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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 16:45
Corymbe : exercice anti-piraterie entre le « Commandant Blaison » et le Bourbon « Atlas »

 

26/06/2014 Sources : EMA

 

Le 19 juin 2014, l'aviso « Commandant Blaison », actuellement déployé en mission Corymbe, a réalisé un exercice anti-piraterie au large du Gabon avec le navire civil « Bourbon Atlas ».

 

Lors de cet exercice, le « Bourbon Atlas » a simulé être attaqué par des pirates. L’équipage du navire a alors pris l’ensemble des mesures prévues pour contrarier l’action des pirates et a demandé l’assistance du « Commandant Blaison ». Les pirates ayant quitté le navire sans parvenir à atteindre l’équipage rassemblé dans la « citadelle », un local sécurisé du navire, l’équipe de visite de l’aviso a effectué une investigation complète du « Bourbon Atlas ». Les marins civils et militaires ont ensuite pu échanger sur les procédures et les méthodes de protection en cas d’acte de piraterie.

 

Cette coopération entre les compagnies Bourbon et Total et le bâtiment en mission Corymbe s’inscrit dans le cadre plus large des échanges entre la Marine nationale et les navires inscrits au Contrôle Naval Volontaire dans le Golfe de Guinée (CNVGG). Ces échanges qui approfondissent la connaissance réciproque des méthodes et des procédures permettent d’améliorer l’efficacité opérationnelle en cas d’attaque menaçant des intérêts français en zone Corymbe.

Corymbe : exercice anti-piraterie entre le « Commandant Blaison » et le Bourbon « Atlas »

 

En place depuis 1990, la mission Corymbe est un déploiement naval quasi permanent dans le Golfe de Guinée en mesure de soutenir les forces armées françaises dans la région, zone d’intérêt stratégique pour la France. Le dispositif est armé par un bâtiment de la Marine nationale, ponctuellement renforcé par des moyens terrestres et aéromobiles embarqués, et peut soutenir à tout moment tout type d’opération dans la région.

Corymbe : exercice anti-piraterie entre le « Commandant Blaison » et le Bourbon « Atlas »
Corymbe : exercice anti-piraterie entre le « Commandant Blaison » et le Bourbon « Atlas »
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23 juin 2014 1 23 /06 /juin /2014 05:45
Atalante : fin de mission pour la FS Floréal

 

20/06/2014 Sources : EMA

 

Le 16 juin 2014, la frégate de surveillance Floréal a achevé sa participation à l’opération Atalante.

 

Durant les deux mois de son intégration au sein de l’opération européenne de lutte contre la piraterie, le Floréal a  participé à l’ensemble des activités couvertes par l’opération Atalante.

 

Le bâtiment français a également contribué à sécuriser l’International Recommended Transit Corridor  (IRTC), couloir de navigation recommandé à tous les bâtiments souhaitant traverser le golfe d’Aden en sécurité.

 

Des actions de coopération et de formation ont en outre été menées auprès des forces seychelloises, omanaises et malgaches, renforçant ainsi les capacités d’intervention des marines riveraines de la zone d’opération d’Atalante, engagées elles aussi dans la lutte contre la piraterie et au service de la sécurité maritime.

 

Le Floréal a également effectué des friendly approaches. Ces entretiens avec les équipages de bateaux de toutes nationalités visent à renforcer la confiance mutuelle et mesurer notamment l’activité et le risque piraterie dans la zone d’opération d’Atalante.

 

Enfin, le Floréal a effectué une évacuation médicale d’urgence par hélicoptère au bénéfice d’un marin d’un porte-conteneurs libérien et assisté trois bâtiments de pêche en panne, au titre de la solidarité des gens de mer.

 

Ce déploiement dans le nord de l’océan Indien a également été marqué par la participation, dans le cadre de la coopération bilatérale franco-omanaise, à l’exercice international Kanjar Hadd aux côtés de 27 autres bâtiments et aéronefs omanais, américains et anglais, contribuant ainsi à renforcer l’interopérabilité avec ces nations.

 

La France participe à l’opération Atalante avec le déploiement régulier d’au moins une frégate de la marine nationale. Le dispositif peut être renforcé ponctuellement par un avion de patrouille maritime Atlantique 2 (ATL 2), de surveillance maritime Falcon 50, ou par un avion de commandement et de détection E3F.

Atalante : fin de mission pour la FS Floréal
Atalante : fin de mission pour la FS Floréal
Atalante : fin de mission pour la FS Floréal
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22 juin 2014 7 22 /06 /juin /2014 11:45
La sécurité maritime en Afrique : un enjeu international

 

20/06/2014 Alexandre Sordet  - International

 

Le 15e forum de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) sur le continent africain (FICA) a eu lieu du 12 au 19 juin 2014 à l’École militaire (Paris). L'approche globale de la sécurité maritime en Afrique et de la nécessité d’un approfondissement de la coopération internationale en la matière était au programme.

 

Du 12 au 19 juin 2014, à l’École militaire à Paris, s'est déroulé le 15e forum de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) sur le continent africain (FICA) . Ce rendez-vous annuel a réuni des ministres, des responsables militaires et des civils représentant 37 pays africains et 5 organisations internationales dont l’Union africaine. Le forum animé par des conférenciers français et internationaux a proposé des éclairages divers sur la sécurité maritime en Afrique, sujet large et sensible.

 

Des groupes de travail étaient organisés pendant la semaine. Ils ont par exemple participé à des exercices de gestion d’une situation de prise d’otages en mer. Les comités ont également réfléchi aux risques de déstabilisation et aux incidences économiques liés à l’insécurité maritime. Autant d’éléments permettant aux participants de lutter ensuite plus efficacement face à des menaces venues de la mer.

 

La nécessité de se réunir pour aborder ces thématiques, sous l’axe sécuritaire, défensif et politico-économique, semble plus impérative que jamais. En effet, la piraterie au large des côtes africaines - principalement dans le golfe de Guinée et dans le golfe d’Aden - compromet l’équilibre et le plein potentiel du continent.

 

La sécurité maritime en Afrique : un enjeu international

 

Des rassemblements comme le FICA facilitent la mise en œuvre d’une réponse commune à la piraterie grâce à des coopérations supranationales entre les pays du continent africain, la France et également les États-Unis, présents au forum.

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20 juin 2014 5 20 /06 /juin /2014 11:45
FS Floréal completes another successful counterpiracy operation with EUNAVFOR

 

19.06.2014 EUNAVFOR

 

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14 juin 2014 6 14 /06 /juin /2014 11:45
Piraterie maritime en baisse, mais de plus en plus violente

Des opérations de lutte contre la piraterie sont menées dans le golfe d’Aden et la côte orientale de Somalie (Archives/ONU)

 

12 juin 2014 par Nicolas Laffont – 45e Nord.ca

 

Les pirates continuent de sévir essentiellement dans les eaux d’Asie du Sud-Est, mais la violence de leurs attaques s’est accrue dans le golfe de Guinée tandis que la piraterie somalienne a été pratiquement éradiquée, a indiqué jeudi l’ONU.

 

Un rapport de l’Institut des Nations unies pour la formation et la recherche (UNITAR)sur la piraterie maritime mondiale a identifié plusieurs tendances importantes liées à la sécurité maritime.

Ainsi, en 2013, plus de 150 attaques ont été enregistrées dans les mers d’Asie du Sud-Est, région qui enregistre le plus grand nombre d’incidents depuis 2012.

En Afrique de l’Ouest, principalement le golfe de Guinée, une cinquantaine d’attaques ont été comptabilisées en 2013, un chiffre stable depuis trois ans. Le rapport précise que les attaques en haute mer ne cessent d’augmenter depuis les années 2000, tandis que celles dans les ports diminuent depuis 2005/2006.

Surtout, «concernant l’Afrique de l’Ouest, bien qu’il n’y ait pas une augmentation à court terme, la nature des attaques est en train de changer, elles deviennent plus violentes», a expliqué un responsable d’Unitar, Einar Bjoergo.

Les experts sont d’autant plus inquiets – en termes de coûts pour les entreprises – qu’ils soulignent que seuls 5 % des navires qui traversent le golfe de Guinée disposent d’une assurance antipirates des mers, alors que près de la moitié des navires qui passent par le golfe d’Aden sont assurés.

Ils sont aussi préoccupés de la quasi-absence de coordination régionale pour lutter contre la piraterie, qui cible principalement les pétroliers, dans cette partie du monde.

 

Cartes des attaques en Afrique de l’Est et de l’Ouest. (UNITAR/UNOSAT)

 

«Elle a pratiquement cessé, dans l’océan Indien occidental, depuis 2011», alors que les attaques dans la région étaient en constante augmentation entre 2006 et 2011, a souligné M. Bjoergo, soulignant l’efficacité de l’action coordonnée des forces armées maritimes.

En procédant à l’arrestation de nombreux pirates ces dernières années près des côtes somaliennes, la Force maritime européenne Atalante et les Marines alliées (OTAN, Chine, Japon) ont eu un effet largement dissuasif.

Vingt-huit bateaux ont été attaqués en 2013 dans l’océan Indien occidental, contre plus de 300 en 2011 et plus de 100 en 2012. En outre, aucun navire n’a été détourné dans la région en 2013.

Dans le reste du monde, la piraterie est en repli dans la baie de Bengale et le long des côtes d’Amérique latine, mais pas dans le bassin des Caraïbes (où les attaques restent cantonnées aux ports).

La piraterie maritime s’est accrue dans le monde à la fin des années 1990, atteignant un pic en 2011, avec plus de 500 attaques, en majorité dans l’océan Indien occidental, avant de reculer depuis début 2013.

Deux cent soixante-quatre attaques ont été comptabilisées dans le monde en 2013, contre 353 en 2012 et 569 en 2011.

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2 mai 2014 5 02 /05 /mai /2014 16:45
Atalante: Le Floréal rejoint la force européenne de lutte contre la piraterie

 

 

24/04/2014 Sources : EMA

 

Le 18 avril 2014, la frégate de surveillance (FS) Floréal a rejoint l’opération Atalante.

 

La mission principale de la frégate Floréal est de fournir une protection aux navires affrétés par le programme alimentaire mondial (PAM) ou par l’African Union Mission in Somalia (AMISOM), dont dépend une large partie de la population somalienne, ainsi qu’aux navires marchands. Elle doit également recourir aux moyens nécessaires, y compris l'usage de la force, pour dissuader, prévenir et intervenir face à tout acte de piraterie sévissant dans la région. Enfin, la frégate Floréal contribue à la formation des acteurs locaux et coopère avec les marines locales afin de leur donner les moyens de lutter elles-mêmes contre la piraterie maritime.

 

L’action des bâtiments de la force Atalante, en coopération avec les autres forces maritimes engagées, la mise en œuvre des bonnes pratiques de dissuasion (Best Management Practices) par les armateurs eux-mêmes et la création d’un couloir sécurisé, l’International Recommended Transit Corridor (IRTC), dans le golfe d’Aden ont permis d’endiguer la menace de la piraterie dans la zone, faisant de l’opération un véritable succès européen.

 

La France participe à l’opération Atalante avec le déploiement quasi-permanent d’au moins une frégate de la marine nationale. Le dispositif peut être renforcé ponctuellement par un avion de patrouille maritime Atlantique 2 (ATL 2), de surveillance maritime Falcon 50, ou par un avion de commandement et de détection E3F. Du 6 décembre 2013 au 6 avril 2013, elle a assuré le commandement de cette opération européenne aux ordres du contre-amiral Bléjean embarqué, avec son état-major, sur le transport de chaland de débarquement (TCD) Siroco.

Atalante: Le Floréal rejoint la force européenne de lutte contre la piraterie
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9 avril 2014 3 09 /04 /avril /2014 11:45
Corymbe : exercice « NEMO 14.2 »

 

09/04/2014 Sources : EMA

 

Le 1er avril 2014, la frégate légère furtive (FLF) La Fayette, engagée dans le cadre de la mission Corymbe dans le golfe de Guinée, a participé avec des patrouilleurs des marines togolaise et béninoise à l’exercice « NEMO 2014.2 »

 

L’objectif de cet exercice était d’appuyer la montée en puissance marines béninoises et togolaises dans leur lutte contre les trafics en tous genres et les actes de piraterie perpétrés dans le golfe de Guinée. NEMO 2014.2 (Navy’s exercise for maritime operations) s’est déroulé au large du Togo et du Bénin et a mobilisé 210 marins.

 

Le scénario de l’exercice prévoyait qu’un navire de commerce (rôle tenu par le La Fayette), supposé transporter de la drogue, soit inspecté par la marine béninoise, puis pisté par les radars et les centres de commandement de la zone avant d’être visité à son tour par la marine togolaise. De la phase de prise de contact aux sommations de s’arrêter, jusqu’à l’inspection de la cargaison ou encore le contrôle des documents administratifs et la fouille des membres d’équipage, les équipes de visites béninoises et togolaises ont pu mettre en œuvre, de façon très pratique, les techniques nécessaires à l’arrestation de personnes impliquées.

 

Les enseignements tirés de ces exercices permettront d’améliorer le déroulement des futurs contrôles de navires et de contribuer à la sécurisation de la zone. Au-delà du perfectionnement dans les modes d’action en mer, cet exercice NEMO 14.2 a aussi été l’occasion pour les centres de commandement de Cotonou et de Lomé de jouer leur rôle de commandement et de contrôle des moyens nautiques.

 

Le BPC Mistral et la FLF La Fayette participent à la mission Corymbe, une mission de présence quasi permanente des forces armées françaises dans le golfe de Guinée. Le dispositif est armé au minimum par un bâtiment de la Marine nationale qui peut être ponctuellement renforcé par des moyens terrestres et aéromobiles.

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7 avril 2014 1 07 /04 /avril /2014 19:45
One German naval vessel departs Atalanta, another arrives

 

 

04 April 2014 by defenceWeb

 

With one German naval vessel having just departed the EU Navfor anti-piracy fleet, another is on its way and will take over flagship duties of the fleet tomorrow.

 

En route to taking up duty in the Indian Ocean, FGS Brandenburg transited the Suez Canal and the Red Sea to join up with other vessels in the EU Navfor’s Operation Atalanta.

 

The 162 km long Suez Canal is a busy stretch of water requiring a high level of navigation expertise. “When in convoy through the canal, you have to keep a set distance from the vessel ahead of you. You have to stay in the centre as it is shallow on both sides and traffic is one way only,” the Brandenburg watch officer explained.

 

Making up for the stress of navigating Suez was the sighting of a US Carrier Strike Group. Besides two cruisers of the Ticonderoga class, two Arleigh Burke class destroyers, a supply ship and the nuclear-powered aircraft carrier, the presence of the USNS Harry S Truman was a highlight for the German Navy sailors. All the crew on the upper deck took the opportunity to get out cameras and capture this unique and impressive aircraft carrier and her escorts, EU Navfor News reported.

 

When the warships passed each other the traditional navy saluting ceremony was carried out. All the servicemen and women not on watch lined up on the upper deck, came to attention and saluted each ship as a ceremonial piping was done.

 

FGS Brandenburg will take over from the French vessel FS Siroco as fleet flagship for the next four months.

 

FGS Hessen has departed the Indian Ocean after four months on station during which she performed an extensive number of counter piracy patrols as well as surveillance and evidence gathering close to the Somali coastline.

 

The ship also conducted 76 reassurance visits to local fishermen and its two embarked Sea Lynx Mk 88A helicopters flew hundreds of hours helping to compile a detailed picture of the pattern of life at sea in the waters of the Horn of Africa. The medical crew of FGS Hessen also saved the lives of two fishermen. One fisherman was rescued from his capsized skiff and the other was given emergency surgery after he was seriously injured following a stingray attack.

 

FGS Hessen participated in several counter piracy exercises with international forces, including the South Korean warship, Kang Gam Chan, the Chinese counter piracy Task Group and several other EU units. These exercises helped develop greater understanding between international navies and strengthened co-ordination and cooperation to deter piracy around the Horn of Africa.

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7 avril 2014 1 07 /04 /avril /2014 18:50
Sea Transportation: Pissed Off Pirates Proliferate

 

April 7, 2014: Strategy Page

 

The piracy business has changed a lot since 2010, when it had reached levels of activity not seen in over a century. But over the next three years that all changed. By 2013 attacks on ships by Somali pirates had declined 95 percent from the 2010 peak. It’s been over two years since the Somali pirates captured a large commercial ship, and even smaller fishing ships and dhows (small local cargo ships of traditional construction) are harder for them to grab. The rapid collapse of the Somali pirates since 2010 was no accident. It was all a matter of organization, international cooperation and innovation. It all began back in 2009 when 80 seafaring nations formed (with the help of a UN resolution) the Contact Group on Piracy off the Coast of Somalia. The most visible aspect of the Contact Group was the organization of an anti-piracy patrol off the Somali coast. This came to consist of over two dozen warships and several dozen manned and unmanned aircraft, as well as support from space satellites and major intelligence and police agencies.

 

Back in 2010 the Somali pirates got most of the publicity but they only carried out 44 percent of the attacks. What was newsworthy was that the Somalis accounted for 90 percent of the hijackings, and some 80 percent of the piracy was in and around the Indian Ocean. Some 44 percent of all attacks involved the pirates boarding the ships, while in 18 percent the pirates just fired on ships, without getting aboard. There are still pirates out there, but there are more into robbery than kidnapping.

 

Piracy hit a trough from the late nineteenth century into the later twentieth. That was because the Great Powers had pretty much divided up the whole planet, and policed it. The pirates had no place to hide. Piracy began to revive in a modest way beginning in the 1970s, with the collapse of many post-colonial regimes. Note that what constitutes an act of piracy is often not clearly defined. What most people agree on is that piracy is non-state sanctioned use of force at sea or from the sea. This could include intercepting a speedboat to rob the passengers, but that's usually just thought of as armed robbery. And something like the seizure of the Achille Lauro in 1985 is considered terrorism, rather than piracy. In the past, some marginal states have sanctioned piratical operations, like the Barbary States, but that is rare any more.

 

The trend, however, was definitely up for two decades, with the big increase coming in the last decade.

o 1991: About 120 known cases of real or attempted piracy

o 1994: over 200 cases

o 2000: 471 cases

o 2005: 359 cases

o 2010: over 400 cases

 

The international effort to suppress Somali piracy has halted and reversed this trend. But while there have been far fewer attacks off Somalia there has been a big jump in attacks in the Straits of Malacca (sevenfold increase since 2009) and off Nigeria (a similar increase). The big difference is that only off Somalia could ships and crews be taken and held for ransom for long periods. Everywhere else the pirates were usually only interested in robbing the crew and stealing anything portable that they could get into their small boats. Off the Nigerian coast pirates sometimes take some ship officers with them to hold for ransom or force the crew to move small tankers to remote locations where most of the cargo (of oil) can be transferred to another ship and sold on the black market.

 

Pirates usually function on the margins of society, trying to get a cut of the good life in situations where there aren't many options. This is usually in areas where state control is weakest or absent, in failing and "flailed" states. A flailing state is something like Nigeria, Indonesia, or the Philippines, where the government is managing to keep things together but is faced with serious problems with areas that are sometimes out of control. In a failed state like, where there isn't a government at all, pirates can do whatever they want.

 

The solution to piracy is essentially on land; go into uncontrolled areas and institute governance. This has been the best approach since the Romans eliminated piracy in the Mediterranean over 2,000 years ago. Trying to tackle piracy on the maritime end can reduce the incidence of piracy, but can't eliminate it because the pirates still have a safe base on land. In the modern world the "land" solution often can't be implemented. Who wants to put enough troops into Somalia to eliminate piracy? And flailing states are likely to be very sensitive about their sovereignty if you offer to help them control marginal areas.

 

Meanwhile there are two areas where pirates still thrive. Piracy in the vital (most of the world's oil exports pass through here) Straits of Malacca was largely an Indonesian phenomenon. It bothered the Singaporeans a lot, the Malaysians a little, and the Indonesians not much. But as Indonesia began stabilizing itself over the past decade (the 2004 Aceh Peace settlement, the institution of a more democratic government, defeating Islamic terrorism), the rate of piracy declined. This decline was facilitated by the combined police effort of Singapore, Malaysia, and Indonesia itself, which didn't come about until a lot of issues among the three states were resolved. Neither Indonesia nor Malaysia were all that upset about smuggling, which bothered Singapore. Indonesia and Singapore still have some problems, as Singapore more or less encourages sand stealing in enormous volumes from Indonesia. Since 2010 there has been an increase in piracy off Indonesia, largely because the Indonesians reduced their anti-piracy patrols without warning or explanation. There are lots of targets, with over 50,000 large ships moving through the Straits of Malacca each year. That’s 120-150 a day. Lots of targets. The shallow and tricky waters in the strait forces the big ships to go slow enough (under 30 kilometers an hour) for speed boats to catch them.

 

In contrast to the Strait of Malacca situation, the U.S. approach to piracy has been largely a police mission, without trying to deal with the land-side. Again, that would mean occupying Somalia. But there are some regional constraints on piracy. There seems to be little or no piracy in the Red Sea and Bab al-Mandeb. Apparently this was because the smugglers decided the pirates interfered with their business (by bringing in coalition naval forces), and so shut down any pirate operations themselves.

 

The Gulf of Guinea has become another hot spot for modern (non shipnapping) piracy. Nigeria is badly run and most of the oil revenue is stolen by corrupt officials, leaving people living in the oil producing areas near the coast very angry. More piracy has been one result of all that anger.

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7 avril 2014 1 07 /04 /avril /2014 11:55
Lutte contre les pirates ou bataille de chiffonniers?

 

07.04.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense



Intermède électoral oblige, le vote des lois est toujours à l'arrêt. Parmi les textes en attente figure celui sur l'embarquement d'équipes de protection privées sur les navires battant pavillon français.

Le dossier n'est pas, pour autant, au point mort. D'une part, la commission de la Défense doit se pencher sur ce dossier mardi 8 avril à 14h (sauf changement de programme puisqu'à 15h, le Premier ministre fera une Déclaration de politique générale du gouvernement).

D'autre part, les discussions se poursuivent dans les coulisses pour rédiger les fameux décrets d'application.

Visiblement, tous les participants à ces négociations ne considèrent pas le problème sous le même angle.

On pourrait croire que ce qui motive d'abord le recours aux EPE et plus spécifiquement celles fournies par des ESSD, serait la sécurité des équipages, la protection des navires et des cargaisons. A en croire certains conseillers ministériels (ex-conseillers?), ce n'est pas la priorité.

Il s'agirait avant tout d'assurer la "compétitivité" des armateurs qui maintiennent leur flotte sous pavillon français et qui menacent de dépavillonner si leurs intérêts financiers ne sont pas mieux pris en compte. Pourtant, leurs résultats 2013 ne semblent pas particulièrement catastrophique: ainsi CMA-CGM affiche une rentabilité aussi bonne que celle de Maersk et "une très grande solidité opérationnelle", selon son directeur financier Michel Sirat qui s'exprimait dans le marin du 4 avril.

 

Illustration de ces divergences d'intérêts avec le débat sur le nombre d'agents que doit compter une EPE du privé. La commission des lois estime que "4" agents doivent composer une EPE; les armateurs assurent que "2", c'est suffisant, surtout pour des trajets courts. Pour les ESSD, au minimum et seulement dans le cas de navigation réduite et rapide: "3".

Les échanges en cours portent aussi sur la nature de l'armement embarqué, les règles d'engagement (RoE), ainsi que sur les processus d'accréditation des agents étrangers par le CNAPS.

 

Dommage que cette réflexion (à bien des égards, visiblement, de qualité) ne porte pas sur les activités de toutes les ESSD et pas seulement sur les EPPN (entreprises privées de protection des navires).

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5 avril 2014 6 05 /04 /avril /2014 11:35
Atalante : Le commandant de la force rencontre le commandant de la 4e division d’escorte japonais

 

05/04/2014 Sources : EMA

 

Le 30 mars 2014, le commandant de la force Atalante, le contre-amiral Hervé Bléjean, a reçu le capitaine de Vaisseau Hiroaki Tajiri, commandant la 4e division d’escorte japonaise et commandant de la frégate Samidare, à bord du transport de chalands de débarquement (TCD) Siroco.

 

Cette rencontre au milieu du golfe d’Aden a permis aux deux commandants de force de faire connaissance plusieurs semaines après leur coopération fructueuse des 17 et 18 janvier derniers, lors de l’interception d’un boutre « piraté » au large des côtes omanaises. L’amiral Bléjean a tenu à féliciter et à remercier de vive voix le commandant Tajiri pour son rôle « décisif lors de l’intervention».

 

La frégate Japonaise Samidare est déployée dans la  zone au profit de la Combined Maritime Force (Task Force 151), coalition internationale de lutte contre la piraterie. L’action des moyens navals japonais, essentiellement concentrés sur l’accompagnement de convois de navires a permis le transit de milliers de navires en toute sécurité dans le corridor de transit recommandé internationalement dans le Golfe d’Aden.

 

Depuis le 6 décembre 2013, la France assure le commandement de la Task Force (TF) 465, force maritime européenne engagée dans l'opération de lutte contre la piraterie Atalante. La France participe à l’opération Atalante avec le déploiement quasi-permanent d’au moins une frégate de la marine nationale. Le dispositif peut être renforcé ponctuellement par un avion de patrouille maritime Atlantique 2 (ATL 2), de surveillance maritime Falcon 50, ou par un avion de commandement et de détection E3F.

Atalante : Le commandant de la force rencontre le commandant de la 4e division d’escorte japonaisAtalante : Le commandant de la force rencontre le commandant de la 4e division d’escorte japonais
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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 11:55
Lutte anti-piraterie: les navires français pourront se défendre avec des armes

Depuis 2008, les armateurs de navires français bénéficient de la protection de la Marine nationale pour prévenir les risques d'attaques pirates, mais ne sont pas autorisés à embarquer des gardes armés. photo Marine Nationale

 

28-03-2014 CC G. Desvignes, étudiant à l’Ecole de Guerre, promotion "Ceux de 14" - Challenges.fr

 

Le 8 avril, les députés vont examiner un projet de loi sur les "activités privées de protection des navires". Une privatisation salutaire qui arrive un peu tard.

 

Le projet de loi sur les "activités privées de protection des navires" est présenté à l’assemblée le 8 avril. Il s’agit d’autoriser la présence de gardes armés à bord de navires battant pavillon français croisant dans les zones infestées de pirates, comme dans le Golfe d’Aden ou du Niger. Mais, ce projet autorise aussi la création "d’entreprises privées de protection des navires". Problème: le retard pris par ce débat risque de pénaliser une offre française qui arrive dans un marché déjà mature.

 

La protection privée des navires fait partie du domaine plus vaste des services liés à la sécurité et à la défense, qui comprend des domaines aussi variés que l’audit sécuritaire, le soutien logistique aux armées, la formation ou encore la protection (armée ou non) de sites ou de personnes. En France, ce secteur suscite une réticence quasi-généralisée. D’une part, parce qu’il est souvent confondu, à tort, avec la notion de "mercenariat" ; et d’autre part, parce que les grands ministères régaliens, et en particulier la Défense, craignent qu’il ne provoque l’externalisation d’une partie de leurs compétences.

 

Un marché de 400 milliards de dollars

 

En février 2012, la commission de la défense et des forces armées de l’Assemblée nationale publiait d’ailleurs un rapport d'information sur les sociétés militaires privées (SMP), pudiquement dénommées en France entreprises de services de sécurité et de défense (ESSD). Ce rapport rédigé par les députés Ménard et Viollet fait le constat d'un secteur français fragile et peu structuré et prône la mise en place d'une régulation étatique pour favoriser son "essor rapide".

 

De fait, ce marché est estimé à 400 milliards de dollars en 2020! La volonté est noble : elle consiste à vouloir créer un modèle d'entreprise dont l’éthique serait garantie par l'Etat à travers un dispositif d'agréments et de contrôle. Dans ce contexte, le projet de loi sur la protection privée des navires battant pavillon français peut être perçu comme les prémices d’une prise en compte par l'Etat de la privatisation des services liés à la sécurité et la défense.

 

Il semble néanmoins que la volonté soit moins ambitieuse, et exclusivement inspirée par la faible attractivité du pavillon national. En effet, en ce début d'année 2014, la France reste l’un des tous derniers Etats maritimes de l’Union européenne à interdire la présence de gardes privés à bord des navires battant son pavillon. Pour assurer leur sécurité, les armateurs peuvent exclusivement s’appuyer sur les équipes de protection embarquée (EPE) de la marine nationale. Cette solution, un temps privilégiée par la communauté maritime française, souffre d'un manque de souplesse qui pèse sur la compétitivité du pavillon, essentiellement pour des raisons de respect des délais diplomatiques nécessaires au déploiement des militaires et de leur armement.

 

Du temps perdu

 

Faisant le constat de l'emploi de gardes armés privés "en toute illégalité" sur certains navires et du risque de dépavillonnement, les armateurs ont, ces dernières années, très largement plaidé pour un assouplissement de la position française. Il leur aura fallu attendre six ans après la mise en place des premières EPE pour que l'Etat admette qu'il n'est plus en mesure de répondre pleinement aux attentes du monde maritime. Ce temps perdu pour les armateurs l'a aussi été pour les ESSD françaises désireuses de s'implanter sur ce secteur. En revanche, il a largement profité aux sociétés anglo-saxonnes, et en particulier britanniques, qui dominent actuellement le marché de la protection privée des navires, lequel est estimé à plusieurs milliards de dollars.

 

En effet, à l'opposé du modèle souhaité par la France, les pays anglo-saxons ont laissé se développer et s’autoréguler leurs ESSD. Avec des entreprises pesant désormais plusieurs milliards, ils sont des acteurs incontournables de ce secteur: la société britannique G4S affiche un chiffre d’affaires de près de 9 milliards d’euros, alors que la plus grosse ESSD française, GEOS, pèse à peine 40 millions d'euros.

 

Arrivée d'une offre low-cost

 

Le domaine de la protection armée des navires ne fait pas exception à cette hégémonie. L’avance prise par les ESSD anglo-saxonnes leur permet de bénéficier d’un réseau logistique facilitant le transit des armes sur terre et dans les eaux territoriales de pays tiers et d’un effet de masse limitant les temps d'inactivité des équipes entre deux contrats de protection. En outre, l’arrivée d’une offre "low cost", principalement originaire des pays asiatiques, les a obligés à gagner davantage en compétitivité en intégrant dans leurs équipes du personnel provenant majoritairement d’Inde et du Pakistan. Le marché de la protection des navires n’aura donc pas attendu la fin de la vacance législative française pour se développer.

 

Pendant ces six années, certaines ESSD françaises ont néanmoins su s'adapter. Profitant d’un droit du travail plus permissif et d’une moindre pression fiscale, nombre d’entre elles ont fait le choix de l’implantation de filiales à l’étranger, voire d’un développement "off-shore". C’est le cas par exemple de la société "Gallice" qui est présente sur le marché de la protection des navires par l’intermédiaire d’une filiale basée en Irlande.

 

Intérêts économiques et politiques

 

Dans ce contexte, et compte tenu du faible appel d’air que créera ce projet de loi (de l’ordre de 12 millions d'euros pour une centaine de navires à protéger), il semble ambitieux d'envisager un rapatriement des entreprises ou filiales françaises "off-shore"; de même qu'il paraît difficile d'être aussi optimiste que les rédacteurs du projet de loi qui estiment que 300 à 500 emplois seront créés, alors que le marché sera ouvert à la concurrence européenne et donc britannique.

 

Avec le retard accumulé, il est peu probable que la France, quasiment absente des problématiques du secteur des services liés à la sécurité et la défense puisse imposer son modèle dans un marché très largement libéralisé et mature. Les normes en vigueur (et notamment l’International Code of Conduct for Private Security Service Providers –ICoC) traduisent la conception anglo-saxonne du secteur et illustre parfaitement ce point.

 

Pourtant, contribuer au développement d’une offre française dans ce secteur présente à la fois des intérêts économiques et politiques. Economiques d’abord, parce que dans un contexte budgétaire difficile qui voit une réduction des pouvoirs de la puissance publique, il est préférable de se reposer sur des ESSD nationales pour protéger les intérêts nationaux, privés ou publics. Politiques ensuite, parce que les ESSD font partie du paysage géostratégique et qu’elles sont intrinsèquement liées à leur Etat d’origine. Elles sont donc susceptibles d’être des vecteurs d’influence et de diffusion du modèle français, mais aussi des capteurs participant au recueil du renseignement partout où elles agissent.

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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 11:45
Renncontre entre le commandant de la 4è division d’escorte japonaise et le commandant de la force Atalante

Renncontre entre le commandant de la 4è division d’escorte japonaise et le commandant de la force Atalante

 

4 avril 2014, Portail des Sous-Marins

 

Le 30 mars, le navire-amiral de la force européenne Atalante, le TCD Siroco, et le destroyer japonais Samidare se sont donnés rendez-vous dans le golfe d’Aden. Le commandant de la 4è division d’escorte japonaise, le capitaine Hiroaki Tajiri, et des membres de son état-major ont rendu visite au commandant de la force Atalante, le contre-amiral Hervé Bléjean. Cette visite fait suite à l’étroite coopération développée entre les 2 bâtiments en janvier dernier, lors de l’attaque d’un navire de commerce par des pirates.

 

Le 18 janvier, le Siroco avait intercepté un dhow piraté qui avait été pisté par le Samidare et un avion de patrouille maritime japonais. Comme l’Union Européenne a conclu des accords avec des états de la région pour le transfert et le jugement des pirates présumés, le Siroco a appréhendé les pirates présumés. Cette action commune a montré l’efficacité de la coopération internationale dans les opérations de lutte contre la piraterie.

 

« Les interceptions coordonnées comme celle-ci sont l’exemple parfait de marines internationales travaillant en étroite coopération, et un bon moyen d’évaluer nos processus de protection des navires, » a commenté le commandant Le Quilliec.

 

Cette visite en mer s’est terminée par un partage d’expériences que les 2 équipages ont trouvé extrêmement utile.

 

Référence : Etat-major Atalante

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 21:45
Piraterie : Rencontre entre les autorités du Somaliland et les missions européennes EUCAP Nestor et Atalante

 

01/04/2014 Sources : EMA

 

Le 26 mars 2014, au large de Bosaso, port principal du Puntland situé au nord-est de la Somalie, le transport de chalands de débarquement (TCD) Siroco, déployé dans le cadre de l’opération européenne de lutte contre la piraterie Atalante, a accueilli à son bord la première rencontre entre le Président du Puntland, M. Abdiweli A. Gaas et plusieurs autorités européennes.

 

Cette rencontre, organisée conjointement par les missions européennes Atalante et EUCAP Nestor, s’inscrit dans le cadre de l’approche globale menée par l’Union Européenne afin de soutenir les pays de la Corne de l’Afrique dans le renforcement de leurs capacités maritimes.

 

Les discussions ont porté plus particulièrement sur les moyens et les outils que l’Union Européenne est en mesure d’apporter en soutien du rôle joué par le Puntland pour développer une stratégie de sécurité maritime. La question de la gestion des ressources pour l’ensemble de la Somalie a également été abordée.

Le président du Puntland a souhaité souligner l’importance de cette journée, qui vise à mettre en place un plan de coopération propre à restaurer une sécurité maritime porteuse de développement économique général pour l’ensemble de la Somalie.

 

L’envoyé spécial de l’Union Européenne pour la Somalie, SE Michele Cervone D’Urso a  salué l’importance de cette rencontre historique à plus d’un titre : « Le rôle majeur joué par le Puntland dans le cheminement de la Somalie vers la stabilité et la paix est crucial pour le développement du pays, mais également pour sa sécurité incluant la sécurité maritime. C’est ensemble avec la Force Atalante, la mission civile de l’Union Européenne EUCAP Nestor, l’Union Européenne et tous nos partenaires internationaux que nous poursuivons notre engagement commun aux côtés des Somaliens pour développer leur capacité à renforcer  la sécurité maritime. Cette oeuvre commune leur permettra de retrouver des eaux plus sûres, et retirer ainsi les légitimes bénéfices de leurs nombreuses ressources maritimes. »

 

Ces entretiens menés au large de la côte puntlandaise, ont exigé une organisation minutieuse  et souple à la fois, Ils ont été rendus possible grâce à l’appui des moyens de la force Atalante.

 

Allié aux capacités amphibies des deux chalands de transport embarqués et aux équipes de la brigade protection du Siroco, cet ensemble de moyens, sous la coordination de l’état-major Atalante a fait de cette mission de sécurisation une réussite diplomatique pour l’Union Européenne.

 

Lancée par l’Union européenne en 2012, la mission civile EUCAP Nestor a pour but d’assister et de conseiller l’ensemble des pays de la région sur des problématiques juridiques, stratégiques et opérationnelles en matière de piraterie.

 

Depuis le 6 décembre 2013, la France a le commandement de la Task Force (TF) 465, force maritime européenne engagée dans l'opération de lutte contre la piraterie Atalante. La France participe à l’opération Atalante avec le déploiement quasi-permanent d’au moins une frégate de la marine nationale. Le dispositif peut être renforcé ponctuellement par un avion de patrouille maritime Atlantique 2 (ATL 2), de surveillance maritime Falcon 50, ou par un avion de commandement et de détection E3F.

Piraterie : Rencontre entre les autorités du Somaliland et les missions européennes EUCAP Nestor et Atalante
Piraterie : Rencontre entre les autorités du Somaliland et les missions européennes EUCAP Nestor et AtalantePiraterie : Rencontre entre les autorités du Somaliland et les missions européennes EUCAP Nestor et Atalante
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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 16:35
Japan Lifts Own Blanket Arms Export Ban

 

Apr. 1, 2014 Defense News (AFP)

 

TOKYO — Japan on Tuesday lifted a self-imposed ban on weapons exports, introducing new rules covering the arms trade in a move supporters say will boost Tokyo's global role, but which unnerved China.

The cabinet of Prime Minister Shinzo Abe approved a new plan that replaces the 1967 blanket ban, Chief Cabinet Secretary Yoshihide Suga told reporters.

Under the policy, arms sales are banned to conflict-plagued countries or nations that could undermine international peace and security, the sales must contribute to international peace and boost officially pacifist Japan's security.

"Under the new principles, we have made the procedure for transfer of defense equipment more transparent. That will contribute to peace and international cooperation from the standpoint of proactive pacifism," Suga said.

"And we will participate in joint development and production of defense equipment," he said.

Japan's post-World War II constitution, imposed by the US-led occupiers, banned the country from waging war.

That pacifism was embraced by the population at large and two decades later a weapons export ban was introduced.

Supporters hope the relaxation in the policy will boost home-grown arms manufacturers at a time of simmering regional tensions including a territorial row with China and fears over an unpredictable North Korea.

The new rules could allow Tokyo to supply weaponry to nations that sit along important sea lanes to help them fight piracy — an important strategic consideration for resource-poor Japan.

Japanese arms could potentially be shipped to Indonesia as well as nations around the South China Sea — through which fossil fuels pass — such as the Philippines, which has a territorial dispute with Beijing.

Japan already supplies equipment to the Philippines' coastguard, an organization that is increasingly on the front line in the row with Beijing.

Any move to bolster that support with more outright weapon supplies could irk China, which regularly accuses Abe of trying to re-militarize his country.

On Tuesday, Chinese foreign ministry spokesman Hong Lei said Beijing was paying close attention to the relaxation of Tokyo's arms ban.

"The policy changes of Japan in military and security areas concern the security environment and strategic stability of the whole region," he said at a regular press briefing in Beijing.

"Due to historical reasons, Japan's security policies are always closely followed by regional countries and the international community."

China and Japan are at loggerheads over the ownership of a string of islands in the East China Sea, while Beijing is also in dispute with several nations over territory in the South China Sea, which it claims almost in its entirety.

The Tokyo-Beijing diplomatic relationship has long been marred by Japan's expansionist romp across Asia in the first half of the 20th century.

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1 avril 2014 2 01 /04 /avril /2014 11:45
Counter Piracy Newsletter March - EU Naval Force Somalia


01.04.2014 EUNAVFOR

 

Serbian Detachment Completes Protection Of World Food Programme Ship MV Caroline Scan As Part Of EU Naval Force

A recent Operation Atalanta medal parade held in Djibouti marked the end of the Serbian Autonomous Vessel Protection Detachments (AVPD) tenure with the EU Naval Force.

 

EU Naval Force French Warship FS Siroco Provides Electronic Navigation Training to Seychelles Coast Guard Trainees

During FS Siroco’s port visit to the Seychelles, 20 trainees from the Basic Training course for the Seychelles Coast Guard embarked for electronic navigation equipment training. The training was supported by staff from EUCAP Nestor.

 

EU Naval Force Continues Regular Contacts With Crews Of Fishing And Trading Vessels Off The Horn Of Africa

During the last week, EU Naval Force (EU NAVFOR) Somalia Operation Atalanta warships FGS Hessen and ESPS Tornado have carried out several ‘Friendly Approaches’ in the Gulf of Aden.

 

Force Commander Promotes EU Counter Piracy Operation During Conference In The Seychelles.

On 6 March 2014, during the last port visit of the EU Naval Force Somalia Operation Atalanta flagship, FS Siroco, the Force Commander, Rear Admiral Hervé Bléjean was invited to brief Seychellois government and administration representatives and diplomats on the EU’s counter piracy operation.

 

Spanish Vessel ESPS Relámpago Joins EU Naval Force Counter Piracy Operation

As of Thursday 13 March, the Spanish Offshore Patrol Vessel, ESPS Relámpago joined the EU Naval Force to carry out counter-piracy patrols off the coast of Somalia. ESPS Relámpago has replaced ESPS Tornado as the Spanish contribution to Operation Atalanta. ESPS Tornado is now on her way back home.

 

Spanish Offshore Patrol Vessel ESPS Tornado Departs Operation Atalanta After Completing 105 Days Of Counter Piracy Patrols Off The Coast Of Somalia

On 13 March 2014, EU Naval Force warship, ESPS Tornado departed Operation Atalanta’s patrol areas off the Somali coast after completing 105 days and is now heading for her home port of Las Palmas in Gran Canaria.

 

Force Commander Visits Greek Warship HS Psara After Replenishment At Sea With EU Naval Force Flagship FS Siroco

On Thursday 13 March the EU Naval Force flagship, FS Siroco, rendezvoused at sea in the Gulf of Aden with Hellenic warship, HS Psara, to conduct a replenishment from sea.

 

Counter Piracy Warships Siroco And Kang Gam Chan Conduct Exercises At Sea In Gulf Of Aden

On Saturday 15 March, EU Naval Force French Flagship, FS Siroco, and South Korean destroyer, ROKS Kang Gam Chan met at sea in the Gulf of Aden to conduct a series of maritime exercises. Both warships are currently conducting counter-piracy operations off the coast of Somalia.

 

Spanish Maritime Patrol Aircraft Contingents Hold Handover Ceremony As New Crew Takes On EU Counter Piracy Role Off Coast Of Somalia

One of the key elements of the EU Naval Force’s counter-piracy operation in the waters of the Horn of Africa is the Maritime Patrol and Reconnaissance Aircraft (MPRA). These long-range, capable aircraft conduct aerial patrols over the sea areas where pirates are known to operate and can provide early warning of a potential pirate attack.

 

European Union Teams Provide Fire-fighting Training For Djibouti Coast Guard And Navy

On 22nd and 23rd March, ten officers from the Djiboutian Navy and four from the Coast Guard participated in a fire-fighting exercise and weapon handling training that were organised jointly by staff from the EU Naval Force and the EU capacity building mission, EUCAP Nestor.

 

Three EU Naval Force Warships Replenish At Sea With US Task Force 53 Logistics Ship In Gulf of Aden

On Tuesday 18 March, three EU Naval Force warships, FS Siroco, FGS Hessen and ESPS Relampago gathered in the Gulf of Aden for a joint replenishment at sea (RAS) with the American logistics ship, USNS Pecos from Task Force 53. Ships from Task Force 53 provide regular replenishment support to the European Union’s counter-piracy warships and others international forces in the area of operations.

 

EU Naval Force And Chinese Navy Warships Work Together In Counter Piracy Exercise At Sea In Gulf Of Aden

28 March 2014 – Ahead of Chinese President Xi’s visit to the European Union in Brussels, a significant naval exercise has taken place in the Gulf of Aden to demonstrate the growing cooperation between the EU and China on issues of international security and defence.

 

European Union Ambassadors Meet Puntland’s President For Talks On Maritime Priorities

On Wednesday 26 March 2014, European Union Ambassadors met with the President of Puntland, Dr. Abdiweli Mohamed Ali, and his Cabinet on board the French EU Naval Force flagship, FS Siroco, to discuss key issues related to political, security and development cooperation, and to participate in a special session on maritime security.

 

EU Naval Force Bids Fond Farewell to MV Caroline Scan After Completing Four Successful Years as World Food Programme Ship

After two and a half years protecting the World Food Programme (WFP) ship, MV Caroline Scan, from pirate attack off the coast of Somalia, the EU Naval Force has bid the vessel and her hard-working crew a fond farewell. In April 2014, MV Caroline Scan will be entering a period of maintenance, so the WFP deliveries to the Somali people will temporarily be conducted using other voyage chartered vessels.

 

Passengers On Board German Cruise Ship AIDA Diva Have a Special Encounter with EU Naval Force Warship FGS Hessen at Sea in the Gulf of Aden

It’s not every day that passengers on board a civilian cruise liner would get so close to a warship on operations that they could wave to each other, but this is just what happened last week when the German cruise liner, AIDAdiva, with over 2,000 passengers on board, met German frigate FGS Hessen at sea.


EU NAVFOR ATALANTA
EU Naval Force (EU NAVFOR) Somalia - Operation Atalanta is part of the EU's comprehensive approach to tackle symptoms and root causes of piracy off the coast of Somalia and the EU Strategic Framework for the Horn of Africa adopted in November 2011.

EU NAVFOR conducts anti-piracy operations off the coast of Somalia and the Indian Ocean and is responsible for the protection of World Food Programme (WFP) shipping carrying humanitarian aid to the people of Somalia and Horn of Africa as well as the logistic shippings supporting the African Union troops conducting Peace Support Operations in Somalia (AMISOM). Additionally, Operation Atalanta contributes to the monitoring of fishing activity off the coast of Somalia.

For more information, please visit our website www.eunavfor.eu.

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30 mars 2014 7 30 /03 /mars /2014 07:55
Membre d’une EPE du groupe GALLICE à bord d’un méthanier dans l’océan Indien

Membre d’une EPE du groupe GALLICE à bord d’un méthanier dans l’océan Indien

 

28 mars 2014  par Stéphane Cholleton ANAJ-IHEDN

 

Entretien avec Gilles Maréchal, Directeur Général du Groupe GALLICE.

 

Dans le cadre de la lutte contre la piraterie maritime, le gouvernement vient d’autoriser la mise en place de gardes armés sur les navires : quelles vont être, selon vous, les conséquences pour une société comme GALLICE ? Dans quelle mesure cette annonce vous satisfait-elle ?

 

Nous accueillons cette décision de façon très positive car elle montre que l’Etat français commence à prendre en compte les réalités du marché de la sécurité et la place incontournable des sociétés privées dans la protection des intérêts économiques français. Il est vrai que, dans ce domaine, nous sommes très en retard sur les Anglo-Saxons, qui restent concurrentiels car ils opèrent dans un cadre juridique précis et peu contraignant. Nous espérons que l’Etat étendra sa réflexion à toutes les autres activités de sûreté où il y a nécessité de porter des armes, y compris sur le territoire national.

D’un point de vue « business », cette décision aura un impact très faible pour notre société, dans la mesure où ce marché ne concerne que les navires immatriculés en France (moins d’une centaine) et que nous opérons déjà avec des équipes armées sur des navires étrangers. Pour rappel, GALLICE, via sa filiale irlandaise, est la seule société française à opérer en armes à bord des navires. Elle dispose aussi de son propre bateau d’escorte  (voir photo ci-dessous) ! Nos quelques concurrents français n’ont pas cette capacité et sont contraints de recourir à des sous-traitants anglo-saxons !

Bateau d’escorte du Groupe GALLICE

Bateau d’escorte du Groupe GALLICE

Nous attendons maintenant de connaître le cadre juridique qui va être proposé par le Conseil National des Activités Privées de Sécurité (CNAPS). On parle déjà de certification ISO Pass 28007 pour les sociétés qui souhaiteraient entrer sur ce marché. Une telle certification coûterait au postulant plus de 30 000€, ce qui exclurait automatiquement les structures de taille moyenne : seules trois ou quatre sociétés françaises auraient alors les moyens d’entrer sur ce marché, parmi lesquelles GALLICE. De plus, la législation sur les agents embarqués soumis au droit français risquerait, une fois de plus, de nous mettre « hors-jeu » vis-à-vis des Anglo-Saxons qui garderont, c’est inévitable, plus de 95% des parts de marché.

 

Suite de l'entretien

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 17:45
Operation Copper now only with SA and Mozambique

 

20 March 2014 by Guy Martin - defenceWeb

 

Operation Copper, the mission to provide maritime security and prevent piracy in the Mozambique Channel, is now a bilateral operation between South Africa and Mozambique after Tanzania withdrew.

 

According to Lieutenant Colonel Piet Paxton of the SANDF's Joint Operations Division, Tanzania withdrew from the operation some 18 months ago.

 

During the height of piracy in 2011, Somali pirates ventured far south and began attacking vessels in the waters between Africa and Madagascar. In December 2010 two vessels were attacked off Mozambique and a Mozambique-flagged fishing vessel was hijacked.

These incidents prompted South Africa in 2011 to establish Operation Copper to patrol the Mozambique Channel and in early 2012 sign a memorandum of understanding with Southern African Development community (SADC) members Mozambique and Tanzania to maintain the anti-piracy watch and. Since then, frigates, offshore patrol vessels and maritime surveillance aircraft have been deployed to Mozambican waters.

 

The Navy frigate SAS Spioenkop with a Super Lynx helicopter is currently on station in the Mozambique Channel while a C-47TP maritime surveillance aircraft is based in Pemba. At the moment there are around 220 SANDF personnel on land and at sea as part of Copper, with the majority aboard the frigate. The frigate will be rotated sometime next month as it is due to depart for Simons Town on March 31.

 

Mozambique’s contribution to Operation Copper includes personnel stationed on the frigates or strike craft – usually a dozen personnel on the frigate and less than half a dozen aboard the strike craft.

 

Paxton said that Operation Copper has been very successful with no piracy incidents in the last three years that the South African Navy has been patrolling the region. If pirates get their foot in the door, then the busy Cape sea lane will be threatened. He said that South Africa will continue with Copper, until president and commander-in-chief Jacob Zuma decides that it is time to withdraw.

 

Speaking to the media in February, defence minister Nosiviwe Mapisa-Nqakula said the reduction in piracy, “is as a result of our presence in the Mozambique Channel. Now they know they can’t go down that far,” she said. “The presence of the SANDF serves as a deterrent…if we go, the pirates may come back.”

 

SA Navy Fleet media liaison officer, Commander Adrian Dutton, said all four frigates – SAS Amatola, SAs Isandlwana, SAS Mendi and SAS Spioenkop – as well as the Navy’s replenishment vessel, SAS Drakensberg, and two of it its offshore patrol vessels (OPVs), SAS Galeshewe and SAS Isaac Dyobha, have done time on station in the Mozambique Channel.

 

These platforms have been supported by elements of the SA Air Force, notably a 35 Squadron C-47TP based at Pemba in Mozambique, as well as Oryx helicopters from the Durban, Hoedspruit and Zwartkop air force bases.

 

Drakensberg is the only SA Navy vessel to have been involved in a pirate incident when she was requested to take up a stopper position by the European Union Naval Force to prevent a suspected pirate ship from escaping EU pursuit in April 2012.

 

For the 2013/14 period, some R585 million was allocated for anti-piracy operations as part of the Southern African Development Community (SADC) Maritime Security Strategy. Operation Copper cost R150 million in 2011 and 2012, according to a written parliamentary reply.

 

Note: After this story was published, Joy Peter, the defence minister's spokesperson, said the agreement between Mozambique, Tanzania and South Africa was still in place.

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 17:45
Operation Copper still up and running

 

 

24 March 2014 by Kim Helfrich

 

Any possible review of the Southern African Development Community (SADC) tri-nation agreement on counter-piracy operations in the Mozambique Channel could be an agenda item for next month’s Standing Maritime Committee meeting.

 

In the meantime it’s business as usual for SAS Spioenkop, the current SA Navy asset on station in the area, according to Defence and Military Veterans Ministerial spokesman Joy Peter.

 

She said the agreement, between Mozambique, Tanzania and South Africa, remained “effective”.

 

“As recently as March 21 at a meeting of the Joint Permanent Commission on Defence and Security reform the governments of Mozambique and Tanzania stressed the importance of bringing into force the trilateral agreement on maritime security signed by South Africa, Mozambique and Tanzania,” she added.

 

Peter also said no indication has been received for any request to review the tri-national agreement on counter-piracy operations off the lower east coast of Africa.

 

South Africa is by far the major contributor to Operation Copper, the code name given to the counter-piracy tasking, providing at least one maritime platform as well as a C-47TP maritime aircraft and rotary-winged aircraft including Super Lynx and Oryx. In addition to ship’s crews the Navy has also deployed elements of its Maritime Reaction Squadron (MRS) aboard vessels in the Mozambique Channel.

 

While the bulk of counter-piracy taskings have been given to the Navy’s Valour Class frigates, offshore patrol vessels and the Navy’s single replenishment vessel SAS Drakensberg have also spent time on station.

 

SA Air Force’s assets, with the exception of the Lynx maritime helicopters aboard the frigates, are based at Pemba.

 

The Mozambican contribution has been in the form of sea riders deployed on South African Navy vessels in the area of operations. Further assistance from South Africa’s eastern neighbour has been in the form of co-ordination, collaboration and information sharing in executing the mission objective she said.

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 12:50
EU adopts strategy on the Gulf of Guinea

 

Brussels, 17 March 2014 7671/14 (OR. en) PRESSE 148

 

The Council today adopted an EU strategy on the Gulf of Guinea to support the efforts of the region and its coastal states to address the many challenges of maritime insecurity and organised crime.

Welcoming the decision, the EU High Representative for Foreign Affairs and Security Policy Catherine Ashton said: "I am glad that the Council has today adopted the EU strategy on the Gulf of Guinea. Its adoption just ahead of the EU-Africa Summit showcases the strong relationship between the EU and Africa and the importance we attach to close and comprehensive cooperation with our African partners. It is crucial now to support our West and Central African partners' efforts to tackle the complex challenges of maritime insecurity and organised crime. These threaten stability in the wider sub-region and pose a growing threat to the EU as well."

 

In order to support partner countries and the regional African-led coordinating platforms emerging to tackle the complex and wide-ranging challenges of maritime insecurity and organised crime facing West and Central Africa, the EU and its member states will focus on four objectives: building a common understanding of the scale of the threat in the Gulf of Guinea and the need to address it; helping regional governments put in place institutions and capabilities to ensure security and the rule of law; supporting the development of prosperous economies in the coastal countries; and strengthening cooperation structures between the countries of the region to ensure effective action across borders at sea and on land.

 

The strategy also recognises the need to protect both the populations in the Gulf of Guinea region and European citizens from the threats that emanate from the region, including piracy, terrorism and trafficking of people, drugs and arms. It covers the 6.000 km coastline from Senegal to Angola including the islands of Cape Verde and Sao Tome and Principe.

 

More information: Council conclusions on the Gulf of Guinea

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 19:45
IMB warns of West Africa piracy threat

 

 

10 March 2014 defenceWeb

 

The International Maritime Bureau (IMB) is asking ships to be extra vigilant when transiting West Africa as piracy in the region becomes a growing concern.

 

The Bureau’s live piracy map shows that since the beginning of the year, one vessel, MT Kerala, has been hijacked and six have been boarded in West African waters. There was also one attempted attack.

 

The hijacking of the Liberian-flag product tanker in January by Nigerian pirates has sparked fears that gangs are venturing further south.

 

In that incident, pirates hijacked the MT Kerala off the coast of Luanda in Angolan waters.

 

The vessel was released by the pirates eight days later after the cargo was illegally transferred in a ship-to-ship operation along the West African coast.

 

While the incident shows the willingness of pirate gangs to venture further to commit their crimes, it also raises concern due to the violence associated with hijackings. One crew member was injured while the vessel was being held by pirates.

 

The IMB warns in its latest annual piracy report of the dangers to ships transiting West African waters particularly around Nigeria, Benin and Togo and urges continued vigilance as the threat remains real, highlighted by the MT Kerala hijacking.

 

It further points to the fact that because pirates have never attacked so far south, it is likely vessels in the area are not aware of the danger.

 

Last year the number of Nigerian piracy attacks grew and it currently stands at its highest level since 2008. Nigerian pirates accounted for 31 of the 51 attacks reported in the region in 2013 and West Africa as a whole made up 19% of attacks worldwide last year.

 

The common tactics employed by gangs operating in the area is to hijack a vessel for its cargo, normally gas or oil. However in the process, crew members are also injured and in some instances kidnapped, and vessels fired upon.

 

According to a recent report by the United Nations titled Maritime Piracy in the Gulf of Guinea, a lot of the piracy affecting West Africa is a product of the criminal activity associated with the region’s oil sector.

 

“A large share of the recent piracy attacks targeted vessels carrying petroleum products. These vessels are attacked because there is a booming black market for fuel in West Africa. Without this ready market there would be little point in attacking these vessels,” the report said.

 

The attacks are damaging Nigeria’s lucrative oil industry as analysts point out the hijackings of tankers for oil cargoes could increase the risk of doing business in the country.

 

One Nigerian Navy official recently said the country was losing $1.5 billion a month to maritime crime, which includes piracy, smuggling and bunkering fraud.

 

Two attacks have taken place within a week in the Gulf of Guinea resulting in the kidnapping of six crewmembers, Dryad Maritime has reported. On March 4, MV Prince Joseph 1 was attacked offshore Akwa Ibom state, Nigeria, closely followed by an attack on the offshore tug, MV Asha Deep a day later off Bayelsa state; a particular hotspot for recent incidents.

 

These most recent attacks make this the largest surge over a three month period since Dryad’s records began with eight vessels attacked and 20 crew members kidnapped, the company said, estimating that 12 crew members remain in captivity.

 

Ian Millen, Dryad Maritime’s Director of Intelligence said: “The two incidents this week point to the operation of at least two separate criminal gangs, using the cover of estuaries and the riverine system of the Niger Delta to take their victims into captivity. If recent patterns are followed, it is likely that the latest attacks will have targeted senior crew, such as the Master and Chief Engineer, as these are the most likely to attract higher value ransom payments, often due to the fact that a large number will be non-Nigerian. This is based on previous intelligence which has seen such crew being singled out, especially ships’ Captains and Chief engineers.”

 

Pirates have also struck beyond the shores of Nigeria in the last three months with kidnaps of crew members from vessels in the seas off Cameroon and Equatorial Guinea. In addition to this, Dryad assesses that a number of other unsuccessful attacks have probably been aimed at kidnap. In one probable attempt last year, a vessel was targeted some 160 nautical miles out to sea.

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13 février 2014 4 13 /02 /février /2014 22:45
Piraterie : le commandant de la force rencontre les unités de soutien de la force stationnées à djibouti

 

10/02/2014 Sources : EMA

 

Du 4 au 6 février 2014, le transport de chalands de débarquement  (TCD) Siroco, bâtiment amiral de la force européenne Atalante, était en relâche opérationnelle à Djibouti.

 

A cette occasion, le commandant de la force, l’amiral Hervé Bléjean, a rencontré le 4 février les unités de la force Atalante stationnées à Djibouti.

 

Accueilli par le commandant de l’élément de soutien Atalante et officier de liaison Atalante à Djibouti, la délégation de l’état-major embarqué a rencontré le personnel du SEA et les équipages des avions de patrouille maritime allemands et espagnols actuellement déployés dans le cadre de l’opération Atalante et stationnés sur la Base Aérienne 188 des forces françaises stationnées Djibouti (FFDj).

 

Au cours de sa visite, l’amiral Bléjean a salué le rôle essentiel des moyens aériens dans la lutte contre la piraterie. Les renseignements collectés par les équipages de ces aéronefs permettent d’anticiper des actes de piraterie, de localiser des bâtiments suspects et de les poursuivre.

 

Après avoir remercié le commandant de la Base Aérienne 188, qui assure  un soutien logistique au profit des équipages Atalante, l’amiral Bléjean a rencontré Monsieur Joseph Silva, ambassadeur de l’Union Européenne à Djibouti.

 

Djibouti joue un rôle majeur dans les opérations de lutte contre la piraterie. D’une part, les forces françaises stationnées à Djibouti apportent un soutien logistique essentielle à l’opération européenne Atalante (soutien des bâtiments, des avions de patrouille maritime, soutien santé), d’autre part, la République de Djibouti participe à la mobilisation régionale pour lutter contre la piraterie.

 

L’opération Atalante a pour mission d’escorter les navires du Programme alimentaire mondial (PAM), de participer à la sécurité du trafic maritime et de contribuer à la dissuasion, à la prévention et à la répression des actes de piraterie au large des côtes somaliennes.

 

La France est un acteur majeur et historique participant à l’opération Atalante depuis ses débuts avec le déploiement régulier de bâtiments de la marine nationale. Le dispositif peut être renforcé ponctuellement d’un avion de patrouille maritime.

Piraterie : le commandant de la force rencontre les unités de soutien de la force stationnées à djiboutiPiraterie : le commandant de la force rencontre les unités de soutien de la force stationnées à djibouti
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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 12:45
Counter Piracy Newsletter - EU Naval Force Somalia

 

01.02.2014 EUNAVFOR

 

EU Naval Force Warship ITS Libeccio Conducts Training With The Tanzanian Navy And Visits A Local Orphanage During Port Visit To Dar Es Salaam

Italian frigate ITS Libeccio, which is currently participating in the EU Naval Force, countering piracy off the coast of Somalia, has completed a fruitful port visit to Dar Es Salaam in Tanzania.

 

Ukrainian Navy Warship Hetman Sagaidachniy Joins EU Naval Force Counter Piracy Operation Atalanta

On Friday 3 January 2014, Ukrainian frigate Hetman Sagaidachniy joined the European Union’s counter piracy Operation Atalanta. The warship will be part of the EU Naval Force off the coast of Somalia for two months.

 

EU Naval Force Flagship FS Siroco Visits Mayotte On The Day The Islands Became Part Of The European Union

On Wednesday 1 January, the European Union Naval Force flagship, FS Siroco, conducted a port visit to Mayotte in the Indian Ocean.

 

EU Naval Force Flagship FS Siroco Conducts Training with Tanzanian Navy During Port Visit to Dar Es Salaam

During their recent port visit to Dar Es Salaam, EU Naval Force (EU NAVFOR) Flagship FS Siroco, conducted training with a team from the Tanzanian Marines.

 

EU Naval Force Warship FGS Hessen Gives Assistance to Stricken Seafarers in the Gulf of Aden

On Friday 10 January, EU Naval Force warship FGS Hessen gave assistance to a Yemeni Dhow that was adrift and suffering from technical problems off the coast of Yemen.

 

EU NAVFOR Force Commander Visits Tanzanian Military Authorities And Dar As Salaam Information Sharing Centre

During a recent visit of the EU Naval Force Flagship to Tanzania, the EU Force Commander, Rear Admiral Hervé Bléjean, visited members of the Tanzanian military and the Dar As Salaam Maritime Information Sharing Centre.

 

European Union and Seychelles Carry Out Counter-Piracy Exercise

On Friday 10 January, the Seychelles Coast Guard, Air Force and Police Force, together with the EU Naval Force Somalia – Operation Atalanta and EUCAP Nestor, carried out a counter-piracy exercise in the Seychelles.

 

Serbian Forces Maintain High Level of Readiness With Exercise On Board World Food Programme Aid Ship

On Monday 13 January the Serbian Autonomous Vessel Protection Detachment (AVPD), which is currently operating as part of the European Union Naval Force providing close protection to the World Food Programme (WFP) aid ship, MV Caroline Scan, carried out a firing exercise on board.   The exercise, which took place as MV Caroline Scan was enroute  from Bossasso to Djibouti, having just delivered humanitarian aid to the Somali people, was a good opportunity for the Serbian protection forces to maintain their gunnery skills at peak levels and importantly, verify their firing accuracy.

 

EU Naval Force Warship ESPS Tornado Strengthens Counter Piracy Cooperation with Republic of Korea During Port Visit to Salalah

On Tuesday 14 January 2014, the commanding officer of Spanish warship, ESPS Tornado, Lieutenant Commander Juan Belizon, welcomed on board  Captain Choi Sung-Mok, the commanding Officer of the Republic of Korea Ship (ROKS) Choi Young.  The Republic of Korea warship is currently part of the Combined Maritime Forces (CMF), combating piracy off the Horn of Arica. The visit took place during a short logistics stop in Salalah.

 

EU Naval Force Flagship FS Siroco Ensures Safe Delivery Of EUCAP Nestor Vehicles To Mombasa

On Saturday 11 January 2014, EU Naval Force French flagship, FS Siroco conducted a transfer operation of two armoured vehicles to Mombasa.  The armoured vehicles belong to EUCAP Nestor and are due to be transfered in EUCAP Nestor Mogadishu office later.

 

EU Naval Force has a New Deputy Operation Commander

On 17 January 2014, Rear Admiral Jean Martens (German Navy) handed over the role of Deputy Operation Commander (DCOM) of the European Union Naval Force (EU NAVFOR) Somalia – Operation Atalanta to Rear Admiral Bartolomé Bauzá (Spanish Navy). The handover took place at the Operation Headquarters (OHQ) in Northwood, London.

 

EUCAP Nestor And EU Naval Force Conduct Firefighting Training With Djiboutian Navy And Coastguard

On 15 January in the port of Djibouti EUCAP Nestor and the EU Naval Force Warship FGS Hessen conducted firefighting training with members of the Djiboutian Navy and Coastguard.

 

First Pirate Attack In 2014 In The Gulf Of Aden Resulted In Apprehension Of Suspects By EU Naval Force

On Saturday 18 January 2014, the French EU Naval Force (EU NAVFOR) Somalia Operation Atalanta flagship FS Siroco in cooperation with Japanese assets released the crew of a Dhow that was suspected to have been used as pirate mother-ship. The flagship apprehended 5 suspected pirates believed to be responsible for an attack on an oil tanker in the Gulf of Aden a day earlier.

 

Media Visit On Board Ukrainian Frigate Hetman Sagaidachny

EU Naval Force frigate Hetman Sagaidachny and her crew began their second patrol in the Gulf of Aden after a short port visit and a media brief in Djibouti.

 

Three EU Naval Force Warships Meet At Sea With US Replenishment Ship

On Tuesday 21 January EU Naval Force warships, FS Siroco, FGS Hessen and ESPS Tornado rendezvoused at sea for a joint replenishment at sea (RAS) with the logistics American ship, USNS Joshua Humphreys from Task Force 53.

 

Spanish Air Forces Rotate Aircraft Crew In Djibouti

The 33rd Spanish Air Forces Maritime Patrol and Reconnaissance Aircraft (MPRA) crew joins the EU Naval Force (EU NAVFOR) Somalia Operation Atalanta. The 32nd and 33rd crew rotations performed their hand over in Djibouti on January 23rd.

 

EU Naval Force Frigate FGS Hessen Interacts With Local Fishermen off The Horn Of Africa

Last week, German EU Naval Force (EU NAVFOR) Somalia Operation Atalanta warship, FGS Hessen spotted three Iranian flagged dhows stopped in the water in close proximity to each other. FGS Hessen called the dhows on the ship’s radio to ask if any assistance was needed. One of the masters of the dhows immediately invited the German sailors to go on board his vessel.

 

Ukrainian Frigate Hetman Sagaidachniy Continues Her Counter Piracy Patrols With Operation Atalanta In The Gulf Of Aden

The Ukrainian frigate, Hetman Sagaidachniy, is continuing her counter piracy patrols in the Gulf of Aden and along the coast of Somalia as part of the EU Naval Force.

 

Suspect Pirates Apprehended by EU Naval Force Flagship Transferred To The Seychelles

On 29 January 2014, international collaboration in the fight against piracy resulted in the transfer of five men by the EU Naval Force (EU NAVFOR) Somalia Operation Atalanta flagship, FS Siroco, to the Republic of Seychelles, with the aim of prosecuting them for acts of piracy.

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31 janvier 2014 5 31 /01 /janvier /2014 18:45
10 millions d'euros économisés avec la réduction de la participation française dans Atalante

31.12.2013 par Philippe Chapleau – Lignes de Défense

 

Baisse des actes de piraterie et recherches d'économies... La conséquence est logique: la France devrait alléger sa participation à l’opération européenne Atalante de lutte contre la piraterie au large des côtes somaliennes. Opération qui devrait se prolonger au-delà de décembre 2014 puisque la situation reste précaire dans l'océan Indien et que la menace n'est pas éradiquée.

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, en a fait l’annonce le 14 janvier lors d’une audition à l’Assemblée nationale, expliquant que "si notre participation à l’opération Atalante est réduite, c’est parce que d’autres pays s’associeront à la lutte contre la piraterie dans cette zone, à commencer par le Japon".

"Il faudra en revanche renforcer la protection maritime dans le golfe de Guinée. Certains États riverains doivent nous y aider", a toutefois précisé le ministre de la Défense.

JYLD a précisé, deux jours plus tard, cette fois devant les députés de la commission des Finances, que cet allégement permettra d’économiser 10 millions d’euros sur le budget des opérations extérieures (opex). Il n'a pas en revanche précisé le montant d'éventuels surcoûts en cas d'implication accrue dans le golfe de Guinée.

Actuellement, Atalante mobilise cinq navires et 1 200 hommes. Le contre-amiral français Hervé Bléjean en assure le commandement à la mer à bord du transport de chalands de débarquement Siroco. Le 18 janvier 2014, le TCD Siroco a intercepté un boutre indien piraté à la sortie du golfe d’Aden, à quelque 75 km des côtés omanaises. À son bord, l’équipe de visite a procédé à l’arrestation de cinq présumés pirates qui retenaient onze membres d’équipage d’origine indienne.

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28 janvier 2014 2 28 /01 /janvier /2014 08:45
Piraterie : un pétrolier américain ravitaille 4 bâtiments de la force Atalante

 

27/01/2014 Sources : EMA

 

Le 21 janvier 2013, quatre bâtiments de la force navale européenne Atalante, dont le bâtiment amiral, le transport de chalands de débarquement Siroco, ont été ravitaillés au large de la corne de l’Afrique par le pétrolier-ravitailleur américain USNS Joshua Humphreys

 

Avant de procéder au ravitaillement en gasoil du TCD Siroco, le pétrolier-ravitailleur américain Joshua Humphreys avait effectué le double ravitaillement du patrouilleur de haute mer espagnol Tornadoet de la frégate allemande Hessen, tous deux engagés aux côtés du Sirocoau sein de la force navale européenne.

 

La veille, la frégate italienne Libecioavait été ravitaillée par ce même pétrolier-ravitailleur. Au bilan, plus de 1100 mètres cubes de gasoil et une soixantaine de mètres cubes de carburant aviation ont été délivrés en 4 heures trente de manœuvres. Le contre-amiral Hervé Bléjean, commandant de la force navale européenne, a salué l’importance d’un tel soutien : la coopération  internationale dans cette zone ouest de l’océan Indien est une réalité, c’est même l’une des clés de la réussite de notre mission contre la piraterie. De même, voir aujourd’hui trois navires de la force rassemblés en un même lieu est un moment unique. La bonne répartition des moyens navals d’Atalante, en coordination avec les autres forces internationales opérant dans le Golfe d’Aden et le bassin somalien, offre peu d’occasion au navire amiral Siroco de croiser plusieurs autres navires Atalante simultanément. »

 

Dans le cadre d’accords militaires entre les pays de l’OTAN, et sans être engagés dans la même opération, les bâtiments de l’Alliance ont la possibilité de ravitailler ou d’être ravitaillés en mer entre eux. Cette manœuvre a démontré une nouvelle fois l’interopérabilité des bâtiments de l’OTAN.

 

Le  Siroco a rejoint l’opération Atalante de lutte contre la piraterie, au large de la corne de l’Afrique depuis le 6 décembre 2013 avec à son bord l’Etat-major de la Force placé sous lecommandement du contre-amiral Hervé Bléjean. Il s’agit du troisième commandement français de la force navale Atalante depuis sa création en décembre 2008.

 

L’opération Atalante a pour mission d’escorter les navires du Programme alimentaire mondial (PAM), de participer à la sécurité du trafic maritime et de contribuer à la dissuasion, à la prévention et à la répression des actes de piraterie au large des côtes somaliennes.

 

La France est un acteur majeur et historique participant à l’opération Atalante depuis ses débuts avec le déploiement régulier de bâtiments de la marine nationale. Le dispositif peut

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