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6 oct. 2014 Belgian Defence
En septembre dernier, le Bataillon Artillerie a pris part, à Rena (Norvège), à Noble Ledger, un exercice OTAN. La Belgique a fourni, avec les Pays-Bas, l’Allemagne, la Norvège et le Luxembourg, des troupes pour le bataillon d’artillerie international qui participera l’année prochaine à la NATO Response Force (NRF15).
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09/01/2014 Sources : Caporal-chef Marie-Ange Ilmany Armée de l'air
En 2015, l’armée de l’air prendra pour la quatrième fois l’alerte pour la composante aérienne de la force de réaction rapide de l’Otan. Pour être opérationnelle, elle s’entraînera tout au long de l’année 2014.
Avec la NRF 2015 (NATO response force - force de réaction rapide de l’Otan), l’armée de l’air prendra l’alerte de la composante aérienne pour la quatrième fois (NRF 5, NRF 12, NRF 17). Elle consiste à avoir la capacité de déployer rapidement une ou plusieurs composantes multinationales, terrestre, maritime, aérienne ou des forces spéciales, n’importe où dans le monde.
Entraînements et certifications
L’année 2014 sera ainsi l’occasion pour le JFACC français (Joint Forces Air Component Command - commandement interarmées de la composante «air») et différents moyens aériens nationaux et alliés associés de s’entraîner et de se certifier pour cette prise d’alerte.
Une série d’exercices (Steadfast Cobalt, Trident Juncture),dont un exercice avec des vols réels (Noble Arrow 2014) permettront de tester l’interopérabilité des forces aériennes françaises en situation de crise internationale et de certifier le JFACC français.
La NRF: Kesaco ?
Évacuation de ressortissants, mission de maintien de la paix et de stabilisation, opérations à caractère humanitaire, opérations d’entrée en premier d’une force… Avec près de 25 000 hommes, la NRF a la capacité de se déployer dans un délai allant de 5 à 30 jours, permettant ainsi une réponse militaire à une crise émergente. Elle fonctionne sur le principe de rotation. Les structures de l’Otan, la France et d’autres pays membres assurent à tour de rôle le commandement des différentes composantes de la force, pour une durée qui passe désormais de 6 à 12 mois, d'où le changement de codification. Cela exige un haut niveau de préparation et d’interopérabilité entre les nations.