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14 octobre 2014 2 14 /10 /octobre /2014 12:56
Un rapport dénonce le fiasco financier et calendaire du drone Harfang

Airbus Group a mis près de 270 millions d'euros de sa poche pour livrer le drone Harfang à l'armée française (Crédits : Arméé de l'Air)

 

14/10/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Une facture qui enfle (de 100 à 440 millions d'euros), des délais qui explosent (5 ans de retard), une opération qui est mal évaluée, selon un rapport du ministère de la Défense. Le drone Harfang a cumulé tout ce qu'il ne fallait pas faire.

 

Le Predator aurait pu voler beaucoup plut tôt sous les couleurs de l'armée française. Dès 2003. C'est la petite histoire dans l'histoire chaotique, trop chaotique du SIDM (Système intérimaire de drone MALE). Car Sagem, associé à l'américain General Atomics, proposait en 2001 au ministère de la Défense un système sur la base du drone Predator. Mais c'est finalement Airbus Group (alors EADS), qui est retenu par la DGA (Direction générale de l'armement) pour doter l'armée de l'air d'un drone de surveillance, de reconnaissance et de désignation d'objectif de jour comme de nuit. La plateforme du successeur du drone Hunter est réalisée par le groupe israélien IAI, sur la base du drone Heron.

C'est le début d'un long chemin de croix pour les militaires, qui ne pourront disposer du drone Harfang, d'abord conçu comme une solution intérimaire de courte durée, qu'en 2008... au lieu de 2003. Cette opération non érigée en programme (ONEP) initialement prévue pour être réalisée entre 2001 et 2003, devait être proche d'un achat sur étagère. Elle s'est poursuivie "jusqu'à la fin 2008", note un rapport du ministère de la Défense. "Plus de cinq ans de retard, pour une durée initialement prévue de deux ans, montrent que la difficulté technologique d'une telle opération avait été sous-estimée. De plus, le refus américain d'autoriser l'utilisation de certains composants a créé des problèmes qui ont également retardé le déroulement du programme", explique ce rapport.

 

La facture passe de 100 à 440 millions d'euros

A l'origine, le coût envisagé était relativement limité pour quatre drones (environ 100 millions d'euros), explique le rapport. Mais le résultat est très éloigné de cette évaluation : il a été multiplié par plus de quatre, pour atteindre plus de 440 millions. Selon le rapport, le coût de réalisation (163 millions) ne représente que la moitié des coûts identifiés jusqu'en octobre 2013, le soutien (contractualisé et interne) atteignant près de 100 millions d'euros, tandis que le coût d'utilisation s'élève à 36 millions d'euros. Pour une utilisation jusqu'à 2017, les coûts de soutien et d'utilisation sont évalués à plus de 120 millions d'euros, dont près de 22 millions d'utilisation: soit 440 millions d'euros.

Airbus Group a effectué, pour sa part, plus de 130 millions d'euros de dépenses propres, auxquelles peuvent être ajoutés plus de 120 millions d'euros pour les études du futur drone MALE. Il a par ailleurs eu à s'acquitter de 18,5 millions d'euros de pénalités. Soit près de 270 millions d'euro de sa poche.

 

Une opération mal évaluée

Lors du lancement de l'opération, les difficultés de réalisation ont été "mal évaluées, notamment en matière de navigabilité ou de capacité de vol". Airbus Group "n'a pas tenu ses engagements, notamment en termes calendaires". En revanche, le rapport du ministère estime que "les équipements livrés apportent aujourd'hui une capacité essentielle aux forces, et leur intégration dans la chaîne opérationnelle est maintenant bien maîtrisée". Les auteurs du rapport reconnaissent que certaines étapes de la réalisation du drone "ont connu des problèmes difficilement prévisibles".

Pour autant, en dépit des difficultés de ce programme, l'emploi du drone Harfang a été "décisif en Afghanistan et au Mali". Ces drones ont pu être employés en opérations extérieures, notamment en Afghanistan dès 2009, avant même d'avoir toutes leurs capacités. Celles-ci ont été apportées par la suite et utilisées au Mali. Ils ont montré une "excellente intégration dans la manoeuvre aérienne et terrestre".

 

Et maintenant ?

Comme toujours, en matière de drones, le futur est toujours compliqué en France. Des travaux sont actuellement menés pour maintenir jusqu'en 2017 le système Harfang actuel. Au-delà, il est prévu que la capacité de drones MALE soit assurée par des systèmes Reaper (un premier système a été acheté et livré en 2013) et les réflexions se poursuivent pour les drones futurs. "Quant au système pérenne qui doit lui succéder, espéré depuis 2001 et aujourd'hui envisagé pour 2020, il risque de connaître également un glissement de calendrier de plusieurs années, notamment s'il s'agit de développer un drone de conception européenne", estime le rapport.

La France dispose dans ce domaine de capacités industrielles certaines, estime le rapport, mais il lui est difficile d'y rester présente face aux Américains. "Il lui faut néanmoins tenter de poursuivre cette activité, notamment dans le domaine des équipements pour lequel les industriels ont des compétences reconnues", précise-t-il. Pourtant, les drones, qui sont de plus en plus indispensables aux armées, ont un intérêt opérationnel essentiel. "Les drones ne remplacent pas des capacités existantes mais apportent des capacités nouvelles (notamment l'endurance longue de 24 heures et la surveillance à distance de la base)". Enfin, "si l'on compare les missions effectuées avec celles d'un avion de combat, le coût global d'une heure de surveillance d'un drone est bien moins coûteux: celui-ci assure en effet une permanence longue et ne nécessite pas d'avion ravitailleur pour effectuer le transit".

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10 octobre 2014 5 10 /10 /octobre /2014 06:20
Much Ado about "Killer" Drones


9 Oct.,2014 by Lazarus - informationdissemination.net


The recent successful test of a swarm of U.S. small boats for escort duties has again triggered questions regarding the use of “killer” drone vehicles. Antiwar groups, legal scholars and even the United Nations have taken strong stands against the use of so-called “killer robots” by the United States. Although many of these protests stem from the use of unmanned aerial vehicles (UAV’s), there is a developing general unhappiness with drone units. This is unfortunate since unmanned vehicles represent the best means for the U.S. and other Western states to increase their military capabilities against the threat of rising or rouge states bent on aggressive activity. Much of the public mistrust of drones has been shaped by science fiction stories and films rather than science fact. Drones have in fact been a distinct part of warfare since the development of mine. Finally, while platforms with unfortunate names like the Predator and Reaper have become the demon “poster children” of drone warfare, there are many other well developed and controlled offensive and defensive applications of drone units that cannot be ignored by U.S. and Western military planners.

 

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9 octobre 2014 4 09 /10 /octobre /2014 12:20
Unmanned-Aircraft Industry Divided Over New Name for Drones: Reports


 

MOSCOW, October 9 (RIA Novosti)

 

The unmanned aircraft industry rejects the term "drone" claiming it is technically inaccurate, however companies are divided on a new name for the devices, The Wall Street Journal reported Thursday.

"We need another name for it, but I'm not sure what that new name should be," venture-capital executive Zack Porter was quoted as saying by WSJ.

According to the newspaper, unmanned-aircraft developers believe the term "drone" gives the devices a poor militaristic reputation. Alternative names include UAV (unmanned aerial vehicle), UAS (unmanned aircraft system), RPA (remotely piloted aircraft), RPAS (unmanned aircraft system), or simply, robot. One patent attorney, John Mulcahy, has suggested the term "crone" for commercial drones.

Michael Toscano, chief executive for the Association for Unmanned Vehicle Systems International said the term drone makes most people think "weaponized, hostile, large and autonomous," and prefers the name UAS since it encompasses the entire system, including "the technology on the ground with the human at the controls," according to The Wall Street Journal.

However, the former general counsel of the unmanned aircraft trade group, Ben Gielow rejected any name using the misleading term "unmanned" and stated, "We have to stop defining the technology by what it's not. They used to call the car a horseless carriage," the newspaper reported.

Some companies have settled on names for their devices, like Wasp, TigerShark, Predator and Reaper, while others have created names based on how many propellers they have. The US military is also divided on the matter with the Navy using UAV, the Coast Guard calling them UAS, and the Air Force calling them RPA. The Federal Aviation Administration and Congress have agreed upon the name of UAS for the devices in legislation and official documents.

There are others in the industry that are not opposed to the word, claiming more people are familiar with the term "drone" than any other name. According to data from Google Trends, searches for "drone" exceed any alternative names and has remained the most popular name for the devices since 2010.

The name "drone" was first coined in 1935 by the British Royal Navy who began using unmanned aircraft as aerial targets for shooting practice following developments in the United States. The United Kingdom named its device the Queen Bee which led to the Navy calling its targets "drones," the term for male bees. Evidence of the media using the term has been traced to 1946 when Popular Science reported on the devices.

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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 07:45
Paramount to develop mid-size UAV as it grows unmanned product range

 

07 October 2014 by Guy Martin - defenceWeb

 

Paramount Advanced Technologies will start development work on a light medium-altitude long-endurance unmanned aerial vehicle (MALE UAV) next year, after expanding its unmanned aircraft range with the recently launched Mwari and Roadrunner platforms.

 

The new UAV will weigh between 500 and 600 kilogrammes and will have an endurance of up to 24 hours, Paramount officials said after unveiling the Mwari and Roadrunner small UAVs at the Africa Aerospace and Defence (AAD) 2014 exhibition at Air Force Base Waterkloof.

 

The 25 kg Mwari is based on a scaled down model of the Advanced High Performance Reconnaissance Light Aircraft (AHRLAC). Paramount used experience gained with its quarter scale unmanned flying AHRLAC model to produce the Mwari.

 

Jan Vermeulen, Business Development at Paramount Advanced Technologies, said that the company finished producing two Mwari prototypes a couple of months ago ahead of the type’s launch at AAD. He added that several potential customers have expressed interest in the type, which features a sensor turret in the nose. Endurance is four hours and line of sight range is 40 km.

 

The new Roadrunner UAV was designed with a rhomboid wing for high strength and compact dimensions – wingspan of the 15 kg aircraft is 1.5 metres. Vermeulen said the configuration gives a high speed range, making it less susceptible to bad weather. The UAV will be available in a variety of different engine configurations for speeds ranging from 70 to 300 km/h depending on whether petrol, electric or jet engines are used. An electric engine will give an endurance of 45 minutes while a fuel engine will provide a range of around two hours. Vermeulen said the aircraft has flown with turbine, propeller and ducted fan engines and that the next stage is to fly with a petrol propeller engine.

 

The Roadrunner is launched by catapult and either stalled and landed on its belly or caught via a net. Sensors include an infrared camera and electro-optical sight. The aircraft will be ready for production around January 2015, according to Paramount.

 

Also showcased at AAD 2014 were some of Paramount Advanced Technologies’ other UAVs, which were developed from experience gained by the acquisition of Advanced Technologies and Engineering (ATE). The 5 kg Civet tactical UAV is powered by an electric motor giving an endurance of one hour and a line of sight range of 15 km. The aircraft is already in service in Namibia’s national parks and with surveying companies. The Civet, Roadrunner and Mwari all share the same payload.

 

Vermeulen said that that Paramount Advanced Technologies acquired 30 years of UAV experience from ATE and is aggressively expanding its unmanned aircraft systems portfolio. An important part of the company’s strategy is to develop unique software and payloads that enhance platform effectiveness, such as software that can automatically detect and track targets and notify the operator, so he does not have to look at his screen all the time.

 

Paramount aims to integrate its unmanned vehicles with its various air, land and sea products for a better combined solution. Its recently launched Robotics division is exploring unmanned ground, sea and subsurface vehicles using common hardware and software. On the ground vehicle side, Paramount is exploring the use of unmanned vehicles for threat detection with the possibility of having a robotic sensor/prodder to deal with improvised explosive devices.

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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 06:40
Ukraine/mission de l'OSCE: 40 nouveaux observateurs arriveront dimanche

 

MOSCOU, 7 octobre - RIA Novosti

 

Quarante observateurs se rendront dimanche en Ukraine pour compléter la mission spéciale d'observation (MSOU) déployée dans ce pays par l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe, a annoncé mardi l'OSCE sur sa page Twitter.

 

"Le nombre d'observateurs de la MSOU va bientôt atteindre 500 personnes. Nous attendons dimanche l'arrivée de 40 nouveaux observateurs", lit-on dans le message Twitter.

 

Le président ukrainien Piotr Porochenko a antérieurement demandé à l'OSCE de porter le nombre d'observateurs internationaux à 1.500 personnes.

 

Créée pour superviser la situation en Ukraine, en particulier dans l'est du pays, la mission de l'OSCE a commencé ses activités en mars dernier. Le chef de la MSOU, Ertugrul Apakan, a déclaré mi-septembre qu'au cours des deux prochains mois, les effectifs de la mission atteindraient le nombre de 500 personnes prévu par le mandat.

 

photo OSCE SMMU

photo OSCE SMMU

Selon M. Apakan, la nécessité d'élargir la mission de l'OSCE en Ukraine résulte des nouvelles tâches fixées à ses membres en matière de supervision du cessez-le-feu. Il s'agit notamment de nouveaux projets: l'utilisation de drones d'observation et le monitorage des zones de sécurité mises en place le long de la frontière russo-ukrainienne.

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 17:50
Ukraine : des drones français et allemands pour surveiller le cessez-le-feu

Le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, a assuré que la France et l'Allemagne allaient « tout faire » pour que cessent les violations de la trêve entre l'armée ukrainienne et les prorusses.

 

05.10.2014 Le Monde.fr avec AFP et Reuters

 

La France et l'Allemagne vont envoyer « dans les prochains jours » des drones pour surveiller le respect du cessez-le-feu dans l'est de l'Ukraine, a annoncé le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, dimanche 5 octobre.

 

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 13:55
photo RP Defense

photo RP Defense

 

06/10/2014 - Par aeronewstv.com

 

A l'occasion du 80ème anniversaire du site de Sagem à Montluçon situé à 330 km au sud de Paris et spécialisé dans la navigation, notamment dans la fabrication de drones tactiques, nous avons découvert le dernier né du constructeur français, le drone Patroller. Ce prototype est un drone tactique de classe une tonne conçu sur la base d'un avion civil allemand le Stemme  S-15.

 

La taille de ce drone avec ses 18 mètres d'envergure lui permet une autonomie d'action pouvant aller jusqu'à 20 heures de vol à plus de sept km d'altitude et 30 heures avec une deuxième batterie embarquée. Le Patroller a été développé sur fond propre. L'équipement optronique développé par Sagem  permet de répondre aux exigences d'une surveillance civile ou militaire. Cette boule gyrostabilisée, à savoir un système optique stabilisé par des gyroscopes, permet de détecter une cible mouvante à plus de 15 km de distance et de distinguer nettement une personne à plus de trois kilomètres, de jour comme de nuit.

Ces performances confortent la position de leader mondial de Sagem pour la fabrication de ces équipements optroniques. L'entreprise travaille déjà sur un nouveau prototype, pour succéder au modèle Euroflir 410.

 

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4 octobre 2014 6 04 /10 /octobre /2014 21:40
L'Allemagne pourrait envoyer 200 militaires en Ukraine

 

MOSCOU, 4 octobre - RIA Novosti

 

Berlin pourrait envoyer 200 militaires en Ukraine pour contrôler l'application du régime de cessez-le-feu dans l'est du pays, rapporte samedi le journal allemand Bild citant des sources proches du dossier.

 

Selon le quotidien, 150 soldats surveilleront la situation dans la zone de crise à l'aide de drones, et 50 autres devront protéger les membres de la mission d'observation spéciale de l'OSCE.

 

Dans le même temps, le journal indique que l'OSCE n'a pas encore pris de décision sur la façon de surveiller le respect du cessez-le feu en Ukraine. Si l'organisation décide d'utiliser des drones allemands à ces fins, les militaires allemands seront prêts à les piloter, mais leur participation à la mission devrait d'abord recevoir l'approbation du Bundestag.

 

Kiev a lancé le 15 avril dernier une opération dite antiterroriste en vue de réprimer la révolte qui a éclaté dans le Donbass suite au renversement du régime du président Viktor Ianoukovitch. Les hostilités ont fait environ 3.600 morts et plus de 8.400 blessés parmi les civils, selon les données des Nations unies, et causé des destructions importantes.

 

Le 5 septembre, les autorités de Kiev ont signé à Minsk un accord de cessez-le-feu avec les républiques populaires autoproclamées de Donetsk et de Lougansk. Les deux parties s'accusent mutuellement de violer le cessez-le-feu, bien que les observateurs internationaux constatent que la trêve est globalement respectée.

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3 octobre 2014 5 03 /10 /octobre /2014 11:20
AeroVironment to supply Raven and Puma spare parts to US Army

A US soldier assembles a RQ-11 Raven UAV for aerial tactical Reconnaissance of insurgents in Taji, Iraq. Photo: courtesy of the US Department of Defense, photo by tech sergeant Russell E. Cooley IV, US Air Force (released).

 

3 October 2014 army-technology.com

 

AeroVironment has been awarded a series of contracts for the supply of unmanned aircraft system (UAS) spare parts to the US Army.

 

The contracts have a combined value of $27.2m, and cover the delivery of spare parts for the RQ-11B Raven and RQ-20A Puma AE systems.

 

AeroVironment UAS business segment senior vice-president and general manager Roy Minson said: "Recapitalising the army's large fleet of Raven and Puma AE systems ensures that soldiers have the most effective and reliable small UAS available to support them, wherever and whenever required.

 

"With AeroVironment original spare parts and upgrades, operators can continue to rely on our combat-proven solutions to deliver better information on-demand, and help them operate more safely and effectively."

 

The latest orders take the total value of contracts received by the company since May for Raven and Puma AE UAS spare parts and Raven upgrades to $77.6m.

 

Weighing 4.5lb, the RQ-11B Raven is a lightweight SUAS, designed for rapid deployment and high mobility for military operations, such as low-altitude intelligence, surveillance, and reconnaissance and target acquisition missions at ranges of up to 10km.

 

Comprising three aircraft, two ground control stations and spares, the backpackable, hand-launched sensor platform is widely used by US forces for base security, route reconnaissance, mission planning and force protection operations.

 

The Puma AE is a third-generation, man-portable and hand-launched SUAS, designed primarily for intelligence, surveillance, target acquisition and reconnaissance missions.

 

Each Puma system features three air vehicles and two ground-control systems. It can fly at a maximum speed of 83km/h and stay airborne for a maximum of two hours using a rechargeable battery.

 

The drone can also be configured to perform battle damage assessment, maritime intervention operations, visit board search seizure and search and rescue, as well as port and coastal patrolling and drug interdiction missions.

 

Deliveries under the contract are expected to start within the next year.

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 07:50
Watchkeeper - Army's next generation of Unmanned Air System


30 sept. 2014  British Army

 

The Army’s next generation of Unmanned Air System (UAS) - Watchkeeper - is now fully operational in Afghanistan.

Gathering crucial information from the battlefield, Watchkeeper, which is unarmed, will provide UK troops with life-saving surveillance, reconnaissance and intelligence. It will also give personnel on the ground greater situational awareness, helping to reduce the risk of threats.

Read the full story: http://www.army.mod.uk/news/26578.aspx

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 17:50
Drone tactique : le Watchkeeper de Thales déployé en Afghanistan

Armement Le drone tactique Watchkeeper a effectué ses premiers vols opérationnels en Afghanistan

 

29/09/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Fabriqué en partenariat entre Thales UK et le groupe israélien Elbit Systems, le drone Watchkeeper a effectué ce lundi ses premiers vols opérationnels en Afghanistan.

 

C'est une très bonne publicité pour Thales. Certainement la meilleure. Le ministère de la Défense britannique a annoncé ce lundi que le drone tactique Watchkeeper fabriqué en partenariat entre Thales UK et le groupe israélien Elbit Systems avait effectué ses premiers vols opérationnels en Afghanistan. D'autant que cette annonce survient alors que d'autres pays (France, Pologne...) évaluent le Watchkeeper pour répondre à leurs besoins en termes de drones tactiques.

Thales ne s'y est pas trompé en communiquant sur ce déploiement. "C'est une étape importante pour le ministère de la Défense britannique, pour Thales et plus largement pour l'industrie aéronautique européenne, a expliqué le patron de Thales UK, Victor Chavez. Elle a pu être franchie par l'obtention d'une certification de sécurité, ce qui est une première dans l'histoire des drones. Le système inclut un grand nombre d'innovations technologiques majeures. En particulier, son radar à ultra haute résolution et son système de décollage et d'atterrissage automatique offrent des capacités remarquablement efficaces à l'armée de terre britannique".

 

Mis en service en mars par le MoD

En mars dernier, le ministère de la Défense britannique (MoD) et l'Autorité de l'aviation militaire (MAA) ont autorisé la mise en service de ce système développé par Thales pour l'armée britannique. Watchkeeper est certifié au même niveau de sécurité que les avions pilotés, avait alors assuré Thales dans un communiqué. Selon Thales, Watchkeeper qui est le "premier drone à obtenir une autorisation de mise en service" est "également le seul de sa catégorie à avoir la permission de voler dans l'espace aérien britannique".

Le Watchkeeper est un système multi-capteurs tout-temps qui peut fournir 24 heures sur 24 une capacité de renseignement, de surveillance et de reconnaissance, n'importe où dans le monde, assure Thales.

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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 15:35
Thales welcomes Watchkeeper operations for British Army in Afghanistan


 

September 29, 2014 Thales Group
Key points
  • Watchkeeper begins operations in Afghanistan.
  • Providing information, surveillance and reconnaissance (ISR) support and protection for British forces.
  • Major milestone for Europe’s leading tactical UAV.

 

The UK Ministry of Defence (MOD) today announced the first operational flights in Afghanistan of Thales’s unmanned air system, Watchkeeper.

Commenting on the announcement, Victor Chavez, CEO of Thales UK, said: "It is a proud moment for everyone at Thales to receive the great news that Watchkeeper is operational in Afghanistan, supporting and protecting British forces on the ground. It is an important milestone for the MOD, Thales and the wider European aerospace industry, made possible by its ground-breaking safety certification. The system embodies a number of major technological innovations including ultra-high resolution, multi-modal radar and automatic take-off and landing to deliver an outstandingly effective military capability for the British Army.”

The news comes as other countries assess Watchkeeper for their tactical unmanned requirements.

Thales is the prime contractor for Watchkeeper. The programme has established the company as a leader in unmanned air systems, setting new benchmarks in safety. Watchkeeper secured the first Statement of Type Design Assurance from the Military Aviation Authority for an unmanned air system, a critical step to ensure the best in class system. Watchkeeper was given a Release To Service (RTS) in March 2014.

Thales has also delivered a new comprehensive training capability based at MOD Larkhill and Boscombe Down, and has helped to establish Aberporth, West Wales as a leading UAV Testing Centre in Europe.

Watchkeeper is a dual sensor, all-weather system that can provide round-the-clock intelligence surveillance and reconnaissance, anywhere in the world.

 

“Watchkeeper is the first Unmanned Air System developed and built in the UK to become operational and will be a significant surveillance and reconnaissance capability for the Army for years to come. There is no doubt that it will prove to be a battle-winning technology. Watchkeeper will provide real-time information for troops conducting operations on the ground, allowing them to understand better and thereby overcome threats they may face. ”

Michael Fallon, British Defence Secretary

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29 septembre 2014 1 29 /09 /septembre /2014 11:50
Le Centre d'Information Maritime reçoit à nouveau l’aide des UAV (Belgique)
 
24.09.2014 MIL.be

 

Depuis le début du mois de septembre, les avions sans pilotes (UAV) surveillent à nouveau les eaux territoriales belges. Ces opérations se déroulent au départ du Centre d'Information Maritime (CIM) situé à la base navale de Zeebruges.

 

Les avions sans pilote de la 80ème Escadrille UAV de la Défense recherchent principalement les navires qui polluent illégalement la mer du Nord. Leur secteur s'étend de la frontière belgo-française à Zeebruges. Tout cela à une altitude de 2000 mètres. Jusqu'à présent, les patrouilles des UAV totalisent 88 heures de vol.

Afin que les services compétents puissent analyser rapidement les diverses situations, un analyste du 80 UAV est en poste à Zeebruges, dans les locaux du CIM. Il est en contact permanent avec l'observateur en temps réel qui commande l'appareil depuis la base aérienne de Coxyde.

Tous les actes de pollution commis par les navires sont rapportés à la Direction générale de l'Environnement du Service public fédéral Santé publique, compétent en la matière.

Depuis 2008, le CIM officie comme centrale de la garde côtière belge et constitue, avec le Centre de Coordination et de Sauvetage maritime (CCSM) situé à Ostende, la branche opérationnelle de la garde côtière belge. C'est ici que sont centralisées toutes les informations traitant de la sécurité maritime des côtes belges. Au sein du CIM, trois partenaires assurent une permanence : la Défense, la police de la navigation et les douanes.

Ces trois instances ont chacune leurs tâches propres et tiennent à jour les bases de données reprenant tous les mouvements des navires dans l'espace maritime belge. Au sein du CIM, toutes ces informations sont rassemblées, analysées et partagées. Une tâche essentielle si l'on considère le trafic devant nos côtes comme un des plus denses du monde.

Les partenaires de la garde côtière et la Santé publique luttent constamment et de manière toujours plus intensive contre la pollution aux hydrocarbures en mer du Nord. Le nombre de dégazages illégaux semble diminuer. De cette manière, notre chaîne alimentaire et les organismes vivant en mer et sur la plage ne sont pas perturbés.

Pour le moment, la Belgique est le seul pays bordant la mer du Nord à utiliser les UAV comme moyen de contrôle des dégazages de navires en mer. La Belgique échange les informations de ses UAV dans le cadre des Accords de Bonn (les pays de la mer du Nord ainsi que l'Irlande), un accord régional régissant la collaboration en matières de surveillance et de lutte contre la pollution maritime.

D'autres pays montrent également un intérêt pour l'utilisation des UAV destinés à la surveillance maritime. Dans la plupart de ces pays, les autorités peuvent surveiller la pollution en mer, mais ils ne disposent pas de ces moyens. Voici donc un bel exemple de la mise en œuvre de moyens militaires au profit de la communauté.

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Le Centre d'Information Maritime reçoit à nouveau l’aide des UAV (Belgique)
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26 septembre 2014 5 26 /09 /septembre /2014 16:50
La livraison en drone c'est maintenant !

 

source Supply Chain Magazine - NL 1905

A l'heure où outre-Atlantique, Amazon et Google rêvent de livrer un jour des colis par les airs, l'Allemand DHL commence déjà ses premiers vols réguliers de livraison par drone, en conditions réelles. Pour bénéficier de cette prouesse technique, il faut quand même remplir quelques conditions : avoir un besoin urgent de médicament, et surtout se trouver sur l'île de Juist, en Mer du Nord. Dans le cadre d'un projet de recherche, DHL a en effet obtenu l'autorisation de la part du Ministère allemand des Transports et des Infrastructures numériques d'utiliser un couloir aérien réservé pour effectuer la livraison par drone de médicaments et autres produits de première nécessité. Construit par la société Microdrones GmbH, le Parcelcopter de DHL va effectuer des vols réguliers, entièrement automatisés (y compris le décollage et l'atterrissage, même si une surveillance est assurée en temps réel depuis une station au sol à Norddeich pour des raisons de sécurité), sur les 12 km qui séparent le continent de l'île de Juist, à une altitude de 50 m et à une vitesse de 18 mètres par seconde (65 km/h). Selon DHL, cette option sera privilégiée quand d'autres solutions telles que les ferries et les vols traditionnels ne seront pas disponibles. Un conteneur très léger, étanche et résistant aux intempéries a été mis au point spécialement par DHL pour ce projet pilote. Le transporteur précise bien qu'il n'est pas prévu actuellement d'envisager le Parcelcopter pour des livraisons de colis « standards », mais seulement pour livrer en urgence dans des régions isolées ou faiblement peuplées. JLR

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24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 16:50
Orbiter 2B unmanned air systems (UAS) - photo Aeronautics Defense Systems

Orbiter 2B unmanned air systems (UAS) - photo Aeronautics Defense Systems

 

24.09.2014 By: Arie Egozi – FG

 

Tel Aviv - Aeronautics Defense Systems is in the process of supplying a second batch of Orbiter 2B unmanned air systems (UAS) to the Finnish army.

 

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24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 11:55
photo E-Props

photo E-Props

 

23 septembre Aerobuzz.fr

 

Hélices E-Props vient de réceptionner son nouveau bâtiment sur la zone artisanale de l’aérodrome de Sisteron : un hangar de 500 m² qui s’ajoute à l’atelier Electravia de 1.000 m² déjà dédié à la fabrication d’hélices carbone de 3ème génération. Ce nouvel atelier accueille plusieurs centres de production numériques pour la production en série d’hélices de drones.

 

Hélices E-Props réalise plus de la moitié de son chiffre d’affaires annuel à l’export, dans 42 pays, concevant et fabriquant des hélices 100 % carbone, à pas réglable au sol ou variable en vol, qui offrent des performances exceptionnelles aux drones, avions, ULM et paramoteurs.

 

En septembre 2014, la société fête ses 6 ans. L’équipe est constituée de 6 personnes, et des embauches sont prévues pour faire face aux commandes d’hélices.

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20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 07:20
MQ4C Triton Unmanned Aircraft System Completes First Cross-Country Flight


19 sept. 2014 All Hands Update


The MQ-4C Triton Unmanned Aircraft System completes its first cross-country flight.

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18 septembre 2014 4 18 /09 /septembre /2014 16:30
Israel’s ‘AirMule’ in Flight Testing

 

September 15, 2014 by Bryant Jordan - defensetech.org

 

An Israeli company that spent a decade developing an autonomous, unmanned vertical takeoff and landing craft utilizing internal lift rotors says its first prototype is now going through flight tests and it’s at work on a second prototype.

Called the AirMule, the rotorcraft is envisioned for use as an unmanned transport – ferrying supplies into a combat zone or taking out wounded – operating in areas where helicopters and fixed-wing planes cannot.

 

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18 septembre 2014 4 18 /09 /septembre /2014 07:40
L'OSCE recrute 250 observateurs pour l'Ukraine

 

17.09.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense


La mission spéciale de l'OSCE pour l'Ukraine recrute 250 "monitoring officers". Les candidatures doivent parvenir à l'organisation d'ici au 31 décembre 2014.

On trouvera ici l'annonce pour ce post et les détails. Parmi les compétences recherchées: connaissance dans l'utilisation des drones, connaissance de l'Europe de l'est et, si possible, des langues russes et ukrainienne.

La procédure de candidature implique l'inscription au site de iRecruitment de l'OSCE

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17 septembre 2014 3 17 /09 /septembre /2014 07:55
Les Drones à tout faire


17 sept. 2014 ministeredeladefense

 

les drones s'invitent à Bordeaux. Ces engins volants télécommandés ont fait leur show sur la base aérienne 106 de Bordeaux-Merignac, à l'occasion du salon UAV SHOW, du 9 au 11 septembre 2015, une manifestation qui a rassemblé tous les professionnels, civils et militaires, et les industriels.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:45
Les drones US pourraient s'installer sur l'aéroport de Dirkou dans le nord du Niger


13.09.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Suite de mon post du 2 septembre sur l'installation de drones US dans le nord du Niger.

C'est sur l'aérodrome de Dirkou (code OACI : DRZD) que les Américains pourraient déployer leurs drones. Cette ville d'une quinzaine de milliers d'habitants est située dans le département de Bilma. Son oasis se trouve sur la route qui va de Tripoli vers le lac Tchad. 

Situé à 560 km au nord-est d'Agadez, Dirkou dispose d'un aérodrome qui est situé 2 km au sud-ouest du centre-ville. La piste bitumée de l'aérodrome mesure 1 600 m de long sur 40 m de large.

Le vendredi 12 septembre a été mis en ligne un appel d'offres du Contracting Dept de l'US Army (Solicitation Number: W56PFY-14-T-0098) pour des prestations de transport routier entre Niamey et Dirkou (et non pas Agadez). La nature du fret militaire transporté n'est pas précisé dans l'avis.

Si la piste de Dirkou était utilisée par les Américains, elle leur permettrait de surveiller, au plus près, le sud libyen et la zone de transit des trafics sahéliens.

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 16:30
Israël renonce à livrer des drones à l'Ukraine

 

TEL AVIV, 16 septembre - RIA Novosti

 

Les autorités israéliennes ont renoncé à vendre des drones à l'Ukraine afin de ne pas compromettre les relations avec Moscou, rapportent mardi les médias locaux.

 

Selon la chaîne de télévision Aroutz 2, le ministère des Affaires étrangères a bloqué le contrat conclu entre l'Ukraine et le constructeur israélien des drones Aeronautics et approuvé par le ministère de la Défense. Aucun commentaire officiel sur ce sujet n'est disponible pour le moment.

 

La chaîne indique que la Russie a à plusieurs reprises pris en considération les intérêts sécuritaires d'Israël, en renonçant notamment aux livraisons de certains types d'armes en Syrie et en Iran. L'Etat hébreu a pour sa part suspendu sa coopération militaro-technique avec la Géorgie en 2008, peu avant le conflit en Ossétie du Sud.

 

Les autorités israéliennes s'abstiennent de se prononcer publiquement sur la crise politique en Ukraine, qui a dégénéré en affrontements meurtriers dans le sud-est du pays et compliqué les relations entre la Russie et l'Occident. Le chef russophone de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman s'est toutefois déclaré prêt à contribuer à la normalisation des rapports entre la Russie et l'Ukraine, qualifiant ces deux pays d'"amis de l'Etat hébreu".

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15 septembre 2014 1 15 /09 /septembre /2014 11:55
Des drones autonomes en passe de révolutionner la sécurité des sites privés
 
Septembre 12, 2014 electronique-eci.com

 

 A la tête d'une équipe d'ingénieurs de toutes nationalités, Cédric Cocaud, un jeune ingénieur nord-américain, titulaire d'un doctorat en Génie électrique et systèmes d'information au Japon a conçu et développé son projet aux Etats-Unis pendant deux ans avant de choisir de s'installer en Europe et plus précisément en France. Sky Défense, sa petite entreprise basée en région parisienne, s'apprête à lancer un système de surveillance par drones autonomes qui va révolutionner la sécurité des sites professionnels privés (chantiers, sites industriels de grande surface, sites d'exploitation exposés aux intrusions...).


Le principe :

Des drones équipés de caméras décollent seuls de leur base et se déplacent, de nuit comme de jour sur un site, de façon autonome et aléatoire en modifiant leurs trajets ou leurs horaires. Ils peuvent identifier une intrusion, s'approcher des intrus, les enregistrer et reconnaître (par comparaison) des visages ou des plaques d'immatriculation et transmettre des données (images et vidéos) en temps réel vers des sites distants où un opérateur peut décider de prévenir une équipe d'intervention ou de prendre le contrôle du drone pour entrer en contact avec les intrus. Leur ronde terminée, les drones effectuent seul leur retour vers la station de rechargement.

Amélioration de la protection du site, baisse des coûts de sécurité, diminution des risques pour le personnel de sécurité, sont quelques uns des nombreux avantages de ces drones, dont les premiers exemplaires pourront être livrés dès le mois de juin 2015.

En attendant, le fondateur de Sky Défense cherche des partenaires ; mais au regard d'un taux de croissance qui s'annonce à trois chiffres pour les cinq premières années et de l'étendue des marchés potentiels, on peut imaginer qu'il n'aura pas trop de difficultés à boucler son tour de table.

www.skydefense.com

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15 septembre 2014 1 15 /09 /septembre /2014 09:55
Patroller - photo RP Defense

Patroller - photo RP Defense

 

12 septembre 2014 par Frédéric Lert – Aerobuzz.fr

 

Au salon UAV Show de Bordeaux (9-11 septembre 2014), Thales, Sagem (groupe Safran) et Airbus Defence and Space étaient venus en force avec les drones Watchkeeper, Patroller et Tanan. La publication d’un appel d’offre pour la fourniture à l’armée de Terre française de son futur drone tactique est attendue dans les semaines à venir.

 

UAV Show, salon du drone de Bordeaux (9-11 septembre 2014), qui vient de fermer ses portes sur la BA 106, s’est caractérisé pour sa troisième édition par la présence des principaux acteurs du secteur. C’est un signe de réussite indubitable, qui s’explique notamment par l’actualité, avec en toile de fond une compétition majeure pour l’équipement de l’armée de Terre française. En ligne de mire, le remplacement du drone SDTI en service depuis 2001 sous les couleurs du 61ème régiment d’artillerie de l’armée de Terre. Les SDTI, alias Sperwer de la société Sagem (groupe Safran) ont réalisé environ 2.000 missions opérationnelles en Afghanistan, pour la perte d’une douzaine d’appareils. La moitié des accidents ont eu lieu à l’atterrissage, la caillasse afghane n’ayant jamais été tendre avec le Sperwer qui revient sur terre accroché sous un parachute.

 

Après des années de tergiversations, un appel d’offre est à présent attendu dans les semaines qui viennent pour trouver un remplaçant à cet appareil, avec une mise en service prévue autour de 2017. C’est du moins ce qui ressort de la Loi de Programmation Militaire. Certes, la France n’a plus d’argent, mais les dernières opérations africaines ont de nouveau mis en évidence le besoin pour de tels appareils capables d’apporter à moindre coût une surveillance efficace au niveau tactique. En filigrane apparaît également la volonté de structurer la filière drone française et de créer un champion capable, rêvons un peu, d’exporter son savoir-faire dans le monde entier. Et c’est ainsi que Thales, Sagem et Airbus, les poids lourds du secteur en Europe, se font face depuis plusieurs années.

 

Suite de l'article

Watchkeeper photo Richard Seymour - Thales

Watchkeeper photo Richard Seymour - Thales

Tanan 300 UAS - Airbus DS

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 16:55
Gruau mise sur les drones

 

12 septembre, 2014 Frédéric Lert (FOB)

 

Le salon des drones de Bordeaux-Mérignac (UAV Show) a donné l’occasion à Gruau de présenter un premier véhicule spécifiquement aménagé pour la mise en œuvre des drones légers. Sur une base de Citroën Berlingo, le véhicule emporte des armoires de rangement, un plateau pour l’emport du drone, une source d’énergie autonome (groupe électrogène et batterie) et une tablette permettant d’utiliser un PC portable. Gruau, qui est le spécialiste de la carrosserie sur véhicule utilitaire, n’en est pas à son coup d’essai puisque l’a société a déjà fourni cinq fourgons aménagés au groupe Intra, spécialiste des interventions robotiques sur accident. Mais il ne s’agissait encore que d’emporter des drones terrestres. La différence est à vrai dire assez mince, Gruau proposant des aménagements sur mesure à ses prospects. Qu’il s’agisse de drone à roulettes ou drone volant, les besoins restent similaires en matière de fourniture d’énergie, de rangement d’outillages et de station de pilotage. Avec cet aménagement, le carrossier mise sur le développement de l’usage des drones dans un très large éventail de missions, depuis la surveillance jusqu’à l’agriculture, en passant par l’industrie, l’énergie ou encore l’environnement.

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