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18 avril 2013 4 18 /04 /avril /2013 12:31
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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 12:25
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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 18:05
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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 11:32
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10 avril 2013 3 10 /04 /avril /2013 18:42

Kalashnikov assault rifle source Ria novisti

 

10 avril 2013 Romandie.com (AFP)

 

MOSCOU - Un ancien vice-ministre russe de l'Agriculture et l'ex-directeur général de l'usine produisant les fusils d'assaut kalachnikov ont été arrêtés pour des détournements de milliards de roubles, soit des dizaines de millions d'euros, a annoncé mercredi le ministère de l'Intérieur.

 

Vladimir Grodetski, ancien directeur général de l'usine Ijmach qui est le principal producteur russe de fusils d'assaut kalachnikov, a été arrêté pour le détournement présumé de 5 milliards de roubles (125 millions d'euros au cours actuel), ont indiqué les agences de presse russes, citant le ministère. Aucun détail n'a été fourni sur la nature de ces détournements.

 

M. Grodetski a dirigé Ijmach de 1996 à 2011, a précisé Interfax.

 

Par ailleurs, le ministère de l'Intérieur a annoncé l'arrestation de l'ancien vice-ministre de l'Agriculture, Alexeï Bajanov, ainsi que de deux complices, pour des faits survenus en 2008-2009, alors que l'actuel président Vladimir Poutine était chef du gouvernement.

 

Selon un communiqué du ministère, le détournement dont il est soupçonné consistait à accorder un soutien financier en fonds publics à des entreprises agricoles pour l'acquisition de matériel.

 

Les sociétés étaient en fait sous contrôle d'un groupe criminel, et des documents fictifs étaient produits pour justifier des versements de fonds, selon le ministère.

 

L'ex-ministre de l'Agriculture Elena Skrynnik figure en qualité de témoin dans ce même dossier, et la suite de l'enquête doit permettre de préciser son rôle, a indiqué une source proche de l'enquête à l'agence Interfax.

 

Mme Skrynnik, ministre de 2009 à 2012, était au moment des faits à la tête de la société publique Rosagroleasing impliquée dans les détournements de fonds.

 

L'ex-ministre a été interrogée en février par les enquêteurs.

 

En novembre, la télévision publique russe avait diffusé un documentaire accusateur sur son implication dans le détournement de 39 milliards de roubles (près d'un milliard d'euros).

 

Les scandales de détournement de fonds publics se sont multipliés dernièrement en Russie.

 

Le plus retentissant a abouti au limogeage en novembre du ministre de la Défense, Anatoli Serdioukov, éclaboussé par une affaire de fraude lors de la vente de biens publics, d'un montant de plus de 6 milliards de roubles (150 millions d'euros).

 

D'autres affaires, portant sur des milliards de roubles, concernent notamment le secteur spatial et des travaux gigantesques d'infrastructures réalisés dans la région de Vladivostok (Extrême-Orient).

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10 avril 2013 3 10 /04 /avril /2013 18:40
La Russie signera un accord de coopération militaire avec la Serbie

 

MOSCOU, 10 avril - RIA Novosti

 

La Russie et la Serbie signeront très prochainement à Belgrade un accord de coopération militaire, a annoncé mercredi le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou lors d'une rencontre avec le premier ministre serbe Ivica Dacic à Moscou.

 

Selon M.Choïgou, une délégation militaire russe se rendra à Belgrade pour signer un accord entre les ministères russe et serbe de la Défense. Le ministre serbe de la Défense Ljubisa Dikovic est pour sa part attendu à Moscou en mai.

 

"Toutes les manifestations tenues en 2012 confirment l'intention des deux pays de poursuivre la coopération militaire", a indiqué M.Choïgou.

 

Et de citer la participation d'une délégation militaire serbe aux festivités consacrées au 100e anniversaire de l'Armée de l'air russe ainsi que les exhibitions du groupe de voltige aérienne russe Striji (Martinets) à l'occasion du centenaire de l'Armée de l'air serbe en août 2012.

 

M.Dacic a pour sa part déclaré que M.Choïgou était un grand ami de la Serbie qui avait soutenu le peuple serbe pendant la guerre et les bombardements. Il a rappelé que M.Choïgou, ex-ministre russe des Situations d'urgence, avait beaucoup contribué à la création d'un centre de sauvetage russo-serbe à Nis (Serbie).

 

"J'espère que Sergueï Choïgou œuvrera pour le renforcement des liens entre les armées serbe et russe", a conclu M.Dacic.

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10 avril 2013 3 10 /04 /avril /2013 07:40
Moscou et Belgrade signeront une dizaine d'accords intergouvernementaux

 

BELGRADE, 9 avril - RIA Novosti

 

La Russie et la Serbie signeront une dizaine d'accords intergouvernementaux au cours de la visite du premier ministre serbe Ivica Dacic en Russie programmée pour les 10 et 11 avril, a annoncé mardi à Belgrade le service de presse du gouvernement serbe.

 

Les accords porteront notamment sur l'octroi d'un crédit russe de 400 millions de dollars destiné à soutenir le budget serbe, sur la coopération militaire, la reconnaissance réciproque des diplômes et des grades scientifiques, la coopération dans les transports ferroviaires et la protection des monuments militaires.

 

La Russie et la Serbie adopteront en outre le plan de développement d'un centre humanitaire serbo-russe pour 2013-2015.

 

Le ministère serbe du Commerce et des Télécommunications signera un mémorandum de coopération économique avec l'administration de la région russe de Kalouga.

 

Le Département des douanes de Serbie et le Service fédéral russe des douanes (FTS) signeront un mémorandum sur l'échange des statistiques concernant le commerce extérieur.

 

M.Dacic rencontrera mercredi son homologue russe Dmitri Medvedev et le président russe Vladimir Poutine.

 

La délégation serbe mènera des négociations avec le premier vice-président du conseil d'administration de la banque russe VTB Vassili Titov.

 

Les entretiens russo-serbes seront consacrés à la coopération économique, d'investissement, humanitaire et autre, ainsi qu'au règlement du problème du Kosovo. Belgrade proposera d'élargir le régime de libre échange russo-serbe aux voitures, au tabac, au sucre et aux fromages.

 

La délégation serbe comprendra le ministre du Travail, de l'Emploi et des Politiques sociales Jovan Krkobabic, le ministre des Finances et de l'Economie Mladjan Dinkic, le ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt Goran Knezevic et le ministre des Ressources naturelles, des Mines et de l'Aménagement Milan Bacevic.

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 17:18

Mali slodiers 400x300

 

02 avril 2013 Par RFI Avec notre correspondante à Moscou, Anastasia Becchio

 

Le gouvernement du Mali a besoin d’hélicoptères, d’avions de combat et de véhicules blindés pour combattre les rebelles islamistes dans le nord du pays, au sein de l’opération multinationale à laquelle participe la France. L’agence publique russe d’exportations d’armements pourrait répondre favorablement aux requêtes maliennes.

 

Des hélicoptères Mi-35 et Mi-17, des avions cargo, des avions de combat, des véhicules blindés, des systèmes radar de défense antiaérienne, des armes légères et des munitions : telle serait la liste adressée par le Mali à Rosoboronexport, selon une source au sein de l’agence publique russe d’exportation d’armements citée par le quotidien Vedomosti.

 

L’armée malienne aurait aussi besoin de l’expertise russe pour la réparation d’une partie de son matériel et en particulier des tanks, acquis à l’époque soviétique. Les finances maliennes étant limitées, la Russie n’a livré que 3 000 fusils d’assaut Kalachnikov, 300 mitrailleuses et des munitions pour un montant de 12 millions de dollars en février. Selon le représentant de Rosoboronexport, de nouveaux contrats pourraient être passés prochainement pour des armes légères, des munitions, mais aussi des véhicules blindés et des hélicoptères de transport.

 

La Russie, qui achemine également de l’aide humanitaire au Mali, soutient l’opération de la France. Vladimir Poutine l’a rappelé fin février en recevant François Hollande au Kremlin. Selon une source au sein du ministère russe de la Défense, au début de l’opération, des avions cargo russes ont effectué une vingtaine de vols pour acheminer du matériel militaire de l’armée française.

 

deux Antonov 124 russes sur la base aérienne 105 d'Evreux

 

Les Antonov-124 russes pourraient reprendre du service le mois prochain, à la faveur du retrait d’une partie des troupes françaises du Mali.

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 16:45

badge-eutm-mali a la une

 

02.04.2013 maliactu.net

 

Un premier contingent de 570 soldats maliens devait entamer mardi sa formation par des instructeurs militaires européens qui ont pour objectif de restructurer l’armée malienne, au lendemain de violences à Tombouctou (nord-ouest) provoquées par des islamistes armés infiltrés dans la ville.

 

Mardi matin, ces militaires maliens ont quitté Bamako pour Koulikoro, ville située à une soixantaine de km au nord-est de la capitale et qui abrite un centre de formation militaire, a indiqué à l’AFP le lieutenant-colonel français Philippe de Cussac, porte-parole de la mission de formation de l’Union européenne (EUTM).

 

C’est là qu’ils seront formés pendant dix semaines par une centaine d’instructeurs venant de sept pays: France, Royaume-Uni, Suède, Finlande, Lituanie, Luxembourg et Irlande.

 

« Dans un premier temps, on aura une formation généraliste, ensuite, il y aura une formation de spécialisation, en télécommunications, artillerie, génie », selon le lieutenant-colonel de Cussac. « Des forces spéciales, des tireurs d’élite » seront également formés, a-t-il ajouté.

 

Le but de l’EUTM est de former et entraîner près de 3.000 soldats, qui se succéderont en quatre vagues sur quinze mois à Koulikoro.

 

Cette opération débute alors que la France prépare le désengagement partiel de ses 4.000 soldats déployés dans le pays et que l’ONU finalise le lancement d’une mission de maintien de la paix qui sera composée de quelque 11.000 hommes.

 

A terme, la mission de « reconstruction » de l’armée du Mali de l’UE comprendra 550 militaires européens, dont l’objectif est de professionnaliser les soldats maliens pour qu’ils soient capables de résister aux attaques des groupes jihadistes liés à Al-Qaïda.

 

Ces derniers, qui ont occupé pendant plus de neuf mois le nord du Mali après en avoir chassé les rebelles touareg qui avaient lancé l’offensive en janvier 2012, en ont été partiellement chassés par les soldats français qui, en soutien à l’armée malienne et d’autres pays africains, est intervenue dès le 11 janvier pour empêcher une avancée des islamistes vers le Sud.

 

« Plus d’actions jihadistes »

 

Mais d’importantes poches de résistance islamistes demeurent dans plusieurs régions du nord du Mali: massif des Ifoghas, Gao et Tombouctou.

 

Des islamistes armés ont réussi à s’infiltrer à Tombouctou après l’attentat suicide d’un kamikaze dans la nuit de samedi à dimanche.

 

Une dizaine de personnes, dont au moins huit jihadistes, ont été tuées dans l’opération de « ratissage » menée dimanche et lundi dans la ville par des soldats maliens et français.

 

Cité par l’agence mauritanienne de presse en ligne Nouakchott information (ANI, privée), un porte-parole d’un des trois groupes islamistes armés opérant dans le nord du Mali, le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao), a menacé la France et ses alliés de « plus d’actions jihadistes ».

 

La persistance de l’activité des jihadistes en dépit de l’intervention franco-africaine rend d’autant plus nécessaire la formation de l’armée malienne qui, sous-équipée, démoralisée et un temps divisée, avait été mise en déroute dans le Nord l’an dernier en quelques semaines par les groupes armés.

 

Le gouvernement de transition malien a demandé à la Russie de lui livrer des hélicoptères, des avions de combat et des véhicules blindés pour combattre les islamistes, selon une source au sein de l’agence publique russe d’exportation d’armements Rosoboronexport, citée par un quotidien russe.

 

En février, la Russie a déjà livré au Mali 3.000 fusils d’assaut kalachnikov, 300 mitrailleuses et des munitions pour un montant total de 12 millions de dollars (plus de 9 millions d’euros), dans le cadre d’un contrat conclu en septembre 2012, a précisé cette source.

 

Sans commenter directement la mission de formation de l’UE, les Etats-Unis se souviennent d’avoir formé un certain Amadou Haya Sanogo, capitaine de l’armée malienne auteur d’un coup d’Etat ayant renversé le 22 mars 2012 le président Amadou Toumani Touré, précipitant la chute du Nord au mains des islamistes.

 

Le général Carter Ham, haut commandant des forces armées américaines en Afrique (Africom), s’était déclaré l’an dernier « amèrement déçu » qu’un militaire malien formé aux Etats Unis ait renversé « un gouvernement élu », qualifiant cela de « totalement inacceptable ».

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2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 13:45

Mali PT76 1 source Esoteric Armour Blogspot

 

02/04/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr (AFP)

 

Le Mali veut acheter à la Russie des hélicoptères, des avions de combat et des véhicules blindés pour combattre les rebelles islamistes dans le nord du pays.

 

Après l'acquisition de fusils d'assaut kalachnikov, le gouvernement du Mali veut acheter maintenant à la Russie des matériels beaucoup plus... consistants. Du lourd même. Bamako a demandé à Moscou de lui livrer des hélicoptères, des avions de combat et des véhicules blindés pour combattre les rebelles islamistes dans le nord du pays, affirme mardi le quotidien russe Vedomosti. Le Mali veut "des hélicoptères Mi-35 et Mi-17, des avions cargo et des avions de combat, des véhicules blindés BTR-80, des systèmes radar de défense antiaérienne, ainsi que des armes légères et des munitions", a indiqué une source au sein de l'agence publique russe d'exportation d'armements Rosoboronexport, citée par le journal.

 

En février, la Russie a déjà livré au Mali 3.000 fusils d'assaut kalachnikov, 300 mitrailleuses et des munitions pour un montant total de 12 millions de dollars, dans le cadre d'un contrat conclu en septembre 2012, a précisé cette source. Il n'est pas exclu que de nouveaux contrats sur la livraison d'armes russes, en premier lieu des hélicoptères et des véhicules blindés, au Mali puissent être signés "prochainement", a-t-elle souligné. Le directeur de Rosoboronexport, Anatoli Issaïkine, avait indiqué début mars que l'agence livrait au Mali des armes à feu "en toute légalité". Les autorités maliennes avaient alors fait part de leur intention d'acheter d'autres types de matériel militaire, selon la même source.

 

Et la France ?

 

Une opération militaire multinationale à laquelle participe la France est en cours depuis janvier au Mali, pays d'Afrique de l'Ouest en proie à une rébellion islamiste armée. Au début de cette opération, des avions cargo russes très gros porteurs Antonov-124 ont effectué au moins 20 vols pour acheminer des matériels militaires de l'armée française au Mali, a indiqué à Vedomosti une source au sein du ministère russe de la Défense. En mai, les Antonov-124 pourraient reprendre leurs vols au Mali pour aider la France - qui a déployé dans ce pays un contingent de 4.000 hommes - à effectuer le retrait d'une partie de ses troupes, selon la même source.

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 12:45

18.03.2013 BBC Africa

 

La Russie va vendre au Mali 3.000 fusils d'assaut kalachnikov, selon l’agence russe Interfax.

 

Cette vente d'une valeur estimée à plus d'un million de dollars s'inscrit dans le cadre d'un accord conclu en septembre 2012 entre l'agence publique russe d'exportation d'armements Rosoboronexport et le ministère malien de la Défense, a déclaré une source russe à Interfax, sans préciser si les livraisons avaient déjà été effectuées.

 

Le directeur de Rosoboronexport, Anatoli Issaïkine, avait indiqué la semaine dernière que l'agence livrait au Mali des armes à feu "en toute légalité", selon Interfax.

 

Les autorités maliennes ont fait part à Rosoboronexport de leur intention d'acheter également des hélicoptères et d'autres types de matériel militaire, a ajouté M. Issaïkine, cité par Interfax.

 

Les kalachnikovs, légendaires fusils d'assaut connus dans le monde entier, sont fabriqués à l'usine Ijmach à Ijevsk (1.300 km à l'est de Moscou).

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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 12:40

Il-476 transport plane

 

15 March 2013 airforce-technology.com

 

Ilyushin Aviation Complex has postponed the initial test flight of the Russian Air Force's Il-76MD-90A heavy transport aircraft, due to adverse meteorological conditions, a company spokeswoman has revealed.

 

The spokeswoman was quoted by RIA Novosti as saying that all preparations were completed, but the test flight had to be cancelled because of heavy snowfall.

 

Noting that the adverse weather is expected to continue for the next three days, the spokeswoman did not provide any details about a new schedule.

 

The test flight was set to be conducted from the Zhukovsky flight test centre near Moscow, Russia, according to the Russian Defence Ministry's original programme, which includes a series of 22 test flights.

 

Data obtained from each test flight is expected to be collected and analysed by experts, to make any necessary enhancements to the aircraft, which is also known as the Il-476.

 

The aircraft successfully carried out its first 25 minute prolonged test flight at the company's aviation complex in Ulyanovsk, Russia, in February 2013.

 

An upgraded variant of the Il-76 airlifter, the Il-476 features a new glass cockpit, advanced avionics, on-board communication and navigation systems, fully-digital flight control system, as well as four Aviadvigatel PS-90 high-bypass turbofan engines to reduce fuel consumption.

 

Displaying a modernised wing-construction, the aircraft is also capable of transporting up to 50t of cargo, which is 20% greater than its predecessor, while cruising at speeds of 850km/h.

 

A total of 39 aircraft were ordered by the Russian Defence Ministry from United Aircraft Corporation (UAC) under a RUB140bn ($4.5bn) contract in October 2012 to help replace the Il-76 multipurpose aircraft fleet.

 

Initial aircraft will be shipped in 2014, while the remaining deliveries are scheduled to be completed by 2020.

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 13:40

Su-25 source Ria Novisti

 

8 mars Aerobuzz.fr

 

Le déploiement sur la frontière turco-syrienne de batteries de défense aérienne Patriot n’est pas du tout du gout de Moscou. Du coup, la Russie décide de se doter d’un appareil dédié à la destruction de ce genre de systèmes. Il s’agit d’une version améliorée de l’avion d’attaque SU-25 Frogfoot.

 

A la différence de la version de base, cet appareil qui entrera en service dès 2014 sera doté d’un cockpit « tout écrans » d’une visualisation tête haute et d’un nouvel ensemble de navigation. Son système de mission associera des capteurs ESM (Electronic support measures) dont les antennes assureront une couverture de 360 degrés autour de l’avion.

 

Il aura la possibilité d’emporter des pods de brouillage et des missiles anti radar. De quoi dissuader les systèmes de type « Patriot » et autres ensembles hybrides à l’instar du « BUK M2 » ukrainien bricolé avec des missiles israéliens responsables de la chute d’un bombardier russe TU-22 en Georgie.

 

Les ingénieurs russes expliquent que l’appareil sera en outre capable de détecter et de brouiller les menaces à guidage infrarouge et laser avec des leurres et un brouilleur actif. Il est cependant curieux de constater que cette mission devait être initialement confiée au SU-34 récemment entré en service et non au vétéran Su-25.

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 12:40

http://www.brahmos.com/content%20image/sea-weapon-complex.jpg

 

February 21, 2013 idrw.org (INDRUS)

 

There are at least four explanations for this in the whisper corridors but nothing official has come yet from the Russians. One such explanation is that except for the P-700, the rest of the Russian fleet has 300Km missiles, same range as the BrahMos. The argument is that anything bigger would require heavier ships and subs because the P-700 is a 7 ton missile and only the Kirov class carries it.

 

The other explanation is that the Russians currently don’t have a requirement for BrahMos because they are not inducting new ships like India is. Russia’s latest inductions will happen only later this year for the new Gorshkov class frigates. The new ships will either be equipped with BrahMos or Klub missiles, depending on the budget. Klubs are cheaper but BrahMos is more capable.

 

Third, many Russian experts view BrahMos as a downgraded Yakhont and so why should Russia choose it instead of Yakhont? It is pointed out that Yakhont is the export name for the P-800 Oniks. BrahMos is just the short range version of Yakhont. The Indians wanted a longrange missile but the Russians could not give it because of the MTCR (Missile TechnologyControl Regime) stipulations and so they gave the shorter version (BrahMos) to the Indians.

 

Fourth, Russia cannot incorporate whatever they have learnt from the BrahMos because everything for the missile is out sourced from Russia. The missile’s seeker, guidance,navigation and fire control systems are all India’s responsibility for manufacturing along with the firing mechanism. Why should Russia develop the same things again and incorporate these into the Oniks?

 

However, BrahMos has a greater tactical value over Yakhont. While Yakhont is an anti-shipcruise missile only and can be fired from ships, BrahMos can be used against any land or seabased target and can be fired from any platform be it land, sea, air or underwater.

 

BrahMos a Game Changer for India

 

Whatever Russia’s reasons are for not integrating the BrahMos missiles in its armed forces yet, for India BrahMos is a potent weapon and a veritable game changer. In view of this, Antony, in his February 19, 2013 speech announced that the Indian government has decided to expand the infrastructure at multiple centres to cater to larger production requirement of BrahMos missiles and systems. He said the Indian armed forces consider BrahMos to be an important weapon due to its speed, precision and power.

 

Antony also said that the cooperation between the scientists and scientific expertise of India’s DRDO and Russia’s NPOM and many other organizations from India and Russia has proved that there is a way to do things faster and take the lead in the world. He pointed out that the partnership has blossomed and yielded results, which have not been achieved by any other country.

 

The minister said that the role of DRDO, NPOM and the quality assurance agencies ingrooming this industry to achieve high technology levels and a superior quality product has indeed resulted in customer’s delight, that is, the Indian defence forces. He remarked that this process has resulted in a new trend of thinking, in terms of a collaboration and joint venture, as India too could share its technology and products with others.

 

Indian Air Force Chief NAK Browne in his address said that the modified Su-30 Mk-1 aircraft will soon be equipped with BrahMos missile. It should be pointed out in this context that the Indian Army and the Navy have already got BrahMos, while the IAF will get it by 2014. The integration of the new BrahMos missile on to Sukhoi’s Su-30MKI long-rangefighter is due to reach a key milestone this year with integration of the weapon on test aircraft, ahead of planned first deliveries to the IAF in 2014

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 12:40

OAK.jpg

 

19.02.2013, Oleg Nekhaï , Rédaction en ligne - La Voix de la Russie

 

La compagnie aéronautique russe OAK fait désormais partie des vingt plus grandes entreprises de défense. L’Institut de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI) a publié le classement des cent plus grands vendeurs de matériels militaires en 2011. Selon ce classement, l’OAK est passé de la 21ème à la 18ème place.

 

Selon le SIPRI, la compagnie russe a augmenté d’un tiers ses ventes d’armements, dont le volume total a atteint presque 3 milliards d'euros. En prenant en compte sa production civile, en 2011, la compagnie a affiché un résultat de 3,75 milliards d'euros. Igor Korotchenko, rédacteur en chef de la revue Défense nationale, estime que c’est principalement grâce à une concentration des ressources que l’entreprise a su atteindre de tels résultats.

 

« Il est de notoriété publique que des entreprises importantes russes, des concepteurs et des producteurs d’une large gamme de matériel aéronautique. Le processus de la création de l’entreprise a dû inévitablement mener à l’augmentation de la production quelque temps après. Aujourd’hui, nous sommes témoins du bon rendement de l’OAK. »

 

Selon les spécialistes, même si le matériel aéronautique militaire russe est hautement apprécié sur le marché international, la 18ème place dans le classement ne doit pas freiner la Russie. Il ne faut pas oublier non plus que la vente d’armes a ses particularités. Roman Goussarov, rédacteur en chef du site avia.ru et expert de la commission des transports au sein de la Douma, a discuté de ses particularités avec La Voix de la Russie.

 

« La Russie est loin de bénéficier de la même aide qui lui était octroyée du temps de l’Union soviétique. Et il faudrait encore entreprendre quelque chose pour que la Russie, qui jouit d’un énorme potentiel scientifique et technique, puisse occuper une meilleure position sur le marché du matériel aéronautique. La vente d’armes est un secteur très complexe : il est assez politisé. Et ici, ce ne sont pas les avantages d’un tel ou tel produit qui prédominent, mais bien les relations commerciales et politiques entre les pays. »

 

L’Inde, la Chine, les pays de l’Asie du Sud-Est, le Proche-Orient et l’Amérique latine sont toujours les acheteurs traditionnels des armes russes. Selon Igor Korotchenko, la Russie pourrait très bien faire partie des trois premiers exportateurs d’armes.

 

« Tout d’abord, la Russie exporte des chasseurs Soukhoï. Ce sont principalement les Su-30 qui sont les plus demandés dans les pays de la région Asie-Pacifique. La coopération sur le projet de construction indo-russe d'un chasseur de 5ème génération est en train de se développer avec succès. Les caractéristiques techniques élevées et la fiabilité des avions russes leur assurent une forte demande sur le marché mondial. Nous espérons que la Russie va préserver ce secteur du marché, en se plaçant en deuxième position en termes du volume de l’exportation d’armes. »

 

Selon les experts, les avions de la famille Su-30 étaient et restent toujours en tête des ventes. L’avion russe d’entraînement avancé, le Yak-130 a un bel avenir d’exportation. Sa configuration aérodynamique et ses caractéristiques techniques sont semblables à celles d’un chasseur à réaction. Aujourd’hui, la Russie est en train de mener des négociations sur la vente de ces avions. /L

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5 février 2013 2 05 /02 /février /2013 08:40

MiG-29-KUB-Indian-Navy-Fighter-Aircraft

 

MOSCOU, 5 février - RIA Novosti

 

La Russie livrera d'ici 2014 à la Marine indienne sept chasseurs embarqués Mig-29K/KUB, a annoncé mardi le directeur du Service fédéral russe pour la coopération militaire et technique (FSVTS) Alexandre Fomine.

 

"En application du contrat signé en 2010 sur la livraison de 29 MiG-29K/KUB, les quatre premiers chasseurs ont été fournis [à la Marine indienne en décembre 2012]. Sept autres appareils doivent être livrés avant la fin de l'année 2013", a indiqué M.Fomine qui conduit la délégation russe au salon international de l'aéronautique et de l'espace Aero India 2013.

 

Les MiG-29KUB sont des chasseurs multirôles embarqués destinés à assurer la suprématie aérienne, à remplir des missions de défense antiaérienne, à atteindre des cibles de surface avec des armes de précision, de jour comme de nuit, quelles que soient les conditions météo.

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28 janvier 2013 1 28 /01 /janvier /2013 17:40

Russia Weapon Maker

 

January 28, 2013: Strategy page

 

Russian arms exports for 2012 were a record $15.2 billion. This is a major increase over 2010 (a then record $10 billion). That was an 18 percent jump from 2009 sales of $8.5 billion. That was less than two percent more than 2008's $8.35 billion. It was feared that the 2010 sales might be as high as it would get for a while. This was because the subsequent political upheavals in the Arab world might lead to large cancellations of orders, in part because of Russian willingness to use bribes to obtain sales, and past help in security matters to keep the ousted dictators in power. Russia did lose some orders, and there might be other cancellations (especially from Syria.) But India remained the largest buyer of Russian arms, despite complaints of poor quality and bribes.

 

Increasing these sales is very important for the Russian government. The defense industry employs over three million people and accounts for about 20 percent of industrial jobs in Russia. At the end of the Cold War in 1991, defense work was more than three times as large as it is now. It was the enormous size of the defense industry that played a major role in bankrupting the Soviet Union. The Russians were never quite sure (cost accounting not being a communist favorite) what proportion of their GDP was devoted to military spending, but it is estimated that it was over 20 percent. That was more than four times the figure for Western nations (and their generally larger per-capita economies).

 

Russian defense firms quickly realized, in the 1990s, that export sales were all that could save them. It worked. By 2007, Russia was exporting $8 billion worth of weapons a year. Two years before that there were hopes that sales might reach $10 billion for 2008. Russian arms exports had been growing rapidly for a while. In 2005 Russian arms exporters had already booked orders for six billion dollars-worth of sales per year through 2008. In 2004, Russian arms sales were $5.6 billion, and that went to $6 billion in 2005 and $7 billion in 2006. Russian arms sales were only $4.3 billion in 2003, and ballooned as the economies of their two biggest customers (India and China) grew larger. That, and the escalating price of oil (driven largely by increased demand from China and India), has sent international arms sales from $29 billion in 2003, to over $80 billion now. Oil rich countries, particularly those in the Persian Gulf, are eager to buy more weapons, with which to defend their assets.

 

Then problems developed, even before the current Arab situation. There were problems with the two largest customers; China and India.  Over the last decade, about a third of Russian arms exports went to China. But that is now way down, as Russian manufacturers feud with the Chinese over stolen technology. The Chinese have been quite brazen of late, as they copy Russian military equipment, and then produce their own versions without paying for the technology. Worse, the Chinese are now offering to export these copies. The Russians are trying to work out licensing deals with the Chinese, with limited success. The Chinese say their generals are angry over how Russia sells technology to potential Chinese enemies, like India. The Russians don't understand that, as they have been selling weapons to India for decades. Russia fears that the Chinese have just decided that they don't need to buy Russian technology, or equipment, any more, and can just steal what they need.

 

India is also unhappy with Russian sloppiness in handling large projects, like refurbishing a decommissioned Cold War era carrier. This project has been a financial disaster for India. Worse yet, India is buying more Western (Israeli, European and American) weapons, and notes the differences in performance and service. The Arabs were always more understanding, at least more so than China and India. But if Russia cannot change a lot of old habits real quick, their flourishing arms export business is going to slide back into the cellar.

 

Three years ago Israel became one of the top four arms exporters on the planet, shipping $7.2 billion worth of military equipment. The year before, Israel had exported $6.9 billion. The U.S. is the largest exporter, followed by Russia and Germany. Israel is now number four.

 

Half the weapons exported worldwide last year came from the United States (mostly) and Russia. European nations have long occupied the next three slots (Germany, France and Britain.) But lately, German and Israeli exports have been growing. The other big exporters are Spain, China, Netherlands and Italy. These top ten exporters accounted for over 90 percent of the exports. The major importers are Middle Eastern Arab nations, India, South Korea, China and (until recently) Greece.

 

Israel and Germany have been gaining more sales because of reliability and quality. Israel has a major advantage in that many of its weapons and military equipment have proved their worth in combat.

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10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 13:40

Su-30SM Fighter source Ria Novisti

 

January 10, 2013: Strategy Page

 

The Russian Air Force recently ordered another 30 Su-30SM two-seat fighters. Thirty of these were ordered back in April and deliveries to the Russian Air Force were to begin in six months and the first one did arrive six months later. All this was pretty impressive when you consider that that Su-30SM flew for the first time last September 21st. All 60 SU-30SMs are to be delivered by 2016. Before this order Russia had only 11 Su-30s in service, far fewer than China and India. All Russia could afford until recently was the older Su-27.

 

The Su-30SM is a Russian Air Force version of the Su-30MKI that has long been exported (to India, Algeria, and Malaysia). For the last two decades Russian defense manufacturers have survived on exports. The Russian military halted most procurement spending after the Soviet Union collapsed in 1991 (largely from financial mismanagement).

 

In the last decade the Russian military has gradually resumed buying. Initially the Russian military could not afford the best stuff (like the Su-30MKI). But that has changed, and now the Russian military is catching up. This is the first Su-30 model for the Russian Air Force that uses thrust vectoring (the ability of the engine to direct its exhaust a bit and enhance maneuverability).

 

Both the Su-30SM and Su-30MKI are most similar to the two seat American F-15E fighter-bomber. The Su-30MKI, even though equipped with Western electronics, costs less than $40 million each, about half of what an equivalent F-15 costs. The Russian version will have Russian electronics and other Russian made gear but otherwise be nearly identical to the Su-30MKI. The Su-30MKI/SM can carry more than eight tons of bombs and hit targets over 1,500 kilometers away. The Su-30SM is able to use a large range of missiles and smart bombs.

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27 décembre 2012 4 27 /12 /décembre /2012 18:52

brahmos airlaunch

 

December 25, 2012 By J. Michael Cole - Flashpoints

 

Months of speculation about the possible development of an air-launched version of the Indo-Russian BrahMos supersonic cruise missile finally came to a head, with India and Russia announcing they had signed a co-development deal, with plans for a test-fire within six months.

 

The deal was made public a day before Russian President Vladimir Putin was scheduled to arrive in New Delhi to attend a one-day summit on Monday, where he held talks with Prime Minister Manmohan Singh. Prior to his departure, Putin pledged to strengthen defense ties with India. In an op-ed published in The Hindu, Putin emphasized that joint development of advanced weapons, rather than the traditional purchase by India of Russian technology, would be “key to future relations.”

 

India is the world’s largest arms importer, with Russian technology accounting for between 60 and 70 percent of total acquisitions. New Delhi intends to spend upwards of U.S.$100 billion over the next decade to upgrade its predominantly Soviet-era military.

 

Putin’s visit — his first since he returned to the presidency in May — will seek to dispel rumors that Russian-Indian ties are strained following Moscow’s decision to delay Putin’s visit that was initially scheduled for the end of October. Among other things, Russia has since reaffirmed its intention to share advanced defense technology with India and to jointly develop a fifth-generation Sukhoi fighter aircraft as part of an U.S.$11 billion R&D program.

 

During the summit, the two sides also signed defense deals totaling U..S$2.9 billion, including a U.S.$1.6 billion contract for 42 Sukhoi Su-30MKI fighters, as well as $1.3 billion for 71 Mi-17 V5 medium-lift helicopters (adding to the 80 already purchased in a previous deal), 970 aircraft engines, and tank missiles.

 

Ahead of Putin’s visit on Monday, the two sides also signed a deal to develop and install 216 air-launched variants of the two-stage BrahMos (the name comes from the merger of two major rivers, Brahmaputra in India and Moskva in Russia) on 45 aircraft. Installation of the BrahMos on the Su-30s will require some fuselage work.

 

According to the Indian Defense Ministry, the agreement was signed in New Delhi between BrahMos Aerospace, Rosoboronexport — Russia’s state intermediary agency for the export and import of military and dual-purpose products — and the Sukhoi Design Bureau. The concept of integrating BrahMos missiles on Su-30MKIs goes back to at least 2010, when it was announced that between 40 and 100 aircraft were to be outfitted with the supersonic cruise missile as part of the “Super 30” upgrade program.

 

The Indian Cabinet Committee on Security recently cleared a proposal by the Indian Air Force (IAF) to acquire BrahMos missiles for their integration with their Su-30MKIs. A first test of the air-launched version is to be held by the middle of 2013, with two IAF Su-30MKIs, modified by Hindustan Aeronautics Limited, to be outfitted with BrahMos launchers. According to reports, the air-launched version of the BrahMos will integrate geo-location data from the Global Navigation Satellite System (GLONASS), which currently provides primary navigation for Russia’s Kh-555 and the Raduga Kh-101 long-range air-launched cruise missiles. It was first reported in 2010 that the BrahMos would be outfitted with GLONASS receivers.

 

Once integrated, the air-launched BrahMos will give the IAF a long-range strike capability and the means to launch air attacks beyond the envelope of Pakistan’s relatively primitive air defense systems. With a range of approximately 290 km, the “fire-and-forget” missile carries a 300 kg (660 pounds) conventional warhead and can reach a speed of Mach 2.8 at levels as low as 30 feet.

 

With the BrahMos already inducted in the Indian Army and Navy, its integration into the IAF will close the supersonic cruise missile triad for the Indian armed forces. A submarine-launched version is also in development.

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 18:35

i

SU-30MKI India photo USAF

 

7 décembre 2012 par Daniel Favre – INFO-AVIATION

 

L’Inde négocie actuellement avec la Russie une modernisation supplémentaire de 80 chasseurs Su-30MKI afin de les élever au niveau du Super-30. L’opération pourrait se chiffrer à 1 milliard de dollars (source : Russia & India Report).

 

Cette modernisation concernerait le lot de 80 chasseurs Su-30MKI* déjà achetés à la Russie (consortium Suhkoï/Irkout). Les avions Su-30MKI sont livrés à l’Indian Air Force (IAF) en quatre étapes. Selon le plan actuel, leur modernisation devrait être réalisée au cours des trois ou quatre prochaines années.

 

Au total, l’Inde possède 170 appareils Su-30MKI. L’IAF envisage aussi d’acheter 272 avions supplémentaires. Une commande pour 230 appareils a été déjà passée.

 

Ce contrat se cumulerait donc au contrat de modernisation Super-30 de 42 Su-30MK livrés à l’Inde entre 1997 et 2004, chiffré à 3,77 milliards de dollars et qui est susceptible d’être signé lors de la visite du président russe Vladimir Poutine à New Delhi le 24 décembre.

 

La modernisation Super-30 prévoit entre autres l’installation de nouveaux radars, d’ordinateurs de bord, de nouveaux systèmes électroniques et de missiles de croisière supersoniques BrahMos d’une portée de 300 km. Elle devrait commencer en 2015 et effectuée sous licence par la société publique Hindustan Aeronautics Ltd (HAL).

 

L’Indian Air Force (IAF) devrait donc pouvoir créer son huitième escadron de Su-30MK en décembre 2012. Il sera basé à Sirsa d’Haryana, près de la frontière avec le Pakistan. Il s’agira du troisième escadron de Su-30MK à être déployé à proximité de la frontière avec le Pakistan depuis 14 mois. Les deux derniers escadrons sont situés à Jodhpur au Rajasthan et à Punjab Halwara.

 

* Le Su-30MKI est fabriqué en Inde sous la licence de HAL. Il est facilement reconnaissable des autres variantes Su-30 par l’ajout de plans canard et de tuyères à poussée vectorielle.

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6 décembre 2012 4 06 /12 /décembre /2012 08:30

Su-30SM Fighter source Ria Novisti

 

MOSCOU, 5 décembre - RIA Novosti

 

Les deux premiers chasseurs biplaces Sukhoi Su-30SM sont arrivés au Centre des essais en vol d'Akhtoubinsk, dans la région d'Astrakhan, a annoncé mercredi à Moscou le porte-parole de l'Armée de l'air russe Vladimir Deriabine.

 

"Deux chasseurs Su-30SM en provenance d'Irkoutsk se sont posés à Akhtoubinsk, après avoir fait deux escales de ravitaillement à Novossibirsk et à Tcheliabinsk", a indiqué le lieutenant-colonel Deriabine.

 

La remise prochaine à l'armée des chasseurs à haute manœuvrabilité Su-30SM augmentera considérablement le potentiel de combat de l'Armée de l'air russe.

 

Le chasseur polyvalent à haute manœuvrabilité Su-30SM est un appareil de la famille des Su-30MK, adapté aux exigences de l'Armée de l'air russe. L'avion possède de nouveaux radars à antenne à balayage électronique (AESA) et des systèmes de liaison radio et d'identification. Ses armements et autres systèmes ont aussi été modifiés par rapport à la version originale. Le groupe Irkout doit produire 30 chasseurs polyvalents Su-30SM d'ici 2015, conformément à un contrat signé avec le ministère russe de la Défense en mars 2012.

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5 décembre 2012 3 05 /12 /décembre /2012 20:25

Su-30SM Fighter source Ria Novisti

 

MOSCOU, 5 décembre - RIA Novosti

 

Les deux premiers chasseurs biplaces Sukhoi Su-30SM sont arrivés au Centre des essais en vol d'Akhtoubinsk, dans la région d'Astrakhan, a annoncé mercredi à Moscou le porte-parole de l'Armée de l'air russe Vladimir Deriabine.

 

"Deux chasseurs Su-30SM en provenance d'Irkoutsk se sont posés à Akhtoubinsk, après avoir fait deux escales de ravitaillement à Novossibirsk et à Tcheliabinsk", a indiqué le lieutenant-colonel Deriabine.

 

La remise prochaine à l'armée des chasseurs à haute manœuvrabilité Su-30SM augmentera considérablement le potentiel de combat de l'Armée de l'air russe.

 

Le chasseur polyvalent à haute manœuvrabilité Su-30SM est un appareil de la famille des Su-30MK, adapté aux exigences de l'Armée de l'air russe. L'avion possède de nouveaux radars à antenne à balayage électronique (AESA) et des systèmes de liaison radio et d'identification. Ses armements et autres systèmes ont aussi été modifiés par rapport à la version originale. Le groupe Irkout doit produire 30 chasseurs polyvalents Su-30SM d'ici 2015, conformément à un contrat signé avec le ministère russe de la Défense en mars 2012.

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1 décembre 2012 6 01 /12 /décembre /2012 12:45

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/0/0f/Flag_of_Georgia.svg/800px-Flag_of_Georgia.svg.png

 

BRUXELLES, 30 novembre - RIA Novosti

 

Les efforts visant à inciter la Géorgie à adhérer à l'Otan pourraient avoir des conséquences graves pour les relations entre la Russie et l'Alliance, a déclaré vendredi aux journalistes russes à Bruxelles le nouveau représentant permanent de la Russie auprès de l'Otan, Alexandre Grouchko.

 

"Je suis convaincu que les responsables de l'Otan sont conscients que les démarches visant à intégrer la Géorgie à l'Alliance pourraient avoir des conséquences graves pour les relations russo-otaniennes", a indiqué le diplomate.

 

Selon lui, la Russie estime que l'élargissement de l'Alliance est contraire à l'idée de mettre en place un système de sécurité collective en Europe. En outre, le désir d'accueillir la Géorgie au sein de l'Otan n'est pas en mesure de modifier les relations entre Moscou et les ex-républiques géorgiennes qui ont proclamé leur indépendance.

 

"Il serait irréaliste d'espérer que la politique de rapprochement entre la Géorgie et l'Alliance pourrait influer d'une manière ou d'une autre sur nos relations avec l'Abkhazie et l'Ossétie du Sud, ainsi que sur nos engagements relatifs à leur protection", a ajouté M. Grouchko.

 

La coopération entre la Géorgie et l'Alliance atlantique a commencé en 1994 avec l'intégration de Tbilissi au Plan d'action pour l'adhésion à l'Otan (MAP). Après la "révolution des roses" en 2004, qui a porté Mikhaïl Saakachvili au pouvoir en Géorgie, cette coopération s'est sensiblement intensifiée. En octobre 2004, elle a pris la forme du Plan d'action individuel pour le partenariat (IPAP).

 

Réunis pour une rencontre informelle en 2006, les chefs de diplomatie des pays membres de l'Otan ont décidé d'engager avec la Géorgie un dialogue intensifié (ID) sur les aspirations du pays en matière d'adhésion. Le sommet de l'Otan tenu en avril 2008 à Bucarest a réaffirmé que la Géorgie et l'Ukraine pourraient adhérer à l'Alliance à condition de se conformer à ses standards. Ce même sommet a adopté à l'égard de la Géorgie un Programme national annuel (ANP) contenant une "feuille de route" détaillée pour l'adhésion.

 

Mi-septembre 2008, la Commission Géorgie-Otan a vu le jour afin de contribuer à l'intégration du pays au sein de l'Alliance.

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