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26 mars 2015 4 26 /03 /mars /2015 11:30
Royal Saudi Air Force F-15 Eagle fighter aircraft

Royal Saudi Air Force F-15 Eagle fighter aircraft

 

26 mars 2015 Romandie.com (AFP)

 

Téhéran - L'Iran a condamné jeudi l'intervention militaire conduite par l'Arabie saoudite contre les rebelles Houthis au Yémen, dénonçant une démarche dangereuse qui n'apportera que plus de morts.

 

Le chef de la diplomatie iranienne Mohammad Javad Zarif, présent à Lausanne (Suisse) pour les négociations nucléaires, a affirmé que cette opération provoquera davantage de morts, créera plus de tensions dans la région et n'apportera aucun bénéfice à aucun pays.

 

Cette intervention risque, selon lui, de faire le jeu des jihadistes. Téhéran a toujours averti les pays de la région et les pays occidentaux de faire attention à ne pas entrer dans des jeux à courte vue, de ne pas aller dans le même sens qu'Al-Qaïda et Daech (acronyme arabe du groupe Etat islamique), a-t-il averti, cité par la télévision iranienne en arabe Al-Alam.

 

M. Zarif a précisé que la question du Yémen n'avait pas été évoquée avec son homologue américain John Kerry. Notre dialogue est seulement limité au nucléaire et nous n'avons pas parlé de ces questions, a-t-il assuré.

 

Les avions saoudiens ont visé dans la nuit des positions de la milice chiite Houthis, qui est soutenue par l'Iran et qui menace de prendre le contrôle d'Aden, la grande ville du sud fief du président Abd Rabbo Mansour Hadi, reconnu par la communauté internationale.

 

L'action militaire lancée par l'Arabie saoudite va encore plus compliquer la situation, étendre la crise et faire perdre les chances d'un règlement pacifique des divergences internes au Yémen, a pour sa part déclaré la porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Marzieh Afkham, dans un communiqué.

 

Cette agression ne donnera aucun résultat, sauf qu'elle provoquera une propagation du terrorisme et de l'extrémisme, et une augmentation de l'insécurité à travers la région, a-t-elle prévenu, appelant à un arrêt immédiat des frappes aériennes sur le Yémen.

 

Le président de la Commission de la sécurité nationale et politique étrangère au Parlement, Alaeddine Boroujerdi, a pour sa part qualifié l'Arabie saoudite d'irresponsable.

 

Le fait que l'Arabie saoudite ait attisé les flammes d'une nouvelle guerre dans la région montre qu'elle est imprudente, a-t-il affirmé dans des propos reproduits par l'agence de presse Fars. La fumée de ce feu entrera dans les yeux de l'Arabie saoudite car la guerre ne se limite jamais à un seul endroit, a prévenu M. Boroujerdi, exprimant l'espoir que cette opération militaire sera immédiatement interrompue et les problèmes du Yémen réglés par la voie politique.

 

Il a en outre accusé les Etats-Unis de soutenir les frappes aériennes saoudiennes sur le Yémen, affirmant que l'Arabie saoudite et les pays du Golfe n'auraient pu lancer une telle intervention sans autorisation américaine.

 

Ayant déjà imposé de longues années de crise en Irak, en Syrie et en Afghanistan, l'Amérique a initié une nouvelle crise dans le monde musulman, ce qui est un acte fortement condamnable, a ajouté le responsable iranien.

 

Les Etats-Unis, alliés du président yéménite Abd Rabbo Mansour Hadi dans la lutte contre Al-Qaïda, ont annoncé fournir un soutien en logistique et en renseignement à la coalition.

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25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 18:30
Syrie: Al-Qaïda aux portes d'Idleb, les combats font rage

Syria Situation Report March 17-24, 2015 - credits ISW

 

25 mars 2015 Romandie.com (AFP)

 

Beyrouth - Les combats faisaient rage mercredi à l'entrée d'Idleb, grande ville du nord-ouest de la Syrie sous contrôle du régime et contre laquelle la branche d'Al-Qaïda a lancé une vaste offensive, rapporte l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

 

Idleb est le chef-lieu de la province éponyme, frontalière de la Turquie et en majorité sous contrôle du Front Al-Nosra, branche d'Al-Qaïda en Syrie. Si la ville est capturée, elle serait la deuxième capitale provinciale à échapper aux mains du régime de Damas après Raqa (nord).

 

Les combats font rage à l'entrée est et aux environs de la ville, dont des secteurs sont bombardés par Al-Nosra et ses alliés islamistes, regroupés au sein d'une nouvelle coalition sous le nom de L'Armée de la Conquête, a indiqué à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'OSDH.

 

Selon lui, les combats et bombardements ont fait mercredi au moins 20 morts parmi les soldats et 20 parmi les combattants islamistes.

 

Le Front al-Nosra a pour sa part diffusé sur Twitter une vidéo montrant les moujahidine au début des accrochages à l'entrée nord d'Idleb, sur laquelle on peut entendre des coups de feu intenses et voir un combattant tirant des obus.

 

Selon l'OSDH, le groupe islamiste Ahrar al-Cham a repris quatre points de contrôle dans la périphérie d'Idleb. L'ONG fait état en outre d'un attentat à la voiture piégée aux abords de la ville ce jour.

 

Mardi, au moins deux attentats suicide à la voiture piégée avaient été menés contre des points de contrôle des troupes loyalistes aux abords de la ville, lançant l'offensive.

 

Le quotidien privé et proche du pouvoir, al-Watan, a indiqué que l'armée avait anéanti les terroristes d'Al-Nosra et leurs alliés aux portes d'Idleb après avoir fait face à une violente attaque.

 

L'armée est appuyée par les Forces de la défense nationale (milice pro-régime), les comités populaires (formés d'habitants), a indiqué à l'AFP le gouverneur d'Idleb, Kheireddine al-Sayyed.

 

Ils ne pourront pas avancer d'un pouce à l'intérieur de la ville, a-t-il assuré.

 

D'après lui, il n'y a pas de plan d'évacuation car il est exclu pour les habitants de quitter leur ville. Ce sont eux qui participent à sa défense.

 

Le gouverneur a précisé que la ville, qui comptait 200.000 habitants avant le conflit avant de voir des flots de déplacés s'y installer, n'était pas assiégée et que les gens peuvent entrer et sortir.

 

En novembre, Al-Nosra avait chassé plusieurs groupes rebelles de la province. A l'instar de son rival jihadiste le groupe Etat islamique (EI), qui a proclamé son califat à cheval sur la Syrie et l'Irak, le Front entend fonder un émirat dans le nord de la Syrie selon des analystes.

 

Quant au régime, il ne lui reste que les villes d'Idleb, Jisr al-Choughour et Ariha, plusieurs localités, l'aéroport militaire d'Abou Douhour et cinq bases militaires.

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25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 17:45
Archives -Photo Marco Dormino UN

Archives -Photo Marco Dormino UN

 

25-03-2015 Par RFI

 

Au Mali, on en sait un peu plus sur cette explosion survenue ce lundi 24 mars dans le centre-ville de Gao, dans le nord du pays, où une maison a été dévastée. Au moins deux personnes sont mortes en préparant, semble-t-il, un acte terroriste.

 

Les fouilles continuent, sous la supervision des équipes de déminage des Nations unies. Un robot doit encore inspecter les décombres de la maison où les restes d'au moins deux victimes ont déjà été retrouvés. Des sources sécuritaires à Gao indiquent que des téléphones portables reliés à des fils ont également été aperçus.

 

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25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 17:30
Turquie: l'armée a engagé une vaste opération dans le sud-est du pays

 

25-03-2015 Par Jérôme Bastion correspondant à Istanbul- RFI

 

Depuis mardi 24 mars, l'armée turque est engagée dans le sud-est du pays dans une opération contre des positions de la rébellion kurde. Celle-ci a lieu malgré des négociations approfondies avec le PKK et son chef emprisonné, Abdullah Ocalan. Aucun bilan n'a été fourni, mais cette intervention illustre la fragilité du processus de paix en cours depuis fin 2012 et qui n'a guère avancé.

 

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25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 17:30
credits BBC

credits BBC

 

25-03-2015 Par RFI

 

C’est la confusion au Yémen. La garde présidentielle a annoncé ce mercredi 25 mars au matin que le président Abd Rabbo Mansour Hadi avait fui le pays. Mais l'information a été démentie par un responsable, alors que les miliciens houthis se sont emparés ce matin de la plus importante base aérienne du Yémen, la base d'Al-Anad, à 60 km au nord d'Aden. Des raids aériens sur le complexe du palais présidentiel ont également été constatés par la sécurité yéménite. L'Arabie saoudite, elle, masse des troupes à sa frontière.

 

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25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 13:30
Canada plans to expand air strikes against IS militants

Syria Situation Report March 17-24, 2015 - credits ISW

 

24 March 2015 BBC MidEast

 

Canada will extend its air strike campaign against Islamic State (IS) into Syria, Prime Minister Stephen Harper has announced.

 

"In our view, ISIL [IS] must cease to have any safe haven in Syria," Mr Harper said in the House of Commons. Canada's mission against IS will also be extended for one year, beyond October's election and well into 2016. Opposition leaders have criticised Mr Harper for drawing Canada into a war with unclear objectives. The move means Canada will be the first Nato country, other than the United States, to strike inside Syria. IS controls land on both sides of the Iraq-Syria border - and the US expanded its air strike campaign against the militant group into Syria in September. It has been joined in similar strikes by Bahrain, Saudi Arabia, Jordan and the United Arab Emirates.

 

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Canada plans to expand air strikes against IS militants
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25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 12:30
Les houthistes s'emparent de la base Al-Anad, dans le sud du Yémen

 

25 Mars 2015 par Sanaa ALAHYAN - Ileri

 

Les forces houthistes se sont emparées mercredi 25 mars de la base aérienne Al-Anad, la plus importante du sud du Yémen, se rapprochant davantage d'Aden, où est retranché le chef de l'Etat, selon une source militaire. Les militaires américains qui y étaient stationnés et menaient des frappes contre Al-Qaida dans la péninsule Arabique (AQPA) en avaient été évacués la semaine dernière en raison de l'aggravation de la situation.

La chaîne satellitaire Al-Masirah (favorable aux houtistes) a indiqué que la base avait été pillée par les combattants d'Al-Qaida et par celle du président Abed Rabbo Mansour Hadi.

Après s'être assurées du contrôle d'Al-Anad, les forces houthistes ont ensuite avancé vers le sud et se trouvaient à environ trois kilomètres d'Al-Houta, chef-lieu de la province de Lahej, limitrophe de celle d'Aden, selon une source militaire.

 

Appel au Conseil de sécurité de l'ONU

Le président yéménite, Abd Rabbo Mansour Hadi, a exhorté une nouvelle fois mardi le Conseil de sécurité de l'Organisation des Nations unies à adopter une « résolution contraignante » afin de stopper l'avancée des miliciens houthistes vers Aden.

Dans sa lettre, le président Hadi confirme aussi avoir sollicité les Etats du Conseil de coopération du Golfe pour obtenir une « intervention militaire » contre les miliciens chiites.

 

L'Arabie saoudite masse des troupes

L'Arabie saoudite est en train de regrouper du matériel militaire lourd, notamment de l'artillerie, dans des zones situées près de sa frontière avec le Yémen, ont annoncé mardi des responsables américains.

L'Arabie saoudite accuse l'Iran de semer la discorde entre les communautés au Yémen en soutenant les rebelles houtistes. Le conflit risque de dégénérer en une guerre par procuration entre l'Iran chiite et l'Arabie saoudite et d'autres monarchies sunnites de la région, favorables au président Hadi.

 

source Le Monde.fr

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24 mars 2015 2 24 /03 /mars /2015 17:55
photo ECPAD

photo ECPAD

 

24 Mars 2015 Atlantico.fr

 

Une centaine de noms de militaires américains, accompagnés de leurs adresses et d'appel au meurtre, voilà ce qu'a fait paraître sur internet un groupe de pirates se revendiquant du cyber-djihadisme. Selon l'agence SITE, ces islamistes 2.0 se font appeler "la division des hackers de l'Etat islamique". Une menace sérieuse qui pourrait, dans le futur, viser également des Français.

 

Atlantico : Avec cette fuite d'information, "la division des hackers de l'Etat islamique" souhait appeler tous ses "frères aux Etats-Unis" à s'en prendre à ces militaires américains. C'est un nouveau coup de force pour les cyber-djihadistes, mais d'abord comment s'y prennent-ils ?

 

François-Bernard Huyghe : Premièrement, il n’est pas si difficile que ça de pirater un site ou un ordinateur. Mais pour ce qui est de trouver les noms ou les adresses des membres d’une organisation, grâce à des comptes Twitter par exemple, c’est quelque chose qu’on voit tous les jours. Rappelez-vous, par exemple, que dans l’affaire Sony, les pirates avaient aussi trouvé des noms et des adresses.

En France, nous avions eu un scandale similaire parce qu’un site mettait en ligne le nom et l’adresse de policiers et de gardiens de prison. Sur le plan technique, pour un hacker d’un certain niveau comme pour une personne dotée de patience, trouver des noms et des adresses de militaires n’est pas un exploit technologique invraisemblable. D’ailleurs le collectif Anonymous le fait souvent.

Par ailleurs, on peut se demander si cette action aura des effets dangereux. Honnêtement, je suis un peu sceptique. D’abord parce que ces militaires prendront leurs précautions et seront protégés par la police. D’autre part, l’Etat islamique, si je ne m’abuse, n’a jamais réussi à faire d’attentats sur le sol américain, contrairement à d’autres organisations ou à des citoyens Américains convertis au djihad. Sur le plan du danger physique, cela ne me paraît pas vraiment terrifiant. En revanche, ce qui me paraît beaucoup plus important, c’est que l’Etat islamique s’adapte aux technologies et imite les techniques des hackers, qui eux-mêmes s’en prennent parfois à des sites ou à des comptes djihadistes en publiant leurs informations. L’effet de panique recherché ici est maximum. On se rappelle que l’Etat islamique avait donné des instructions presque théologiques aux "bons musulmans", en leur disant qu’idéalement ils devaient faire la "hijra", l’immigration en terre musulmane, et donc aller combattre avec Daech au "pays de Cham", mais que si ceux-ci ne le pouvaient pas ils devaient alors faire ce qui était en leur mesure pour faire le djihad. Jusqu’à présent cet appel n’a pas eu d’effet monstrueux. Certes, il y a eu cette agression au couteau de trois militaires à Nice, mais cela n’a pas provoqué des centaines de morts. A contrario, l’impact psychologique est important parce que chacun va compatir et s’identifier avec les gens dont les familles vont vivre dans la crainte, et l’impression que le danger peut ressortir n’importe où s’accroît. Il s’agit surtout de guerre psychologique. Par ailleurs et pour être franc, si demain un djihadiste américain veut s’attaquer à un soldat, ce ne sera pas très difficile de trouver un GI dans les rues, en Virginie par exemple. De la même façon, Mohammed Merah n’avait pas eu beaucoup de mal à trouver des paras français à Montauban et à Toulouse. C’est avant tout l’effet psychologique qui est visé, d’autant plus qu’il y a, me semble-t-il, une stratégie de la part de Daech visant à tout essayer. Dès qu’une opportunité stratégique fait son apparition, l’Etat islamique la saisit : un coup ils font du hacking, un coup ils multiplient les comptes Twitter, ils menacent etc. Cela correspond à leur mentalité, celle de créer de l’inquiétude et de la déstabilisation par tous les moyens possibles.

 

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24 mars 2015 2 24 /03 /mars /2015 13:35
[2e partie – l’intégrale] Afghanistan : des opérations de guerre au désengagement


24 mars 2015 JDEF - Ministère de la Défense

 

#Afghanistan - Après 13 ans d’opérations de sécurisation et de lutte contre le terrorisme au sein d’une coalition internationale, les militaires français ont quitté l’Afghanistan. Les forces afghanes sont aujourd’hui responsables de la sécurité de leur pays. Depuis le début de la participation française au conflit afghan, les missions n’ont cessé d’évoluer. Le dispositif militaire a été réorganisé à plusieurs reprises, s’adaptant au conflit jusqu’au dernier jour des opérations.

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 21:30
Ryad somme la milice chiite au Yémen de mettre fin à son coup d'Etat

 

23 mars 2015  Romandie.com (AFP)

 

Ryad - L'Arabie saoudite a sommé lundi la milice chiite des Houthis, qui s'est emparée du pouvoir dans la capitale yéménite Sanaa, de mettre fin à son coup d'Etat pour rétablir les autorités légitimes représentées par le président Abd Rabbo Mansour Hadi.

 

Une sortie de crise passe par le rejet du coup d'Etat du 6 février et le retrait des Houthis armés de tous les bâtiments publics et le rétablissement du gouvernement légitime, a déclaré le ministre des Affaires étrangères Saoud Al-Fayçal dans une conférence de presse à Ryad avec son homologue britannique Philip Hammond.

 

Il a souligné, dans ce contexte, la nécessité de hâter la tenue à Ryad d'une conférence de réconciliation inter-yéménite, convoquée par le roi saoudien à la demande du président Hadi.

 

Sont invitées à participer à cette conférence toutes les factions yéménites qui désirent préserver la sécurité et la stabilité du Yémen, a ajouté le prince Saoud, sans avancer de date pour cette rencontre à propos de laquelle les Houthis ne se sont pas clairement prononcés.

 

Le chef de la milice chiite des Houthis, Abdel Malek al-Houthi, a implicitement rejeté l'offre de Ryad dans un discours dimanche soir.

 

Le dialogue ne peut être placé sous le patronage d'une quelconque partie qui alimente les tensions au sein du peuple yéménite, a-t-il dit dans une allusion à l'Arabie saoudite sunnite, qui classe les Houthis comme organisation terroriste.

 

Les belligérants au Yémen, où le conflit s'est durci, ont continué lundi à mobiliser leurs troupes en dépit d'un appel du Conseil de sécurité de l'ONU à reconnaître la légitimité de M. Hadi et à préserver l'unité du pays.

 

Evoquant par ailleurs la perspective d'une solution politique en Syrie après plus de quatre ans de guerre dans ce pays, le prince Saoud a répété que le président Bachar al-Assad n'avait aucun rôle à jouer actuellement ou à l'avenir dans un règlement négocié.

 

En attendant un tel règlement, il importe de soutenir militairement l'opposition modérée pour réaliser sur le terrain un équilibre des forces avec les troupes du régime Assad, selon lui.

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 17:45
Depuis N'Djamena, départ en mission de reconnaissance à bord d'un Rafale - opération Barkhane


23 mars 2015 Ministère de la Défense

 

Depuis N'Djamena, départ en mission de reconnaissance à bord d'un Rafale dans le cadre de l'opération Barkhane (février 2015)

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 17:45
U.S. fears Islamic State is making serious inroads in Libya

 

23 March 2015 defenceWeb (Reuters)

 

Islamic State insurgents in Libya.The United States is increasingly concerned about the growing presence and influence of the Syria-based Islamic State movement in Libya, according to U.S. officials and a State Department report.

 

The officials said what they called "senior" Islamic State leaders had travelled to the country, which is whacked by civil war, to help recruit and organize militants, particularly in the cities of Derna and Sirte.

 

Since late January, Islamic State militants have carried out attacks, including a car bombing and siege at the Corinthia, a luxury hotel in Tripoli, and an attack on the Mabruk oilfield south of Sirte, according to a report circulated this week by the State Department's Diplomatic Security Bureau.

 

The militants also posted on the Web images of the beheading of 21 abducted Egyptian Coptic Christians on a Libyan beach.

 

The State Department document said estimates of the number of Islamic State fighters operating in Libya ranged from 1000 to 3000.

 

Around 800 fighters were based in the Derna area alone, the report said, including up to 300 who previously fought in Syria or Iraq.

 

U.S. officials said that because of its strategic position, Libya had become a springboard for would-be fighters from across North Africa wanting to link up with the Islamic State. They could travel from there to Syria for frontline experience.

 

The State Department assessment, whose existence was first reported by the Washington Free Beacon website, said that the disintegration of central authority in Libya "has given ISIL an opening to establish a legitimate foothold."

 

The report said Islamic State had only had limited success in capturing and holding territory in Libya.

 

U.S. officials said Libya Dawn, an Islamist, but non-Jihadist, movement based in the city of Misurata, was mounting a counter-attack against Islamic State forces, a development which the United States considered encouraging.

 

Islamic State has also endorsed, or received expressions of loyalty, from other militants around the region, including factions based in Nigeria, Yemen, Afghanistan, Pakistan and Egypt's Sinai Peninsula.

 

U.S. agencies are evaluating evidence that appears to tie Islamic State to the militants who killed 20 foreign tourists on Wednesday at a museum in Tunis, the capital of Libya's western neighbor Tunisia.

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 13:45
photo EMA (Archives)

photo EMA (Archives)

 

23-03-2015 par RFI

 

Un civil malien a été tué et décapité il y a quelques jours dans la région de Tombouctou dans le nord-ouest du pays. Il était accusé par ses assassins d'être un informateur des forces françaises.

 

L’homme accusé d’être un informateur des forces françaises de l’opération Barkhane serait âgé de 39 ans. Ce civil malien a dans un premier temps été enlevé, puis conduit à 120 kilomètres au nord de Tombouctou.

 

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 13:30
détroit de Bab el Mandeb - photo NASA

détroit de Bab el Mandeb - photo NASA

 

Aden, 23 mars 2015 Marine & Occéans (AFP)

 

En progressant vers le sud-ouest du Yémen, les miliciens chiites Houthis, proches de l'Iran, font planer une menace sur le détroit stratégique de Bab al-Mandeb par lequel transite une bonne partie du trafic maritime mondial.

 

Ce détroit entre la mer Rouge et le Golfe d'Aden qui séparent l'Afrique de la Péninsule arabique est situé à proximité de la grande ville de Taëz, contre laquelle les Houthis ont lancé une offensive ces derniers jours. Et il suffit pour eux de pousser un peu plus vers l'ouest pour parvenir à la côte.

Dimanche déjà, selon des sources de sécurité, des détachements de Houthis faisaient route vers le port de Mocha, à 80 km de Taëz, qui permet un accès direct au détroit de Bab al-Mandeb.

Un tel scénario donnerait une dimension internationale au conflit yéménite, les grandes puissances ne pouvant rester insensibles au fait qu'une force ayant des liens présumés avec l'Iran, pays qui contrôle déjà le détroit stratégique d'Ormuz, prenne pied au détroit de Bab al-Mandeb.

"Dans ce cas, l'Iran serait le principal bénéficiaire (...) et aurait en main une carte pour faire pression sur les puissances mondiales dans les négociations sur le dossier du nucléaire iranien", affirme l'analyste politique yéménite, Bassem al-Hakimi.

"L'Arabie saoudite pourrait parallèlement en pâtir car ses exportations de pétrole vers les marchés asiatiques passent par le détroit de Bab al-Mandeb", ajoute-t-il. L'Iran aurait ainsi un outil de pression sur Ryad".

En entrant dans Taëz, où ils se sont emparés ce week-end de l'aéroport sans toutefois se rendre maîtres de la cité, les Houthis ne se trouvent plus qu'à quelque 160 km d'Aden, la deuxième ville du pays, tout au sud.

Le détroit de Bab al-Mandeb est situé quant à lui à 150 km à l'ouest d'Aden. La route entre Aden et Bab al-Mandeb longe la côte et l'armée régulière n'y est que faiblement présente, selon des spécialistes yéménites.

 

- 'ligne rouge' -

Le détroit revêt une importance stratégique pour d'autres pays, comme l'Egypte et Israël, en plus des grandes puissances.

Parmi celles-ci, les Etats-Unis disposent depuis quelques années d'une base à Djibouti, non loin de la rive africaine du détroit, où la France a une présence militaire plus ancienne.

Pour Le Caire, Bab al-Mandeb, qui donne accès au Canal de Suez, "constitue une ligne rouge", a affirmé devant la presse l'ambassadeur égyptien au Yémen, Youssef al-Charkaoui. "Plus de 38% du trafic maritime mondial passent par ce détroit", a-t-il précisé pour en souligner l'importance stratégique.

"La sécurité nationale du Yémen est intimement liée à la sécurité de la mer Rouge, du Golfe et de Bab al-Mandeb", a ajouté le diplomate égyptien après avoir rencontré la semaine dernière à Aden le président yéménite Abd Rabbo Mansour Hadi.

L'Egypte, qui soutient M. Hadi, a fermé son ambassade à Sanaa, comme d'autres pays occidentaux et arabes, après la prise du pouvoir par les Houthis dans la capitale yéménite début février.

 

- ingérences -

M. Hadi a fui Sanaa et s'est réfugié à Aden et, dimanche soir, le Conseil de sécurité de l'ONU lui a réaffirmé son soutien, tout en appelant les Etats membres de l'organisation à "s'abstenir de toute ingérence" au Yémen.

L'ambassadeur égyptien s'était exprimé après avoir remis à M. Hadi une invitation à participer au sommet arabe prévu fin mars en Egypte.

Parmi les pays arabes, les monarchies sunnites du Golfe, en particulier l'Arabie saoudite, sont à l'avant-garde du soutien au président "légitime" du Yémen.

La menace potentielle des Houthis sur Bab al-Mandeb est également un sujet d'inquiétude pour Israël, dont le port d'Eilat est situé sur la mer Rouge.

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu n'a pas manqué, dans son discours du 3 mars devant le Congrès américain, de dénoncer les "menaces" que fait peser l'Iran sur le "monde entier".

"Pendant que beaucoup espèrent que l'Iran va rejoindre la communauté des nations, l'Iran est en train d'avaler plusieurs nations. Nous devons être unis pour stopper la marche terrible de l'Iran", a déclaré M. Netanyahu, en faisant référence notamment au Yémen et au "détroit stratégique à l'entrée de la mer Rouge".  

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 12:45
Tunisie: un soldat tué dans l’explosion d’une mine posée par des jihadistes

 

23 mars 2015 45eNord. Ca (AFP)

 

Un soldat tunisien a été tué dimanche soir dans l’explosion d’une mine posée par des jihadistes dans une région montagneuse de l’ouest de la Tunisie, à la frontière avec l’Algérie, a annoncé à l’AFP le porte-parole du ministère de la Défense.

 

Un militaire a été tué et deux autres ont été blessés lorsqu’une mine a explosé au passage de leur véhicule sur les hauteurs ouest, à la frontière avec l’Algérie, a indiqué Belhassen Oueslati, sans vouloir préciser le lieu exact parce qu’une opération était en cours.

 

La mine a été posée par des éléments terroristes, a-t-il ajouté.

 

La Tunisie, qui vient d’être frappée par un attentat revendiqué pour la première fois par le groupe Etat islamique (EI), tente depuis la fin 2012 de neutraliser – sans succès pour l’instant – un groupe lié à Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), actif dans les massifs montagneux et forestiers à la frontière algérienne.

 

Plusieurs dizaines de soldats, policiers et gendarmes ont été tués dans des incidents liés à une mouvance jihadiste en plein essor depuis la révolution de 2011, notamment lors d’attaques les visant ou dans l’explosion de mines.

 

Mercredi, deux hommes armés ont ouvert le feu au musée du Bardo à Tunis, tuant 20 touristes et un policier tunisien. Revendiquée par l’EI, il s’agit de la première attaque à viser des étrangers depuis la révolution.

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 20:45
Une cellule terroriste démantelée au Maroc

 

22-03-2015 Par RFI

 

Le Maroc a annoncé ce dimanche 22 mars le démantèlement d'une vaste cellule terroriste. Active sur une large partie du territoire, elle s’apprêtait selon Rabat à perpétrer des attaques contre des personnalités politiques et militaires, pour le compte de l'organisation Etat islamique.

 

On ignore encore le nombre de personnes interpellées et la date de cette vaste opération de démantèlement. Ce que l’on sait, en revanche, c’est que les membres du groupe étaient répartis dans de nombreuses villes du pays : de Tanger, au nord, à Layoune, dans l’extrême sud, en passant par Casablanca. Une cache d’armes contenant une grande quantité de munitions a également été découverte à Agadir.

 

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 16:30
Syrie: l'équipage d'un hélicoptère de l'armée capturé, un tué

MI-17 helicopter - source photo syriahr.com

 

22 mars 2015 Romandie.com (AFP)

 

Beyrouth - Des rebelles islamistes ont capturé dimanche cinq membres de l'équipage d'un hélicoptère militaire du régime syrien dans le nord-ouest du pays, rapporte l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), précisant que l'un d'eux a été tué par la suite.

 

Un hélicoptère du régime a fait un atterrissage forcé dans la région de Jabal al-Zawiya dans le nord-ouest, un bastion du Front al-Nosra (la branche syrienne d'Al-Qaïda, ndlr), a indiqué à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'OSDH.

 

Quatre membres de l'équipage ont été capturés et un cinquième a été tué par des hommes armés dans un village de la zone, située dans la province d'Idleb, a-t-il précisé.

 

Deux membres de l'équipage sont aux mains d'Al-Nosra, tandis que deux autres ont été capturés par un groupe islamiste inconnu. Et au moins une sixième personne est en fuite. L'OSDH a montré des photos d'hommes entourant un hélicoptère endommagé et penché sur le flanc, dans une plaine.

 

La télévision d'Etat syrienne a pour a part reconnu qu'un hélicoptère militaire s'est écrasé lors d'un atterrissage forcé en raison d'une panne technique dans la province d'Idleb. Les recherches pour trouver l'équipage sont en cours.

 

Malgré les condamnations internationales, le régime utilise quotidiennement ses hélicoptères pour larguer des barils d'explosifs sur les régions rebelles en Syrie, faisant plusieurs centaines de victimes depuis un an.

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 15:20
Le commandement des Marines américains appelle à la vigilance après des menaces de l'EI

 

22 mars 2015 Romandie.com (AFP)

 

Washington - Le commandement des Marines américains a appelé dimanche ses personnels à la vigilance après la publication d'une liste de 100 militaires américains à abattre par un groupe se réclamant de l'Etat islamique (EI).

 

La vigilance et la protection de la force restent une priorité pour les commandants et leurs personnels, a déclaré dans un communiqué le lieutenant-colonel John Waldwell, du corps des Marines. Il est recommandé aux Marines et membres de leurs familles de vérifier leurs profils en ligne afin de (...) limiter l'accès aux informations personnelles, a-t-il ajouté.

 

Cet avertissement fait suite à la publication sur internet d'un appel au meurtre de 100 militaires américains, comprenant leurs noms et adresses supposés ainsi que des photos, selon le centre américain de surveillance des sites islamistes (SITE).

 

Le groupe à l'origine de cette publication se présente comme la Division des hackers de l'Etat islamique et affirme avoir piraté ces informations sur des serveurs, bases de données et emails du gouvernement.

 

Selon le groupe, les 100 militaires ciblés ont participé à la guerre contre l'EI en Syrie, en Irak et au Yémen.

 

Interrogés par le New York Times, le département américain de la Défense et le FBI ont dit être informés de ces menaces et avoir ouvert une enquête.

 

Toutefois, selon une source militaire citée par le journal, la plupart des informations publiées pouvaient être accessibles au public et les serveurs du gouvernement ne semblent pas avoir été piratés.

 

Par ailleurs, certains des personnels qui figurent sur la liste publiée n'ont pas été impliqués dans les frappes aériennes menées contre l'EI par la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis, ont indiqué des responsables au journal.

 

Ces derniers mois, plusieurs médias et institutions américaines ont été piratés par des hackers se réclamant de l'EI. En janvier, ils avaient ainsi brièvement pris le contrôle des comptes Twitter et YouTube du commandement militaire américain au Moyen-Orient (Centcom), une intrusion embarrassante pour l'armée américaine en pleine guerre contre l'EI en Syrie et Irak.

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 13:50
L'Otan qualifie de manoeuvre de diversion les menaces de l'EI

 

Bruxelles, 22 mars 2015 Marine & Océans (AFP)

 

Le commandant des troupes de l'Otan en Europe, Philip Breedlove, a estimé dimanche que la publication d'une liste de 100 militaires américains à abattre par un groupe se réclamant de l'Etat islamique (EI) était une tentative de diversion de la part d'un "califat mis sous pression" sur le champ de bataille.

 

"Sur l'affaire de la publication par l'Isis (l'une des appellations de l'organisation Etat islamique, ndlr) de ces informations, ma question est: pourquoi devrions-nous nous attendre à moins, ou à quelque chose de différent?", a déclaré le général américain lors d'un débat organisé à Bruxelles par l'institut américain German Marshall Fund.

 

"Il s'agit juste d'un moyen sensationnaliste de plus. Nous avons vu ces derniers mois que, chaque fois qu'ils enregistrent une défaite sur le champ de bataille, ou qu'ils sont mis sous pression sur le champ de bataille, ils sortent un gros truc pour faire sensation", a-t-il ajouté.

 

"Ce califat est, je pense, mis sous une grande pression et donc ils essaient d'éloigner l'attention de ce qui se passe sur le champ de bataille en ayant recours à l'un de ces gros trucs", a poursuivi le général Breedlove.

 

"Je pense que nous sommes tous inquiets de lire ces informations", a toutefois estimé, lors du même débat, l'ancienne sous-secrétaire à la politique de Défense américaine Michèle Flournoy.

 

"Je pense que cela montre quels types de tactiques ils utiliseront et que nous devons nous y préparer, tant en termes de protection de nos personnels, mais aussi en faisant le travail très important avec les communautés dans nos pays pour faire en sorte que le processus de radicalisation ait moins de chances de réussir", a ajouté l'ex-numéro 3 du Pentagone, qui dirige à présent un centre d'études, le "Center for a New American Security".

 

A Washington, le commandement des Marines américains a appelé dimanche ses personnels à la "vigilance" après la publication de cette liste comprenant les noms et adresses supposés ainsi que des photos de 100 militaires américains, selon le centre américain de surveillance des sites islamistes (SITE).

 

Le groupe à l'origine de cette publication se présente comme la "Division des hackers de l'Etat islamique" et affirme avoir piraté ces informations sur des serveurs, bases de données et emails du gouvernement. Selon le groupe, les 100 militaires ciblés ont participé à la guerre contre l'EI en Syrie, en Irak et au Yémen.

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 12:30
L'EI publie la liste de 100 militaires américains à abattre

 

Washington, 22 mars 2015 Marine & Océans (AFP)

 

Des hackers se réclamant du groupe jihadiste de l'Etat islamique ont publié une liste de 100 militaires américains à abattre, précisant leurs noms et adresses supposés, indique dimanche le centre américain de surveillance des sites islamistes (SITE).

 

Ce groupe qui se présente comme la "Division des hackers de l'Etat islamique" a mis en ligne ces informations sur des membres de différents corps de l'armée américaine, y compris leurs photographies et grades, ajoute le SITE.

 

Il affirme avoir piraté ces informations sur des serveurs, bases de données et emails du gouvernement.

 

Selon lui, les 100 militaires ciblés ont participé à la guerre contre l'EI en Syrie, en Irak et au Yémen.

 

Interrogés par le New York Times, le département américain de la Défense et le FBI ont dit être informés de ces menaces et enquêter sur le site.

 

Le journal cite par ailleurs une source militaire qui affirme que les informations publiées sont pour la plupart accessibles au public et que les serveurs du gouvernement ne semblent pas avoir été piratés.

 

Ces derniers mois, plusieurs médias et institutions américaines ont été piratés par des hackers se réclamant de l'EI. En janvier, ils avaient ainsi brièvement pris le contrôle des comptes Twitter et YouTube du commandement militaire américain au Moyen-Orient (Centcom), une intrusion embarrassante pour l'armée américaine en pleine guerre contre l'EI en Syrie et Irak.

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 09:30
Coalition Airstrikes Hit ISIL in Syria, Iraq

 

WASHINGTON, March 21, 2015 – DoD News

 

U.S. and coalition military forces have continued to attack Islamic State of Iraq and the Levant terrorists in Syria and Iraq, Combined Joint Task Force Operation Inherent Resolve officials reported today.

Officials reported details of the latest strikes, which took place between 8 a.m. yesterday and 8 a.m. today, local time, noting that assessments of results are based on initial reports.

 

Airstrikes in Syria

Bomber aircraft conducted three airstrikes near Kobani, destroying nine ISIL fighting positions, one ISIL vehicle, one large ISIL machine gun, and one ISIL machine gun.

 

Airstrikes in Iraq

Attack, fighter, and remotely piloted aircraft conducted seven airstrikes in Iraq:

-- Near Mosul, two airstrikes destroyed one ISIL storage facility and neutralized one ISIL rocket site, one ISIL RPG position, one ISIL large machine gun, and one ISIL mortar.

-- Near Kirkuk, one airstrike destroyed one ISIL fighting position, one ISIL tank and one ISIL excavator.

-- Near Hit in Anbar Province, one airstrike struck an ISIL tactical unit.

-- Near Ramadi, one airstrike destroyed an ISIL building.

-- Near Taji, one airstrike destroyed two ISIL armored vehicles.

-- Near Beiji, one airstrike destroyed two tactical units.

 

Part of Operation Inherent Resolve

The strikes were conducted as part of Operation Inherent Resolve, the operation to eliminate the ISIL terrorist group and the threat they pose to Iraq, Syria, the region, and the wider international community. The destruction of ISIL targets in Syria and Iraq further limits the terrorist group's ability to project terror and conduct operations, officials said.

Coalition nations conducting airstrikes in Iraq include the United States, Australia, Belgium, Canada, Denmark, France, Jordan, the Netherlands and the United Kingdom. Coalition nations conducting airstrikes in Syria include the United States, Bahrain, Jordan, Saudi Arabia and the United Arab Emirates.

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 08:50
The European Defence Agency is coordinating an effort to develop mobile counter-IED laboratories.(Photo French MoD)

The European Defence Agency is coordinating an effort to develop mobile counter-IED laboratories.(Photo French MoD)

 

March 18, 2015 By Julian Hale – Defense News

 

BRUSSELS — The Netherlands is the lead nation in an EU effort to build two mobile counter-IED labs for use by EU countries at a cost of about €10 million (US $10.6 million).

 

The money will come from an ad hoc EDA budget. The new labs are due to be available for deployment in theater by the end of 2015, according to an EDA official.

 

Coordinated by the European Defence Agency (EDA), Austria, Belgium, France, Germany, Hungary, Italy, Luxembourg, the Netherlands, Norway, Portugal, Spain and Sweden are involved, while other countries have also expressed interest in the project. Only these 12 countries currently can decide on where the labs would be deployed.

 

The goal is to have the labs ready to be deployed within five days and fully operational in a given mission area within 21 days.

 

The aim of the Joint Deployable Exploitation and Analysis Laboratory (JDEAL) is to gather information about IEDs to better understand, identify and reveal IED threat networks. This will enable EU countries to adapt the tactics, techniques and procedures they use in operations and training.

 

The EDA has already issued a tender, which cannot be seen by the general public, to produce two deployable, fully functional laboratories, as well as housing for them. The EDA is currently evaluating offers received by industry in order to design, develop and deliver the JDEAL capability.

 

Asked which companies had responded to the tender, an EDA official said offers had been received but "the names of the companies cannot be disclosed as the evaluation process is ongoing."

 

The technical functionalities required by the tender cover area such as electronics, chemical, media and documentation exploitation, triage, and command and control.

 

After the EDA has finalized contracts with supplier companies, the labs are expected to be ready for deployment in November or December.

Dutch To Develop Counter-IED Labs for EU
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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 08:50
photo Marina Militare

photo Marina Militare

 

March 19, 2015 Defense News (AFP)

 

ROME — Italy said Thursday it would increase its military presence in the central Mediterranean, describing a deadly attack on a museum in Tunis as fresh evidence of a growing threat from extremist groups.

 

"Following a worsening of the terrorist threat, dramatically demonstrated by yesterday's events in Tunisia, an increase in our air and naval deployments in the central Mediterranean has become necessary," Defence Minister Roberta Pinotti told the parliamentary defence and foreign affairs committee.

 

At least two Italian tourists died in Wednesday's attack on the Bardo museum in Tunis.

 

The minister said the increased military presence was required to defend Italy's multiple interests in the area in light of the growing risk posed by the presence of extremist groups and to ensure consistent levels of maritime security.

 

"North Africa has to represent our primary concern," Pinotti told lawmakers.

 

On top of the forces usually deployed, Italy has moved additional naval units, a maritime protection team, helicopters, planes and drones into the area, she added.

 

Pinotti said the extra resources were needed to protect communication lines, merchant shipping and offshore platforms and to facilitate increased surveillance of potential jihadist activity.

 

Italy has been on a heightened state of alert on its own territory for the last month following Islamic State's execution of 21 Egyptian Christians in Libya and threats by the group that it could seek to carry out terror attacks on the former colonial power.

 

Italian security chiefs are concerned that IS appears to be gaining a foothold in conflict-wracked Libya and could use it as a base to mount attacks on merchant ships or on Italy.

 

The chaos in Libya is also seen as a key factor driving an acceleration in the number of migrants arriving on Italy's shores by boat with current rates pointing to more than 200,000 landing this year.

 

Italian Foreign Minister Paolo Gentiloni warned last month that IS loyalists could team up with battle-hardened militia fighters in Libya and seize control of parts of the country.

 

Rome says it is ready to lead a peacekeeping operation in Libya on condition that the warring parties agree to lay down their weapons and the UN issues a green light.

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 08:35
Malaysia - Air Force Mikoyan-Gurevich MiG-29N (9-12SD) photo Junchuann

Malaysia - Air Force Mikoyan-Gurevich MiG-29N (9-12SD) photo Junchuann

 

March 21, 2015 By Nigel Pittaway – Defense News

 

LANGKAWI, Malaysia — Speaking on the eve of the Langkawi International Maritime and Aerospace (LIMA) show, Malaysian Defense Minister Datuk Seri Hishammuddin Tun Hussein had bad news for the world's fighter manufacturers who are lining up to sell their product to replace the country's MiG-29Ns.

 

The country's defense focus, he said, is on local threats, including those from the Islamic State group.

 

"We need to look at what we see as the threats. What you see is the story unfolding in Syria and Iraq and which fighter is not there at the moment? You've got the Super Hornets, you've got the Typhoons and yet it is still unfolding before our very eyes," he said.

 

"And secondly, the threat from IS is different from our traditional terrorist threats that we have faced in the past, [which] don't compare with the threats that we're facing from IS."

 

Malaysia's MiG-29 replacement program has been stalled for some time and the latest focus on terrorist threats has meant a lower profile for many of the fighter manufacturers at LIMA 2015.

 

Speaking aboard the Royal Malaysian Navy warship Jebat on March 16, Hishammuddin said that any future defense acquisition will be based on the possible threats Southeast Asian countries will have to face.

 

The Malaysian government is already responding to the 2013 militant incursion in Sabah, on the island of Borneo, by transferring some of its Sikorsky S-61A Nuri helicopters to the Army and arming them with 7.62mm door guns. More importantly, it has begun fitting Army AgustaWestland A109 light utility helicopters with a 7.62mm M134 gatling gun.

 

"So whatever acquisitions we make in the future will depend very much on threats, the perceived threats and the real threats, that we have to face," Hishamduddin said. "I believe that it is important for us to think outside the box, it is important for us to work in tandem with the other neighboring countries that we have in this region, because there are common enemies."

 

"IS is a threat to all of us, and today all 10 [Southeast Asian] nations have stated categorically our fight is against IS.

 

"You will see the gatling gun that we have fitted on our A109s and maybe the threat that we face just requires a gatling gun."

 

Dassault was the only manufacturer to fly its aircraft, with a French Air Force Rafale performing daily and also providing a series of demonstration flights for Malaysian officials.

 

Philip Dunne, UK minister for defense equipment, support and technology, was also at LIMA and provided insight into the campaign for the Eurofighter Typhoon in Malaysia.

 

"At the moment we are responding to requests from the [Malaysian] Ministry of Defence. We think we have got a competitive proposal," he said on March 17.

 

"We are aware the Malaysian government will be entering into its next five-year plan shortly and we are hopeful there will be a line [of funding] in that plan for the MRCA, which will allow them to proceed, but it's up to the Malaysian government to make that decision."

 

Malaysia is converting disused oil rigs into offshore military platforms and the first will be towed into position off Sabah next month.

 

Hishammuddin said that the platforms will be used as a base for patrol boats, helicopters and UAVs to reduce response times to a future threat. He also revealed that Malaysia is also looking at converting oil tankers into offshore bases.

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 07:30
Les Etats-Unis évacuent tout leur personnel du Yémen

 

22 mars 2015 Romandie.com (AFP)

 

Washington - Les Etats-Unis ont annoncé samedi soir qu'ils avaient évacué tout leur personnel encore présent au Yémen pour des raisons de sécurité, après des attentats qui ont fait 142 morts à Sanaa.

 

En raison de la détérioration de la situation sécuritaire au Yémen, le gouvernement américain a transféré temporairement son personnel restant au Yémen, a indiqué le porte-parole du Département d'Etat Jeff Rathke dans un communiqué.

 

Le président yéménite Abd Rabbo Mansour Hadi a été informé de cette décision et a reçu l'assurance que Washington continuera à engager le peuple yéménite et la communauté internationale à soutenir fermement la transition politique au Yémen, a-t-on indiqué de même source.

 

Le président Hadi a promis samedi de combattre l'influence de l'Iran chiite au Yémen, au lendemain des premiers attentats revendiqués au Yémen par le groupe extrémiste sunnite Etat islamique (EI) et qui ont coûté la vie à 142 personnes dans deux mosquées de la capitale, contrôlée depuis septembre par la milice chiite des Houthis.

 

Nous continuerons également à surveiller activement les menaces terroristes venant du Yémen, a affirmé encore M. Rathke.

 

Le Conseil de sécurité de l'ONU doit se réunir dimanche pour examiner la situation au Yémen où l'insécurité grandissante a poussé les Etats-Unis à évacuer leurs troupes d'une base aérienne dans le sud du pays.

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