate nécessitant une bonne préparation au préalable.

 

Les équipes doivent-être prêtes à intervenir quelles que soient les conditions météorologiques sur l’ensemble du littoral, afin d’expertiser l’état des navires en difficultés.

 

photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

Ces manœuvres, organisées par le bureau sécurité maritime de la division Action de l’Etat en Mer (AEM) de la préfecture maritime de l’Atlantique ont permis au personnel de différents horizons de mieux prendre connaissance des matériels, des consignes de sécurités et de mieux appréhender un déploiement opérationnel souvent opéré en situation d’urgence.

 

Les équipes d’évaluation ont un rôle déterminant lors des opérations d’assistance de navires en avarie ou victimes d’un évènement en mer et en difficultés (ANED).Elles sont les yeux de l’amiral commandant de la zone maritime qui lui permettent de prendre les meilleures décisions.

 

Les équipes d’évaluation sont composées d’experts civils mobilisables tels que des inspecteurs des centres de la sécurité des navires (CSN), des pilotes de station de pilotage et des officiers de port.

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24 mars 2015 2 24 /03 /mars /2015 12:50
photo MIL.be

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20/03/2015 Texte & photos : Danny Van Brusselen – MIL.be

 

À Coxyde, les équipages travaillent dur afin que leur hélicoptère NH-90 version marine puisse être engagé en opération dans les prochains mois. Le 18 mars dernier, nous suivions un vol d’entraînement Sea Work au large de la côte belge.

 

Lors de cette mission d’entraînement, l’équipage s’est exercé à l’application des procédures du SAR (Search And  Rescue). Cette manœuvre s’effectuait dans le cadre de la conversion des équipages et de la mise en condition de l’appareil. Il importait, notamment, de renforcer la cohésion de l’équipe. Si, à bord, chacun se voyait assigner une fonction spécifique, il fallait également que chaque membre sache précisément ce que les autres faisaient. 

 

L’hélicoptère immatriculé RN-03 a entamé son vol diurne en direction du Westhinder, un banc de sable situé face à notre côte. L’équipage avait rendez-vous avec le nouveau patrouilleur P 901 Castor de la Marine. L’appareil a volé parallèlement au navire. Comme si ses pales restaient « suspendues » au-dessus du pont arrière du Castor, la machine volant exactement à la même vitesse que le navire. Cette figure demandait beaucoup d’adresse, tant du pilote que de l’homme de barre. 

 

Le plongeur et le medic ont été descendus à l’aide d’un câble métallique vers le navire. Le pilote, le cabin operator et l’homme sous le câble ont travaillé intensément pour assurer la sécurité de l’opération. Ils devaient effectivement veiller au maintien très précis de la hauteur et de la position de l’hélicoptère. On  assistait alors à un ballet mêlant un hélicoptère hightec et un patrouilleur moderne flambant neuf subissant la houle.

 

Plus tard, le plongeur avec équipement complet fut lâché en pleine mer pour être récupéré ensuite.

photo MIL.bephoto MIL.bephoto MIL.be
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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 11:30
Cheikh Tamim bin Hamad Al Thani, Emir de l’Etat du Qatar - photo PR Elysée

Cheikh Tamim bin Hamad Al Thani, Emir de l’Etat du Qatar - photo PR Elysée

Dans le domaine de l'armement, le jeune émir Tamim ben Hamad Al Thani fait lanterner la France.

 

23/03/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Sait-on en France qui décide au Qatar à l'exception de l'émir ? Pas sûr car cela semble aujourd'hui éminemment plus complexe... C'est d'ailleurs peut-être pour cela que la France avance en aveugle sur le Rafale à Doha, qui n'a toujours pas répondu à un courrier envoyé par François Hollande il y a une vingtaine de jours environ.

 

Mais que veut finalement Doha? C'est la question qui trotte dans la tête de la plupart des dirigeants des grands groupes de l'armement français. Car, près de deux ans après son accession au trône, le jeune émir Tamim ben Hamad Al Thani n'a conclu ni dans un sens dans l'autre aucune des campagnes commerciales qui sont très prometteuses pour la France, y compris celles où un protocole d'accord a déjà été signé comme pour les (hélicoptères de transport NH90 (Airbus Helicopters) et les avions ravitailleurs MRTT (Airbus Defence).

Toutefois, ces campagnes prometteuses le sont depuis plus de trois ans maintenant alors que la Coupe du Monde, prévue en hiver 2022, approche à grand pas. "Nous avons deux interrogations, résume pour "La Tribune" un patron du secteur, nous ne connaissons pas clairement les objectifs de Qatar en matière d'achats d'armement et nous n'avons pas identifié quels sont les leviers à actionner pour faire avancer un dossier quand il arrive au Palais". Car, clairement une fois qu'un dossier est transmis par le ministère de la Défense au Palais de l'émir, il se perd dans les couloirs.

 

Le Palais, une boite noire?

"Le Palais est une véritable boite noire, nous ne savons pas ce qui s'y passe", confirment des sources concordantes, qui connaissent pourtant très bien le pays. "Au Qatar, c'est extrêmement compliqué, souligne un industriel qui négocie depuis plus de 20 ans avec les Qataris. Et si l'on regarde ce qu'a fait Hamad Ben Khalifa Al-Thani dans l'armement, il n'a pas fait une seule opération d'envergure entre 1995-2013, mais en revanche il a beaucoup pratiqué la diplomatie financière. Conclusion, le Qatar fait très peu d'acquisition dans la défense à l'exception du domaine défense anti-aérienne pour protéger les installations gazières".

Ce qui fait dire aujourd'hui à certains grands industriels que la garde rapprochée de l'ancien émir, et/ou ce dernier lui-même tire encore les ficelles. Toutefois, Tamim ben Hamad Al Thani s'appuierait beaucoup sur le chef d'état-major des forces armées qatariennes, le général Ghanim bin Shaheen al Ghanim qui aurait sa confiance.

 

Une lettre de François Hollande à Al Thani

Du coup, la France rame. Mais le fil des discussions n'est pas rompu. Loin de là. En piste pour la vente de 24 Rafale (+ 12 option), Dassault Aviation et ses partenaires (Safran et Thales) ont récemment envoyé une proposition engageante (Best and final offer) à Doha, qui aurait fait tiquer. Dans la foulée, François Hollande a envoyé il y a une vingtaine de jours un courrier à l'émir Al Thani. Pas de réponse à ce jour, selon nos informations, alors qu'en novembre l'émir souhaitait pourtant conclure les négociations sur le Rafale avant la fin de 2014. D'ailleurs, il aurait été très mécontent que l'Égypte lui souffle le premier contrat Rafale, et l'aurait fait savoir à son équipe de négociateurs.

L'autre dossier prioritaire concerne la vente des trois frégates ATBM (défense antimissile balistique) de 4.000 tonnes, armées de missiles Aster 30 (MBDA et Thales) et de missiles mer-mer Exocet (MBDA). Un dossier à 2,5 milliards environ (sans les armements) qui avance plutôt bien.

 

Et les États-Unis?

Ce qui vaut pour la France, vaut également pour les autres pays. Y compris les États-Unis, qui ont pourtant convoqué les Qataris à Washington pour les obliger à signer des contrats. Mais à ce jour, selon les sources interrogées par La Tribune, rien n'a été signé, y compris les accords d'une valeur de 11 milliards de dollars annoncés en juillet 2014 entre Doha et Washington (missiles Patriot et hélicoptères Apache).

Lors de IDEX à Abu Dhabi en février, de très nombreux hauts responsables qataris sont partis en plein cœur du salon pour Washington pour négocier d'autres accords d'une valeur de plus de 20 milliards de dollars. Notamment l'acquisition d'environ 70 avions de combat F-15 de Boeing avec un volet support très complet, comprenant la mise à disposition de pilotes américains. "Les F-15 pourraient passer avant le Rafale", craint-on même à Paris.

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21 mars 2015 6 21 /03 /mars /2015 08:56
En mars, CERES, SCORPION et Caïman au programme

 

20/03/2015 Sources : État-major des armées

 

En 2015, les armées et la DGA poursuivent leurs efforts pour optimiser les capacités opérationnelles des forces, comme en témoigne l’activité programmes de ce mois de mars.

 

En mars, CERES, SCORPION et Caïman au programme

Le 5 mars, dans le cadre du programme SCORPION, la direction générale de l’armement (DGA) a notifié à la société Nexter Systems le marché de rénovation du char Leclerc. Le contrat prévoit la livraison de 200 chars « Leclerc Rénové » sur un premier standard, et de 18 dépanneurs de char « DCL Rénové » à partir de 2020, au profit de l’armée de Terre.

 

Cette rénovation permettra de garantir la pérennité de ces matériels au-delà de 2040. Elle permettra aussi au char Leclerc de disposer de nouvelles interfaces qui faciliteront son intégration au sein des futurs groupements tactiques interarmes (GTIA) de type « SCORPION », en particulier le système d’information, et de préparer la mise à niveau de sa protection qui interviendra en étape 2 de SCORPION.

 

En mars, CERES, SCORPION et Caïman au programme

Par ailleurs, la première phase de réalisation du système CERES (CapacitE RoEm Spatiale) a été notifiée aux sociétés Airbus Defence and Space et Thales. Cett

 

La nouvelle étape du programme permet de lancer la réalisation de trois satellites et du segment sol utilisateur. Ce système spatial permettra à la France de collecter, à l’horizon 2020, du renseignement d’origine électromagnétique (ROEM) sur des zones inaccessibles par les capteurs de surface.

 

En mars, CERES, SCORPION et Caïman au programme

Enfin, depuis le 13 mars une étape majeure a été franchie par le programme Caïman qui dote la Marine d’une capacité de premier ordre pour le couple frégate FREMM / Hélicoptère Caïman. Ce dernier devient un hélicoptère de combat de lutte anti sous-marine (ASM) complet suite à la déclaration par l’Etat-major de la Marine d’une première capacité opérationnelle (PCO) de tir de la torpille MU90. Cette capacité permet à la frégate porteuse (FREMM ou FDA) de s’affranchir de la menace en délocalisant la scène de combat, et de renforcer ainsi son invulnérabilité. Cela vient compléter la capacité de détection sonar mise en œuvre jusqu’à présent par cet hélicoptère. C’est notamment le cas actuellement avec le Caïman embarqué sur le Chevalier Paul dans le cadre de la mission Arromanches.

 

Le lancement de la rénovation des chars Leclerc, celui du développement de moyens spatiaux ROEM et la mise en service opérationnelle de la torpille MU90 sur Caïman représentent des engagements importants pour l’optimisation des capacités opérationnelles de nos forces armées.

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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 17:50
Northern Griffin 2015 - Combat Search and Rescue Mission

 

19 mars 2015 Puolustusvoimat - Försvarsmakten - The Finnish Defence Forces


Utti Jaeger Regiment's winter warfare training exercise Northern Griffin 2015 in Lapland, Finland. Combat Search and Rescue Mission with NH90 helicopters and Special Operations Forces, supported by Air Force F-18.

 

Utin jääkärirykmentin talviolosuhdeharjoitus Northern Griffin 2015 Lapissa. Operaatioalueen etsintä- ja pelastustehtävä, johon osallistuivat NH90-helikopterit, erikoisjääkärit ja ilmavoimien F-18 -hävittäjä.

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 08:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

March 14, 2015 defense-aerospace.com

(Source: French navy; issued March 13, 2015)

(Issued on French; unofficial translation by Defense-Aerospace.com)

 

A French navy NH90 Caiman anti-submarine warfare helicopter seen here during operational trials of its primary ASW weapon, the MU90 lightweight torpedo. The helicopter has now obtained its combat qualification in the ASW role. (FR navy photo)

Friday, March 13, 2015 will remain an important date in the history of the NH90 Caiman Marine helicopter, which after qualifying to operate the MU90 lightweight torpedo has been certified as having attained an initial combat capability by the French navy staff.

This is a significant milestone for the FREMM frigate / Caiman operational duo, which is qualified for engaging the most up-to-date submarine threats at longer stand-off ranges.

The French navy’s Caiman saga began with the delivery of the first helicopter on May 2010. It was followed in December 2011 by the type’s first “rescue alert” mission on the Atlantic coast and on a nation-wide stand-by for “maritime anti-terrorism” missions. In February 2103, the Caiman qualified for the “ship-based anti-submarine warfare” mission, in support of the navy’s strategic missile submarines and of the aircraft carrier task force.

A naval Caiman is currently deployed on board the air-defense frigate “Chevalier Paul,” which is currently deployed to the Middle East on “operation Arromanches”.

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16 mars 2015 1 16 /03 /mars /2015 08:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

13/03/2015 Sources : Marine nationale

 

Ce vendredi 13 mars 2015 restera une date importante pour le Caïman Marine qui devient un hélicoptère de combat ASM à part entière suite à la déclaration par l’état-major de la marine d’une première capacité opérationnelle de tir de la torpille MU90.

 

C’est un jalon capacitaire majeur pour le couple FREMM/Caïman qui peut maintenant «traiter» avec encore plus d’allonge les menaces sous-marines les plus modernes en toute autonomie.

 

L’aventure Caïman a débuté dans la marine par une première livraison d’appareil en mai 2010. Elle s’est poursuivie en décembre 2011 par les prises d’alerte «Secours maritime» sur la façade Atlantique et «Contre-terrorisme maritime» au niveau national puis, en février 2013, par l’atteinte d’une capacité «lutte ASM embarquée» mise en œuvre au profit de la protection de la Force Océanique Stratégique et du groupe aéronaval. Un Caïman marine embarqué sur la frégate de défense aérienne Chevalier Paul participe actuellement à la mission Arromanches.

photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

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12 mars 2015 4 12 /03 /mars /2015 12:55
Arromanches 2015 : Journal de bord du détachement 31F « Chevalier-Paul ».

 

12/03/2015 Sources : État-major des armées

 

13 janvier 09h00- La frégate de défense aérienne « Chevalier Paul » appareille de Toulon au petit matin cap vers les eaux chaudes et tumultueuses du golfe arabo–persique, effectuant au passage dans le zonex un excellent tir Aster 30. Pendant quatre mois, aux côtés du porte-avions Charles de Gaulle, la frégate la plus moderne et la plus puissamment armée de la Marine et ses 215 membres d’équipage motivés et entraînés vont assurer le contrôle de l’espace aérien et la protection du groupe aéronaval dans tous les domaines de lutte, et notamment contre la menace aérienne.

 

11h00- Poste aviation ; un hélicoptère de combat Caïman marine de la flottille 31F apponte sur la frégate pour sa première mission opérationnelle embarquée. Le détachement aéro est composé de deux équipages, huit techniciens, et d’un préparateur de mission. L’équipe est prête ; elle bénéficie pour les uns du retour d’expérience de la traversée de longue durée réalisée sur la FREMM « Aquitaine » en 2013 et du travail de préparation de la base d’aéronautique navale D’Hyères et la flottille 31F. Pour les autres, ils font déjà partie intégrante du « Chevalier Paul ». En équipage, ils ont progressé tout au long du stage de mise en condition opérationnelle organisé par la division entrainement d’ALFAN et des divers exercices de l’automne dernier. L’appareil, lui, sort de visite d’entretien.

 

20 janvier – Le groupe aéronaval croise la route d’un sous-marin U209 italien. Un exercice de lutte anti-sous-marine est programmé pour nous entraîner à réagir face à cette menace diffuse. La présence d’un sous marin peut contraindre la mise en œuvre des avions de chasse du porte-avions si celui-ci ne bénéfice pas de la protection de capacités anti sous-marine telles que des frégates.

 

19h00- Un contact sous-marin a été détecté par le « Chevalier Paul ». Le Caïman, décolle et perçoit sur son radar un écho à 12 Nq, rapidement identifié schnorchel à la caméra infrarouge malgré la nuit noire. Un sous-marin classique qui transite au diesel, à l’immersion périscopique, voit en effet sa présence discrète trahie par un tube d’air et un échappement. A l’approche du Caïman, il plonge pour se fondre dans les eaux profondes de la Méditerranée. Les diesels s’arrêtent et la propulsion électrique sur batterie est lancée. Le sonar FLASH du Caïman ne lui laisse cependant aucune chance. Le sous-marin est pris et reporté par liaison de données tactique au « Charles de Gaulle » qui peut continuer sereinement ses pontées. Il s’agit maintenant pour le Caïman d’identifier l’intrus en larguant des bouées passives, sortes de microphones sous-marin qui retransmettent le signal perçu à l’hélicoptère. Le signal est ensuite analysé par les « oreilles d’or », capables de déterminer l’identité du bruiteur enregistré.

 

21 janvier – Le Chevalier-Paul s’entraîne à la collecte de renseignement. Tandis que les capteurs performants de la FDA analysent le spectre électromagnétique et enregistrent l’activité aérienne, le Caïman décolle et monte à 10 000 pieds pour assurer la couverture photographique d’objectifs. Malgré la distance, les clichés sont remarquables de précision et sont exploités par l’officier renseignement du bord avant d’être transmis à l’état-major.

 

La patrouille du groupe aéronaval contribue ainsi à l’établissement autonome de situation en collectant l’information grâce aux différents capteurs des unités. Analysées, croisées avec d’autres sources, les informations collectées deviendront des dossiers de renseignement utilisables au niveau stratégique pour permettre au chef des armées de décider de manière autonome du degré d’engagement des forces françaises.

Arromanches 2015 : Journal de bord du détachement 31F « Chevalier-Paul ».
Arromanches 2015 : Journal de bord du détachement 31F « Chevalier-Paul ».Arromanches 2015 : Journal de bord du détachement 31F « Chevalier-Paul ».Arromanches 2015 : Journal de bord du détachement 31F « Chevalier-Paul ».
Arromanches 2015 : Journal de bord du détachement 31F « Chevalier-Paul ».Arromanches 2015 : Journal de bord du détachement 31F « Chevalier-Paul ».
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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 17:50
Photo Daniel - MIL.be

Photo Daniel - MIL.be

 

03/03/2015 Victoria Timmermans –MIL.be

 

Deux NH90 occupaient le ciel de Brasschaat ce lundi 2 mars. Les pilotes de la 18e Escadrille y testaient les capacités de leurs appareils dans le cadre d’une phase de formation.

 

Les NH90 ont débuté leur phase de formation en janvier 2014. « À l’époque, la 18e Escadrille a développé les vols de base, de jour comme de nuit », explique le lieutenant-colonel Michel Gelders, commandant de l’escadrille. Ce lundi 2 mars, pour la deuxième étape de leur formation, c’est sur une plaine de Brasschaat que les hélicoptères se sont exercés à l’appui aéromobile. Pour être totalement opérationnels, les appareils doivent subir un programme comportant quatre aspects. Aujourd’hui, dans le cadre de l’operation testing & evaluation, les NH90 doivent soulever de lourdes charges. « Pour cet exercice, nous avons trois charges différentes : un canon, un mortier et une jeep. Ainsi nous connaîtrons la résistance des NH90 » ajoute-il.

 

En début d’après-midi, les hélicoptères prennent leur envol. Malgré la pluie et la grêle, leur mission consiste à récupérer le personnel et à hélitreuiller ensuite du matériel jusqu’à l’aérodrome de Zoersel. Une équipe au sol doit accrocher la cargaison grâce à l’aide du cabin operator. En effet, ce dernier a pour mission de préciser au pilote à quelle hauteur se positionner afin que l’équipe au sol puisse procéder à l’accrochage sans danger.

 

Arrivés à Zoersel, les NH90 déposent leur charge et débarquent ensuite les hommes qui quittent les appareils tactiquement, comme en situation réelle de combat. Un exercice nécessaire pour se préparer à un engament opérationnel. Mais un entraînement qui demande maîtrise et concentration. « C’est une procédure avancée qui requiert des pilotes qualifiés » conclut le lieutenant-colonel Gelders.

 

Les NH90 et leurs équipages ont poursuivi leur entraînement jusqu’à la tombée de la nuit. Mais ces machines volantes ont, d’ores et déjà, prouvé leur puissance.

Les NH90 testent leur puissanceLes NH90 testent leur puissance
Les NH90 testent leur puissance
Les NH90 testent leur puissanceLes NH90 testent leur puissanceLes NH90 testent leur puissance
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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 17:50
photo Comopsair IPR

photo Comopsair IPR

 

24/02/2015 Texte & photos: Comopsair IPR

 

Le 23 février 2015, l’équipage de la version transport d’un NH90 a exécuté un exercice d’entraînement et d’évaluation (OT&E) à Schaffen et sur l’aérodrome de Sanicole à Bourg-Léopold.

 

Pendant l’OT&E, l’équipage s’exerce aux procédures de soulèvement de charges lourdes sous l’hélicoptère. Cet exercice test est réalisé dans le cadre de la conversion des équipages et de la préparation de l’aéronef.

 

Lors des premiers vols de la journée, l’hélicoptère immatriculé RN-05 a soulevé quelques palettes. Une cargaison pesant environ 500 kg placée dans des filets et préparée par des équipes spécialisées en chargement. Dans le cas présent, le cabin operator joue un rôle important. Il doit, en effet, déterminer avec précision la bonne hauteur de l’hélicoptère de manière à permettre l’accrochage de la charge par les équipes au sol en toute sécurité.

 

Plus tard dans la journée, 13 passagers du 2e Bataillon Commandos ont été embarqués à Schaffen et transportés à Sanicole avec leur équipement complet. Ils y ont effectué un débarquement tactique. En d'autres termes : ils ont quitté l’hélicoptère en situation de combat. Le cabin operator doit, pendant ce temps, surveiller en permanence la répartition du poids pour assurer la stabilité de l’appareil. Il est également responsable de l’embarquement et du débarquement rapide des passagers. Il doit aussi veiller à ce que les charges y soient bien attachées.

 

Plus tard dans la journée, des vols se sont succédé avec de plus lourdes charges comme, par exemple, un mortier ou un véhicule léger tout terrain. Les équipages ont poursuivi leur entraînement après le coucher du soleil. L’équipage a utilisé, alors, les jumelles de vision nocturne pour les approches tactiques.

photos: Comopsair IPRphotos: Comopsair IPR

photos: Comopsair IPR

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 17:50
La fête du patrimoine maritime de la mer du nord (28-31 Mai)

 

source MIL.be

 

La fête de la mer du Nord affiche complet pour sa 16e édition avec 172 navires participants dont soixante sont, d'ores et déjà, des must pour le public. Au total, 200.000 visiteurs sont attendus. Chacun aura sa part de rêve ou pourra éventuellement embarquer à bord de bateaux, de la petite yole aux majestueux trois mâts.

 

La Défense

Le thème est la sécurité en mer mais ce n'est pas uniquement pour cette raison que la Défense sera présente avec le voilier école Zénobe Gramme et un stand d’information de la Marine sur la place Saint Pierre et Paul. Vous pourrez y découvrir les tâches des gardes côtes de la Marine. Cerise sur le gâteau : les démonstrations quotidiennes du nouvel hélicoptère NH 90 (NATO Helicopter), chargé du sauvetage en mer et sur la côte. Il est l'ange gardien de bon nombre de visiteurs des plages durant l’été. Il est important de savoir que grâce aux collaborateurs de la Défense, la mer est plus sécurisée !

 

Mille pirates et fous de Bruges

L'Etoile du Roy, une réplique du temps de la gloire des corsaires français, reste pour les quatres années à venir le vaisseau amiral d'Ostende à l'Ancre. Le bateau attise sans aucun doute la fantaisie des plus petits, mais fait penser aussi aux meilleurs moments des équipages qui aiment tant se rendre à Ostende, attirés par la Brugse Zot. Le Marjorie II, seul brigantin à trois mâts encore navigant à la voile, sera également amarré dans le bassin Mercator.

 

Combler l'espace

Certains étals ont disparu pour céder la place à ceux plus en rapport avec le patrimoine maritime de tous horizons. La place Saint Pierre et Paul est peuplée d'organismes de conservation, d'artisanat maritime et autres venant de Belgique, de France et des Pays-Bas. 

 

L'art de la mer

Le village des artistes de l'avenue Vindictive s'agrandit et sera relié au marché nautique et autres curiosités. Vous y trouverez un savant mélange d'affaires maritimes, d'antiquités, de vêtements et de souvenirs. Le marin qui sommeille en chacun de nous, pourra se restaurer aux nombreux stands artisanaux dont le fumeur de harengs, les "cuiseurs" de poissons, les spécialistes des croquettes de crevettes roulées à la main et la terrasse d'Ostende à l'Ancre, ne sont que quelques exemples. Le rendez-vous des Ostendais et des visiteurs !

 

La musique pour ambiance

Ostende à l'Ancre offre à nouveau un très large éventail de représentations musicales. Les classiques shantys, la folk, le rockfolk, les choeurs de ballades à capella rempliront les podiums de la place Saint Pierre et Paul, ceux de l'avenue Vindictive ou les ponts des bateaux tels l'Etoile du Roy et l'Amandine.

"Horizon éducatif" a concocté avec Ostende à l'Ancre un parcours découverte pour les enfants. Tous les écoliers d'Ostende pourront rêver en écoutant les récits de sauveteurs en mer et acquérir leur première expérience de capitaine grâce aux maquettes et modèles réduits.

Ostende à l'Ancre est accessible à tout le monde. Gracieusement offerte aux Ostendais, cette organisation de bénévoles est soutenue par le tourisme d'Ostende.  

 

Plus d'informations : http://www.oostendevooranker.be

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 11:50
photo Michael Moors – MIL.be

photo Michael Moors – MIL.be

Photos : Michael Moors – MIL.be

 

13/02/2015 Stijn Verboven –– MIL.be

 

Les quatre hélicoptères belges NH90 Tactical Transport Helicopter (TTH) ont effectué, le jeudi 12 février dernier, leur premier vol en formation. Pendant environ une heure, les hélicoptères se sont exercés à différentes formations au-dessus de la base aérienne de Beauvechain. Les NH90 ont ainsi franchi une étape dans leur préparation vers un engagement opérationnel.

 

Le vol en formation devait, à l'origine, avoir lieu le mardi 10 février mais a été reporté en raison des mauvaises conditions météorologiques. Une décision judicieuse lorsqu'a vu, jeudi midi, les quatre NH90 décoller sous un soleil radieux. Les pilotes se sont entraînés pendant une heure à différentes formations dont le losange et la flèche.

 

« Le vol s'est très bien déroulé » a déclaré le lieutenant-colonel aviateur Michel Gelders, commandant de la 18e Escadrille et pilote de NH90. « Le temps était magnifique et les appareils volaient parfaitement. Aucun problème à déplorer. »

 

photos Michael Moors – MIL.bephotos Michael Moors – MIL.be
photos Michael Moors – MIL.bephotos Michael Moors – MIL.be
photos Michael Moors – MIL.bephotos Michael Moors – MIL.be

photos Michael Moors – MIL.be

Les pilotes de NH90 n'ont pas encore une grande expérience du vol serré. Cependant, il y a une raison pour laquelle celui-ci doit presque devenir un automatisme, explique le colonel Gelders. « Pour les tâches comme les vols en formation, un entraînement préalable est nécessaire. Durant le vol réel, les pilotes doivent consacrer peu de temps aux paramètres élémentaires. Principalement, lors des opérations tactiques pour lesquelles il est essentiel que la concentration soit focalisée sur la mission. »

 

Les vols en formation doivent tenir compte de nombreux paramètres. « Nous nous y préparons avec minutie », explique le colonel Gelders. « Nous parcourons les différentes formations à l'avance ainsi que les fréquences radio et surnoms à utiliser pendant le vol. Tout est passé en revue. De tels vols nécessitent donc d'intenses préparations. »

Vidéo : Erwin Ceuppens - MIL.be

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 11:50
L’armée allemande possède 28 NH90TTH photo NHIndustries

L’armée allemande possède 28 NH90TTH photo NHIndustries

 

11 février 2015 par Gil Roy – Aerobuzz.fr

 

La Bundeswehr décide de suspendre provisoirement sa flotte de NH90, suite à un incident survenu à l’un de ses hélicoptères en Afghanistan, en juin 2014. Pour les militaires allemands, les vols reprendront quand NHIndustries aura remédié à un défaut de conception du circuit électrique. Les causes sont identifiées, une solution est déjà à l’étude.

 

Alors qu’il entre progressivement en service, sous les cocardes des pays partenaires du programme, et qu’il est engagé avec succès sur plusieurs théâtres d’opération, le NH9O est confronté à d’inévitables défauts de jeunesse que s’emploie à corriger, au fur et à mesure qu’ils apparaissent, le consortium NHIndustries. Le dernier événement en date est la décision de l’armée allemande de suspendre temporairement sa flotte de NH90 TTH, soit 28 appareils. Une mesure radicale en réponse à un problème qualifié de sérieux par les militaires allemands.

 

Les faits remontent à juin 2014. A cette époque, l’Allemagne mettait en œuvre quatre NH90 en mission d’évacuation médicale en Afghanistan. Lors d’une de ces interventions, un équipage a été victime d’une explosion en vol d’un des moteurs RTM322. Dans le feu de l’action, les pilotes ont activé la commande des extincteurs. Cette action a entrainé un court-circuit dans le panneau de commande supérieur du cockpit. L’équipage a, alors, recherché le terrain le plus proche pour s’y poser en toute sécurité, en l’occurrence, la plateforme de Termez, en Ouzbékistan.

 

Après plusieurs mois d’enquête par des spécialistes militaires, industriels et indépendants, l’incident a été qualifié de sérieux mais pas de nature à nécessiter l’arrêt des vols des NH90. Comme d’habitude en aéronautique, les situations délicates sont souvent la résultante de plusieurs actions erronées. Le cas de Termez ne fait pas exception. L’enquête a, en effet, déterminé que l’équipage n’avait pas, respecté la procédure de démarrage « à chaud » des moteurs, qui prévoit de ventiler les turbines pendant deux minutes avant de lancer la séquence de démarrage des moteurs Turbomeca RTM322. De plus, suite à l’explosion, l’équipage malgré, l’absence d’incendie, a déclenché les extincteurs, en appuyant plus de trois secondes sur le bouton d’activation. Cette action prolongée et inattendue, a entrainé un court-circuit.

 

Suite de l’article

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 08:50
Sweden Awards Sogitec Industries a Contract for NH90 Training Services

Sogitec Industries has been awarded a contract for training Sweden NH90 crew at the French Army NH90 Joint Training Center (Centre de formation interarmées, CFIA) in Le Cannet-Des-Maures
 

Sogitec, February 09, 2015 - Sogitec Industries

 

Sogitec Industries has been awarded by Sweden’s Defence Materiel Administration (Försvarets materielverk, FMV) a contract for the training of Swedish Air Force (AF) and FMV T&E (Test and Evaluation) NH90 crews.

Training will be delivered to Swedish AF and FMV T&E personnel and will take place at the French Army Aviation Academy’s NH90 Joint Training Center (Centre de formation interarmées, CFIA) in Le Cannet-Des-Maures, south-eastern France.

CFIA is equipped with a Full Flight Simulator (FFS) and a Multi-Role Training Device (MRTD). The MRTD is a fixed-base full mission simulator (FMS) with all FMS tactical, flight and procedure training capabilities.

The agreement is valid until the end of 2021. After France and Finland, Sweden is SOGITEC’s NH90 Training Media’s third customer. Spanish and Belgian Forces also use CFIA facilities.

SOGITEC INDUSTRIES is in charge of the development, the production, and the delivery of seven NH90 training devices, in both TTH and NFH versions, for the French Army, the French Navy and the Finnish Army Aviation.

About Sogitec Industries ( www.sogitec.com ) Sogitec Industries is a leading company in the market of support products and services for Aerospace and Defense systems. Sogitec offers a comprehensive range of instruction and training solutions for military and civil aerospace needs, from full training systems to simulation subsystems. The company also operates in major technical publications and documentary systems programs. Sogitec employs over 400 personnel and delivered revenue of 69 million euros in 2013. The company is headquartered in Suresnes (Paris). Two other main facilities are located in Bruz (Rennes, Britanny) and Mérignac (Bordeaux).Sogitec Industries is a subsidiary of aircraft manufacturer Dassault Aviation.

 

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 07:50
Premier vol de formation pour la version transport du NH90 en Belgique

 

09/02/2015 par MIL.be

 

Les quatre NH90 ‘Tactical Transport Helicopter’ (TTH) effectuent leurs premiers vols de formation ce mardi 10 février 2015. Les hélicoptères décolleront de la base de Beauvechain pour un vol d’entrainement. Cette manœuvre contribue à l’opérationnalité de la flotte NH90. Le vol durera environ 45 minutes.

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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 20:50
Helikopter 14. Foto Joakim Hiertner- -Försvarsmakten

Helikopter 14. Foto Joakim Hiertner- -Försvarsmakten

 

Suresnes, le 9 février 2015 SOGITEC INDUSTRIES

 

L’agence suédoise FMV (Försvarets materielverk, Administration du materiel de la Défense) a notifié à SOGITEC INDUSTRIES un contrat de fourniture de services de formation au profit des équipages NH90 de l’Armée de l’air suédoise (AAS) et du FMV T&E (Test et évaluation).

 

La formation sera délivrée aux personnels de l’AAS et du FMV T&E et se déroulera au Centre de formation interarmées (CFIA) NH90 de l’Ecole de l’Aviation légère de l’Armée de terre (EALAT), au CANNET-DES-MAURES (Var).

Le CFIA est doté d’un FFS (Full Flight Simulator) et d’un MRTD (Multi-Role Training Device). Le MRTD est un simulateur complet de mission (Full Mission Simulator, FMS) avec l’intégralité des capacités d’entraînement tactique, au vol et à la navigation d’un FMS.

L’accord porte sur une période courant jusqu’à fin 2021. Après la France et la Finlande, la Suède est le troisième client NH90 de SOGITEC INDUSTRIES. Les Forces espagnoles et belges sont également utilisatrices des moyens du CFIA.

SOGITEC INDUSTRIES est en charge du développement, la production et la livraison de sept systèmes de formation et d’entraînement NH90 – variantes TTH et NFH – au profit de l’Armée de terre, la Marine nationale et l’Armée de terre finlandaise.

 

A propos de Sogitec Industries :

Sogitec Industries est un leader du marché des produits et services de soutien aux systèmes aéronautiques et de Défense. Sogitec propose une gamme complète de solutions de formation et d’entraînement pour les besoins aéronautiques civils et militaires, de systèmes complets d’entraînement jusqu’aux composants de simulateurs.

La société est également active dans le cadre de grands programmes de fourniture de documentation technique et de systèmes documentaires. Sogitec emploie plus de 400 personnes et son chiffre d’affaires s’établit, pour l’année 2013, à 69 millions d’euros. Le siege social de la société est à Suresnes (région parisienne). Deux autres établissements se trouvent à Bruz (Rennes) et Mérignac (Bordeaux).

Sogitec est une filiale de Dassault Aviation. Pour plus d’information, www.sogitec.com

 

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5 janvier 2015 1 05 /01 /janvier /2015 07:55
Formation internationale au programme NH90 (màj)

 

19/12/2014 Camille Pégol - Armée de Terre

 

Le 4 décembre, l'École de l’aviation légère de l’armée de Terre (EALAT) a ouvert les portes de son centre de formation interarmées (CFIA) NH90 à l’interalliés. Des mécaniciens aéronautiques belges et des pilotes espagnols y ont suivi, pendant une semaine, un stage de familiarisation et de formations techniques sur l’hélicoptère NH90.

 

L’EALAT, dont l’expertise est recherchée, est reconnue sur la scène internationale comme pôle d’excellence dans la formation du domaine aéromobilité, qui est au cœur des engagements des forces armées françaises, notamment dans la lutte contre le terrorisme. Les cursus de formation et les moyens leur étant dédiés font donc partie des meilleurs du monde.

 

Actuellement, l’interopérabilité avec les armées étrangères et l’accroissement du parc de NH90 chez nos alliés contribuent à faire de l’EALAT, et du CFIA en particulier, le formateur incontournable et reconnu sur cet hélicoptère.

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17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 13:55
Réception du NH90 n°13 par le CEPA/10S

 

17 Décembre 2014 Marine Nationale

 

Le 12 décembre 2014, le CEPA/10S a réceptionné auprès d’Airbus Helicopters, un treizième NH90 Caïman Marine,  soit le cinquième appareil livré cette année.

 

Pour la circonstance, l’adjoint au sous-chef d’état-major « plans-programmes » de l’état-major de la marine, l’amiral commandant la force de l’aéronautique navale (ALAVIA) et le commandant de l’aéronautique navale de Hyères ont participé à la cérémonie de réception de cet appareil, puis à son transfert en vol vers la base d’aéronautique navale de Hyères. A leur arrivée, ils ont été accueillis par le commandant du CEPA/10S.

 

Le NH n°13 est appelé à rejoindre à terme la flottille 31F, pour soutenir ses activités de formation des équipages et d’armement des détachements de frégate de défense aérienne.

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28 novembre 2014 5 28 /11 /novembre /2014 13:55
Stage de découverte de l’aéronautique navale au profit d’ingénieurs d’Airbus Helicopters

 

18 Novembre 2014 Source : Marine nationale

 

Courant octobre, deux ingénieurs de la société Airbus Helicopters impliqués dans le programme NH90 Caïman Marine ont effectué un stage de découverte portant sur les hélicoptères de la force de l’aéronautique navale et, en particulier, la spécificité de leur emploi en milieu maritime. Cette démarche avait été initiée par le chef d’état-major de la Marine et monsieur Guillaume Faury, président d’Airbus Helicopter (AH) il y a quelques semaines.

 

L’idée maîtresse était d’améliorer la compréhension du milieu maritime par les équipes de l’industriel et de les familiariser aux contraintes du travail au-dessus de la mer (corrosion, embarquement des aéronefs, sécurité maritime, sauvetage en mer, missions anti-sous-marines).

 

Intégrés au sein des flottilles 31F et 36F, implantées sur la base d’aéronautique navale d’Hyères, ces cadres ont ainsi pu appréhender au plus près deux conceptions de maintien en condition opérationnelle, en alternant leur présence entre deux flottilles, équipées chacune d’aéronefs de génération différente, le Caïman Marine et le Panther. Les deux ingénieurs, l’un travaillant au bureau d’études « Maintenabilité », l’autre au laboratoire des matériaux et procédés, ont pu mesurer in situ l’impact de l’environnement maritime sur l’aéronef et recueillir de nombreux témoignages de techniciens embarqués. Ils ont également mis en relation des éléments concrets avec leurs travaux en bureau d’études, débutant même une réflexion sur les évolutions possibles ou souhaitables de ces appareils dans le cadre de leur exploitation.

 

Le bilan de ce stage est très positif et sera reconduit, ces rencontres offrant aux cadres d’Airbus Helicopters ainsi qu’aux Marins du ciel, l’occasion d’un véritable échange, riche d’enseignements et essentiel au renforcement du lien entre l’industriel et la force. Le premier retour d’expérience a déjà permis d’envisager d’autres activités et de diversifier le profil des stagiaires. Plus que jamais, Marins du ciel et industriel sont à l’écoute pour optimiser l’emploi de nos aéronefs.

 

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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 19:50
Le dernier NH90 belge avant sa sortie du hangar - Photos : Daniel Orban

Le dernier NH90 belge avant sa sortie du hangar - Photos : Daniel Orban

 

14.11.2014 Concetto Bandinelli – MIL.be

 

Le dernier des quatre NH90 TTH (Tactical Transport Helicopter) commandés en 2005 par la Belgique est officiellement devenu la propriété de la Défense le jeudi 13 novembre. Le lieutenant général Guy Clément, Directeur général des Ressources Matérielles (DG MR) s'est spécialement rendu à Marignane, en France, pour le recevoir. 

 

Le Tactical Belgian Army 04, dénomination officielle attribuée par NHIndustries, est officiellement devenu le RN-08. Ce 14 novembre, il a pris la direction de la Belgique pour compléter la flotte des NH90 terrestres. « C'est le deuxième NH90 remis à la Belgique cette année », a confié Vincent Dubrule, président de NHIndustries. « En 2014, nous avons livré 38 NH90. À ce jour, nous avons sorti 217 hélicoptères de ce type de nos chaînes. »

 

Le lieutenant général Clément, en sa qualité de directeur général du département des ressources matérielles, s'est montré très satisfait de cette collaboration franco-belge. « Depuis le 2 octobre 2013, date d'entrée en service du premier NH90 à la Composante Terre, nos appareils ont déjà cumulé quelque 450 heures de vol. » Avec 34 heures de vol par mois, les pilotes belges figurent parmi les plus gros utilisateurs. La disponibilité moyenne des machines est de 67%.

 

« Nous volons de manière intensive », souligne le lieutenant Valéry Dessers, pilote instructeur sur ce type d'appareil. « Nous volons pour nous entraîner, pour la formation des autres pilotes, des cabin operators qui utiliseront le treuil et des mitrailleurs de bord. Notre planning et celui des hélicoptères est donc bien rempli. Cela montre bien que nous irons loin et pendant longtemps avec des appareils modernes et performants », ajoute Guy Clément.

 

Cette livraison est la fin d'une première phase. La deuxième, dite du in service life, durera 30 ou 40 ans. Cette étape consiste en une collaboration encore plus importante entre la Défense belge et le constructeur du NH90.

 

Pour l'occasion, deux NH90, les RN05 et RN06 livrés en 2012 et 2013, ont rejoint leur petit frère après avoir quitté le Centre de Vol en Montagne de l'Aviation légère de l'Armée de Terre française, située à Saillagouse. C'est dans cette localité des Pyrénées que nos pilotes s'entraînent régulièrement au pilotage délicat, rasant la roche pyrénéenne et les pâquerettes en vallée. Ce 14 novembre, les RN-05 et RN-06 ont escorté le RN-08 jusqu'à leur base de Beauvechain, siège du 1 Wing.

 

Pour leur part, les deux derniers NH90 NFH (Nato Frigate Helicopter) seront livrés à la fin du mois de novembre et au cours du premier semestre 2015. Au total, la base de Coxyde hébergera elle aussi quatre NH90. Ceux-ci remplaceront progressivement les vénérables Sea King dans leurs missions de sauvetage en mer.

La Défense réceptionne son dernier NH90 TTH
La Défense réceptionne son dernier NH90 TTH
La Défense réceptionne son dernier NH90 TTH
La Défense réceptionne son dernier NH90 TTH
La Défense réceptionne son dernier NH90 TTH
La Défense réceptionne son dernier NH90 TTH
La Défense réceptionne son dernier NH90 TTH
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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 13:45
Le Caïman face à son destin…

Pour son premier déploiement opérationnel, le Caïman fait face à des conditions d’emploi particulièrement difficiles. - photo EMA

 

13 novembre, 2014 Frédéric Lert (FOB)

 

Dix-neuf ans moins quelques jours après son premier vol, le NH90 arrive donc sur un théâtre d’opération sous les couleurs françaises. Après quatre journées de convoyage, deux Caïman du 1er RHC ont rallié de façon autonome Gao (Mali) en partant de leur base de Phalsbourg. Au Mali, les deux appareils et leurs équipages s’intègrent dans un sous groupement aéromobile (SGAM) fort d’une dizaine d’appareils.

 

Ce déploiement constitue une épreuve de vérité pour le NH90, qui va devoir faire la preuve de ses capacités à durer dans un environnement très hostile. L’Alat a beaucoup sacrifié pour cet appareil, pour en porter le développement et en commander pour l’instant 68 exemplaires. Le Caïman part avec de solides atouts sur le théâtre malien, avec en premier lieu une puissance qui lui permettra d’affronter plus sereinement les fortes chaleurs. Dans le monde de l’hélicoptère plus qu’ailleurs, puissance égale sécurité. Autre facteur de sécurité, son avionique perfectionnée sur laquelle les équipages pourront s’appuyer pour évoluer en conditions marginales (nuit noire, mauvaise visibilité due au sable etc). Le Caïman est aussi un hélicoptère doté d’une solide autonomie. A la masse maximale de onze tonnes, avec trois réservoirs supplémentaires en soute, l’appareil affiche une autonomie de cinq heures. Bluffant ! Bien évidemment, libérer de la charge utile impose d’enlever des réservoirs en soute, mais le Caïman garde tout de même les pattes très longues au contraire de l’animal dont il tire le nom. L’hélicoptère est aussi rapide, avec une vitesse de croisière d’environ 250 km/h. Vitesse et autonomie en font un partenaire idéal du Tigre qui affiche les mêmes caractéristiques. Entre Tessalit et Gao, une Gazelle ou un Puma un peu chargé doit stopper à Kidal pour faire le plein.  Le Tigre et le NH90 peuvent quant à eux filer droit d’un seul coup d’aile. Pour le SGAM, la mise en œuvre conjointe de Tigre et de Caïman sera l’occasion de repenser en profondeur le déroulement de ses missions et l’emploi de ses appareils.

 

Tout ne va pas être facile pour autant. Les Caïman devront en premier lieu faire face à un ennemi omniprésent, le sable. Sa granulosité très fine et son très fort pouvoir abrasif causent des ravages dans les mécaniques et les éléments tournants. Aucun filtre parfait n’existe face à cette poussière qui parvient à s’infiltrer partout. Seule solution : un entretien régulier des appareils, au besoin en passant l’aspirateur dans ses équipements les plus sensibles. Cette question du sable se conjugue avec celle des fortes chaleurs. Tous les équipements électroniques (calculateurs, écrans etc.) du Caïman  fonctionnent avec des batteries de micro ventilateurs. Les semaines à venir diront leur sensibilité réelle aux conditions extrêmes rencontrées au Mali. Les expérimentations « temps chaud » conduites à Djibouti sont une chose, l’emploi d’un appareil sur le terrain plusieurs mois d’affilée en sont une autre…

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7 novembre 2014 5 07 /11 /novembre /2014 08:55
Crédits SIRPA Terre CCH J-B Tabone

Crédits SIRPA Terre CCH J-B Tabone

 

31 octobre, 2014 Guillaume Belan (FOB)

 

Le nombre d’engagements militaires français se multipliant, les hélicoptères de l’armée de terre n’ont jamais été aussi incontournables. Plus une opération sans l’ALAT (Aviation Légère Légère de l’Armée de Terre). C’est pas loin de 40 hélicoptères de combat ou de manœuvre qui sont déployés en ce moment en opérations extérieures (OPEX). Et leur nombre va encore augmenter substantiellement dans les prochains mois. Alors que deux NH90 TTH Caïman sont en train d’arriver au Mali, où ils seront employés depuis Gao, remplaçant deux Puma; deux Tigre HAD (munis du missile Hellfire) vont dans les prochaines semaines rejoindre l’opération Sangaris en Centrafrique, comme l’a révélé Air & Cosmos (lire ici).

 

De Sangaris à Barkhane… à Chammal?

 

En parallèle, le nombre d’hélicoptères Tigre HAP (Appui Destruction) va augmenter significativement dans la Bande Sahélo-Saharienne (BSS). De trois aujourd’hui, le nombre va être progressivement augmenté pour arriver à neuf courant 2015. Il faut dire que l’opération Barkhane a pour théâtre d’opérations une zone grande comme dix fois la France… Et les opérations coups de poing aux frontières du Mali se multiplient afin d’empêcher le retour des djihadistes dans l’Adrar des Ifoghas. Même en Irak, le déploiement d’hélicoptères a été évoqué. L’opération Chammal, qui pour l’instant ne voit le déploiement que de moyens de l’armée de l’air (plus un ATL2 de la Marine), pourrait évoluer, à terme. Car Daesh s’est adapté et la menace devient fugace…. L’utilisation de bombes guidées auto-propulsées AASM est particulièrement précieuse contre des cibles mobiles, mais surdimensionnée contre quelques combattants munis de moyens militaires de faible importance (pick up…). L’hélicoptère est là dans son élément, grâce à ses capacités de permanence sur une zone, il peut débusquer ces cibles plus facilement et les traiter avec des armements bas coûts plus adaptés (roquette, canon de 30 mm, missile HOT, canon de 20 mm…). Il est particulièrement redoutable de nuit, comme l’a révélé l’opération Harmattan en Libye en 2011. Problème : il faudrait déployer un groupement hélico en territoire irakien, probablement dans la zone kurde. Les accès maritimes pour une mise en œuvre depuis un navire BPC sont trop éloignés… Toutes les options seraient aujourd’hui ouvertes.

 

Dernier changement opérationnel à venir pour l’ALAT : le détachement du Gabon va être dissout pour être reconstitué en Côte d’Ivoire, en appui de l’opération Barkhane.

 

Tensions

 

L’ALAT est en conséquence aujourd’hui particulièrement expérimentée et réactive. Mais revers de la médaille, l’accent étant porté sur la disponibilité en Opex des machines (90% en moyenne), les hélicoptères demeurant sur le territoire nationale affichent eux une très faible disponibilité. Pour un appareil projeté, il faut en mobiliser deux sur le territoire national en moyenne… Tandis qu’il faut continuer à former les équipages en France et régénérer les forces. Un casse tête ! Qui est aussi contraint par le coût de l’heure de vol des machines : 1500 euros l’heure de vol pour une Gazelle contre 10 000 pour un Tigre ! L’ALAT ambitionne de ramener ce chiffre à 7500 euros l’heure.

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