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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 17:40
Russia, France Develop New Infantry Fighting Vehicle

MOSCOW, September 25 (RIA Novosti)

 

Russia’s Uralvagonzavod and France’s Renault Trucks Defense  are jointly developing a new infantry fighting vehicle (IFV) with an increased firing range of up to 16 kilometers, the Russian company said Wednesday.

 

“We [Uralvagonzavod and Renault Trucks Defense] unveiled today a prototype of a future IFV,” Uralvagonzavod general director Oleg Sienko said at Russian Arms Expo-2013, which opened Wednesday in the Urals city of Nizhny Tagil.

 

“The French side provided us with the transmission, the engine, the concept and the fire control system,” he said.

 

According to Sienko, the new IFV will be highly competitive on global markets because it is equipped with a powerful 57-mm gun, instead of the 30-mm variant that is standard for current IFVs.

 

“With its maneuverability and fire power, we are certain that this product will be in high demand on the market,” Sienko said, adding that a joint Russian-French venture could be formed to set up localized production of the new IFV in Russia.

 

Renault, France’s second-biggest carmaker, has made the Russian market one of its priorities for international development. Russia is already Renault’s fourth-largest automobile market.

 

In 2014, the Renault-Nissan Alliance will get a majority stake in a joint venture with the Russian Technologies State Corporation, called Alliance Rostec Auto BV, which will control AvtoVAZ, leader of the Russian car market.

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 17:40
INS Vikramaditya (formerly Admiral Gorshkov) aircraft carrier

INS Vikramaditya (formerly Admiral Gorshkov) aircraft carrier

KOCHI (India), September 25 (RIA Novosti)

 

A Russian-built aircraft carrier is to be handed over to the Indian Navy on November 15, and will reach India by February 2014, a senior official at the Russian arms exports monopoly said Wednesday.

 

The Vikramaditya carrier, which is already years past its original 2008 delivery date, was supposed to have been handed over to India in December 2012, but last year’s sea trials revealed that the vessel's boilers were not fully functional.

 

“We expect that Vikramaditya will dock at a Mumbai port by February,” Viktor Komardin, deputy head of the state-run arms exporter Rosoboronexport, said Wednesday at the NAMEXPO-2013 naval exhibition in India.

 

Komardin said that the carrier would dock at 14 ports on its way to the final destination.

 

The carrier, renamed the Vikramaditya for India, was originally built as the Soviet Project 1143.4 class aircraft carrier Admiral Gorshkov.

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 17:35
Russia Starts Building 2 Frigates for Vietnamese Navy

The Russian Gepard (Cheetah) class frigates Photo Mike1979 Russia

 

KAZAN, September 24 (RIA Novosti)

 

A Russian shipyard on Tuesday started work on a second pair of frigates for the Vietnamese navy, the shipbuilding company said.

 

The Gepard (Cheetah) class frigates are designed to guard and patrol the state border and economic zone, fight smuggling, poaching and piracy at sea and aid vessels in distress. They are armed with modern missile and artillery systems.

 

The first contract was signed in 2005, and the first two frigates entered service with Vietnam’s navy in 2011, the Kazan-based Zelenodolsk shipyard said in a statement.

 

The second contract was signed in February 2013. Unlike the first two, the new frigates feature antisubmarine weapons and an advanced propulsion system.

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 17:30
Syrie: l'arrivée du navire russe Nikolaï Filtchenkov retardée d'un jour

LATTAQUIE, 24 septembre - RIA Novosti

 

Le grand navire de débarquement russe Nikolaï Filtchenkov fera une escale au port syrien de Lattaquié le 25 septembre prochain et non le 24 septembre comme prévu, a annoncé mardi un colonel de la Marine syrienne à RIA Novosti.

 

"Le retard s'explique par des raisons extérieures", a indiqué le colonel sans entrer dans le détail.

 

Le Nikolaï Filtchenkov a quitté le port russe de Novorossiïsk le 11 septembre dernier. Il fera une escale de 24 heures à Lattaquié où ses membres d'équipage feront un match de football amical avec des marins syriens.

 

Le grand navire de débarquement Nikolaï Filtchenkov, de la flotte russe de la mer Noire, fait route vers la Méditerranée où il rejoindra le groupe naval russe.

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 12:40
La Russie coopérera avec la France pour produire des appareils démineurs

24 septembre, 2013 Elena Kisseliova, Kirill Melnikov, Kommersant

 

Le groupe public russe Rostech pourrait prochainement se lancer dans la robotique. D'après le journal Kommersant, la société UK Prominvest, assurant la gestion des actifs non-essentiels de Rostech, est en pourparlers avec le français ECA Robotics sur la coproduction d'appareils de déminage téléguidés. L'initiative du projet appartient au commandement de la Marine russe, mais ce sont plutôt des clients civils qui sont visés, notamment les géants Rosneft et Gazprom, possédant de nombreuses plate-formes pétrolières au large de la côte nord de la Russie.

 

Une source proche du groupe public russe Rostech a indiqué au journal Kommersant que la Russie pourrait prochainement lancer une entreprise d'assemblage de robots jetables destinés à éliminer des engins explosifs pour la Marine. Selon l'intéressé, UK Prominvest (société assurant la gestion des actifs non-essentiels de Rostech) a entamé à ces fins des pourparlers avec ECA Robotics (filiale du groupe français ECA). Les parties envisagent de signer en hiver prochain l'accord sur la coopération industrielle comprenant l'assemblage des appareils en Russie et la production d'ogives à charge creuse pour eux. Une autre source de Kommersant informée sur les pourparlers a précisé que c'était le commandement de la Marine russe qui a commandé les appareils.

 

Cependant, d'après un responsable proche des négociations russo-françaises, les appareils ne sont pas vraiment des robots. « Il s'agit plutôt de la production des dispositifs téléguidés pour l'élimination des munitions explosives », dit l'intéressé. Les appareils démontés seront fournis en Russie par ECA, puis assemblés, équipés d'instruments de production russe, reliés à un système de contrôle (également une nouveauté russe) et finalement installés sur des navires-chercheurs.

 

D'après un porte-parole de Rostech, l'assemblage sera effectué par la société « Loutch » de Novossibirsk (Sibérie occidentale), contrôlé par UK Prominvest. Cependant, « la forme de coopération n'a pas encore été définie et il reste plusieurs questions à aborder », ajoute l'intéressé.

 

Le groupe ECA, fondé en 1936, se spécialise dans la conception, la production et la maintenance de systèmes robotisés et d'appareils téléguidés capables d'opérer dans des environnements hostiles, y compris des robots démineurs. Ses principaux actionnaires sont le Groupe Gorgé (53,48%) et le hollandais Delta Lloyd (9,62%), encore 33,58% des titres sont en circulation sur le marché. Sa capitalisation se chiffre à 72 millions d'euros, les recettes pour 2012 atteignant 98,8 M EUR, le bénéfice net étant de 5,1 M EUR.

 

Bien que le projet soit effectivement commandé par la Marine russe, les appareils ne seront pas produits exclusivement pour les militaires, indique l'interlocuteur de Kommersant. « Ces dispositifs présentent un intérêt pour les compagnies pétrolières russes qui possèdent des plate-formes au large de la côte de la Russie, car ils ont besoin de déminer les anciennes zones de guerre, c'est-à-dire, dans la quasi-totalité des mers du nord », dit l’intéressé, en ajoutant que parmi les clients potentiels figurent les géants russes Rosneft et Gazprom.

 

« Gazprom ne va pas probablement commander des appareils démineurs », dit le chef d'une entreprise engagée dans la production de systèmes de ce type. « Il n'a pas tout simplement besoin d'acheter le matériel de ce genre car il engage habituellement une entreprise étrangère qui organise une étude détaillée de la topographie du fond et effectue le déminage ». Les sources proches de Rosneft disent que le groupe examine plusieurs projets conjoints avec Rostech. « Dans le domaine du déminage, l'on pourrait également lancer une coopération, car Rosneft est un acteur majeur dans l'exploitation pétrolière offshore », dit l'un des interlocuteurs de Kommersant.

 

« La Russie éprouve certaines difficultés dans le domaine de la production du matériel de déminage, car après la dislocation de l'URSS une partie des entreprises du secteur est restée en dehors de la Russie, notamment au Kazakhstan », dit le rédacteur-en-chef du magazine Exportations des armes Andreï Frolov. Moscou a signé au cours du dernier Salon international de la défense maritime de Saint-Pétersbourg un accord prévoyant la fourniture de deux dragueurs de mines russes équipés de systèmes de sonar de production d'ECA Robotics, au Kazakhstan, note l'expert. Cependant, selon M.Frolov, le projet russo-français pourrait se révéler être une simple entreprise d'assemblage en kit, comme c'était le cas avec les imageurs thermiques de Thales. « Il est peu probable que dans ce cas la situation soit différente », estime l'expert.

 

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 11:25
T-90C to Conquer Peru

September 24, 2013 defense-aerospace.com

(Source: Uralvagonzavod; issued Sep 24, 2013)

 

On September 19 a firing range in Peru saw demonstration of the T-90C tank of the Uralvagonzavod produce for Gen. Ricardo Moncada Novoa, Commander-in-Chief Land Forces and 300 officers.

 

The command authorities of the South American republic were shown the T-90C tank combat and running capabilities by day and at night as well as accuracy of fire with all types of weapons at different ranges from a halt and on the move under conditions of limited visibility and mountainous terrain.

 

The combat vehicle crew completed all missions successfully having demonstrated high potential of the Russian tank manufactured by Uralvagonzavod.

 

After the major demonstration one of the Peruvian drivers of the T-55s being in service with the Peruvian Army was offered to “take a drive” of the T-90C tank. After a 5-min briefing, he made a run showing a good skill level and brought the tank to a halt by the Commander-in-Chief. The experiment is a proof that the advanced T-90C tank is as resoponsive and simple as its predecessor T-55 produced by Uralvagonzavod 40 years ago.

 

Senior officers of the Peruvian Army appreciated the T-90C tank capabilities and the skill of the tank crew members.

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 07:40
RTD et UVZ lancent leur nouveau blindé 8x8 ATOM

24.09.2013 red-stars.org

 

Le russe Uralvagonzavod (UVZ) et le français Renault Trucks Défense (RTD) vont lancer demain au salon « Russia Arms Expo 2013 » de Nizhny Tagil une maquette à l’échelle 1 d’un tout nouveau concept de véhicule blindé 8x8 que Redstars vous dévoile en exclusivité.

 

Désigné ATOM, ce véhicule se veut le successeur des BTR-80 et BTR-80A de l’armée russe dont plus de 2000 exemplaires sont encore en service. Sans compter les nombreuses possibilités export, le BTR-80 ayant été vendu à au moins 35 pays dans le monde. Le BTR-82, actuellement en production, n’est en effet qu’une ultime modernisation du BTR-80 arrivé en fin de vie.

 

L’ATOM 8x8 sera un à plusieurs crans au-dessus dans tous les domaines (emport, mobilité, protection, armement) afin de répondre aux besoins actuels et futurs des nouvelles brigades médianes russes. Pour mémoire, les brigades lourdes russes seront en parallèle rééquipées en blindés lourds à chenilles Armata et Kurganets-25 (UVZ) tandis que les brigades légères recevront vraisemblablement des blindés 6x6 Typhoon (KamAZ ou Ural) et 4x4 TIGR (VPK).

 

Le poids en ordre de combat de l’ATOM 8x8 est de 32 tonnes, soit plus du double par rapport au BTR-82A de 15,4 tonnes. Ce qui autorisera une charge utile bien supérieure ainsi qu’une meilleure évolutivité. Il permettra donc de dériver toute une famille de véhicules en plus d’un véhicule de combat d’infanterie et d’un transport de troupes : mortier automoteur, anti-aérien, engin du génie, PC, ambulance, sécurité intérieure. On peut également imaginer à terme des porteurs de systèmes variés (anti-chars, guerre électronique, etc.).

 

Même à 32 tonnes, l’ATOM 8x8 restera très mobile en tout-terrain grâce à toute l’expertise de Renault Trucks Défense en véhicules haute mobilité. RTD a en effet développé l’excellente driveline du VBCI 8x8 qui a largement fait ses preuves au combat avec l’armée française sur des théâtres aussi variés qu’exigeants : Afghanistan, Liban, Mali… Plus récemment, RTD a lancé le blindé médian 6x6 VAB Mk3 qui dispose également d’une excellente mobilité tout-terrain ainsi que d’une capacité amphibie. Cette dernière capacité sera préservée en option sur l’ATOM 8x8, la Russie restant une fervente utilisatrice de l’amphibie. L’ATOM 8x8 sera capable de franchir une fosse de 2 mètres, une marche de 0,7 mètres, une pente de 60% ou un dévers de 30%. RTD a pioché dans sa banque d’organes un moteur diesel de plus de 600 hp couplé à une transmission automatique pour déplacer la bête. Les suspensions sont indépendantes pour franchir des obstacles à haute vitesse. L’ATOM sera en outre aérotransportable par les deux avions de transport tactique et stratégique russes : les Il-76 et An-124.

 

Côté blindage, l’expérience d’UVZ dans les chars lourds comme le T-90 est sans doute mise à profit pour obtenir un haut niveau de protection, tant balistique que contre les mines et IEDs, qui faisait défaut au BTR. Une protection balistique de niveau 5 OTAN (i.e. contre les munitions de 25 mm et les éclats d’obus d’artillerie de 155 mm), est annoncée. La protection mines / IED se ferait sous forme de kits de surprotection autour de la caisse en acier. L’ATOM 8x8 pourra également recevoir une protection active ou passive contre les RPG et opérer en environnement NBC.

 

Pour l’armement, toute la gamme russe sera mise à profit sur le châssis de l’ATOM 8x8. Le véhicule de combat d’infanterie à 3+7 hommes recevra une toute nouvelle tourelle télé-opérée de 57 mm en cours de développement. Ce qui en ferait le VCI 8x8 le mieux armé au monde si l’on exclut le projet de 8x8 émirien avec la tourelle de 100 mm du BMP-3 qui n’a pas encore abouti. Le véhicule de transport de troupes à 2+10 hommes recevrait un tourelleau télé-opéré en 12,7 mm. S’y ajouterait également une version mortier automoteur de 120 mm pour remplacer les 2S31 Vena ! Une architecture électronique ouverte est prévue pour gérer les différentes configurations et évolutions ainsi que pour faire entrer les brigades médianes russes dans l’ère de la numérisation. Peut-être s’agit-il de la solution "BattleNet Inside" développée par RTD.

 

L’ATOM 8x8 est un nouvel exemple de coopération franco-russe réussie après le Bâtiment de Projection et de Commandement BPC (DCNS) dans le domaine naval ou les équipements (Sagem et Thales) dans le domaine aéronautique. Il entre par contre en concurrence avec les projets d’autres industriels comme VPK avec son Boomerang 8x8. La Russie avait également testé le 8x8 VBC Freccia de l’italien Iveco ; à la fois en versions VCI et char léger (Centauro). Souhaitons bonne chance à l’ATOM sur ce marché prometteur !

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 07:40
CSTO to Help Tajikistan Reinforce Borders – Putin

Russian President Vladimir Putin and CSTO Secretary General Nikolai Bordyuzha speak to the press after a CSTO Council meeting, Sochi, September 23, 2013

 

SOCHI, September 24 (RIA Novosti)

 

Members of the Collective Security Treaty Organization (CSTO), a military alliance of former Soviet states, will develop an interstate program to help Tajikistan strengthen its border with Afghanistan, Russian President Vladimir Putin has said.

 

“We will take into account all possible development scenarios, take preventive measures, and provide additional collective assistance to Tajikistan to reinforce its national border with Afghanistan,” Putin told journalists Monday after a CSTO Council meeting.

 

“We agreed to draft a targeted interstate program for equipping this section of the border,” he said, in line with a translation of his speech posted on the Kremlin website.

 

CSTO Secretary General Nikolai Bordyuzha said Monday CSTO members would provide Tajikistan with armaments and military hardware for free to help the country guard its border with Afghanistan.

 

The CSTO Council, the organization’s supreme ruling body comprising leaders of the six member states, gathered in the Russian Black Sea resort city of Sochi. Kyrgyzstan handed over the CSTO presidency to Russia for next year.

 

“We discussed the situation in Afghanistan in light of the international coalition’s troop withdrawal planned for 2014. Unfortunately, there is reason to expect a considerable rise in Afghan drug trafficking activity and in terrorist groups’ activeness,” Putin said, according to the translation.

 

He added that “extremists are already attempting to spread their activity into neighboring countries, including the Central Asian countries that are CSTO members.”

 

Putin earlier on Monday named Russia’s priorities during its presidency in the CSTO.

 

“We think it important to reinforce the external borders in the CSTO’s region of responsibility. We need to improve our practical action mechanisms for minimizing risks for each of the CSTO member countries,” he told the meeting’s participants.

 

He mentioned at an earlier meeting on Monday with presidents of CSTO member states - Armenia, Belarus, Kazakhstan, Kyrgyzstan and Tajikistan - that the unpredictable development of the situation in Afghanistan after the planned 2014 withdrawal of foreign military forces from that country could pose a major threat to its neighbors.

 

Putin emphasized further development of military cooperation and strengthening of the CSTO’s rapid-reaction force in light of future peacekeeping missions and the fight against drug-trafficking in the region.

 

The priority tasks will also include improved cooperation with the Shanghai Cooperation Organization (SCO) - another regional player comprising former Soviet republics and China - as well as better coordination of security efforts in Central Asia and worldwide under the aegis of the United Nations, he said.

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 06:30
L'arsenal chimique détenu par Damas 15309.2013 Service Infographie du Figaro

L'arsenal chimique détenu par Damas 15309.2013 Service Infographie du Figaro

 

 

NEW YORK (Nations unies), 24 septembre - RIA Novosti

 

Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a qualifié mardi le démantèlement des arsenaux chimiques en Syrie d'insuffisant pour mettre fin à "l'effusion de sang", appelant tous les Etats à cesser les fournitures d'armes tant aux autorités qu'à l'opposition syriennes.

 

"Nous ne nous satisferons pas de l'élimination des armes chimiques, alors que les hostilités de plus en plus intenses sont en passe de détruire la Syrie", a déclaré M.Ban en ouverture du débat général lors de la 68e session de l'Assemblée générale de l'Onu.

 

Et d'indiquer que les armes conventionnelles avaient fait plus de victimes que les arsenaux chimiques.

 

"J'appelle tous les pays à cesser d'alimenter l'effusion de sang en Syrie et à mettre fin aux fournitures d'armes à toutes les parties en conflit", a dit le secrétaire général.

 

Selon l'Onu, le nombre de victimes du conflit opposant les autorités et l'opposition en Syrie a déjà dépassé 100.000 personnes. M.Ban a exhorté Damas à respecter à la lettre ses engagements dans le cadre de la Convention sur l'interdiction des armes chimiques à laquelle la Syrie s'est déclarée prête à adhérer.

 

Les inspecteurs de l'Onu ont constaté l'utilisation de gaz sarin le 21 août dernier dans une banlieue de Damas sans en désigner les responsables. Une nouvelle enquête sera nécessaire à ces fins.

 

"La communauté internationale doit traduire en justice les auteurs de l'attaque chimique en Syrie, qui a été confirmée par la mission de l'Onu", a souligné le secrétaire général.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 07:40
Industry Exec Gives Glimpse of Russia’s New ‘Secret’ Tank

Tanks designed by the Uralvagonzavod corporation

 

MOSCOW, September 23 (RIA Novosti)

 

Russia’s new-generation main battle tank will feature an unmanned, remotely controlled turret that will be digitally controlled by a crew located in a separate compartment, a defense industry official said Monday.

 

An Armata prototype will be demonstrated at “a restricted showing” this month during the 9th Russia Arms Expo 2013 international arms exhibition due to the “secret nature of the project,” said Igor Sevastyanov, deputy general director of Rosoboronexport, Russia’s state-run arms export monopoly.

 

Industry Exec Gives Glimpse of Russia’s New ‘Secret’ Tank

Another feature of the new tank, tentatively scheduled to enter military service in the Russian army in 2015, is an automated combat command and control system, he added.

 

Armata is a modular universal combat platform that will be used as a basis for a new tank, fire support vehicle, mine clearing vehicle, heavy flame throwing vehicle, bridge laying vehicle and other heavy equipment, Sevastyanov said.

 

A prototype Armata tank is ready for testing, and that process is due to begin in November, Lt. Gen. Alexander Shevchenko, commander of the Russian Tank Forces, said earlier this month in an interview with Ekho Moskvy radio.

 

The biannual Russian Arms Expo will run in the Urals city of Nizhny Tagil between September 25 and 28.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 07:40
Su-25 Attack Aircraft Crashes in Russia, Pilot Ejects Safely

MOSCOW, September 23 (RIA Novosti)

 

A Soviet-era Su-25 Frogfoot ground attack aircraft crashed during a routine training flight in Russia’s Krasnodar region on Monday, the Defense Ministry said in a statement.

 

The statement said contact with the pilot was lost at 8:17 p.m. Moscow time (16:17 GMT). The plane crashed 49 kilometers from the Primorsko-Akhtarsk airfield.

 

“The pilot was able to steer the falling aircraft away from populated areas and eject safely,” the statement said.

 

The ministry confirmed that there were no injuries or damages to structures on the ground.

 

A Ka-27 search-and-rescue helicopter has been dispatched to the crash site, the ministry reported, adding that all flights of Su-25 aircraft in the Southern Military Districts had been suspended while an investigation into the incident was under way.

 

The Su-25 is a single-seat, twin-engine jet aircraft developed by the Sukhoi Design Bureau to provide close air support for ground troops.

 

The aircraft has been in service with the Russian Air Force for more than 25 years. It has also been exported to dozens of countries

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 12:40
Retrait d’Afghanistan: l’espace postsoviétique s’attend au pire

MOSCOU, 23 septembre - RIA Novosti

 

Sotchi accueille aujourd’hui le sommet de l'Organisation du traité de sécurité collective (OTSC), bloc militaro-politique de l'espace postsoviétique supervisé par Moscou, écrit lundi 23 septembre le quotidien Kommersant.

 

La Russie espère rallier les membres de l'organisation face aux menaces croissantes venant du sud, avant tout d'Afghanistan.

 

Les présidents des pays membres de l'OTSC se réunissent en général en décembre mais cette fois, ils ont jugé devoir le faire plus tôt. Selon une source de la délégation russe, tout un ensemble de questions ne peut pas attendre comme la situation en Afghanistan, d'où se retirera la majeure partie du contingent de l'Otan en 2014. Bien que l'Alliance évoque l'avenir en Afghanistan avec optimisme et affirme que les forces de sécurité nationales arriveront à assurer l'ordre, la Russie et ses alliés se préparent au pire scénario.

 

Au cours des entretiens prévus lors du sommet le président russe Vladimir Poutine, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov et le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou discuteront avec leurs homologues biélorusses, kazakhs, arméniens, kirghizes et tadjiks du développement de la Force collective d'intervention rapide de l'OTSC et de son potentiel en termes de maintien de la paix. Une attention particulière sera accordée au renforcement de la frontière entre l’Afghanistan et le Tadjikistan.

 

La Russie a promis d'allouer 200 millions de dollars au réarmement de l'armée tadjike : actuellement, Moscou et Douchanbé se mettent d'accord sur la nomenclature du matériel dont le Tadjikistan aura besoin - il s’agira avant tout d'armes d'infanterie. Par ailleurs, les experts pensent que l'affaire pourrait ne pas se limiter aux livraisons d'armes et les garde-frontières russes pourraient revenir à la frontière tadjiko-afghane. Ils avaient protégé cette région de 1 400 km jusqu'en 2005, après quoi Douchanbé avait entièrement pris en charge cette mission.

 

Les forces tadjikes ont en réalité des difficultés à remplir leur mission, comme en témoigne la hausse significative du trafic de drogues afghanes dont la majeure partie est destinée à la Russie. Si après le retrait du contingent étranger la situation en Afghanistan s'aggravait et qu’une guerre civile éclatait, les autorités tadjikes n'arriveraient pas à gérer l'afflux de réfugiés et la pression des groupes criminels armés sans aide extérieur en selon les experts russes. L'ambassadeur russe à Kaboul, Andreï Avetissian, a récemment déclaré qu'en raison de la détérioration prévue de la situation en Afghanistan, Moscou étudiait la possibilité de projeter ses garde-frontières sur la frontière tadjiko-afghane. Il a toutefois souligné que la Russie n'entreprendrait aucune action sans en avertir préalablement les autorités tadjikes.

 

Pour l'instant, Douchanbé ne dit rien de concret à ce sujet. L'élection présidentielle se tiendra au Tadjikistan en novembre et bien que le président sortant Emomali Rakhmon n'ait pas de concurrents sérieux, il n'annoncera certainement pas une mesure qui pourrait être interprétée par ses opposants comme une atteinte à la souveraineté du pays.

 

La Syrie sera également un thème clé du sommet. Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, a déclaré hier à la chaîne Perviy Kanal que la Russie était prête à mettre à disposition ses militaires pour contribuer à la sécurité des régions où travailleront les experts de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC). Les dirigeants des pays membres de l'OTSC devraient adopter aujourd'hui une déclaration commune en soutien de l'initiative de Moscou pour l'établissement du contrôle international sur les arsenaux chimiques syriens.

 

Aujourd'hui également le Kirghizstan passera le relais de la présidence à l'OTSC à la Russie. Selon une source du secrétariat de l'organisation, Moscou cherchera à renforcer la coopération politique et militaro-stratégique au sein du bloc et proclamera comme priorité la lutte contre le trafic des stupéfiants, ce qui sera certainement l'une des initiatives clés de la présidence de la Russie au G8 l'an prochain. Selon la source, Moscou espère rallier les membres de l'organisation face aux risques croissants émanant du sud car ces menaces pourraient prochainement devenir la plus importante épreuve pour le bloc.

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 12:35
Rosoboronexport to supply Tor and Pantsir to India

September 23rd, 2013 Rosoboronexport

 

India is going to buy more than fifty short range air defense systems

 

India has announce a tender to buy more than fifty short range air defense systems. Rosoboronexport probably will submit two Russian systems – Tor-M2E manufactured by PVO Almaz-Antei and the surface-to-air missile system Pantsir-S1.

 

India already has air defense systems that was supplied by the Soviet Union and later on by Russia. Indian army employs the earlier counterpart of Pantsir which is called Tunguska. The army also has medium range air defense systems S-75 and short range air defense systems S-125, Kvadrat air defense systems which serves as a basis for India’s own improved surface-to-air missile system called Akash.

 

“India knows how to use Soviet and Russian air defense systems and they will quickly get the hang of the new systems. Of course there was a period when Israeli manufacturers cooperated with Indian military forces and nowadays supply them with short and medium range air defense systems both for Indian navy and land forces. On the other hand Russia offers the cutting edge systems which have already been tested both in Russian army and in other armies as well. Pantsir combines in itself capabilities of a quick-firing long-range missile”, said Said Aminov, editor in chief of Vestnik PVO web-site.

 

The range of action of Pantsir is 20 km. This characteristic makes Pantsir a one-off system. Nowadays we have made four contracts with Middle East and North African countries to supply this surface-to-air missile system.

 

“Tor-M2E is also quite effective system. It was exported extensively. Now we offer a container variant. The pilot model with the Indian manufactured undercarriage of this system was presented at MAKS show. Tor can protect against all air weapons including high-precision weapons”, said Said Aminov.

 

According to Vyacheslav Davydenko, Rosoboronexport’s spokesman not only India but also other countries choose Russian air defense systems. Such systems as Tor-M2E and Pantsir are new and in the immediate future there will be no question as to their improvement or replacement.

 

Experts say that if there are orders for the supply of more than 52 systems, then it will be possible to consider the licensed production of certain kinds of Russian weapons in India. As a matter of fact the experience of supplying T-90 tanks and multipurpose Su-30 MKI jets show that this can be possible.

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 07:40
Russia Boosts Security For Sochi Olympics With Pantsir-S Systems

MOSCOW, September 22 (RIA Novosti)

 

Six Pantsir-S short-range air defense systems have been delivered to the Russian military ahead of schedule to ensure security during the Sochi Winter Olympics in 2014, a senior defense ministry official said.

The XXII Olympic Winter Games are scheduled to take place from February 7 to 23 in the Russian Black Sea resort city of Sochi. The first Winter Olympics to be held in Russia are widely regarded as an opportunity for the country to showcase its economic achievements under President Vladimir Putin.

“We will do everything possible to accomplish the task of protecting the Russian airspace along the southern borders and to ensure security during the Winter Olympics,” Maj. Gen. Viktor Gumenny, the commander of air defense troops of the Russian Air Force, said Saturday.

The general said that the Pansir-S air defense systems will be initially sent to the Ashuluk firing range in southern Russia to ensure the proper training of their crews during the next two months.

The Pantsir-S is a combined gun-missile system featuring a wheeled vehicle mounting a fire-control radar and electro-optical sensor, two 30-mm cannons and up to 12 57E6 radio-command guided short-range missiles.

The system is designed to take on a variety of targets flying at low level, including cruise missiles and aircraft, and can effectively engage targets at up to 20 kilometers.

The Defense Ministry has reportedly ordered 100 Pantsir-S units for Russia’s Aerospace Defense Forces.

A maneuverable track-bearing variant is currently being developed by Russia’s High Precision Weapons corporation, to be put in service with the Russian Ground Forces and Airborne Troops in the near future.

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 07:40
Russia, Belarus Begin Second Stage of Strategic Drills

MOSCOW, September 23 (RIA Novosti)

 

The second stage of international strategic exercises, Zapad 2013 (West 2013), began on Monday at five locations in Russia and Belarus, the Russian Defense Ministry said.

 

During the second stage, Russian and Belarusian troops would train combat interaction to ensure the two states’ military security. The troops will train at five training grounds – two in Russia’s Baltic exclave of Kaliningrad and three in Belarus.

 

The Russian Defense Ministry said that Russian and Belarusian servicemen on Monday conducted a successful joint training operation to detect, block and eliminate an armed militant group.

 

The six-day drills, held once in two years since 2009, will involve about 12,000 Russian servicemen. Ships from Russia’s Baltic, Black Sea and Northern fleets will take part in the final stage of the exercises.

 

Observers from over 60 states will attend the two-stage drills.

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 07:35
INS Trikand_(F51) photo Brian Burnell

INS Trikand_(F51) photo Brian Burnell

23 September 2013 Pacific Sentinel

 

Rosoboronexport will participate in NAMEXPO 2013, India’s premiere international naval & maritime exposition and conference to be held in Cochin, India from 23 to 27 September 2013.
 
Enterprises affiliated with the United Shipbuilding Corporation (USC) – Rubin Central Design Bureau for Marine Engineering, St. Petersburg-based Malakhit Marine Engineering Bureau and Sudoexport – as well as the Mars Research & Production Association and the Aquamarin Company will display their products under the aegis of Rosoboronexport, part of the Rostec State Corporation.
 
“We work closely with our Indian partners in the naval area and hope that the new specialized exhibition will be a good platform to showcase our capabilities. Today, India has set ambitious goals to strengthen the national naval forces and Russia, as its strategic ally, is ready to comprehensively cooperate to effectively implement these plans,” – said Rosoboronexport Deputy Director General Viktor Komardin who leads the Company’s delegation at the exhibition.

 

Among the models having high potential in the Indian market are the Project 11356 frigates, which have long been successfully operated by the Indian Navy, Amur-1650 diesel-electric submarine and a variety of naval weapon systems.
 
According to Viktor Komardin, at NAMEXPO 2013, the Russian side is planning to discuss concrete steps to deepen cooperation with India’s state and private manufacturers of naval equipment. In particular, the joint design and construction of new ships is one of the most promising areas of cooperation.
 
Rosoboronexport will also hold talks with its partners in Southeast Asia, where potential customers are showing great interest in patrol boats and Project 22460E patrol ships, Gepard 3.9-class frigates, Bastion and Bal-E coastal defense missile systems, shipborne SAM and artillery systems, and anti-ship missiles. In addition, the integrated coastal zone surveillance systems in various configurations and their components, in particular the Podsolnukh-E coastal over-the-horizon surface wave radar, have high export potential.
 
More than 70 warships have been built for India over more than 45 years of Russian-Indian cooperation in the naval sphere. Russia is providing assistance in designing and supplying systems and equipment for indigenously developed ships under construction in India. Among them are the Project 15A, 15B destroyers, Project 17 frigates and Project 71 aircraft carrier. In addition, Sevmash, part of USC, is completing the trials of the aircraft carrier Vikramaditya.
 
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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 16:55
Carte des attaques chimiques  syriennes du 21 aout 2013

Carte des attaques chimiques syriennes du 21 aout 2013

21/09/2013 à 11:50 Jean Guisnel - Défense ouverte

 

Paris n'a pas été conviée aux négociations diplomatiques qui se jouent actuellement. Et c'est seule qu'elle prépare une option militaire, au cas où...

 

De quoi demain sera-t-il fait ? C'est la question que l'on se pose à Paris à propos de la Syrie. Les Français assistent en spectateurs au grand jeu diplomatique ouvert par l'initiative russe. On regrette un peu dans les cercles dirigeants, mezza voce, que les Américains se soient "lancés tête baissée dans la négociation", selon la formule d'un excellent connaisseur de ce dossier explosif. Pour les Français, l'hypothèse de frappes contre le régime n'est évidemment pas envisageable de manière unilatérale.

 

Pour autant, l'option n'est pas exclue à terme, au cas où le régime de Damas ne collaborerait pas pleinement, et le niveau de préparation de l'armée française ne s'est nullement abaissé. Le Centre national de ciblage de l'état-major des armées, qui traduit en données opérationnelles les informations transmises par la DRM et la DGSE, continue de préparer des dossiers d'objectifs en relation avec l'état-major américain de Centcom installé à Tampa (Floride). L'effort national de renseignements s'est trouvé notablement renforcé. Il implique notamment la marine nationale, qui pourrait déployer de nouveaux moyens navals et aériens (Atlantique 2) dans la zone.

 

Un doigt dans la guerre

 

Une source actuellement très influente dans l'appareil d'État confie les raisons du maintien de cette posture : "Il est vrai que c'est inattendu de voir la France mettre un doigt dans la guerre dans cette région. Mais si nous ne faisons rien, Assad gagne. Il aurait dans ce cas les mains libres pour raser Alep et d'autres villes encore. Ce serait aussi une victoire pour l'Iran, qui recevrait la démonstration que l'on peut utiliser des armes de destruction massive sans recevoir de sanction. L'Iran maintiendrait, en plus, la ligne de vie qui soutient le Hezbollah au Liban."

 

Au ministère de la Défense, on a de la mémoire. Voilà bientôt douze ans, le 8 octobre 2001, les forces américaines et britanniques frappaient seules l'Afghanistan. "Plus jamais ça !" pense-t-on cette fois à Paris, où l'on comptait sur l'option militaire pour ne pas être exclu du jeu syrien.

 

Cibler le régime

 

Pour les Français, et singulièrement pour François Hollande, le régime syrien est totalement et absolument détestable. Les frappes chimiques du 21 août, confirmant les précédentes, ont convaincu les dirigeants français que "l'armée d'Assad est professionnelle du maintien au pouvoir. Ces gens sont insubmersibles. Si on ne leur lance pas une torpille, ils ne couleront jamais"... Il s'agit donc, in fine, de renverser le régime, comme en Libye. Et d'apporter une appui décisif aux composantes "démocratiques" de l'opposition syrienne, notamment l'Armée syrienne libre du général Selim Idriss. En visite à Bamako, François Hollande a déclaré le 19 septembre que la France livrerait des armes à l'ALS : "Nous le ferons dans un cadre élargi, avec un ensemble de pays et dans un cadre qui peut être contrôlé, car nous ne pouvons pas accepter que des armes puissent aller vers des djihadistes." Sauf que personne ne peut le garantir...

 

On sait que le Quai d'Orsay est beaucoup plus allant en matière de livraisons d'armes que le ministère de la Défense. À ce stade, selon nos informations, les armées françaises ont essentiellement livré des moyens "non létaux", à savoir des rations de combat, des équipements médicaux, des systèmes optiques et des moyens de transmission. Mais aussi du renseignement. L'ALS demande en outre des équipements antiaériens (missiles Manpads), des moyens antichars, des armes d'infanterie. Pour les missiles et les roquettes antichars, Paris ne dit pas non, mais la France ne livrera pas de moyens antiaériens. Paris devrait par ailleurs accentuer la formation et l'entraînement de troupes syriennes.

 

Grande gueule, petit bâton

 

Selon toute vraisemblance, les armées françaises ne tireront pas de sitôt un coup de feu contre le régime de Bachar el-Assad. Parti trop vite, évoquant imprudemment la volonté d'infliger au despote une "punition", contraint de prendre une posture d'auxiliaire de Barack Obama, François Hollande se retrouve aujourd'hui dans une posture peu glorieuse. Les négociations internationales se déroulent en son absence, et il paraît hautement improbable que Paris obtienne satisfaction sur ce qui était son cheval de bataille : le recours à la force contre le régime de Damas, ainsi que l'intégration de cette option dans une future résolution de l'ONU.

 

La France n'a pas été conviée dans la partie diplomatique ouverte par le retour de la Russie sur la scène. Comme souvent, elle a donné de la voix, sans avoir les moyens militaires de conduire une coalition, alors que les capacités et l'organisation de l'adversaire semblent à première vue autrement plus solides que celles de la Libye, par exemple. C'est souvent le problème avec la France : grande gueule, mais petit bâton !

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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 16:40
Syrie: un obus de mortier s'abat près de l'ambassade russe à Damas

22/09/2013 à 12:43 Point.fr

 

Un obus de mortier, tiré par des rebelles, s'est abattu dimanche dans le périmètre de l'ambassade de Russie située dans le quartier de Mazraa au centre de Damas, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

 

Selon l'OSDH, qui n'a pas pu préciser si ce tir a fait des dégâts ou des victimes, l'ambassade de la Russie, pays qui soutient activement le régime syrien, avait été visée plusieurs fois dans le passé mais c'est la première fois que le périmètre de la chancellerie est touché.

 

La Russie a été le principal artisan d'un accord avec les Etats-Unis conclu à Genève le 14 septembre prévoyant le démantèlement des armes chimiques syriennes.

 

L'accord a permis d'éloigner des frappes militaires voulues par les Etats-Unis et la France contre le régime syrien, qu'ils accusent d'être responsable d'une attaque aux armes chimiques qui avait fait des centaines de morts le 21 août près de Damas.

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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 11:50
Affaire Prism : l’indiscrétion de la NSA ne devrait pas étonner les Européens

13 septembre 2013 par Roland Hureaux - libertepolitique.com

 

Comment certains Européens ont-ils pu s’étonner de la révélation du programme démentiel d’écoute généralisée des organisations et des personnes d’Europe occidentale, commission européenne comprise, révélée par le jeune Edward Snowden ? Ce programme n’a d’égal que l’écoute de citoyens américains eux-mêmes.

 

DECHANTERONT sans doute ceux qui gardent le souvenir sympathique des « boys » venus libérer l’Europe en 1944, des largesses du plan Marshall et de la grande démocratie sur laquelle s’appuyèrent durant quarante-cinq ans tous ceux qui, en Europe, craignaient à juste titre de tomber sous l’emprise du communisme totalitaire.

 

Mais depuis vingt-trois ans que le Rideau de fer est tombé, beaucoup se demandent ce qu’est devenue la démocratie américaine, où, au nom du Patriot Act de 2001, il est possible de détenir indéfiniment sans mandat de justice un citoyen américain, de fouiller son domicile et où le président peut même ordonner une exécution sans jugement pour des raisons de sécurité nationale.

 

Surtout, comment ne pas ressentir la mutation qui a eu lieu dans le rapport des États-Unis et leurs alliés depuis les années soixante-dix ? La rivalité mimétique avec la défunte Union soviétique, qui entraîna l’imitation de ses méthodes d’espionnage et de manipulation, l’esprit de système des think tanks imposant une rationalité aussi implacable que folle à la politique étrangère américaine, ont provoqué une défiance des États-Unis, vis-à-vis du reste du monde et singulièrement de leurs alliés, qui a progressivement donné une tournure nouvelle aux relations avec eux.

 

Ajoutons à cela la méfiance et l’irascibilité que donne aux vieux satrapes le sentiment de la toute-puissance.

 

La folle théorie de Brzezinski

 

Il suffit de lire l’ouvrage capital de Zbigniew Brzezinski, Le Grand Échiquier (1997) véritable bible de la pensée géostratégique américaine, pour voir les racines de la méfiance des États-Unis vis à vis de l’Europe ; la puissance américaine est, dit-il, menacée de se trouver isolée face à un bloc eurasiatique cohérent comprenant, non seulement la Russie et la Chine (c’est aujourd’hui fait avec le groupe de Shanghai) mais aussi l’Inde et l’Europe occidentale.

 

Tout l’avenir de la puissance américaine repose, selon cette théorie, sur le choix que fera l’Europe de l’Ouest : ou elle reste arrimée à l'Amérique et celle-ci continue d’être la superpuissance, ou elle bascule vers l’Eurasie et alors l’Amérique perd son hégémonie. Comme la menace communiste n’est plus là pour contraindre les Européens à suivre l’Amérique, la diplomatie américaine doit s’efforcer d’isoler l’Europe de l’Ouest du reste de l'Eurasie, à commencer par la Russie. Elle doit le faire avec d'autant plus de vigilance que la tendance naturelle de l’Europe de l'Ouest est désormais de se rapprocher de celle-ci, dont aucun intérêt majeur ne la sépare plus.

 

Le sentiment antirusse

 

Pour cela, les États-Unis ont sans doute utilisé tous les moyens d’exciter le sentiment antirusse en Europe occidentale par des agents d’influence nombreux et puissants, notamment dans les médias ; ils ont obtenu le resserrement des liens au sein de l’OTAN et surveillent étroitement le personnel politique ouest-européen pour favoriser les carrières des pro-américains et barrer les autres. L’Initiative de défense stratégique doit constituer un bloc compact Amérique du Nord–Europe de l’Ouest, isolant celle-ci de la Russie.

 

Dans le même état d’esprit, la rhétorique des think tanks nord-américains tend à laisser penser que la Russie n’a pas fondamentalement changé depuis la chute du communisme, qu’elle est toujours aussi menaçante et à entretenir la méfiance à son égard : sa volonté de contrôler la Géorgie est assimilée à un plan de conquête du monde !

 

Les géopoliticiens nord-américains ne cachent guère que le but de l’OTAN n’est plus la protection de ses membres mais leur surveillance afin de les maintenir dans le giron nord-américain.

 

Il se peut que l’exacerbation d’un confît comme celui de la Syrie, où les pays européens alignés sur Washington, à commencer par la France, creusent le fossé qui les sépare de Moscou, ait, entre autres, ce but.

 

Est-il utile de dire combien est folle cette théorie selon laquelle l’Eurasie aurait vocation à former un bloc concurrent de l’Amérique ou qu’un tropisme irrépressible attirerait l’Europe dans le giron asiatique si l’Amérique ne la soumettait à une surveillance étroite ? Comment imaginer, au vu de leur histoire millénaire, que l’Europe, la Russie, la Chine et l’Inde aient vocation à s‘unir en l’absence de danger commun ? N’est-ce pas, au contraire, l’attitude obsidionale et agressive des Etats-Unis qui rapproche Moscou et Pékin que tout devrait séparer ?

 

Mais pour folle qu’elle soit, la théorie de Breszinsky n’en inspire pas moins la politique américaine actuelle, que soient au pouvoir les républicains ou les démocrates.

 

C’est cette perspective qui explique que les Européens qui se croient les partenaires et les amis des Américains soient livrés à une surveillance étroite de la part de ceux-ci. Une surveillance dont Edward Snowden n’a sans doute révélé que la partie émergée.

 

L'inféodation européenne

 

La Commission européenne qui avait été conçue par Jean Monnet comme un auxiliaire du contrôle américain est soumise à un contrôle particulièrement étroit, sans doute au cas où elle voudrait s’émanciper, jouant vraiment le jeu de l’Europe-puissance à laquelle croyaient les pères fondateurs. Elle est également surveillée dans la mesure où ses décisions économiques sont susceptibles d’interférer avec les intérêts américains (par exemple dans les négociations agricoles).

 

Outre la dimension proprement économique, le projet d’accord transatlantique de libre-échange a sans doute, lui aussi, le but de renforcer l’inféodation ouest-européenne.

 

Autre motif de cette surveillance, plus ancien : la conviction développée outre-Atlantique – et largement relayée par les cercles européens sous influence, que, livrée à elle-même, l’Europe reviendra à ses démons nationalistes. Casser la colonne vertébrale des nations européennes, les transformer en larves doit ainsi servir en même temps la cause de l'Amérique et celle de la paix. Un raisonnement un peu court qui perd de vue que parmi les pays européens, un seul depuis 1870 a pris à plusieurs reprises l’initiative d’envahir ses voisins !

 

Enfermés dans ce carcan, rendu d’autant plus étroit depuis la réduction de la semi-dissidence française qui s’était exprimée, au nom de la souveraineté nationale, au temps du général de Gaulle, les Européens n’ont plus guère de marge de manœuvre.

 

Pas de riposte

 

Personne ne saurait être dupe par conséquent des mouvements d'indignation des gouvernements et de la Commission européenne. Le Européens ont, disent-ils, demandé des « explications » à Washington. L’expression, très bénigne, a été employée par François Hollande ; les Américains n’ont même pas pris la peine d’en donner. Et de toutes les façons, ce que les Européens, s’ils avaient encore un peu de dignité, auraient dû demander, c’était une vraie réforme de ces pratiques destructrices pour la démocratie. Rien ne la laisse espérer.

 

Les négociations en faveur du traité de libre-échange n’ont même pas été remises en cause, sous la pression de l’Allemagne qui, même si elle semble être la cible principale de la surveillance américaine, tient fort à ce traité dont elle seule sans doute en Europe tirera avantage.

 

Si les Européens étaient sérieux dans leur indignation, ils ne manqueraient pourtant pas de moyens d’agir.

 

Le premier serait de donner l’asile politique à l’auteur de ces révélations, Snowden dont les révélations nous sont profitables. Loin de cela, la France, l’Espagne, le Portugal et l’Italie ont scandaleusement bloqué l’avion du président de la Bolivie, de retour d’un voyage officiel à Moscou, de peur qu’il ne serve à exfiltrer le jeune homme.

 

Les Européens pourraient se réserver le droit d’arrêter et de juger selon les lois qui chez eux protègent la vie privée, tout responsable du programme Prism (et aussi du réseau Echelon) en transit sur le sol européen. Il est clair qu’ils n’oseront pas.

 

Riposte plus efficace, les ressources de l’Europe pourraient être mobilisés pour mettre peu à peu en place des concurrents européens aux plateformes Internet nord-américaines si prodigues de leurs données à l’égard des services d’espionnage de Washington. Un tel projet poserait sans doute des problèmes techniques, mais en prenant cette direction, notre pays adresserait au moins un avertissement aux Américains. Une telle entreprise serait-elle compatible avec les règles européennes de la concurrence ? On peut craindre que la réponse soit non : le commissaire qui s’aviserait de dire oui serait vite dénoncé par les « grandes oreilles » !

 

Est-ce à dire que les révélations de Snowden n’auront été qu’un coup d’épée dans l’eau ? Dans l’immédiat, on peut le craindre. À terme cependant, les opinions occidentales auront été sorties de leur naïveté. C’est particulièrement vrai de l’opinion allemande. Il est vain de compter sur la réaction de gouvernements tous plus ou moins sous influence, celui de François Hollande sans doute plus que d’autres, mais à terme, les opinions publiques pourraient remettre en cause un partenariat transatlantique devenu par trop unilatéral et qui, de toutes les façons, a largement perdu sa raison d’être depuis la fin du bloc communiste.

 

Curieusement, l’opinion anglaise que l’on croyait définitivement acquise au « partenariat transatlantique » n’est pas la dernière à se réveiller. Le vote historique du Parlement britannique du 29 août 2013 refusant que l’Angleterre s’associe à une attaque de la Syrie est un signe que quelque chose est en train de bouger de l’autre côté de la Manche.

 

Pour exonérer le grand frère américain, certains ont découvert que nos propres services étaient aussi indiscrets que les siens. Mais ont-ils les moyens pour exploiter des informations aussi volumineuses que celles qui transitent par l’Internet ? Sûrement pas. Et espionnent-ils les Américains, eux ? On en doute. La situation n’est donc pas comparable. De toutes, d’un côté comme de l’autre de l’Atlantique, les menaces sur les libertés demeurent.

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21 septembre 2013 6 21 /09 /septembre /2013 16:40
Zapad 2013 photo Ria Novisti

Zapad 2013 photo Ria Novisti

20.09.2013 Rédaction en ligne, Oleg Nekhaï -  La Voix de la Russie

 

Les exercices stratégiques russo-biélorusses Zapad 2013 (Occident 2013) se dérouleront sur plusieurs champs de manœuvre de Russie, de Biélorussie et sur le plan d’eau de la mer Baltique du 20 au 26 septembre. Certains médias étrangers ont publié des informations décrivant des scénarios tout à fait fantastiques.

 

Comme cela a déjà été dit, plus de douze mille militaires russes participent aux manœuvres, dont environ deux mille cinq cents pour les exercices organisés en Biélorussie. Sur le plan d’eau de la mer Baltique, les soldats s’entraineront à neutraliser des détachements d’ennemis fictifs. L’aviation et les systèmes de défense antiaérienne se coordonneront pour parer à des attaques venues du ciel. Cette année, le commandement a décidé de rendre ces manœuvres accessibles aux observateurs étrangers. Arkadi Bakhine, vice-ministre de la Défénse, a annoncé que des représentants de plus de soixante pays étaient attendus aux exercices.

 

Cependant, malgré l’abondance de communication, d’étranges informations, parfois tout à fait fantastiques, sont apparues dans les médias occidentaux. Plusieurs d’entre elles déforment totalement les objectifs de ces manœuvres. Par exemple, une version raconte qu’une frappe nucléaire préventive sur Varsovie sera préparée pendant ces exercices.

 

Ces « histoires pour faire peur » n’ont toutefois absolument rien à voir avec les vrais buts de Zapad 2013, au grand dam des journalistes imaginatifs. Igor Korotchenko, rédacteur en chef de la revue Natsionalnaïa oborona (Défense nationale), indique que ces exercices ont un caractère exclusivement défensif.

 

« Nous ne menons aucune attaque nucléaire, aucune opération offensive préventive contre l’occident. Les objectifs sont strictement défensifs afin de se préparer à toutes les menaces possibles, quelle que soit leur provenance, allant de groupes armés illégaux à l’ingérence d’autres grands États. Il s’agit de planification d’opérations commune, de perfectionnement d’actions de combat, de coopération des troupes. Une possibilité d’attaques aériennes sera prévue. Nous avons un système de lutte antiaérienne unifié qui fonctionne indépendamment des manœuvres. »

 

Un des principaux objectifs de Zapad 2013 est le perfectionnement des actions militaires communes. Selon Ivan Konovalov, directeur du Centre de conjoncture stratégique, les exercices ont pour but de vérifier tout ce qui a été mis en place par plusieurs années de réformes militaires.

 

« Le plus important est de s’assurer que les armées russe et biélorusse peuvent travailler ensemble parce qu’il est notre principal allié du côté occidental. Ce que font les médias occidentaux est habituel : créer du sensationnel pour rien. Il s’agit en fait de manœuvres militaires tout à fait normales. »

 

En décrivant les exercices russo-biélorusses comme des évènements de mauvais augure, les journalistes occidentaux passent sous silence les colossales manœuvres des troupes de l’OTAN dans la région. Constantin Sivkov, vice-président de l’Académie des sciences géopolitiques, souligne que ces manœuvres ont pour but d’installer des forces aériennes sur les territoires des anciennes républiques soviétiques baltes, l’Estonie, la Lettonie et la Lituanie.

 

« Les questions concernant le vol d’avions de guerre à partir d’aérodromes avancés de ces pays et le contrôle de l’espace aérien au-dessus du plan d’eau de la mer Baltique se posent. Il faut rappeler que l’aviation tactique américaine peut frapper Moscou ou Saint-Pétersbourg à partir de ces territoires. L’OTAN organise des manœuvres tout aussi importantes sur le plan d’eau de la mer Baltique. Dans ces conditions, la Russie est obligée de perfectionner le fonctionnement de ses troupes avec son allié stratégique, la Biélorussie. »

 

Pour les experts, la portée militaire des exercices Zapad 2013 est immense. Les systèmes de gestion des troupes russes et biélorusses sont proches. Toutefois, les niveaux de préparation des commandements peuvent différer et il peut y avoir d’éventuelles divergences dans les principes d’utilisations des forces armées. Il faut perfectionner tout cela dans le cadre de manœuvres pour la protection des frontières.

Russie, Biélorussie, Mer Baltique, manœuvres, exercices militaires, Bélarus, Défense et Sécurité

Exercices Zapad 2013 : entre fantaisie des médias et réalitéExercices Zapad 2013 : entre fantaisie des médias et réalité
Exercices Zapad 2013 : entre fantaisie des médias et réalité
Exercices Zapad 2013 : entre fantaisie des médias et réalitéExercices Zapad 2013 : entre fantaisie des médias et réalité
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20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 11:40
Russian Missile Forces to Adopt New Command System in 2016

MOSCOW, September 19 (RIA Novosti)

 

Russia’s Strategic Missile Forces will use a new-generation automated command and control system from 2016, the Defense Ministry said Thursday.

 

The new system, based on the digital transmission of operations orders bypassing intermediary levels straight to the launch pad, allows the prompt targeting and retargeting of missiles and ensures the effective command and control of all units and subunits, Defense Ministry spokesman Dmitry Andreyev said.

 

The fifth-generation system will use wire, radio and satellite communication channels that are well protected from jamming and other forms of interference, he added.

 

The system is compact and reliable and boasts low energy consumption, secure information transmission and imperviousness to external impacts, the spokesman said.

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20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 07:30
Syrie : Hollande pour une livraison d'armes "contrôlée" pour les rebelles

20.09.2013 Le Monde.fr (AFP, Reuters)

 

Pour la première fois, François Hollande a laissé entendre, jeudi 19 septembre, que la France pourrait livrer des armes dans "un cadre contrôlé" aux rebelles syriens, qui sont, selon lui, pris entre les forces gouvernementales et les extrémistes islamistes. 

"Je constate que les Russes en livrent régulièrement, mais nous, nous le ferons dans un cadre élargi avec un ensemble de pays et dans un cadre qui peut être contrôlé, car nous ne pouvons accepter que les armes puissent aller vers des djidadistes que nous avons combattu ici", a déclaré le président français lors d'une visite à Bamako, où il a assisté à l'investiture du président malien Ibrahim Boubacar Keïta.

 

"Nous avons toujours dit que nous voulions contrôler les fournitures d'armes, si nous en faisons, pour qu'elle aillent bien à l'armée syrienne libre. Pourquoi ? Parce que c'est elle qui représente la coalition nationale, celle que nous avons reconnue comme la seule représentation légitime du peuple syrien et qui, aujourd'hui, est entre le marteau et l'enclume.
Le marteau des frappes et actions du régime et l'enclume de l'islamisme fondamentaliste. Si nous voulons trouver une solution politique, il faut bien que cette coalition nationale puisse assurer la transition".

 

Suite de l'article

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19 septembre 2013 4 19 /09 /septembre /2013 11:40
Russia, NATO to Hold Joint Military Drills in September

MOSCOW, September 19 (RIA Novosti)

 

Russia and NATO will hold joint military exercises in late September, the NATO-Russia Council (NRC) has reported.

 

The readiness of the NRC’s air traffic monitoring system, the Cooperative Airspace Initiative (CAI), to detect and respond to aircraft hijacking will be tested during live drills dubbed “Vigilant Skies”, on September 23-27, the council said in a statement posted on its website earlier this month.

 

The first part of the drills envisions the following scenario: a simulated ‘renegade’ civilian aircraft will take off in Poland and move in the direction of Russia’s westernmost exclave of Kaliningrad.

 

Air traffic controllers in Warsaw and Moscow will jointly use the CAI system to identify the plane as a potential source of threat and send Russian and Polish fighters to intercept and escort the ‘renegade’ plane back to the airfield.

 

The exercises’ second part will be held over the Black Sea. Turkish and Russian air traffic controllers and fighter jets will be engaged in joint work to identify, intercept and escort the renegade aircraft, and neutralize the potential threat from such a situation to population centers, the NRC’s statement said.

 

The CAI covers three NRC regions: the geographic spaces between Norway and Russia, Poland and Russia, and between Turkey and Russia, with two central coordination centers located in Moscow and Warsaw.

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19 septembre 2013 4 19 /09 /septembre /2013 11:40
Putin Urges Russian Weaponry Makers to Keep Up With Demands

IZHEVSK, September 18 (RIA Novosti)

 

Russian President Vladimir Putin urged his country’s arms manufacturers on Wednesday to produce weapons that are superior to those of possible adversaries.

 

“Our past successes are no reason to sit back and relax,” he said during a visit to the Kalashnikov gun maker. “We must constantly strive to stay on top of current demands.”

 

He added that many of Russia’s legendary weapons were “no longer able to make the grade.”

 

He urged the Defense Ministry and weapons makers to redouble their efforts to develop new models of arms and military equipment, especially precision weaponry and fire-control systems.

 

Putin’s remarks came soon after a senior Defense Ministry official said Russia’s defense industry technology was largely outdated, lagging decades behind competitors.

 

Lt. Gen. Alexander Shevchenko said earlier in September that many defense firms were still not ready for mass production of high-tech weapons systems and many military technologies were still at 1980s levels.

 

There has been a disturbing decline in the quality of weapon production, he said, adding that this was mainly due to obsolete equipment and an extremely low pace of modernization.

 

The Russian government has reportedly allocated 20 trillion rubles ($640 billion) for the comprehensive rearmament of the country’s Armed Forces. The measure is expected to make the share of modern weaponry rise to 30 percent by 2015, and exceed 70 percent by 2020.

 

Russian Deputy Prime Minister Dmitry Rogozin said Tuesday that Russia would spend $650 billion for the rearmament and modernization of its armed forces through 2020.

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19 septembre 2013 4 19 /09 /septembre /2013 07:50
Baltic 2013 Contrôles d’aéronefs russes. De G à D Sukhoi-24 Fencer, Mirage F1 CR, Sukhoi-27 Flanker au-dessus de la mer Baltique. Crédits photo EMA armée de l’Air.

Baltic 2013 Contrôles d’aéronefs russes. De G à D Sukhoi-24 Fencer, Mirage F1 CR, Sukhoi-27 Flanker au-dessus de la mer Baltique. Crédits photo EMA armée de l’Air.

RIGA, September 18 (RIA Novosti)

 

Latvia’s defense minister on Wednesday slammed frequent flights by Russian warplanes near the country’s airspace.

 

Flights by Russian Air Force aircraft are not only a show of force but also part of a military training program, Latvian Defense Minister Artis Pabriks said in an interview broadcast on Latvian TV Wednesday.

 

“We cannot treat this lightly,” he said. “Obviously, they are not flying there just for the fun of it – because they have nothing better to do.”

 

On Monday NATO fighters that police Baltic airspace identified eight Russian warplanes flying close to the border of Latvia’s territorial waters, one Il-70 transport aircraft, two Su-24 fighter jets and five Su-34 fighters, the Latvian National Armed Forces press service said.

 

Last Friday, NATO jets spotted a Russian Il-20 aircraft near the Latvian border.

 

Despite the widespread media coverage of these concerns there has been no official response from the Russian Defense Ministry.

 

Since March 2004, when the Baltic States joined NATO, a round-the-clock mission to police Baltic airspace has been conducted on a three to four-month rotation basis from Lithuania's First Air Base in Zokniai, near the northern city of Šiauliai. Deployments usually comprise four fighter planes and between 50 and 100 support personnel.

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