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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 20:40
Russie et Otan pourraient recycler les munitions obsolètes

 

BRUXELLES, 3 décembre - RIA Novosti

 

La Russie et l'Otan pourraient lancer un projet-pilote de recyclage des munitions obsolètes, a annoncé mardi le secrétaire général de l'Alliance Anders Fogh Rasmussen en prévision d'une réunion du Conseil Russie-Otan qui doit avoir lieu le 4 décembre à Bruxelles.

 

"Nous discuterons de nouveaux domaines de notre coopération et initierons un projet-pilote prévoyant la destruction de vieilles munitions dangereuses dans la région de Kaliningrad", a déclaré M. Rasmussen.

 

Selon des informations diffusées auparavant, Moscou envisage d'associer des entreprises des pays membres de l'Otan au recyclage de munitions obsolètes russes.

 

Le vice-ministre russe de la Défense Alexeï Mechkov a confié mardi à RIA Novosti que les aspects financiers de la participation de l'Otan à ce projet étaient à l'étude. Selon M. Mechkov, la destruction de munitions doit être effectuée dans la région de Kaliningrad (enclave russe sur la Baltique). Il s'agit de créer à cet effet un fonds fiduciaire spécialisé. D'après le vice-ministre, "toutes les parties sont en principe intéressées par le lancement d'un tel fonds".

 

Le Conseil Russie-Otan doit se réunir le 4 décembre à Bruxelles au niveau des chefs de diplomatie. La Russie sera représentée par le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 17:40
Pas de militarisation de l'Arctique (ambassadeur russe)

 

MOSCOU, 2 décembre - RIA Novosti

 

Il est difficile de parler de militarisation de l'Arctique, la situation s'y étant notablement améliorée depuis les deux dernières décennies, a déclaré lundi l'ambassadeur russe au Conseil de l'Arctique Anton Vassiliev.

 

"Si l'on met à part les armements nucléaires stratégiques, il est difficile de parler de militarisation de l'Arctique. Il n'y a plus rien à se partager, toute la région l'est déjà", a indiqué le diplomate russe lors de la conférence internationale "L'Arctique: région de développement et de coopération" qui se déroule actuellement à Moscou.

 

"L'histoire de l'Arctique a connu des temps différents, mais grâce aux efforts de tous les Etats arctiques, la situation générale dans le Grand Nord a considérablement changé" a estimé le diplomate russe.

 

Selon lui, la situation dans la région se caractérise par "une coopération de plus en plus étroite entre les Etats arctiques, permettant de résoudre les problèmes hérités du passé et qui deviennent de moins en moins nombreux".

 

"L'Arctique est devenu un exemple pour d'autres régions du monde qui sont moins stables", a souligné l'ambassadeur russe.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 17:35
Le laboratoire de recherches nucléaires de Yongbyon - GeoEye Satellite Image

Le laboratoire de recherches nucléaires de Yongbyon - GeoEye Satellite Image

 

 

MOSCOU, 2 décembre - RIA Novosti

 

Le président russe Vladimir Poutine a signé lundi un décret introduisant des sanctions à l'encontre de la Corée du Nord approuvées par le Conseil de sécurité de l'Onu en mars dernier,  le document ad-hoc étant publié lundi sur le site officiel de l'information judiciaire.

 

Le décret présidentiel interdit aux compagnies étatiques, commerciales et industrielles russes de fournir à Pyongyang toute aide consultative ou technique en matière de création de missiles balistiques. Les navires nord-coréens refusant d'être inspectés seront interdits d'entrée dans les ports russes. Quant aux autorités, elles feront preuve de vigilance en travaillant avec les diplomates nord-coréens. 

 

Le document en question dresse en outre une liste de citoyens nord-coréens impliqués dans le programme nucléaire du pays. 

 

La Corée du Nord, qui s'est proclamée puissance nucléaire en 2005, a réalisé trois essais nucléaires souterrains, provoquant les protestations de la communauté internationale. Le Conseil de sécurité de l'Onu a adopté plusieurs résolutions appelant Pyongyang à cesser ses activités nucléaires.

 

Le 7 mars dernier, le Conseil de sécurité a approuvé un nouveau train de sanctions visant, entre autres, à réprimer les activités illégales de diplomates nord-coréens, en permettant notamment d'inspecter les valises diplomatiques pour empêcher le transport de sommes importantes en espèces destinées à financer le programme nucléaire et balistique de Pyongyang.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 12:40
Russie: plus de 3.500 exercices militaires en 2014 (Défense)

 

MOSCOU, 2 décembre - RIA Novosti

 

Les forces armées russes tiendront au cours de l'année 2014 plus de 3.500 exercices militaires, et la pratique des manœuvres surprises sera maintenue, rapporte le ministère russe de la Défense dans un communiqué. 

 

"Plus de 3.500 exercices militaires de différents niveau et envergure, dont 29 internationaux, sont prévus en 2014", précise le département militaire russe à l'occasion du début de la nouvelle année académique des forces armées du pays.

 

Largement appliquée en 2013, "la pratique des manœuvres surprises sera maintenue en 2014", indique le ministère de la Défense. 

 

Le vice-ministre russe de la Défense Arkadi Bakhine a annoncé samedi qu'au cours de l'année écoulée, les troupes avaient pris part à plus de 3.000 exercices militaires. 

 

Plus de 400 exercices d'envergure ont eu lieu en 2013, dont les plus importants sont les manœuvres stratégiques conjointes russo-biélorusses "Occident-2013", précise le communiqué ministériel.  

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:40
INS Vikramaditya : dimension géopolitique du « marché de la décennie »

 

30 novembre, Sergueï Tomine - La Voix de la Russie

 

L'histoire de la modernisation et du transfert à l'Inde du croiseur porte-avions Admiral Gorchkov transformé en porte-avions Vikramaditya n'était pas brève. En 2004, année de la signature du contrat sur Admiral Gorchkov, personne à Moscou et à New Delhi ne supputait que sa réalisation s'étalerait à près de dix ans et qu'outre des reports de sa date d'exécution, les relations entre les deux pays seraient pendant un certain temps assombries par l'absence du financement, le renchérissement du contrat et des travaux complémentaires non prévus.

 

Pour l'heure, tous ces problèmes sont dans le passé. La partie russe a démontré sa volonté d'aller à la rencontre du partenaire, et la partie indienne a eu assez de retenue et de tact pour ne pas exacerber les tensions. En fin de compte un bâtiment tout à fait nouveau, équipé des instruments de navigation les plus modernes et capable d'embarquer 30 aéronefs, plus particulièrement les avions MiG-29K et les hélicoptères Ka-27 et Ka-31 se dirige vers les côtes indiennes.

 

Tous ont gagné. Moscou a confirmé se réputation de partenaire clé de l'Inde dans le domaine de la coopération militaro-technique. Des pertes d'image qui paraissaient imminentes ont été évitées. Ceux qui disaient que Moscou aurait tenté de remettre à l'Inde un patouillard rouillé se sont tus. Tout comme ceux qui accusaient l'Inde de tricher dans le différend sur le prix et de vouloir obtenir presque gratuitement un porte-avions modernisé.

 

Le contrat Vikramaditya dépasse le cadre de sa simple livraison à la marine indienne. La Russie s'occupe également de la formation de l'équipage indien. En plus, elle créera une infrastructure du stationnement de Vikramaditya en océan Indien. Etant donné que le navire restera fonctionnel pendant 30 ans, on peut dire avec certitude que Vikramaditya est non seulement le présent, mais aussi le futur de la coopération russo-indienne dans le domaine militaro-technique.

 

L'Inde a actuellement de nombreuses tâches à affronter eu égard à la protection des voies commerciales maritimes, à la nécessité d'assurer l'accès aux ressources et à la défense des intérêts de la diaspora indienne en Asie. Dans ce contexte, l'accent de la construction militaire doit être porté sur la composante navale. En d'autres termes, l'objectif stratégique devient la transformation de l'Inde ayant reçu le porte-avions Vikramaditya en une grande puissance navale.

 

Le fait de s'être dotée d'un porte-avions de pointe place la marine indienne dans une catégorie de poids tout à fait différnete. Cela lui permettra de relever un défi ambitieux : contribuer à ce que l'Inde ait des avantages stratégiques dans la région asiatique. Telle est la dimension géopolitique du marché qui a permis de transformer Admiral Gorchkov en Vikramaditya.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 08:20
Photo DND

Photo DND

 

December 1, 2013. David Pugliese - Defence Watch

 

From NORAD:

 

Members of the North American Aerospace Defense Command (NORAD) and their Russian Federation Air Force counterparts met in Moscow last week to review the lessons learned from Vigilant Eagle 13, held earlier this year, and to start planning for Vigilant Eagle 14.

 

Last year’s live-fly Vigilant Eagle 13 exercise took place August 27 to 28 in Anchorage, Alaska, and Anadyr, Russia. It involved Russian, Canadian and American military personnel and aircraft, operating from command centers in Russia and the United States.

The Vigilant Eagle 14 exercise will be a “command post exercise” (CPX) involving a more complex scenario, to be developed in the coming months.

 

“It is crucial to meet in person to discuss the successful execution of Vigilant Eagle 13 in order to improve and build on the lessons learned for the next exercise,” said Mr. Joe Bonnet, director of joint training and exercises for NORAD and U.S. Northern Command. “This conference in Moscow is also a great opportunity to share and discuss different ideas and scenarios for Vigilant Eagle 14.

 

“As we continue to work with the Russian Federation Air Force and its professional members, we are creating lasting bonds and partnerships extremely valuable for the security of our three nations.”

 

Working in partnership with the United States’ Federal Aviation Agency and its Russian counterpart, the Vigilant Eagle exercise series focuses on national procedures for monitoring a situation, and the cooperative hand-off of a hijacked aircraft from one nation to the other while exchanging air track information. All players focus on coordinating their response to the incident.

 

The United States-Russian Federation Armed Forces Military Cooperation Work Plan is the basis that allows the Russian Federation and NORAD personnel to conduct Vigilant Eagle conferences and execution.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 00:36
Bon 2 S 208 aux Saint-Cyriens
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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 22:40
Le sous-marin Novorossiïsk

Le sous-marin Novorossiïsk

 

SAINT-PETERSBOURG, 28 novembre - RIA Novosti

 

Le Novorossiïsk, sous-marin à propulsion diesel-électrique du projet 636 Varchavianka destiné à la flotte russe de la mer Noire, a été mis à l'eau jeudi aux Chantiers navals de l'Amirauté de Saint-Pétersbourg.

 

"Nous mettons à l'eau le sous-marin tant attendu, le Novorossiïsk. C'est le premier sous-marin de la série", a déclaré le commandant en chef adjoint de la Marine russe Viktor Boursouk.

 

Le Novorossiïsk a été mis en chantier en août 2010. La construction des deuxième et troisième sous-marins de la série, baptisés le Rostov-sur-le-Don et le Stary Oskol, a commencé respectivement en novembre 2011 et à la mi-août 2012. Au total, les chantiers navals de Saint-Pétersbourg doivent construire six sous-marins de ce type pour la Marine russe d'ici 2016.

 

Baptisé "trou noir" par les experts de l'OTAN pour sa discrétion, le sous-marin diesel-électrique polyvalent du projet 636 "Varchavianka" (Improved Kilo, selon le code de l'OTAN) appartient à la 3e génération de sous-marins. Il a un déplacement de 2.350 tonnes en surface et de 3.950 tonnes en plongée et une vitesse de 17/20 nœuds. Le sous-marin a 45 heures d'autonomie. Il peut être doté de 4 missiles Kalibr, de 18 torpilles de 533 mm (six tubes) et de 24 mines et peut plonger à 300 mètres de profondeur. Son équipage comprend 52 sous-mariniers.

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 12:40
système de missiles anti-aériens S-400

système de missiles anti-aériens S-400

 

MOSCOU, 28 novembre - RIA Novosti

 

Cinq batteries de missiles sol-air S-500 équiperont l'armée russe conformément au  programme d'armement pour l'horizon 2020, a annoncé jeudi le commandant des Troupes de défense aérospatiale Alexandre Golovko.

 

"Au total, l'achat de cinq batteries de missiles sol-air S-500 est prévu par le programme d'armement russe", a indiqué le général dans une interview à RIA Novosti.

 

Il a été antérieurement annoncé que les premiers systèmes de missiles S-500 équiperaient les Troupes de défense aérospatiale en 2017.

 

Les missiles sol-air de nouvelle génération à longue portée S-500 seront en mesure de détruire 10 cibles aérodynamiques à la fois (avions, hélicoptères, autres cibles aériennes) volant à une vitesse de 7 km/sec à 200 km d'altitude, ainsi que les ogives de missiles de croisière hypersoniques.

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 12:40
Tupolev Tu-95MS (16 RED, cn 461810) in-flight over Russia

Tupolev Tu-95MS (16 RED, cn 461810) in-flight over Russia

 

MOSCOU, 27 novembre - RIA Novosti

 

Deux bombardiers stratégiques Tupolev Tu-95MS de l'Aviation russe à long rayon d'action ont survolé mercredi la mer de Norvège sous escorte d'avions militaires norvégiens, a annoncé à Moscou le porte-parole du ministère russe de la Défense Igor Klimov.

 

"Deux bombardiers stratégiques Tu-95MS ont décollé de la base d'Engels pour effectuer une mission de patrouille. Ils ont survolé les eaux neutres de la mer de Norvège. Les équipages des Tu-95MS se sont entraînés à piloter leurs appareils dans une zone sans repères. Le vol a duré environ 13 heures", a indiqué le colonel Klimov.

 

Deux avions F-16A norvégiens ont escorté les bombardiers russes dans certaines régions.

 

L'Aviation russe à long rayon d'action survole régulièrement l'Arctique, l'Atlantique, la mer Noire et le Pacifique dans le cadre de programmes d'entraînement de pilotes, notamment afin de les familiariser avec les techniques de ravitaillement en vol. Tous les vols sont effectués en stricte conformité aux normes internationales d'utilisation de l'espace aérien.

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 12:40
L'armée russe recevra 22 missiles intercontinentaux en 2014 (Poutine)

 

SOTCHI, 27 novembre - RIA Novosti

 

Vingt-deux missiles balistiques intercontinentaux seront mis à la disposition des Troupes de missiles stratégiques de Russie (RVSN) en 2014, a annoncé mercredi à Sotchi le président Vladimir Poutine.

 

"Cette année, deux régiments ont été dotés de nouveaux systèmes mobiles de missiles. Il est également prévu de fournir l'année prochaine à titre supplémentaire 22 missiles balistiques intercontinentaux basés au sol aux troupes RVSN", a déclaré M.Poutine lors d'une réunion consacrée au développement de ces troupes.

 

"Nous continuerons à développer prioritairement la principale composante de nos forces stratégiques nucléaires", a ajouté le président russe.

 

Selon lui, ces forces "doivent rester à la fois puissantes et modernes".

 

Cela signifie qu'elles "doivent être capables de percer tout système de défense antimissile et ce, non seulement aujourd'hui, mais aussi à l'avenir, vu le perfectionnement technique de ces système de défense", a précisé le chef de l'Etat russe.

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 12:40
Russie-Otan: rencontre ministérielle le 4 décembre (Alliance)

 

BRUXELLES, 27 novembre - RIA Novosti

 

L'Alliance atlantique confirme la tenue d'une rencontre ministérielle du Conseil Russie-Otan le 4 décembre et s'attend à la participation des chefs de la diplomatie russe et américaine Sergueï Lavrov et John Kerry, a annoncé mercredi à RIA Novosti un porte-parole de l'Otan.

 

"Je confirme qu'une réunion ministérielle du Conseil Russie-Otan aura lieu le 4 décembre à Bruxelles. Nous y attendons le ministre (russe des Affaires étrangères Sergueï) Lavrov et le secrétaire d'Etat (américain John) Kerry, mais cette dernière information doit être confirmée par les représentations diplomatiques", a déclaré l'interlocuteur de l'agence.

 

Lors de la prochaine réunion ministérielle des pays membres de l'Otan, il s'agira de la préparation du futur sommet de l'Alliance prévue en Grande-Bretagne en septembre 2014.

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 12:40
L'armée russe reçoit six systèmes sol-air Pantsir-S

 

MOSCOU, 27 novembre - RIA Novosti

 

Les Troupes russes de défense aérospatiale ont reçu six nouveaux systèmes antiaériens Pantsir-S, a annoncé mercredi à Moscou le porte-parole des Troupes de défense Dmitri Zenine.

 

"De nouveaux systèmes de défense Pantsir-S ont tiré des missiles et des obus sur le polygone "Achoulouk", dans la région d'Astrakhan. Les représentants de l'usine ont remis six nouveaux véhicules de combat aux Troupes de défense aérospatiale", a indiqué le colonel Zenine.

 

Selon lui, deux régiments dotés de missiles S-400 Triumph et plusieurs régiments équipés de missiles S-300 Favorit protègent actuellement la région de Moscou. "Les deux régiments de missiles S-400 Triumph disposent déjà de batteries Pantsir-S. La nouvelle batterie Pantsir-S viendra équiper un troisième régiment de missiles sol-air S-400 qui sera mis en service opérationnel en décembre", a noté le colonel.

 

Le système antiaérien de courte portée Pantsir-S est destiné à protéger les sites militaires et civils (centrales nucléaires, grandes usines, sites sensibles) ou à appuyer les systèmes sol-air de longue portée S-300 et S-400. Chaque véhicule doté du système Pantsir-S est capable de protéger un terrain dans un rayon de 20 km et jusqu'à 15 km d'altitude.

 

Pantsir-S tire des missiles et des obus d'artillerie. Les missiles, d'une portée de 20 kilomètres, se déplacent à 1.300 mètres par seconde et sont capables de neutraliser les cibles aériennes les plus modernes (surtout les armes de haute précision). Les obus, d'une portée de 4 kilomètres, détruisent les cibles navales, terrestres ou aériennes à une altitude allant de 0 à 3 kilomètres. Le Pantsir-S est en mesure de frapper quatre cibles simultanément.

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 12:35
Îles Senkaku/Diaoyu: le Pentagone rassure le Japon

 

WASHINGTON, 27 novembre - RIA Novosti

 

Le secrétaire américain à la Défense, Chuck Hagel, a assuré à son homologue nippon Itsunori Onodera que la "zone de défense aérienne" chinoise au-dessus des îles Senkaku litigieuses était incluse dans le Traité américano-japonais, et que Washington défendrait le Japon en cas d'attaque.

 

"M.Hagel a réaffirmé que l'article V du Traité américano-japonais sur la défense mutuelle portait également sur les îles Senkaku, et a promis des consultations étroites avec Tokyo dans le but d'éviter des incidents", lit-on mercredi dans un communiqué du Pentagone

 

Par ailleurs, M.Hagel a remercié le ministre japonais de la Défense pour sa réaction pondérée aux déclarations de Pékin et a répété que la "décision unilatérale" de la Chine ne ferait qu'accroître les tensions dans la région et créer un risque d'incidents".

 

Samedi 23 novembre, Pékin a annoncé avoir mis en place une "zone d'identification de la défense aérienne" en mer de Chine orientale près de l'archipel des Senkaku, des îles inhabitées sous contrôle japonais mais revendiquées par Pékin sous le nom de Diaoyu.

 

Pékin a également prévenu que tous les avions pénétrant dans cette zone devraient désormais aviser les autorités chinoises de leur présence et feraient l'objet de mesures militaires d'urgence s'ils ne s'identifiaient pas ou n'obéissaient pas aux ordres. Cette démarche a créé des tensions entre Washington et Pékin.

 

On a toutefois appris que deux bombardiers américains B-52 avaient survolé mardi ces îles au cœur d'un litige territorial sino-japonais sans en informer au préalable les autorités chinoises. Selon Washington, la Chine n'a pas réagi à ce vol d'avions militaires américains.

Îles Senkaku/Diaoyu: le Pentagone rassure le Japon
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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 08:40
SNLE Alexandre Nevski

SNLE Alexandre Nevski

 

 

SOTCHI, 27 novembre - RIA Novosti

 

Huit sous-marins nucléaires stratégiques seront livrés aux forces navales russes d'ici 2020, a déclaré mercredi le président Vladimir Poutine, soulignant que leurs armements devaient être produits parallèlement à la construction de ces bâtiments de guerre.

 

"En janvier dernier, le nouveau sous-marin nucléaire lanceur d'engins Iouri Dolgorouki a été mis à la disposition de la marine russe. Deux autres sous-marins - Alexandre Nevski et Vladimir Monomakh - doivent entrer en service l'année prochaine. D'ici 2020, jusqu'à huit nouveaux sous-marins stratégiques devraient équiper nos forces navales", a indiqué le président lors d'une réunion à Sotchi.

 

"Leur armement doit être fourni parallèlement à la construction de ces vecteurs, c'est-à-dire de ces sous-marins", a déclaré le chef de l'Etat.

SNLE Iouri Dolgorouki

SNLE Iouri Dolgorouki

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 08:40
Russian Navy Gets New Carrier-Based Fighters

 

November 26, 2013 defense-aerospace.com

(Source: RIA Novosti; published November 25, 2013)

 

MOSCOW --- The Russian navy has taken delivery of its first four series-produced MiG-29K/KUB carrier based fighter jets, the Defense Ministry said Monday.

 

“The MiG aircraft-manufacturing corporation has handed over two MiG-29K single-seat and two MiG-29KUB twin-seat carrier-based fighter aircraft,” a spokesman said.

 

The Russian Defense Ministry signed a contract with MiG in February 2012 for delivery of 20 MiG-29K and four MiG-29KUB fighters by 2015.

 

The aircraft will be deployed on Russia's sole serving carrier, the Admiral Kuznetsov, based in Murmansk with the Northern Fleet. The Admiral Kuznetsov currently operates Sukhoi Su-33 naval fighter aircraft.

 

The MiG-29K is a naval variant of the MiG-29 Fulcrum fighter jet, and has folding wings, an arrester tail-hook, strengthened airframe and multirole capability thanks to its Zhuk-ME slotted array radar, MiG says.

 

Unlike the Su-33, which is capable of air defense missions only, the MiG-29K can be armed with a wide variety of air-to-surface as well as air-to-air weaponry and laser-designation systems.

 

The aircraft is also capable of “buddy” refueling other MiG-29Ks using the PAZ-1MK refueling pod.

 

So far, the aircraft has only entered service with India, for use on the refitted Russian-built carrier INS Vikramaditya, which was handed over to the Indian Navy on November 15.

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 08:40
Russie et Italie pourraient coopérer dans la construction de navires de guerre (Poutine)

 

TRIESTE, 26 novembre - RIA Novosti

 

Le président Vladimir Poutine n'exclut pas la possibilité d'une coopération entre la Russie et l'Italie dans la construction de bâtiments de guerre.

 

"Nous pouvons coopérer dans les constructions navales aussi bien civiles que militaires. Je tiens à attirer votre attention sur ce fait, car il témoigne d'un haut niveau de confiance entre nos pays", a déclaré M. Poutine lors d'une conférence de presse à l'issue de consultations interétatiques russo-italiennes.

 

Il a en outre souligné que la Russie et l'Italie pourraient coopérer également dans l'agriculture et les constructions mécaniques.

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 08:35
India Pushes Russia For Greater Inclusion In Fifth Generation Fighter Aircraft Development

 

November 27, 2013 By Ankit Panda - thediplomat.com

 

India wants a greater stake in the development of a Sukhoi T-50-variant Fifth Generation Fighter Aircraft.

 

India and Russia have been long-term collaborators on defense technology. The two countries together produced the supersonic BrahMos cruise missile — the fastest cruise missile in production. The relationship hasn’t always been balanced in India’s favor, however, and this has come to light recently with India’s stake in the development of the Fifth Generation Fighter Aircraft, based on the Russian Sukhoi T-50 (PAK FA).

According to Defense NewsIndia has conveyed its displeasure to Russia over its “low level of participation in the joint development of the Fifth Generation Fighter Aircraft (FGFA), despite being an equal financial partner in the project and placing an order of more than US $30 billion for the new planes.” The joint effort is a major component of India’s continued air force modernization. According to RIA Novosti, India currently bears 50 percent of the costs of development.

In a visit to Moscow earlier this month, Indian Defense Minister A. K. Antony pushed Russia to increase India’s share of the development work to 50 percent, in line with its financial equity in the project. Antony, speaking at the 13th meeting of the India-Russia Inter-Governmental Commission on Military Technical Cooperation, stressed the necessity for the two longterm partners to cooperative equally in “all the phases — design, development and production — in the execution” of the FGFA project.

New Delhi’s push for equitable inclusion in military technical cooperation with Russia is related to its long-unachieved strategic goal of developing self-sufficiency in indigenous military production. India is the world’s largest importer of weapons technology. Indeed, Defense News cited a Russian diplomat in New Delhi as saying that part of the reason that the Russians limited India’s share in the FGFA project is due to “India’s capabilities in military aircraft research and industrial infrastructure.”

The agreement to jointly develop the FGFA was signed between the Indian and Russia Air Forces in 2007, with the final design, research, and joint development contract expected to exceed more than $10 billion. Although that contract is yet to be signed, Defense News reports that “In December 2010, Rosoboronexport, India’s state-owned Hindustan Aeronautics and Russian aircraft-maker Sukhoi signed a preliminary design development contract worth $295 million.”

The Indian Air Force is likely to order around 200 units of the single-seat, twin-engine fighters. The Sukhoi T-50 possesses a supersonic cruising ability which, combined with its ultra-manuverability, makes it a potent addition to the Indian Air Force. The jet is expected to increase the versatility of the Indian Air Force. As part of India’s stake in the development of the aircraft, it is expected to be able to specifically tune the units it purchases to the specific needs of its air force.

Antony’s visit to Moscow came just a couple days after India inducted the INS Vikramaditya — formerly the Russian Admiral Gorshkov. India’s naval modernization, which has reached new heights in recent years, has largely been dependent on its cooperation with Russia as well. In his recent visit, Antony also addressed a prospective nuclear submarine lease from Russia to India.

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 08:35
How China Plans to Use the Su-35

 

November 27, 2013 By Peter Wood- thediplomat.com

 

Acquisition of the advanced Su-35 fighter would give China some significant new capabilities.

 

A senior executive at Russia’s state arms export company, Rosoboronexport, has said that Russia will sign a contract to sell the advanced Su-35 jet to China in 2014, while confirming that the deal is not on track to be finished in 2013. This is unlikely to be the last word on the matter – the negotiations have dragged on since 2010, and have been the subject of premature and contradictory announcements before – but it is a strong indication that Russia remains interested in the sale. For the time being, China’s interest in the new-generation fighter is worth examining for what it reveals about the progress of homegrown military technology and China’s strategy for managing territorial disputes in the South China Sea. If successful, the acquisition could have an immediate impact on these disputes. In addition to strengthening China’s hand in a hypothetical conflict, the Su-35’s range and fuel capacity would allow the People’s Liberation Army Naval Air Force (PLANAF) to undertake extended patrols of the disputed areas, following the model it has used to pressure Japan over the Diaoyu/Senkaku islands.

The Su-35 is not the first Sukoi to pique the interest of the Chinese military. As previously reported in The Diplomat, the Sukoi-30MKK, and the Chinese version, the J-16, have been touted by the Chinese military as allowing it to project power into the South China Sea.

Previous reports in Chinese and Russian media in June of this year pointed toward a deal having been reached over a sale of Su-35 multi-role jets, but were not viewed as official, given more than a year’s worth of contradictory reports in Chinese and Russian media. At one point, Russian sources claimed that the sale had gone through, only to be categorically refuted by the Chinese Ministry of Defense. Nevertheless, in January both governments paved the way for an eventual sale by signing an agreement in principle that Russia would provide the Su-35 to China.

A big question remaining is the number of aircraft that China will purchase. China’s Global Times reported this summer that a group of Chinese representatives were in Moscow evaluating the Su-35, and would begin acquiring a “considerable number” of the advanced jets. Whether that means that China will purchase more than 48, as mentioned in press statements a year ago, is unclear. Evidence of continued negotiation for the jets indicates a strong desire within the Chinese military to acquire the Sukhoi fighters.

Chinese aviation is still reliant in many ways on Russia. Media attention has focused on China’s domestic development programs, including stealth fighter-bombers and helicopters. The advance of Chinese aviation capabilities is by now a common theme, with every month seeming to bring new revelations about its programs. While the ability to manufacture and perform design work on these projects represents significant progress, “under the hood” these aircraft often feature Russian engines. China continues to try to copy or steal Russian engine technology because of a strong preference for building systems itself. In fact, purchasing the Su-35 does not reflect a shift in the preferences of the Chinese military leadership. Buying the Su-35 reflects the delicate position China now finds itself in, as both a large purchaser and producer of primarily Russian-style weapons. Though self-reliance has always been important to China, it has been superseded by the strategic need to acquire cutting-edge weapons systems quickly. According to data from the Stockholm International Peace Research Institute (SIPRI), beginning in 1991, China began purchasing the Su-27 long-range fighter jet (an older relative of the Su-35). The data is searchable here.

Russia understandably became upset when its star export appeared as an indigenously produced J-11 in China – without a licensing agreement. Russian media was previously reporting that Russia had chosen not to sell the jet over fears that it would be copied in turn and become yet another export item for China, further undercutting Russia’s own economically vital arms business. It appears that now Russia is trying to balance its fear of being undercut by Chinese copying with its desire (or need) to sell weapons.

Viewing the purchase of the Su-35 through the lens of China’s strategic needs and events, like the recent territorial spats with its neighbors, provides a useful perspective on just why China is so eager to acquire the Sukhoi jet.

Simply put, the Su-35 is the best non-stealth fighter in the world today. Though stealth has come to dominate Western aircraft design, in terms of China’s needs, other factors take precedence. Even more surprisingly, superiority in air-to-air combat is not the Su-35’s key selling point. while the Su-35 gives the Chinese military a leg up versus the F-15s and other aircraft fielded by neighbors like Japan, the advanced Russian jet does not add significant new capabilities to conflict areas like the Taiwan Strait. Large numbers of interceptors and multi-role jets like the J-10 could easily be deployed over the Strait, or to areas near Japan like the Senkaku/Diaoyu islands. The advantage of the Su-35 rather lies in its speed and ample fuel tanks. Like the Su-27, the Su-35 was created to patrol Russia’s enormous airspace and to be able to meet incoming threats far away from Russia’s main urban areas. The People’s Liberation Army Air Force (PLAAF) faces similar problems.

The South China Sea is just such a problem. A vast area of 1.4 million square miles (2.25 million square kilometers), China’s claims, as demarcated by the famous “nine-dashed line,” pose challenges for the People’s Liberation Army’s (PLA) current fighters. Currently, land-based PLANAF fighters, can conduct limited patrols of the sea’s southern areas, but their fuel capacity severely restricts the time they can spend on patrol. Enforcing claims far from the mainland in times of crisis requires the type of range and speed that the Su-35 possesses. The Su-35 is likely meant to help enforce China’s territorial claims, further deter regional claimants, and provide additional layers of protection in the case of escalation. The key to this is fuel.

One important improvement of the Su-35 over the Su-27/J-11B is the ability to carry external fuel tanks, be a major factor limiting the Su-27, which does not have aerial refueling capability. This is in addition to a 20 percent increase in fuel capacity over the Su-27 and air refueling capability. This later capability is another important part of China’s strategy of increasing loiter times and distances. “Loiter time” is the time an aircraft can spend in the vicinity of a target, as opposed to reaching the area and returning to base. Generally there are three ways to increase loiter time. Smaller, slower aircraft like the U.S. Predator or global hawk drones can stay aloft for many hours at a time because of their long wings and lack of a pilot. The other two options are larger fuel tanks or refueling capability. China’s nascent aerial refueling program is not yet fully proven and does not currently involve any naval planes, and is estimated at becoming operationally effective between 2015-2020 in Chinese Aerospace Power: Evolving Maritime Roles.

The Su-35, even on internal fuel only, offers significant advantages over the Su-27, which is limited to only quick fly-overs of trouble spots such as the Reed Bank (lile tan) or Scarborough Shoal (huangyan dao). The extra time the Su-35 can spend on station is essential to China’s desire to deter action by the Philippines or other regional actors. Such long-range aircraft would be able to “show the flag” for longer, or quickly intercept Philippine aircraft in the region. In the case of the Su-35, it would likely be able to outfly and outshoot any Philippine or Vietnamese aircraft (or surface vessel for that matter) largely rendering competing territorial claims irrelevant.

This is the sort of fait accompli situation that China has sought to create, for example with the “eviction” of the Philippine presence from the Scarborough Shoal and repeated fly-bys of the disputed area in the East China Sea: an overwhelming Chinese presence around territorial claims, leaving the contender with the options of significantly ratcheting up tensions and likely losing any skirmish or accepting a regular Chinese military presence. With the ability to make extended flights over a larger portion of the South China Sea, the PLANAF is likely to increase air patrols. This could lead to more frequent encounters in more places, creating more opportunities for minor crises and allowing China to create new “facts on the ground,” which may serve as the starting point for negotiations in a peaceful settlement. This capability, combined with China’s already significant ballistic missile forces and other anti-access weapons, provides China with a significant trump card and thus acts as a deterrent to military challenges. This gives China the ability to project military power over a larger portion of Southeast Asia and indeed, most of the ASEAN nations.

Beyond deterrence, a jet with a longer-range purchases more than just loiter time. Areas like Hainan are more vulnerable to attack by cruise missile or carrier-borne elements than those behind the prickly hedge of China’s air defense systems. Overlapping radars, shorter ranged interceptors and powerful surface-to-air missile systems make deploying aircraft to the mainland an attractive option. With its extended range however, the Su-35 should have little trouble flying from behind coastal areas to a large portion of the South China Sea.

Land-based, long-range patrolling Su-35s are one of the best ways to ensure that China retains the ability to restrict other contestant nations’ access to these areas. This has become even more urgent now that the U.S. has announced plans to deploy the F-35 into the region, likely to important bases in Korea and Japan.

In the meantime, while the U.S. and its allies face a potential gap in capabilities between aging airframes and delivery of the F-35, China is rapidly phasing out older platforms, upgrading legacy systems and trying to acquire newer aircraft. The Su-35 is a major step in this direction.

While not on par with the U.S. F-22, the small numbers of that platform and risks of deployment make the Su-35 likely superior to anything readily deployed in the region for some time. Moreover, though the Su-35 is much more agile than the Su-27, similarity between the Su-35 and earlier Sukhoi platforms should mean less effort expended building a new logistics tail and retraining, leading to faster operational status and deployment. There are no clear indications whether the PLAAF or PLANAF would use the Su-35s, but deployment to the PLAAF Air Base in Suixi, Guangdong (Yuexi Airport) part of the 2nd Division in Zhanjiang, Guangdong (Unit 95357) would complement the other Su-27s already stationed there. The PLA Naval Aviation base at Lingshui, Hainan province (famous for being the airport where a U.S. EP-3 surveillance plane performed an emergency landing in 2001) is another useful option for basing. The Su-35s could replace the rapidly aging J-8Bs and Ds currently based there.

While the Su-35’s technologies will benefit Chinese aviation, its larger contribution lies in enforcement and deterrence in the South China Sea. China’s currently deployed forces in the South China Sea and contested areas could already do significant damage to possible adversaries like the Philippines. Without a combat-capable air force and naval forces largely comprising aging 1960s-era former U.S. Coast Guard cutters, the Philippines cannot effectively challenge China’s territorial claims. The Sukhoi jets’ larger fuel capacity and in-flight refueling capability mean that Chinese jets could remain on station for longer, enforcing their claims by conducting patrols and interceptions in a more consistent way. Going forward, the combination of the Su-35, China’s extant shorter-range fighters, advanced surface-to-air missiles, and long-range ballistic and cruise missiles could provide strength-in-depth, multi-layered capabilities to protect China’s claims and make others less eager to intervene if China chose to pursue conflict with its neighbors.

Peter Wood is an independent researcher focusing on the Chinese military. A longer version of this article appeared in the October 10, 2013 issue of the Jamestown Foundation’s China Brief.

Aircraft Ranges
Aircraft Estimated Range (mi, km)
Su-27/J-11B Internal fuel: 1,700/2,800
Su-35 Internal fuel: 2,237/3,600With two drop tanks: 2,800/4,500
Example Distances between key Chinese airbases and areas of interest
Chinese Base Target Area Approximate Distance (mi/km)All distance estimates from Google Earth
Lingshui PLA Naval Aviation base, Hainan province Reed Bank, South China Sea 660/1,070
  Scarborough Shoal, South China Sea 560/900
  Basa Philippine Air Force Air Defense Wing Base, Luzon, Philippines 730/1,180
Suixi PLAAF base, Guangdong province Reed Bank, South China Sea 815/1,312
  Scarborough Shoal, South China Sea 650/1,050
  Basa Philippine Air Force Air Defense Wing Base [Note 1] 800/1,300

 

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26 novembre 2013 2 26 /11 /novembre /2013 12:35
INS Vikramaditya photo RIA Novosti Sergei Mamontov

INS Vikramaditya photo RIA Novosti Sergei Mamontov

 

MOSCOU, 26 novembre - RIA Novosti

 

Le porte-avions modernisé Vikramaditya (ex-Admiral Gorchkov), livré à la Marine indienne il y a dix jours, est parti pour l'Inde, a annoncé mardi à RIA Novosti un porte-parole du chantier naval chargé de moderniser le navire.

 

"Le navire a quitté Severodvinsk pour naviguer ensuite en mer Blanche où il fera le plein de carburant. Sa prochaine escale est la ville de Mourmansk", a indiqué l'interlocuteur de l'agence.

 

Outre l'équipage indien, près de 180 techniciens russes se trouvent à bord du navire. Leur mission est de surveiller le fonctionnement des mécanismes, de conseiller l'équipage et de parer d'éventuelles défaillances. Une fois arrivés en Inde, une partie de spécialistes russes regagneront la Russie tandis que les autres resteront pour assurer la maintenance du porte-avions prévue par garantie.

 

La Russie et l'Inde ont signé en 2004 un contrat prévoyant la modernisation du porte-avions soviétique Admiral Gorchkov pour la Marine indienne. La livraison de ce navire, rebaptisé par l'Inde Vikramaditya ("fort comme le Soleil"), a été ajournée plusieurs fois en raison de différends financiers. Un avenant au contrat a été signé en 2010. Aux termes de ce document, Moscou s'est engagé à livrer le porte-avions fin 2012. Les défaillances d'équipements fournis notamment par des pays membres de l'OTAN, constatées lors des essais en mer à l'automne 2012, ont amené les chantiers navals russes à reporter la livraison à 2013.

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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 12:45
An-140-100 military transport plane

An-140-100 military transport plane

 

 

2013-11-25 cri

 

L'armée algérienne cherche à renouveler sa flotte aérienne en acquérant un total de 26 avions de transport auprès d'avionneurs russe et américain, a indiqué dimanche à Xinhua une source algérienne sous couvert d'anonymat. 

 

Ce sujet a été abordé, selon la même source, entre Russes et Algériens lors de la visite fin octobre à Moscou du vice-ministre de la Défense nationale, chef d'état-major de l'Armée nationale populaire (ANP), le général de corps d'Armée, Ahmed Gaïd Salah.

 

Quant au type d'appareils recherchés, il varie entre long et court courriers, même si les avions cargos de types Antonov An-70 et Antonov An-140 sont ceux qui répondraient le mieux aux caractéristiques requises par la partie algérienne.

 

Pour ce qui est des avions américains, le géant de l'aéronautique Boeing pourrait bien figurer parmi les fournisseurs de l'ANP, révèle la même source qui ajoute que des contacts sont en cours entre le ministère algérien de la Défense et des représentants des firmes concernées dans le but de conclure d'éventuelles transactions.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 17:40
Le grand navire de lutte anti-sous-marine Admiral Panteleïev

Le grand navire de lutte anti-sous-marine Admiral Panteleïev

 

VLADIVOSTOK, 22 novembre - RIA Novosti

 

Cinq navires de la flotte russe du Pacifique, qui participaient à une mission en Méditerranée, rentrent à leur base à Vladivostok, a annoncé vendredi le porte-parole de la flotte Roman Martov.

 

"Le grand navire de lutte anti-sous-marine Admiral Panteleïev, les navires de débarquement Admiral Nevelskoï, Peresvet, le remorqueur de sauvetage Fotiï Krylov et le pétrolier Petchenga feront une escale à Colombo (Sri Lanka) le 24 novembre", a indiqué le porte-parole.

 

Ces navires ont quitté le port de Vladivostok le 19 mars dernier. Pendant leur mission de huit mois, ils ont traversé les océans Pacifique et Indien, les golfes Persique et d'Aden et les mers Méditerranée, d'Arabie et Rouge. Les navires ont fait des escales à Bur Safaga (Egypte), à Salalah (Oman) et à Limassol (Chypre), ainsi qu'à Novorossiïsk, au bord de la mer Noire.

 

"A l'heure actuelle, trois autres groupes navals russes comprenant dix navires de la flotte russe du Pacifique sont en mission dans l'océan Indien et en Méditerranée", a ajouté M.Martov.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:40
L’armée russe modernise son missile S-400

S-400 Triumph photo Almaz-Anteï

 

22 novembre 2013 Info-Aviation

 

Le consortium russe Almaz-Anteï achève la conception d’un missile à plus longue portée pour le système sol-air S-400, a annoncé le 20 novembre à Moscou Vladislav Menchtchikov, directeur général du consortium.

 

« L’usine du groupe chargée de fabriquer les nouveaux missiles, en produit actuellement le premier lot », a indiqué M.Menchtchikov.

 

Le consortium se prépare à lancer la production en série des nouveaux missiles. En 2014, Almaz-Anteï effectuera « des tirs d’essai du nouveau missile avant de signer un contrat sur la production en série », a ajouté le responsable.

 

Le S-400 Triumph (code OTAN: SA-21 Growler) est un système de missiles sol-air de grande et moyenne portée destiné à abattre tout type de cible aérienne: avions, drones et missiles de croisière hypersoniques.

 

La Russie compte cinq régiments dotés de systèmes de missiles S-400 Triumph (deux pour la région de Moscou, deux pour les flottes de la Baltique et du Pacifique et un régiment pour le district militaire du Sud). Deux régiments de l’armée russe seront dotés de systèmes sol-air S-400 Triumph d’ici la fin de 2013, a précisé Mr Menchtchikov.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:40
Le ministère russe de la défense rend responsable le constructeur pour l’échec du lancement d’un missile Boulava

 

21 novembre 2013, Portail des Sous-Marins.

 

Le dernier échec du lancement d’un missile nucléaire russe Boulava a été provoqué par un problème de fabrication, a expliqué le ministère russe de la défense.

 

Le 6 septembre dernier, le lancement d’un missile Boulava pendant les essais officiels du sous-marin Alexander Nevsky s’est conclu par un échec à la 2è minute de vol. Une commission d’enquête conduite par le chef de la marine russe, l’amiral Viktor Chirkov, a enquêté sur cet échec.

 

« La commission a terminé ses investigations. Les causes de l’échec sont liées à des problèmes de fabrication de la tuyère du réacteur du missile, » a expliqué le vice-ministre de la défense, Yury Borisov.

 

Borisov a ajouté que la même défaillance avait été corrigée sur 3 autres missiles du même lot de fabrication, mais prétend que la fabrication du missile est « technologiquement saine ».

 

Référence : RIA Novosti (Russie)

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21 novembre 2013 4 21 /11 /novembre /2013 20:40
Russian Defense Ministry Blames Makers for Failed Missile Launch

 

MOSCOW, November 20 (RIA Novosti)

 

The latest failed launch of Russia’s new submarine-launched ballistic missile was caused by a manufacturing glitch, the Defense Ministry said Wednesday.

 

On September 6, a Bulava missile fired during state trials of the ballistic missile submarine Alexander Nevsky in the White Sea failed in the second minute of flight. A state commission led by the head of the Russian Navy, Admiral Viktor Chirkov, has carried out an investigation into the failed launch.

 

“The commission has finished the investigation. The causes of the failure are related to faulty manufacturing of the missile’s nozzle,” Deputy Defense Minister Yury Borisov said at a roundtable conference on state defense contracts held by RIA Novosti.

 

Borisov said the same flaw had been fixed on three remaining missiles in the same production batch, but claimed that production of the missile in general was “technologically sound.”

 

Defense Minister Sergei Shoigu has previously ordered five additional launches of the Bulava missile following a failed launch on September 6. They have been slated for next year, Borisov said.

 

With the latest flop, eight of 19 or 20 test launches of the Bulava have officially been declared failures. Some analysts have suggest the real number may be considerably higher, however.

 

The three-stage Bulava SLBM carries up to 10 independent warheads and has a range of 8,000 kilometers (5,000 miles).

 

Despite the test failures, the Russian military has insisted there is no alternative to the Bulava as the main armament for Russia’s new Borey-class strategic missile submarines.

 

The first Borey-class boat, the Yury Dolgoruky, was commissioned into the Northern Fleet in January.

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