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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 07:45
Des forces de sécurité du Nigeria (Archives)

Des forces de sécurité du Nigeria (Archives)

 

1 juillet, 2014 – BBC Afrique

 

Le groupe aurait infiltré un groupe d'autodéfense pour couvrir ses activités

 

L'armée affirme avoir lancé un assaut contre ce qu'elle considère comme étant une cellule de renseignement pilotée par la secte Bokko Haram.

 

Le chef présumé de cette cellule, Babuji Ya'ari, qui serait lié à l'enlèvement de plus de 200 écolières a été arrêté, selon un communiqué militaire.

 

M. Yaari serait aussi activement mêlé au meurtre, en mai, d'un chef traditionnel, l'émir de Gwoza, ajoute le communiqué.

 

M. Yaari n'a encore fait aucun commentaire sur ces allégations.

 

Le ministère de la défense l'a décrit comme un homme d'affaires qui "a participé activement à l'enlèvement des écolières" dans la ville septentrionale de Chibok.

 

Il se serait aussi servi de ses activités au sein d'un groupe d'autodéfense contre Boko Haram pour couvrir sa mission d'espionnage pour les militants, a indiqué l'armée, ajoutant qu'il avait coordonné "plusieurs attaques meurtrières dans Maidugiri", la capitale de l'Etat de Borno, depuis 2011.

 

Parmi les personnes appréhendées figurent aussi des femmes qui étaient des membres de la cellule de renseignement, selon le ministère de la Défense

 

Pour l'instant, les allégations de l'armée n'ont pas pu être vérifiées de source indépendante.

 

Les combattants de Boko Haram ont enlevé plus de 200 jeunes filles de leur école dans l'Etat de Borno le 14 Avril.

 

Depuis, la plupart d'entre elles sont toujours portées disparues.

 

Plus de 2.000 personnes ont été aussi tuées cette année dans des attaques imputées à des militants.

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1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 16:45
How Boko Haram is beating U.S. efforts to choke its financing

 

01 July 2014 defenceWeb (Reuters)

 

When Washington imposed sanctions in June 2012 on Boko Haram leader Abubakar Shekau, he dismissed it as an empty gesture.

 

Two years later, Shekau’s skepticism appears well founded: his Islamic militant group is now the biggest security threat to Africa's top oil producer, is richer than ever, more violent and its abductions of women and children continue with impunity.

 

As the United States, Nigeria and others struggle to track and choke off its funding, Reuters interviews with more than a dozen current and former U.S. officials who closely follow Boko Haram provide the most complete picture to date of how the group finances its activities.

 

Central to the militant group’s approach includes using hard-to-track human couriers to move cash, relying on local funding sources and engaging in only limited financial relationships with other extremists groups. It also has reaped millions from high-profile kidnappings.

 

"Our suspicions are that they are surviving on very lucrative criminal activities that involve kidnappings," U.S. Assistant Secretary of State for African Affairs Linda Thomas-Greenfield said in an interview.

 

Until now, U.S. officials have declined to discuss Boko Haram’s financing in such detail.

 

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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 10:45
EU declares Boko Haram a terrorist organisation

 

09 June 2014 by defenceWeb

 

A day after the United Nations designated Boko Haram a terrorist organisation the European Union followed suit condemning its unacceptable violent crimes.

 

“The listing of Boko Haram should contribute to efforts to put an end to its criminal activities,” a statement issued by EU External Action said.

 

In recent weeks Boko Haram has been responsible for kidnapping more than 200 Nigerian schoolgirls and the deaths of dozens of people shot in Nigeria’s Borno state.

 

The statement went on to say declaring boko Haram a terrorist organisation was an illustration of the European body’s firm commitment to support Nigeria in its fight against terrorism while upholding the rule of law and human rights.

 

Boko Haram has now been added to the lists of persons, groups and entities covered by the freezing of funds and economic resources under EC Regulation 881/2002 with (EU) Commission Implementing Regulation No 583/2014 of 28 May 2014. The EU Act was published in the EU Official Journal and entered into force on 29 May 2014.

 

Boko Haram, whose name translates loosely from the Hausa language spoken widely in northern Nigeria as "Western education is forbidden" has carried out a great number of violent attacks that have targeted all sections of Nigerian society and most recently evidenced by the kidnapping of the Chibok schoolgirls on April 14. The terrorist group under its current leader Shekau is principally active in northern Nigeria but has increasingly worsened and expanded its attacks. The EU has repeatedly and firmly condemned the group's violence, expressed full solidarity with the victims and their families and is supporting efforts by Nigeria and partners against such criminal acts.

 

The EU decision was adopted as matter of urgency in the wake of UN sanctions, illustrating the EU continued support to the multilateral system of international relations, peace and stability.

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11 juin 2014 3 11 /06 /juin /2014 20:45
Britain to host London summit on tackling Nigeria's Boko Haram

 

06 June 2014 defenceWeb (Reuters)

 

William Hague will host a meeting of African and Western officials in London next week aimed at stepping up international efforts to defeat Islamist group Boko Haram, his office said on Thursday.

 

Although Boko Haram has been fighting for five years, carrying out bombings and attacks on civilians and the security forces, the kidnapping in April of more than 200 girls from a school in the northeast has focused world attention on them.

 

The June 12 London meeting will be attended by the Nigerian foreign minister and representatives from neighbouring African countries Benin, Chad, Cameroon and Niger, Hague's office said. Officials from Britain, the United States, France, Canada and the European Union will also be present.

 

"The meeting will consider what can be more done both to improve regional coordination, and on economic and social development to counter the threat of Boko Haram," the Foreign Office said in a statement.

 

Hague said: "The London Ministerial on Security in Northern Nigeria will ... consider further options to combat terrorism. This shows the determination of those in the region, with the support of the international community, to defeat Boko Haram."

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11 juin 2014 3 11 /06 /juin /2014 10:45
Nigéria: la première femme kamikaze

 

9 juin, 2014 – BBC Afrique

 

Au Nigéria pour la première fois depuis le début des attaques de Boko Haram, une femme kamikaze s'est fait exploser hier alors qu'elle tentait de perpétrer un attentat contre une caserne militaire.

La kamikaze a été tuée dans l'explosion et les sources militaires ont fait état de 3 soldats blessés.

Selon le ministère de la défense la Kamikaze avait les explosifs cachés sous ses vêtements.

 

Suite de l'article

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2 juin 2014 1 02 /06 /juin /2014 12:45
Selon le ministère de la Défense du Cameroun, la menace Boko Haram est «difficile à juguler»

 

30/05/2014 Par Journalducameroun.com

 

En cause, la facilité des membres de Boko Haram à se fondre au sein de la population

 

Moins de deux semaines après le Sommet de Paris sur la sécurité au Nigéria, au cours duquel le chef de l’Etat camerounais avait déclaré « la guerre » à la secte Boko Haram, l’armée reconnait avoir déployé d’importants moyens humains et matériels dans la partie septentrionale du pays. Dans une interview accordée à la presse publique de ce 30 mai 2014, le chef de la division de la Communication au ministère de la Défense, le lieutenant-colonel Didier Badjeck, explique: « Le chef de l’Etat a pris une décision à un niveau stratégico-politique avec ses pairs. Ceci est pour nous une instruction et nous la traduisons au niveau stratégico-militaire […] Vous savez aujourd’hui que Boko-Haram a des moyens importants, c’est la raison pour laquelle nous n’allons pas rentrer dans le détail de notre déploiement sur le terrain ». Détail apporté pour démontrer l’engagement de l’Etat, l’installation des commandants des 31e et 32e Brigades d’infanterie motorisée (BRIM) à Ngaoundéré et à Maroua ainsi que la création d’une 11ème BRIM à l’Est.

 

Malgré la logistique, le ministère de la Défense reconnait toutefois qu’il s’agit d’un combat difficile à mener à terme. « Dans le cas actuel, vous avez des adversaires qui n’ont pas de base, vous ne savez pas d’où ils viennent. Il leur suffit d’un simple renseignement sur nos positions et ils attaquent en fonction des éléments de notre présence. Cette menace est difficile à juguler. Il est important ici que la collaboration soit efficace entre les forces de défense et la population. Parce que ces éléments de Boko Haram vivent parmi nous. Il est très difficile de faire la différence entre un élément de ce mouvement et un compatriote vivant dans cette partie du pays », reconnaît-le Lieutenant-colonel Didier Badjeck.

 

Au cours de cet entretien, le porte-parole du ministère de la Défense a reconnu qu’il n’y a pas encore à ce jour de mutualisation des moyens avec le Nigéria voisin. « Chaque pays défend son territoire », a-t-il affirmé. Néanmoins, des projets existent dans ce sens avec la République du Tchad dont le président s’est rendu au Cameroun du 22 au 23 mai dernier. De source militaire, à l’occasion de cette visite, le ministre camerounais de la Défense et son homologue tchadien ainsi que les experts des deux pays, se sont rencontrés afin de voir dans quelle mesure il pourrait y avoir une mutualisation des forces. « Il y aura une bonne coordination dans ce sens », confirme-t-il.

 

A propos du moral des troupes qui ont déjà vu une dizaine des leurs tomber sur le front ces derniers mois, le porte-parole du ministère de la Défense assène : « Nous sommes en guerre et nos forces sont préparées à cela. Des moyens conséquents sont mis en place. Il peut y avoir des risques, nous y sommes préparés […] A travers cette guerre, tout le monde doit prendre conscience des vertus de la paix », recommande le lieutenant-colonel Didier Badjeck.

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27 mai 2014 2 27 /05 /mai /2014 18:45
Menaces Boko Haram: le Cameroun déploie d'importants renforts militaires à la frontière nigériane

 

27 mai 2014 Romandie.com (AFP)

 

Maroua (Cameroun) - L'armée camerounaise a commencé à déployer d'importants renforts de troupes dans la région de l'extrême-nord, frontalière du Nigeria, pour faire face à la menace des islamistes nigérians de Boko Haram, a déclaré mardi à l'AFP une source policière.

 

Le déploiement des troupes a démarré. Dès ce jour (mardi), le dispatching des militaires en direction des zones frontalières a commencé, a affirmé sous couvert d'anonymat un commissaire de police établi dans la région, faisant état de 3.000 hommes envoyés en renfort.

 

Dans les réunions de sécurité, il a été fait état de 3.000 hommes au total qui vont être déployés en renfort sur le terrain sur l'ensemble de la région pour contrer les Boko Haram, a-t-il expliqué.

 

C'est un chiffre significatif puisque le nombre de militaires et gendarmes en poste actuellement dans la région n'atteint pas 1.000, a-t-il commenté.

 

Jointe par l'AFP, l'armée camerounaise n'a pas voulu confirmer ces chiffres.

 

Les soldats sont en train d'arriver par groupes. Les blindés qui seront déployés sur le terrain sont encore en route vers l'extrême-nord, a assuré un responsable régional de la gendarmerie.

 

Nous avons pris des dispositions extrêmement importantes avec du matériel (de guerre) lourd, l'objectif étant de faire face à un éventuellement repli des Boko Haram chez nous en cas d'action de l'armée nigériane, a indiqué pour sa part un responsable de l'armée ayant requis l'anonymat.

 

Tout ce qui se fait actuellement est collaboration avec le Tchad et le Nigeria. Nous ne pouvons pas en dire plus, a-t-il assuré avant de conclure: on est en guerre.

 

Mardi, un avion militaire a survolé la ville de Maroua, le chef-lieu de la région de l'extrême-nord, a constaté un journaliste de l'AFP.

 

Le déploiement de l'armée camerounais intervient moins de deux semaines après le sommet de Paris du 17 mai consacré à la lutte contre Boko Haram, qui a réuni les présidents nigérian, tchadien, camerounais, nigérien et béninois, ainsi que des représentants des Etats-Unis, de la Grande-Bretagne et de l'Union européenne.

 

La rencontre de Paris avait débouché sur l'adoption d'un plan de guerre contre Boko Haram, qualifié de secte terroriste et de menace majeure pour la région, établissant une large coopération militaire.

 

Le Cameroun qui partage plus de 2.000 km de frontière avec le Nigeria subit de plus en plus d'attaques ciblées du groupe islamiste armé.

 

Boko Haram est suspecté d'avoir enlevé 10 Chinois dans la nuit du 16 au 17 mai dans l'extrême-nord du pays.

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17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 20:45
Sommet de l'Élysée : face à Boko Haram, la France a-t-elle les moyens de ses ambitions ?

 

 

17/05/2014 Jean Guisnel - Défense ouverte / Le Point.fr

 

Traditionnellement peu présente au Nigeria anglophone, la France veut organiser la lutte contre Boko Haram. Elle a quelques idées sur le sujet.


 

La secte islamiste criminelle nigériane Boko Haram, que dirige Abubakar Shekau, sera samedi le principal sujet de discussion des chefs d'État africains qui se réuniront à l'Élysée à l'invitation de François Hollande. Autour de Goodluck Jonathan (Nigeria), officiellement le "demandeur" de cette réunion, se retrouveront Paul Biya (Cameroun), Mahamadou Issoufou (Niger), Idriss Déby (Tchad), Boni Yayi (Bénin), de même que le ministre des Affaires étrangères britannique William Hague, la secrétaire d'État américaine adjointe Wendy Sherman et un représentant de l'Union européenne. Côté français, le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius sera absent pour cause de déplacement à l'étranger, mais le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, qui a pris progressivement en charge le traitement des affaires africaines de sécurité, sera bien présent.

 

Crainte de la contagion

À Paris, on admet que le sort du Nigeria n'a jamais constitué une préoccupation stratégique, à tout le moins depuis la fin des années 1960 et le soutien à la sécession biafraise. Mais la situation qui prévaut depuis le développement des activités sanglantes de Boko Haram, singulièrement depuis l'enlèvement et la séquestration le 14 avril de 270 lycéennes de la ville de Chibok, localité du nord-est du Nigeria, a changé la donne.

Les Français craignent une contagion du phénomène, une extension des activités de ce groupe vers le Cameroun et le Tchad : "Le Nigeria n'est certes pas dans notre zone d'influence traditionnelle, mais la zone de fracture est inquiétante", estime un spécialiste du ministère de la Défense. Ajoutant craindre un rapprochement entre Boko Haram et d'autres groupes djihadistes. Dans le nord-est du Nigeria, Boko Haram est un mouvement principalement national, visant essentiellement les intérêts de l'État nigérian et le système éducatif. Mais Ansaru, dans le nord-ouest du pays, est clairement lié à Aqmi, et ses modes d'action différents visent pour l'essentiel des Occidentaux.

 

Hypothétique jonction

Une source sécuritaire française note d'inquiétantes évolutions depuis début 2013 : "Boko Haram reçoit un soutien financier et des formateurs arabes ont été vus dans ses camps d'entraînement, qui apportent les recommandations doctrinales." Les armes sont livrées par des convois venant notamment de Libye, à travers le Niger et le Tchad. Et la crainte majeure actuellement évoquée à Paris concerne une hypothétique jonction de Boko Haram avec les Séléka de Centrafrique : "Les intérêts de l'Afrique sont en jeu, mais aussi ceux de l'Europe et au-delà", affirme-t-on au ministère de la Défense.

Les Français ont déployé de modestes moyens de renseignements sur place (une dizaine de spécialistes de la DRM - Direction du renseignement militaire -), mais d'autres moyens sont disponibles au Tchad (avions Rafale équipés de systèmes de reconnaissance, avions Atlantic de la marine) et au Niger (drones). Le principal enjeu, souligne-t-on à Paris, consiste à aider les ombrageux Nigérians à réaliser une meilleure coordination du renseignement satellitaire fourni par de nombreux pays (États-Unis, Royaume-Uni, Israël) : "Nous cherchons à créer une cellule de fusion du renseignement et à améliorer la coordination opérationnelle." Le respect des droits de l'homme par l'armée nigériane durant les opérations est également une sérieuse préoccupation à Paris, qui devrait proposer l'envoi de prévôts (gendarmes accompagnant les forces) et de coopérants civilo-militaires chargés des contacts avec la population.

 

À tort ou à raison, l'Élysée cherche donc à prendre le leadership du soutien militaire international au Nigeria. On entend "utiliser ce sommet pour créer une dynamique positive, y compris avec les Nigérians, confrontés à une violence considérable." Tout en préparant en grand secret une diminution des budgets militaires français. Comprenne qui pourra...

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17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 20:45
Air Force assisting search for missing girls in Nigeria

 

 

May. 16, 2014 - By Brian Everstine - .airforcetimes.com

 

The Air Force is flying manned MC-12W Liberty and unmanned RQ-4 Global Hawk surveillance sorties over Nigeria to assist in locating more than 200 girls kidnapped by militants.

 

The Nigerian government requested the flights, and the Defense Department is “focused on helping them find the school girls,” Pentagon spokesman Army Lt. Col Myles Caggins said Thursday.

 

“We will continue to deepen and widen our efforts in assisting them to locate these girls,” Defense Secretary Chuck Hagel said the same day during a visit to Saudi Arabia. “I have seen no intelligence come back that I’m aware of that shows that we’ve located those girls.”

 

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17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 19:45
Boko Haram a "des liens avec Aqmi" selon l’Elysée

 

17/05/2014 Par Le Figaro.fr avec AFP/Reuters

 

François Hollande a affirmé aujourd'hui lors d'un mini-sommet africain sur la sécurité régionale que le groupe islamiste Boko Haram était devenu "une menace pour l'ensemble de l'Afrique de l'Ouest et maintenant pour l'Afrique centrale avec des liens établis avec Aqmi et d'autres organisations terroristes".

 

"Nous connaissons la menace", a dit Hollande en mentionnant que l'Europe était une cible.

 

"Nous sommes ici pour déclarer la guerre à Boko Haram", a résumé le président camerounais Paul Biya.

 

Le président français réunissait les chefs d'Etat du Nigeria, du Niger, du Cameroun, du Tchad et du Bénin un mois après l'enlèvement de plus de 200 lycéennes par Boko Haram au Nigéria. Les Etats-Unis, la Grande Bretagne et l'Union européenne ont aussi été conviés à ce sommet.

 

François Hollande a également appelé à mettre en oeuvre un "plan global" visant "à échanger les informations, à coordonner les actions, à controler les frontières".

 

Boko Haram "doit être vaincu par les pays de la région avec notre soutien", avait déclaré avant l'ouverture du sommet le chef de la diplomatie britannique William Hague.

 

L'enlèvement massif le 14 avril dernier des 223 lycéennes à Chibok, dans l'Etat de Borno, et les vidéos terrifiantes du chef de Boko Haram, Abubakar Shekau, menaçant de marier de force les jeunes femmes ou d'en faire des esclaves, ont suscité un mouvement d'indignation mondiale et braqué les projecteurs sur une violence jusqu'alors peu médiatisée.

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14 mai 2014 3 14 /05 /mai /2014 07:45
U.S. deploys surveillance aircraft over Nigeria to find girls

 

 

13 May 2014 defenceWeb

 

The United States has deployed manned surveillance aircraft over Nigeria and is sharing satellite imagery with the Nigerian government to find more than 200 schoolgirls abducted by Islamist insurgents, a senior Obama administration official said on Monday.

 

Washington has sent military, law-enforcement and development experts to Nigeria to help search for the missing girls who were kidnapped by Boko Haram militants from a secondary school in Chibok in remote northeastern Nigeria on April 14.

 

"We have shared commercial satellite imagery with the Nigerians and are flying manned ISR (intelligence, surveillance and reconnaissance) assets over Nigeria with the government's permission," the U.S. official said.

 

State Department spokeswoman Jen Psaki told a news briefing on Monday that the U.S. was providing intelligence, surveillance and reconnassance support. She said U.S. teams on the ground "are digging in on the search and coordinating closely with the Nigerian government as well as international partners and allies." Two U.S. officials, speaking on condition of anonymity, said the United States was also considering deploying unmanned, drone aircraft to aid the search.

 

One of the U.S. officials told Reuters the United States had been carrying out the manned surveillance flights “for a few days” but did not elaborate. Last week, U.S. Undersecretary for Africa Linda Thomas-Greenfield told Reuters in an interview that Nigeria had requested surveillance and intelligence from the United States.

 

Nigerian President Goodluck Jonathan has said he believes the girls are still in Nigeria. The leader of Boko Haram has offered to release them in exchange for members of its group being detained, according to a video posted on YouTube on Monday.

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14 mai 2014 3 14 /05 /mai /2014 07:45
US military training Nigerian Rangers

 

13 May 2014 by defenceWeb / USARAF

 

United States Army Africa has sent personnel to Nigeria to train a Ranger Battalion in a first of a kind move to prepare Nigerian forces for full spectrum warfare. In the past the US military has mainly trained African soldiers for peacekeeping operations.

 

The US Army Africa (USARAF) team, along with Special Forces and general purpose forces from the National Guard, are being sent to Nigeria at the request of the Nigerian government. They will train a 650-strong ranger battalion, according to USARAF.

 

"What we're doing with the Nigerian Army is helping them take a ranger battalion that already exists and provide infantry skills to enable them to go counter a threat within their country, and it is not peacekeeping -- it is every bit of what we call decisive action, meaning those soldiers will go in harm's way to conduct counter insurgency operations in their country to defeat a known threat, and it's all purely funded by the Nigerians," said Col. John D. Ruffing, chief of USARAF's Security Cooperation Division. "So, they asked us for assistance, and we tailored a package that we agreed on and they influenced and help us put in parameters to work with."

 

In September 2013, Maj. Liam Connor, West Africa Desk Officer escorted the Nigerian Directorate of Training to the U.S. Army Ranger School at Fort Benning, Georgia. "Following the visit, the Nigerian Army came back to us with a Ranger Training/Advanced Infantry Training request," Connor said. "We worked for several months to come up with a program of instruction that stayed within the limitations of the almost $400,000 the Nigerian Army would provide us. This training was specifically requested to take them out of a peacekeeping mission set putting them more in a decisive action set to defeat and counter terrorist Boko Haram.

 

In two weeks’ time a team of 12 people will head to Africa for 35 days to train the ranger unit on basic and advanced infantry tactics at the Nigerian Army Training Centre. The Nigerian Army has allocated 40 of its officers and non-commissioned officers to serve as cadre.

 

"We will provide fundamentals of patrolling, small unit tactics, ambush/raid attack, movements of contact, night operations as opposed to the more traditional UN focused peace keeping tasks like patrolling, cordon and search, and establish checkpoints," said Lt. Col. Vinnie Garbarino, USARAF's International Military Engagements Officer. "We want these soldiers to take the fight to Boko Haram in the restricted terrain and really eliminate the threat within their borders so they can get back to peacekeeping operations."

 

"We're looking at future opportunities with this training centre because they're looking at roughly 7 000 Nigerian soldiers between now and September rotating through," Garbarino said.

 

Part of training will ultimately be aimed at developing a cross-border capability for Nigeria and its neighbours to combat Boko Haram threats. This will involve sharing information and coordinating operations.

 

Meanwhile, on Friday eight US military personnel arrived in Abuja to help with tracking down more than 200 schoolgirls kidnapped by Boko Haram militants last month. Pentagon Press Secretary Rear Adm. John Kirby said that “their principal job is to advise and assist” Nigerian authorities while “providing gap analysis” for any additional help or resources they may need to conduct the mission, Defense News reports.

 

Also on Friday the US Marine Corps Africa completed a three-week long training course for 100 Nigerian soldiers who were schooled in amphibious and riverine warfare at the Amphibious Training School in Calabar, according to the News Agency of Nigeria.

 

“Over the past decades, a few challenges facing the nation have been a threat to oil exploration and economic activities in the Niger Delta area. This is as a result of the activities of criminals, and some misguided elements,” said Maj.-Gen. Bamidele Ologundudu, Director of Training, Army Headquarters.

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12 mai 2014 1 12 /05 /mai /2014 16:45
Nigeria: les équipes de recherche occidentales sur le terrain


10.05.2014 par RFI
 

Au Nigeria, alors que le Conseil de sécurité des Nations unies a fermement condamné l’enlèvement des quelque 200 lycéennes nigérianes par le groupe islamiste Boko Haram, les recherches se poursuivent sur le terrain avec l’arrivée des équipes promises par les pays occidentaux.

 

Des habitants de Chibok indiquaient jeudi après-midi 8 mai avoir vu des groupes d’étrangers dans l’Etat de Borno. Les chancelleries occidentales ont confirmé leurs présences au Nigeria. Ce vendredi, le porte-parole de l’ambassade des Etats-Unis à Abuja a déclaré que les équipes étaient arrivées, sans préciser où elles se trouvaient dans le pays.

D’après l’annonce faite par Washington en début de semaine, ces équipes seraient composées de moins de dix militaires, de spécialistes du département américain de la Justice et de membres du FBI. De son côté, le Foreign Office britannique a annoncé dans un communiqué que ses experts étaient également arrivés sur place.

 

Redorer le blason

Quant aux militaires nigérians, très fortement critiqués pour leur incompétence, ils essaient de se dédouaner et de redorer leur blason.

Lors d’une conférence de presse ce vendredi à Abuja, le général Chris Olukolade, porte-parole du ministère de la Défense, a sous-entendu que les recherches étaient ralenties sur le terrain par de mauvaises informations. Il a toutefois assuré que cela ne remettait pas en cause la collaboration avec les populations et a fait savoir que les forces nigérianes menaient des opérations jour et nuit pour retrouver les quelque 200 lycéennes.

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12 mai 2014 1 12 /05 /mai /2014 11:45
Le Sahel Africain - source Sénat r12-7201

Le Sahel Africain - source Sénat r12-7201

 

11/05/2014 afriquejet.com (Pana)

 

Une réunion des attachés de défense et des conseillers en sécurité des pays du Sahel membres du Processus de Nouakchott s’est déroulée vendredi 9 mai au siège de la Mission de l’Union africaine pour le Mali et le Sahel (MISAHEL) à Bamako, a appris la PANA samedi, de source officielle.

 

Les échanges ont porté sur la situation sécuritaire au Mali et dans le Sahel et l’évolution du processus de Nouakchott et les prochaines étapes.

 

La rencontre a aussi encouragé les attachés et les conseillers en matière de défense et de sécurité à servir d’interface entre la MISAHEL, les services de sécurité des pays et les partenaires opérationnels.

 

Les participants se sont préoccupés de la situation en Libye, au Nord du Mali et du Nigeria. Ce contexte, selon eux, nécessite d’accélérer la mise en place d’un mandat d’arrêt africain pour les personnes accusées d’actes terroristes.

 

La réunion a préconisé la mise sur pied de patrouilles mixtes sur le modèle de ce qui se fait déjà à la frontière entre le Tchad et le Soudan.

 

Cette réunion des attachés de défense et de conseillers en sécurité est préparatoire à la réunion des ministres de la Défense des pays de la bande sahélienne prévue dans les jours à venir.

 

Enclenché en mars 2013 par l’Union africaine, le Processus de Nouakchott vise à renforcer la coopération sécuritaire et l’échange de renseignements dans la bande sahélienne.

 

Onze pays sont partie prenante de ce Processus : l’Algérie, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée , La Libye, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Nigéria, le Sénégal et le Tchad.

 

Cette rencontre de Bamako a regroupé les représentants de l’Algérie, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, de la Guinée, de la Libye, de la Mauritanie, du Niger, du Nigeria, du Sénégal et du Tchad, ainsi que des représentants de la CEDEAO, des forces de défense maliennes, de la Force Serval et de la MINUSMA.

 

Réunis en février dernier à Niamey, les chefs de renseignements des pays de la sous-région ont fait le constat que l’échange d’informations entre services prenait parfois du retard et qu’il fallait communiquer plus vite les informations de terrain urgentes grâce aux meilleurs outils techniques et à l’instauration d’une plus grande confiance entre tous les acteurs.

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12 mai 2014 1 12 /05 /mai /2014 10:45
Lycéennes enlevées: des experts français au Nigeria

 

11 mai 2014 Liberation.fr (AFP)

 

Une équipe spécialisée dans le renseignement «humain et technique» a été dépêchée par l'Elysée pour participer aux recherches des 223 jeunes filles enlevées.

 

Une équipe d’experts français spécialisés dans le renseignement «humain et technique» est arrivée samedi au Nigeria pour participer aux recherches des plus de 200 lycéennes enlevées par la secte islamiste Boko Haram.

 

Selon l’Elysée, «cette mobilisation d’experts français, pointus dans ces domaines, répond à la demande faite par le président du Nigeria, Goodluck Jonathan, lors de son échange téléphonique avec le président de la République le 7 mai».

 

François Hollande avait alors assuré que la France allait renforcer son aide au Nigeria pour lutter contre les exactions de la secte islamiste. Il avait fait part de «sa volonté d’intensifier la coopération avec le Nigeria en matière de renseignement, en y associant les pays de la région, pour que ce groupe terroriste ne puisse plus mener de telles actions».

 

Boko Haram avait attaqué un lycée de Chibok, dans le nord-est du Nigeria, et enlevé 276 adolescentes, dont 223 sont toujours captives, selon la police.

 

Après une relative indifférence initiale des autorités et à l’étranger, la mobilisation des familles et la revendication lundi dernier du chef de Boko Haram, Abubakar Shekau, qui en a fait des «esclaves» et veut les «vendre», ont fini par susciter l’émotion et la solidarité internationales.

 

Des experts américains et britanniques sont déjà arrivés dans le pays pour participer aux recherches. La Chine a aussi proposé de partager les informations recueillies par ses services de renseignements et ses satellites.

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12 mai 2014 1 12 /05 /mai /2014 10:45
Jean-Yves Le Drian préconise un renforcement des efforts visant à combattre le terrorisme en Afrique

Jean-Yves Le Drian préconise un renforcement des efforts visant à combattre le terrorisme en Afrique

 

11 mai, 2014 – BBC Afrique

 

Jean-Yves Le Drian, qui a rencontré le président sénégalais Macky Sall, dimanche à Dakar, estime qu’"il peut y avoir des risques de contagion" du groupe islamiste présent au Nigeria vers d’autres pays africains.

 

"S’il y a quelque part un vide sécuritaire, les terroristes peuvent y trouver" l’occasion de dérouler leurs activités, a-t-il averti.

 

L’enlèvement de plus de 200 lycéennes au Nigeria par Boko Haram "a provoqué l’indignation de la communauté internationale", a-t-il fait remarquer Le Drian, soulignant "la nécessité d’agir" contre le terrorisme en Afrique.

 

"Le terrorisme en Afrique est une menace globale. Ce qui se passe au Nigeria, avec Boko Haram, est horrible. C’est le retour de l’esclavage assumé", a ajouté le ministre français.

 

En parlant d’esclavage, il a fait allusion à la décision du chef du groupe islamiste armé, Abubakar Shekau, de "vendre" les filles enlevées depuis le 14 avril dernier comme "des esclaves".

 

Jean-Yves Le Drian effectue, depuis plusieurs jours, une tournée africaine. Il est déjà allé en Côte d’Ivoire. Après le Sénégal, il se rendra en Mauritanie.

 

La France a positionné des troupes dans plusieurs pays africains, où elle dit vouloir combattre le terrorisme.

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11 mai 2014 7 11 /05 /mai /2014 21:45
Comment Boko-Haram s'est procuré des véhicules blindés légers ?

 

11 Mai 2014 par Alwihda Info

 

Un Panhard VBL français pour certains, un Cobra Otokar turque pour d'autres, ce qui est sûr, Boko-Haram n'a pas fabriqué tout seul les deux véhicules blindé léger qu'on aperçoit dans la dernière vidéo diffusée par le groupe terroriste, revendiquant l'enlèvement des centaines de lycéennes au Nigeria. Abubakar Shekau, le chef est même adossé sur l'un des deux. Les blindés semblent bien fonctionner puisqu'on aperçoit les pivotements du tourelleau armé.

 

Le Panhard VBL est un véhicule blindé léger permettant d'effectuer des reconnaissances ou des liaisons sous blindage, tout en étant protégé contre les attaques NBC (arme soit nucléaire, soit biologique, soit chimique ou radiologique). Il est aérotransportable, hélitransportable, parachutable et amphibie. Il a été développé à partir des années 1980 par la société française Panhard General Defense. Il est entré en service dans l'armée de Terre française en 1990. Ce véhicule ne peut être vendu qu'avec l'autorisation du gouvernement français.

 

Le VBL est en service dans 16 armées. Parmi les pays africains, le Nigeria en dispose 72, le Cameroun 5, le Niger 7, le Bénin 10, le Gabon 12, Djibouti 17 et le Rwanda 16.

 

En 2009, vingts deux VBL ont été fabriqués en avance pour la force épervier, "prêts à être livrés rapidement pour des opérations de maintient de la paix au Tchad", précise le constructeur.

 

Le Cobra est un véhicule blindé fabriqué par Otokar, en utilisant de nombreux composants de l'American HMMWV1,2. Le premier Cobra a été livré à l'armée turque en 1997.

 

L'armée nigériane a abandonnée à plusieurs reprises du matériel militaire lors de débandades suite à des combats contre Boko-haram qui en fait désormais la collection. Il n'est pas exclut aussi que des soldats nigérians coopèrent avec Boko-Haram.

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8 mai 2014 4 08 /05 /mai /2014 07:45
Nigeria: Les USA envoient des experts

Abubacar Shekau, le chef de Boko Haram qui a revendiqué l'enlèvement de plus de 200 lycéenes.

 

7 mai, 2014 – BBC Afrique

 

Le président américain, Barack Obama a qualifié le groupe militant nigérian Boko Haram d' "organisation horrible" qui provoque des ravages dans la vie des populations.

 

Lors d'une interview à la télévision, Obama a déclaré que l'enlèvement de plus de 200 lycéennes par l'organisation, pourrait être l'événement qui mobilise le monde entier pour combattre Boko Haram.

 

"C'est évidemment une situation qui brise le cœur, une situation révoltante", a souligné Obama.

 

Les États Unis ont envoyé une équipe d'experts au Nigeria pour aider à trouver les filles enlevées.

 

Les Nigérians "ont accepté notre aide, incluant des experts militaires, policiers et autres qui vont aller sur place, essayer de savoir où ces jeunes filles pourraient être et les aider", a ajouté le président américain.

 

Indignation

 

Mardi, huit autres adolescentes ont été kidnappées dans le nord-est du Nigeria par des membres présumés du groupe islamiste armé Boko Haram, qui a déjà revendiqué lundi, l'enlèvement des 200 lycéennes. Les familles des jeunes filles sont depuis, plongées dans le désarroi.

 

L'annonce de ces nouveaux rapts intervient alors que le groupe a menacé de vendre comme "esclaves" les lycéennes enlevées le 14 avril, dans une vidéo, qui a suscité une indignation mondiale.

 

Les gouvernements du Cameroun et du Tchad ont déclaré que les 200 écolières n’étaient pas dans leur pays.

 

Un ministre tchadien a affirmé que les suggestions par le Département d'État américain que certaines des filles auraient été transportées du nord -est du Nigeria, vers le Tchad pour être vendues, est sans fondement.

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5 mai 2014 1 05 /05 /mai /2014 07:45
Sécurité: le Nigeria sollicite Obama

 

 

4 mai, 2014 – BBC Afrique

 

Goodluck Jonathan a déclaré dimanche avoir demandé l’aide des Etats-Unis d’Amérique pour résoudre les problèmes de sécurité dans son pays, le Nigeria.

 

"Nous parlons à des pays dont nous espérons une aide (...) Les Etats-Unis sont numéro un. J'ai déjà parlé deux fois avec le président Obama" pour qu'il aide le Nigeria à résoudre ses problèmes sécuritaires, a-t-il affirmé.

 

La sécurité est un défi majeur pour le Nigeria, le pays africain le plus peuplé. Une explosion a fait 19 morts, jeudi à Abuja. Il y a deux semaines, 75 personnes avaient été tuées dans une autre attaque.

 

Goodluck Jonathan déclare aussi avoir approché d'autres pays comme la France, le Royaume-Uni et la Chine.

 

Les récents attentats perpétrés au Nigeria ne sont pas encore revendiqués, mais le gouvernement les attribue au groupe terroriste Boko Haram.

 

Ce dernier est également tenu responsable de l’enlèvement de plusieurs centaines de lycéennes depuis trois semaines.

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 18:30
F-511 TCG Heybeliada

F-511 TCG Heybeliada

 

25 March 2014 defenceWeb

 

Just over a week ago the Barbados Turkish Maritime Task Group departed Turkish Naval Base Golcuk to start its circumnavigation of Africa.

 

The task force comprises the frigates F-495 TCG Gediz, F-245 TCG Orucreis, the corvette F-511 TCG Heybeliada and the replenishment tanker A-595 TCG Yarbay Kudret Gungor Bosphorus Naval News reported.

 

South Africa is penned is as a definite for the group with SA Navy fleet headquarters at Simon’s town a port of call . The Denel Overberg Test Range will host the visitors for missile firing exercises in May.

 

Also on the task group’s mission list is maritime security and boarding training with the SA Navy in Simon’s town as well as in Lagos, Nigeria; Pointe-Noire, Congo; Luanda, Angola and Mombasa, Kenya.

 

Orucreis is also scheduled to take part in the Obangame Express Exercise from April 19 to 21. This is a US Naval Forces Africa at sea maritime exercise aimed at bettering co-operation among participating countries to increase maritime safety and security in the Gulf of Guinea. Its focus is maritime interdiction as well as boarding, search and seizure operations.

 

During the 102 day deployment the task force will navigate the African continent from west to east making 40 port visits in 28 countries. Exercises will be conducted with a number of African navies during the deployment.

 

It also marks the first crossing of the Cape of Good Hope by Turkish ships in 148 years. All told the mission is expected to log around 15 000 nautical miles during the deployment.

 

This deployment is not just a navigational and training exercise around Africa. It is also a powerful application of Turkish soft power to Africa the publication said. During the last decade Turkey realised there is more to Africa than the Mediterranean countries where Turkey had links for centuries. With the discovery of sub-Saharan Africa Turkish entrepreneurs started to do business with these countries. They were followed quickly by missions of Turkish Foreign Ministry and flights from Turkish Airlines.

 

As with the Italian Navy (Marina Militare) task group which did a similar voyage starting in November last year, the Turkish maritime group will also have representatives from a number of Turkish defence companies aboard who will use the vessels as a floating showcase for their products and use port visits to actively market them to local navies and defence forces.

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 18:45
Nigeria: Boko Haram revendique l'attaque du 14 mars contre une caserne

 

 

24 mars 2014 Romandie.com(AFP)

 

KANO (Nigeria) - Le groupe islamiste Boko Haram a revendiqué l'attaque du 14 mars d'une caserne militaire de la ville de Maiduguri, dans le nord-est du Nigeria, dans une vidéo obtenue lundi par l'AFP.

 

Nous sommes les auteurs des attaques (du 14 mars) à Maiduguri dit un homme habillé en blanc, la tête couverte d'un turban noir, armé d'un fusil, affirmant être Abubakar Shekau, le chef de Boko Haram.

 

L'homme semble plus jeune et plus mince que dans les précédentes vidéos, avec une gestuelle un peu différente, ce qui peut amener à se demander si le chef du groupe extrémiste, qui a déjà été déclaré mort plusieurs fois par l'armée, est encore vivant.

 

Les Etats-Unis ont déclaré Abubakar Shekau terroriste international et ont offert en mars 2013 une prime de 7 millions de dollars (5,1 millions d'euros) sur sa tête.

 

Le Nigeria a également promis une récompense de 50 millions de nairas (250.000 euros) contre toute information permettant sa capture ou sa mort.

 

L'armée avait annoncé avoir tué le chef islamiste dans le Nord-Est entre le 25 juillet et le 3 août 2013, mais un homme disant être Abubakar Shekau est apparu dans plusieurs vidéos depuis.

 

A la question de savoir si Shekau est mort ou vivant, le porte-parole de l'Etta-Major des armées, Chris Olukolade, n'a pas voulu répondre à l'AFP au cours d'un entretien le 14 mars.

 

Dans cette dernière vidéo, obtenue par le même intermédiaire que précédemment, l'homme disant être Shekau parle pendant 37 minutes en haoussa et en kanouri, deux langues locales, ainsi qu'en arabe.

 

Après son intervention, des extraits montrent des hommes armés de fusils d'assaut et de lance-roquettes arrivant en camions pick-up à la caserne de Giwa, dans Maiduguri.

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 17:45
A US Marine Corps CH-46 Sea Knight

A US Marine Corps CH-46 Sea Knight

 

17 March 2014 by defenceWeb

 

The Nigerian Navy has expressed interest in acquiring surplus helicopters from the US military and sent a delegation to the United States, which was given demonstration flights.

 

US Naval Air Systems Command (Navair) said that a Nigerian Navy delegation visited Marine Corps Air Station Cherry Point in North Carolina where they were hosted by Navair’s Specialized and Proven Aircraft Program Office (PMA-226). The delegation was given a search and rescue demonstration flight on February 4 in a US Marine Corps HH-46E helicopter from Marine Transport Squadron 1, which provides search and rescue support at Cherry Point.

 

According to Navair, the Nigerian Navy is interested in acquiring CH-46 Sea Knight and SH-2 Seasprite helicopters, but the numbers involved are not known.

 

The Nigerian Navy has a small number of helicopters in service, including one Bell 206, an Airbus Helicopters AS365N2 Dauphin II, an AgustaWestland AW109E Power and an AW139. Three AW109Es were lost in crashes that killed 14 personnel while two Lynx Mk 89s have been inactive for over ten years, Air Forces Daily reports.

 

The Nigerian Navy plans to ensure operational availability of at least four helicopters this year, according to the Strategic Guidance 02 document.

 

The Nigerian Navy has in the past acquired surplus equipment from the United States, notably the Hamilton Class cutter Chase (now NNS Thunder), a 115 metre long, 3 250 ton ex-US Coast Guard vessel. This year Nigeria will receive the Hamilton Class cutter Gallatin and the US Navy Survey Ship John McDonnell. Other vessels received from the United States include the NNS Obula, Nwamba, Kyanwa and Ologbo.

 

The Nigerian Navy is expecting a number of new arrivals this year as it attempts to reduce maritime crime, oil theft and attacks on ships.

 

Last year the Nigerian Navy took delivery of three OCEA patrol boats, three Manta Fast Patrol Boats and two Shaldag patrol craft. In mid- and late-2014 Nigeria will receive its two P-18N corvettes from China while the Nigerian Naval Dockyard is also building a 38 metre Seaward Defence Boat. Various other vessels are being refit and reactivated.

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 12:45
General Aliyu Mohammed Gusau

General Aliyu Mohammed Gusau

 

09/03/2014 Pana

 

Sécurité - Le nouveau ministre nigérian de la Défense, le général de corps d'armée, Aliyu Mohammed Gusau, et le ministre délégué à la Défense, Chief Musliu Obanikoro, ont pris fonction vendredi en promettant d'œuvrer de manière assidue pour rétablir la paix et la sécurité au Nigeria.

 

'Les problèmes de sécurité sont de toute évidence très sérieux, mais pas insurmontables. Avec l'aide de Dieu, la décision et la volonté communes, nous parviendrons à cet objectif qui va redonner aux Nigérians la confiance que le pays est en réalité un lieu sûr pour tous', a indiqué le général Guseau.

 

Son prédécesseur, Labaran Maku, a quant à lui, exhorté les militaires à continuer à œuvrer pour la démocratie et a estimé que le Nigeria n'avait pas d'avenir en dehors de la démocratie.

 

Reconnaissant la gravité de l'insécurité dans le pays, il a félicité les forces armées qui ont fait du bon travail.

 

'Pour de nombreuses personnes à l'extérieur qui ont suivi les massacres au cours de ces deux dernières semaines, l'impression qui se dégage est que l'Armée n'a rien fait. Même un gouverneur d'Etat a affirmé que les forces armées nigérianes ne sont pas en mesure de combattre les terroristes. Je pense que c'est une accusation gratuite', a-t-il dit.

 

'Je peux lui pardonner parce qu'il n'est pas informé du travail en profondeur en cours dans le  Nord-Est du pays. Je suis conscient que ces quatre dernières semaines, il y a eu une forte pression sur les terroristes parce que les forces armées les ont trouvés dans leurs bases et c'est la raison pour laquelle nous enregistrons des attaques qui sont provoquées par l'affolement et la colère.

 

'Je sais que des actions sont en train d'être faites, et ce ne sont pas des choses qu'on divulgue à la Une des journaux. Je félicite les forces armées pour les problèmes rencontrés. Et  nous devons tourner cette page le plus rapidement possible, car c'est crucial pour ce pays', a-t-il dit.

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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 17:45
Corymbe : exercice NEMO dans le Golfe de Guinée

 

28/02/2014 Sources : EMA

 

Du 20 au 22 février 2014, l’aviso Commandant Birot, engagé dans la 123e mission Corymbe, a conduit l'exercice « NEMO 14.1 » (Navy’s exercise for maritime operations) dans le Golfe de Guinée. Cet entraînement multinational a réuni les forces navales de la France, de la Grande Bretagne, du Ghana, du Togo, du Bénin et du Nigeria.

 

En particulier, ont participé à cette édition la frégate britannique HMS Portland, le patrouilleur ghanéen Garinga, le centre de commandement des opérations de Lomé et les vedettes de la marine et de la gendarmerie du Togo, le centre de commandement des opérations de Cotonou au Bénin, ainsi que le patrouilleur nigérian Burutu.

Cet entrainement vise à stimuler les échanges et les procédures nécessaires à la sécurisation du Golfe de Guinée, en particulier en cas d’actes de brigandage.

En jouant le rôle d'un bâtiment suspect, le Commandant Birot a tenté de tromper la vigilance des moyens de surveillance maritime. Les centres de commandement ont ainsi été appelés à partager leur situation tactique, et à dépêcher des moyens d'action et d'interception.

Durant les trois jours, deux officiers nigérians ont intégré la direction de l'exercice à bord de l'aviso Commandant Birot.

L’exercice NEMO était adossé à l’initiative française du Fond de Solidarité Prioritaire d’Appui au renforcement du système de SECurité MARitime (« FSP ASECMAR »). Mise en œuvre au profit de six Etats de la zone (Togo, Bénin, Ghana, Nigéria, Côte d’Ivoire et Guinée Conakry), ASECMAR soutient principalement la formation et la préparation des marines riveraines du golfe de Guinée dans le domaine de l’action de l’Etat en mer (AEM).

Corymbe est une mission de présence quasi permanente des forces armées françaises dans le golfe de Guinée, en place depuis 1990. Le dispositif est armé par un bâtiment de la Marine nationale qui peut être renforcé par des moyens terrestres et aéromobiles embarqués. Dans le cadre de cette mission, les militaires français sont en mesure de soutenir les opérations en cours dans la région ; de contribuer à d’éventuelles missions d’aide aux populations, de sécurisation ou d’évacuation de ressortissants; de réaliser des missions de coopération bilatérale avec les pays de la région, visant en particulier à soutenir la montée en puissance des marines africaines de la zone.

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Corymbe : exercice NEMO dans le Golfe de Guinée
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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 21:45
Arrestation massive d’islamistes au Nigeria
 
4 février 2014 par Nicolas Laffont

 

La communauté musulmane du pays s’inquiète des récentes arrestations massives d’islamistes présumés dans le sud majoritairement chrétien du Nigeria, ce qui fait craindre une montée des antagonismes ethniques et religieux.

 

Ces arrestations ciblées sont considérées par des observateurs comme les signes d’une potentielle dérive meurtrière.

En janvier, 300 commerçants, soupçonnés d’appartenir au groupe islamiste armé Boko Haram, ont été arrêtés dans l’Etat de Rivers, dans le sud du pays. La plupart ont été libérés depuis.

Au même moment, 84 apprentis qui suivaient une formation dans l’Etat d’Imo, dans le sud-est, ont été renvoyés dans leur Etat d’origine de Katsina (nord), parce qu’ils étaient suspectés, eux aussi, d’avoir des liens avec le groupe extrémiste.

En janvier 2012 déjà, c’est 25 chasseurs que la police avaient arrêté et détenu pendant un mois, alors qu’ils participaient à une chasse annuelle dans les forêts de la région d’Enugu (sud-est). La police les soupçonnés d’avoir des liens avec Boko Haram lorsque les 19 fusils de chasse qu’ils transportaient ont été découverts.

L’insurrection islamiste, qui a fait plusieurs milliers de morts dans le nord du Nigeria depuis 2009, est au cœur des préoccupations sécuritaires, et certains redoutent que les violences contaminent le Sud, jusqu’ici épargné.

La suspicion croissante envers les musulmans fait craindre un regain de tensions religieuses, ethniques et inter-communautaires.

 

 

Indices de pré-guerre civile

Pour Solomon Dalung, professeur à l’université de Jos (centre), il est clair que les forces de l’ordre « visent (…) les citoyens qui viennent d’une région géopolitique particulière ». Les dernières arrestations portent des « indices de pré-guerre civile », s’inquiète M. Dalung, qui voit des similitudes entre la période actuelle et les tensions qui ont précédé la guerre du Biafra, qui a fait un million de morts au Nigeria entre 1967 et 1970. La guerre civile avait éclaté quand l’ethnie chrétienne Ibo a voulu faire sécession, dans le sud-est, suite à de fortes tensions avec les musulmans haoussas du nord du pays.

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