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3 novembre 2015 2 03 /11 /novembre /2015 13:45
photo Cne Guillaume - Armée de Terre

photo Cne Guillaume - Armée de Terre

 

03/11/2015 armée de Terre

 

Du 5 au 16 octobre 2015, un détachement du groupement de coopération opérationnelle – 6e bataillon d’infanterie de marine (GCO-6e BIMa) s’est rendu à Mbanza, en République Démocratique du Congo, pour conduire une remise à niveau des formateurs de l’École de formation et d’application des troupes blindées (EFATBL). Cette formation marquait la reprise des actions de coopération dans le domaine du combat blindé.

 

Une dizaine d’instructeurs ont conduit se détachement d’instruction opérationnelle (DIO) au profit de 28 cadres congolais qui recevront prochainement de nouveaux stagiaires et une nouvelle promotion d’officiers au sein de l’EFATBL.

 

Cette instruction intensive portait sur les connaissances des cadres dans les domaines de la pédagogie, du combat blindé, de l’instruction au tir sous tourelle et du secourisme au combat. De nouvelles aides pédagogiques ont été mises à leur disposition afin de les aider dans leur mission de formation.

 

Ce type de formation, qui a donné pleine satisfaction au forces armées congolaises, est appelé à se répéter. Le rendez-vous est d’ores et déjà pris avec l’EFATBL pour trois DIO courant 2016.

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26 mai 2015 2 26 /05 /mai /2015 07:45
photo EMA

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22/05/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 7 au 17 avril 2015, le 6ème BIMa (bataillon d’infanterie de Marine) a mené un détachement d’instruction opérationnelle (DIO) dans le domaine aéroporté au profit du groupement de parachutistes commandos (GPC) de Brazzaville.

 

Unité d’élite de l’armée congolaise, bénéficiant d’un recrutement privilégié et disposant d’une unité de type « forces spéciales », le GPC possède une réelle capacité à conduire de manière autonome des actions aéroportées.

 

Ce stage s’inscrit dans la continuité de l’appui au GPC dans sa montée en puissance dans le domaine des troupes aéroportées (TAP). Il participe au renforcement du partenariat des Eléments français au Gabon (EFG) avec les forces armées congolaises, et s’inscrit également dans une logique de SOUTEX (soutien des actions commerciales à l’exportation), suite aux dernières acquisitions en matériel TAP.

 

Les moniteurs français ont ainsi formé neuf chefs de groupe de saut, dans le domaine de l’inspection des parachutistes et de leur rôle à bord d’un aéronef. Un appui a été fourni aux moniteurs congolais pour la formation de 44 jeunes parachutistes. Le détachement comprenait également une formation au profit de quatre plieurs. Quatre chuteurs ont ainsi obtenu le premier niveau de maitrise de la chute ainsi que celui de la mise en œuvre du système d’ouverture Hand-Deploy.

 

En deux semaines, 95 sauts en chute et 350 sauts en ouverture automatique ont été réalisés depuis les hélicoptères MI-8 congolais sur la zone de saut de Bilolo, située au nord de Brazzaville.

 

Le stage a été clôturé par une cérémonie de remise de diplômes au cours de laquelle des cadres du GCO (groupement de coopération opérationnelle) du 6èmeBIMa se sont vu remettre le brevet de parachutisme militaire congolais, en présence de nombreuses hautes autorités, issues des rangs du groupement.

 

Cette formation s’inscrit pleinement dans le cadre de la nouvelle mission des EFG : la coopération opérationnelle régionale et la préparation des armées de la sous-région dans leurs engagements. Il a permis de renforcer les liens étroits de coopération qui existent déjà entre la France et le Congo en permettant, au cours d’un même DIO, de déployer l’ensemble des compétences TAP présentent aux EFG. Ces compétences couvrent un large spectre allant de l’appui à la formation initiale jusqu’à la formation de chuteurs opérationnels. Ces formations répondent à une demande toujours plus forte des partenaires de la France au sein de la CEEAC (communauté économique des Etats de l’Afrique) pour l’acquisition de compétences dans les domaines aéroportés et actions spécialisées.

 

Depuis le 1erseptembre les EFG sont devenus un pôle de coopération opérationnelle à vocation régionale. Tout en restant un point d’appui opérationnel et logistique, les EFG portent désormais leur effort sur les actions de coopération régionale. Elles visent plus particulièrement à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective et, ainsi, à contribuer à la stabilité régionale.

photo EMAphoto EMA
photo EMA

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17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 11:45
photo EMA / Armée de Terre

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15/04/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 3 au 14 mars 2015, le 6e bataillon d'infanterie de marine (6e BIMa) a conduit un Détachement d'Instruction Opérationnelle (DIO) de tir de combat au Centre d'Instruction des Forces Armées Nationales (CIFAN) de N’Gaoundere, au Cameroun.

 

L’objectif de cette formation était de concourir à la mise sur pied des futures forces spéciales (FS) des forces de défense camerounaises. Ce stage visait ainsi la formation des instructeurs des forces spéciales camerounaises en pleine montée en puissance.

 

C’est sur le site du (CIFAN) que le stage a débuté par une sélection des plus exigeantes, en appui des autorités camerounaises pour choisir les meilleurs des commandos camerounais présents. Sur 90 prétendants, seulement 41 ont été retenus pour suivre le stage. Ces derniers ont ensuite suivi les modules de manipulation, de tir et de pédagogie, pour devenir à leur tour les relais de cette formation au sein de leur unité.

 

Au terme de cette instruction, les stagiaires se sont vus attribuer le diplôme de moniteur et d’initiateur. Cette action de suivi et d’accompagnement s’inscrit dans les missions exercées par les éléments français au Gabon (EFG) au titre de pôle opérationnel de coopération à vocation régionale, et renforce une fois de plus les liens forts entre nos deux forces armées.

 

Depuis le 1er septembre les EFG sont devenus un pôle de coopération opérationnelle à vocation régionale. Tout en restant un point d’appui opérationnel et logistique, les EFG portent désormais leur effort sur les actions de coopération régionale. Elles visent plus particulièrement à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective et, ainsi, à contribuer à la stabilité régionale.

photo EMA / Armée de Terre
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1 mars 2015 7 01 /03 /mars /2015 12:45
EFG : formation de 850 militaires au Burundi

 

27/02/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 13 janvier au 4 février 2015, un détachement du 6ème bataillon d’infanterie de marine (BIMa) s’est rendu à Bujumbura, au Burundi, pour conduire la préparation opérationnelle du 33èmebataillon d’infanterie de la force de défense nationale (FDN) du Burundi, celle étant prochainement déployée en Somalie dans le cadre de la mission de l’Union africaine en Somalie (AMISOM).

 

L’objectif de cette instruction dispensée par une trentaine de militaires du 6èmeBIMa sur les sites d’instruction de Muzinda et Mudubugu, destinée à un état-major et d’un bataillon complet, visait à perfectionner leurs savoir-faire tactiques dans le domaine du commandement et de les former aux rudiments du combat d’infanterie dans le cadre d’une opération de maintien de la paix.

 

Une formation au profit de l’état-major du bataillon a été dispensée, basée sur la conduite des opérations de maintien de la paix et sur la capacité à réagir de façon graduée en cas de montée de tension dans la zone de déploiement. Une instruction a notamment été dispensée sur la mise en pratique du cadre juridique spécifique à ce type d’opération. Les militaires burundais ont également suivi des formations théoriques avec mise en pratique dans le domaine du tir, du secourisme au combat, et des techniques d’intervention opérationnelle rapprochée (TIOR).

 

Contributeur important aux opérations de maintien de la paix en Afrique, le Burundi est particulièrement demandeur de ces formations. Ainsi, une autre instruction du même type sera dispensée à deux autres bataillons rejoignant respectivement l’AMISOM et, en 2015, la MINUSCA en Centrafrique.

 

Depuis le 1erseptembre les éléments français au Gabon (EFG) sont devenus un pôle de coopération opérationnelle à vocation régionale. Tout en restant un point d’appui opérationnel et logistique, les EFG portent désormais leur effort sur les actions de coopération régionale. Elles visent plus particulièrement à accompagner les États africains dans le renforcement de leur sécurité collective et, ainsi, à contribuer à la stabilité régionale.

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 13:45
EFG : exercice franco-gabonais avec le BPC Tonnerre

 

21/01/2015 Sources : État-major des armées

 

Du 11 au 13 janvier 2015, les Eléments Français au Gabon (EFG) ont conduit un exercice amphibie avec leurs homologues gabonais et la batellerie du BPC Tonnerre, engagé au large du Gabon dans le cadre de la mission Corymbe. Cet exercice était baptisé Tonnerre 2015.

 

Dimanche 11 et lundi 12, le personnel du 6eBIMa ainsi que près de soixante-dix militaires des EFG ont eu l’occasion de s’entrainer, de jour et de nuit, aux techniques amphibies – embarquements et débarquements de véhicules à bord de deux CTM (chaland de transport de matériel) et d’un EDAR (engin de débarquement amphibie rapide). Après une nuit passée à bord du BPC et un débarquement matinal sur la petite plage du site « BARRACUDA » à Owendo, l’exercice s’est poursuivi à Ayemé, sur un scénario de situation sécuritaire dégradée. Cette séquence a donné lieu à un ensemble de manœuvres tactiques, comme la récupération ou le regroupement et l’évacuation d’observateurs militaires, le tout émaillé par de nombreux incidents fictifs.

 

 Ainsi, « TONNERRE 2015 », avait pour objectifs d’entraîner les centres de commandement opérationnels des EFG, du 6eBIMa et du groupement de soutien des EFG dans un contexte d’engagement bilatéral. Il avait également pour but de maintenir les savoir-faire liés aux opérations amphibies, de tester les procédures et les systèmes d’information et de communication (SIC). Le personnel du détachement Fennec de Libreville (EA 470) a également largement contribué à cette opération en effectuant de très nombreuses missions : transport de personnel, livraison de fret (dont le courrier destiné aux marins du BPC !).

 

 La journée du 13 janvier fut consacrée à des visites à bord, notamment au profit des autorités gabonaises afin de présenter le concept de l’AEM (Action de l’Etat en Mer).

 

 Les éléments français au Gabon (FFG) constituent le deuxième pôle opérationnel de coopération sur la façade ouest-africaine avec celui constitué par les éléments français au Sénégal (EFS). A ce titre, ils mettent en œuvre la coopération opérationnelle avec nos partenaires de la communauté des Etats d’Afrique centrale et du Rwanda Ils restent également un point d’appui opérationnel et logistique pour nos forces déployés dans la région.

EFG : exercice franco-gabonais avec le BPC TonnerreEFG : exercice franco-gabonais avec le BPC Tonnerre
EFG : exercice franco-gabonais avec le BPC Tonnerre
EFG : exercice franco-gabonais avec le BPC TonnerreEFG : exercice franco-gabonais avec le BPC Tonnerre
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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 19:45
Sangaris : Les FFDj s’engagent en Centrafrique
 
 

20.03.2014 Crédits photos : EMA / ECPAD

 

Le 14 mars 2014, sur l’aéroport international de Djibouti, le 5e régiment interarmes d’Outre-mer (5e RIAOM) des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) embarque pour Bangui.

Le 5e RIAOM a reçu pour mission d’armer le GTIA Scorpion de la force Sangaris en relève du GTIA Panthère qui était armé par des militaires du 6e BIMA issus des forces pré positionnées au Gabon.

 

Reportage photos
 

Sangaris : Les FFDj s’engagent en Centrafrique
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6 décembre 2013 5 06 /12 /décembre /2013 10:45
Centrafrique : lancement de l’opération Sangaris

 

06/12/2013 10:36 Sources : EMA

 

Le 5 décembre 2013, le Président de la République a annoncé sa décision de renforcer le dispositif militaire français en Centrafrique afin d’éviter une catastrophe humanitaire dans le pays.

 

« Le Conseil de sécurité vient d’adopter une résolution, à l’unanimité, donnant mandat à une force africaine pour apporter la sécurité, rétablir la stabilité en Centrafrique et protéger la population.

 

La France soutiendra cette opération. C’est son devoir, devoir d’assistance et de solidarité à l’égard d’un petit pays, la Centrafrique, bien loin d’ici, pays ami, pays le plus pauvre du monde. Pays qui nous appelle au secours.

 

Vu l’urgence, j’ai décidé d’agir immédiatement, c’est-à-dire dès ce soir, en coordination avec les Africains et avec le soutien des partenaires européens. Déjà, 600 militaires français sont sur place. Cet effectif sera doublé d’ici quelques jours, pour ne pas dire quelques heures.

 

La France n’a pas d’autre objectif que de sauver des vies humaines. Je veux que toutes les informations soient données. C’est la raison pour laquelle le gouvernement fournira toutes les explications au Parlement, dès la semaine prochaine.

 

Il y a un an, au Mali, la France était appelée pour lutter contre une invasion terroriste. Elle y est parvenue. Aujourd’hui, dans des circonstances très différentes, la France est attendue pour éviter une catastrophe humanitaire. Elle sera là.

 

J’ai pleine confiance en nos soldats pour mener cette opération. Je sais leur sens du devoir, leur grande qualité professionnelle. Cette intervention sera rapide, elle n’a pas vocation à durer. Je suis sûr de son succès. »

 

Cette décision a été précédée de l’adoption par le Conseil de sécurité des Nations unies de la Résolution 2127 qui prévoit en particulier :

 

    le soutien des Nations unies à la Force africaine, la MISCA dont l’effectif devrait atteindre les 4000 hommes.

    Le soutien par les forces françaises de cette force africaine, avec autorisation d’usage de la force au besoin.

 

Actuellement, plus de 650 militaires français sont déployés à Bangui. Plus de 400 le sont depuis fin mars 2013, et 250 spécialistes des transmissions, du génie et de la logistique sont arrivés depuis la fin novembre.

 

Depuis jeudi soir, les premiers renforts en provenance du Gabon ont été projetés sur l’aéroport de Bangui. Il s’agit de la compagnie parachutiste (COMPARA) du 6e bataillon d’infanterie de marine (6e BIMa) de Libreville. D’autres éléments se préparent dès à présent à renforcer le dispositif français dans la capitale centrafricaine.

 

Durant toute la nuit du 5 au 6 décembre les éléments de la force Sangaris présents à Bangui ont effectué des patrouilles blindées en vue d’interdire la reprise des combats et garantir la sécurité de nos ressortissants.

 

Dans la journée du jeudi 5 décembre, les militaires français contrôlant l’aéroport de Bangui avaient déjà assuré la sécurité d’une foule de près de 2000 centrafricains qui se sont réfugiés auprès d’eux pour fuir les combats.

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 17:45
FFG : DIO au profit des forces gabonaises

 

 

02/12/2013 Sources : EMA

 

Du 21 au 31 octobre 2013, les forces françaises au Gabon (FFG) ont conduit un détachement d’instruction opérationnelle (DIO) au profit des forces gabonaises. Elles seront engagées au sein d’une force multinationale en République Centrafricaine.

 

Les militaires français du peloton blindé du 6e bataillon d’infanterie de Marine (6e BIMa) ont ainsi donné des enseignements techniques et tactiques à des éléments de la garde républicaine gabonaise (GR) et au 2e escadron du bataillon de reconnaissance et de combat (2e ERC). L’apprentissage du combat blindé aux différents niveaux (engin, escouade, peloton) a été complété par la révision des savoir-faire fondamentaux d’instruction sur le tir de combat (ISTC), le sauvetage au combat ou encore les techniques d’intervention opérationnelle rapprochée (TIOR). L’exercice de synthèse s’est déroulé les 29 et 30 octobre au Cap Santa-Clara, à une trentaine de kilomètres au nord-ouest de Libreville.

 

Depuis le début de l’année 2013, le 6èmeBIMa a conduit une dizaine de DIO au profit de l’armée gabonaise et d’armées étrangères. Près de 2600 stagiaires ont été formé par les FFG, dont un millier sont actuellement déployés en opération.

 

Les détachements d’instruction réalisés par les FFG au profit des forces armées des pays de la CEEAC s’inscrivent dans le cadre de la coopération militaire régionale française en Afrique. Mise en œuvre par les forces prépositionnées, cette coopération opérationnelle a pour objectif de soutenir nos partenaires africains dans le renforcement de leur capacité militaires et de leur aptitude à participer aux opérations de maintien de la paix.

 

Avec 940 militaires déployés au Gabon, les FFG constituent la 4ème base militaire permanente prépositionnée en Afrique, après Dakar, Djibouti et la Réunion. Elles constituent un réservoir de forces à dominante aéroterrestre, ayant des capacités aéroportée et amphibie. Les FFG sont projetables dans la sous-région dans le cadre des opérations. Si nécessaire, elles sont également en mesure d’assurer la sécurité des ressortissants français. Ainsi, les FFG arment un détachement permanent basé à Bangui, dans le cadre de l’opération Boali. Par ailleurs et conformément à l’accord de partenariat de défense signé en 2010 avec le Gabon, les FFG assurent des missions de coopération bilatérale avec les forces armées gabonaises.

FFG : DIO au profit des forces gabonaises
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