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30 novembre 2012 5 30 /11 /novembre /2012 19:39
Russie: fin des essais du dernier modèle de Kalachnikov

MOSCOU, 30 novembre 2012  - RIA Novosti

 

L'Institut centrale russe de mécanique de précision" de Klimovsk (région de Moscou) a achevé les essais du nouveau fusil d'assaut Kalachnikov AK-12, a annoncé vendredi le service de presse de l'entreprise.

 

"Les essais préliminaires de l'AK-12 sont terminés, nous avons défini l'ensemble des caractéristiques de combat et techniques du nouveau fusil", a indiqué le porte-parole.

 

Le fusil d'assaut Kalachnikov AK-12 est conçu par l'usine Ijmach d'Ijevsk (république russe d'Oudmourtie). Ce fusil de cinquième génération possède trois modes de tir - coup par coup, rafale de trois et automatique. Il est muni de rails de fixation Picatinny permettant d'installer des équipements supplémentaires. Il s'agit d'une arme modulaire de base qui servira pour la création d'une vingtaine de versions de calibre 5,45x39 mm à 7,62x51 mm, selon le site officiel d'Ijmach.

 

L'AK-12 est destiné à l'exportation, mais ce fusil répond aux normes du ministère russe de la Défense et l'usine se dit prête à le livrer à l'armée russe en cas de besoin.

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29 novembre 2012 4 29 /11 /novembre /2012 13:50

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/ff/Flag_of_Serbia.svg/800px-Flag_of_Serbia.svg.png

 

MOSCOU, 29 novembre - RIA Novosti

 

La Russie et la Serbie pourraient coopérer afin de moderniser certaines armes, a déclaré jeudi le vice-premier ministre russe Dmitri Rogozine à l'issue d'une visite à Belgrade.

 

"Nous avons étudié avec nos experts les possibilités visant à fabriquer des armements sur le territoire serbe et nous avons conclu que certaines armes et matériel militaire construits en Serbie pourraient être compétitifs", a indiqué le vice-premier ministre sur le site du gouvernement russe.

 

Selon le responsable, la première étape de la coopération consistera à moderniser le matériel militaire russe destiné tant à la Russie qu'à des pays tiers.

 

"Il s'agit avant tout d'un large éventail de munitions", a précisé le vice-premier ministre, ajoutant que l'on pourrait parler plus concrètement de coopération militaire une fois que la Russie et la Serbie auraient signé un accord de partenariat stratégique.

 

Lors de sa visite, M.Rogozine a discuté des perspectives de la coopération bilatérale avec le président serbe Tomislav Nicolic, le chef du gouvernement Ivica Dacic et le ministre de la Défense Alexandar Vucic.

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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 12:05

Su-30SM Fighter source Ria Novisti

 

28 novembre 2012 par info-aviation

 

Le groupe aéronautique Irkout a livré le 22 novembre aux forces aériennes russes deux premiers chasseurs Su-30SM.

 

Aux termes du contrat signé en mars 2012 avec le ministère de la Défense, le groupe fournira 30 chasseurs de ce type. Le commandement aérien espère utiliser ces appareils biplaces pour augmenter la puissance de frappe de l’aviation russe, mais aussi pour familiariser les pilotes avec les chasseurs de cinquième génération.

 

Interrogé sur les avantages offerts par le SU-30SM en matière de manœuvrabilité, le général Khartchevski a déclaré : « Grâce à sa manœuvrabilité extraordinaire, cet avion inaugure une nouvelle ère dans le pilotage ».

 

« Il est en mesure de supporter non seulement les facteurs de charge traditionnels – positif et négatif – mais aussi l’accélération latérale. Cela permet au pilote de concevoir sa manœuvre en trois dimensions, ce quoi est indispensable pour gagner un combat aérien. À son tour, l’apparition d’avions offrant une grande manœuvrabilité a fait naître une nouvelle tactique de combat »,  a indiqué le général russe.

 

Selon lui, la livraison de ces nouveaux chasseurs est une étape très importante du réarmement des forces aériennes russes.

 

« Les possibilités de ces appareils permettent d’améliorer le potentiel de frappe de notre aviation. Les forces aériennes russes ne disposaient pas jusqu’à présent d’avions permettant de remplir les missions à un niveau tellement élevé ».

 

Il a ajouté que ces chasseurs « ne seraient pas livrés en exemplaires limités, mais par escadrilles entières ».

 

« Le Su-30SM possède une plus grande capacité de détection et de destruction des cibles, ce qui le rend en mesure de neutraliser plusieurs cibles simultanément. Le potentiel de cet avion est comparable à celui de deux avions de génération précédente. Ce n’est pas sans raison que les pilotes indiens volant à bord de Su-30MKI ont remporté des combats d’entraînement contre les pilotes américains », a conclu le général Khartchevski.

 

Développé par le groupe Irkout, le Su-30SM a effectué son premier vol (2 heures) le 21 septembre 2012. Il est spécifiquement adapté aux exigences de l’Armée de l’air russe.

 

Dérivé du Su-30MK, il possède de nouveaux radars et systèmes de liaison radio et d’identification. Ses armements et autres systèmes ont aussi été modifiés par rapport à la version originale.

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27 novembre 2012 2 27 /11 /novembre /2012 19:53

BPC russe DCNS

 

November 27, 2012: Strategy Page

 

Navy modernization plans are underway despite the threat of cuts in the spending needed for all the new equipment and facilities. New base construction is under way in the Black Sea (at Novorossiisk, as an alternative to the old Soviet base of Sevastopol that is rented from Ukraine), the north coast (for the new Borei and Yasen class nuclear subs) and the Pacific (for the two new Mistral class amphibious ships.) Dozens of new ships are on order and the navy is on schedule to complete the current modernization plans by the end of the decade if the promised money keeps coming.

 

The corruption investigation surrounding the November 9th replacement of defense minister Anatoly Serdyukov continues. Serdyukov has not been accused of any wrongdoing, but several people who worked for him have. Serdyukov had been brought in five years ago to carry out much needed reforms and curb corruption. He did a lot of both, but made some powerful enemies along the way. This eventually made him a liability to president Putin. The government has made corruption in the military a special target because this misbehavior slows down efforts to reform the military. Nation-wide anti-corruption efforts are hampered by the fact that most officials are dirty and completely cleaning up the corruption would mean replacing most of the senior government officials (elected and appointed).

 

Russia continues to support the besieged Syrian government. The Assad family has ruled Syria for nearly half a century and done business with Russia for most of that time. Russia also opposed the rebellion last year against Libyan dictator Moamar Kaddafi (who was killed by the rebels). This support of Arab dictators has made Russia very unpopular in the Moslem world. This is made worse by Russian threats against anyone that aids the rebels. For example, Russia has warned NATO nations of unspecified consequences if they send Patriot missile batteries to Turkey to help guard the Syrian border from Russian made Syrian warplanes that have made threatening moves against NATO member Turkey.

 

Not all Russian support for Syria has been diplomatic. It was recently revealed that between July and September, a Syrian Air Force Il-76 made eight trips to Moscow and brought back over 200 tons of newly printed Syrian cash. Sanctions had prevented the Syrian government from using their usual bank note printer in Austria. Naturally, Russia kept this quiet, not wanting to be condemned for breaking the sanctions. The amount received (between one and two billion dollars) was about as much as the government normally spends in a month. With most sources of income (like oil exports) cut off, this infusion of Syrian cash was a big help.

 

Russia now has yet another reason to be angry at America. The rapid growth of shale gas in the United States has crippled the ability of Russia to overcharge European customers for Russian natural gas. That is because suppliers of liquefied natural gas (delivered by ship anywhere in the world) have lost a lot of American business (to cheaper shale gas) and are shipping their gas to Europe and selling it for less than what the Russians are demanding. Russia long dismissed shale gas (and hydraulic fracturing or “fracking”) as an American fad that would fade. Now Russia has to cope with lost markets because of shale gas. Since oil and gas are Russia’s major exports, this is a serious matter. With less foreign currency available from energy sales, there is less money to import new technology and consumer goods as well as rebuild the military. Older Russians remember how successful American efforts to lower the price of oil in the 1980s helped bankrupt and destroy the Soviet Union.

 

Shenyang J-31 photo Greg Waldron Flightglobal

 

November 23, 2012: Russian officials admitted that the second Chinese stealth fighter design, the J-31, was powered by Russian engines (the RD-93, which is also used in the MiG-29). About the only military gear Russia will sell to China these days are jet engines. Some 90 percent of Russian military exports to China are these engines which the Chinese have still not been able to duplicate. Russia is currently in the process of delivering several hundred AL-31F/FN (for the Su-27/30 fighters) and D-30KP2 (for Il-76 freighters) engines. The RD-93 is also used in the Chinese/Pakistani JF-17.

 

Su-30SM Fighter source Ria Novisti

 

November 22, 2012: The Russian Air Force received the first two Su-30SM jet fighters. The Su-30SM is a Russian Air Force version of the Su-30MKI that has long been exported (to India, Algeria and Malaysia). For the last two decades Russian defense manufacturers have survived on exports. The Russian military halted most procurement spending after the Soviet Union collapsed in 1991 (largely from financial mismanagement). In the last decade, the Russian military has gradually resumed buying. Initially, the Russian military could not afford the best stuff (like the SU-30MKI that was only sold to foreigners). But that has changed, and now the Russian military is catching up.

 

In the Caucasus (Dagestan) police killed an Islamic terrorist they had cornered.

 

November 21, 2012: In Dagestan two policemen and a civilian were killed when a bomb went off in a building were searching (for Islamic terrorists).

 

November 20, 2012: In Dagestan a policeman was killed and another wounded in a clash with Islamic terrorists.

 

November 17, 2012: In the Caucasus (Kabardino-Balkaria) police killed two Islamic terrorists.

 

November 16, 2012: Russia sent a detachment of ships (a cruiser, a destroyer, two amphibious vessels, a tug and a tanker) to the eastern Mediterranean in case it was necessary to help evacuate Russian citizens from Gaza. The Russian policy is not to support Hamas, but to criticize anything the United States does.

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24 novembre 2012 6 24 /11 /novembre /2012 20:35

Nato Russia source natomission.ru

 

BRUXELLES, 23 novembre - RIA Novosti

 

Le nouveau représentant permanent de la Russie auprès de l'Otan Alexandre Grouchko arrivera à Bruxelles avant la fin novembre, a confié vendredi à RIA Novosti un porte-parole de la représentation russe auprès de l'Alliance.

 

"La date exacte n'est pas encore fixée, mais nous attendons son arrivée d'ici la fin du mois", a déclaré l'interlocuteur de l'agence.

 

Le 4 décembre, Bruxelles doit accueillir une réunion informelle du Conseil Russie-Otan (CRO) au niveau des ministres des Affaires étrangères. M. Grouchko, nommé le 24 octobre représentant permanent de la Russie auprès de l'Alliance, participera pour la première fois à une réunion du CRO en sa nouvelle qualité.

 

"Il s'agit d'une rencontre informelle. Les ministres se réuniront pour un déjeuner de travail", a indiqué le diplomate.

 

Le Conseil Russie-Otan a été institué le 28 mai 2002 lors du sommet Russie-Otan à Rome. Il a remplacé le Conseil conjoint permanent mis en place en vue de promouvoir la coopération entre Moscou et les 28 pays alliés.

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24 novembre 2012 6 24 /11 /novembre /2012 19:21

http://postmediaottawacitizen.files.wordpress.com/2012/11/140454_1.jpg

 

November 23, 2012. David Pugliese - Defence Watch

 

From JSC Irkut:

 

JSC Irkut Corporation (part of JSC United Aircraft Corporation) handed over the first 2 Su-30SM fighters to the Russian Air Force. The delivery-acceptance act was signed on November 22 at the Irkutsk aviation plant – branch of JSC IRKUT Corporation.

 

Oleg Demchenko, President of JSC IRKUT Corporation, at the signing ceremony said: “We’ve been working for export for many years, and now started to deliver aircraft to the Motherland. 9 of our new Yak-130s are flying at the Borisoglebsk training center to date, and now we are delivering the first 2 Su-30SM fighters to the Russian Air Force. This is a historic event for our team, for the Sukhoi company and for the whole United Aircraft Corporation”.

 

Alexander Harchevsky, Chief of the Military research and training center named after N. Zhukovski and Y. Gagarin said at the event: “Su-30SM will improve combat capabilities of the Russian Air Force”. The famous military pilot, who headed the Center of retraining pilots named after V. Chkalov for many years, having experience in piloting the type of fighters mentioned such capabilities of the Su-30SM as simultaneously engage and destroy multiple targets as well as super-maneuverability. “It’s very important that the aircraft is in serial production and will be supplied to the Air Force not by units, but squadrons” – stressed Maj. Gen Harchevsky.

 

Su-30SM multirole super-maneuverable fighter is the further development of the Su-30MK combat aircraft family. JSC Sukhoi Design Bureau’ specialists designed the fighter in accordance with the requirements of the Russian Air Force in terms of radar system, radio and recognition system, ejection seats and a number of support systems. The weaponry configuration was changed as well.

 

The contract on 30 multirole fighter delivery by 2015 was signed between the Russian Ministry of Defence and JSC IRKUT Corporation in March 2012.

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22 novembre 2012 4 22 /11 /novembre /2012 22:01

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/actualites/images-actu/le-rapport-2012-sur-les-exportations-d-armement-au-parlement/2078790-1-fre-FR/le-rapport-2012-sur-les-exportations-d-armement-au-parlement.jpg

 

22/11/2012 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Le rapport au Parlement des exportations d'armement sur les exportations de la France en 2011 a été présenté ce jeudi par le ministre de la Défense. En 2011, la France, quatrième exportateur mondial d'armements, a engrangé 6,5 milliards d'euros de prises de commandes et a livré pour 3,7 milliards de matériels militaires.

 

Le ministre de la Défense a décidé de mettre fin à une anomalie sur la publication du rapport annuel au Parlement des exportations d'armement. Jean-Yves le Drian a convenu jeudi matin à l'Assemblée nationale lors de son audition devant les commissions réunies des affaires étrangères et de la défense de l'assemblée nationale. Pour lui, il est surprenant de présenter ce rapport sur les exportations d'armement de 2011... seulement en novembre 2012. Il a promis que celui de 2012 serait présenté au début de 2013. C'est sûr les chiffres sont connus depuis longtemps. En 2011, la France, qui s'est classée au quatrième rang mondial des pays exportateurs d'armements, a engrangé 6,5 milliards d'euros de prises de commandes (contre 5,1 milliards en 2010) et a livré pour 3,7 milliards de matériels militaires (3,7 milliards en 2010). En revanche, le ministre, qui souhaite aller vers plus de transparence dans ce rapport, a supprimé quelques données statistiques intéressantes, qui étaient jusqu'ici présentées dans les rapports précédents. Notamment la répartition par matériel air, mer, terre achetés par les clients de la France. Dommage.

 

Un tiercé de tête surprenant

 

Quels enseignements tirés sur les exportations 2011 ? Que le tiercé de tête de l'an dernier est très surprenant. Outre l'Inde (1,696 milliard d'euros) - un client habituel des industriels français -, qui a notamment signé un contrat de rénovation de 49 Mirage 2000 (1,4 milliard d'euros à partager entre Thales et Dassault Aviation), on retrouve... la Russie (946,9 millions) et les Etats-Unis (926,3 millions), deux pays, qui ont une industrie de la défense performante et une politique en la matière protectionniste. C'est tout à l'honneur des industriels français, qui ont des matériels de qualité. DCNS a notamment vendu à la marine russe deux porte-hélicoptères BPC de la classe Mistral et les Etats-Unis ont acheté, entre autre, 32 hélicoptères UH-72A Lakota à la filiale d'EADS, Eurocopter (52 millions de dollars). L'Arabie saoudite ne vient qu'en quatrième position (854,8 millions) et les Emirats arabes unis, en froid avec la France en cinquième position (275,1 millions). Enfin, à noter que la Malaisie reste un bon client des industriels français avec 268,9 millions d'acquisitions de matériels militaires "Made in France".

 

180 autorisations d'exportations pour la Chine

 

Enfin, dernier point, 180 autorisations d'exportation de matériels de guerre (AEMG) ont été octroyées en 2011 à la Chine pour un montant de 283,6 millions d'euros. Principalement pour des matériels duals à destination de l'aéronautique chinoise (150 millions). La direction générale de l'armement précise que cela concerne également des caméras infrarouges et des radars de surveillance aérienne.

 

Sur ce point, Jean-Yves Le Drian souhaite plus de clarté sur les matériels duals. Veut-il légiférer ? Pas impossible. En tout cas, le ministère va travailler en 2013 sur une "clarification pour les matériels qui relèvent du double usage (civil et militaire, ndlr)". Ce qui a de certain, c'est que Jean-Yves Le Drian veut interdire la vente libre de matériels (notamment de logiciels) liés à la surveillance électronique. C'est l'une des leçons tirés des printemps arabes avec l'affaire de la société française Amesys, une filiale de Bull, qui est mise en cause pour avoir installé un système de surveillance du Web en Libye.

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18 novembre 2012 7 18 /11 /novembre /2012 12:45

Sukhoi T-50 (PAK-FA) source Ria Novisti

 

November 15, 2012 Andrei Kislyakov, specially for RIR - indrus.in

 

Modern Russo-Indian military and technical cooperation is focussed on research-intensive areas like aviation and missile manufacturing.

 

The hallmark of cooperation between Russia and India in the aviation sector is the joint development and manufacturing programme of fifth generation fighter aircraft (FGFA) for the Indian Air Force. According to the Centre for Analysis of World Arms Trade’s latest estimates made in late October, the countries intend to start serial production of the FGFA in 2020. The plane – an Indian version of the Russian T-50 fighter – will be built at the Hindustan Aeronautics Limited (HAL) production facilities. The Russian fifth generation fighter, code-named T-50, should be deployed in the Russian Air Force after 2017.

 

India’s Chief of the Air Staff, Air Chief Marshal Norman Anil Kumar Browne has stated that it will be a single-seat plane equipped with practically the same components as its Russian twin. Some of the equipment, however, such as onboard computers, will be different, as is the case with the Sukhoi Su-30MKI fighter upgraded for use by India.

 

According to Russia’s United Aircraft Corporation, the Russian side will supply 117C engines, as well as stealth technology for the Indian planes. India plans to manufacture onboard computers, software, a targeting system, and other onboard systems for its fifth generation fighter.  This is keeping in line with Indian participation in the programme for the India-licensed manufacture of the Russian multi-purpose Sukhoi 30MKI fighters at Indian factories. As a result, Russian-made components in the serial model should make up 60 percent, compared with India’s 40 percent.

 

Official data estimates the total cost of joint Russo-Indian FGFA development to be $12 billion. According to Marshal Browne, “the project will be carried out on a parity basis. It includes financing for detailed design, a full battery of tests, and the production of prototypes.” He added that they are currently at the preliminary design stage, estimated to cost $295 million.

 

Meanwhile, the contract for developing the aircraft for India has undergone considerable modifications. The Indian Air Force originally planned to buy 214 fifth generation planes (166 one-seaters and 48 two-seaters). That number has since been reduced to 144. The original number would have been built if the plane had been ready for deployment by 2017, and if Russian factories had been able to deliver the first batch of the machines. However, because of delays with the production of the T-50, India has decided to expand its participation in FGFA development, pushing the starting date for the production of its Indian version back to 2020.

 

India is in the process of a large-scale upgrade of its Air Force. Around 130 Russian-made multi-purpose Sukhoi Su-30MKI fighters (which should increase to 270) and around 70 MiG-29s form the backbone of the country’s fighter fleet.

 

Besides modern equipment, the Indian Air Force also has 51 French Mirage 2000 fighters and around 200 MiG-21s, almost half of which will be decommissioned within the next two or three years, while the rest will be upgraded.

 

India recently held a tender for supplying its Air Force with at least 126 multi-purpose fighters for a total of more than $10 billion. The French Dassault Rafale fighter won the tender.

 

In addition to modern military aircraft, Russia and India continue close cooperation in missile building, including the BrahMos supersonic cruise missile.

 

Russia and India are working with BrahMos Aerospace to promote a family of all-purpose supersonic BrahMos land-launched and ship-launched versions of the missile based on the Russian medium-range P-800 Onyx anti-ship missile, which some experts believe is unrivalled in the global marketplace.

 

According to Russia’s deputy prime minister in charge of the defence industry, Dmitry Rogozin, BrahMos Aerospace is not only a successful Russo-Indian joint venture, but it also represents an optimal model for bilateral cooperation that has tremendous political importance for both countries.

 

In early October 2012, the missile was test-fired from the Teg frigate built in Russia to India’s order. A contract for the construction of three frigates of this type was signed in 2006. India said the test was successful, with the cruise missile hitting its target at a distance of 290km.

 

One thousand land-launched and ship-launched versions of the missile are scheduled for production by 2016, with half of this number intended for sale to third countries.

 

The joint venture BrahMos Aerospace is working overtime to create the hypersonic BrahMos-2 missile. With a speed of more than five times the speed of sound, it will be practically impossible to intercept.

 

First Deputy General Director of Russia’s NPO Mashinostroenia Aleksandr Dergachev announced in mid-October that air tests for the BrahMos-2 would begin next year.

 

During Dmitry Rogozin’s visit to India in mid-October, BrahMos Aerospace CEO Dr Sivathanu Pillai presented the Russian delegation with a strategic plan for the joint venture development through 2050, which includes the design and implementation of innovation technologies for the BrahMos missile family, allowing the company to remain a global market leader in this area. Dr Pillai pointed out the importance of deploying the BrahMos missiles in the Russian Navy, as well as the need to develop new systems as soon as possible to maintain a technological edge over other countries

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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 17:50

Yak-130 Combat Trainer

 

November 15th, 2012 By RIA Novosti - defencetalk.com

 

Malaysia and Vietnam are interested in buying Russian-made Yak-130 Mitten combat trainers, a source in the Russian delegation at the Air China aerospace show told RIA Novosti on Wednesday.

 

“Malaysia will need new combat trainers in the near future to replace the outdated Italian-made M-339 aircraft,” the source said.

 

“The chances are high that Malaysia may purchase the Yak-130 as the country has been one of the key buyers of Russian military aircraft and our planes have been tested there for years,” he said.

 

The same refers to Vietnam, which has bought Russian Su-30MK2 jet fighters in the past, the source added.

 

Russia’s Yak-130 is also a competitor in a tender for delivery of six light fighter jets to the Philippines to replace retired U.S.-built Northrop F-5A Tiger fighters.

 

The Yak-130 is a highly maneuverable aircraft with an extended range of about 2,000 kilometers (1,250 miles) and a maximum speed of 1,060 km/h (600 m/h) in level flight. It can carry a combat payload of up to 3,000 kilograms (6,600 pounds), consisting of a variety of Russian and Western developed weapons.

 

The Yak-130 has been chosen as a basic aircraft for Russian Air Force pilot training. First deliveries started in 2009.

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31 octobre 2012 3 31 /10 /octobre /2012 20:43

Syria

 

31/10/2012 20minutes.fr (AFP)

 

La France devait tenter une nouvelle fois mercredi d'obtenir un assouplissement de la position russe sur la question syrienne, à l'occasion d'une rencontre à Paris des chefs de la diplomatie Laurent Fabius et Sergueï Lavrov, reçus en soirée par François Hollande.

 

Cette session, qui réunit parallèlement leurs collègues de la Défense, Jean-Yves Le Drian et Anatoli Serdioukov, qui verront aussi le président français, s'inscrit dans le cadre d'un Conseil annuel de coopération franco-russe sur la sécurité, créé il y a dix ans.

 

La coopération Otan-Russie en défense antimissiles, l'Iran, l'Afghanistan et le Mali figurent à l'ordre du jour mais la crise syrienne devrait dominer les discussions.

 

"Sur certains sujets, nos positions sont convergentes. C'est le cas du Mali, comme l'a montré l'adoption à l'unanimité de la résolution du Conseil de sécurité", a déclaré le porte-parole du Quai d'Orsay Philippe Lalliot. Cette résolution a donné jusqu'à fin novembre aux pays ouest-africains pour préciser leur plan d'intervention militaire pour reconquérir le Nord-Mali, contrôlé par des islamistes extrémistes.

 

"Sur d'autres sujets, a poursuivi M. Lalliot, nos positions divergent encore, je fais référence à la Syrie, bien sûr".

 

Les divergences portent notamment sur la participation du président Bachar al-Assad à un éventuel gouvernement de transition.

 

Un accord conclu à Genève le 30 juin entre les membres du Conseil de sécurité (Etats-Unis, Chine, Russie, France et Grande-Bretagne) prévoit la création d'un organe de gouvernement transitoire dans lequel le régime syrien et l'opposition seraient représentés.

 

Mais les participants ont ensuite diversement interprété le texte, les Occidentaux excluant une participation de Bachar al-Assad, alors que la Russie et la Chine, alliées du président syrien, affirmaient qu'il revenait aux Syriens de déterminer leur avenir.

 

Syrie, sujet numéro un

 

Néanmoins, la diplomatie française considère que le document de Genève "est important parce que c'est le seul sur lequel les membres permanents du Conseil de sécurité sont tombés d'accord et parce que Lakhdar Brahimi (médiateur de l'ONU et de la Ligue arabe) y attache une grande importance pour la suite".

 

Les nouvelles discussions à Paris ont lieu juste après l'échec de la trêve préconisée par M. Brahimi pendant la fête de l'Aïd al-Adha et au moment où les raids de l'aviation syrienne contre la rébellion se sont intensifiés.

 

En matière de coopération militaire franco-russe, la France, qui réduit ses dépenses militaires, pourrait profiter du choix stratégique de Moscou de moderniser ses équipements pour peser davantage sur la scène internationale.

 

Paris et Moscou ont signé début 2011 un accord portant sur la vente par la France de quatre porte-hélicoptères Mistral et selon les milieux militaires, les Russes seraient notamment intéressés par de nouveaux véhicules blindés français. Mais dans ce type de marchés où la concurrence internationale est redoutable, les discussions sont souvent longues et difficiles.

 

Sur le projet de défense antimissiles de l'Otan, que la Russie considère comme une menace pour sa sécurité, le président russe Vladimir Poutine, après une rencontre en juin avec François Hollande, a jugé que le dialogue "était possible avec la France et avec tous les autres pays de l'Alliance" atlantique.

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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 12:40

http://m.ruvr.ru/data/2011/12/30/1246913581/4coll2.jpg

photo Voix de la Russie

 

29/10/2012 "Guerre et Paix" par Jean-Dominique Merchet

 

Depuis dix ans, la Russie et la France ont pris l’habitude de se retrouver chaque année au sein du conseil de coopération sur les questions de sécurité, le CCQS. Cette instance réunit les ministres des affaires étrangères et de la défense des deux pays. Mercredi 31 octobre, à Paris, Sergueï Lavrov, Anatoli Serdioukov, Laurent Fabius et Jean-Yves Le Drian feront donc, ensemble, un vaste tour d’horizon des affaires stratégiques, pour la 11ème session de cette instance – dont il ne faut pas attendre, à la sortie, beaucoup plus qu’un communiqué diplomatique.

 

Cette rencontre intervient alors que, sur le plan militaire, les deux pays prennent des chemins divergents : la France réduit la voilure alors que la Russie réarme. A peine élu, le président François Hollande a lancé la préparation d’un Livre blanc, qui débouchera sur une loi de programmation militaire au premier semestre 2013. Elle se traduira par une révision à la baisse des ambitions de la France en matière de défense. Comme l’expliquait récemment aux députés le chef d’état-major, l’amiral Guillaud, « l’effort de défense était de 2 % du PIB en 1997, avant de se stabiliser ces dix dernières années entre 1,6 % et 1,7 %. En 2012, il est de 1,55 %. À l’horizon de 2015, il dépassera à peine 1,3 %. » Le décrochage est net. Il se traduira par moins d’hommes, moins d’armes, moins de capacités.

 

Durant le même temps, la Russie réarme,  à l’image de toute la planète, à l’exception notable des Européens et des Américains – ces derniers, partant, il est vrai, de très haut ! En 2013, les dépenses de la Russie pour la défense augmenteront de 25 %, selon le ministère des Finances – soit 3,2% du PIB. En 2015, on devrait être à 3,7% - ce qui correspondrait alors, pour la Russie, à un effort presque trois fois plus important que celui de la France.

 

« La Russie relance ses dépenses militaires parce que, selon sa vision stratégique, la force fait son retour dans les relations internationales » nous explique Thomas Gomart de l’Institut français des relations internationales (Ifri). Ce choix stratégique pourrait profiter à la France au travers de son industrie d’armement. Alors que l’Etat va réduire ses commandes, les entreprises de ce secteur de très hautes technologies ont impérativement besoin de trouver des marchés à l’extérieur. La Russie, qui souhaite moderniser ses équipements plus vite que ne le lui permet son « complexe militaro-industriel », sera-t-elle un débouché ? Certains veulent y croire parlant d’ « effet Mistral », du nom des quatre porte-hélicoptères de DCNS que les Français vont construire avec la Russie. On a vu, ce mois-ci, Renault Trucks Defense présenter son nouveau blindé léger Sherpa au salon Interpolitex de Moscou. On sait que les militaires russes s’intéressent au VBCI, le véhicule blindé de combat d’infanterie de Nexter comme au système Félin du fantassin du futur. Notons, au passage, que les Italiens seront de sérieux concurrents pour les Français sur ce marché sur lequel ils ont quelques longueurs d’avance.

 

En pleine modernisation, la défense russe reste pourtant loin du compte. « Les Russes ont conscience de leur déclassement et cela contribue à leur raidissement, assure Thomas Gomart. Lorsqu’ils ont vu les Français et les Britanniques s’engager en Libye, ils ont compris qu’ils étaient incapables de faire la même chose ». C’est-à-dire une manœuvre diplomatique et militaire aboutissant, en quelques mois et à un coût très faible (quelques centaines de millions d’euros et pas un mort côté Otan),  à la chute d’un régime… Rien à voir, en effet, avec la guerre en Géorgie de 2008.

 

Tous ces sujets seront à l’arrière-plan du « dialogue stratégique » entre les quatre ministres français et russes. Les relations entre les deux pays sont à la fois de bonne qualité et de peu de conséquences. Ni pour l’un, ni pour l’autre, le partenaire est jugé comme étant de toute première importance. Comme les Etats-Unis, la Russie bascule vers le Pacifique : elle a pour voisins, ne l’oublions pas, des pays qui s’appellent le Japon, la Chine, la Corée ! L’Europe, qu’elle juge historiquement en déclin, ne compte vraiment qu’au travers de l’Allemagne. Lors de sa visite à Paris, début juin, Vladimir Poutine s’est fait un malin plaisir de le rappeler devant son homologue français. Evoquant la « coopération économique », c’est-à-dire les échanges, le président russe résumait la situation : « Avec la France, il s’agit de 28 milliards et avec l’Allemagne de 72. Vous pouvez voir la différence ». En effet. Pour Moscou, Berlin pèse simplement 2,5 fois plus lourd que Paris…

 

Dans le tour d’horizon mondial auquel ils vont se livrer, les quatre ministres évoqueront le seul sujet qui fâche vraiment, la Syrie. Les positions des deux pays sont connues et chacun se fera un devoir de les rappeler : la France souhaite la chute du régime Assad alors que la Russie est, par principe, opposée à toute ingérence dans les affaires intérieures des Etats souverains. Echaudée par le précédent libyen, Moscou bloque toute résolution des Nations Unies qui permettrait le recours à la force contre le régime. On en restera là.

 

D’autres points seront abordés : les Français parleront du dossier nucléaire iranien, sans doute du Sahel et les Russes de la défense antimissile de l’Otan. En coulisses, la partie russe devrait interroger ses interlocuteurs sur deux sujets : la coopération militaire entre Paris et Londres, ainsi que le rôle du Qatar, un allié de la France, dans le monde musulman. Un monde, qui dans le nord-Caucase, continue à poser de sérieux problèmes à Moscou. Mi-octobre, Vladimir Poutine n’indiquait-il pas que « 313 terroristes y avaient été tués par les forces de sécurité au cours des derniers mois » ? Un « front » bien plus chaud que le Sahel…

 

L’opinion de l’auteur ne coïncide pas forcément avec la position de la rédaction.

 

(1)  Jean-Dominique Merchet « Défense européenne : la grande illusion » Larousse 2009.

 

* Jean-Dominique Merchet, journaliste spécialisé dans les affaires de Défense. Auteur du blog français le plus lu sur ces questions, créé en 2007. Ancien de l’Institut des hautes études de défense nationale. Auteur de nombreux ouvrages dont : « Mourir pour l’Afghanistan » (2008), « Défense européenne : la grande illusion » (2009), « Une histoire des forces spéciales » (2010), « La mort de Ben Laden » (2012).

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25 octobre 2012 4 25 /10 /octobre /2012 06:30
Le premier BPC russe sera mis à l'eau en septembre 2013

 

23 octobre 2012 rusnavyintelligence.com ( Itar-TASS)

 

A l'occasion du salon Euronaval 2012, STX France a annoncé que le premier BPC russe, le Vladivostok, sera mis à l'eau au mois de septembre 2013.

 

Le chantier naval français doit construire 90% des deux bâtiments commandés par la Russie, puis les acheminer vers la base navale de Toulon où leur construction sera complétée. Actuellement, STX France a produit 10 blocs modulaires pour le premier BPC russe, tandis que la construction du premier bloc du second navire a débuté.

 

Les capacités de production russes sont également sollicitées : récemment, le chantier naval de la Baltique (Saint-Pétersbourg) a mis sur cale un élément de la coque du futur BPC russe Vladivostok. Le chantier avait procédé à la découpe du métal pour la première unité le 1er août dernier ; la découpe de la seconde unité, le Sébastopol, doit débuter au mois de mai 2013.

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24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 13:46

Nato Russia source natomission.ru

 

24 octobre 2012 Guysen International News

 

Le président Vladimir Poutine a nommé le vice-ministre russe des Affaires étrangères Alexandre Grouchko au poste de délégué permanent de la Russie auprès de l'Otan, rapporte le site internet officiel du Kremlin.

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12 octobre 2012 5 12 /10 /octobre /2012 16:50
photo molot.biz

photo molot.biz

 

 

MOSCOU, 12 octobre - RIA Novosti

 

Dix-sept pays de l'OTAN se doteront du fusil russe Vepr-12 conçu par l'usine Molot sur une base de Kalachnikov, a annoncé vendredi à Moscou le holding russe de hautes technologies Rostekhnologii.

 

"Les fusils semi-automatiques à canon lisse Vepr-12 seront livrés aux forces armées et autres services coercitifs de dix-pays membres de l'Alliance", lit-on dans un communiqué du holding.

 

La société allemande Schmeisser GmbH, partenaire de l'usine Molot et chargée de promouvoir le Vepr-12 en Europe, mène des discussions avec les pays membres de l'OTAN depuis le début de 2012. Lors d'une présentation du fusil tenue en septembre dernier en Allemagne, des officiers de la Bundeswehr munis de fusils Vepr-12 se sont entraînés à prendre d'assaut un édifice fortifié. L'OTAN a décidé de se doter de Vepr-12 suite à cette présentation.

 

L'usine Molot de Viatskie Poliany (région russe de Kirov) a créé plusieurs versions du fusil Vepr-12 qui seront mis en dotation pour l'OTAN après les formalités nécessaires.

 

Conçu en 2003 sur une base du fusil d'assaut Kalachnikov, Vepr-12 ("vepr" signifiant "sanglier" en russe) est un fusil de calibre 12/76 très fiable. La Russie l'exporte déjà "vers de nombreux pays dont l'Allemagne, l'Italie et la France", selon le communiqué de Rostekhnologii.

 

L'usine Molot poursuit en outre les travaux de conception du fusil Vepr-15 en coopération avec la société allemande Waffen Schumacher.

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9 octobre 2012 2 09 /10 /octobre /2012 12:45

INS Vikramaditya sea trials source Livefist

 

NEW DELHI, October 9 (RIA Novosti)

 

India may seek more than $100 million in penalty payments from Russia for delays in handing over the refitted aircraft carrier Vikramaditya, India's Economic Times reported on Tuesday.

 

The carrier - already years past its original 2008 delivery date - was supposed to have been handed over on December 4, 2012, but sea trials in September revealed the ship's boilers were not fully functional. Repairs to the ship's boilers could mean the handover is delayed until fall 2013, a United Shipbuilding Corporation commission investigation said last month.

“We may impose penalties for the delay,” an unidentified Indian defense ministry source told the paper. India may demand up to 6 billion rupees (about $115 million) which is around 5 percent of the total coast of the refitted ship.

 

Another source close to the Indian military industrial complex said New Delhi would be unlikely impose sanctions, as “it will negatively impact relations between the two countries in military-technical cooperation.” France has delayed delivery of six Scorpio submarines for more than three years, but India has not raised the issue of penalties over that contract, he said.

 

India and Russia signed the original $947 million dollar deal in 2005 for the purchase of the carrier, but delivery has already been delayed twice, pushing up the cost of refurbishing the ship to $2.3 billion.

 

Sevmash shipyard director Vladimir Pastukhov was fired in 2007 over his poor management of the project.

 

The Vikramaditya was originally built as the Soviet Project 1143.4 class aircraft carrier Admiral Gorshkov. The Project 1143.4 carriers and a class of destroyers with the same engines suffered a history of boiler failures during their lives.

The ship was laid down in 1978 at the Nikolayev South shipyard in Ukraine, launched in 1982, and commissioned with the Soviet Navy in 1987. It was renamed after the Soviet Union collapsed in 1991. In 1994, the Gorshkov sat in dock for a year for repairs after a boiler room explosion. In 1995, it briefly returned to service but was finally withdrawn and put up for sale in 1996.

 

The ship has a displacement of 45,000 tons, and an endurance of 13,500 nautical miles (25,000 km) at a cruising speed of 18 knots. It will have an air wing consisting of Russian-made MiG-29K jet fighter planes and Kamov Ka-31 early warning radar helicopters.

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9 octobre 2012 2 09 /10 /octobre /2012 07:25

Yak-130 Combat Trainer

 

October 8, 2012 defpro.com

 

JSC IRKUT Corporation, (a part of JSC United Aircraft Corporation) handed over the first batch of six Yak-130 combat trainers to the Russian Air Force.

 

On October 5, pilots of Borisoglebsk training center of the Russian Air Force completed the transportation of three aircraft by air from Irkutsk aviation plant (branch of JSC IRKUT Corporation) to the base aerodrome in Borisoglebsk city.

 

55 Yak-130 combat trainers delivery by 2015 to the Russian Air Force is provided by the contract signed in December 7, 2011 between the Russian Ministry of Defence and IRKUT Corporation. Commenting the subject Anatoly Serdyukov, Minister of Defence, said: “Equipping the Air Force with Yak-130 aircraft allow achieving a desired level of pilot’s trainings to handle new generation combat fighters, which are to be mass procured by the Military Department.”

 

Oleg Demchenko, President of JSC IRKUT Corporation, noted: “Our Company will continue increasing the production rate of combat aircraft within the State defence order. Now, together with the Sukhoi Design Bureau we are testing new Su-30SM multirole fighters with pilot’s training functions. In 2012 IRKUT plans to transfer the first batch of aircraft this type to the Russian Ministry of Defence.”

 

Oleg Demchenko also stressed that the Yak-130 production is organized with modern digital technologies being implemented at the Irkutsk aviation plant, which allow to increase production quality and reduce manufacturing cycles.

 

Yak-130 Combat Trainer, developed by the Yakovlev Design Bureau – an IRKUT Corporation company, was chosen as the main aircraft for basic and advanced training of Russian Air Force pilots. Yak-130 can provide top-class pilots training to handle Russian and foreign-made combat aircraft of the generations “4+” and “5”.

 

Yak-130 aircraft is the basic component of the training complex including integrated system of the objective control, educational computer classes, flight and specialized training apparatus.

 

State trials of Yak-130 with weaponry included have been successfully completed in December 2009. Since February, 2010 Yak-130 aircraft have been inducted into the Russian Air Force.

 

In 2011 IRKUT Corporation finalized the first export delivery of the Yak-130 aircraft.

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4 octobre 2012 4 04 /10 /octobre /2012 17:10
Russian Air Force Accepts First Yak-130

 

MOSCOW, October 4 (RIA Novosti)

 

Russia’s Irkut aircraft-manufacturing plant delivered the first six Yakovlev Yak-130 Mitten combat trainers to the Russian Air Force on Thursday, a spokesman for the Western Military District said.

 

“On October 4, the first batch of Yak-130 combat trainers fly from the Irkut plant to the Borisoglebsk airfield [Voronezh region] after an extensive flight testing program,” Col. Andrei Bobrun said.

 

The Irkut aircraft maker and the Russian Defense Ministry signed in December 2011 a contract for the delivery of 55 Yak-130 jets by 2015.

 

The Yak-130 is a highly maneuverable subsonic jet with an extended range of about 1,250 miles (2,000 kilometers) and a maximum speed of 600 mp/h (1,060 km/h) in level flight. It can carry a combat payload of up to 6,600 pounds (3,000 kg), consisting of a variety of Russian and Western-developed weapons.

 

As an advanced jet trainer, Yak-130 is suitable for training or re-training pilots to fly fourth- and fifth-generation fighter aircraft.

 

It can also carry out a variety of light-attack and reconnaissance missions.

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2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 16:25
Les équipages des futurs BPC russes s’entraîneront à bord du 1er bâtiment

 

2 octobre 2012 Par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

 

La formation des équipages des 2 BPC russes de la classe Mistral se déroulera à bord du 1er construit, a expliqué José Lagadec, représentant de DCI.

 

La formation des équipages des 2 premiers BPC russes sera assurée par DCI. Cette société forme le personnel aux équipements militaires fabriqués pour les forces armées françaises et pour l’exportation, précise José Lagadec.

 

« Nous allons former les marins russes sur le matériel qu’ils vont utiliser, en particulier sur le 1er BPC de la classe Mistral actuellement construit à St Nazaire, » a-t-il ajouté.

 

Selon lui, la formation se déroulera en français, avec une traduction simultanée en russe.

 

Référence : RusNavy (Russie)

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1 octobre 2012 1 01 /10 /octobre /2012 17:32
Mise sur cale du BPC russe Vladivostok à l’usine de la Baltique

1er octobre 2012 Par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

 

L’usine de la Baltique (Saint-Pétersbourg) a procédé ce jour à la mise sur cale du premier BPC russe baptisé Vladivostok.

 

Le découpage de la première section du bâtiment avait débuté le 1er août dernier. Il est prévu que le découpage de la première section du second BPC russe, le Sébastopol, intervienne au mois de mai 2013.

 

Selon OSK (consortium des constructions navales russes), la construction du premier BPC se déroule en conformité avec le calendrier prévu.

 

Référence :RusNav Intelligence

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1 octobre 2012 1 01 /10 /octobre /2012 16:55
Retour vers le futur (Russie)

1 octobre, 2012 Sergueï Ptitchkine, Rossiyskaya Gazeta

 

Dans son entretien avec Rossiyskaya Gazeta, le vice-Premier ministre russe en charge du complexe militaro-industriel Dmitri Rogozine évoque l’introduction des capitaux privés dans l’industrie de l’armement et prend comme exemple les transferts de technologies réalisés dans les années 30.

 

La modernisation de l’armement coûte cher. De plus, beaucoup affirment que les dépenses militaires sont une pure perte d’argent et qu’il serait plus judicieux de financer les secteurs réels de l’économie.

 

Dmitri Rogozine : L’argent aime le calme. Pour que le pays puisse se développer en toute quiétude, il lui faut un contexte de sécurité. C’est notre tout premier objectif. Deuxième objectif : accroître le potentiel du secteur industriel, créer des emplois. Si ce n’est pas de l’économie ça ! Quelle sera la part du secteur de la Défense ? Assez importante, je pense, peut-être deux tiers.

 

Et troisièmement, il faut relever l’image du pays. D’après mon expérience de travail à Bruxelles, je peux vous dire que le « smart » ou « soft power » sont de belles paroles, mais la vraie « force », que tout le monde prend en compte, c’est la force physique, quand on sent le danger d’une main de fer et le risque de se la prendre en pleine figure. C’est cette force là qui prime dans notre « monde civilisé », croyez-moi.

 

Que voulez-vous dire lorsque vous parlez d’industrialisation du pays sur le modèle des années 30 ?

 

Il s’agit de renouveler entièrement le secteur industriel. Pourquoi les années 30 ? À l’époque, nous prenions ce qu’il y avait de meilleur en Occident et l’adaptions à nos conditions. Aujourd’hui, je pense que cette méthode serait optimale.

 

Dans la plupart des cas, il est question non pas de la rénovation des usines déjà existantes mais de la construction de nouvelles unités de production sur de nouveaux sites. Prenons l’exemple des usines d’armement. Ijmach est une usine assez grande pour construire des porte-avions, or ils ne produisent que des mitrailleuses Kalachnikov. Pour réussir une industrialisation nouvelle qui permettrait de moderniser notre arsenal, il faut s’efforcer de réduire les volumes, il faut arriver à concentrer scrupuleusement ce que nous avons de meilleur, de manière rationnelle.

 

Faut-il introduire les capitaux privés dans l’industrie de l’armement ? Est-ce rentable ? Certains disent qu’il ne faut en aucun cas ouvrir le secret-défense au secteur privé.

 

En effet, nous nous trouvons devant un dilemme dialectique, une lutte des contraires. D’un côté, nous comprenons bien que sans l’énergie propre aux entreprises privées, nous aurons du mal à atteindre l’objectif fixé. D’un autre côté, il est clair qu’il y a des secteur et des technologies qui nécessitent un contrôle très strict de l’Etat. Ce qui peut être intéressant pour un particulier, c’est de participer aux projets technologiques à double emploi. Nous sommes donc intéressés dans le transfert des technologies du civil au militaire et vice versa.

 

Prenons la technologie supersonique. Ce sont avant tout des missiles de guerre ultra rapides impossibles à intercepter. Mais c’est aussi la possibilité, dans l’avenir, de fabriquer des avions civils de nouvelle génération. Il y a bien eu le Concorde et les Tu-144 soviétiques. Et pourquoi pas des avions supersoniques pour relier Moscou à l’Extrême-Orient en une heure et demi ?

 

Y a-t-il déjà des exemples d’entreprises privées dans le secteur militaro-industriel ?

 

Oui. Il existe quelques exemples. La société RTI Systems (Systèmes techniques audiovisuel et information), dont une partie des capitaux est privée. De plus, la société fait partie d’un véritable conglomérat industriel chargé de la fabrication de systèmes de défense anti-missiles. Et cette société est à l’origine d’une telle percée en matière de production de composante de pointe du système de défense aérien que leur directeur a déjà été récompensé au niveau national.

 

Un exemple plus prosaïque bien qu’unique en son genre. À Moscou, des entrepreneurs ont créé en partant de zéro une usine d’armes de précision de niveau international. Ils ont racheté des locaux et ont importé de l’étranger un équipement de pointe. Ils ont engagé les meilleurs spécialistes et ingénieurs, et produisent maintenant non seulement de très bons fusils de chasse mai aussi des fusils d’assaut de précision qui, sur certains critères, surpassent les modèles européens. C’est ça le XXIème siècle.

 

 

L'entretien a été publié dans Rossiyskaya Gazeta le 26 septembre 2012.

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19 septembre 2012 3 19 /09 /septembre /2012 07:20

Su-30SM.jpg

 

September 18, 2012 by Craig Hoyle – FG

 

London - Irkut is to accelerate its delivery schedule under a Russian air force order for 30 Sukhoi Su-30SM strike aircraft, with its first examples now to be handed over before the end of this year.

 

Moscow signed a production deal for the two-seat Su-30SM in March, when Irkut announced that the type would be handed over between 2013 and 2015. The new plan to deliver the first examples this year was announced by company president Oleg Demchenko, as Irkut also released an image of an aircraft on its final assembly line in Irkutsk.

 

In addition to its utility as a multi-role combat aircraft, the Su-30SM will also provide the Russian air force with an advanced training capability, as it looks to bridge the gap to the future introduction of Sukhoi's fifth-generation PAK-FA/T-50 fighter.

 

Irkut also expects to deliver a total of 15 Yakovlev Yak-130s to the same service this year, under a 55-aircraft order signed late in 2011. "The Russian air force has started a formal acceptance procedure of Yak-130 combat trainers," it says.

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6 septembre 2012 4 06 /09 /septembre /2012 12:15
Le SSGN russe Severodvinsk commencera ses essais à la mer en novembre

6 septembre 2012 Par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

 

Le sous-marin nucléaire lanceur de missiles de croisière (SSGN) russe Severodvinsk (projet 885, classe Yasen) commencera ses essais officiels à la mer à la mi-novembre. Selon les résultats, le sous-marin sera admis au service actif en décembre 2012, a indiqué le 4 septembre une source de l’industrie militaire russe.

 

« Après les essais à la mer de l’industriel, le Severodvinsk est retourné au chantier Sevmash et effectue actuellement les essais des tubes lance-torpilles. »

 

A la mi-septembre, le sous-marin prendra la mer pour la 4è fois cette année pour mener une autre série d’essais. Les essais officiels à la mer sont prévus en novembre, puis la commission d’acceptation admettra le sous-marin au service actif, a ajouté la source.

 

« C’est un sous-marin à une seule hélice propulsé par un réacteur nucléaire refroidi et modéré par de l’eau et une turbine, » a-t-il expliqué.

 

« Trois missiles de croisière supersoniques de série Caliber, d’une portée dépassant 2.500 km, ont déjà été fabriqués pour le Severodvinsk, » a précisé la source. « En vol, le missile Caliber change de trajectoire (altitude et cap). De plus, la vitesse de la tête après la séparation du missile, augmente et approche la vitesse supersonique, » a-t-il ajouté.

 

« C’est une arme de haute précision et haute vitesse, qui vise principalement les porte-avions, » a-t-il indiqué.

 

Référence : RusNavy (Russie)

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4 septembre 2012 2 04 /09 /septembre /2012 07:30
Les Mistral russes n’auront pas d’engins de débarquement

 

4 septembre 2012 Par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

 

La marine russe et le constructeur français DCNS ne sont pas parvenus à un accord sur une question importante concernant les BPC de la classe Mistral, a indiqué une source informée de l’industrie russe au journal Izvestiya.

 

Le ministère russe de la défense a rejeté la proposition de DCNS d’équiper les Mistral destinés à la marine russe avec des engins de débarquement.

 

« Les Français proposaient de fournir des engins de débarquement type L-CAT (construits par la CNIM). Cependant, la marine russe a rejeté cette idée sans en expliquer la raison, » indique la source. Selon le service de presse de l’état-major de la marine russe, aucune décision définitive n’a été prise pour l’instant sur la configuration des BPC Mistral.

 

« Les choses changent tous les jours. Actuellement, on en est à la définition du calendrier. Mais son contenu est secret, » a expliqué le porte-parole de la marine.

 

Selon la source, néanmoins, la Russie n’a pas d’autres possibilités que la proposition française. Selon lui, peu avant la signature du contrat des 2 premiers Mistral, le ministère de la défense russe a demandé au constructeur français d’adapter le radier pour pouvoir accueillir les engins de débarquement sur coussin d’air du Projet 12061 Murena, développé par Almaz Central Design Bureau. Cependant, les Murena sont plus larges et plus hauts que les L-CAT et que les LCAC américains et ne peuvent entrer dans le radier des BPC Mistral.

 

« Même si le radier est modifié pour pouvoir accueillir le Murena, sa capacité d’emport serait réduite. Actuellement, il peut accueillir le char de combat T-72, » a expliqué Vladimir Scherbakov, un expert naval.

 

L’ingénieur en chef du bureau d’études Almaz, Konstantin Golubev, a précisé que la conception des Murena ne pouvait pas être modifiée en raison du travail nécessaire. Il a rappelé que la construction des Murena était stoppée. Les 3 derniers exemplaires ont été vendus à la Corée du Sud en 2005-2006, rappellent les Izvestiya.

 

Selon Scherbakov, des engins du Projet 11770 Serna (développés par le bureau d’études Alekseyev) pourraient être utilisés. Le Mistral pourrait en accueillir au moins 2.

 

« Mais il faudrait effectuer des essais sérieux pour éviter les problèmes rencontrés avec les hélicoptères russes à bord du Mistral. Le Ka-27 n’entre pas dans le hangar, et le Ka-52 ne tient pas sur l’ascenseur, » rappelle l’expert.

 

Scherbakov a souligné qu’il reste de nombreuses questions en suspend pour la configuration des Mistral russes. Toutes doivent être évoquées lors de la visite à Paris du vice-ministre russe de la défense, Alexander Sukhorukov, à la fin septembre.

 

Référence : RusNavy (Russie)

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10 août 2012 5 10 /08 /août /2012 12:10

Armata MBT image Army Recognition

 

August 10, 2012 Tamir Eshel - defense-update.com

 

The Russian Army is planning to begin modernize its armored and mechanized forces beginning in 2015, fielding a new family of vehicles comprising a new main battle tank, armored infantry fighting vehicles, and various support platforms. The MBT will be based on the new Armata, the prototype is scheduled to enter field trials in 2013, about 10 months ahead of schedule. First Deputy Defense Minister Alexander Sukhorukov said. The new tank is under development at Uralvagonzavod in Omsk. The first deliveries of the tank to the Russian Armed Forces are scheduled for 2015. A total of 2,300 MBTs are expected to be supplied by 2020.

 

It should be remembered that the Russians are building their fighting forces not only against NATO, but more importantly, to protect their long southern borders with radical Islamic countries that may be gathering military power, and the growing dominance of China in the east. Armored and mechanized forces are key to maintaining military superiority or parity against such threats. The level of sophistication in meeting such threats is not as demanding as meeting the advanced technology fielded by US and NATO forces. According to preliminary reports, the new tank designated T-99 will be less radical and ambitious than the failed ‘Object 195’ or T-95, it will weigh less, therefore, become more agile and will be more affordable, compared to its more ambitious predecessors.

 

You are reading an abstract of the article. The full version (848 words) is available to members only. Subscribe now to read this article and gain full access to all our web-based content.


The Russian industry is also developing the Boomerang family of 8×8 wheeled armored vehicles which will gradually replace the current BTR-90. Additionally, the Kurganets-25 tracked armored vehicle provides high degree of commonality with the new Armata tank. The Kurganets-25 will evolve into various models, gradually replacing BMP and BMD and MT-LB and other types of tracked armored platforms.

 

An artist concept view of the T99. Despite Russian occupation with ever higher caliber guns for their new tanks, the T-99 will be equipped with an improved version of the current 125mm cannon.

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8 août 2012 3 08 /08 /août /2012 18:33
Russian Military May Receive New Tank for Testing in 2013

MOSCOW, August 8 (RIA Novosti)

 

The Russian military may receive a prototype of a new main battle tank (MBT) for field testing almost a year earlier than scheduled, First Deputy Defense Minister Alexander Sukhorukov said on Wednesday.

 

The tank, dubbed Armata, is being developed by tank manufacturer Uralvagonzavod in Russia’s Urals region. The Defense Ministry earlier said the field testing of the MBT was expected to start in 2014.

 

“Uralvagonzavod tells us they will supply a first prototype under the Armata project for testing 10 months ahead of schedule,” Sukhorukov said.

 

The first deliveries of the tank to the Russian Armed Forces are scheduled for 2015. A total of 2,300 MBTs are expected to be supplied by 2020.

 

The design of the Armata incorporates work from other projects, including Object 195 and Black Eagle.

 

The tank will reportedly feature a remotely controlled gun, fully automated loading and separate crew compartment made from composite materials and protected by multi-layered armor.

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