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23 janvier 2014 4 23 /01 /janvier /2014 16:45
photo Armée de l'air

photo Armée de l'air

 

22.01.2014 lemag.ma

 

Le Harfang, un drone de fabrication euro-israélienne, conçu spécialement pour l'armée de l'air française, serait acheté en trois unités, par les Forces Royales Air du Maroc.

Les trois UAV équipaient l‘armée de l’air française. Celle-ci, après avoir acheté de nouveaux drone de type Reaper, auraient transféré ces Harfang aux FRA, dans le cadre d’une vente en deuxième main.

Selon le site spécialisé defense-update, citant le quotidien israélien Ma’ariv, les autorités israéliennes auraient accordé leur feu vert pour cette transaction, vu que le constructeur aéronautique étatique israélien IAI (Israel Aerospace Industries), contribue dans le cadre d’une Joint-venture, avec le géant européen EADS, à la fabrication du drone Harfang.

Le Harfang est un drone de reconnaissance / surveillance, dotés de moyens et senseurs électroniques et optroniques de grande qualité ; il a largement et efficacement, été utilisé par l’armée de l’air française au Mali en 2013.

Selon defense-update, le Maroc, en se dotant de ce moyen technologique de haut niveau, s’impose comme un véritable bastion nord africain de la lute contre-terroristes et contre les milices armées dans la région comme le Polisario.

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20 janvier 2014 1 20 /01 /janvier /2014 19:35
Italian Predator Bs start Afghan duty

 

Jan. 20, 2014 by Craig Hoyle – FG

 

London - the Italian air force has begun using its General Atomics Aeronautical Systems Predator B unmanned air system in Afghanistan, following successful check flights.

 

Operating from Herat air base in support of the NATO International Security Assistance Force’s Regional Command West organisation, the new type will replace the A-model Predators previously flown by the Italian air force in the country.

 

Equipped with an electro-optical/infrared sensor and a synthetic aperture radar payload, Italy’s unarmed Predator Bs will be used for intelligence, surveillance and reconnaissance tasks. The type was previously used by the air force during the NATO-led campaign to protect Libyan civilians in 2011.

 

Italy’s Predator B acquisition totals six air vehicles, plus related equipment.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 18:55
Le Reaper français effectue son premier vol au Sahel

 

16.01.2014 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

e ministère de la Défense a annoncé ce matin qu’un des deux drones MQ-9 Reaper récemment déployés dans la région du Sahel avait effectué un premier vol ce jeudi au matin. Le drone, piloté par un équipage de l’escadron de drones 1/33 « Belfort » de l’armée de l’air, n’est resté que 40 minutes dans les airs, avant de se retourner se poser sur la base de Niamey. Son indicatif « Dress Down Six » était un hommage à Antoine de Saint-Exupéry.

 

Les deux premiers drones MALE de General Atomics ont été réceptionnés par la DGA le 19 décembre dernier en Californie et ont été transportés dans la foulée au Niger. Ils devraient bientôt être déclarés opérationnels et débuter leurs missions de surveillance, de reconnaissance et de renseignement au-dessus de la bande saharo-sahélienne.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 13:50
Armed Forces Minister views UK unmanned aerial systems

Mark Francois speaks to Royal Navy Commander Bow Wheaton about his experience of the Scan Eagle unmanned aerial system

 

15 January 2014 Ministry of Defence

 

Mark Francois toured RAF Waddington today to view the full scope of the UK's unmanned aerial systems capability.

 

Mr Francois spoke to operators of Navy, Army and RAF unmanned aerial systems (UAS), including Scan Eagle, Desert Hawk and Reaper.

He also viewed the inside of a Reaper control cabin and was shown how a highly-trained and highly-qualified team control the aircraft, with pilots, sensor operators and analysts all working together to make decisions in real-time.

Mr Francois’ visit was part of a wider drive by MOD to dispel some of the myths around the use of unmanned aerial systems, demonstrate the vital role they play in supporting personnel on operations in Afghanistan, and confirm the utility of such systems for the future.

Mr Francois said:

Our remotely-piloted systems provide life-saving intelligence, reconnaissance and surveillance on operations as well as giving us the ability to strike precisely at those who pose a risk to our personnel and the people they are trying to protect.

I was delighted to meet with and listen to the talented personnel who operate this capability. They deserve great credit for the work they do in saving the lives of our ground troops, our Afghan and international colleagues, and Afghan civilians.

Mark Francois takes a close look at the Black Hornet nano unmanned aerial system
Armed Forces Minister Mark Francois takes a close look at the Black Hornet nano unmanned aerial system [Pictures: Corporal Bibby RAF, Crown copyright]

Ground troops who have served in Afghanistan were also present at RAF Waddington to describe how UAS assets had provided them with life-saving support at vital times.

Air Vice-Marshal Philip Osborn, Joint Forces Command Capability Director, said:

The UK’s unmanned aerial systems provide UK and allied forces with persistent surveillance of enemy positions without putting their lives at unnecessary risk. In today’s operational environment they are still used predominantly in surveillance and reconnaissance roles.

When precision strike capability is required by ground commanders, this is always in accordance with international humanitarian law and governed by the same strict rules of engagement as those governing manned aircraft.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 13:20
Un drone américain Prédator MQ-1

Un drone américain Prédator MQ-1

La fréquence de leur utilisation sur le territoire américain a conduit à une plainte.

 

15 janvier 2014 Par Anne-Marie Capomaccio, correspondante à Washington -  RFI

 

Les drones sont de plus en plus utilisés sur le territoire des Etats-Unis par les autorités locales, et cela inquiète les organisations de défense des droits civiques, et de protection de la vie privée qui ont porté l’affaire devant les tribunaux. Ces drones appartiennent aux services fédéraux chargés de la protection des frontières, la seule administration autorisée à opérer ces avions sans pilote. C’est à l’occasion de cette plainte que certaines données ont été révélées dans un rapport que ce sont procurés nos confrères du Washington Post.

 

Les données sont partielles car tout ou presque est confidentiel dans cette affaire. On ne connait pas le nom des administrations locales, ni le trajet des drones, ni le détail des affaires pour lesquelles ils ont été utilisés.

 

Ce que dévoile la plainte des associations de défense des citoyens, c'est la fréquence de l’utilisation des drones sur le territoire des Etats-Unis. 76 demandes en 2010, 300 en 2011. Et le nombre de vols de surveillance n’a fait que croitre. Les avions sans pilote sont loués auprès des services de surveillance des frontières dans des affaires criminelles, dans la recherche de personnes disparues, et dans les cas de catastrophes naturelles par exemple.

 

Qui contrôle la bonne utilisation des drones ?

 

Les caméras sophistiquées et les radars qui équipent les appareils sont enviés par toutes les administrations qui n’ont pas l’autorisation d’en posséder. Ces « emprunts », cette coopération entre services, est un moyen de détourner la règle.

 

Et c’est ce qui met en colère les plaignants : qui contrôle la bonne utilisation des drones ? Pourquoi n’a-t-on pas accès aux données recueillies, ce qui garantirait que la vie privée des citoyens n’est pas violée par cette surveillance. Pour l’instant, la justice estime qu’il n’y a pas matière à s’inquiéter. Mais le sujet est sensible et l’affaire ne devrait pas s’arrêter là.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 12:55
Sagem reçoit une nouvelle commande de cinq drones SDTI Sperwer pour l’Armée de Terre française

 

Paris, Ie 15 janvier 2014 Safran

 

Sagem (Safran) a reçu fin décembre 2013 une commande de la Direction Générale de l’Armement (DGA) portant sur cinq drones tactiques SDTI Sperwer (Système de Drones Tactiques Intérimaires) supplémentaires au profit de l’Armée de Terre française, dont trois fermes et deux en options. Les drones seront livrés en 2015.

Le système de drones tactiques Sperwer a été utilisé en Afghanistan entre 2003 et 2012 par trois Forces de l’OTAN (Canada, Pays-Bas, France). Dans l’armée de Terre, le Sperwer est mis en œuvre par le 61e Régiment d’Artillerie (*) qui l’a déployé avec succès sur ce théâtre de novembre 2008 à juin 2012 pour des missions de protection, de renseignement, et d’appui des troupes au sol.

Ce nouveau contrat impliquera les établissements Sagem de Dijon et de Poitiers pour les capteurs optroniques, de Fougères pour les cartes électroniques et de Montluçon pour les systèmes de pilotage, de navigation et l’intégration des drones, ainsi que de nombreuses sociétés françaises fournissant des sous ensembles du drone. Ce tissu industriel permet à Sagem de soutenir le SDTI de l’Armée de Terre au-delà de 2017.

A partir de l’expérience acquise avec Sperwer, Sagem développe le système de drones tactiques endurant Patroller™ pour les marchés internationaux et pour répondre aux besoins futurs de l’armée de Terre.

Sagem maîtrise en France l’ensemble des technologies nécessaires au développement et à la production d’un système de drones : capteurs optroniques gyrostabilisés jour-nuit, navigation inertielle, avionique de vol, liaisons de données, segment sol (stations de contrôle, traitement d’image, préparation et restitution de missions,…), intégration, certification de navigabilité et essais en vol des systèmes et des charges utiles.

A ce jour, Sagem a produit plus de 25 systèmes de drones tactiques Sperwer et 150 véhicules aériens.

(*) A ce titre, la Brigade de Renseignement, dont fait partie le 61ième RA, a reçu la croix de la valeur militaire lors d’une cérémonie à l’Hôtel des Invalides (Paris) le 20 Novembre 2013.

****

Sagem, société de haute technologie du groupe Safran, est un leader mondial de solutions et de services en optronique, avionique, électronique et logiciels critiques, pour les marchés civils et de défense. N°1 européen et n°3 mondial des systèmes de navigation inertielle pour les applications aéronautiques, marines et terrestres, Sagem est également n°1 mondial des commandes de vol pour hélicoptères et n°1 européen des systèmes optroniques et des systèmes de drones tactiques. Présents sur tous les continents via le réseau international du groupe Safran, Sagem et ses filiales emploient 7 000 personnes en Europe, en Asie du Sud-est et Amérique du Nord. Sagem est le nom commercial de la société Sagem Défense Sécurité.
Pour plus d’informations : www.sagem-ds.com

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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 13:45
les drones Reaper sont bien au Niger

 

02.01.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Dans un communiqué du 1er janvier 2014, la Dicod a annoncé que "les drones de moyenne altitude et longue endurance Reaper ont été livrés à l'armée de l'air. En visite au Sahel, le ministre de la Défense a pu s'assurer de leur installation. Un premier système de drones Reaper MQ-9 (Block 1) a été livré à l'armée de l'air française et installé au Sahel. Il est constitué de deux vecteurs aériens et du système de guidage. En déplacement au Niger ce mercredi 1er janvier 2014, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a pu s'assurer de son installation avant sa mise en œuvre opérationnelle dans le courant du mois de janvier."

Rien de nouveau, me direz-vous. Effectivement, les deux nouveaux RPA (remotely piloted aircaft) de type Reaper ont bien été livrés au 1/33 Belfort (lire mon post ici) et ils sont bien déployés au Niger (photos EMA).

VISITE~1.JPG

C'est ce que la Dicod confirmait hier en parlant de l'étape de JYLD au Niger. Ajoutons toutefois une précision en disant "à Niamey", ce que ne dit pas le "bavard" communiqué et ce que refusent toujours de confirmer officiellement le ministère de la Défense et l'armée de l'Air.

Secret de polichinelle,  bien sûr. Précieusement gardé par souci de confidentialité? Depuis le déploiement des Harfang français puis des drones US à Niamey, les opérations de RPA à partir du Niger sont, discrètes certes, mais connues.

Alors pourquoi un tel silence? Pour éviter que ces engins soient la cibles d'une attaque terrestre? Leurs envols même discrets ne passent pas inaperçus.

Par souci de protéger la souveraineté du Niger? Les Reaper ne violent rien, sinon on les appelerait Rapist.

A défaut d'obtenir et de pouvoir relayer une explication convaincante, en cette période de vœux, appelons à une communication officielle plus sereine, la rénovation de la Dicod constituant une bonne occasion de la mettre en œuvre (sans tarder).

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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 13:45
Les deux Reaper de l'armée de l'Air sont arrivés à Niamey

 

28.12.2013 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Pudiquement, il faudrait dire qu'ils sont "au Sahel". Mais les deux premiers drones Reaper de l'armée de l'air dont la DGA avait confirmé la livraison la semaine dernière (voir mon post d'alors en cliquant ici) sont arrivés au Niger où ils vont côtoyer les Harfang français et d'autres Reaper US ceux-là.

Les deux appareils et la station ont été acheminés par un Antonov qui a fait une escale en France mercredi.

Le ministre français de la Défense devrait se les faire présenter après son réveillon à Bamako, lors d'une visite dans plusieurs pays du Sahel.

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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 13:20
Drones: le DoD diffuse un document stratégique pour les années 2013-2038

 

29.12.2013 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense

 

En 25 ans, il peut s'en passer des choses... Et la "feuille de route" (roadmap) diffusée en début de semaine par le DoD sur les "unmanned systems" pourrait s'avérer prématurément obsolète. Ce qui est sûr, c'est que les Etats-Unis, entre 2014 et 2018, vont investir près de 24 milliards de dollars dans les drones UAS (air), UGS (terre), UMS (mer)

Pour autant, elle établit un point de situation qui n'est pas sans intérêt. Exemple: il dresse l'inventaire des drones aériens mis en œuvre par le DoD (cliquer sur l'image ci-dessous pour l'agrandir):

 

drones us inventaire.jpg

Cette riche feuille de route dresse aussi l'inventaire des drones terrestres et navals, ce qui n'est pas sans intérêt aussi puisque l'attention est trop souvent focalisée sur le domaine aérien où l'action des drones armées continue d'alimenter le débat éthique ou politique. Enfin, elle aborde la question de la logistique et de la formation des personnels militaires.

Pour accéder à ce riche document en anglais, cliquer ici.

A noter: "Drones-tueurs et éliminations ciblées. Les Etats-Unis contre Al-Qaïda et ses affiliés" par Stéphane Taillat, Focus stratégique n° 47, octobre 2013 . Pour consulter ce texte, cliquer ici ou ici.

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23 décembre 2013 1 23 /12 /décembre /2013 14:55
La France dispose désormais de deux drones américains Reaper

Les deux drones de surveillance américain Reaper seront acheminés vers le Sahel, plus exactement au Niger. - photo Armée de l'Air

 

20/12/2013 Michel Cabirol- LaTribune.fr

 

La Direction générale de l'armement a reçu mercredi aux Etats-Unis les deux premiers drones de surveillance américains Reaper dont l'achat a été décidé au printemps par le ministère de la Défense.

 

La Direction générale de l'armement (DGA) a procédé mercredi à la réception du premier "système français" de drones de surveillance américain Reaper, composé de deux vecteurs aériens, d'une station au sol et de la documentation nécessaire à sa maintenance, a-t-elle annoncé jeudi. "La phase suivante c'est le transport vers le Sahel", plus exactement au Niger, où les deux drones seront acheminés directement, a souligné Antoine Torres, ingénieur à la délégation à l'armement.

 

Des essais en vol du premier système ont eu lieu ces deux dernières semaines en Californie et au Texas. C'est "l'aboutissement d'un processus d'acquisition", conduit notamment grâce à "la réactivité des autorités américaines", a souligné la DGA.

 

Les Reaper en mission au Sahel

 

"Les drones dont nous avons fait l'acquisition seront en fonction à la fin de cette année en Afrique, au Sahel, c'est là leur principale mission", a assuré pour sa part jeudi matin le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, sur Europe 1. Afin de répondre au besoin opérationnel immédiat, deux drones Reaper ont été commandés pour être déployés en opérations et "compléter l'action de nos Harfang très sollicités sur le théâtre malien puisqu'ils viennent récemment de franchir la barre des deux mille heures de vol depuis leur engagement le 17 janvier dernier", avait expliqué début octobre le chef d'état-major de l'armée de l'air, le général Denis Mercier.

 

Les drones MALE (moyenne altitude longue distance) sont des appareils de reconnaissance sans pilote. Une fois déployés au Sahel, ces deux premiers Reaper fabriqués par la société américaine General Atomics renforceront la capacité de surveillance et de renseignement des forces françaises déployées en Afrique. "Au cours des prochains mois, l'armée de l'air et la DGA assureront la montée en puissance de la capacité, le soutien du système dans les meilleures conditions et l'amélioration de la chaîne technique d'exploitation du renseignement recueilli", a précisé la DGA. "Le Reaper constitue ainsi une capacité indispensable dans l'attente d'un hypothétique drone européen", avait rappelé le général Mercier.

 

La France autonome avec les Reaper ?

 

Avec les Reaper, la France doit composer avec les Etats-Unis. "L'important pour notre autonomie, dans l'immédiat, était de pouvoir choisir librement le satellite que nous utiliserons pour nos deux premiers Reaper. Ce point essentiel est acquis. Certes, le personnel de maintenance de ces appareils est pour l'instant fourni par les États-Unis, mais il n'aura pas accès aux cabines d'opérateurs sans notre autorisation", avait expliqué le chef d'état-major de l'armée de l'air. En outre, la France souhaite qu'une "étude soit conduite sur la francisation ou l'européanisation de capteurs, de moyens de transmission et d'outils de sécurisation des communications ; cette proposition n'a pas encore été acceptée", avait souligné début octobre le délégué général pour l'armement (DGA), Laurent Collet-Billon.

 

Le général Denis Mercier avait rappelé en octobre que "la chaîne de pilotage du drone et celle de pilotage des capteurs sont en effet imbriquées dans le Reaper Block 1, mais ces appareils pourront être rétrofités à partir de 2017 dans une configuration identique à celle du Reaper Block 5, ce qui permettra la francisation - ou, plutôt, l'européanisation - de ces capteurs". Le Reaper Block 5 se caractérise par des chaînes distinctes et une capacité d'atterrissage automatique. Et de rappeler que la France réfléchissait à l'européanisation des Reaper en lien avec l'Italie et le Royaume-Uni. "Nous pourrons y associer d'autres pays qui se doteraient du même type de drones", avait ajouté.

 

Pour le général Mercier, l'autonomie complète des plans de vol des Reaper "un programme de travail qui comporte trois volets : d'abord, l'autonomie d'emploi des matériels, dans la lignée des enseignements de nos opérations au Sahel. Ensuite, l'intégration dans l'espace aérien européen, selon une démarche dont l'efficacité suppose, à mon sens, d'avancer de manière pragmatique et bilatérale, en débutant par exemple avec nos partenaires italiens. Enfin, nous pourrons travailler dans le futur à l'intégration de capteurs européens".

 

La France au Mali et en Centrafrique

 

La France conduit simultanément deux opérations militaires, au Mali et en Centrafrique. Elle dispose en matière de renseignement de drones Harfang en bout de course et l'intervention au Mali a montré l'insuffisance de ses capacités dans ce domaine.

 

Jean-Yves Le Drian avait annoncé en juin que Paris voulait acheter au total douze drones Reaper aux Etats-Unis, une acquisition évaluée par ses services à 670 millions d'euros.

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23 décembre 2013 1 23 /12 /décembre /2013 07:45
Les deux premiers Reaper français en cours d'acheminement au Sahel

 

19.12.2013 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

La Direction générale de l'armement a reçu mercredi aux Etats-Unis les deux premiers drones de surveillance américains Reaper dont l'achat a été décidé au printemps par le ministère français de la Défense. 

Ce premier "système français" est composé de deux vecteurs aériens, d'une station au sol et de la documentation nécessaire à sa maintenance. 

Ces deux "orbites permanentes de surveillance armables et multi-capteurs" (OPSAM, en dronelangue, et drone en français de la rue!) seront affectés à l'escadron Belfort de Cognac dont six pilotes ont été déclarés opérationnels sur Reaper en novembre.

Les deux drones d'observation (ils ne seront pas armés) seront acheminés directement au Sahel (à Niamey), ainsi que l'a confirmé ce jeudi matin le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, sur Europe 1: "Les drones dont nous avons fait l'acquisition seront en fonction à la fin de cette année en Afrique, au Sahel, c'est là leur principale mission". Ils viendront renforcer les Harfang dont l'autonomie limitée ne permet pas des missions en RCA, par exemple.

Les deux premiers Reaper français en cours d'acheminement au Sahel
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22 décembre 2013 7 22 /12 /décembre /2013 17:30
New UAV Operators Get Their Wings

 

22.12.2013 Noa Fenigstein and Naomi Tzoref - iaf.org.il

 

Last Wednesday evening, a graduation ceremony for the graduates of the Unmanned Aerial Vehicle Operator Course was held at the Palmachim airbase, in the presence of the Commander of the IAF, Major General Amir Eshel. At the ceremony, another generation of operators received their operator wing pins and their officer insignia and made their way to the UAV squadrons of the force. "The Israeli UAV Division is considered the best UAV Division in the world"

 

The graduation ceremony for the UAV Operator Course was held last Wednesday evening at the Palmachim airbase, in the presence of the Commander of the IAF, Major General Amir Eshel, and was led by the commander of the base, Brigadier General Yoav Lior, and the commander of the Tel-Nof airbase, Brigadier General Tomar Bar. At the ceremony, officer insignia and operator "wings" were presented to the graduates. At the end of the ceremony, as per tradition, the graduates threw their officer hats high in the air.

 

Along the parade grounds, different UAV Division vehicles were put on display. The moment the new operators made an entrance, a "Heron" plane circled the sky, a sight that excited the guests. "The UAV division constitutes an important part of the connection between the air and the ground", said Commander of the IAF in his speech to the graduates. "In the frenetic and turbulent environment in which we find ourselves, the key to victory lies in the combining of forces and teamwork. The operators of the division bear much responsibility and they do so with honor. Nowadays, the Israeli UAV Division is considered the best UAV division in the world".

 

The new UAV operators in the IAF recently completed a seven month period of study of advanced UAVs at the UAV School at the Palmachim airbase. Only soldiers whose participation in the pilot course has been suspended for at least a year may join the course, so that they receive their platoon commander pin before their admission into the course at the Palmachim airbase. Now, at the end of the training period, the graduate operators will be placed in one of the UAV squadrons of the force where they will carry out visual reconnaissance missions for the IAF and all other security branches.

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22 décembre 2013 7 22 /12 /décembre /2013 09:55
Un des deux drones Reaper réceptionné par la DGA

Un des deux drones Reaper réceptionné par la DGA

 

20/12/2013 DGA

 

Six mois après la décision du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian d’acquérir en urgence deux drones Reaper, la direction générale de l’armement (DGA) a procédé dans la nuit du 18 au 19 décembre 2013 à la réception du système français. C’est un jalon fondamental avant son déploiement opérationnel au Sahel.

 

Le système sera mis dans les prochains jours à disposition du transporteur mandaté pour le livrer à l’armée de l’air au Sahel. Ce système est composé de deux vecteurs aériens, d’un segment sol et des équipements nécessaires à sa maintenance et à sa mise en œuvre. Il offrira aux forces françaises déployées en Afrique une capacité tout temps de renseignement, de surveillance.

 

La réception a été conduite par la DGA aux Etats-Unis, avec l’US Air Force et les équipes de l’industriel General Atomics. Des essais en vol et au sol des drones et de la station sol ont été réalisés pendant deux semaines à Grey Butte en Californie et dans les locaux de Raytheon à Mc Kinney, Texas, pour la boule optronique. L’équipe de programme, le service armement de l’ambassade de France, le service qualité et une équipe de spécialistes dans le domaine des drones, des essais en vol, de l’optronique et des moteurs, ont ainsi été mis à contribution.

 

Ce travail est l’aboutissement d’un processus d’acquisition FMS (ForeignMilitary Sales) conduit par les services du ministère en moins de 6 mois, ce qui a été rendu possible par une très grande réactivité du côté des autorités américaines. Il aura permis de préparer au mieux la mise en œuvre technique du système avant sa livraison aux forces (préparation de l’autorisation de vol, connexion aux systèmes d’analyse du renseignement et aux satellites, analyse de la compatibilité électromagnétique avec les autres systèmes d’armes français, conformité réglementaire, etc.). En parallèle de ces opérations, l’armée de l’air a pu former ses opérateurs Reaper aux Etats-Unis, et ce depuis cet été.

 

Au cours des prochains mois, l’armée de l’air et la DGA assureront la montée en puissance de la capacité, le soutien du système dans les meilleures conditions et l’amélioration de la chaîne technique d’exploitation du renseignement recueilli.

La DGA réceptionne le système Reaper françaisLa DGA réceptionne le système Reaper français
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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 21:55
Les lauréats du prix armée de l’air 2013

 

18.12.2013 CESA

 

Prix Clément Ader : Monsieur Rémi Laplace est Docteur en informatique, doctorat soutenu à l’université de Bordeaux 1 sous la direction du professeur Serge Chaumette. Ses domaines de recherche sont la flotte de terminaux mobiles, réseaux DTN, les essaims de drones et la validation des preuves formelles d’algorithmes.

La thèse de M. Laplace, Applications et services DTN pour flotte collaborative de drones, porte sur la mise en place d’une flotte de drones et le portage sur celle-ci d’applications distribuées utilisant des communications asynchrones, sans intervention du sol. L’étude concerne les drones à voilure tournante. L’objectif de ce travail est de montrer la faisabilité de la mise en essaim d’une flotte coopérative de drones autonomes communiquant par échanges de messages de type broadcast asynchrone et de référencer les problèmes techniques, humains et réglementaires soulevés par ce dispositif.

 

Prix René Mouchotte : Monsieur Kévin Martin est titulaire d’un master 2 professionnel « études européennes et internationales » spécialité "enjeux et dynamiques de l’intégration européenne". Dans le cadre de ses études, il a réalisé des stages au sein du groupe Safran-Snecma au département des affaires IES (information économique et stratégique) ainsi qu’au sein de la fondation pour la recherche stratégique (FRS) au pôle "industries de défense".

A travers son mémoire, La coopération des Etats et des industries aéronautiques européennes de la Défense à travers les démonstrateurs technologiques U.C.A.S, l’auteur se propose d’appréhender les coopérations européennes futures sur le segment des avions de chasse et plus particulièrement des drones de combat : il examine ainsi en quoi les programmes de démonstrateurs technologiques aéronautiques représentent un défi pour la construction de la politique et de l’industrie européenne de défense. Le mémoire dresse dans ce cadre un état des lieux de la coopération de recherche en matière de défense à travers les programmes aéronautiques. Il analyse ensuite plus précisément les démonstrateurs technologiques.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 13:50
Unmanned aerial systems on show

A soldier with a Desert Hawk unmanned aerial system (library image) [Picture: Sergeant Brian Gamble, Crown copyright]

 

18 December 2013 Ministry of Defence and Defence Equipment and Support

 

The Ministry of Defence has, for the first time, opened the doors to its unmanned aerial systems (UAS) control centre, based in the UK.

 

Pictures and footage released today, Wednesday 18 December, show the high-tech operations room at RAF Waddington, where members of 13 Squadron remotely operate the RAF’s Reaper aircraft in Afghanistan.

Reaper is just one of a range of UAS, including remotely-piloted air systems, operated by UK armed forces, providing vital, lifesaving intelligence, reconnaissance and surveillance on operations.

Showing this work is a key way to dispel some common myths about the role of the equipment, which UK forces use predominantly in Afghanistan.

During a visit to RAF Waddington, Defence Secretary Philip Hammond viewed the full range of current and future equipment, including:

  • Desert Hawk (Army)

  • Black Hornet Nano (Army)

  • Tarantula Hawk (Army)

  • Watchkeeper (Army)

  • ScanEagle (Royal Navy)

Philip Hammond speaks with Royal Navy Commander Bow Wheaton
Defence Secretary Philip Hammond speaks with Royal Navy Commander Bow Wheaton at RAF Waddington [Picture: Senior Aircraftman Blake Carruthers, Crown copyright]

Mr Hammond also spoke to a Royal Artillery fire support team commander recently returned from Afghanistan who spoke of the benefits the ‘eyes in the sky’ can provide for troops on the ground.

Mr Hammond said:

Vital to our efforts to protect our forces and the people of Afghanistan, this battle-winning technology allows us to understand the situation on the ground more clearly, develop better intelligence, and precisely strike, within our rules of engagement, those who threaten or hurt the people we are protecting.

Much of the criticism of unmanned aerial systems is based on misunderstanding. This event provides a great opportunity to better inform people about these lifesaving assets and their variety of purposes.

Speaking at the event, Air Vice-Marshal Philip Osborn, Joint Forces Command Capability Director, praised unmanned aerial systems’ ability to provide ‘persistent surveillance of enemy positions without putting our servicemen and women at unnecessary risk’. He said:

In today’s operational environment, unmanned and remotely-piloted air systems are increasingly vital to keep one step ahead of the enemy, and to save military and civilian lives.

Highly trained and experienced personnel are at the heart of the capability, and human oversight and control is always paramount. This is a capability just like every other across defence; it has skilled and motivated people at its core, people who are in charge of technology and use it in strict accordance with the law.

Viewing the inside of a Reaper control cabin, the Defence Secretary was able to see how it is guided and controlled at all times by a team of highly trained and skilled people. Pilots, sensor operators and analysts all make decisions in real-time, exactly like the crew of a traditional aircraft.

In over 54,000 hours of operations, the UK’s Reaper, the only armed system used by British armed forces, has fired just 459 precision weapons.

When a precision strike capability is required from RAF Reaper aircraft by ground commanders this is always in accordance with international humanitarian law and the law of armed conflict, and is governed by strict rules of engagement; exactly the same as manned aircraft.

UK military unmanned aerial systems
Reaper remotely-piloted air system
An RAF Reaper remotely-piloted air system at Kandahar Airfield in Afghanistan (library image) [Picture: Corporal Mark Webster, Crown copyright]
Black Hornet
Black Hornet, a nano unmanned aerial system operated by the British Army (library image) [Picture: Sergeant Rupert Frere, Crown copyright]
ScanEagle
ScanEagle is an unmanned aerial system operated by the Royal Navy (library image) [Picture: Copyright Boeing Defence UK]
Hermes 450
A Hermes 450, operated by the British Army, at Camp Bastion in Afghanistan (library image) [Picture: Copyright Thales UK]
Desert Hawk
A soldier launches a Desert Hawk unmanned aerial system during an exercise in Kenya (library image) [Picture: Corporal Ross Fernie, Crown copyright]
T-Hawk
T-Hawk (Tarantula Hawk), a micro unmanned aerial system operated by the British Army (library image) [Picture: Andrew Linnett, Crown copyright]
Watchkeeper
A British Army Watchkeeper unmanned aerial system during trials in the UK (library image) [Picture: Peter Russell, Crown copyright]
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13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 13:55
Drones : premier avis d'invasion dans le ciel

 

13.12.2013 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord. - Défense Globale
 

Pour la surveillance et les frappes, ce sont les militaires qui ont inventé les avions sans pilote. Du loisir aux services, l’utilisation civile du drone explose. Depuis la nuit des temps, l’homme a rêvé de voler comme l’oiseau, s’élever au-dessus des siens, approcher les dieux, d’Icare aux frères Wright en passant par Léonard de Vinci. Eh bien, ça ne l’amuse plus (ou presque). Désormais, il fait voler des robots et les contrôle avec un joystick de jeu vidéo. Ils seront bientôt autonomes, programmés. Nous entrons dans l’ère des drones.

Voici un extrait d'un dossier drones, paru aujourd'hui dans La Voix du Nord qui est à consulter ici.

 

ORIGINES

Rien de tel qu’une guerre, forcément sale mais diablement féconde pour le cerveau humain. Durant la Première Guerre mondiale, Georges Clemenceau lance une étude. Un prototype naît en 1923 ; les militaires nient son utilité… Les Allemands avancent avec les V1 et V2 durant la Seconde Guerre mondiale mais ces engins sont plus proches des missiles. Les Américains utilisent les premiers drones dans la guerre psychologique, larguant des tracts sur la Corée et le Vietnam.

ARMES MILITAIRES

Caméras (vidéo, infrarouge, thermique), systèmes d’interception (électromagnétique), bombes ou missiles embarqués, le drone (mâle de l’abeille en anglais) apporte du renseignement ou donne la mort. Sans risque ou presque, dans des environnements complexes pour l’homme.

Les États-Unis en font une utilisation intensive depuis 2004 et la guerre contre le terrorisme. La CIA est accusée de cibler de simples suspects et d’être peu regardante sur les dégâts collatéraux dans les zones tribales au Pakistan, en Afghanistan, au Yémen et en Somalie. The Bureau of Investigative Journalism, basé à Londres, tente de compiler les tirs et d’identifier les victimes : 380 frappes depuis 2004 au Pakistan pour un total estimé de 2 534 à 3 642 morts, dont 426 à 951 civils et 168 à 200 enfants…

DroneAirReaper2.jpgUn drone n’est pas mieux ou pire qu’une autre arme. On parle de déshumanisation, d'absence sur le terrain qui dérogerait aux règles de la guerre. Mais quid d'un missile ? A quelle distance et de quelle façon, juge-t-on humain et digne de tuer ? En revanche, une doctrine d’emploi (pour les drones armés) s’impose. 

Une étude d’un officier de l’armée de l’air française estime qu’il sera nécessaire d’introduire des « valeurs humaines » dans les drones de combat. Ceux-ci ne seront plus manœuvrés par des pilotes munis de joystick mais programmés pour décoller, voler (frapper ?) et atterrir seuls. Comme le démonstrateur de Dassault aviation, nEUROn qui vole depuis un an.

DroneAirReaper1.jpgLa France vient d’expédier les deux premiers des douze drones américains MQ-9 Reaper achetés à General Atomics (dans une version non armée) directement à Niamey au Niger en l’absence d’une réglementation autorisant le vol en France de tels engins. Les systèmes de combat aérien futur (SCAF) signeront un jour la fin des pilotes de chasse…

Sur ces deux clichés, on voit les six premiers pilotes français du MQ-9 Reaper, formés sur la base de Holloman au Nouveau-Mexique (photos armée de l'Air, en haut le cockpit). Ils appartiennent à l'escadron de drones 1/33 Belfort de la base aérienne 709 à Cognac.

USAGES CIVILS

Le potentiel civil, balbutiant, semble énorme. Une réglementation européenne est à l’étude, notamment pour les couloirs aériens et l’atteinte à la vie privée (les images mais aussi les données numériques happées au passage). Pour l’instant, la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) délivre au compte-gouttes les autorisations. Pour le loisir, les mini-drones s’apparentent à de l’aéromodélisme. Cadeau de Noël idéal.

DroneSNCF.jpgLes applications professionnelles vont exploser : agriculture pour la surveillance des cultures et l’épandage, sécurité publique pour la police et les pompiers (le SDIS des Bouches-du-Rhône fut le premier à s’équiper en 2008), couverture de l’actualité pour les médias, météorologie, circulation… ERDF étudie la surveillance des lignes à haute tension, la SNCF, les lignes TGV (photo AFP d'un drone vérifiant un viaduc de la SNCF à Roquemaure dans le Gard).

Comme DHL, leader mondial de la logistique, le PDG d’Amazon, Jeff Bezos, lance un projet de livraison de sa boutique en ligne par drones, Prime Air. Il ne dit pas comment il fournira le locataire du troisième d’un immeuble de six étages. Mais le ciel va s’ouvrir en grand aux drones. D’ailleurs, préparez-vous à monter un jour dans un avion de ligne sans pilote… Prêt ?

OL. B.

Lire la suite sur le site de La Voix du Nord (avec vidéos).

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13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 08:35
Taiwan Developing Weapons Capable UCAV

 

Dec 2013 by By Yasir Faheem

 

Taiwan's military is developing a weapons-capable unmanned aerial vehicle (UAV) with some stealth capabilities at the Chung-Shan Institute of Science and Technology, an official at the institute said.

 

This will be the first armed UAV from the military-run research center, which has developed various tactical drones for surveillance and reconnaissance that cannot carry weapons, according to the source familiar with the institute's project, who requested anonymity.

 

Unlike previous models, the drone under development boasts short wings, stealth features and a weapons cabin that can carry missiles and bombs, the official said.

 

"The new UAV would be able to evade radar detection as its body is made from radar-absorbent materials," the official added.

 

The revelation came on the sidelines of a defense technology exhibition at Taoyuan County Stadium.

 

A dazzling array of high-tech devices and equipment developed in civilian and military collaborative projects are on display.

 

Exhibits featured at the Dec. 6-7 event include a variety of UAVs, Hsiung Feng III anti-ship missiles — also known as Brave Wind III — and Tien Kung III air defense missiles —also known as Sky Bow III — as well as sophisticated devices in the fields of aerospace and green technology.

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 12:35
Australia Extends Heron Mission in Southern Afghanistan

 

Dec 11, 2013 ASDNews Source : MoD Australia

 

The Australian Government has extended the Heron Remotely Piloted Aircraft (RPA) deployment to Afghanistan providing high resolution Intelligence, Surveillance and Reconnaissance (ISR) support until July 2014.

 

The Heron RPA has been operating in the Middle East Area of Operations since January 2010, providing ISR support to missions in Uruzgan province and southern Afghanistan.

 

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 08:35
Philippine Marine Corps Seek for Small UAV

Three Marine Brigade will operate 6 small UAV (photo : pdff)

 

10 Desember 2013 Defense Studies



The Department of National Defense (DND) has announced plans of acquiring Marine Forces Imagery and Targeting Support System (MITSS) consist of : 6 small UAV, 9 target acquisition device and 12 tactical sensor integration for P684.2 million.

All of the MITSS will be used for three Marine Brigade of PMC

Delivery of MITSS is required within 5 years from the date of submission and receipts of bids.


Bids must be delivered before on or January 06, 2014 and will be opened in the same day.

(Defense Studies)

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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 08:50
La Pologne veut monter dans le futur drone européen

 

06 décembre 2013 Par Hassan Meddah - Usinenouvelle.com

 

Les industriels polonais s’organisent en consortium pour décrocher des coopérations avec leurs partenaires européens et sont soutenus par leur Etat qui souhaiterait même entrer au capital d’EADS.

 

Jeudi 5 décembre dernier, une délégation d’entreprises polonaises du secteur de la défense débarquait en force à Paris. Elle était renforcée par des gradés de l’armée polonaise, des membres du ministère de la Défense et d’instituts de recherche. L’objectif : une rencontre à l’ambassade avec leurs homologues français aussi bien industriels qu’étatiques, en vue d’engager des coopérations. "Ces partenariats doivent avoir une double dimension, à la fois industrielle et politique", précisait Adam Bartosiewicz, vice-président de WB Electronics SA, spécialiste en électronique militaire et leader du consortium qui réunit depuis deux ans les principaux industriels du pays agissant dans le secteur des drones. Parmi les grands industriels français, Cassidian, Sagem et Thales avaient répondu présents ainsi que la direction général de l’armement (DGA).

 

Savoir-faire dans les mini-drones

Les Polonais ont mis en avant leur savoir-faire dans les drones tactiques. "Ils ont un réel savoir-faire dans les mini-drones qui se lancent à la main", indiquait l’un des industriels français au sortir de cette réunion. Côté équipement, WB Electronics a affiché également son expertise dans le domaine des matériaux composites. Et surtout, il ne cache pas son ambition de vouloir décrocher un contrat relatif à la construction du futur drone MALE européen et donc de s’associer aux principaux leaders européens du domaine. Lors du dernier salon du Bourget, Dassault, Finmeccanica et Cassidian avait en effet fait pression sur les grands états européens pour qu’ils lancent un programme de drone MALE.

Cette initiative marque les nouvelles ambitions de la Pologne dans le domaine de la défense. En novembre dernier, ce pays avait rejoint le club des utilisateurs de drones qui réunit au total 7 pays européens dont la France et l’Allemagne. A l’heure où la plupart des budgets de défense européens sont revus à la baisse, la Pologne a annoncé un important budget de modernisation de son armée estimé à environ 140 milliards de zlotys (33,3 milliards d'euros) au cours des prochaines années. "Cela doit être l’opportunité d’établir au-delà des relations commerciales, de véritables partenariats industriels et de développement", explique Adam Bartosiewicz, de WB Electronics. Les Polonais ont également fait part de leur besoin et ils pourraient s’équiper dans l’avenir de drone de surveillance MALE (Moyenne Altitude Longue Endurance). Toutefois les Français et les Européens n’auront pas la partie facile. "En matière de drone MALE, nous cherchons des équipements éprouvés sur le terrain pas des projets de recherche", précisait en amont de cette rencontre  le colonel Grzegorz Putyra, du commandement des forces spéciales polonaises. De quoi favoriser les constructeurs américains et israéliens déjà fournisseur de l’armée polonaise.

 

Prendre pied sur le marché européen

Pour aider ses industriels, l’Etat polonais a confirmé qu’il envisageait de prendre une participation de 1% à 2% dans le capital d’EADS, rejoignant ainsi les pays fondateurs, la France (12%), l’Allemagne (12%) et l’Espagne (4%). "Nous étudions les possibilités, les pour et les contre, que pourrait apporter à l'industrie polonaise d'armement une telle participation dans EADS (…) Il s'agit de donner une chance aux sociétés d'armement polonaises d'être présentes sur le marché européen", a précisé un porte-parole du ministère polonais de la Défense. L’offensive polonaise sur la défense europénne ne fait que demarrer.

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7 décembre 2013 6 07 /12 /décembre /2013 12:45
Nigeria: Boko Haram Considers Everyone The Enemy

 

December 6, 2013: Strategy Page

 

Boko Haram may have been forced into the countryside, but they have not lost their ability to attack. Because of the growing number of soldiers, police and local volunteers in the northeast Boko Haram has adapted and they now attack whoever they can, which means most of their victims are civilians and Moslems. This indicates that Boko Haram now considers most of the civilian population hostile to them. The Islamic terrorists do try and concentrate their attacks against Christians and civilians known to support the volunteer anti-terrorist militias, but generally any civilian will do once the Boko Haram gunmen are out and about. In addition to raids on towns and villages, Boko Haram also likes to set up false military roadblocks (using uniforms stolen from living or dead soldiers and police) and murder any civilians who come along. Sometimes Moslems are spared, but usually everyone dies and their possessions, especially vehicles, are stolen. 

 

So far this year some 900 Christians have been killed in Nigeria by Moslems. Most of these dead are in the northeast but over a third have died in Central Nigeria where Moslem nomads have been pushing south for decades and have been raiding the largely Christian natives in order to obtain access to more water and grazing land. Thus last month 34 Christians were killed in the northeast while over 40 died in Central Nigeria (Plateau state). The government has promised increased security around Christmas, because Islamic terrorists like to make large attacks on Christian holidays. One reason there has not been more anti-Moslem attacks in the Christian south is because nearly all Moslem religious leaders have condemned Boko Haram, often accusing them of not being Moslems but just deranged killers. These denunciations are convincing to most Christians, who also note that most Boko Haram victims in the Moslem north are Moslem and that many Moslems up there have joined anti-Boko Haram militias. A growing number of Christians are fleeing the north, especially if they still have family down south.

 

One of the disadvantages of driving Boko Haram out of the cities is that the Islamic terrorists can now set up camps across the borders in Cameroon. Chad and Niger. These three nations have far less numerous security forces and Boko Haram tends to behave on the other side of the border so as to avoid antagonizing the local tribes and security forces. So it’s up to Nigeria to greatly improve surveillance on its side of the border and still leaves a lot of the thinly populated border area unwatched most of the time. There are additional problems with the fact that over 70,000 Nigerian civilians have fled to these two countries to escape the Boko Haram violence. The government is discussing getting some help with this from the United States in for form of American UAVs.

 

Piracy off the coast continues to be a problem as some of the pirates now go after locals in addition to the better guarded foreign ships and oil company service boats. Robbing the locals won’t make you rich but it’s easier and safer than the foreign owned ships. The navy has responded with more patrol boats and naval bases on the coast and more patrols and quicker reaction to pirate attacks. But so far there are more pirates entering the business than are being taken out by the navy and police.

 

December 3, 2013: In the northeast (Maiduguri) the curfew was reduced to 11 hours so people could continue their lives. Cell phone networks were also turned back on after having been shut down since May. This was seen as necessary to make it more difficult for Boko Haram raiding parties to move about undetected. Most people in the area are hostile to Boko Haram (although they agree with the Islamic terrorists’ hostility to corrupt and ineffective government).

 

December 1, 2013: In the northeast (Maiduguri) Boko Haram attacked the air force facility at the main airport outside the city. Over twenty air force personnel were killed and five helicopters and aircraft destroyed. The attackers lost over twenty men. The air force said that three of the “damaged” aircraft were not in service anyway. Flight operations at the airport were halted for a few hours and a 24 hour curfew was declared in Maiduguri because the attack on the airport was just one of many attacks around the city by up to 300 Boko Haram men.

 

November 29, 2013: In the northeast (Borno state) Boko Haram attacked a rural village, killed 17 people and burned down dozens of buildings and vehicles. Two of the attackers were killed by a pro-government militia.

 

November 28, 2013: In the northeast (Borno state) the air force bombed a Boko Haram camp in a forest and killed over a dozen of the Islamic terrorists.

 

November 26, 2013: Tribal violence continues in central Nigeria (Plateau State) as Moslem gunmen attacked four villages killing at least 37 people and destroying much property. Most of the victims were Berom, a tribe that has been in the area for centuries. The governor of Plateau state is Beron. Moslem nomadic Fulani tribesmen have been fighting with Christian and pagan farmers outside the city of Jos for years. The violence has gotten worse now and there have been over a thousand casualties so far this year. Boko Haram has recently claimed involvement, but that appears to be marginal. The Fulani have long claimed that the government was sending Christian police to persecute them because of their religion (not because they were constantly attacking Christian farmers). The settled (farming) tribes have been there a long time and in the last few decades more Fulani have come south looking for pasturage and water for their herds and have increasingly used force to get what they want.

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7 décembre 2013 6 07 /12 /décembre /2013 12:20
Vue d'artiste du RQ-180 Crédit Aviation Week - Ronnie Olsthoorn

Vue d'artiste du RQ-180 Crédit Aviation Week - Ronnie Olsthoorn

 

06/12/2013 Par Duncan Macrae – Air & Cosmos

 

Ce sont nos confrèrers d’Aviation Week qui lèvent le voile sur un nouveau « black program » américain. Northrop Grumman et l’US Air Force mèneraient dans le plus grand secret sur la base d’essais classifiée de Groom Lake dans le Nevada — la fameuse Zone 51 —des travaux de développement d’un nouveau drone furtif conçu pour des missions dites « ISR » pour renseignement, surveillance et reconnaissance.

 

L’objectif serait de développer un successeur au SR-71, retiré du service en 1998 et toujours pas remplacé. Il s’agit de disposer d’un appareil capable de mener des missions ISR en environnement hostile (« denied airspace »). Un Global Hawk furtif en quelque sorte.

 

En matière de signature radar, l’appareil, une aile volante à double flèche de la taille approximative d’un Global Hawk, serait largement supérieur aux F-117, F-22 et F-35.

 

En fait le RQ-180 trouve ses origines dans l’échec du programme J-UCAS, lancé en 2003 avec comme objectif de doter l’US Air Force et l’US Navy d’une plateforme commune. Ce programme fut abandonné en 2006 sous décision de l’US Air Force. L’US Navy a sélectionné Northrop Grumman pour la suite du programme, rebaptisé UCAS-D, qui a donné lieu au X-47B.

 

L’US Air Force pour sa part aurait donc décidé à cette époque de lancer le RQ-180. Et ce n’était sans doute pas une coincidence quand, en 2007, Northrop Grumman avait annoncé le rachat de Scaled Composites avec son savoir-faire inégalé en matière d’aérostructures en composites. L’avancement du programme RQ-180 expliquerait par ailleurs la décision de l’US Air Force, en 2012, d’abandonner la version Block 30 du Global Hawk, ostensiblement pour des raison de coûts.

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6 décembre 2013 5 06 /12 /décembre /2013 08:30
US Blocks Sale of UAV Components to Turkey

 

Dec. 5, 2013 defense-unmanned.com

(Source: Today’s Zaman; published Dec. 4, 2013)

 

US Blocks Company from Exporting UAV Tech to Turkey

 

ANKARA --- The US government has prevented an American company from exporting camera systems and laser pointers to a Turkish company, Vestel, which wants to acquire the technology for its newly developed unmanned aerial vehicle (UAV), the Karayel.

 

The Turkish Armed Forces (TSK) tasked Vestel in 2011 with developing new UAVs, and the company is expected to deliver the Karayel in July 2014. Aiming to equip these new UAVs with camera systems and laser pointers, Vestel sought out an American company, WestCAM Solutions, from which to acquire the technology. The American company applied to the US government for permission to sell their products to the Turkish company, but the request was denied. The US also canceled the delivery of Predator drones in 2013.

 

The laser pointers that Vestel ordered from the American company are used in UAV targeting systems.

 

The US's apparent disapproval of Turkey possessing weaponized UAVs could hinder Turkey's efforts in that direction. The country is also seeking to arm its first domestically developed UAV, the Anka.

 

Sources at the Turkish Defense Ministry who requested anonymity told Today's Zaman that Turkey has the capacity to produce its own technology, hinting that Turkey may start efforts to produce the laser pointers it needs domestically.

 

Some are speculating that the US prevented WestCAM Solutions from exporting the technology to Turkey because of Washington's anger with Turkey's recent selection of a Chinese missile system for its long-term, long-range missile and aerial defense program, instead of a NATO member country.

 

The tactical UAV system Vestel has been developing consists of six aircraft, three ground control stations and one launching pad. The Karayel UAVs will be able to reach altitudes up to 18,000 feet and carry up to 35 kilograms. The Karayel will be able to stay in the air for 10 hours of uninterrupted flight.

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5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 17:40
Russia updates UAV inventory

 

Dec. 5, 2013 by Howard Gethin – FG

 

Moscow - Russia's defence ministry has signed a deal worth over Rb100 million ($3 million) with Kazan-based Eniks for delivery of 34 short-range surveillance unmanned aerial vehicles (UAV).

 

The company will deliver 17 Eleron-ZSV systems, says the company’s general designer Valery Pobezhimov, after a contract was signed with the ministry on 3 December.

 

“I can’t state the exact value of the deal but it is in excess of 100 million roubles,” he told news outlets.

 

The UAVs – a modernised variant of earlier Eleron systems – will be delivered by next year, he adds.

 

Pobezhimov claims the Eleron costs just 20% of the price of similar foreign systems such as the Israel Aerospace Industries Zastava UAVs made under licence in Russia.

 

The 5.3kg (12lb) Eleron can carry a 1kg imaging payload, with a top speed of 70kt (130km/h) and ceiling of 13,000ft (4,000m), Eniks claims.

 

Meanwhile, UAE-based Adcom Systems is to deliver its United 40 medium-altitude long-endurance UAV to the Russian defence ministry for trials in February 2014, the company’s chief executive Ali Al-Dhaheri says.

 

“Regardless of the results of the first tests, further deliveries of the UAV will take place,” he told Russia’s RIA Novosti news agency.

 

Russia has signed a draft deal with Adcom for purchase of a trial batch of the system, he says.

 

The 1,500kg MTOW United 40, powered by a single pusher engine, is optimized for battle damage assessment, mission planning, border surveillance and communications relay, Adcom says, and can also be armed with air-to-surface missiles.

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5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 08:40
United 40 version-block-5 photo ADCOM Systems

United 40 version-block-5 photo ADCOM Systems

 

Dec. 4, 2013 defense-unmanned.com

(Source: RIA Novosti; published Dec. 3, 2013)

 

Russia to Test UAE-Made Drone Next Year

 

MOSCOW/DUBAI --- Russia’s armed forces will conduct test flights of a drone aircraft from the United Arab Emirates early next year, the manufacturer said.

 

The unmanned United 40 Block 5 long-range reconnaissance vehicle will be tested to assess whether it meets the military’s operational needs. The medium-altitude drone can stay airborne for more than 100 hours and can also be equipped with Namrod air-to-surface guided missiles.

 

Ali Al Dhaheri, chief executive and chief designer at the manufacturer, ADCOM Systems, said that the first drone would be delivered to Russia in February. A preliminary agreement had been reached to sell more test vehicles to the armed forces, depending on the results of the first flights.

 

The United 40 Block 5 made its international debut flight at this year’s MAKS air show near Moscow. Military expert Denis Fedutinov told RIA Novosti that ADCOM Systems had shown “great interest in the Russian market”.

 

“If this system satisfies the requirements of the Russian military, it can be expected that...the original purchase will be followed by a contract for deployment,” said Fedutinov.

 

Defense Minister, Sergei Shoigu said in June that aerial drones being developed in Russia for the military were inferior to similar foreign models. Russia purchased 12 drones from Israel Aerospace Systems in Israel in 2009 in a $53 million that attracted a lot of criticism at the time.

 

The United 40 Block 5 is 11 meters (36.5 feet) long and has two sets of wings with a span of 17.53 meters (53ft), according to the manufacturer’s specifications. It can fly to a height of 8,000 meters (26,000ft) and has a cruising speed of 120-200 kilometers per hour.

 

The drone can carry a payload of up to 100 kilograms (220 pounds) under each of its four wings.

 

Russia’s military began to seek out advanced reconnaissance systems following the brief conflict with neighboring Georgia in August 2008, when the effectiveness of ground operations was severely hampered by a lack of reliable intelligence.

 

Various experts have estimated that Russia’s armed forces need up to 100 unmanned drone aircraft and at least 10 guidance and control systems to ensure effective battlefield reconnaissance.

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