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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 18:44
M. Mongi Hamdi, Représentant spécial et Chef de la MINUSMA et le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées

M. Mongi Hamdi, Représentant spécial et Chef de la MINUSMA et le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées

 

novembre 11, 2015 Par Boubacar Diallo - conakrylemag.com

 

Débuté le lundi 09 novembre, le forum international de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique s’est terminé ce mardi 10 novembre 2015 a Dakar.

 

Face à la menace terroriste  que connait l’Afrique et surtout celui de l’état islamique ex-Boko Haram qui sévit au Nord du Nigeria et aux pays voisins, la France par l’intermédiaire du général Pierre de Villiers chef d’état-major des armées françaises   vient de rappeler une nouvelle fois à l’état major des pays africains leurs responsabilités sur la questions sécuritaire de la région.

 

Les africains doivent prendre leur sécurité en main leur propre sécurité.  Les partenaires internationaux ne sont là que pour aider. Pour illustrer cette logique, Jean-Yves Le Drian donne quelques informations sur une opération militaire en cours dans le nord du Mali: les militaires français de Barkhane et leurs collègues maliens y ont, selon le ministre, saisi des stocks «significatifs» d’armes. «Ce genre de choses se passe tout le temps, assure-t-il avant d’ajouter, on n’en parle pas tous les matins».

 

En Afrique, la France est presque sur tous les fronts et cherche à mobiliser au maximum les forces locales. Elle a déjà bénéficié des apports en renseignement de Paris. Un haut responsable militaire français assure ainsi que des informations d’une rare qualité, notamment sous la forme d’images satellitaires, ont été remises aussi bien aux Nigérians, qu’aux Tchadiens. Ici aussi, la collaboration est le mot d’ordre: «Les Africains apportent du renseignement humain et nous apportons du renseignement technique, explique un autre militaire français puis de préciser, ce n’est pas du renseignement de même nature». Le mode  opérationnelle consiste en général pour les Africains à identifier un lieu qui les intéresse et à demander aux Français ce qu’ils y voient et ce qu’ils y entendent, grâce à des équipements particulièrement sophistiqués (satellites, interceptions…)

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 17:30
L’opération IMPACT se poursuit avec pour l’instant une intensification des frappes

Des techniciens en systèmes d’armement (Air) de l’Aviation royale canadienne déployés au sein de la Force opérationnelle aérienne en Irak préparent des munitions en vue de les charger à bord d’un chasseur CF-18 Hornet, sur l’aire de trafic du camp Patrice Vincent, au Koweït, au cours de l’opération IMPACT, le 1er août 2015. (Archives/Opération IMPACT/MDN)


10.11.2015 par Jacques N. Godbout - 45eNord.ca
 

Même si le nouveau premier ministre libéral a promis de mettre fin à la mission de combat de la force aérienne canadienne en Irak et en Syrie, les bombardements contre le groupe armé État islamique se sont pour le moment intensifiés.

 

Depuis la prestation de serment de Justin Trudeau, le 4 novembre, les CF-18 canadiens ont mené cinq raids aériens en seulement trois jours frappant sept cibles du groupe armé État islamique, selon les informations contenues sur le site du ministère de la Défense nationale.

151001-operation-impact-frappesIl y avait eu 14 frappes aériennes en tout en octobre, 10 en septembre et 11 en août. Il faut remonter au mois de juillet dernier, alors qu’il y avait eu six frappes aériennes en cinq jours, pour retrouver une période aussi active que les jours qui ont suivi l’assermentation du nouveau premier ministre.

5 novembre

Le 5 novembre 2015, deux CF-18 Hornets ont frappé deux enceintes du groupe EI au sud-ouest de Sinjar à l’aide de munitions à guidage de précision.

6 novembre

Le 6 novembre 2015, deux CF-18 Hornets ont frappé une position de combat de l’EI dans les environs de Ramadi.

Toujours le 6 novembre 2015, deux CF-18 Hornets ont frappé deux positions de combat de l’EI au nord de Falloujah.

7 novembre

Le 7 novembre 2015, deux CF-18 Hornets ont frappé une position de combat du groupe EI au sud-est de Mossoul à l’aide de munitions à guidage de précision.

Toujours le 7 novembre, deux C-F18 Hornets ont frappé une position de combat de l’EI au sud de Sinjar.

 

Total des frappes de la mission

En tout, maintenant, en date du dimanche 8 novembre, la Force opérationnelle aérienne canadienne en Irak a effectué 1721 sorties aériennes:

  • Les chasseurs CF-18 ont effectué 1103 sorties;
  • L’aéronef de ravitaillement CC-150T a effectué 300 sorties et a acheminé environ 17 817 000 livres de carburant; et
  • Les aéronefs de patrouille CP-140 ont mené 318 missions de reconnaissance.

En termes de frappes, les CF-18 Hornets de l’opération IMPACT, la contribution canadienne à la lutte contre l’EI, auront effectué un total de 184 frappes aériennes.

 

Les frappes dictées par des considérations opérationnelles

Le ministère de la Défense nationale a déclaré à ce sujet que la fréquence des frappes aériennes est dictée, non pas par des considérations politiques, mais par des considérations opérationnelles.

«Au cours des dernières semaines, il y a en eu plus (de frappes aériennes, ndlr) dans la dernière semaine, mais si vous regardez l’historique des frappes de l’opération Impact, il y a eu des hauts et des bas. Cela se produit principalement par rapport à ce qui se passe au niveau de la Coalition», a expliqué le Capitaine Kirk Sullivan, officier des affaires publiques au COIC, le commandement des opérations interarmées, cité par le National Post.

Il faut donc examiner la question dans la perspective plus large de la Coalition.

«De nombreux facteurs déterminent la fréquence et la localisation des frappes aériennes dans un cadre de la coalition», de poursuivre le capitaine Sullivan. «Que ce soit en Irak ou en Syrie, les avions sont affectés sur une base quotidienne par la Coalition à des cibles où on sait qu’opère l’EI, avec comme but ultime l’amélioration de la sécurité de l’Irak et des pays de la Coalition».

Le Parlement, d’expliquer le porte-parole du COIC, décide des missions des Forces armées canadiennes, mais ne choisit pas ses sorties opérationnelles. Et la mission doit se poursuivre jusqu’à ce que le gouvernement rappelle le personnel et les aéronefs au pays.

Et, en un mot comme en mille, «C’est pas fini tant que c’est pas terminé», aurait dit Babe Ruth, d,autant plus que, une fois terminées les bombardements canadiens aux côtés des autres membres de la coalition, le Canada poursuivra la lutte contre l’EI en élargissant sa mission de formation de combattants locaux.

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 17:30
Russian Airstrikes in Syria: October 31 - November 10, 2015
 

11.11.2015 By Genevieve Casagrande and Jodi Brignola - ISW

 

Key Takeaway: Russian airstrikes continued to support regime ground operations in Aleppo, Hama, Homs, Idlib, and Dera’a from November 9 - 10. Pro-regime forces relieved several hundred regime soldiers besieged by ISIS in the Kuweires Airbase east of Aleppo City on November 10 with air support provided by Russian warplanes. Russian airstrikes began to target ISIS’s positions surrounding Kuweires Airbase on October 12, preceding the start of the regime’s ground campaign against Kuweires on October 15. The regime largely relied upon Russian air power as well as reinforcement from hundreds of Iranian-backed proxy forces. The breaking of the siege represents a significant psychological victory for the regime and its allies. Russia will likely use this victory to validate its intervention in Syria and portray itself and the regime as decisive forces against ISIS in Syria. Russian airstrikes also continued to target rebel-held terrain south of Aleppo City as pro-regime forces continue to push southwest towards the town of Hader.

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 17:30
Inherent Resolve – Chammal sit rep 11 Nov – CJTF-OIR

 

November 11, 2015 by CJTF-OIR Release # 20151111-01

 

Military Strikes Continue Against ISIL Terrorists in Syria and Iraq

 

SOUTHWEST ASIA- On Nov. 10, coalition military forces continued to attack ISIL terrorists in Syria and Iraq. In Syria, coalition military forces conducted 11 strikes using bomber, fighter, attack, and remotely piloted aircraft. Separately in Iraq, coalition military forces conducted 17 strikes coordinated with and in support of the Government of Iraq using bomber, fighter, attack and remotely piloted aircraft against ISIL targets.

 

The following is a summary of the strikes conducted against ISIL since the last press release:

 

Syria

• Near Al Hasakah, two strikes struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL vehicle borne improvised explosive device (VBIED) and an ISIL staging area.

• Near Al Hawl, five strikes struck four separate ISIL tactical units and destroyed eight ISIL fighting positions, an ISIL building, and an ISIL VBIED.

• Near Dayr Az Zawr, two strikes struck an ISIL gas oil separation plant and destroyed three ISIL front end loaders and damaged two ISIL cranes.

• Near Mar’a, one strike struck an ISIL tactical unit.

• Near Palmyra, one strike struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL tactical vehicle and damaged a separate ISIL vehicle.

 

Iraq

• Near Kisik, one strike struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL fighting position.

• Near Mosul, one strike destroyed an ISIL fighting position.

• Near Ramadi, three strikes struck two separate ISIL tactical units and destroyed three ISIL vehicles, an ISIL excavator, two ISIL heavy machine guns, two ISIL buildings, and an ISIL 23mm anti-aircraft artillery piece.

• Near Sinjar, six strikes struck three separate ISIL tactical units and destroyed eight ISIL fighting positions, two ISIL command and control nodes, three ISIL vehicles, and 18 ISIL staging areas.

• Near Sultan Abdallah, one strike destroyed an ISIL fighting position.

• Near Al Huwayjah, four strikes struck an ISIL headquarters, an ISIL weapons cache, an ISIL logistical facility, and an ISIL security headquarters.

• Near Albu Hayat, one strike struck a large ISIL tactical unit, and destroyed two ISIL buildings, three ISIL weapons caches, and three ISIL fighting positions.

 

Strike assessments are based on initial reports. All aircraft returned to base safely.

 

The strikes were conducted as part of Operation Inherent Resolve, the operation to eliminate the ISIL terrorist group and the threat they pose to Iraq, Syria, and the wider international community.

 

The destruction of ISIL targets in Syria and Iraq further limits the group's ability to project terror and conduct operations. Coalition nations which have conducted strikes in Iraq include Australia, Belgium, Canada, Denmark, France, Jordan, Netherlands, United Kingdom, and the United States. Coalition nations which have conducted strikes in Syria include Australia, Bahrain, Canada, France, Jordan, Saudi Arabia, Turkey, United Arab Emirates, and the U.S.

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 17:20
Counter-Terrorism: Unrecognized Terrorists States

 

November 10, 2015: Strategy Page

 

The U.S. has long accused Iran, Sudan, and Syria as being “State Sponsors of Terrorism.” These are countries that have long promoted and supported the use of terrorism (usually Islamic terrorism). But there are some major players in this area who are not on this list, most notably Pakistan, Saudi Arabia and Palestine. Each of these three is a special case and that is apparently enough to keep them off the list. Pakistan got into the Islamic terrorism business just before Russia invaded Afghanistan in 1979 and was soon a major ally of the United States in an effort to support Afghans who were continuing to fight the Russian forces. After the Russians withdrew in 1989 Pakistan increased its support for Islamic terrorism, especially against India. During the Cold War leftist Indian governments was generally hostile to the United States and the West so America felt no pressing need to protect them from Pakistani sponsored Islamic terrorists. But at the same time Pakistan was not trying to inhibit the many Islamic terrorists who had flocked to Afghanistan after the Russians left. Many of these international Islamic terrorists were also able to move through and operate in Pakistan as long as they did not attack Pakistanis. This continued into the 1990s but right after September 11, 2001 the United States told Pakistan to join the fight against Islamic terrorism or be considered at war with America. Pakistan chose to join the War On Terror while continuing to support Islamic terrorists operating in Pakistan. The United States complained but generally did not press Pakistan on the issue. Thus Pakistan continues to be a base for many Islamic terrorists.

 

Saudi Arabia was a special case as well because the Saudis never officially supported Islamic terrorism but were, at the same time, very much responsible for the increase in Islamic terrorist activity since the 1970s. That’s because in Arabia (where Islam first appeared in the 7th century) the locals believe they are more Islamic than other Moslems. After all, the Koran was written in Arabic and all the founders of Islam were Arabs. Yet for over a thousand years there has been a tradition of different factions in Arabia trying outdo each other to prove who is “more Islamic” than the other. This led to constant fighting and suppression of new ideas. One of those fanatic factions is the Wahhabi form of Sunni Islam in what is now Saudi Arabia. Wahhabis, who first appeared in the 18th century, are very conservative and very hostile to non-Moslems and Moslems who are not Sunni. This meant little to the non-Moslem world until lots of oil wealth appeared in Arabia after World War II. Suddenly it became possible for Saudis to show how pious they were by funding Wahhabi missionaries who went to other Moslem (and many non-Moslem) nations to preach, establish Wahhabi religious schools and mosques and create the current Islamic terrorism problem. Billions were (and still are) spent on this and the policy of getting the young boys into these free religious schools and turning many of them into hateful (towards anyone not like them) Islamic religious fanatics led to a major outbreak of Islamic terrorism in the late 20th century. Yet many Moslem nations resisted this. Saddam kept Wahhabis  out of Iraq until 1991. Many secular rulers of Moslem countries (like Syria and Libya) also resisted the Wahhabi missionaries and money.

 

The Wahhabi problem is most obvious in Saudi Arabia, which practiced what it preached. Saudis comprise the largest faction of ISIL and al Qaeda recruits because so many Saudis have been educated in Wahhabi run schools. The Saudi rulers control the clergy, to a point, and do not allow public expressions of anti-Saudi Islamic radical ideas. But many Saudis back ISIL goals (which include replacing the Saudi monarchy), even is many of them do not wish to live under ISIL rule. This ideological mess is something Arab rulers, particularly in Saudi Arabia, have been dealing with since Saudi Arabia was formed in the 1920s. Change comes slowly in religious matters but meanwhile religious zealots that Arab oil wealth paid to create threaten us all. After September 11, 2001 the Saudis reluctantly began cracking down on the Islamic terrorist monster they had created. This was difficult to do but the Saudis were largely persuaded by the growing number of Islamic terrorist groups that wanted to kill the Saudi royals and run all of Arabia as a religious dictatorship. Messing with religion is one thing but if you really want to get someone’s attention threaten to take away their wealth and power.

 

Then there are the Palestinians. The persistent popularity for Islamic terrorism in many Arab countries is largely due to the growing use of anti-Infidel (non-Moslem) propaganda in the local media and the educational system. In the Palestinian territories both Hamas (hard liners running Gaza) and Fatah (the more corrupt "moderates" running the West Bank) have spent the last decade increasing their use of pretty blatant ant-Semitic and anti-Infidel (non-Moslem) propaganda and praise for Palestinian terrorists, even those whose only accomplishment was to kill civilians. While the strident anti-Israel rants of the Iranians gets a lot of media attention in the West, these pronouncements are not much different than those that appear daily in Arab and Pakistani media.

 

This sort of thing has been going on for decades and now there have been two or three generations raised on this hateful media. Some Moslems see through it all, eventually, but most do not and simply accept it as the way the world is. Some immigrate to the West for the obvious economic opportunities and spend a period of time trying to sort out the stark differences between the propaganda they grew up on and the very different reality they migrated to. Mentioning this dissonance to the folks back home will only get you, and them, in trouble, so the immigrants are forced to keep track of two very different world-views. In the meantime, the children who grew up in this storm of lies and hate are still being encouraged to become suicide bombers.

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 08:40
Crash en Egypte : pourquoi le "probable" attentat de l'Etat islamique change tout

 

10 novembre 2015 JDD

 

Le Premier ministre russe, Dimitri Medvedev, a admis mardi la possibilité qu'un "acte terroriste" ait été à l'origine du crash le 31 octobre d'un avion russe en Egypte. Le Britannique David Cameron a, lui, estimé "plus que probable" la piste de l'attentat. Un développement particulièrement inquiétant quatorze ans après les attentats du 11-Septembre.

 

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 08:30
photo EMA / Armée de l'Air

photo EMA / Armée de l'Air

 

10 novembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Dakar - La France a de nouveau frappé des sites d'hydrocarbures de l'organisation Etat islamique (EI) dans l'est de la Syrie dans la nuit de lundi à mardi, a annoncé mardi son ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian.

 

Nous avons de nouveau frappé à deux reprises la nuit dernière dans la région de Deir Ezzor, d'une part sur un poste de distribution de pétrole et d'autre part sur une usine de séparation de gaz, a-t-il dit, après une première opération similaire dimanche dans la même région, proche de la frontière irakienne.

 

M. Le Drian s'exprimait lors d'une conférence de presse en marge du Forum de Dakar sur la sécurité en Afrique, qui s'achève mardi soir.

 

Deux Mirage 2000, basés en Jordanie, ont effectué les frappes, a-t-on précisé dans l'entourage du ministre. Les deux installations ont été détruites conformément aux objectifs, a-t-on ajouté de même source.

 

La France, qui a engagé ses avions de chasse et de reconnaissance en septembre en Syrie, élargit ainsi ses frappes à des sites pétroliers et gaziers, précieuses sources de revenus pour l'EI, après avoir dans un premier temps frappé des centres d'entraînement.

 

On élargit les frappes parce qu'on a plus de renseignement depuis le début des vols français en Syrie, a-t-on précisé dans l'entourage du ministre, en démentant tout changement de stratégie.

 

Nous combattons Daech en Syrie à la fois en ciblant des lieux d'entraînement où sont formés des combattants dont la vocation n'est pas de combattre au Levant mais de venir combattre en Europe (..) et en frappant sur leur capacité de ressources (financières), a déclaré M. Le Drian.

 

La France, qui définit elle-même ses cibles en Syrie, va continuer à accumuler du renseignement et frapper tout ce qui permet d'affaiblir Daech (acronyme arabe de l'EI), a-t-on ajouté dans son entourage.

 

Notre objectif est bien de réduire Daech partout où on le peut, a-t-on ajouté de même source.

 

Dans ce contexte, la France va aussi déployer prochainement son porte-avions Charles-de-Gaulle qui va plus que doubler le dispositif aérien déjà existant dans la région aux Emirats arabes unis (six Rafale) et en Jordanie (six Mirage).

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 08:30
Syrian state media says dozens of ISIL fighters were killed in the attack which led to the recapture of Kweires airbase [photo SANA].

Syrian state media says dozens of ISIL fighters were killed in the attack which led to the recapture of Kweires airbase [photo SANA].

 

10 novembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Kweires (Syrie) - L'armée syrienne a brisé mardi le siège imposé par le groupe Etat islamique (EI) à l'aéroport militaire de Kweires, près d'Alep, selon un photographe de l'AFP sur place, une information confirmée par la télévision d'Etat.

 

Des éclaireurs de l'armée sont entrés mardi en fin d'après-midi dans l'aéroport et des soldats tiraient en l'air en signe de célébration, a indiqué le photographe.

 

Les militaires ont pu entrer dans l'aéroport par l'ouest mais des combattants de l'EI se trouvent toujours dans d'autres secteurs autour de l'aéroport, a-t-il précisé.

 

L'armée arabe syrienne fait la jonction avec les forces défendant la base aérienne (à) l'aéroport de Kweires, a indiqué de son côté la télévision publique dans un bandeau.

 

Cet aéroport, à l'est d'Alep, est encerclé par les jihadistes de l'EI depuis le printemps 2014 et avant cette date par les rebelles.

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 08:20
Le Briefing de 45eNord.ca avec Wali, parti combattre l'EI en Irak


10 nov. 2015 par Nicolas Laffont - 45eNord.ca

 

Deuxième émission avec Wali, parti combattre l'EI en Irak.

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 23:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

10 novembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Paris - Un homme qui a reconnu avoir voulu attaquer des militaires français à Toulon (sud-est) au nom du jihad a été arrêté fin octobre, mis en examen pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et écroué, a-t-on appris mardi de sources policière et judiciaire.

 

Grand port sur la Méditerranée, Toulon abrite la principale base navale française.

 

Âgé de 25 ans, le suspect était depuis plusieurs mois dans le viseur des services de renseignement français, ont précisé des sources policière et proche du dossier, confirmant une information de la chaîne Canal+.

 

Alors qu'il était surveillé, il s'est fait livrer un colis par la Poste, qui a éveillé des soupçons car il était éventré. A l'intérieur de ce colis, un couteau de combat et au moins une cagoule, ont rapporté ces sources.

 

Il est alors interpellé, le 29 octobre.

 

En garde à vue, il a reconnu avoir été en contact avec un Français parti pour la Syrie dans les rangs du groupe jihadiste Etat islamique qui, par internet, l'a incité à passer à l'acte, selon une des sources proches du dossier. C'est ce jihadiste français qui lui conseille d'acheter une arme, a précisé une autre de ces sources.

 

Il a fini par admettre un projet d'attaque contre des marins de la base navale de Toulon. Selon une source policière, il n'avait pas encore de plan très précis.

 

Les attentats islamistes de janvier contre l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo et un supermarché casher à Paris, qui avaient fait 17 morts, ont été suivis de plusieurs autres attaques ou tentatives sur le territoire français.

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 17:30
photo EMA Armée de l'Air

photo EMA Armée de l'Air

 
10/11/2015 sources EMA
 

Dans la soirée du 9 novembre 2015, les Mirage 2000 déployés sur la Base aérienne projetée (BAP) en Jordanie ont de nouveau effectué des frappes sur les zones contrôlées par Daech en Syrie. Il s’agit de la deuxième série de frappes réalisée par la France en l’espace de 48h00.

 

Les deux frappes ont visé des stations de pompage de pétrole situées en Syrie dans la région sud-est de Deir ez-Zor. Réalisées en coordination avec la coalition, elles ont été menées sur la base des renseignements collectés ces dernières semaines lors des vols de reconnaissance. L’objectif est d’affaiblir les capacités financières de Daech en perturbant l’exploitation des ressources pétrolières dans les zones sous le contrôle de ce groupe terroriste.

Les appareils engagés dans cette mission (Mirage 2000 N et Mirage 2000 D) étaient équipés d’une bombe guidée laser GBU 24. Les frappes ont débuté à 19 heures, heure française. Les deux objectifs ciblés ont été détruits. Ce raid n’a pas nécessité de ravitaillement en vol.
Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise 700 militaires. Elle vise à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste Daesh. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale, trois Mirage 2000D et trois Mirage 2000N) et d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2. Il comprend également des militaires projetés à Bagdad et Erbil pour la formation et le conseil des militaires irakiens. Depuis le 24 septembre 2015, la frégate anti-aérienne Cassard a rejoint les forces françaises engagées au Levant.

 

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 17:30
Chammal - Poursuite des frappes contre Daech en Syrie



10 nov. 2015 Ministère de la Défense

 

Dans la soirée du 9 novembre 2015, les Mirage 2000 déployés sur la Base aérienne projetée (BAP) en Jordanie ont de nouveau effectué des frappes sur les zones contrôlées par Daech en Syrie. Il s’agit de la deuxième série de frappes réalisée par la France en l’espace de 48h00.

Les deux frappes ont visé des stations de pompage de pétrole situées en Syrie dans la région sud-est de Deir ez-Zor. Réalisées en coordination avec la coalition, elles ont été menées sur la base des renseignements collectés ces dernières semaines lors des vols de reconnaissance. L’objectif est d’affaiblir les capacités financières de Daech en perturbant l’exploitation des ressources pétrolières dans les zones sous le contrôle de ce groupe terroriste.

Les appareils engagés dans cette mission (Mirage 2000 N et Mirage 2000 D) étaient équipés d’une bombe guidée laser GBU 24. Les frappes ont débuté à 19 heures, heure française. Les deux objectifs ciblés ont été détruits. Ce raid n’a pas nécessité de ravitaillement en vol.

Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise 700 militaires. Elle vise à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste Daesh. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale, trois Mirage 2000D et trois Mirage 2000N) et d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2. Il comprend également des militaires projetés à Bagdad et Erbil pour la formation et le conseil des militaires irakiens. Depuis le 24 septembre 2015, la frégate anti-aérienne Cassard a rejoint les forces françaises engagées au Levant.

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 12:45
Chad declares state of emergency in Boko Haram-hit region

 

10 November 2015 defenceWeb (Reuters)

 

.Chad has declared a state of emergency in the Lake Chad region after a series of raids and suicide bombings there by militant Islamist group Boko Haram, the government said on Monday.

 

Chad was instrumental in forcing Boko Haram to cede territory earlier this year, undermining its six-year campaign to carve out a Nigerian caliphate.

 

But guerrillas have since ramped up attacks in remote border areas around Lake Chad, killing at least three people in a Chadian village on Sunday and three Nigerian refugees in northern Cameroon on Monday.

 

Chad's Communications Minister Hassan Sylla Bakari said the order, effective immediately, would grant authorities new powers to search and monitor residents in the region.

 

There has not been a state of emergency in Chad, one of Africa's military heavyweights, since a series of rebellions in the 2000s springing from its volatile east. Neighbouring Niger also has a state of emergency in its border region of Diffa.

 

A top U.N. official said last month that an 8,700 regional task force will begin joint raids against Boko Haram when the rainy season ends soon.

 

Vice Admiral Michael Franken, U.S. Africa Command's Deputy for Military Operations, told Reuters on Monday he expected Nigeria-led actions to lead to a "significant degradation" in Boko Haram's activities within six months.

 

The United States has sent troops to provide intelligence and other assistance to counter Boko Haram

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 12:45
La professionnalisation des armées arabes face à un nouveau contexte stratégique régional: les cas de l’Algérie, de la Tunisie et de l’Égypte


06/11/2015  Flavien BOURRAT - IRSEM


"La professionnalisation des armées arabes face à un nouveau contexte stratégique régional : les cas de l’Algérie, de la Tunisie et de l’Égypte"
 

Un nouveau contexte stratégique caractérise le monde arabe, posant avec une acuité particulière la question des capacités des forces armées locales à affronter des défis vis-à-vis desquels elles n’ont pas été préparées. Ce contexte est désormais marqué par la montée en puissance d’un jihadisme armé et territorialisé ...

 

Numéro 24 - 2015 (pdf - 694 ko)

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 11:30
 Première frappe en Syrie des Mirage 2000 - mission de "Air Interdiction" avec des GBU 24 photo EMA/Armée de l’air

Première frappe en Syrie des Mirage 2000 - mission de "Air Interdiction" avec des GBU 24 photo EMA/Armée de l’air

 

09 Novembre 2015 par Jean-Dominique Merchet

 

Le cadre juridique de l’opération française reste incertain et fluctuant

 

«En Syrie nous sommes intervenus hier soir par une frappe sur un point de délivrance pétrolier aux environs de Deir Ezzor» a annoncé le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, ce lundi matin. Il s’agit de la troisième frappe française contre Daech en Syrie, depuis la décision prise le 4 septembre d’étendre l’opération Chammal à ce pays.

 

Les Armées précisent que cette « mission aérienne, engagée depuis la Jordanie, était constituée de deux Mirage 2000 de l’armée de l'Air (un 2000 D et un 2000 N). Le raid a duré près de 2 heures. Planifiée sur un objectif préalablement identifié lors des missions de renseignement réalisées par la France, cette opération a été conduite en coordination avec la Coalition», c’est-à-dire les Américains.

 

Cette nouvelle frappe pose un problème juridique. De manière un peu contournée, le gouvernement avait d’abord expliqué que les deux premières se faisaient dans le cadre de la «légitime défense collective» afin d’empêcher des attentats sur le sol national. Des centres d’entrainements étaient visés, dans la mesure où ils accueillaient des djihadistes que l’on soupçonnaient de préparer des attentats en France. Contrairement au Royaume-Uni, la France n’a pas communiqué d’éléments précis sur l’identité des personnes ainsi visées. Ces frappes s’apparentent à des éxécutions ciblées, y compris contre des ressortissants français.

 

La dernière frappe ne relève pas de cette logique puisqu’elle visait explicitement les infrastuctures pétrolières de Daesh, qui lui assure un partie de son financement.  «En frappant les capacités d’exploitation pétrolière contrôlées par Daech en Syrie, ce sont les ressources financières, qui constituent un des centres de gravité de ce groupe terroriste, qui sont visées», indique un communiqué officiel.

 

La France pourrait faire valoir le droit de poursuite, en frappant au-delà de la frontière syrienne une organisation qu’elle « tape » du côté irakien.  Toutefois la justification juridique reste  bien fragile. La France n’a ni l’accord explicite du gouvernement syrien, ni un mandat des Nations unies lui permettant de le faire. Un accord «implicite» de Bachar suffit-il ? Mais cela revient à lui reconnaitre sa légitimité...

 

On le voit, Paris change de posture en cours de route, abandonnant les premières explications sur la légitime défense. Paris rompt ainsi avec une longue tradition de défense du droit international. Est-on sûr que tout le monde a bien pris la mesure d’un tel revirement doctrinal, qui place la France de François Hollande plus près de George W. Bush que du discours de 2003 de Dominique de Villepin aux Nations Unies ?

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 18:30
photo EMA / Armée de l'Air

photo EMA / Armée de l'Air

 

09/11/2015 Par Alain Barluet , Mathilde Golla – LeFigaro.fr

 

Le ministre de la Défense a annoncé que de nouvelles frappes aériennes visant un centre d'approvisionnement ont été menées dans la nuit de dimanche à lundi près de Deir Ezzor, dans l'est de la Syrie. L'objectif est d'affaiblir les ressources financières de Daech en plus de ses moyens militaires.

 

La France veut frapper Daech au portefeuille. Un mois après ses premières frappes, l'Hexagone est intervenu dans la nuit de dimanche à lundi en Syrie mais cette fois, les chasseurs français ont bombardé un centre d'approvisionnement pétrolier du groupe Etat islamique (EI), a annoncé le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian. «En Syrie nous sommes intervenus (...) hier soir par une frappe sur un point de délivrance pétrolier aux environs de Deir Ezzor à la frontière entre l'Irak et la Syrie», a-t-il déclaré en marge du Forum de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique. «Des files de camions ont été détectées par notre renseignement autour de ce point et nous les avons frappé», indique une source bien informée.

Il s'agit de la troisième frappe française en Syrie depuis la décision du président François Hollande d'engager des opérations aériennes contre le groupe EI, début septembre. Les deux premières avaient visé des camps d'entraînement où se trouvent des combattants étrangers, soupçonnés selon Paris de préparer des attentats en France. La France élargit donc cette fois ses opérations à un centre d'une autre nature, où «l'on prend du pétrole pour le délivrer ailleurs», a indiqué Jean-Yves Le Drian.

«Affaiblir Daech consiste d'abord à «taper» ses centres de gravité», explique une bonne source militaire. De fait, l'EI tire une partie importante de ses revenus du commerce de pétrole. Cette manne tirée du pétrole par Daech sur les territoires qu'il contrôle s'élèverait à 500 milliards de dollars par an, selon des chiffres publiés par le Financial Times. Or, cette source de revenus se tarit à mesure des bombardements stratégiques des forces alliées sur les infrastructures. «Daech a désormais du mal à faire vivre son «Etat» avec cette manne financière, il a même des difficultés à se fournir lui-même en pétrole», indique Alain Rodier, directeur de recherche chargé du terrorisme au Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R).

 

De la difficulté de définir des cibles

A propos des prochaines frappes de la France, François Hollande a ouvert la voie à un élargissement des actions contre l'EI en déclarant vouloir «frapper les camps d'entraînement et tous les lieux à partir desquels le terrorisme pourrait menacer notre territoire». Il a également annoncé le déploiement prochain du porte-avions français Charles-de-Gaulle dans la région afin d'accroître la capacité de frappes de l'armée française en Irak et en Syrie. «Affaiblir Daech consiste d'abord à «taper» ses centres de gravité», explique une bonne source militaire.

Mais «c'est difficile de déterminer des cibles fiables. Il faut trouver des installations fixes, crédibles et en dehors de la population civile, affirme Alain Rodier. Le souci des frappes alliées est de ne pas effectuer de pertes collatérales car cela pourrait retourner l'opinion publique contre la coalition et en faveur des combattants de l'EI. Or l'adversaire se déplace parmi les populations civiles», ajoute l'expert. «Les forces de l'Etat islamique (EI) utilisent des parades, notamment en plaçant ses centres de commandement dans des mosquées, des hôpitaux et des écoles, ce qui exclut des frappes, ajoute la bonne source militaire. Toutefois, «Daech recrute des activistes de haut niveau -médecins, ingénieurs…-, et a besoin de ressources pour les payer». «Il nous faut donc assécher les sources de financement», poursuit-elle en affirmant que «la France bombardera encore en Syrie».

Pour mieux cerner ses cibles, la France mène des vols de reconnaissance. Les frappes françaises, y compris celle de dimanche, ont été réalisées sur la base de renseignement collecté par les Français lors de vols de reconnaissance, a souligné le ministre de la Défense. «Nous avons davantage de renseignements depuis que le président de la République a souhaité que nous volions au-dessus de la Syrie. Nous avons pu accumuler beaucoup de cibles potentielles», a souligné le ministre. Concernant l'efficacité des frappes de la coalition, «nous n'avons pas de recul. Rien ne permet aujourd'hui d'affirmer si elles sont utiles ou pas. On ne sait si les frappes qui visent les camps d'entrainement par exemple permettent de toucher de potentiels djihadistes», indique Alain Rodier.

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 17:30
photo EMA / Armée de l'Air

photo EMA / Armée de l'Air

 

09/11/2015 Sources : État-major des armées

 

Dans la nuit du 8 novembre 2015, les forces françaises de l’opération Chammal ont frappé un site de distribution de pétrole contrôlé par Daech au Sud-Est de Deir ez-Zor en Syrie.

 

Engagée depuis la Jordanie, la mission aérienne était constituée de deux Mirage 2000 de l’armée de l'Air (un Mirage 2000 D et un Mirage 2000 N). Le raid a duré près de 2 heures. Planifiée sur un objectif préalablement identifié lors des missions de renseignement réalisées par la France, cette opération a été conduite en coordination avec la Coalition.

 

En frappant les capacités d’exploitation pétrolière contrôlées par Daech en Syrie, ce sont les ressources financières, qui constituent un des centres de gravité de ce groupe terroriste, qui sont visées. 

 

Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise 700 militaires. Elle vise à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste Daech. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale, trois Mirage 2000D et trois Mirage 2000N) et d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2. Il comprend également des militaires projetés à Bagdad et Erbil pour la formation et le conseil des militaires irakiens. Depuis le 24 septembre 2015, la frégate anti-aérienne (FAA) Cassard a rejoint les forces françaises engagées au Levant.

 

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 13:35
En Afghanistan, affrontements entre factions talibanes rivales

 

09-11-2015 Joël Bronner, correspondant à Kaboul - RFI

 

En Afghanistan, ce week-end, de violents combats ont opposé des milices talibanes rivales dans deux districts reculés du sud-est du pays. Ces affrontements ont semble-t-il fait plusieurs dizaines de morts. Difficile de connaître avec précision le bilan, car le sud-est du pays, la province de Zaboul située au nord de Kandahar, échappe depuis longtemps au contrôle de l'Etat afghan.

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8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 21:30
Inherent Resolve – Chammal sit rep 08 Nov – CJTF-OIR

 

November 08, 2015 by CJTF-OIR Release # 20151108-01

 

Military Strikes Continue Against ISIL Terrorists in Syria and Iraq

 

SOUTHWEST ASIA- On Nov. 7, coalition military forces continued to attack ISIL terrorists in Syria and Iraq. In Syria, coalition military forces conducted 12 strikes using bomber, fighter, attack, ground-attack, and remotely piloted aircraft. Separately in Iraq, coalition military forces conducted 19 strikes coordinated with and in support of the Government of Iraq using bomber, fighter, attack, ground-attack, and remotely piloted aircraft against ISIL targets.

 

The following is a summary of the strikes conducted against ISIL since the last press release:

 

Syria

• Near Al Hasakah, three strikes struck three separate ISIL tactical units and destroyed an ISIL fighting position.

• Near Al Hawl, six strikes struck five separate ISIL tactical units and destroyed 16 ISIL fighting positions and an ISIL vehicle.

• Near Mar’a, two strikes struck two separate ISIL tactical units and destroyed an ISIL fighting position and wounded an ISIL fighter.

• Near Washiya, one strike destroyed an ISIL supply cache and damaged an ISIL cave.

 

Iraq

• Near Albu Hayat, one strike struck a large ISIL tactical unit and destroyed eight ISIL buildings and an ISIL command and control node.

• Near Mosul, one strike struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL checkpoint.

• Near Qayyarah, one strike struck an ISIL staging area.

• Near Ramadi, four strikes destroyed an ISIL weapons cache, an ISIL tactical vehicle, an ISIL building, suppressed movement of five ISIL tactical vehicles, and denied ISIL access to terrain.

• Near Sinjar, eleven strikes struck five separate ISIL tactical units and destroyed two ISIL assembly areas, 21 ISIL fighting positions, three ISIL light machine guns, and three ISIL vehicles.

• Near Sultan Abdallah, one strike struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL heavy machine gun and an ISIL fighting position.

 

Strike assessments are based on initial reports. All aircraft returned to base safely.

 

The strikes were conducted as part of Operation Inherent Resolve, the operation to eliminate the ISIL terrorist group and the threat they pose to Iraq, Syria, and the wider international community.

 

The destruction of ISIL targets in Syria and Iraq further limits the group's ability to project terror and conduct operations. Coalition nations which have conducted strikes in Iraq include Australia, Belgium, Canada, Denmark, France, Jordan, Netherlands, United Kingdom, and the United States. Coalition nations which have conducted strikes in Syria include Australia, Bahrain, Canada, France, Jordan, Saudi Arabia, Turkey, United Arab Emirates, and the U.S.

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8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 14:30
Une bombe serait bien en cause dans le crash de l'avion russe

 

08.11.2015 Romandie.com (ats)

 

Les enquêteurs qui mènent les investigations sur l'accident d'un Airbus russe le 31 octobre dernier dans le Sinaï sont "sûrs à 90%" qu'un bruit enregistré par les boîtes noires de l'appareil correspond à l'explosion d'une bombe, selon le comité d'enquête.

Samedi lors d'une conférence de presse, le président du comité d'enquête Ayman al Moukaddam avait déclaré qu'un "bruit" pouvait être entendu dans la dernière seconde de l'enregistrement des conversations dans le cockpit.

Mais il avait estimé qu'il était trop tôt pour en tirer des conclusions. La thèse d'un attentat à la bombe est évoquée depuis plusieurs jours par les services secrets américains et britanniques pour expliquer la destruction de l'Airbus, à bord duquel ont péri 224 passagers et membres d'équipage, russes pour la plupart.

 

Revendication de l'EI

"Les analyses effectuées jusqu'ici sur le bruit sur la boîte noire indiquent qu'il s'agit d'une bombe", a déclaré ce membre du comité d'enquête égyptien, qui a souhaité garder l'anonymat. "Nous sommes sûrs à 90% qu'il s'agit d'une bombe."

Prié d'expliquer quelle peut être l'hypothèse justifiant les 10% manquants, il a répondu: "Je ne peux pas en parler pour le moment.

La branche égyptienne de l'organisation Etat islamique a revendiqué la responsabilité de la destruction de l'appareil, en représailles des frappes de l'aviation russe sur le groupe djihadiste en Syrie.

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8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 13:45
Ngouboua Tchad - credits BBC

Ngouboua Tchad - credits BBC

 

08 novembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

N'Djamena - Deux personnes ont été tuées et 14 blessées dimanche matin dans la localité tchadienne de Ngouboua dans la région du lac Tchad lorsque deux femmes kamikaze du groupe Boko Haram se sont faites exploser, a-t-on appris de source sécuritaire à N'Djamena.

 

Les deux femmes kamikaze et deux civils ont trouvé la mort au cours de cette explosion, a indiqué à l'AFP sous couvert d'anonymat cette source, ajoutant que 14 autres personnes ont été blessés dans cette localité déjà ciblée à plusieurs reprises par des islamistes nigérians de Boko Haram.

 

Le 1er novembre, onze civils avaient été blessés dans cette même région dans un attentant suciide attribué par le gouvernement au groupe Boko Haram qui a rallié l'organisation de l'Etat islamique (EI).

 

L'attaque la plus meurtrière sur les rives tchadiennes du lac s'est produite le 10 octobre. Un triple attentat à l'explosif commis par des kamikazes à Baga Sola, s'était soldé par 41 morts et 48 blessés, selon le gouvernement tchadien.

 

Plusieurs dizaines de milliers de réfugiés nigérians et de déplacés tchadiens ont trouvé refuge dans cette ville, fuyant ces derniers mois les exactions de Boko Haram sur les îles du lac ou au Nigeria voisin.

 

Si elle a contenu l'expansion territoriale de Boko Haram dans le nord-est du Nigeria, la coalition régionale militaire des pays riverains du lac Tchad (Nigeria, Tchad, Cameroun, Niger) ainsi que le Bénin n'arrive pas à réduire significativement les activités des islamistes nigérians qui poursuivent régulièrement leurs attaques, notamment les attentats-suicides dont sont essentiellement victimes les civils, musulmans comme chrétiens.

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8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 08:45
photo tchadinfos

photo tchadinfos

 

N’DJAMENA, 7 novembre (Xinhua)

 

Les Forces armées tchadiennes d’intervention au Cameroun (FATIC), de retour de leur expédition contre la secte terroriste Boko Haram, ont été accueillis en héros samedi matin dans la capitale, a constaté un journaliste de Xinhua sur place.

 

Sur un parcours long de plusieurs kilomètres, allant de la frontière du Cameroun à la Place de la Nation, en face du Palais présidentiel, les N’Djaménois se sont massés de bonne heure pour ces héros juchés sur leurs chars et véhicules Toyota tout-terrain.

Selon le général Bénaïndo Tatola, ministre délégué à la Présidence chargé de la Défense nationale, ce retour du contingent tchadien se justifie par “la prise en compte de sa zone de responsabilité par la force mixte multinationale de la Commission du bassin du lac Tchad et le Bénin qui se chargera de mener désormais les opérations contre le groupe terroriste Boko Haram dans cet espace”.

 

Le 14 janvier 2015, l’Assemblée nationale du Tchad avait autorisé le gouvernement à envoyer les troupes aider les armées camerounaises, nigériennes et nigérianes qui faisaient face à l’expansion de la secte islamiste.

 

Quatre mois plus tard, comme l’exige la Constitution, les députés tchadiens ont voté une loi portant prolongation de la présence de leurs forces armées engagées dans le cadre de la lutte conjointe régionale contre Boko Haram.

 

Le bilan de cette intervention, fourni par l’Etat-major tchadien après les quatre premiers mois, reste lourd: 71 morts soldats tués et 416 autres blessés.

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7 novembre 2015 6 07 /11 /novembre /2015 18:30
Inherent Resolve – Chammal sit rep 07 Nov – CJTF-OIR

 

November 07, 2015 by CJFT-OIR Release # 20151107-01

 

Military Strikes Continue Against ISIL Terrorists in Syria and Iraq

 

SOUTHWEST ASIA- On Nov. 6, coalition military forces continued to attack ISIL terrorists in Syria and Iraq. In Syria, coalition military forces conducted five strikes using bomber, fighter, and attack aircraft. Separately in Iraq, coalition military forces conducted 15 strikes coordinated with and in support of the Government of Iraq using bomber, fighter, and attack aircraft against ISIL targets.

 

The following is a summary of the strikes conducted against ISIL since the last press release:

 

Syria

• Near Al Hawl, two strikes struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL fighting position, seven ISIL structures, and three ISIL trenches.

• Near Dayr Az Zawr, one strike struck an ISIL petroleum storage tank.

• Near Mar’a, two strikes destroyed an ISIL excavator and an ISIL logistical facility.

 

Iraq

• Near Fallujah, one strike destroyed an ISIL fighting position.

• Near Kisik, one strike destroyed an ISIL fighting position.

• Near Mosul, one strike suppressed an ISIL rocket position.

• Near Ramadi, four strikes struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL rocket propelled grenade position, an ISIL weapons cache, four ISIL vehicle borne improvised explosive devices, six ISIL heavy machine guns, 11 ISIL fighting positions, an ISIL tunnel, an ISIL tactical vehicle, an ISIL anti-tank weapon, two ISIL buildings, damaged one ISIL building, and denied ISIL access to terrain.

• Near Sinjar, six strikes struck two separate ISIL tactical units and destroyed six ISIL fighting positions, an ISIL heavy machine gun, an ISIL light machine gun, an ISIL weapons cache and suppressed two ISIL mortar positions.

• Near Sultan Abdallah, one strike struck an ISIL tactical unit and destroyed an ISIL heavy machine gun and an ISIL fighting position.

• Near Tal Afar, one strike suppressed an ISIL mortar position.

 

Strike assessments are based on initial reports. All aircraft returned to base safely.

 

The strikes were conducted as part of Operation Inherent Resolve, the operation to eliminate the ISIL terrorist group and the threat they pose to Iraq, Syria, and the wider international community.

 

The destruction of ISIL targets in Syria and Iraq further limits the group's ability to project terror and conduct operations. Coalition nations which have conducted strikes in Iraq include Australia, Belgium, Canada, Denmark, France, Jordan, Netherlands, United Kingdom, and the United States. Coalition nations which have conducted strikes in Syria include Australia, Bahrain, Canada, France, Jordan, Saudi Arabia, Turkey, United Arab Emirates, and the U.S.

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7 novembre 2015 6 07 /11 /novembre /2015 17:30
Four critical questions on Russia’s strategic goals in Syria answered by CSIS

 

Oct 29, 2015 By Olga Oliker - csis.org/publication/russia-syria

 

Q: What is Russia trying to accomplish with its military operation in Syria?

A: Russia’s primary goal in Syria is to support the Assad government and help it to stay in power. To do this, Russia, working with Syria and Iran, is targeting groups opposed to Assad. Russia is doing this for several reasons. First, Assad is a long-term friend of Moscow’s. Second, Russia’s position has long been that governments have a right to do what they want within their borders, without foreign interference, including (perhaps especially) putting down opposition movements. Third, Russia truly believes that Assad is Syria’s best hope for stability, and does not see a plausible likelihood of a moderate opposition taking power.

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6 novembre 2015 5 06 /11 /novembre /2015 12:45
EFG - Visite du général V. Guionie à Yaoundé

 

05/11/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 22 au 24 octobre 2015, le général Vincent Guionie, commandant les Eléments Français au Gabon (EFG), a effectué une visite à Yaoundé au Cameroun afin de rencontrer les autorités civiles et militaires du pays, dans le cadre de la coopération opérationnelle régionale.

 

Inclus dans la zone de responsabilité permanente des EFG, le Cameroun fait également partie des cinq pays africains partenaires du G5 Sahel engagés dans la lutte contre le terrorisme avec l’appui de la France. Le général Vincent Guionie s’est d’abord entretenu sur la situation sécuritaire à l’extrême Nord du pays avec M. Joseph Beti Assomo, ministre délégué à la présidence chargé de la Défense nationale et le général de division Pierre Samobo, major général des armées camerounaises. Il leur a réaffirmé le soutien de la France aux forces armées camerounaises dans leur lutte contre le terrorisme et contre la secte Boko Haram. Il a également confirmé la poursuite de la coopération opérationnelle déjà engagée avec, notamment, l’envoi de détachements d’instruction opérationnelle et technique dans des domaines répondant aux besoins de notre partenaire, comme la lutte contre les engins explosifs improvisés, et les cessations de matériels. Ainsi, le général Guionie a annoncé le don de 11 véhicules tout-terrain de type P4 avec armement et transmissions de bord.

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