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15 septembre 2013 7 15 /09 /septembre /2013 22:30
Syrie: Washington et Moscou privilégient leurs intérêts communs

Le Secrétaire d'État américain John Kerry et son homologue russe, Sergeï Lavrov, accompagnés de leurs principaux collaborateurs, lors d'une réunion au bord de la piscine de l'hôtel à Genève, le 14 septembre, pour mettre la dernière touche à l'accord américano-russe sur le démantèlement de l'arsenal chimique syrien (Department of State)

 

15/09/2013 45eNord.ca (AFP)

 

accord américano-russe, armes chimiques, John Kerry, Sergueï Lavrov, Syrie

 

L’accord américano-russe sur les armes chimiques en Syrie montre que les deux pays ont privilégié leurs intérêts diplomatiques communs, mais la méfiance va perdurer entre ces anciens ennemis de la Guerre froide aux relations glaciales depuis un an.

 

Les États-Unis et la Russie sont tombés d’accord sur un démantèlement de l’arsenal chimique syrien d’ici mi-2014, avec de possibles mesures contraignantes.

 

En annonçant samedi cette percée au terme d’intenses tractations, le secrétaire d’Etat John Kerry et son homologue Sergueï Lavrov ont vanté leur «détermination» à détruire ces armes chimiques «le plus rapidement possible» et leur «adhésion à un règlement pacifique» en Syrie.

 

Les deux pays ont pourtant des positions antagoniques sur cette guerre: Moscou est l’allié de Damas, Washington soutient la rébellion.

 

Mais MM. Kerry et Lavrov, qui se plaisent à afficher une certaine complicité, ont insisté sur leurs points de convergence. «Nous avons eu des désaccords ici et là. Mais nous avons aussi coopéré et Sergueï et moi n’avons jamais cessé de nous parler», a assuré le ministre américain.

 

Américains et Russes discutaient en fait depuis un an d’une mise sous tutelle internationale de l’arsenal syrien.

 

M. Lavrov a d’ailleurs salué des négociations «excellentes» avec M. Kerry et s’est félicité que «l’objectif fixé en septembre (au sommet du G20) par les chefs d’Etat russe (Vladimir Poutine) et américain (Barack Obama) pour mettre sous contrôle les armes chimiques syriennes ait été atteint».

 

À en croire un diplomate américain, «les Russes ont été incroyablement sérieux et professionnels» dans les pourparlers.

 

Aux yeux de l’analyste Anthony Cordesman, du Center for Strategic and International Studies, «les États-Unis se devaient d’inclure la Russie [...] pour qu’elle joue un rôle (pour une solution) en Syrie». Washington devait ainsi «signifier clairement [à Moscou] que la Guerre froide est terminée», écrit l’expert.

 

Début août, le président Obama avait cependant dénoncé la réminiscence en Russie de «vieux stéréotypes de la confrontation de la Guerre froide» depuis le retour en mai 2012 au Kremlin du président Poutine. M. Obama avait du coup annulé son sommet prévu en septembre avec son homologue russe.

 

De fait, les relations sont tombées à un niveau rarement vu depuis des décennies.

 

La Maison Blanche avait pesté le mois dernier contre «le manque de progrès récents» avec Moscou sur la défense antimissile, la non prolifération nucléaire, le commerce et les droits de l’homme.

 

Les Américains ont surtout très mal digéré l’affaire Edward Snowden, l’informaticien américain qui a révélé l’ampleur de la surveillance des communications par son pays et à qui les Russes ont accordé l’asile.

 

Pour Alexandre Choumiline du centre d’analyse des conflits au Proche-Orient à Moscou, l’accord de Genève «n’améliorera pas des relations russo-américaines marquées par la méfiance». Il pense d’ailleurs que « Poutine [...] l’a emporté sur Obama».

 

Le chef de l’État russe avait fait un coup d’éclat cette semaine en publiant une tribune dans le New York Times pour menacer Washington en cas d’action militaire unilatérale contre Damas.

 

M. Lavrov a encore prévenu que la Russie «vérifierait» scrupuleusement toutes les accusations de violations de l’accord de Genève par les Syriens, avant de soutenir éventuellement dans le cadre de l’ONU un recours à la force. Il a aussi fustigé «tant de mensonges et de falsifications sur le dossier» syrien.

 

Même méfiance côté américain quand le président Obama a averti qu’il «ne prendrait pas les déclarations de la Russie et d’Assad pour argent comptant».

 

Fiers de leur accord, MM. Kerry et Lavrov ont été interrogés par la presse sur un hypothétique nouveau « Reset », une relance des relations bilatérales, en allusion à l’offre qu’avait faite en 2009 le président Obama à son homologue de l’époque Dmitri Medvedev.

 

Les deux ministres n’ont pas vraiment répondu, mais se sont montrés optimistes.

 

«Les États-Unis et la Russie n’ont pas toujours été main dans la main et ne le sont toujours pas pour tout», a reconnu le secrétaire d’État. Mais «il faut regarder le verre à moitié plein, plutôt qu’à moitié vide», a-t-il plaidé, égrenant «les coopérations sur l’Iran, la Corée du Nord, l’OMC, le traité START ou le désarmement nucléaire».

 

M. Lavrov a loué une «initiative russo-américaine» sur la Syrie qui a «mobilisé toute la communauté internationale».

 

Circonspect, un diplomate à Washington y voit « un pas positif, mais pas un tournant » dans les relations complexes entre les Etats-Unis et la Russie.

 

*Ce texte était une analyse de Nicolas Revise, diplômé en Science politique et en Droit public et correspondant au département d’État qui suit la diplomatie américaine et son secrétaire d’État partout dans le monde.

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15 septembre 2013 7 15 /09 /septembre /2013 12:40
OTSC: prochain sommet le 23 septembre à Sotchi (Kremlin)

MOSCOU, 12 septembre - RIA Novosti

 

Le prochain sommet de l'Organisation du traité de sécurité collective (OTSC) se déroulera le 23 septembre à Sotchi, a annoncé jeudi aux journalistes l'assistant du président russe Iouri Ouchakov.

 

"Nous préparons le sommet officiel de l'OTSC qui aura lieu le 23 septembre à Sotchi", a indiqué le responsable, sans toutefois préciser l'ordre du jour de la réunion.

 

Créée en 2002, l'Organisation du traité de sécurité collective, qualifiée par certains analystes d'"Otan russe", est une organisation à vocation politico-militaire qui regroupe à ce jour l'Arménie, la Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghizstan, la Russie et le Tadjikistan.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 17:40
Russia to Arm Warships With Pantsir Air Defense System

MOSCOW, September 11 (RIA Novosti)

 

A naval variant of the Pantsir short-range air defense system will enter service with the Russian Navy in about two years, one of the system’s developers said Wednesday.

 

“The Defense Ministry showed great interest in the naval variant of the Pantsir. It has been decided that several destroyers and other large warships will be modernized to accommodate the system,” said Dmitry Konoplev, managing director of the KBP Instrument Design Bureau.

 

“I think that it will be done in the near future, in the next year or two,” Konoplev said.

 

The ground version of the Pantsir is a combined gun-missile air defense system featuring a wheeled vehicle mounting a fire-control radar and electro-optical sensor, two 30-mm cannons and up to a dozen 57E6 radio-command-guided short-range missiles.

 

The system is designed to take on a variety of targets flying at low level, including cruise missiles and aircraft, and can effectively engage targets at up to 20 kilometers.

 

A maneuverable track-bearing variant is currently being developed by Russia’s High Precision Weapons corporation, to be put in service with the Russian Ground Forces and Airborne Troops in the near future.

 

Meanwhile, the High Precision Weapons corporation has started work on the development of a next-generation Pantsir system, expected to be completed in 2017.

 

“I think we will see a completely new Pantsir in about three years. Its technical characteristics will be absolutely superior to those that the existing system has,” the company’s general director, Alexander Denisov, told RIA Novosti.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 12:40
Le sous-marin russe Dmitry Donskoy effectuera le prochain lancement du missile Bulava

12 septembre 2013. Portail des Sous-Marins

 

C’est un sous-marin nucléaire lanceur d’engin du projet 941 qui effectuera le prochain essai du missile balistique Bulava, a déclaré une source proche du dossier.

 

« Le Dmitry Donskoy effectuera un tir de missile Bulava en plongée. Le missile doit être testé et ses caractéristiques techniques ont besoin d’être confirmées après l’échec du lancement depuis le sous-marin Alexander Nevsky. De plus, le nouveau système automatique de contrôle de lancement sera essayé dans un centre de commandement de l’Etat-Major général, » a expliqué la source.

 

Selon elle, le Dmitry Donskoy est le sous-marin le mieux préparé pour cet essai par rapport aux sous-marins de la classe Borei.

 

Le Dmitry Donskoy, un sous-marin de la classe Akula (nom de code OTAN "Typhoon") a été modifié pour la mise au point et le lancement des missiles Bulava. Il a déjà procédé à 14 tirs d’essai de missiles Bulava. 7 lancements ont été complètement ou partiellement réussis, et 7 ont donné lieu à un abandon de tir.

 

Il avait été décidé de conserver le Dmitry Donskoy jusqu’en 2017 en tant que sous-marin d’essai pour les missiles et d’autres matériels.

 

Référence : Russia Beyond The Headlines

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:40
Russie: la version navale du système Pantsir livrée à l'armée en 2014 ou 2015

MOSCOU, 11 septembre - RIA Novosti

 

La version navale du système antiaérien Pantsir sera livrée à l'armée russe dans un ou deux ans, a annoncé mercredi à Moscou Dmitri Konoplev, directeur du Bureau d'études KBP de Toula.

 

"Le ministère russe de la Défense est très intéressé à la version navale de Pantsir. Nous avons décidé de moderniser plusieurs destroyers et autres grands navires en vue de les adapter à Pantsir. Les travaux sont déjà en cours. Et je pense que cela sera fait dans un an ou deux", a indiqué M.Konoplev devant les journalistes.

 

Le système de combat Pantsir comprend des missiles et des obus d'artillerie. Les premiers, d'une portée de 20 kilomètres, se déplacent à la vitesse de 1.000 mètres par seconde et sont capables de neutraliser les cibles évoluant à une altitude oscillant entre 2 mètres et 15 kilomètres. Les seconds, d'une portée de 4 kilomètres, détruisent les cibles navales ou aériennes à une altitude allant de 0 à 3 kilomètres. Le Pantsir est en mesure de frapper quatre cibles simultanément. Créé en 1994, le Pantsir a plus tard été modernisé.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:40
Battery of Tor-M2E air defense systems

Battery of Tor-M2E air defense systems

MINSK, September 11 (RIA Novosti)

 

Russia will deliver a third battery of Tor-M2 air defense systems to Belarus by the end of this year, Belarusian Defense Minister Yuri Zhadobin said Wednesday.

 

Two Tor-M2 batteries were delivered to Belarus in 2011 and 2012. They have been deployed with the 120th Missile Brigade in western Belarus.

 

“The delivery of the third Tor-M2 battery will allow us to form a full-size battalion based on advanced, new-generation weaponry,” Belarusian state news agency BelTA quoted Zhadobin as saying.

 

The Tor-M2 (SA-15 Gauntlet) is a low- to medium-altitude, short-range surface-to-air missile system designed for intercepting aircraft, cruise missiles, precision-guided munitions, unmanned aerial vehicles and ballistic targets.

 

The Belarusian minister, who attended an active phase of the Combat Commonwealth 2013 air defense exercise at Russia’s Ashuluk firing range, praised the performance of the Tor-M2, as Belarusian crews operating the system destroyed three simulated targets with four missiles during live-firing drills.

 

“It is a very good result, even better than we expected,” Zhadobin said.

 

Moscow and Minsk signed an agreement on the joint protection of the Russia-Belarus Union State's airspace and the creation of an integrated regional air defense network in February 2009.

 

The network reportedly comprises five Air Force units, 10 air defense units, five technical service and support units, and one electronic warfare unit. It is part of the integrated air defense network of the Commonwealth of Independent States.

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:30
Russia’s ‘carrier-killer’ Moskva enters Mediterranean

September 12th, 2013 By TV-Novosti - defencetalk.com

 

Russia’s Moskva missile cruiser, dubbed a “carrier-killer” by NATO, has passed through the Straits of Gibraltar and is now heading toward the eastern Mediterranean to assume command of the Russian naval force there.

 

The Russian Navy said in a statement that the Moskva cruiser passed through the Straits of Gibraltar on September 10.

 

Interfax news agency added that the Moskva cruiser, “commanded by Sergey Tronev, Captain 1st Rank of the Guards… has enough room for maneuver now.”

 

“The Black Sea flagship entered the Russian Navy’s area of responsibility in the Mediterranean at 11:00 pm Moscow time yesterday,” the agency reported a military source as saying.

 

The missile-carrying cruiser is expected to join its final destination in eastern Mediterranean on September 15 or 16.

 

Upon arrival, the command of the Russian Navy unit in the Mediterranean, currently stationed onboard the Admiral Panteleyev anti-submarine ship, will be relocated to the Moskva.

 

“The armaments and technical equipment of the missile cruiser are in working condition. The crew is ready to perform combat missions,” the source said.

 

The missile cruiser, initially known to Western naval intelligence as “Slava” (Glory), was launched in 1979 and entered service in 1983. It was later renamed the “Moskva” in 1995. Designed to be carrier-killers, the cruisers of Class 1164 are equipped with 16 anti-ship launchers P-1000 Vulkan, or Volcano (SS-N-12 Sandbox anti-ship missiles, according to NATO classification).

 

Another two vessels, the landing ship Nikolay Filchenkov and the guard ship Smetlivy, will join the Russian naval unit later. They will be pass through the Bosporus and Dardanelles straits by September 12-14 and will then head to the eastern Mediterranean.

 

Russia’s Defense Ministry has said the maneuvers are part of the “stage-by-stage rotation of warships and support ships of the standing naval force in the Mediterranean.”

 

The recent deployments are aimed at “complex monitoring” of the situation around Syria, military sources told Interfax earlier.

 

Russia’s standing naval force in the Mediterranean now involves landing craft carriers “Aleksandr Shabalin,” “Admiral Nevelskoy,” “Peresvet,” “Novocherkassk” and “Minsk” of Russia’s Black and Baltic Sea Fleets, as well as escort vessel “Neustrashimy,” and the anti-submarine ship “Admiral Panteleyev.”

 

Russian naval maneuvers in the Mediterranean come amid growing tension in the region, which sparked speculation that Russia was boosting its naval presence ahead of a possible US strike against Syria.

 

Previously, Russia’s defense officials cautioned against making connections between the relocation of warships and the Syrian crisis, saying the maneuvers do not depend on the situation and “will continue after it.”

 

‘Moskva’ weaponry

 

    16x SS-N-12 Sandbox anti-ship missiles

    8×8 (64) S-300PMU Favorit (SA-N-6 Grumble) long-range surface-to-air missiles

    2×20 (40) OSA-MA (SA-N-4 Gecko) SR SAM

    1x twin AK-130 130mm/L70 dual-purpose guns

    6xAK-630 close-in weapons systems

    2x RBU-6000 anti-submarine mortars

    10x (2 quin) 533mm torpedo tubes

    Armor: Splinter plating

    Aircraft carried: 1 Ka-25 or Ka-27 helicopter

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:30
Russian Foreign Minister Sergei Lavrov, Syrian Foreign Minister Walid Muallem, US Secretary of State John Kerry

Russian Foreign Minister Sergei Lavrov, Syrian Foreign Minister Walid Muallem, US Secretary of State John Kerry

12/09/2013 Par Pierre Avril – LeFigaro.fr

 

Le secrétaire d'État américain John Kerry et son homologue russe, Sergueï Lavrov doivent se rencontrer ce jeudi, à Genève, pour discuter de la stratégie à adopter pour placer sous contrôle l'arsenal chimique syrien.

 

Tout comme Moscou et Washington avaient collaboré au début des années 90 au programme de démantèlement des armes de destruction massive sur le territoire de l'ex-URSS, les deux puissances vont s'atteler à partir de ce soir aux stocks d'armes chimiques de Damas. Dans son édition du jour, le quotidien Kommersant dresse les grandes lignes du plan russe qui a été transmis dès mardi à la partie américaine et sur lequel plancheront ce soir à Genève, le secrétaire d'Etat américain, John Kerry et son homologue russe, Sergueï Lavrov. Ce document devrait s'inspirer du programme américain baptisé Nunn-Lugar, aujourd'hui en sommeil et qui avait permis il y a vingt ans une coopération bilatérale sur la destruction des armes soviétiques. Ancien président de la commission des Affaires étrangères du Sénat, Richard Lugar est justement l'un des émissaires qui s'était rendu à Moscou à l'été 2012 afin de discuter, déjà, avec des officiels russes, de la possibilité de mettre la main sur le programme d'armes chimiques syrien, dans le cas où le régime de Bachar el-Assad devait tomber.

 

Suite de l'article

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 11:30
Syrie: l'Armée syrienne libre rejette le plan russe sur les armes chimiques

12/09/2013 Par LEXPRESS.fr

 

Le plan présenté par Moscou à Washington mercredi ne satisfait pas les rebelles de l'ASL, qui le rejettent catégoriquement. Le projet doit être discuté ce jeudi à Genève.

 

La perspective de la mise en place d'un plan de contrôle des armes chimique syriennes ne satisfait par les rebelles de l'Armée syrienne libre. L'ASL a rejeté avec force ce jeudi la proposition qui prévoit de placer les armes chimiques du régime syrien sous contrôle international.

 

Suite de l’article

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 07:20
Senior US Senator Praises Russia for Syria Initiative

WASHINGTON, September 11 (RIA Novosti)

 

The head of the US Senate Intelligence Committee on Wednesday delivered an impassioned speech backing the use of American military force against Syria if diplomatic efforts fail, but also praising Russia for proposing a plan to have Syria place its chemical weapons under international control.

“I’d like to take a minute to give Russia credit for bringing forward this plan for a negotiated solution to the conflict. … Russia is sincere, wants to see a United Nations resolution and supports the Geneva process, which would accompany a negotiated settlement to Syria’s civil war,” Sen. Dianne Feinstein said on the Senate floor.

The Democratic senator from California met earlier this week with Russia’s ambassador to the United States, Sergey Kislyak, to discuss Moscow’s push to get the Syrian government to relinquish control of its chemical weapons stockpile.

Some US lawmakers backing military action against Syria for its alleged use of chemical weapons on Aug. 21 outside Damascus have questioned Russia’s sincerity, saying Moscow is using its plan as a stalling tactic to delay the use of force against the government of Syrian President Bashar Assad.

But Feinstein on Wednesday said Washington and Moscow should work together to eliminate Syria’s chemical arsenal. “Based on my conversation with Ambassador Kislyak, I believe that Russia’s goal is in fact to eliminate these weapons, and I would point out that that is also our goal,” Feinstein said.

“The ball really is in Russia’s court. Russia is the leader in this. I trust that it is sincere. I trust that Russia and the United States will come together and bring the other parties together and that it will be possible for the United Nations to act so the United States won’t have to,” she added.

But Feinstein also cautioned Moscow against delaying the process.

“Russia’s responsibility to get this done is enormous, and to move with all deliberate speed,” she said. “I think Russia and Syria must understand that the way to forestall a United States strike on Syria is for there to be a good-faith agreement and process underway to put all of Syria’s chemical weapons … under international control for eventual demolition.”

While saying that she hoped military force against Syria would not be necessary, Feinstein told her fellow senators that “the Assad regime has repeatedly used chemical weapons” and laid out some of the intelligence that she claimed shows that the Syrian government was behind the Aug. 21 attack that Washington says killed more than 1,400 people.

She also described in graphic detail the effects of the apparent chemical weapons attack on its victims, urging people to look at videos posted on the Senate Intelligence Committee website. “For me, the videos and watching them shows the abhorrence of chemical weapons. It shows why we must do something,” Feinstein said.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 17:40
Russian Army to Receive Vityaz Air Defense Systems in 2016

MOSCOW, September 11 (RIA Novosti)

 

Russia’s Almaz-Antei defense corporation is planning to start deliveries of its newest S-350E Vityaz mid-range air defense system to the Russian army in 2016, the company said Wednesday.

The Vityaz, which is expected to replace the outdated S-300 systems, was showcased for the first time during the recent MAKS-2013 airshow near Moscow.

“We are planning to complete [Vityaz] testing in 2014, [and] start mass production in 2015 and deliveries to the military in 2016,” Almaz-Antey general director Vitaly Neskorodov told RIA Novosti.

The system has been in the works since 2007 and features advanced all-aspect phased array radar, a new mobile command post and a launcher capable of carrying 12 vertical-launch missiles planned to be variants of the 9M96 active radar homing missile, according to the company.

The Vityaz will complement the Morfey, the S-400 and the S-500 air defense systems in the future aerospace defense network to engage targets at ranges from five to 400 kilometers, and at altitudes from five meters to near space.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 17:40
Russia Set to Launch Rokot Rocket After Long Suspension

The light payload Rokot launch vehicle

 

PLESETSK, September 11 (RIA Novosti)

 

Russia will launch a light-class Rokot carrier rocket early on Thursday following a nine-month suspension due to attempts to fix a glitch in the rocket’s booster, a Russian Defense Ministry’s spokesman said Wednesday.

 

“The launch of a Rokot carrier rocket with three Gonets-M telecom satellites from the Plesetsk space center is scheduled for 3:23 a.m. Moscow time on Thursday [23:23 GMT Wednesday],” Col. Alexey Zolotukhin said.

 

All launches of Rokots were suspended in January after the rocket’s Briz-KM booster failed to deliver three military satellites into their designated orbits, resulting in the loss of one of the satellites.

 

The light-class Rokot launch vehicle is a modified version of the Russian RS-18 (SS-19 Stiletto) intercontinental ballistic missile. It uses the two original lower stages of the ICBM, in conjunction with an upper-stage block containing the Breeze-KM booster and space-bound payloads.

 

According to the Russian Defense Ministry, a total of 16 Rokot launches have been carried out from the Plesetsk site since the first launch on May 16, 2000.

 

The Gonets-M satellites will be part of Russia’s low-orbit grouping of telecoms satellites designed to provide communications services for remote areas of Russia.

 

As of September 2013, the grouping consists of three Gonets-M and two Gonets-D1 satellites.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 17:40
Development of S-500 Air Defense System on Schedule – Maker

MOSCOW, September 11 (RIA Novosti)

 

The development of Russia's formidable S-500 air defense system will be completed in 2015, and the system could be put in service with the Russian military as early as in 2017, the manufacturer, Almaz-Antey, said Wednesday.

 

“We must finish the S-500 development in 2015. There have been no changes in schedule,” Almaz-Antey general director Vitaly Neskorodov told RIA Novosti, commenting on reports that the development could be delayed.

 

“The testing will take two or three years, so the first deliveries could take place in 2017-2018,” Neskorodov said.

 

The S-500, a long-range air defense missile system, is expected to become the backbone of a unified aerospace defense system being formed in Russia.

 

The system will have an extended range of up to 600 kilometers (370 miles) and simultaneously engage up to 10 targets.

 

The Russian military has demanded that the system must be capable of intercepting ballistic missiles and hypersonic cruise missiles, and plans to order at least 10 battalions of S-500s for the future Russian Aerospace Defense Forces.

 

The S-500 could become a trump card in Russia’s response to the US-backed European missile shield, which Moscow believes may threaten Russia’s nuclear deterrent.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 17:40
polygone ukrainien Nitka - Photo spotters_net_ua

polygone ukrainien Nitka - Photo spotters_net_ua

MOSCOU, 11 septembre - RIA Novosti

 

La Russie a officiellement informé les autorités ukrainiennes qu'à partir de 2014, elle ne comptait plus utiliser le polygone Nitka (Crimée) pour la formation de ses pilotes pour l'aviation de la marine russe, écrit mercredi le quotidien Novye Izvestia.

 

Le ministère ukrainien de la Défense avait déjà annoncé son intention de mettre le polygone à disposition d'autres Etats – la Chine et l’Inde notamment - pour qu’ils forment leurs pilotes.

 

L'agence RIA Novosti a dévoilé cette information en se référant à une source du ministère de la Défense russe. Jusqu'à hier soir le ministère ukrainien de la Défense n'avait fait aucun commentaire. L'abandon du polygone en Ukraine est dû au fait que la construction du nouveau complexe russe Nitka est pratiquement achevée sur le littoral de la mer Noire à Eïsk. On affirme même que mi-juillet les avions MiG-29KUB y ont effectué leurs premiers vols d'entraînement. Toutefois ces informations ne se recoupent pas avec les récentes déclarations des représentants du ministère de la Défense russe. L'amiral Viktor Tchirkov, commandant de la marine, avait notamment annoncé que le simulateur d'Eïsk ne serait complètement mis en service que fin 2013-début 2014.

 

D'après les experts ukrainiens, ce renoncement russe n’était pas une surprise. "Cette décision était attendue par l'Ukraine car Kiev est au courant de la construction d'un polygone identique en Russie", a déclaré Alexeï Melnik, codirecteur des programmes de politique étrangère et de sécurité internationale au centre Razoumkov.

 

En service depuis 1982, Nitka est un centre d'entraînement pour l’aviation situé sur l'aérodrome de Saki, en Crimée. Il sert à mettre au point les techniques de décollage et d'atterrissage sur un porte-avions. Le centre a la forme d'un aérodrome avec une rampe sous forme de pont d'envol, dont les dimensions sont équivalentes à la taille du pont de décollage du porte-avions russe Amiral Kouznetsov. Comme la flotte ukrainienne ne dispose pas de porte-avion, c'est donc la Russie qui utilise ce polygone. Un accord a été signé à cet effet entre les deux gouvernements en 1997 avant d’être ratifié par l'Ukraine en 2004.

 

Nitka est récemment devenu un problème dans les relations entre les deux pays. L'Ukraine n'était plus satisfaite par les conditions de la location, payée en pièces détachées pour les forces armées ukrainiennes. En août, à l’initiative du gouvernement ukrainien, des amendements ont été apportés à l'accord de 1997 prévoyant, entre autre, un paiement monétaire. Cette information a immédiatement suscité des discussions sur un éventuel retrait russe de Crimée.

 

En août dernier, le vice-ministre ukrainien de la Défense Vladimir Mojarovski a annoncé que l'armée russe n'était pas la seule à témoigner de l'intérêt pour le polygone. "L'Inde et la Chine sont notamment intéressées", a-t-il déclaré. Cependant, les experts sont très sceptiques quant à la perspective d’une apparition de militaires chinois et indiens sur le littoral de la mer Noire.

 

Alexeï Melnik estime pour sa part que le polygone sera simplement fermé, ce qui serait au final plus bénéfique qu’une location pour les autorités ukrainiennes.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 17:30
Tirs balistiques: les radars russes ont montré leurs capacités (général)

ACHOULOUK (région d'Astrakhan), 11 septembre - RIA Novosti

 

Le lancement de missiles-cibles israéliens en Méditerranée la semaine dernière a permis à la Russie de montrer ses capacités en matière de détection radar, poussant ses ennemis potentiels à tirer les conclusions qui s'imposent, a déclaré mercredi le vice-ministre russe de la Défense, le général Oleg Ostapenko.

"Nos ennemis potentiels ont tiré des conclusions. Nous avons montré de quoi nous étions capables et que nous pourrions utiliser nos possibilités au besoin", a affirmé le général interrogé par des journalistes.

La semaine dernière, les systèmes d'alerte précoce russes ont détecté le tir de deux "engins balistiques" dans l'est de la Méditerranée. Leurs trajectoires laissaient supposer que les tirs étaient dirigés contre la Syrie. Le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou en a immédiatement informé le président Vladimir Poutine.

Après avoir nié au départ son implication dans cet épisode, le ministère israélien de la Défense a par la suite avoué avoir testé avec le Pentagone un système de défense antimissile.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 12:40
AK-12 photo Cslava2003

AK-12 photo Cslava2003

September 9, 2013: Strategy page

 

The Russian military has agreed to adopt the new AK-12 assault rifle as part of its new “future soldier” (Ratnik) set of gear for its infantry. The U.S. pioneered this concept in the 1980s ("Land Warrior") and has since introduced new body armor, personal communications, wearable computers, night vision devices, and personal medical equipment. Several European countries have followed, especially the German Infanterist der Zukunft (“Infantryman Of The Future”), and now Russia has done the same. Unlike the United States, Russia has agreed to include a new rifle design (AK-12) as part of its Ratnik gear. There was a lot of opposition to the AK-12 within the Russian high command, but at the troop level there was an even more vigorous and louder call for something to replace the Cold War era AK-74. The entire Ratnik collection will undergo final acceptance tests before the end of the year. All the items of Ratnik (firearms, body armor, optic, communication and navigation devices, medical, and power supply systems plus uniform items including knee and elbow pads) have been tested and accepted. A new rifle has been more of a problem.

 

The army has made several attempts to develop and introduce a replacement for the AK-74. Some special operations units got the new AN-94 in the 1990s, but most troops are still using elderly (in design and manufacture) AK-74s. The troops want something that can match the improvements in Western assault rifles. The firm that designed most Russian assault rifles since the 1940s has designed a new assault rifle in response to that but the Russian Defense Ministry stalled efforts to even test it. That resistance was finally overcome and the AK-12 recently passed the tests.

 

It was only last year that the two century old Russian firm (Izhmash) that has produced assault rifles since World War II announced the arrival of their fifth generation assault rifle. Called the AK-12 it uses a lot of the basic AK-47 design principles but adds many new features popular in Western assault rifles. The AK-12 is but the latest in a long line of innovative Russian infantry weapons. Appearing for the first time towards the end of World War II, assault rifles have since become the standard infantry weapon, almost entirely replacing bolt-action and semi-automatic rifles. The first generation AK was the AK-47, in the late 1940s, followed by the AKM in the 1960s, then the AK-74 (which was very similar to the U.S. M-16) in the 1970s, and limited numbers of the AN-94 (a much improved AK-74) in the 1990s. Over fifty million AK-47s and AKMs were made, most of them outside Russia. Production, on a small scale, continues. It is still the most numerous assault rifle in use.

 

photo Vitaly V. Kuzmin

photo Vitaly V. Kuzmin

The AK-12 is a 3.3 kg (7.3 pound) weapon that is 943mm (37.1 inches) long with a 415mm (16.3 inch) barrel. It can be fitted to fire one of four calibers: the original 7.62x39mm of the AK-47/AKM, the 5.56x45mm of the M-16, the 5.45x39mm of the AK-74, or the 7.62x51mm NATO rifle/machine-gun round. The AK-12 can use all AK-47/AKM magazines when firing 7.62x39mm ammo.

 

There are a lot of small but important changes in the AK-12. The stock is adjustable. The charging handle is easily used whether you are left or right handed. There is an improved safety switch, pistol grip, hinged top cover, muzzle break, iron sight, and (smaller) ejection port. The AK-12 has Picatinny rails (the U.S. developed standard for attaching all sorts of accessories). The fire control switch now allows for single shot, full automatic, and three round bursts. The AK-12 is inherently more accurate because of improved barrel rifling. The AK-12 handles more easily, has longer effective range (up to 600 meters), and apparently has the same ruggedness of the original AK-47. That last item is being put to the test, as the Russian military has agreed to put some AK-12s into the field, where their performance under combat conditions can be monitored.

 

The AK-12 is the second attempt since the end of the Cold War (in 1991) to develop a worthy successor to the AK-47. Earlier efforts had not been entirely successful. Part of the problem was that there was not a pressing need for a new AK in Russia. For example, in 2011, Russia stopped buying new AK-74 rifles. Since they already have ten million AK assault rifles (most of them older AK-47 and AKM models) in stock and only a million troops on active duty (and about as many in reserve units) buying more assault rifles was deemed wasteful. This did not stop the purchase of special small arms for commandos and other specialist combat units.

 

The new policy did not stop work on the new AK-12 (also called the AK-200). This weapon was originally based on the 5.45mm AK-74, which replaced the 7.62mm AK-47/AKM series as the standard infantry weapon towards the end of the Cold War. The AK-74 entered service in the 1970s and twenty years later a replacement was developed, the AN-94. This rifle used the 5.45mm round first seen in the AK-74 but was able to use larger (45-round and 60-round) magazines. The AN-94 also had burst fire (of two rounds, while Western rifles tend to use three rounds).

 

The AN-94 was supposed to replace all AK-74s in Russian service but due to the dissolution of the Soviet Union in 1991, and sharp cuts in the defense budget, this did not happen. There were also concerns about the mechanical complexity and reliability of the AN-94. That's apparently why the AK-12 was not based on the AN-94. One AN-94 feature that was adopted for the AK-12 was a 60 round magazine.

 

Meanwhile, an improved AK-74M was introduced in 1991, and is still in service. This is a 3.4 kg (7.5 pound), 94.3 cm (37.1 inch) weapon with a 41.5 cm (16.3 inch) barrel. It has rails for sights and such and can use a 30 or 45 round magazine. Rate of fire is 650 RPM on full auto, and max effective range was 600 meters. The AK-74 looked like an AK-47 and used the same technology.

 

Some five million AK-74s were built, most before the Cold War ended in 1991. North Korea manufactures a copy of the AK-74 called the Type 98. The AK-74M was the basis for the AK-12, and the two weapons are very similar, with the new rifle having more flexibility and capacity for accessories.

 

Meanwhile, several additional AK-74 variants have been developed and put on the market. The AK-101 fires the 5.56mm NATO round and has a 30-round clip. The AK-103 fires the 7.62x39mm round used in the original AK-47, for those who have concerns about the ability of the 5.45mm round to stop enemy troops. The AK-102, 104, and 105 are compact rifles designed for the export market and are available in 5.56mm NATO, 7.62x39mm, and 5.45x39mm calibers. All have 30-round magazines. This proliferation of models is meant to handle niche markets, which manufacturers of cheap AK-47s are not interested in. The AK-12 will be another something special, in this case Russian 21st century infantry.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 12:40
Russia unveils plans for new anti-missile system, 5th-generation fighter jet

Sep 10, 2013 (Voice of Russia)

 

Moscow  - Russia is developing a fifth-generation unmanned fighter jet and a completely new missile defense system which can simultaneously engage several supersonic targets in space, it has been revealed at the MAKS-2013 airshow.

 

The fifth-generation unmanned aircraft, weighing in at around 20 tons, takes after the T-50 fighter jet, with most of its characteristics modeled after it, Mikhail Pogosyan, president of Russia's united aircraft-building corporation, told RIA Novosti at the MAKS-2013 show in Zhukovsky, just outside Moscow, which displayed the latest in air combat technology.

 

"We are working in accordance with plans developed together with the Defense Ministry. At this stage this implies further preliminary testing. The current stage is largely based on the technological breakthroughs we have achieved in the framework of the 'fifth generation' program," Pogosyan told the Russian ITAR-TASS agency, in reference to the upcoming drone.

 

With a fifth-generation PAK-FA heavy attack jet already developed and planned to enter service in 2016, Russian aviation is also looking to the future of air combat, conducting research and development for aircraft that can dominate airspace by the mid-21st century.

 

The news comes on the heels of a Thursday announcement by the Russian aircraft construction corporation, which signed a $90 billion deal with the Defense Ministry. Under the contract, the ministry will have its technology and equipment built and serviced by Russia's aircraft builders for the next three years, Pogosyan said at the MAKS-2013 show.

 

National media reports that on top of the new deal, another $3 billion contract has come into effect, stipulating, aside from the servicing of equipment, that the Defense Ministry shall receive 65 new fighter jets by the end of 2013.

 

Another exciting development in the Russian high-tech weapons market is the possible 2017 launch of the promising S-500 anti-aircraft missile system. The Friday news comes courtesy of a top Ministry of Defense figure, speaking to ITAR-TASS.

 

"A promising anti-aircraft missile system S-500 is being designed now," the source said. "The Armed Forces may have it in 2017." The special feature of the formidable new lineup is the ability to lock on to and engage multiple targets in space, never allowing them to reach Russian airspace.

 

Moscow has been making attempting leaps in combat technology - especially missile defense - given the uneasy international climate it finds itself in currently. The plan for a better missile defense is a direct answer to the United States' idea for a missile shield in Europe, which it says is for defensive purposes against unpredictable regimes such as Iran and North Korea. Russia is not feeling very secure with the proposed system to be so close to its territories.

 

Aside from the pursuit of fifth-generation technologies, Russia is also actively developing an unmanned sixth generation aircraft, said a former Air Force commander. Unlike NATO allies who will use American F-35 5Gs, self-sufficiency is an absolute must for Russia, said the commander, so 6G evolution is inevitable.

 

With regard to missile defense, Russia is currently using the S-400 Triumph, which has a range of 400 kilometers. Russian President Vladimir Putin says the Armed Forces are to acquire 28 systems from the current lineup over the next 10 years.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 12:40
Russia Gets The Gunship Revolution

September 11, 2013: Strategy Page

 

Russia is replacing its 250 Mi-24 helicopter gunships with 300 Mi-28s. The Mi-28N is a much more complex aircraft than the Mi-24 and requires more skillful and better trained pilots. To deal with this problem the Russian Air Force recently ordered 60 Mi-28UB helicopter trainers. The UB model has dual controls that enable an instructor to also control the helicopter (from the weapons systems operator’s seat). Each squadron will receive 4-6 of the UB model to help build and maintain pilot skills. Russia plans to replace all its Mi-24s with the more modern Mi-28s by 2015.

Mi-28UB

Mi-28UB

The older Mi-24 helicopter gunship has been in service for over four decades. It is a twelve ton chopper based on the Mi-8/17 transport. The U.S. did the same thing with the AH-1, developing it from the UH-1 "Huey" in the 1960s. But rather than adopt the radical redesign seen in the AH-1 and AH-64 Apache, the Mi-24 could still carry troops or cargo in the back and was not as nimble as the AH-1. The 11 ton Mi-28 looks more like the AH-64. That's because, by the end of the 1960s, the Russians realized that the AH-1 design was superior. For several years there was intense competition, to decide which of its two new helicopter gunship designs (the Ka-50 and Mi-28N) to make standard. The Mi-28N is a more capable helicopter, costing about the same as the earlier American AH-64A ($15 million each).

 

Mi-28N source Rostec

Mi-28N source Rostec

The Mi-28N "Night Hunter" is an all-weather, night attack version of the 1980s era Mi-28A, with added FLIR (night vision sensor), night fighting optics, and a two man crew. The basic Mi-28 is an 11.6 ton helicopter that can carry 1.6 tons of rockets and missiles. The aircraft also has a 30mm cannon. The cockpit for the two man crew is armored and the helicopter has missile countermeasures (chaff and flares), GPS, head up display, laser designator, and other gadgets. The Mi-28N has a top speed of 300 kilometers an hour and a one way range of 1,100 kilometers. It can carry up to 16 anti-tank missiles (with a range of up to eight kilometers). The helicopter can also carry 80mm rockets, bombs, or fuel for additional range. The Mi-28 has been around in small quantities for two decades but the Mi-28N is the most advanced model, on par with the American AH-64D gunship (which is a little lighter). The first version of the Mi-28N was shown in 1996, although the manufacturer, Mil, wasn't ready to offer it for sale until 2004. The fact that the basic Mi-28 had been around for decades and was known to be reliable and effective made it an easy, and safe, choice for the Mi-24 replacement. The Mi-28UB solves the problem of quickly getting new pilots up to speed on how to handle this much more capable gunship.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 12:30
Initiative russe/Syrie: l'Otan attend des éclaircissements

BRUXELLES, 11 septembre - RIA Novosti

 

L'initiative russe visant à placer les armes chimiques syriennes sous contrôle international nécessite des éclaircissements, a déclaré mercredi à RIA Novosti un fonctionnaire du siège de l'Otan à Bruxelles, désireux de garder l'anonymat.

 

"Les efforts visant à contrôler et à détruire définitivement les armes chimiques en Syrie sont positifs et nous soutenons l'Onu dans ce domaine, toutefois le détail de ces propositions (russes) n'est pas clair pour le moment", a indiqué l'interlocuteur de l'agence.

 

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a appelé lundi la Syrie à placer ses arsenaux chimiques sous contrôle international, ultimatum avancé auparavant par le secrétaire d'Etat américain John Kerry. Damas a accepté cette proposition qui, selon Moscou, permettrait d'éviter une frappe militaire américaine.

 

Lundi soir, le président Obama a déclaré que Washington était prêt à reporter son opération militaire contre le régime de Damas en cas de succès de l'initiative en question.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 12:30
Moscou suggère un contrôle des armes chimiques syriennes

MOSCOU, 11 septembre - RIA Novosti

 

Moscou propose de placer sous contrôle les réserves d'armes chimiques syriennes, si le pouvoir en place dans le pays l'acceptait. Cette suggestion a été soutenue par de nombreux pays dont les Etats-Unis, écrit mercredi le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

 

"Les autorités américaines veulent étudier attentivement l'initiative de la Russie visant à régler le problème de l'arme chimique syrienne", a déclaré lundi dernier la porte-parole du département d'Etat Marie Harf. Quant au président Barack Obama, il a fixé à Bachar al-Assad un ultimatum d'une semaine pour prendre une décision bien que le ministre syrien des Affaires étrangères Walid Mouallem ait déjà annoncé que les autorités du pays étaient "d'accord avec l'initiative russe" et qu’elles réagissaient ainsi, a-t-il ajouté, "pour couper l'herbe sous les pieds de l'agression américaine".

 

Même si cette initiative était acceptée par tous les intéressés, le problème ne se règlerait pas de lui-même pour autant, affirment les experts. Car contrairement à une cinquantaine d'autres pays la Syrie n'a pas signé la Convention qui interdit de mettre au point, fabriquer, stocker ou utiliser des armes chimiques et contraint les pays qui en détiennent à les détruire. Par conséquent, elle n'a pas rapporté à l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) de la Haye le nombre d'armes chimiques qu’elle possède, leur composition, les bases de déploiement et les moyens de sécurité déployés sur le territoire du pays. Selon les renseignements américains, russes et d'autres pays, Damas posséderait près de 1 000 tonnes de produits toxiques militaires. On suppose qu'il s'agit du gaz vésicant ypérite (gaz moutarde) et du gaz neurotoxique soman. Ces informations n'ont jamais été officiellement confirmées.

 

Mais la question n'est pas là. Si la Syrie acceptait de soumettre ses armes chimiques au contrôle international, par qui et comment serait-il supervisé ? Par la Russie, les USA, les pays de l'Otan, les pays arabes, la Chine ? Dans l'exemple du Kosovo, certaines régions avaient été placées sous le contrôle des forces armées d'autres pays. Mais la communauté internationale, divisée sur son approche de la guerre civile et religieuse en Syrie, est-elle prête à un tel accord ?

 

Admettons que tout le monde tombe d'accord et que les armes chimiques syriennes soient sous contrôle. Que faire ensuite ? Il serait nécessaire de construire une usine pour les détruire car il est pratiquement impossible de les enterrer au fond de l'océan ou de les brûler, ou encore les déplacer ailleurs pour les recycler.

 

Selon Alexandre Gorbovski, expert de la Croix verte russe et membre du Conseil international pour la sécurité chimique, la première chose qui devrait être faite par la Syrie si elle voulait placer ses armes chimiques sous le contrôle des forces internationales, c'est de signer la Convention sur l'interdiction des armes chimiques et transmettre, conformément à la procédure, tous les produits toxiques à l'OIAC. Cette organisation serait alors responsable de la protection et du recyclage des poisons – ce fut le cas en Libye lorsque Mouammar Kadhafi avait placé ses armes chimiques (près de 1 000 tonnes) sous la responsabilité de l'OIAC.

 

L'OIAC a transporté ces armes dans un désert et les a progressivement détruites avec un dispositif mobile. Mais il n'y avait pas de guerre civile en Libye à cette époque. L'expert n'a pas expliqué comment il serait possible de le faire dans les conditions du conflit sanglant en Syrie.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 12:30
S-300VM Anteï-2500 - photo Vitaly V. Kuzmin

S-300VM Anteï-2500 - photo Vitaly V. Kuzmin

MOSCOU, 11 septembre - RIA Novosti

 

Les autorités russes ont décidé d'aller dans le sens de l'Iran sur deux questions fondamentales: les livraisons de systèmes antiaériens S-300 modifiés et la construction d'un second réacteur à la centrale nucléaire de Bouchehr, écrit mercredi le quotidien Kommersant.

 

Selon une source proche du Kremlin, le président Vladimir Poutine a déjà ordonné l'élaboration de deux accords à cet effet, dont il discutera les détails vendredi prochain lors de son premier entretien avec le nouveau président iranien Hassan Rohani.

 

Selon la source du journal, la Russie fournira à l'Iran cinq divisions de systèmes sol-air S-300VM Anteï-2500 (version modifiée du S-300V prévue pour l’exportation). Condition de la transaction? Le retrait de la plainte déposée par Téhéran contre Rosoboronexport, l'exportateur russe d'armes, réclamant 4 milliards de dollars pour la rupture du contrat précédent.

 

Le contrat d’environ 800 millions de dollars pour la fourniture à l'Iran de cinq divisions de S-300 (version PMU-1) a été signé en 2007. Trois ans plus tard le Conseil de sécurité des Nations unies avait adopté des sanctions contre l'Iran, comprenant l'interdiction de lui vendre des armes modernes. En septembre 2010, le président Dmitri Medvedev avait alors signé un décret pour mettre en application cette résolution et même adopter des sanctions plus sévères qu'il n'était prévu par la décision du Conseil de sécurité. En particulier, le contrat pour la livraison des S-300 avait été annulé. L'Iran avait alors saisi la cour d'arbitrage de Genève pour attaquer Rosoboronexport, suite à quoi la Russie avait proposé un accord à l'amiable en promettant des systèmes sol-air Tor-M1E. Cet échange avait été rejeté par l'Iran.

 

Cette fois Téhéran devrait accepter les livraisons d'Anteï-2500. "Ce système est même meilleur pour l'Iran que le S-300PMU-1: il est plus efficace pour contrer les missiles, explique Vladimir Evseev, directeur du Centre d'études sociopolitiques. Et si l'Iran était attaqué, ce serait d’abord par des missiles. De ce fait, Anteï-2500 convient parfaitement pour les fins défensives de l'Iran." Selon l'expert, les Anteï-2500 ne sont pas formellement concernés par le décret de Medvedev.

 

La seconde directive de Poutine concerne la coopération dans le secteur nucléaire: selon la source, Moscou serait prêt à signer avec Téhéran un accord pour la construction d'un second réacteur à Bouchehr. "Ce projet n'est pas très rentable du point de vue économique pour la Russie – il est plutôt politique", déclare la source de Kommersant.

 

Vladimir Poutine a l'intention d'évoquer ces deux thèmes avec le nouveau président Hassan Rohani le 13 septembre, lors de leur première rencontre en marge du sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) à Bichkek. "Ils discuteront de la coopération nucléaire, y compris à la centrale de Bouchehr – ce thème ne peut pas être évité", a déclaré le porte-parole du président russe Dmitri Peskov, ajoutant que les questions de coopération militaro-technique étaient également à l'ordre du jour.

 

Selon les experts, le point de vue commun des deux pays sur la situation en Syrie est un argument de poids pour le rapprochement de Moscou et Téhéran. "Nous nous sommes retrouvés dans la même barque. Nous voyons différemment l'avenir de la Syrie du point de vue stratégique mais sur le plan tactique les deux pays s'opposent à l'intervention des USA", déclare Vladimir Evseev. Selon les experts les différends entre la Russie et l'Occident, notamment les USA, s'accentuent, ce qui contribue également au rapprochement entre les deux pays. "Lors du dernier G20 Poutine s’est comporté comme un hôte qui ne cherchait pas la confrontation. Mais le sommet est terminé et cette fois il peut s'exprimer et riposter à l'annulation du sommet de Moscou par les Américains et à la sévère critique de la Russie vis-à-vis de sa position sur la Syrie, explique le président du centre PIR Vladimir Orlov. L'entretien avec le nouveau président iranien est très opportun." Toutefois, l'expert précise que l'intensité du rapprochement avec l'Iran dépendra principalement de l'évolution des relations entre la Russie et les Etats-Unis.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 11:30
Conflit en Syrie - présence militaire en Méditerranée - RTBF-Imagique 06.09.2013

Conflit en Syrie - présence militaire en Méditerranée - RTBF-Imagique 06.09.2013

MOSCOU, 11 septembre - RIA Novosti

 

L'ambassadeur américain en Russie Michael McFaul a démenti les informations parues dans les médias occidentaux sur un échange entre Moscou et Damas de renseignements concernant les déplacements de navires US en Méditerranée, a annoncé mercredi la chaîne télévisée CNN.

"Je ne suis pas du tout au courant de l'échange de renseignements sur les manœuvres militaires américaines", a déclaré l'ambassadeur dans une interview accordée à la CNN.

Toutefois, le diplomate estime que la coopération militaire entre la Russie et la Syrie se poursuit dans son ensemble. Il tire ses conclusions en se basant sur l'intervention du président russe Vladimir Poutine faite à l'issue du sommet du G20 de Saint-Pétersbour

A la question de savoir si la Russie allait soutenir la Syrie en cas de frappe militaire, le chef de l'Etat russe avait répondu par l'affirmative.

"Soutiendrons-nous la Syrie? Sans aucun doute. Tout comme nous le faisons actuellement. Nous livrons des armes, nous sommes en coopération dans le domaine économique. Et j'espère qu'il y aura davantage de coopération humanitaire, dont l'aide humanitaire destinée aux civils qui se trouvent actuellement dans une situation très difficile", a déclaré le président russe.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 07:40
Russia Sets ‘New Rules’ For Naval Shipbuilders – Report

MOSCOW, September 6 (RIA Novosti)

 

A senior Russian defense official has unveiled “new rules” for the country’s military shipbuilding industry in a bid to shake up warship production, Kommersant daily reported Friday.

Citing unnamed sources who attended the closed-door meeting at the Krylovsky research center in St. Petersburg, Kommersant said Deputy Defense Minister Yury Borisov’s address “in fact set out new rules of the game” in the shipbuilding industry. Similar meetings will soon take place on the military aerospace and space sectors, the sources told the paper.

Borisov said Russia's new military shipbuilding program until 2050, which has to be drafted by November, should primarily focus “on quality.” He said less funding will be provided for the program than previously, but did not say by how much.

The new naval shipbuilding program will cut the number of ship types while increasing their number, and also ensure more efficient budget spending throughout the entire life cycle of each ship, Borisov said according to Kommersant.

“We need ships that will serve 50 years, not 30 years and that can undergo five or six modernizations,” Borisov said, the paper reported, adding that it was important to encourage shipbuilders to build fewer ships of better quality.

Under the rearmament program for the period until 2020, some 5 trillion rubles ($150 billion) has been allocated for the Navy, Borisov said, of which 47 per cent will go into building new ships.

Borisov criticized previous state rearmament programs, that he said had not been fulfilled due to “wrong assessment of planned spending, the high inflation rate, low level of prepayment, underestimated costs and out of control growth in prices” for warships. He compared the cost of building a ship to the "budget of a city," saying pricing is a burning issue for the industry, the report said.

Borisov’s ultimatum to the industry is the latest in a series of direct addresses by senior Russian officials to naval shipbuilders, and in particular the United Shipbuilding Corporation.

Last May, President Vladimir Putin fired the corporation’s boss Andrei Dyachkov after just ten months in the job, replacing him with the head of tank maker Vladimir Shmakov, with a brief to shake up the sector.

In August, Deputy Prime Minister Dmitry Rogozin, who oversees the defense industry, said all contracts for naval ships should be “unified,” including all systems on board including weapons, in a bid to keep control of costs.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 07:40
Moscou veut une "ceinture antidrogue" autour de l'Afghanistan

ASTANA (Kazakhstan), 10 septembre - RIA Novosti

 

Le ministre russe de l'Intérieur Vladimir Kolokoltsev a invité mardi ses homologues des pays membres de la Communauté des Etats indépendants à mettre en place une zone de sécurité antidrogue le long des frontières afghanes.

 

"J'ai proposé de créer une ceinture antidrogue autour de l'Afghanistan. Ma proposition est dictée par le fait que la principale menace de prolifération des stupéfiants émane de ce pays", a déclaré M. Kolokoltsev à l'issue d'une réunion des ministres de l'Intérieur de la CEI.

 

Selon M. Kolokoltsev, les policiers russes doivent prendre conjointement avec leurs collègues "toutes les mesures possibles prévues par le droit international".

 

Premier producteur mondial d'héroïne, l'Afghanistan a fourni en 2011 plus de 80% des substances opiacées fabriquées dans le monde. Selon le Service fédéral russe de contrôle des stupéfiants (FSKN), l'Afghanistan produit près de 150 milliards de doses d'héroïne et environ 30 milliards de doses de haschisch par an. Cette drogue arrive en Russie via le Tadjikistan et le Pakistan.

 

Le directeur du FSKN, Viktor Ivanov, a déclaré en avril dernier que jusqu'à 20.000 mercenaires opérant en Syrie étaient financés avec l'argent provenant du trafic de drogue afghane.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 07:30
Procurement : Fear Of Failure In Syria

September 9, 2013: Strategy Page

 

Russia has several arms deals with Syria that it says it will complete delivery on despite the international arms embargo on Syria. Russia is not much concerned with offending the international community by breaking the embargo. Russia has done that before, although it tries to be discreet about it and denies everything, or comes up with some imaginative excuses for its actions. But there are other reasons to hold back on delivery. One is that these weapons will probably get their first combat test and quite possibly fail. This will hurt future sales of these new weapons.

 

Poor performance in combat has long been a problem with Russian weapons. During the Arab-Israeli wars, and the 1991 liberation of Kuwait, Russian weapons performed poorly. The Russians blamed it on operator error, pointing out that some Israeli generals had confirmed this by saying they could have let the Arabs use Western systems while the Israelis used Russian weapons and Israel would still have won. Despite this, Russia often had to give away many of its weapons or provide such generous credit terms that it was, in effect, giving the stuff away. After the Soviet Union collapsed in 1991, at about the same time a U.S. led force walked over the Russian equipped Iraqi Army and won decisively in less than a hundred hours, the demand for Russian weapons sharply declined. Many Russian defense manufacturers disappeared in the 1990s, and those that survived were the most capable and able, with some help from the bankrupt Russian government to survive by selling their best stuff (which was often pretty good) to whoever was able to pay cash. China and India loaded up on a lot of decent Russian military tech which, before, was not exported. Only “monkey models” (with the best electronics and other features removed) were exported. After 1991 you could have whatever you wanted if you could pay. Even the U.S. bought some of this stuff, in order to see just how well American weapons would do against the best the Soviets had.

 

In the last decade that “anything goes” policy has changed, and now Russia is demanding more, and getting it, for their best stuff. But this works, in part, because the Russians have been able to boast of snazzy new features without being contradicted by a disappointing reality. So the Russians are holding back on delivering S-300 anti-aircraft systems to Syria because they fear that if these weapons (similar but, according to Russian salesmen, superior to the American Patriot) would be defeated in combat by Israeli or NATO warplanes.

 

Other weapons are less of a problem, if only because they are less complex and less expensive. For example, over the last year Russia had delivered dozens of their high-speed P-800/Yakhont missiles. These have a range of about 300 kilometers and a 200 kg (440 pound) warhead. Israel responded with air attacks on Syrian trucks and warehouses containing some of these missiles. Israel also accelerated installation of its new Barak 8 anti-aircraft/anti-missile systems in their three 1,075 ton Saar 5 class corvettes (a prime target for the Yakhont). Israel has indicated that these attacks will continue, despite opposition from the United States. The worse scenario for Russia is that Syria or Hezbollah will use Yakhonts against the Israeli ships equipped with Barak 8 and lose. This will be great for Barak 8 but terrible for Yakhont sales.

 

Russia has also delivered 6 of 36 Yak-130s Syria ordered (because that’s all Syria has been able to pay for). That's not a big deal because the Yak-130 is basically a trainer aircraft which, like many jet trainers, is built to do double duty as a light bomber. The ten ton Yak-130 can carry an external load of three tons (of bombs, missiles, cannon pod, or fuel tanks). Max range, on internal fuel, is 2,000 kilometers. Against modern fighters the two-seat Yak-130 is toast but it should have no problem bombing civilians. There’s no danger to sales here.

 

Syria is also waiting on 12 MiG-29M2 fighters from Russia. This Cold War relic already has a bad reputation. Like many Russia warplanes, it looks great on the spec sheet but the reality is that many MiG-29s have been shot down by Western fighters and the aircraft is known to be expensive to maintain. Syria is not desperate to get these MiG-29s, if only because they know they will be spending a lot to provide aerial targets for Western or Israeli fighter pilots. What really matter are the four S-300 batteries Syria has ordered and partially paid for. Meanwhile, Russia is already sending (by ship and air freight) a lot of more mundane items of military gear (small arms, vehicles, communications) which no one expects to perform miracles. The S-300 is different and the Russians are really concerned about the S-300 being revealed as more snazzy salesmanship but not much help in keeping hostile warplanes out of Syrian airspace.

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