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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 18:40

Borey class nuclear-powered ballistic missile submarine Yur

 

MOSCOU, 18 mars - RIA Novosti

 

Le Bureau central d'étude et d'ingénierie maritime Rubin a déjà entamé les travaux de conception de sous-marins de cinquième génération, tant nucléaires que conventionnels, a annoncé lundi à RIA Novosti son directeur général Igor Vilnit.

 

"La conception d'un submersible a déjà commencé et se poursuit en tenant compte des observations et des propositions faites lors de l'exploitation de navires de générations précédentes", a indiqué le DG.

 

Actuellement, le gros de la flotte sous-marine russe est formé de submersibles de troisième génération. La Marine russe commence seulement à être équipée des sous-marins de quatrième génération, de type Iouri Dolgorouki (projet 955, classe Boreï) et Saint-Pétersbourg  (projet 677, classe Lada).

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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 17:40

http://fr.rian.ru/images/19092/63/190926353.jpg

 

MOSCOU, 15 mars - RIA Novosti

 

L'analogue russe du polygone soviétique NITKA, destiné aux vols d'entraînement de l'aviation embarquée, sera mis en exploitation l'automne prochain, a fait savoir à RIA Novosti le directeur de l'Agence fédérale des Constructions spéciales (Spetsstroï) Grigori Naguinski.

 

"Les travaux de construction sur le site sont pratiquement achevés. Je crois que le polygone pourra accueillir les premiers essais d'avions en août ou en septembre prochain", a indiqué M.Naguinski.

 

Auparavant, l'ex-commandant en chef des forces navales russes Vladimir Vyssotski a déclaré que l'analogue russe du polygone NITKA serait construit avant 2020 dans la ville de Ieïsk dans le territoire de Krasnodar (sud).

 

Le polygone NITKA construit à l'époque de l'URSS, dont la piste d'envol et d'atterrissage reproduit celle d'un porte-avions, se trouve actuellement sur le territoire ukrainien, en Crimée (mer Noire).

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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 17:40

Russia Navy

 

15.03.2013, La Voix de la Russie

 

Les navires de guerre russes entreront dans le port syrien de Tartous, a déclaré ce vendredi un représentant de la Marine russe. Selon le représentant, les grands navires de débarquement de la flotte de la Baltique, Kaliningrad et Alexandre Chabaline, participent dans cette mission. Le plan de la mission prévoit l'entrée des navires dans les ports de Beyrouth (Liban) et de Tartous (Syrie).

 

Ce n'est pas la première visite de Tartous pour Kaliningrad et Alexandre Chabaline. En janvier de cette année, ils y ont amené plusieurs unités d'équipement militaire en vertu d’un contrat déjà signé avec la Syrie.

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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 12:40

Vladimir Poutine source Ria Novisti

 

MOSCOU, 15 mars - RIA Novosti

 

Le président russe Vladimir Poutine a discuté de la crise syrienne avec les membres permanents du Conseil de sécurité russe, a annoncé vendredi aux journalistes le porte-parole du chef du Kremlin Dmitri Peskov.

 

"Les participants de la réunion ont évoqué des questions d'actualité relatives au développement socio-économique du pays et échangé sur les dossiers internationaux en mettant l'accent sur le règlement syrien et la situation au Proche-Orient, compte tenu des récents entretiens entre M.Poutine et le président palestinien Mahmoud Abbas", a fait savoir le porte-parole.

 

Parmi les responsables ayant pris part à la réunion figurent les présidents des deux chambres du parlement national, Valentina Matvienko et Sergueï Narychkine, le chef de l'administration présidentielle Sergueï Ivanov, le secrétaire du Conseil de sécurité Nikolaï Patrouchev, le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, le directeur du Service fédéral de sécurité (FSB) Alexandre Bortnikov et d'autres responsables.

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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 08:40

An-70-Vladimir-Karnozov source info-aviation.com

 

KIEV, Ukraine, March 14 (UPI)

 

Antonov JSC's four-engine An-70 military transport has successfully passed aircraft structural tests by the Ukrainian Ministry of Defense, the company reports.

 

The static tests involved the aircraft's high lift devices, control surface, engine installation, landing gear struts and doors and radome.

 

"Completed tests approved sufficient structural strength and the right choice of designed models of the An-70 strength," Antonov said.

 

The An-70 is powered by propfan engines. It's more than 133 feet long and 53.9 feet high. It has a cargo payload of more than 103,000 pounds and a range of about 3,500 miles.

 

Antonov designed the aircraft to replace its An-12 airlifter.

 

"Completed tests approved sufficient structural strength and the right choice of designed models of the An-70 strength," Antonov said.

 

The company said that based on the structural strength test results, Ukraine's Central Aerohydrodynamic Institute has allowed the aircraft to complete other joint state flight tests.

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 19:10

http://m.ruvr.ru/data/2012/10/29/1277062915/4UK_RU_2.jpg

 

LONDRES, 13 mars - RIA Novosti

 

Les entretiens tenus mercredi à Londres par les ministres russes et britanniques de la Défense et des Affaires étrangères dans le cadre du Dialogue stratégique ont été fructueux, a déclaré le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov à l'issue de la rencontre.

 

"Nous avons eu une discussion franche et constructive. Nous avons examiné des dossiers sensibles comme les droits de l'homme ou l'extradition de certains ressortissants russes recherchés par la justice russe qui ont trouvé l'asile en Grande-Bretagne", a indiqué M.Lavrov devant les journalistes.

 

Il s'agit de la première réunion du Dialogue stratégique russo-britannique tenue sous la forme d'une rencontre des ministres des Affaires étrangères et de la Défense des deux pays (formule "2+2").

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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 08:40

http://a396.idata.over-blog.com/600x444/2/29/25/62/cartes/monde-pr-Russie.jpg

Crédits : http://hgsenghor.over-blog.com

 

WASHINGTON, 12 mars - RIA Novosti

 

Il est peu probable que la politique extérieure russe change radicalement cette année bien qu'elle puisse subir l'impact de certains facteurs intérieurs, lit-on dans un rapport annuel sur les menaces à la sécurité soumis au Congrès américain par le chef du renseignement James Clapper.

 

"Le président russe Vladimir Poutine voit les avantages de la coopération avec les Etats-Unis sur certaines questions", bien que Moscou interprète toute critique de sa politique intérieure par Washington comme une ingérence dans ses affaires, est-il indiqué dans le document publié mardi.

 

Selon le renseignement américain, le système politique russe ne tardera pas à se confronter à de graves difficultés, vu le mécontentement croissant de la population.

 

"D'importants segments de l'opinion russe sont sérieusement préoccupés par une croissance économique molle, un système politique privé d'un pluralisme effectif et affecté par une gestion faible et arbitraire, ainsi que par une épidémie de corruption", affirment les auteurs du rapport.

 

Et de conclure que l'actuel mandat de M.Poutine serait plus dur que les deux précédents.

 

L'administration américaine critique traditionnellement la situation en Russie en matière de démocratie et de droits de l'homme et considère les récentes manifestations dans les grandes villes de Russie comme une preuve du mécontentement de la population par la politique intérieure du pays.

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 12:40

Soldat du futur russe

 

March 12, 2013: Strategy page

 

Russia moving ahead to establish a Western style military reserve system, composed of troops who are fully trained to begin with, and regularly refresh that training, and are capable to being quickly mobilized and operating as effectively as full time troops. This is a big departure from over a century of using less well trained reservists. The new system is supposed to be ready in three years and will look similar to the reserve system currently used in the United States and other Western nations. Rebuilding their reserve system is an attempt to revive the Russian “secret army” that long drove foreign intelligence analysts nuts because it was difficult to ascertain just how good these reserve troops were.  During the Cold War it was known that the first Soviet secret army (that was mobilized to stop the 1941 German invasion) was not as good as the Soviet leadership believed, but was good enough to halt the German advance. After the Cold War ended in 1991, and lots of secrets were briefly available from the wreckage of the Soviet Union, if was discovered that the Cold War era secret army was more of a shambles than the pre-1941 one was. This time, the Russians are determined to do it right.

 

The old Russian reserve system looked impressive on paper, but was a mess when actually used. At the end of the Cold War, Russia had over 150 combat divisions in its army. But only a third of these were at full strength in peace time, the rest were reserve divisions. The Russians planned to mobilize over two million men to fill out their reserve divisions in wartime. The Russians maintained their reserve divisions with a skeleton crew of active duty soldiers.

 

In theory, this could work, but rarely worked well for Russia. In 1914 the Germans demonstrated to their disbelieving opponents that reserves could be as effective in wartime as regulars. The Germans did this by requiring their reserves to train regularly, much like the current American system. Russia could not afford this, although attempts were made to do some training. Most Russian reservists were assigned to a unit they had never seen, and never would see unless they were called up. Russia called up reservists when they invaded Afghanistan in 1979, but quickly removed these reserve troops and replaced them with regulars. The reservists just weren't very effective.

 

Before 1991, Russia maintained an additional fifty divisions on paper, to be raised in wartime from reserves and obsolete equipment held in storage. These units, with troops in their thirties and forties using equipment as old as they are, will be no match for an equal number of active divisions. But such "mobilization" divisions can make a difference, if you believe that quantity has a quality all its own.

 

The Russian System kept track of every veteran until the age of fifty. That was their reserve manpower, and about all they did was keep track of current mail addresses. Many nations still use the same general concept for their reserves. Unable to afford the expense of regular reserve training, the usual source of men with current experience are those discharged in the last few years. Russia has used conscription for over a century, and during the Cold War, there was a constant supply of recently discharged men. That reduced Russia's reserve to a million men times the number of years you want to go back- say two to five million men. This was a major flaw in the Russian system, as it has been found that soldiers lose most of their military skills within a month of leaving active service. It takes several months to get these skills back. If troops are sent into combat before they have been retrained, their units will do very poorly against a better trained opponent.  

 

The Russian system, based on the one developed in 19th century Germany, was suitable for a nation lacking great wealth. It was cheap, because it had to be. In Russia, a reservist may not be called up for more than ninety days a year unless a national emergency is declared. This is not done out of any regard for the reservist, but in recognition of the labor shortage and economic disruptions that would be created. Most reservists are never called up.

 

An example of the problems inherent in this system could be seen in the Russian mobilization against Poland in 1980. In areas adjacent to Poland, Russia had 57 divisions. At least 40 would be needed to guarantee a quick conquest of an increasingly uncooperative Poland. Of the 57 available divisions, only 28 were fully manned and 24 of those were occupying East Germany and Czechoslovakia. Because of possible unrest in Eastern Europe, or interference from Western Europe, the divisions in East Germany and Czechoslovakia were left alone. This forced the use of 36 reserve divisions, and bringing most of them in from other areas. Over half a million men would have to be called up. This would have a noticeable effect on the local economy, as over 50 million man days would be lost. In addition there would be the expense of maintaining the troops, and the loss of civilian trucks taken by the army for activated reserve divisions. This strain on the local economy was one of the critical, but not mentioned, factors causing Russia to demobilize and not attempt to pacify Poland by invading. Russia made it appear that they were being diplomatic, but they were faced with causing enormous economic disruption in Russia areas adjacent to Poland, and that could have led to unrest in Russia itself.

 

Economic disruption is not the only problem Russian style mobilization armies face. These armies rely heavily on conscripts, to the extent that 75 percent of their manpower are two or three year draftees. Most of the noncommissioned officers were conscripts of dubious quality. Russian officers are all volunteers and graduates of military academies. These officers perform the tasks normally assigned to NCOs in Western armed forces. Supervision, management and leadership of Soviet troops was inadequate in peacetime and become even more scarce when millions of reservists were mobilized. The mobilized army is about 85 percent conscript, with the rate going over 90 percent in a third of the divisions. If history is any guide, this third of the Russian Army was probably less than half as effective as the top third.

 

The solution to these quality problems is training. Most Western armies train their reserves, or attempt to. Training is critical because an effective soldier is very much a technician. The effective maintenance and use of weapons and military equipment is possible only with constant practice. Reserves that do not regularly practice require one or more months to regain their skills. Personnel with prior military service are easier to whip into shape for combat because of their familiarity with military routine. Because of their prior service, reserve troops have demonstrated an ability to function in a military environment. However, one should not place too much reliance on prior military experience. Unless these troops maintain good physical conditioning and some knowledge of their military skill, they are not a great deal better than raw civilian recruits.

 

The old Russian reserve system provided large numbers of troops, but very low effectiveness. The Russians were aware of this, being diligent students of past experience. Their solution was to prepare for a short war, short enough so their deficiencies would not catch up with them. This was not to say that Russia could not win a long war. They were victorious during World War II, but at a cost of 30 million dead (18 percent of the population) and a ruined economy. Many of those losses were the result of sending newly mobilized reservists out to face German combat veterans.

 

Times have changed. Nuclear weapons make it unlikely that anyone would try to mount a major invasion of Russia. Trained reservists would be useful for a local rebellion or natural disaster. This is how they have successfully been used in the United States and other Western nations. Russia wants some of that, and believes it will be able to afford to build it in the next decade.

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 12:40

Russia Weapon Maker

 

MOSCOU, 12 mars - RIA Novosti

 

Des "bataillons scientifiques" chargés de réaliser des travaux dans l'intérêt de l'armée pourraient voir le jour dans les universités russes, a déclaré lundi soir le ministre de la Défense Sergueï Choïgou, intervenant devant les étudiants de l'Université technique Bauman de Moscou.

 

"Nous envisageons de créer des unités que nous avons surnommées "bataillons scientifiques" (…). Dans ces unités les jeunes gens doués feront leur service militaire sans quitter l'université et exécuteront, sous la direction de leurs professeurs, des travaux nécessaires au ministère de la Défense", a indiqué le ministre.

 

"Nous sommes prêts à financer les travaux de recherche scientifique et de construction menés par ces unités, tout en exigeant des résultats concrets", a-t-il précisé.

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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 08:40

Russia Navy

 

MOSCOW, March 11 (RIA Novosti)

 

The Russian Navy has begun setting up a permanent task force to defend Russia’s interests in the Mediterranean, Navy Commander Adm. Viktor Chirkov said Monday.

 

“The defense minister has ordered us to form a task force that will operate in the Mediterranean Sea on a permanent basis,” Chirkov told reporters after a defense ministry meeting. “We have already started work on this task.”

 

The move comes at a time of increased international tension in the eastern Mediterranean due to the worsening civil war in Syria.

 

According to Chirkov, the issue has been discussed at the Navy's Main Headquarters, with the focus on logistics and training of commanding personnel.

 

Russian Defense Minister Sergei Shoigu said earlier on Monday that a decision to deploy a permanent naval task force in the Mediterranean had been made.

 

“I believe that we have the capability to form and maintain such a task force,” Shoigu said, citing the success of recent large-scale naval drills carried out by the Russian navy in the Mediterranean and Black seas.

 

The exercises involved warships from the Northern, Baltic, Black Sea and Pacific fleets, strategic bombers and naval infantry.

 

Neither Shoigu nor Chirkov mentioned a timeline for the deployment of the new task force, which would likely require significant effort to ensure efficient logistics and the proper maintenance of warships in the Mediterranean group.

 

Shoigu admitted Monday that the general state of affairs in the navy "could not be called satisfactory," particularly in terms of poor servicing and maintenance of vessels.

 

“A significant part of the fleet has to be operated with extended periods [of time] between repairs, while many ships and vessels have armaments and military equipment that can be used only with restrictions," Shoigu said.

 

A high-ranking defense ministry source told RIA Novosti in the beginning of March that a proposed Russian permanent naval task force in the Mediterranean Sea could consist of up to 10 combat and auxiliary ships from three of the existing fleets.

 

The task force may operate on a rotating basis and use ports in Cyprus, Montenegro, Greece and Syria as resupply points, the official added.

 

The Soviet Union maintained its 5th Mediterranean Squadron in that sea from 1967 until 1992. It was formed to counter the US Navy 6th Fleet during the Cold War, and consisted of 30-50 warships and auxiliary vessels at different times.

 

Updated with modified headline and Shoigu's assessment of the state of the navy.

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 19:00

Russia Weapon Maker

 

MOSCOU, 11 mars - RIA Novosti

 

Moscou qualifie de mal préparé le projet de Traité sur le commerce des armes (TCA) et propose de le remanier, indique lundi le Département de l'Information et de la Presse du ministère russe des Affaires étrangères.

 

"Nos observations critiques concernant le déroulement et les résultats de la Conférence de l'année dernière sur le TCA (2-27 juillet 2012, ndlr) qui n'a pas réussi à remplir son mandat malgré le travail assidu des délégations sont bien connues", lit-on dans le communiqué.

 

Selon la diplomatie russe, ce résultat provient pour beaucoup du fait que le processus de négociations y était remplacé par des consultations en coulisse. En outre, le projet de TCA n'a été examiné qu'en deux jours avant la fin de la conférence à New York.

 

Le TCA a pour but de mieux encadrer un marché florissant qui pèse plus de 1.500 milliards de dollars par an et produit huit millions d'armes à feu par jour. Moscou insiste sur des mesures contre les circuits illégaux. A ce jour, le commerce mondial des armes conventionnelles demeure peu réglementé, ce qui contribue entre autres à alimenter les conflits armés.

 

A la veille de la Conférence finale sur le Traité sur le commerce des armes (TCA) à New York du 18 au 28 mars prochains, Moscou propose de poursuivre les négociations sur les termes et conditions du prochain TCA.

 

"Nous proposons (…) que les livraisons d'armes soient faites uniquement à des structures mandatées par les Etats (…) afin d'éviter que les armes tombent entre les mains de terroristes et de criminels", souligne le ministère.

 

Environ deux personnes sont tuées chaque minute dans le monde par des armes à feu, selon des sources médiatiques. C'est en partant de ce constat que les Nations unies, soutenues par de nombreuses ONG, travaillent depuis des années à l'élaboration et l'adoption du premier Traité sur le commerce des armes.

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 16:40

http://fr.rian.ru/images/19516/35/195163597.jpg

Le trafic mondial de drogue

 

MOSCOU, 11 mars - RIA Novosti

 

Des policiers antidrogue participeront en 2013 à plusieurs exercices organisés par le ministère russe de la Défense, dont les manœuvres russo-biélorusses Zapad-2013, a déclaré lundi le directeur du Service fédéral russe de contrôle des stupéfiants (FSKN) Viktor Ivanov dans une interview accordée à RIA Novosti.

 

"En 2013, les exercices conjoints de grande envergure  Zapad-2013 auront lieu dans le district militaire de l'Ouest, impliquant du matériel de combat, l'aviation de l'armée et des navires de guerre. Par ailleurs, des unités du FSKN prendront également part à ces exercices stratégiques", a indiqué le responsable.

 

Selon lui, les exercices visent à assurer la coopération entre les différentes forces de l'ordre destinée à démanteler  les filières de trafic de stupéfiants.

 

"C'est lié au fait qu'actuellement, une grande quantité de drogue afflue chez nous depuis le territoire des Etats européens. Nous coopérons avec leurs organes compétents et je dois dire que nos relations sont très bonnes", a souligné le directeur du FSKN.

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 13:43

Russia Navy

 

MOSCOU, 11 mars - RIA Novosti

 

24 sous-marins et 54 navires de surface supplémentaires équiperont la Marine russe avant la fin de l'année 2020, a déclaré lundi le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou. 

 

"En application du programme national d'armement pour la période de 2011-2020, la Marine recevra huit croiseurs sous-marins lance-missiles, 16 sous-marins polyvalents et 54 navires de surface  de différentes classes", a précisé le ministre. 

 

Selon lui, le renouvellement du parc de navires de guerre est crucial pour le développement de la Marine. 

 

"Toutefois, il impossible de préserver le potentiel de combat de la Marine, si le niveau d'entretien technique n'est pas réalisé au niveau requis", a poursuivi M.Choïgou. 

 

Le chef du département militaire a souligné que depuis 2011, l'entretien des bâtiments et navires de guerre russes était régi par un contrat de trois ans conclu avec le Consortium unifié de constructions navales.

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 08:40

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/0/0d/Emblem_of_special_units_and_formations_russian_army.jpg

 

MOSCOU, 6 mars - RIA Novosti

 

Le ministère russe de la Défense a entamé la mise en place de forces d'opérations spéciales et a déjà créé une structure chargée d'en exercer le commandement, a annoncé mercredi le chef d'Etat-major général de l'armée, le général Valeri Guerassimov.

 

"Après avoir analysé l'expérience des principaux pays en matière de création, d'entraînement et d'utilisation de forces d'opérations spéciales, le ministère de la Défense a entamé la mise en place de formations militaires analogues", a déclaré le général devant les attachés militaires d'Etats étrangers en poste à Moscou.

 

Selon le général Guerassimov, les guerres et les conflits armés du XXIe siècle attestent que les forces d'opérations spéciales jouent un rôle de plus en plus important.

 

Le chef d'état-major a également fait savoir que le ministère de la Défense a déjà préparé des documents définissant les grands axes de développement de ces forces, ainsi que leurs missions et leurs méthodes d'entraînement.

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10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 17:40

http://www.actudefense.com/wp-content/uploads/2013/03/russie-ere-information-199x300.jpg

Pour les militaires russes aussi,

l’information devient une problématique

du quotidien.

 

10.03.2013 par:

 

L’entrée dans l’ère de la défense et de la sécurité informatique se fait pas après pas en Russie. Un texte stratégique, d’abord, une rénovation des structures organisationnelles et de l’industrie, peut-être, ensuite.

 

Si les services spéciaux russes étaient présents sur le terrain du monde cyber depuis plusieurs décennies, le monde militaire commence doucement à sortir de sa léthargie en ce domaine. Et si le document sur la stratégie cyber de mars 2012 est relativement lacunaire, il apparaît comme un coup de semonce pour réveiller et éveiller les esprits à un nouveau type de conflit faisant intervenir l’espace de l’information et de la communication. Par ailleurs ces insuffisances ne manqueront pas d’être comblées au fil du temps, une fois que la réforme et modernisation de l’armée seront en bonne voie et irréversibles.

 

Car les prochaines guerres ne se dérouleront pas uniquement sur terre, air, mer et l’espace mais aussi dans le cyberespace. Que l’on songe à la prochaine numérisation de l’espace du champ de bataille déjà en cours dans les armées modernes : elles s’appuient sur un réseau communicationnel en temps réel où la perturbation ou l’altération de données peut avoir des conséquences létales. L’on est en mesure d’aborder également l’emploi croissant d’appareils sans pilote qui ont un besoin vital d’agir ou de réagir en fonction des informations reçues et analysées. Tout comme progresse le danger d’une attaque électro-magnétique pouvant paralyser et aveugler les systèmes d’information et de communication. Cette numérisation va de pair avec la robotisation des conflits à venir, et la Russie n’échappera pas à la nécessité de réfléchir sur le sujet en augmentant ou amendant son approche informationnelle.


La guerre informationnelle déjà évoquée et définie dans le document de mars 2012 pourrait être intégrée de manière encore plus accentuée dans le processus de modernisation du complexe militaro-industriel dans un proche avenir. Elle dépend non seulement des propres attentes des officiels mais aussi de la découverte de nouveaux risques. Ainsi que de l’étude des méthodes et concepts mis en place en Occident pour répondre à cette nouvelle problématique.

Les russes ont fourni des théoriciens et des praticiens plus ou moins avisés dans l’art de la guerre : alors que l’ère informationnelle concerne tous les environnements en raison à la fois des opportunités et de la dépendance induite par les nouvelles technologies, il serait étonnant qu’une école de cyberstratégie n’émerge pas ces prochaines années, et qu’elle soit partie prenante des réflexions militaires à venir.

 

La Russie ne manque pas de ressources financières pour mettre en oeuvre une stratégie informationnelle de premier rang. En revanche elle doit faire face à des complications structurelles qu’analystes et officiels sont les premiers à dénoncer : corruption ; bureaucratie ; conservatisme ; vieillissement des cadres ; absence d’autonomie. Ces tares sont loin d’être inhérentes à la seule Russie mais qui cumulées pèsent énormément sur ses capacités à atteindre les objectifs et prévenir les atteintes potentielles. L’ire non feinte des dirigeants russes n’a d’égale que leurs attentes. Spectateurs du délabrement des années 1990, ils se veulent les acteurs du redressement des années 2000 tout en constatant qu’après avoir été désolidarisé de l’économie nationale, le complexe militaro-industriel doit redevenir une force productrice à la fois de revenus nationaux par ses exportations comme de catalyseur d’innovations nationales.

 

L’achat de matériel étranger ne doit à cet égard pas être perçu obligatoirement comme l’entérinement d’une déficience irréversible du secteur et son impossibilité à répondre à un cahier des charges précis et exigeant par les responsables. Ces derniers pourraient s’en servir à escient comme aiguillon, en favorisant la concurrence tout en rappelant que le complexe militaro-industriel ne saurait se reposer sur l’obligatoire marché domestique pour assurer l’écoulement de ses produits. Une stratégie prenant sans nul doute en considération la contrepartie du transfert total ou partiel technologique étranger, dégageant des ressources conséquentes en recherche et développement pour d’autres projets militaires.

 

Fort heureusement, en matière de stratégie informationnelle, il ne s’agit pas d’une course de vitesse mais d’endurance : une stratégie de départ juste mais figée peut se retrouver pénalisante et handicapante face à un adversaire qui aura assimilé et trouvé parade tout en ayant résorbé ses lacunes par un sursaut énergique et mobilisateur. Une vérité que ni le général romain Scipion l’Africain ni le maréchal soviétique Joukov n’auraient contredite…

 

Extrait de :

http://www.actudefense.com/wp-content/uploads/2013/03/cyberstrat%C3%A9gie-russe.jpg
La cyber stratégie russe
Yannick Harrel
Editions Nuvis
Février 2013
245 pages
25 €

 

Photo : US Air Force / Julianne Showalter

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8 mars 2013 5 08 /03 /mars /2013 08:40

http://www.meretmarine.com/objets/500/27809.jpg

Le croiseur nucléaire russe Petr Velikiy

crédits : MARINE NATIONALE - JACQUES TONARD

 

06.03.2013 Mer et Marine

 

Forte de plus de 300 bâtiments (1.04 million de tonnes) et de 146.000 hommes, la marine russe a repris de la vigueur après sa longue période de quasi-absence à la mer, qui a suivi l’effondrement de l’ex-URSS. Depuis quelques années on peut assister en effet à de nombreux déploiements temporaires en Arctique, en Atlantique nord, en Baltique, en Méditerranée, en océan Indien et dans le Pacifique ouest. Ils sont articulés soit autour du porte-avions Kuznetsov, soit du croiseur nucléaire Petr Velikiy, soit de l’un des 3 croiseurs du type Slava. Mais ce sont le plus souvent des destroyers du type Udaloy, les 2 frégates du type Neustrashimiy ou des bâtiments de débarquement de chars du type Ropucha qui les constituent, ces bâtiments étant accompagnés d’un pétrolier-ravitailleur et – prudemment – d’un remorqueur de haute mer pour remédier aux possibles avaries de propulsion. Cette présence à la mer ne peut que s’accentuer sous l’impulsion très volontariste du président Poutine.

 

 

Le porte-avions Kuznetsov (© : MARINE RUSSE)

 

Croiseur du type Slava (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

 

Destroyer du type Udaloy (© : MARINE NATIONALE)

 

Frégate du type Neustrashimiy (© : US NAVY)

 

Bâtiment de débarquement de chars du type Ropucha (© : MICHEL FLOCH)

 

 

Cependant, le renouvellement de la flotte peine à se faire en raison d’une perte de compétence évidente des chantiers russes. S’il y a beaucoup de mises sur cale, il y a en revanche moins de lancements et très peu de mises en service, que ce soit pour les sous-marins ou les bâtiments de surface. Ainsi le premier sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE) de nouvelle génération, le Yuriy Dolgorukiy (du type Borey), mis sur cale en 1996, a vu sa mise en service reportée à plusieurs reprises ; pour finalement être prononcée le 10 janvier 2013. Le second bâtiment de la série (Aleksandr Nevskiy) a commencé fin 2012 ses essais à la mer et doit être mis en service en juillet prochain, alors que le troisième (Vladimir Monomakh) a été lancé le 30 décembre 2012. Deux autres doivent être mis sur cale en 2013, l’Alksandr Suvorov et le Mikhail Kutuzov. Mais la mise au point du nouveau missile balistique Bulava devant équiper ces sous-marins n’est toujours pas officiellement validée, 10 ans après le lancement du projet.

 

 

SNLE du type Borey (© : SEVMACH)

 

 

Il en est de même pour la nouvelle génération de sous-marins nucléaires d’attaque (SNA) avec la tête de série, le Severodvinsk mis sur cale en 1993, dont la mise en service n’est prévue que pour 2013, ainsi que pour la nouvelle génération de sous-marins classiques, dont le prototype Sankt Petersburg, mis sur cale en 1997, n’est pas vraiment opérationnel bien qu’il ait été officiellement admis au service en 2010. La construction de ses 2 sisterships a même dû être interrompue mais devrait reprendre en 2013.

 

 

Le Severodvinsk (© : DR / COLLECTION FLOTTES DE COMBAT)

 

Le Sankt Petersburg (© : DR / COLLECTION FLOTTES DE COMBAT)

 

 

Concernant les bâtiments de surface, la construction à St-Pétersbourg d’un nouveau grand destroyer de 12.000 tonnes, comparable aux Slava en termes de gabarit, est envisagée à partir de 2015/2016. Inquiète du niveau de discrétion acoustique des nouveaux sous-marins classique, comme les 212 allemands, la marine russe envisage, par ailleurs, d’achever la coque de la troisième frégate du type Neustrashimiy (le Tuman), lancée en 1990 et restée en l’état, en bâtiment de lutte ASM pour la flotte de la Baltique.  

Toutefois, comme pour les sous-marins, les programmes de nouveaux bâtiments de surface déjà lancés sont marqués par d’importants retards. Ainsi, la nouvelle frégate Admiral Gorshkov, mise sur cale en 2006 et lancée en 2010, ne va commencer ses essais à la mer qu’en 2013 ; une quatrième unité de ce type (l’Admiral Ivan Isakov) ayant été commandée pour une mise sur cale en 2013.

 

 

Vue de l'Admiral Serguei Gorshkov (© : DR / COLLECTION FLOTTES DE COMBAT)

Frégate du type Gepard (© : RED-STARS.COM)

 

 

La construction des 2 frégates légères du type Gepard a duré plus de 10 ans et celle des Steregushchiy demande 7 à 8 années. Concernant ces dernières (8 exemplaires commandés à St-Petersbourg et Komsomolsk-sur-Amur), le programme a pris du retard et ne donne pas satisfaction, notamment pour les bâtiments construits dans le second chantier.  Au point que la poursuite du programme pourrait être compromise.

 

 

Frégate du type Steregushchiy (© : MER ET MARINE - VINCENT GROIZELEAU)

 

 

 

Les mêmes causes produisant les mêmes effets, les bâtiments amphibies eux-aussi connaissent des déconvenues identiques : le nouveau bâtiment de débarquement de chars Ivan Gren, mis sur cale en 2004, n’a été lancé qu’en 2012 et devrait rester seul de son type, contrairement aux prévisions (6 programmés initialement).

 

Pour remédier à ces carences, la marine russe a décidé de commander en urgence des bâtiments éprouvés, pour lesquels certains chantiers n’ont pas perdu la main puisqu’ils ont continué à en construire pour l’exportation : il s’agit des sous-marins classiques du type Kilo dans leur version améliorée (construite récemment pour la Chine, l’Algérie et le Viêtnam) dont 6 exemplaires ont été commandés par la Russie pour être livrés à partir de 2014.

Pour les bâtiments de surface, il s’agit des frégates du type Krivak IV construites à l’origine spécialement pour l’Inde, qui en arme 5 et bientôt 4 autres supplémentaires. La marine russe en a commandé 6 en 2010 et 2011 car il ne reste plus que 2 Krivak à l’inventaire de ses forces. Mais la première Krivak IV, l’Admiral Grigorovich, voit son lancement reporté de fin 2012 à l’automne 2013, sa mise en service étant désormais prévue en 2014.  

 

Vue de l'Admiral Serguei Gorshkov (© : DR / COLLECTION FLOTTES DE COMBAT)

 

Frégate indienne du type Krivak IV (© : MER ET MARINE - JEAN-LOUIS VENNE)

 

 

L’autre démarche adoptée a été de s’adresser à un constructeur étranger, DCNS et les chantiers français STX de St-Nazaire en l’occurrence, pour obtenir rapidement 4 grands bâtiments de projection : les 2 premiers, les Vladivostok et Sebastopol, commandés en 2011, seront livrés en 2014 et 2015, une partie étant construite à St-Petersbourg puis transportée par mer à St-Nazaire. La signature pour la construction des 2 autres n’est pas encore effective car elle devrait comprendre une partie plus importante à réaliser en Russie, celle-ci souhaitant bénéficier d’un transfert de technologie.

 

 

Vue des futurs bâtiments de projection russes (© : DCNS)

 

 

En attendant ces nouvelles livraisons, la marine russe doit continuer ses missions avec les bâtiments de l’ancienne génération : SNLE des types Delta IV qui ont été modernisés et Delta III qui sont prolongés en attendant la livraison des Borey, SNA des types Oscar II, Akula I/II, Sierra I/II et Victor III, sous-marins du type Kilo de 1e génération et, pour ce qui concerne les bâtiments de surface, croiseurs des types Kirov et Slava, destroyers des types Udaloy et Sovremenniy (dont le nombre est en décroissance), bâtiments de débarquement du type Ropucha, voire des navires âgés de 30 à 40 ans qui connaissent une longévité exceptionnelle en mer Noire, tels le croiseur lance-missiles Kerch (dernier survivant du type Kara), le destroyer lance-missiles Smetliviy (dernier survivant du type Kashin) et les frégates Ladniy et Pytliviy (dernières survivantes du type Krivak).

 

 

SNLE du type Delta IV (© : RUSSIAN NAVAL BLOG)

 

SNA du type Akula II (© : MARINE NATIONALE)

 

Le destroyer Kerch (© : DR / COLLECTION FLOTTES DE COMBAT)

 

 

 

Article de Bernard Prézelin, auteur de Flottes de Combat

 

 

 

Flottes de Combat, l'ouvrage de référence des forces navales (© : MARINES EDITIONS)

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 12:40

Su-25 source Ria Novisti

 

28.02.2013 Info-Aviation

En 2014, l’armée de l’air russe recevra une version spéciale du Su-25 destiné à détruire et à contourner les systèmes de défense antiaérienne (source: Izvestia).

Une source de l’état-major de l’armée de l’air a déclaré que les essais de la nouvelle mouture du Su-25 devraient être achevés en mai 2013, après quoi sa production en série pourra être lancée.

 

« Cette version est capable d’identifier et d’éliminer des systèmes de défense antiaérienne aussi puissants que les Patriot américains, dont plusieurs unités ont été projetées en Turquie en raison de la guerre civile en Syrie », a-t-il déclaré.

 

Seuls les États-Unis disposent pour l’instant d’avions capables d’éliminer les systèmes de défense antiaérienne  le F-16CJ Wild Weasel et le EF-18 Growler. Leur tâche consiste à supprimer la défense antiaérienne de l’ennemi sans pénétrer dans son rayon d’action, tandis que le nouveau Su-25 pourra agir à l’intérieur de cette zone en attaquant les systèmes sol-air et d’autres cibles terrestres.

 

Le Su-25 blindé et équipé de systèmes radar de bord, même dans sa version la plus performante, reste vulnérable face à la défense antiaérienne moderne. C’est pourquoi le nouvel avion d’assaut est équipé d’un système spécial muni d’antennes placées sous le revêtement, qui détectent la direction du rayon et classent le type de source.

 

L’avion sera également muni d’un système de détection des rayons laser et infrarouges et d’un système d’aveuglement des ogives guidées dans le spectre infrarouge. Tous les systèmes de bord sont intégrés dans un complexe commun et l’ordinateur prend automatiquement sa décision en fonction de l’information reçue. Tout cela permettra à l’avion d’assaut de dominer dans la zone de défense antiaérienne de l’ennemi, grâce à l’envoi d’ondes de brouillage radio et infrarouges.

 

D’où sa vocation tactique et stratégique à prendre la tête des groupes d’avions d’assaut ou de bombardiers classiques. Mais il pourra également agir seul.

 

L’expert indépendant Anton Lavrov confirme que la nouvelle version du Su-25 doit avoir un système d’autodéfense bien plus performant et être équipé de missiles antiradars modernes.

 

La source de l’état-major souligne que les Patriot américains ne sont pas les seuls ennemis du nouveau Su-25. Mais l’armée de l’air russe ne peut pas ignorer leur apparition en Turquie. Les États-Unis, les Pays-Bas et l’Allemagne ont fourni six Patriot à leur allié de l’Otan au début de l’hiver 2012, déployés au sud et au sud-est du pays, près de la frontière syrienne.

 

http://info-aviation.com/wp-content/uploads/2013/02/Su-25_specifications.jpg

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 17:40

Europe Flag

 

MOSCOU, 27 février - RIA Novosti

 

Moscou accueillera en mai prochain une conférence internationale sur la sécurité en Europe, a fait savoir mercredi le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou.

 

"J'estime que l'heure est venue pour une évocation sérieuse du problème de la sécurité en Europe. Dans ce contexte, nous avons l'intention d'organiser une conférence internationale à Moscou en mai prochain", a déclaré M.Choïgou lors de la réunion ministérielle.

 

Selon lui, les ministres de la Défense des pays européens, des Etats-Unis, du Canada et d'autres Etats devraient prendre part aux travaux de la conférence.

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 17:40

Vladimir Poutine source Ria Novisti

 

MOSCOU, 27 février - RIA Novosti

 

Intervenant mercredi au ministère de la Défense, le président russe Vladimir Poutine a évoqué l'existence de tentatives méthodiques entreprises depuis l'étranger afin de perturber l'équilibre stratégique de la Russie.

 

"Des tentatives méthodiques sont entreprises pour perturber d'une manière ou d'une autre l'équilibre stratégique. En fait, les Etats-Unis ont entamé la deuxième étape de la mise en place de leur système mondial de défense antimissile, des possibilités sont sondées pour un élargissement ultérieur de l'Otan à l'est. Le risque d'une militarisation de l'Arctique existe", a déclaré le chef de l'Etat.

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 14:15

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/0/01/Russian_paratroopers_106th_VDD.JPG/800px-Russian_paratroopers_106th_VDD.JPG

 

MOSCOU, 27 février - RIA Novosti

 

La Russie doit étudier la possibilité d'utiliser ses Troupes aéroportées en tant que forces de réaction rapide, a déclaré mercredi à Moscou le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou.

 

"Il faut assurer la réalisation du programme de défense de la Fédération de Russie et envisager l'emploi des Troupes aéroportées en qualité de forces de réaction rapide au cas où il serait nécessaire de régler des crises d'une manière opérationnelle", a indiqué M.Choïgou lors d'une réunion élargie du collège du ministère de la Défense.

 

Le ministre a en outre noté la nécessité de préparer l'infrastructure des cités militaires à l'arrivée de nouveaux matériels et armes prévue en 2013. "Toutes les cités destinées à être fermées doivent être remises aux autorités régionales et municipales", a ajouté M.Choïgou.

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 14:14

Russia Weapon Maker

 

MOSCOU, 27 février - RIA Novosti

 

Les armes de nouvelle génération doivent représenter 30% des armements russes d'ici 2015 et entre 70% et 100% d'ici 2020, a déclaré mercredi à Moscou le président russe Vladimir Poutine.

 

"La Russie doit créer un système de recherche et de conception de projets prometteurs dans le domaine des technologies militaires ces deux prochaines années", a indiqué M.Poutine lors d'une réunion élargie du collège du ministère russe de la Défense.

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 14:13

The Russian Navy infographie Ria Novisti

 

MOSCOU, 27 février - RIA Novosti

 

La Russie créera une nouvelle structure de la Marine pour défendre ses intérêts dans la Méditerranée, a déclaré mercredi à Moscou le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou.

 

"Il faut créer un nouveau département pour le groupement opérationnel de la Marine qui défendra les intérêts nationaux de la Russie dans la région de la Méditerranée et garantira la présence permanente de navires russes dans ce secteur", a indiqué le ministre lors d'une réunion élargie du collège du ministère de la Défense.

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 13:40

Project 855 Severodvinsk submarine

 

27 février 2013 Par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

 

D’ici la fin de l’année, la marine russe va recevoir 2 sous-marins nucléaires lanceurs d’engins du projet 955 (classe Borei) et un sous-marin nucléaire d’attaque du projet 885 (classe Yasen), a indiqué mardi une source du secteur militaro-industriel russe.

 

Il a rappelé que la livraison des sous-marins Alexandr Nevski (projet 955) et Severodvinsk (projet 885), bien que prévue en 2012, avait été retardée pour diverses raisons à 2013.

 

« Ainsi, la marine devrait recevoir cette année l’Alexandr Nevski et le Severodvinsk, ainsi que le Vladimir Monomaj, lancé en décembre dernier, » a-t-il expliqué.

 

Il a précisé que, avant d’être livrés à la marine russe, les sous-marins Alexandr Nevski et Vladimir Monomaj devraient effectuer les derniers lancements d’essais avec les missiles balistiques Bulava.

 

« Le premier lancement devrait être effectué depuis l’Alexandr Nevski en juin ou juillet, » a précisé la source.

 

De plus, en 2013, le sous-marin classique Saint Pétersbourg (projet 677, classe Lada) devrait être mis en service après la fin des essais dans le nord de la Russie.

 

Référence : RIA Novosti (Russie)

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 12:44

Russia Navy

 

27 février 2013 Par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

 

L’état-major de la marine russe prévoit de maintenir un groupe de bâtiments de guerre et de navires de soutien en Méditerranée sur une base permanente à partir de 2015, rapporte une source de l’état-major général.

 

Les bâtiments de la flotte de la mer Noire formeront la base des groupes, qui seront renforcés par des bâtiments des flottes de la Baltique et du Nord.

 

Les missions et objectifs des groupes correspondront à ceux fixés en son temps à la 5è Flotte de la marine soviétique. Elle accomplissait des mission dans le théâtre d’opérations Méditerranée, assurant la sécurité des régions du sud de l’URSS, entre 1967 et 1992.

 

De nouveaux bâtiments de surface et sous-marins sont actuellement construits pour le réarmement de la flotte de la mer Noire. La question du soutien logistique des forces russes en Méditerranée doit aussi être réglée.

 

En janvier 2013, la marine russe a effectué son plus important exercice inter-flottes depuis 10 ans. Il a montré la capacité de la marine russe à mener des opérations dans le monde.

 

Selon le ministre des affaires étrangères, Sergey Lavrov, « la présence russe en Méditerranée est un facteur de stabilité pour la région. »

 

« La marine russe peut opérer dans n’importe quelle partie du monde importante pour nos intérêts. La Méditerranée est actuellement une région importante pour nous, » a indiqué le ministre de la défense, Sergey Shoigu.

 

Référence : RusNavy (Russie)

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 08:40

Bouclier missile source Ria Novisti

 

BERLIN, 26 février - RIA Novosti

 

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a démenti mardi les informations selon lesquelles la Russie et les Etats-Unis préparaient un échange de déclarations politiques sur le bouclier antimissile américain.

 

"Nous avons exposé notre position. Nous avons entendu assez de déclarations, tant au sein de l'OSCE qu'au sein du Conseil Russie-OTAN (…) Ce bouclier constituera un problème pour notre système de sécurité et il ne suffit pas de faire des déclarations", a indiqué M.Lavrov à l'issue d'une rencontre avec le secrétaire d'Etat américain John Kerry à Berlin.

 

Le quotidien Kommersant a rapporté mardi que Moscou et Washington semblaient avoir trouvé une issue aux négociations sur le bouclier antimissile, jusque-là dans l’impasse. Selon Kommersant, cet accord pourrait se traduire par un échange de déclarations politiques entre les deux présidents, censé statuer l'aspiration des deux pays à coopérer dans le secteur de la défense antimissile et à ne pas utiliser leurs potentiels l'un contre l'autre.

 

"J'ai lu ces dépêches et je me suis entretenu avec les auteurs de ces informations. Je ne sais pas quelles sont leurs sources, mais ces reportages sont tout à fait infondés. Je ne sais pas d'où proviennent ces informations", a noté le ministre russe.

 

"Si nous ne pouvons pas nous mettre d'accord sur la création d'un système de défense antimissile conjoint, c'est l'idée que la Russie a avancé à maintes reprises après la visite du président Poutine aux Etats-Unis en 2007, nous ne devons donc pas parler des déclarations, mais des garanties reposant sur des paramètres militaires et techniques objectifs. Il faut garantir que ce système ne vise pas le potentiel nucléaire russe", a conclu le ministre Lavrov.

 

Les Etats-Unis envisagent de mettre en place en Europe une troisième zone de positionnement de leur système de défense antimissile. L'OTAN a annoncé que le bouclier serait pleinement opérationnel en 2018. Moscou s'oppose à ce projet, considérant que la mise en place d'un bouclier antimissile à proximité de ses frontières menace son potentiel stratégique. L'OTAN appelle la Russie à croire sur parole que le bouclier ne sera pas utilisé contre les forces nucléaires de dissuasion russes et refuse de signer un document juridiquement contraignant à ce sujet.

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