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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 06:35
Chasseurs Su-35 pour la Chine: un contrat sera signé en 2014

MOSCOU, 7 septembre - RIA Novosti

 

La Russie et la Chine signeront un contrat sur la livraison de 24 chasseurs Sukhoi Su-35 à Pékin dès 2014, a annoncé samedi à Moscou le directeur général adjoint de l'Agence russe d'exportation d'armements (Rosoboronexport) Victor Komardine.

 

"Les négociations sont en cours, mais il est peu probable qu'un contrat soit signé avant la fin de l'année. Sa signature aura lieu en 2014. Les négociateurs chinois discutent des performances techniques de l'avion", a indiqué M.Komardine.

 

Selon M.Komardine, Pékin et Moscou mènent également des discussions sur les armements à installer à bord des Su-35 chinois. Mais cela doit faire l'objet d'un contrat spécial.

 

Le directeur général de Rosoboronexport Anatoli Issaïkine a annoncé en août dernier que la Chine se doterait de chasseurs Su-35 après un spectacle présenté par un groupe de voltige aérienne chinois au Salon aérospatial international MAKS-2013 dans la région de Moscou.

 

Le Sukhoi Su-35 est un chasseur polyvalent hautement manœuvrable de génération 4++. Sa vitesse maximale atteint 1.400 km/h près du sol et 2.400 km/h en altitude. L'appareil est capable de détecter des cibles volantes à plus de 400 km de distance.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 06:30
Russian Foreign Minister Sergei Lavrov, Syrian Foreign Minister Walid Muallem, US Secretary of State John Kerry

Russian Foreign Minister Sergei Lavrov, Syrian Foreign Minister Walid Muallem, US Secretary of State John Kerry

WASHINGTON, September 10 (RIA Novosti)

 

The top diplomats from the United States, Russia and Syria will meet this week to discuss Syria’s chemical weapons, media reports cited unnamed US officials as saying Tuesday.

The meeting between US Secretary of State John Kerry, Russian Foreign Minister Sergei Lavrov and Syrian Foreign Minister Walid Muallem is slated to be held in Geneva on Thursday, Reuters reported US officials as saying.

Reports of the planned meeting come as Washington awaits proposals from Russia on how Syria’s chemical weapons arsenal could be placed under international control and as US President Barack Obama’s administration pushes for domestic and international support for American military action against Syria.

Washington accuses Syrian President Bashar Assad’s government of carrying out a deadly Aug. 21 chemical weapons attack outside Damascus but has said it will examine Russian proposals aimed at preventing a US strike by ridding Syria of its chemical stockpiles.

Kerry said Tuesday that he expects proposals later in the day from Lavrov on how to secure Syria’s arsenal, adding that any deal must be backed by a binding UN Security Council resolution.

“He is sending those to us. They’ll be coming informally in the course of the day. We’ll have an opportunity to review them,” Kerry said during a Google+ hangout interview.

Kerry said any such plan would require a “full resolution from the Security Council in order to have confidence that this has the force that it has to have” and that it must include “consequences if games are played and somebody tries to undermine this.”

The Security Council had been set to hold closed consultations late Tuesday afternoon, The Associated Press cited a UN spokesman’s office as saying. But Australia’s ambassador to the UN, Gary Quinlan, said on his Twitter feed that the meeting had been canceled.

It was not immediately clear why the meeting was canceled, but CNN reported Tuesday that Russia had called it off.

In a Tuesday telephone call with French Foreign Minister Laurent Fabius, Lavrov called “unacceptable” a Security Council resolution proposed by France that would declare the Syrian government responsible for “the possible use of chemical weapons,” the Russian Foreign Ministry said in a statement.

Almost simultaneously with Kerry’s Google+ hangout interview, news emerged that Muallem had said Syria is ready to sign the Chemical Weapons Convention – an international ban on chemical weapons – and open its storage facilities to foreign governments.

“We intend to give up chemical weapons altogether,” Muallem said in an interview on Lebanon’s Al-Maydeen television network.

Asked about Muallem’s comments, Kerry welcomed them cautiously, saying he hopes the Assad government “would take advantage of this opportunity as a moment to try to make peace in Syria, genuinely reach out [and] live up to what they just said they would do with respect to the Chemical [Weapons] Convention.”

“I hope that perhaps in the next days they’d be willing to try to make that concrete,” Kerry said.

Earlier on Tuesday, Kerry appeared before the US House of Representatives’ Armed Services Committee where he cautioned that the Security Council should not be used as a stalling tactic to delay a possible US military strike.

“If the United Nations Security Council seeks to be the vehicle to make it happen, that cannot be allowed to simply become a debating society,” Kerry said. “We have to continue to show Syria, Russia and the world that we are not going to fall for stalling tactics.”

The international debate over the Syria standoff has shifted rapidly over the past 24 hours after Kerry proposed in an apparent offhand comment Monday that a US strike against Syrian targets could be averted if Damascus put “every single bit” of its chemical weapons under international control by week’s end.

Russia and Syria almost immediately welcomed the proposal, and Lavrov said earlier Tuesday that Moscow would soon put forward a “workable” plan for securing Syria’s chemical arsenal.

Russian President Vladimir Putin said Tuesday that the plan would only be feasible if the United States and its allies pledge not to use force in Syria but expressed hope that it would “be a good step toward a peaceful resolution of the crisis.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 06:20
Le Conseil de sécurité des Nations Unies (Photo: Archives/ONU)

Le Conseil de sécurité des Nations Unies (Photo: Archives/ONU)

10/09/2013 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

 

La réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU sur la Syrie qui devait débuter aujourd’hui mardi à 16h00, heure de New-York a été reportée jusqu’à nouvel ordre à la demande de la Russie, qui avait elle-même convoqué cette séance de consultations à huis clos.

 

Pendant ce temps, Washington, Moscou et Paris tentent toujours de trouver un terrain d’entente qui éloignerait la perspective de frappes contre le régime de Bachar al-Assad.

Il semble que la raison de ce report puisse être l’opposition de Moscou au projet de résolution français qui, non seulement réclame le démantèlement de l’arsenal syrien d’armes chimiques, mais prévoit aussi en dernier recours l’usage de la force pour contraindre Damas à respecter les obligations mentionnées dans le texte.

La France dans l’embarras

La proposition russe de placer l’arsenal chimique de la Syrie sous contrôle international offrait une porte de sortie bienvenue au président américain Barack Obama, dont le projet d’intervention en Syrie se heurte à une forte opposition de l’opinion publique américaine et pourrait même être rejeté par le Congrès américain, très divisé sur la question.

Le gouvernement syrien, saisissant la balle au bond, a pour sa part annoncé que la Syrie est prête à se joindre à la Convention sur l’interdiction des armes chimiques, ce qui mettrait automatiquement son arsenal chimique sous la supervision d’inspecteurs internationaux.

«Nous voulons nous joindre à la Convention sur l’interdiction des armes chimiques», a déclaré depuis Moscou le ministre syrien des Affaires étrangères Walid Mouallem, au lendemain de l’annonce de l’initiative diplomatique russe.

«Nous sommes prêts à annoncer où se trouvent les armes chimiques, à cesser la production d’armes chimiques et à montrer ces installations aux représentants de la Russie, d’autres pays et de l’ONU», a ajouté Walid Mouallem, précisant son adhésion à l’initiative russe traduisait la volonté de la Syrie, qui est réputée posséder 1.000 tone d’agents chimiques, ne plus posséder d’armes chimiques.

Mais, alors que la proposition a été accueillie avec un certain soulagement dans la plupart des capitales, le cas est plus complexe pour la France qui, après avoir claironné sa détermination à punir le régime syrien, se retrouve dans une situation quelque peu embarrassante.

Paris, accueillant avec beaucoup de réserves l’initiative russe, a alors posé des conditions et formulé un projet de résolution contraignant qu’elle s’apprêtait à déposer aujourd’hui au Conseil de sécurité de l’ONU pour crédibiliser la proposition de démanteler l’arsenal chimique syrien.

Le projet français prévoyait le contrôle et le démantèlement des armes chimiques syriennes ainsi que la mise en place d’un « dispositif complet d’inspection et de contrôle », selon le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius.

De plus, la France voudrait la résolution adoptée sous «chapitre 7» c’est-à-dire qu’elle autoriserait en dernier recours l’usage de la force pour contraindre Damas à respecter les obligations mentionnées dans le texte.

De surcroît, outre l’adhésion de la Syrie à la Convention de 1993 sur l’interdiction des armes chimiques, la résolution française prévoyait le déferrement des responsables du massacre du 21 août devant la Cour pénale internationale (CPI).

En fin de compte, après que des discussions informelles sur le projet français de résolution ont déjà eu lieu plus tôt aujourd’hui et que le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov ait jugé inacceptable le projet français, lors d’un entretien téléphonique avec son homologue français Laurent Fabius,la France a immédiatement fait savoir qu’elle était prête à «amender» son projet «dès lors que sont préservés ses grands principes et objectifs».

Les États-Unis devraient maintenir la pression

Pendant ce temps, aux États-Unis, le président Barack Obama a demandé du temps mardi aux sénateurs américains pour évaluer la crédibilité d’un éventuel plan international visant à neutraliser le stock d’armes chimiques syriennes, repoussant tout vote au Sénat au moins à la semaine prochaine.

Les élus convenaient que la meilleure stratégie était de ne pas voter dans l’immédiat et d’attendre que Washington et Moscou s’accordent sur la meilleure façon de faire céder à Damas le contrôle de ses armes chimiques.

Un nouveau projet de résolution serait en train d’être élaboré par un groupe de démocrates et républicains pour conditionner les frappes au respect d’un éventuel plan de désarmement avant une date limite.

Dans ce nouveau projet, l’autorisation du recours à la force serait conditionnelle et serait déclenchée seulement en cas d’échec du plan russe et comporterait une date limite spécifique pour que le Conseil de sécurité de l’ONU vote une résolution, et une date limite distincte pour que les inspecteurs vérifient que les Syriens ont bien transféré leurs armes chimiques.

Si ces deux conditions n’étaient pas remplies avant les dates limites spécifiées, l’autorisation serait alors donnée au président de déclencher une intervention.

Finalement, si on se fie au site de la Maison-Blanche, le président Obama prévoit toujours s’adresser à la Nation ce soir à 21h00, les efforts de son administration pour persuader le Congrès et le peuple américain du bien-fondé d’une intervention militaire si elle s’avérait nécessaire se poursuivant.

L’ex-secrétaire d’État, Hillary Clinton, soutenant pour sa part que c’est la menace crédible de frappes militaires qui a permis le déblocage que représente la proposition russe et soulignant la nécessité de maintenir la pression, a accordé son soutien au Président Obama.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 00:29
Syrie : réunion annulée à l'ONU, Hollande convoque un Conseil de défense

10/09/2013 - 21:20 JDD

 

La réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'Onu sur la Syrie, réclamée par la Russie et prévue pour 16h00 heure de New York (22h00 à Paris), a été annulée, Moscou ayant retiré sa demande, a annoncé mardi l'ambassadeur australien à l'Onu. "A la suite du retrait de la demande de consultations, la réunion du Conseil de sécurité (...) n'aura pas lieu", précise sur Twitter Gary Quinlan, dont le pays préside ce mois-ci le Conseil de sécurité.

 

La réunion devait être consacrée à la proposition russe de placer l'arsenal chimique syrien sous supervision internationale, ce que Damas a accepté. Dans un projet de résolution devant accompagner ce plan, les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne tiennent à ce que le régime du président Bachar al Assad soit désigné comme responsable de l'attaque chimique du 21 août dans la banlieue de Damas, ce que les Russes, pas convaincus de cette culpabilité, jugent "inacceptable".

 

Peu après cette annulation, l’Élysée a fait savoir dans un communiqué que le président François Hollande a décidé de convoquer un Conseil restreint de défense sur le dossier syrien mercredi à 8 heures. Ce Conseil de défense restreint se réunira avant le Conseil des ministres.

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 22:40
Chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov

Chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov

MOSCOU, 10 septembre - RIA Novosti

 

La Russie présentera prochainement un plan destiné à réaliser son initiative visant à placer les armes chimiques en Syrie sous contrôle international, a déclaré mardi le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov.

 

"La Russie prépare actuellement un plan réel, concret et détaillé, tout en restant en contact permanent avec la partie syrienne. Nous envisageons de présenter ce plan très prochainement, et sommes prêts à le modifier et à en discuter avec le secrétaire général de l'Onu, les membres du Conseil de sécurité de l'Onu et les organisations chargées de contrôler le non-recours à l'arme chimique", a indiqué le ministre russe des Affaires étrangères lors d'une conférence de presse à l'issue d'un entretien avec son homologue libyen.

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 22:30
photo MAE F de La Mure

photo MAE F de La Mure

WASHINGTON, 10 septembre - RIA Novosti

 

Placer les arsenaux chimiques sous contrôle international pourrait régler le problème de ces armes en Syrie, mais cette proposition est difficile à réaliser, et Washington ne peut pas attendre longtemps, a déclaré mardi le secrétaire d'Etat américain John Kerry lors de débats à la Chambre des représentants du Congrès.

 

"Une telle mesure apporterait une solution définitive au problème des armes chimiques syriennes, mais elle serait extrêmement difficile à mettre en œuvre", a indiqué M. Kerry.

 

Selon lui, Moscou et Damas doivent démontrer dans les plus brefs délais le sérieux de leurs intentions.

 

"Nous ne pouvons pas attendre longtemps", a souligné le secrétaire d'Etat.

 

D'après le chef de la diplomatie américaine, si la Russie a proposé d'établir un contrôle international sur les armes chimiques syriennes, c'est parce que les Etats-Unis ont menacé de recourir à la force.

 

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a appelé lundi Damas à placer les arsenaux chimiques syriens sous contrôle international pour ensuite les détruire. Il a également invité la Syrie à rejoindre pleinement l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques.

 

Selon le président américain Barack Obama, cette initiative "pourrait constituer une percée importante".

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 19:30
Syrie: la proposition russe met l’éventuelle intervention militaire entre parenthèses

10/09/2013 par Gaëtan Barralon – 45eNord.ca

 

Au lendemain de la proposition formulée par Moscou, la communauté internationale a accueilli d’un œil bienveillant mais méfiant cette éventuelle mise sous contrôle international de l’arsenal chimique syrien.

 

Un véritable contre-pied. En proposant de placer le stock d’armes chimiques du régime syrien sous contrôle international, Vladimir Poutine a pris à revers l’ensemble des acteurs diplomatiques. Principal allié de Bachar al-Assad, le président russe tente ainsi d’empêcher toute frappe militaire sur le territoire syrien.

 

Une manœuvre qui semble porter ses fruits puisque les États-Unis comme la France ont assuré qu’ils allaient considérer cette proposition. Les deux principaux défenseurs d’une intervention militaire pourraient bel et bien reculer devant ce renversement de situation.

 

Prévu mercredi, le vote de procédure au Sénat américain sur un éventuel recours à la force en Syrie a été reporté à une date indéterminée. «Je ne pense pas que nous ayons besoin» de voter rapidement, a annoncé le chef de la majorité démocrate du Sénat, Harry Reid.

 

Barack Obama a, de son côté, déclaré que cette proposition russe pourrait constituer une «percée importante» dans la résolution du conflit. Si les dirigeants américains restent méfiants quant au bien-fondé de cette volonté de Moscou, ils ont néanmoins pu profiter de celle-ci pour s’offrir un certain répit au cœur de cette tourmente diplomatique sans trêve.

 

La France va déposer un projet de résolution aux Nations unies

 

Du côté de Paris, en revanche, pas question d’abandonner la perspective d’une intervention militaire mise en avant par le président François Hollande. Lundi, le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a poursuivi sur la ligne offensive de son chef d’État. La proposition russe est «recevable à au moins trois conditions», a déclaré Laurent Fabius, réclamant «des engagements précis, rapides et vérifiables de la part du régime syrien».

 

Bachar el-Assad «doit s’engager sans délai à mettre sous contrôle international et à laisser détruire l’ensemble de son arsenal chimique», et «cette opération doit se faire sur la base d’une résolution contraignante du Conseil de sécurité, avec un calendrier court et des conséquences fermes s’il ne respectait pas ses engagements», a-t-il ajouté.

 

La France n’entend plus perdre de temps. Paris va ainsi déposer, ce mardi, un projet de résolution au Conseil de sécurité de l’ONU. La diplomatie française entend ainsi autoriser un recours à la force en cas de manquement aux obligations.

 

Ce projet vise à «exiger de ce régime qu’il fasse sans délai toute la lumière sur son programme d’armes chimiques, qu’il le place sous contrôle international et qu’il soit démantelé», a déclaré Laurent Fabius devant la presse.

 

Ce dernier a ajouté que la résolution aurait également pour but de «mettre en place un dispositif complet d’inspection et de contrôle de ses obligations sous l’égide de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC)».

 

Suite de l’article

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 17:40
Russie: 9,7 mds USD d'armements exportés en 2013 (Rosoboronexport)

MOSCOU, 9 septembre - RIA Novosti

 

Au début du mois de septembre, l'agence russe d'exportation d'armements Rosoboronexport a rempli à 75% (pour 9,7 milliards de dollars) son plan annuel de ventes à l'étranger d'armements et de matériel militaire, a annoncé lundi à RIA Novosti l'adjoint du directeur général de l'agence Viktor Komardine.

 

Les sommes n'ont pas été publiées par l'agence. Toutefois, Rosoboronexport a annoncé en 2012 avoir exporté des armes pour un montant de 12,9 milliards de dollars. En mai 2013, son directeur général Anatoli Issaïkine a déclaré que le plan de 2013 ne serait pas inférieur à celui de 2012, c'est-à-dire qu'il se chiffrerait à 13 milliards de dollars.

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 17:40
Russie: l'armée va tester de nouvelles roquettes thermobariques

Lance-flamme lourd TOS-1A "Bouratino"

 

MOSCOU, 9 septembre - RIA Novosti

 

L'armée russe procèdera prochainement aux tirs d'essai d'une nouvelle roquette thermobarique destinée au lance-flammes lourd TOS-1A "Bouratino", annonce lundi le service de presse du District militaire du Sud dans un communiqué.

"Lors des exercices qui se dérouleront prochainement sur le polygone de Prouboï dans la région de Volgograd, les troupes procèderont aux essais de nouvelles roquettes thermobariques tirées par le lance-flamme lourd  TOS-1A", indique le communiqué.
Selon les militaires, la nouvelle roquette possède une portée de près de six kilomètres et sa puissance de destruction a été augmentée de 20% par rapport à la roquette existante.

Par ailleurs, l'armée procèdera également à des tirs sur le nouveau lance-flammes à roquette Smel-M.

Les exercices devraient impliquer plus de 1.000 militaires et plus de 120 véhicules, selon le communiqué.

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 17:35
Industry: Final shipment of Su-30MK2 fighters delivered to Indonesia

10 September 2013 Pacific Sentinel

 

Rosoboronexport completes fulfillment of contract from 2011
 
An AN-124-100 "Ruslan" delivered the unassembled fighters together with 13 technicians who will assemble the aircraft, reports ITAR-TASS, citing the Indonesian newspaper "Jakarta Post". According to it, Major Mulyadi, a representative from the airbase, made the statement reporting the delivery of the planes.
 
Flight-testing of the Su-30MK2 will take place after assembly and before the Indonesian Air Force accepts delivery of the planes.
 
As a rule, aircraft assembly and testing take place over a week, the representative of the airbase noted.
 
Weapons will be purchased for the delivered planes under a separate contract.
 
The first two aircraft under the 2011 contract with the Indonesian Air Force were delivered back in February. A second pair of Su-30MK2 planes was delivered in May. After this delivery the contract will be considered completely fulfilled.
 
The fighters will form a part of the 11th Squadron of the Indonesian Air Force, which will have five single-seater Su-27SKM planes and 11 double-seater Su-30MK2 planes at its command.
 
Earlier it was reported that Rosoboronexport and the Indonesian Ministry of Defense signed a contract worth USD 470 million for the purchase of six Su-30MK2 multifunctional Russian fighters in December 2011. Between 2003 and 2010 Indonesia had already acquired five Su-27SK and five Su-30MK2 fighters.
 
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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 17:30
Patrouilleur russe Smetlivi

Patrouilleur russe Smetlivi

MOSCOU, 10 septembre - RIA Novosti

 

Le départ du patrouilleur russe Smetlivi de Sébastopol (mer Noire) vers les côtes syriennes est fixé au 12 septembre, a annoncé à RIA Novosti une source haut placée de la Marine russe.

"Le Smetlivi lèvera l'ancre et quittera Sébastopol le 12 septembre", a indiqué l'interlocuteur de l'agence, précisant que le navire ne ferait pas escale à Novorossiïsk et se dirigerait directement vers la Méditerranée.

Le porte-parole de la Marine russe a rappelé que le croiseur lance-missiles Moskva devait gagner la région orientale de la Méditerranée le 17 septembre, alors que le 29 septembre, deux navires de la Flotte russe de la mer Noire, la vedette lance-missiles Ivanovets et le navire lance-missiles Chtil, devraient arriver au large de la Syrie.

Selon le porte-parole, un convoi naval comprenant les grands navires de débarquement Novotcherkassk et Minsk, ainsi que le navire de surveillance électronique Priazovie ont franchi  vendredi les détroits du Bosphore et des Dardanelles pour rejoindre l'escadre russe patrouillant en Méditerranée.

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 17:30
La marine russe face aux navires américains et français en Méditerranée

10 septembre 2013, Portail des Sous-Marins

 

Le croiseur lance-missiles « Moskva » entre en Méditerranée. Destination les côtes orientales, là où se trouve la Syrie. Un symbole du retour sur la scène internationale de la marine russe qui a beaucoup pâti de la fin de l’URSS.

 

Référence : Géopolis

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 12:40
Russian Troops Set off to Belarus for Joint Military Drills

MOSCOW, September 9 (RIA Novosti)

 

Over 2,500 Russian troops set off on Monday to Belarus for large-scale joint strategic military exercises code named Zapad 2013 (West 2013), the Russian Defense Ministry said in a statement.

The two-stage drills, which will also involve “rapid-reaction” units from the Collective Security Treaty Organization (CSTO), will be taking place in Belarus and Russia between September 20 and 26.

Vyacheslav Usik, a spokesman for the Russian General Staff, said earlier that Belarus will send 10,400 servicemen to the drills, which will also involve some 60 aircraft and helicopters and up to 250 combat vehicles.

Moscow and Minsk held similar large-scale military exercises in September 2009. They involved about 12,500 servicemen and up to 200 pieces of military hardware.

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 12:40
Le BPC russe Vladivostok sera bien mis à l'eau à la mi-octobre à Saint-Nazaire

06.09.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense
 

En dépit de sa légendaire discrétion, le chantier naval nazairien a confirmé à mes collègues de la rédaction local d'Ouest-France que le premier des deux BPC russes sera mis à l'eau vers le 15 octobre.

Le 26 juillet, ce BPC, le Vladivostok, a été "jumboïsé" aux chantiers STX (cliquer ici pour lire mon post d'alors). C'est-à-dire que les deux tronçons: celui réalisé sur place et l'autre acheminé par mer depuis la Russie et arrivé à Saint-Nazaire trois jours avant (cliquer ici pour lire un post sur ce sujet), ont été "collés" pour constituer la coque.

Une fois mis à l'eau, ce BPC sera aménagé et équipé de ses systèmes d'armes. Sa livraison interviendra au troisième trimestre 2014.

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 11:40
Russia Puts Submarine Trials on Hold

Sept. 10, 2013 defense-aerospace.com

(Source: RIA Novosti; published Sept. 7, 2013)

 

Russia Puts Submarine Trials on Hold After Bulava Failure

 

MOSCOW --- Russia has put trials of two nuclear subs on hold following an unsuccessful launch of a Bulava submarine-launched ballistic missile (SLBM) on Friday, a Russian defense ministry spokesman said on Saturday.

 

“The day before, a Bulava SLBM was fired toward the Kura test site in Kamchatka [in Far East] during state trials of the Alexander Nevsky nuclear-powered submarine in the White Sea,” the spokesman told journalists, adding that the rocket experienced a malfunction in one of its systems on the second minute of the flight.

 

Russian Defense Minister Sergei Shoigu ordered to halt state trials of the Borey-class Alexander Nevsky and the Vladimir Monomakh submarines, designed to carry Bulava, and to hold five additional launches of the troubled SLBM, the spokesman said.

 

A state commission led by the Russian Navy Commander Adm. Viktor Chirkov will investigate the reason for the unsuccessful launch.

 

The Alexander Nevsky submarine was expected to be handed over to the Navy on November 15, while the other Borey-class sub, the Vladimir Monomakh, will join the fleet in mid-December, Russia’s Sevmash shipyard chief Mikhail Budnichenko said in early July.

 

However, the commissioning of both of those submarines depends on the success of the Bulava test launch. The spokesman did not elaborate on how the failure would affect the schedule.

 

The three-stage Bulava carries up to 10 MIRV warheads, has a range of over 8,000 kilometers (5,000 miles) and is designed for deployment on Borey-class nuclear submarines.

 

With Friday’s failure, eight of 19 or 20 test launches of the troubled Bulava have been officially declared unsuccessful. However, some analysts suggest that in reality the number of failures is considerably higher.

 

Despite several previous failures officially blamed on manufacturing faults, the Russian military has insisted that there is no alternative to the Bulava.

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 06:30
Syrie : Obama prêt à saisir au bon la proposition russe de sortie de crise

 

10/09/2013 Par Laure Mandeville Correspondante à Washington – LeFigaro.fr

 

Tout en restant prudent, le président américain estime que le coup de théâtre spectaculaire orchestré par Moscou, qui propose de mettre l'arsenal chimique syrien sous contrôle de l'ONU, est un développement «positif» qui, s'il s'avérait, serait l'option qu'il préfèrerait.

 

Le pouvoir russe volant au secours d'Obama, au moment où il risque un camouflet au Congrès sur son plan d'action militaire en Syrie? Le scénario paraît trop beau pour être vrai, vu l'état des relations bilatérales et la manière dont la Russie de Poutine a jusqu'ici enterré systématiquement toute chance de solution diplomatique de la crise syrienne au Conseil de sécurité de l'ONU. Et pourtant, dans un coup de théâtre spectaculaire, qui pourrait redorer leur blason diplomatique et leur conférer un rôle de médiateur indispensable, les Russes ont proposé lundi, par la voix de leur ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, que les Syriens mettent leur arsenal chimique sous contrôle de l'ONU, dans le but de le détruire, et qu'ils échappent ainsi à une attaque militaire américaine. Ils ont précisé avoir évoqué avec Damas cette éventualité et se sont dit prêts à «avancer avec la Syrie», sur un tel scénario, qui contraindrait Damas à rejoindre la Convention internationale sur l'interdiction des armes chimiques. Le régime d'Assad a accueilli favorablement les assertions russes.

 

Le président Obama a immédiatement saisi la balle au bond, jugeant ce lundi dans une série d'interviews à des chaînes de télévision américaines, qu'il allait examiner «sérieusement» la soudaine proposition russe. «Si elle est vraie»… «c'est un développement positif» et «possible», a confié le président américain au journaliste Wolf Blitzer sur CNN. «Si nous pouvons accomplir le but limité de sécuriser et détruire les armes chimiques syriennes», cela serait le meilleur scénario, a-t-il ajouté, disant espérer une vraie ouverture de Moscou. «Cela ne résoudrait évidemment pas le problème plus large de la guerre civile syrienne, mais cela pourrait être une manière d'atteindre le but que nous recherchons, c'est à dire empêcher une nouvelle utilisation des armes chimiques par le régime» (puisqu'elles seraient même détruites dans le scénario évoqué par les Russes), a dit le président.

 

Obama s'est empressé de souligner qu'un tel développement ne serait pas à l'ordre du jour «s'il n'y avait la menace crédible d'une action militaire américaine». Une manière de dire clairement à ses détracteurs que la fermeté dont il avait fait preuve allait peut-être payer. «Cette pression doit être maintenue», a-t-il dit, affirmant rechercher toujours un vote au Congrès. Quelques heures plus tôt, son ancienne secrétaire d'Etat Hillary Clinton avait apporté son soutien au plan d'action d'Obama, tout en qualifiant la proposition russe de «pas important».

 

La Maison-Blanche prise par surprise

L'administration Obama reste néanmoins circonspecte sur les intentions russes. Le conseiller présidentiel Ben Rhodes a dit rester «prudent», vu le comportement passé de Moscou, et son alliance jusqu'ici indéfectible avec le régime d'Assad. «Nous ne voulons pas avoir un nouvel embourbement avec les Syriens qui ne rempliraient pas leurs promesses», a-t-il précisé. Mais l'enthousiasme exprimé plus tard dans la journée par Obama pourrait indiquer qu'une négociation s'est peut être déjà engagée en coulisses. John Kerry avait plusieurs fois mis le sujet d'une mise sous contrôle de l'ONU de l'arsenal chimique syrien sur le tapis dans ses discussions avec les Russes, sans jamais rencontrer de succès. Obama a précisé dans ses interviews lundi soir qu'il avait évoqué le sujet lors du G20 avec Poutine. Mais rien n'avait laissé prévoir un revirement du chef d'Etat russe jeudi et vendredi dernier. La rencontre entre les deux s'était soldée par un froid constat de désaccord, qui était apparu au grand jour lors d'un dîner donné par Poutine, au cours duquel les deux présidents s'étaient heurtés frontalement. Anthony Blinken, l'un des conseillers à la sécurité nationale d'Obama, a reconnu ce lundi que la Maison-Blanche avait été prise par surprise par la proposition russe.

 

Vladimir Poutine a-t-il décidé qu'il était temps de faire un geste parce qu'il a pris au sérieux le projet de frappes d'Obama, comme l'ont suggéré Barack Obama et Hillary Clinton? A-t-il vu dans une éventuelle opération militaire américaine une menace existentielle pour le régime d'Assad et décidé de convaincre ce dernier de lâcher sur le chimique pour survivre politiquement? A-t-il décidé qu'il ne pouvait rester complètement aligné avec le régime syrien vu la réprobation qu'a suscitée jusqu'en Iran l'utilisation d'armes chimiques à grande échelle? S'est-il dit dit qu'il pouvait tirer un grand profit diplomatique en devenant l'homme qui trouve la sortie de crise? Ou est-il simplement, option beaucoup moins enthousiasmante - en train de brouiller les cartes, pour semer la zizanie au Congrès américain? «Je ne sais pas ce qui se passe. Ce serait formidable si les Russes pouvaient convaincre Assad de rendre ses armes chimiques à la communauté internationale. Ce serait une issue excellente. Mais je suis très soupçonneux et sceptique», a dit Lindsay Graham, sénateur de Caroline du sud, et l'un des faucons républicains sur la Syrie, aux côtés de John McCain. Ce lundi soir, plusieurs responsables de l'administration devaient briefer un groupe d'élus sur les derniers évènements.

 

Si la proposition russe s'avérait solide, elle viendrait arranger miraculeusement les affaires d'Obama, lui évitant un affrontement à haut risque avec le Congrès. Ce lundi, l'opposition à toute intervention semblait en effet gagner au Sénat et à la Chambre. Le chef de la majorité démocrate a d'ailleurs décidé d'annuler le vote de procédure réclamé par Obama, prévu mercredi sur l'autorisation d'utilisation de la force en Syrie. Invoquant la nécessité pour les élus de «percoler» et de prendre la mesure du coup de théâtre russe.

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 07:40
Russia Puts Submarine Trials on Hold After Bulava Failure

MOSCOW, September 7 (RIA Novosti)

 

Russia has put trials of two nuclear subs on hold following an unsuccessful launch of a Bulava submarine-launched ballistic missile (SLBM) on Friday, a Russian defense ministry spokesman said on Saturday.

“The day before, a Bulava SLBM was fired toward the Kura test site in Kamchatka [in Far East] during state trials of the Alexander Nevsky nuclear-powered submarine in the White Sea,” the spokesman told journalists, adding that the rocket experienced a malfunction in one of its systems on the second minute of the flight.

Russian Defense Minister Sergei Shoigu ordered to halt state trials of the Borey-class Alexander Nevsky and the Vladimir Monomakh submarines, designed to carry Bulava, and to hold five additional launches of the troubled SLBM, the spokesman said.

A state commission led by the Russian Navy Commander Adm. Viktor Chirkov will investigate the reason for the unsuccessful launch.

The Alexander Nevsky submarine was expected to be handed over to the Navy on November 15, while the other Borey-class sub, the Vladimir Monomakh, will join the fleet in mid-December, Russia’s Sevmash shipyard chief Mikhail Budnichenko said in early July.

However, the commissioning of both of those submarines depends on the success of the Bulava test launch. The spokesman did not elaborate on how the failure would affect the schedule.

The three-stage Bulava carries up to 10 MIRV warheads, has a range of over 8,000 kilometers (5,000 miles) and is designed for deployment on Borey-class nuclear submarines.

With Friday’s failure, eight of 19 or 20 test launches of the troubled Bulava have been officially declared unsuccessful. However, some analysts suggest that in reality the number of failures is considerably higher.

Despite several previous failures officially blamed on manufacturing faults, the Russian military has insisted that there is no alternative to the Bulava.

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 07:40
Russian Armata Tank to Enter Testing in November

MOSCOW, September 7 (RIA Novosti)

 

The prototype of Russia’s next generation Armata main battle tank is ready for testing, which will begin by November, the head of the Russian Tank Forces said Saturday.

 

“The prototypes will be unveiled soon at an exhibit in Nizhny Tagil, and their tests will kick off within a month or two, I believe,” Lt. Gen. Alexander Shevchenko said on Echo Moskvy radio.

 

The biannual Russian Arms Expo will run in the Urals city in September 25-28 this year. Deputy Prime Minister Dmitry Rogozin said in July that the country’s leadership will get a sneak preview of the new tank during the arms fair.

 

An unmanned version of the Armata main battle tank is also on the cards, Shevchenko said.

 

Armata is a universal combat platform that is to be utilized for production of various armored vehicles. Shevchenko said on Friday that prototypes are already created for an Armada-based main battle tank, heavy infantry fighting vehicle and armored recovery vehicle.

 

The combat platform, named after a 14-century Russian cannon, is being designed since 2009 by the state-run corporation Uralvagonzavod, headquartered in Nizhny Tagil.

 

Armata-based vehicles will be a match for their existing NATO counterparts and even excel them in certain areas, Shevchenko said Friday, without elaborating.

 

Not much is known about the upcoming Armata battle tank, tentatively scheduled to enter military service in the Russian army in 2015. Media reports and military officials said earlier said that its turret would be unmanned, with three-man crew residing in the better protected chassis area, and that the main gun may utilize either shells or missiles.

 

Shevchenko also said Saturday that all standing alert units of the Russian army will switch to two types of main battle tanks – the T-72 and the T-90 – by early 2015. The move will complete the tank unification program in the Russian military, which utilized 40 models of 10 different battle tanks in 2008, he said.

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 06:55
Antonov An-30B

Antonov An-30B

MOSCOW, September 9 (RIA Novosti)

 

Russian military inspectors will begin monitoring flights over France starting on Monday under the international Open Skies Treaty, a Russian Defense Ministry official said.

 

Experts from Russia will be conducting flights on board of an Antonov An-30B aircraft between September 9 and 13, said Ruslan Shishin, acting head of the ministry’s National Nuclear Risk Reduction Center.

 

The Open Skies Treaty, which entered into force on January 1, 2002, established a regime of unarmed aerial observation flights over the territories of its 34 member states to promote openness and the transparency of military forces and activities. Russia ratified the treaty in May 2001.

 

It will be the 30th observation flights conducted by Russian military inspectors over the territories of the treaty member-states in 2013.

 

Each aircraft flying under the Open Skies program is fitted with optical, infra-red and radar sensors to gather imagery, which can be shared among all signatories to support the monitoring of compliance with arms control treaties.

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 06:40
Exercices de l'Otan: la participation de navires russes possible en 2014

MOSCOU, 6 septembre - RIA Novosti

 

L'Otan n'exclut pas la participation de bâtiments de guerre russes à des exercices de l'Alliance en 2014, a annoncé vendredi Robert Pszczel, directeur du bureau d'information de l'Otan à Moscou.

 

"Il y a de fortes chances que des navires russes participent l'année prochaine à des exercices navals de l'Otan", a déclaré le diplomate polonais.

 

Selon lui, Saint-Pétersbourg accueillera du 10 au 14 octobre 2013 six bâtiments de l'Alliance battant pavillons de la Norvège, de l'Allemagne, du Danemark, des Pays-Bas et de la Pologne.

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 06:40
Bulava launch - Photo Northern Fleet press service

Bulava launch - Photo Northern Fleet press service

MOSCOU, 7 septembre - RIA Novosti

 

La Russie a suspendu les tests d'homologation de deux sous-marins nucléaires, Alexandre Nevski et Vladimir Monomakh, suite à l'échec d'un tir d'essai du missile Boulava, a annoncé samedi le ministère russe de la Défense.

 

"Le sous-marin nucléaire russe Alexandre Nevski, qui passe des tests d'homologation en mer Blanche, a tiré vendredi un missile balistique intercontinental Boulava qui devait détruire une cible sur le polygone de Koura, au Kamtchatka. Le missile a quitté son conteneur sans problème, mais son système de bord est tombé en panne à la 2e minute du vol. Le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou a décidé de suspendre les tests d'homologation des sous-marins Alexandre Nevski et Vladimir Monomakh pour effectuer cinq tirs supplémentaires du missile Boulava et tester les paramètres techniques et tactiques du missile", a indiqué un porte-parole du ministère devant les journalistes.

 

"Une commission dirigée par le commandant en chef de la Marine Victor Tchirkov a lancé une enquête sur l'échec du tir de Boulava", a-t-il ajouté.

 

Selon les informations précédentes, Alexandre Nevski devait être livré à l'armée à la mi-novembre et Vladimir Monomakh en décembre 2013, à l'issue de tests d'homologation.

 

Capables de tirer des missiles balistiques intercontinentaux Boulava, les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE) Alexandre Nevski et Vladimir Monomakh (projet 955 Boreï) constitueront la base des Forces navales stratégiques russes après la mise au rebut des sous-marins de classes Akoula (Typhoon selon le code de l'OTAN), Kalmar et Mourena (Delta-3 et Delta-4 selon l'OTAN) en 2018. Le premier sous-marin de la série, Iouri Dolgorouki, a été remis à la Marine russe en janvier dernier.

 

Le missile R30 3M30 Boulava-30 (code OTAN SS-NX-30, dénomination internationale RSM-56) doit devenir l'arme principale des forces stratégiques navales russes. Le Boulava est un missile à trois étages à propergol solide destiné à équiper les sous-marins. D'une portée de 8.000 km, il peut être équipé de dix ogives nucléaires hypersoniques de 100 à 150 kt et à trajectoire indépendante.

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7 septembre 2013 6 07 /09 /septembre /2013 16:40
La Russie crée un nouveau char lourd baptisé Armata

 

MOSCOU, 7 septembre 2013- RIA Novosti

 

La Russie a conçu trois blindés, dont un char, sur la base du châssis lourd Armata, qui seront présentés fin septembre au salon de l'armement à Nijni Taguil (Oural), a annoncé Alexandre Chevtchenko, chef du département des véhicules blindés du ministère russe de la Défense.

"Nos usines ont achevé la fabrication d'échantillons d'essai. Trois blindés Armata sont prêts", a indiqué vendredi le général Chevtchenko au Musée central des blindés à Koubinka, dans la région de Moscou. 

"Les échantillons d'essai seront prochainement exposés au salon de Nijni Tagil. Les tests de ces véhicules commenceront dans un ou deux mois", a-t-il ajouté samedi à la radio Echo de Moscou. 

Les deux autres blindés conçus sur la base du châssis Armata sont un blindé lourd de transport de troupes et un véhicule blindé de dépannage. Les trois véhicules ont des performances égales voire supérieures à celles de leurs concurrents étrangers, selon le général Chevtchenko.

Le char lourd Armata sera doté d'obus traditionnel et de missiles, d'après le général Sergueï Maïev, ancien chef du département des blindés au ministère de la Défense.

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 16:40
Russian Firm to Unveil BMPT-72 Tank

Sept. 6, 2013 defense-aerospace.com

(Source: Uralvagonzavod; web-posted Sept. 5, 2013)

 

RAE 2013: Terminator-2 World Premiere

 

A world premiere will take place on the first day of the 9th International Exhibition of Arms, Military Equipment and Ammunition - Russia Arms EXPO 2013 (RAE 2013) on September 25, 2013.

 

Research and Production Corporation Uralvagonzavod will present its latest design - Tank Support Fighting Vehicle BMPT-72. BMPT-72 is a breakthrough modernization of the world-famous Uralvagonzavod T-72 tank. When designing BMPT-72, engineers relied on experience of creation and exploitation of BMPT, also known as Terminator for its gun power.

 

Just as its basic model, Terminator-2 is a multipurpose tank and infantry fire support vehicle that can operate in any combat mode, complicated geographic area, light conditions and against any enemy. Still, it has some new features: upgraded fire-control system and turret weapon station protection. The breakthrough vehicle is built on the platform of the most widely manufactured and used T-72 tank.

 

Given that, the key advantage that BMPT-72 gives to all the counties that operate T-72 tanks, is that they can promptly and at minimum cost upgrade their armies to ultra-modern level, enhance its capacity, mobility, protection and armament without purchasing new high cost machines.

 

Terminator-2 is to premiere in a multimedia lightshow at a 900 m2 presentation centre built especially for that purpose. Foreign visitors and official delegation are expected to attend the presentation.

Bmpt_REA_2009

Bmpt_REA_2009

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 16:30
Opération en Syrie: toute la Méditerranée en pâtirait (Défense russe)

MOSCOU, 5 septembre – RIA Novosti

 

Une opération militaire envisagée par les Etats-Unis en Syrie infligerait un dommage énorme à toute la région de la Méditerranée, a prévenu jeudi le vice-ministre russe de la Défense Anatoli Antonov.

 

"Une action militaire prévue par les Etats-Unis (en Syrie) ne manquerait pas d'infliger un sérieux dommage économique, politique et écologique à l'ensemble de la Méditerranée", a déclaré M.Antonov devant les journalistes.

 

Et d'expliquer qu'il s'agissait d'une zone balnéaire où une multitude de personnes passaient leurs vacances et où la concentration de navires civils était immense.

 

"Pendant ce temps (temps de l'opération militaire, ndlr), la navigation y serait pratiquement fermée, tous craignant qu'un missile ne frappe un bateau civil. Et je ne peux même imaginer ce qui pourrait arriver si un missile touchait, par exemple, un bâtiment de guerre russe", a ajouté le vice-ministre.

 

La situation en Syrie s'est aggravée le 21 août, date à laquelle certains médias hostiles au président Bachar el-Assad ont fait état de l'attaque chimique lancée par les troupes gouvernementales dans une banlieue de Damas. Selon les rebelles, cette attaque présumée pourrait avoir fait 1.300 morts. Des pays occidentaux, dont les Etats-Unis et la France, ont profité de cette information non confirmée pour appeler ouvertement à une intervention militaire en Syrie sans l'aval du Conseil de sécurité de l'Onu.

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 07:30
Russia Boosts Mediterranean Fleet for Potential Evacuation - Kremlin

St. PETERSBURG, September 5 (RIA Novosti)

 

Russia has strengthened its naval presence in the Mediterranean Sea for a possible evacuation of Russian nationals from Syria, the Kremlin chief of staff said Thursday.

 

Asked why Russia is boosting its task force in the region, Sergei Ivanov said: “Above all, given the presence there of amphibious landing ships, they are intended for a possible evacuation of Russian citizens.”

 

Russia’s Deputy Defense Minister Anatoly Antonov said earlier on Thursday that the country’s increased presence in the Mediterranean is “a legitimate, natural and predictable reaction to the situation developing” in the region.

 

“Our actions are in strict compliance with international law and the UN Charter,” he stressed, adding that the Mediterranean Sea is “quite close to Russia’s borders.”

 

However, he stressed that Russia’s naval presence in the Mediterranean Sea does should not be interpreted as an indication that the country plans to take an active role in any regional conflict, he said.

 

“Our warships are a guarantee of regional stability, an attempt to restrain other forces that are ready to launch military operations in the region,” Antonov said.

 

Russian media reports earlier cited senior Russian diplomatic, naval and defense officials as saying that changes to Russia’s presence in the Mediterranean was part of a “normal rotation,” that the fleet was not being strengthened, and that these changes were not a response to rising international and regional tensions over the conflict in Syria.

 

However, on Wednesday, a high-ranking Defense Ministry source told RIA Novosti that a new group of ships from Russia’s Black Sea Fleet will join the country’s Mediterranean task force within days.

 

The Defense Ministry source confirmed media reports that the electronic intelligence ship Priazovye would be part of the new grouping, and gave further details of the changes.

 

Also on Wednesday, a high-ranking member of Russia’s General Staff told RIA Novosti that the Slava class guided missile cruiser Moskva was heading from the Atlantic to the Mediterranean, where it will take over from the Admiral Panteleyev destroyer on September 17

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