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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 16:20
Triton's First Flight

5/22/2013 Strategy Page

 

PALMDALE, Calif. (May 22, 2013) The Northrop Grumman-built Triton unmanned aircraft system completed its first flight from the company's manufacturing facility in Palmdale, Calif. The one an a half hour flight successfully demonstrated control systems that allow Triton to operate autonomously. Triton is specially designed to fly surveillance missions up to 24 hours at altitudes of more than 10 miles, allowing coverage out to 2,000 nautical miles. The system's advanced suite of sensors can detect and automatically classify different types of ships. U.S. Navy photo courtesy of Northrop Grumman by Bob Brown

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 11:45
Kenya to get UAVs to monitor small arms trafficking as insecurity worsens

22 May 2013 by Oscar Nkala - defenceWeb

 

The United States and Japan have agreed to fund Kenya to purchase unmanned aerial vehicles (UAVs) for border patrol duties as the country steps up efforts to crack down on small arms trafficking.

 

Patrick Ochieng, director of the Kenya Focal Point on Small Arms and Light Weapons, said that the two countries would help fund the purchase of UAVs, which would cut down on crime in Kenya.

 

The move followed shortly after the government announced plans to acquire firearms detectors to be deployed at border posts to search for firearms and other ordnance in cars, luggage and bulk haulage vehicles.

 

According to a recent survey conduct by the Kenya Action Network on Small Arms, the country is awash with more than 600 000 illegal firearms while the capital Nairobi is one of the biggest open markets for illegal small arms after Mogadishu.

 

Addressing journalists during a tour of the restive northern town of Garissa late last week, Ochieng said Kenya urgently needed the UAVs to monitor porous borders and track the movement of illegal weapons which are flowing freely from the wars in neighbouring Ethiopia and Somalia into Kenya and Tanzania.

 

“We need a concerted effort internationally, regionally and nationally in order to gain ground in this fight against small arms and that is why our development partners have decided to come in and assist us,” Ochieng said.

 

Kenya says the free flow of small arms has contributed to widespread insecurity, especially among pastoralist communities where firearms have replaced traditional weapons in wars over pasture, water and cattle rustling.

 

Due to high demand, illegal arms dealing has become a highly profitable business in Kenya with illegal weapons dealers in Nairobi believed to be selling low-calibre pistols for as much as US$140 while AK-47 and other automatic assault rifles sell for up to $500.

 

Garissa County commissioner Mohamed Maalim said that weapons are being concealed in bags of sugar and imported into the country.

 

As part of the crackdown on small arms, Kenya and Tanzania have also launched the first in a series of planned security operations along their common borders with the aim of seizing all illegally held firearms.

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 16:50
Allemagne : Un demi-milliard envolé, mais pas de drone

22.05.2013 Anne Le Touzé - dw.de

 

En Une des journaux, la polémique autour du projet d'équipement de l'armée allemande en drones Euro Hawks que Berlin vient d'abandonner. Le ministre de la Défense Thomas de Maizière est sous le feu de la critique.

 

Les appareils n'ont pas obtenu la certification des autorités aériennes européennes. Berlin a engagé beaucoup d'argent et le ministre de la Défense Thomas de Maizière est sur la sellette car son ministère semble avoir été au courant des difficultés depuis plusieurs années.

 

Il y a quelques mois, écrit die tageszeitung, ils représentaient encore le grand espoir de l'aviation allemande. Les drones, c'est l'avenir, disait-on alors. Un prix raisonnable, une technologie efficace permettant d'éviter des pertes humaines et un outil idéal pour le repérage, les bombardements ciblés et les combats aériens. Aujourd'hui, le rêve est devenu un cauchemar, remarque le quotidien.

 

Il ne faut pas réduire l'affaire des drones à Thomas de Maizière, estime la Süddeutsche Zeitung. C'est une honte pour le ministère de la Défense en tant qu'institution et pour son système d'attribution des marchés. Le processus d'achat des Euro Hawks a duré près de dix ans, il a donc connu de nombreux ministres de la Défense, sociaux-démocrates comme conservateurs. Cela dit, souligne le journal, la responsabilité de Thomas de Maizière pourrait être en cause si les accusations de l'opposition se confirment et que le ministre a bel et bien dissimulé des problèmes dont il aurait eu connaissance depuis longtemps.

 

La Frankfurter Allgemeine Zeitung rappelle que c'est Thomas de Maizière lui même qui a appuyé sur le frein, tout en sachant que les retombées financières et politiques seraient forcément liées à son nom. Le quotidien ne se fait pas de souci pour le ministre de la Défense qui continue de bénéficier de la confiance de la chancelière.

 

Pour le Main-Post de Würzburg, cela ne fait aucun doute: Thomas de Maizière doit démissionner. Il fut un temps, on le voyait succéder à Angela Merkel à la chancellerie. Mais un ministre qui doit répondre d'un tel aveuglement semble tout aussi inapte aux vols au long cours que ses prédécesseurs, estime le quotidien.

 

Que le ministre chute ou non, les dommages chiffrés à plusieurs centaines de millions d'euros, eux, resteront, déplorent les Kieler Nachrichten. C'est déjà suffisamment grave et ce qu'il faut éviter, c'est que la classe politique ne retienne rien des erreurs du passé.

 

La Neue Osnabrücker Zeitung résume: la question qui compte, c'est de savoir comment ce désastre a pu être possible et qui y a participé. Mais plus important encore, il faut réfléchir aux moyens de mettre en place un contrôle pour éviter à l'avenir un tel gaspillage d'argent public.

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 11:55
Le MQ-9 Reaper en vol – photo US Air Force

Le MQ-9 Reaper en vol – photo US Air Force

22 mai 2013 Aerobuzz.fr

 

A défaut de disposer d’un vrai-savoir faire industriel en la matière, la France va acheter sur étagère entre 2 et 7 drones américains MQ9 Reaper… pour commencer.

 

Il était temps ! Après des années d’errements politico industriels, Paris se résout à acheter des drones vraiment opérationnels.

 

Le ministre de la Défense Jean-Yves le Drian, confronté aux lacunes françaises en la matière a décidé, tout comme le Royaume-Uni et l’Italie d’acheter outre Atlantique entre 2 et 7 drones américains MQ9 Reaper.

 

Ces appareils signés General Atomics sont le bras armé des Etats-Unis, CIA et US Air force en Afghanistan et dans d’autres régions du monde. Perchés entre 5.000 et 15.000 mètres d’altitude, pilotés par satellite depuis les USA, ils scrutent pendant de longues journées, jusque 27 heures, leur secteur de patrouille à l’affut de cibles d’intérêt. Ce drone représente la manière américaine de « terroriser les terroristes ».

 

Ils disposent pour cela de capteurs optroniques très performants et de missiles Hellfire ou de bombes guidées Paveway sous leur voilure. Il n’est pas confirmé que les engins destinés à Paris seront armés, il n’empêche les performances de ces engins en termes de capacités de surveillance, de détection, de transmission de données feront des merveilles par rapport au vide existant.

 

Le drone Reaper est piloté à distance par satellite tout comme un avion depuis un cockpit virtuel. Un opérateur assure le pilotage du véhicule et un autre, la gestion de la charge utile et des armements. D’une envergure de 20 mètres pour une masse à vide de 2,2 tonnes, cet engin à voilure droite, peut croiser à plus de 300 km/h pendant plus de 24 heures en toute impunité. Dans ses flancs, des moyens de communication et de navigation dernier cri et des capteurs de haute technologie. Il est propulsé par une turbine Honeywell TPE 331 de 900 cv environ.

 

On estime qu’un système de drones avec ses servitudes et ses stations sol coute aux alentours de 60 M$, autant dire une peccadille par rapport aux 120 M$ d’un JSF.

 

Bien sûr cet engin n’est pas parfait, il ne peut pas à ce jour s’intégrer dans l’espace aérien européen pour cause de lacune en termes de réglementation. Une lacune qui vient de causer l’arrêt pur et simple du programme Eurohawk en Allemagne.

Le MQ-9 est plus grand et plus lourdement armé que le MQ-1 Predator – photo US Air Force

Le MQ-9 est plus grand et plus lourdement armé que le MQ-1 Predator – photo US Air Force

Cette décision lucide du ministre de la défense français met en lumière l’incapacité européenne à mettre sur pied une politique intelligente en matière de drones. Ce ne sont pourtant pas les champions qui manquent.

 

Force est de reconnaître que l’Europe est dans une situation paradoxale avec d’un côté des savoir faire uniques en matière de défense, des ingénieurs aéronautiques de renom qui ont mis au point de véritables étendards nommés Rafale ou encore Typhoon mais qui sont incapables de réaliser un équivalent du « Predator » sans assistance extérieure.

 

En matière de drones, le vieux continent est plus que jamais divisé avec d’un côté un EADS (Allemagne ou France ? ) qui veut tout faire mais n’a rien prouvé de sérieux et de l’autre, des rivaux tels que Finmeccanica, BAE, Thalès et autre Dassault qui veulent prendre pied sur un marché crucial en devenir. Tout reste à faire, créer, des drones de tous types, des micro drones de la taille d’une libellule aux géants de la taille d’un Airbus, tout est possible et utile, les USA l’ont prouvé depuis des années ! Il faut aussi une législation pour leur circulation dans l’espace aérien, développer des capteurs, des liaisons de données, les munitions légères qui vont avec des vecteurs endurants et fiables aussi, et des charges utiles.

 

Il faut promouvoir l’essor des drones car ces engins, véritables aides de camp des engins pilotés sont source d’économie et de sécurité. Ainsi imaginez un Canadair qui ne décollerait que pour opérer sur un feu de forêt bien localisé, un hélicoptère dronisé qui pourrait traiter un accident nucléaire, une zone de pêche surveillée en permanence pour assurer la protection des pêcheurs… Le domaine des engins sans pilote est… sans limites ! Enfin il ne faut pas oublier de développer une législation adaptée pour encadrer l’usage de ces appareils qui peuvent être intrusifs et mortels.

 

Le champ des possibles est encore ouvert. Il faut s’y mettre maintenant car il n’y aura pas de session de rattrapage ; passé 2030, nous serons totalement dépendants de l’extérieur, nous aurons alors raté le coche des avions sans pilote.

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 11:20
Drones. Dans l’urgence, la France va acheter Américain

22 mai 2013 Philippe CHAPLEAU.- Ouest France

 

Dimanche, lors d’un déplacement aux Etats-Unis, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a confirmé que la France envisageait d’acheter deux drones de surveillance aux Américains ou aux Israéliens.

 

Sur la base aérienne de Cognac (Charente-Maritime), les drones MALE (Moyenne Altitude Longue Endurance) de l’escadron 01.33 Belfort restent discrets. Il faut préciser que deux drones Harfang sont déployés au Mali, qu’un troisième est utilisé pour la formation des équipages et que le dernier est plus ou moins cannibalisé pour permettre à ses trois frères de voler.

photo  Armee de l Air

photo Armee de l Air

Remplacer les Harfang vieillissants

 

Ces plate-formes, conçues dans les années 1990 et achetées aux Israéliens, sont vieillissantes et peu puissantes. « Imaginez que l’on fasse marcher une moto de grosse cylindrée avec un moteur de mobylette », explique Bertrand Slaski, un très bon connaisseur français du monde des drones et analyste à la CEIS.

 

« En plus, les capteurs de nos Harfang ne sont plus très performants. Les opérations en Afghanistan et surtout en Libye ont démontré le besoin d’équiper l’armée de l’air avec des drones récents et équipés de capteurs de haute définition. Désormais, il y a urgence puisqu’il n’existe aucun drone français ou européen opérationnel ».

 

Des besoins au Mali

 

Jean-Yves Le Drian est donc allé faire ses emplettes à l’étranger et va acheter sur étagère deux drones, probablement américains. Des Reaper construits par General Atomics et qui pourraient être prélevés sur les stocks de l’US Air Force en vue d’un déploiement express au Sahel (peut-être à Niamey, aux côtés des drones US basés au Niger depuis février).

 

L’absence de drones a été particulièrement dramatique au Mali. La Direction du renseignement militaire pouvait compter sur deux Harfang et sur quelques Atlantique de la marine ; elle a dû louer les services et les appareils d’une société privée luxembourgeoise dont les Cessna ont été basés à Gao et ont effectué des missions de surveillance et de renseignement au-dessus du nord et de l’est du Mali pour y repérer les mouvements des djihadistes.

 

« Recourir à ces avions équipés de capteurs efficaces constitue une solution pratique : on achète des services qui sont disponibles immédiatement », reconnaît Bertrand Slaski. « Mais ce n’est pas la logique première des industriels qui ont toujours espéré le lancement d’un grand programme européen de drones de surveillance pour bâtir une véritable filière dans ce domaine ».

 

L'Europe à la traîne financièrement

 

Programmes, projets, démonstrateurs : les idées ne manquent pas, à la différence des financements ! Les Britanniques ne disposent d’aucune marge budgétaire et sont déjà équipés en Reaper. Les Allemands viennent d’abandonner le drone Euro Hawk (version européenne du drone US Global Hawk) : 500 millions d’euros pour rien !

 

« Qui sont les Européens qui pourraient s’engager à acheter un drone européen ? Les Polonais peut-être ou les Turcs qui se résignent à acheter israélien. Et la France qui veut se doter de 12 drones MALE, selon le Livre blanc ».

 

Mais si aucun constructeur européen ne s’engage à développer sur fonds propres un tel appareil, la France, sans le sou, risque, à terme, et après avoir goûté aux Reaper à continuer ses achats sur les étagères américaines.

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 10:55
photo Staff Sgt. Brian Ferguson US Air Force

photo Staff Sgt. Brian Ferguson US Air Force

20 Mai 2013 Jean-Dominique Merchet

 

Le Congrès des Etats-Unis doit encore donner son feu vert.


Sauf refus du Congrès américain - qui reste possible - la France devrait acquérir deux drones Reaper, avant la fin de l'année, ainsi qu'une station-sol pour les mettre en oeuvre. Ces engins, fabriqués par General Atomics, devaient initialement être livrés à l'US Air Force, mais le Pentagone a accepté qu'ils soient prélevés sur la ligne de production en cours, ce qui accélère la décision de plusieurs années. C'est une décision du secrétaire à la Défense Chuck Hagel, qui a rencontré son homologue français Jean-Yves le Drian vendredi 17 mai à Washington. Il s'agit donc d'appareils neufs et non de matériels d'occasion.

Ces deux Reaper (Predator 2) resteront des appareils très américains, aussi bien en ce qui concerne les capteurs optiques que les transmissions. La charge utile de ces engins ne sera pas "francisée" : ils seront, en quelque sorte, des drones américains mis en oeuvre par des militaires français... aux conditions américaines. Ainsi, ils ne pourront pas être déployés sur le territoire national et resteront donc dans la zone du Sahel, sans doute à Niamey (Niger), sinon à N'Djaména (Tchad).

Il s'agit d'appareils de surveillance et, en aucun cas, de drones armés capables de délivrer des munitions. Paris a, pour l'instant, renoncer à mettre en oeuvre des drones armés comme nous l'indiquions récemment.

L'opération Serval au Mali a montré le besoin criant de drone Male (Moyenne altitude longue endurance), dont l'armée de l'air ne possède que quatre exemplaires, des Harfang relativement peu puissant et en fin de potentiel. Deux d'entre eux ont été déployés à Niamey d'où ils ont rendus des services appréciables, mais malgré tout limités. Volant plus bas que le Reaper, le Harfang peut ainsi être parfois entendu depuis le sol dans ces zones désertiques et silencieuses. Ses capteurs optiques sont en voie d'obsolescence, même si son système de transmissions par satellite donne toute satisfaction.

Pour soutenir l'opération Serval, l'US Air Force a engagé une poignée de drone Male non-armés, Predator et Reaper, à Niamey. Le ministre de la défense Jean-Yves Le Drian a pu visiter le détachement américain lors de sa visite sur place le 26 avril. Il a ainsi pu mesurer de visu la différence entre les capacités d'un Harfang et d'un Reaper.

L'achat de deux Reaper est-il le prélude d'un contrat plus important avec General Atomics ? Le Livre blanc de la défense, récemment adopté, prévoit en effet l'acquisition par la France de douze "drones de surveillance de théâtre" d'ici à 2019. Faute de solutions nationales et européennes à court terme, le ministre de la Défense confirme que les discussions se poursuivent avec les deux seuls pays producteurs de Male : les Etats-Unis et Israel. Des lettres officielles ont été envoyées par la DGA aux deux fournisseurs potentiels.

Les discussions portent sur la francisation des charges utiles (capteurs optiques et électromagnétiques, systèmes de communications par satellite) : fidèle à sa doctrine d'autonomie stratégique, la France veut garder la maitrise de ces appareils - qu'elle n'aura guère avec les deux premiers Reaper.
Ce n'est pas simple. Les Américains sont en général très réticents à ouvrir les "black boxes" de leurs systèmes ou à permettre, par exemple, à des appareils de fabrication américaine de tirer des munitions européennes... Quant aux drones israéliens, ils ne disposent pas de communication par satellites, ce dont l'armée de l'air a impérativement besoin.

Les militaires français ne cachent pas leur préférence pour la solution américaine. "Le Reaper est le meilleur", nous confie un général d'aviation. "A court terme, l'armée de l'air veut acheter américain" écrivions nous sur ce blog en septembre dernier.

Les discussions vont donc se poursuivre, avec un moindre degré d'urgence, puisque les besoins sahéliens seront satisfaits. Paris espère monter un "club d'utilisateurs" européens de drone Male, associant la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne et l'Italie. Il s'agirait d'être en position de force, notamment face aux Etats-Unis. Mais l'expérience montre qu'en la matière, il y a loin de la coupe aux lèvres...

Le paysage européen en matière de drone est consternant. En France, comme chez nos grands voisins, tout semble s'être ligué pour en arriver à ce que le seul choix possible soit d'acheter sur étagères, faute de solutions nationales. Les responsabilités sont partagées : militaires, politiques, industriels, personne n'a su y faire depuis... 20 ans !

Le récent abandon de l'Euro Hawk par l'Allemagne en est un exemple. Il s'agissait d'une version européanisée (par EADS Cassidian) du Global Hawk de Northrop Grumman, un engin très puissant (14 tonnes, contre 4 pour le Reaper). Après avoir dépensé plusieurs centaines de millions d'euros, Berlin renonce expliquant que l'Euro Hawk ne pourrait pas s'intégrer dans la circulation aérienne ! Sacrée "découverte" sur laquelle nous reviendrons rapidement sur ce blog.

En matière de drones tactiques (mis en oeuvre par l'armée de terre), les choses semblent s'éclaircir avec 'accord franco-britannique sur le Watchkeeper, un appareil de conception israélienne. A plus long terme, la perspective d'un drone de combat européen existe également : Dassault, avec plusieurs autres industriels européens, a fait voler son nEUROn en décembre dernier.

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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 10:55
Photo US Air Force

Photo US Air Force

21 mai 2013 Par Elodie Vallerey - Usinenouvelle.com

 

Le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian a confirmé ce choix lors d'un voyage officiel aux Etats-Unis le 17 mai.

 

La France opte donc pour des drones MALE (moyenne altitude longue distance) Reaper pour remplacer ces Harfang vieillissants. En visite à Washington les 17 et 18 mai, Jean-Yves Le Drian a évoqué cette acquisition avec son homologue, le secrétaire américain à la défense Chuck Hagel.

 

Il a confirmé l'information dans une interview au "Grand rendez-vous Europe1-Itélé-Le Parisien le 19 mai : "Il y a aujourd'hui deux pays au monde qui construisent des drones, les USA et Israël, nous sommes entrés en contact avec les uns et les autres pour pouvoir en acquérir immédiatement", a précisé le ministre français de la Défense.

 

L'objectif immédiat reste le conflit au Mali. Ainsi, la France doit acheter deux drones Reaper, des drones de surveillance et de combat fabriqués par l'américain General Atomics, pour une livraison avant la fin 2013

 

Selon Le Drian, la France a "raté le rendez-vous des drones, ce qui est invraisemblable pour une nation qui a un savoir faire technologique, aéronautique, électronique considérable avec des entreprises majeures qui étaient en situation de pouvoir le faire".

 

En prenant ses fonctions au ministère de la Défense en mai 2012, le ministre confie avoir constaté l'absence de perspective industrielle française sur les drones, qui sont pour lui "un outil indispensable (...)". "Seulement, (en France) il n'y en a pas. Alors qu'est-ce-qu'on fait ? on attend que peut-être un jour certains industriels décideront d'agir d'ensemble pour le produire ? mais ça sera quand ? dans dix ans. (...) il y a une urgence et j'assume cette responsabilité", a-t-il justifié.

 

"Il faut donc aujourd'hui que, sur notre demande, les industriels français et européens se mettent en relation pour élaborer ce que pourra être demain le drone de nouvelle génération qui sera pas uniquement français, puisqu'il y a la même demande du côté allemand et du côté britannique", a incité le ministre lors de cette interview.

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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 06:20
Deux drones américains Reaper pour la France ; le PDG de Dassault grimace (vidéo)

20/05/2013 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord - Défense globale

 

La France a totalement raté " le rendez-vous des drones ". Ce n'est pas un grincheux habituel mais le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, qui le répète après sa visite aux Etats-Unis les 17 et 18 mai.

Notre pays s'apprête donc à acheter rapidement deux MQ-9 Reaper Predator (photo US Air Force), un drone MALE (moyenne altitude longue endurance), disons gentiment, plus moderne que les Harfang de l'armée française... Si le Congrès américain donne son aval.

Ce lundi 20 mai, le PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier, a déploré ce choix...

En mars, le général (2S) de corps aérien Thierry Delahaye nous disait : " En tant qu'utilisateur, je dirais qu'acheter sur étagères, ça marche. si je réfléchis avec un esprit de défense et en tant que français, je pense qu'il vaut mieux développer un projet dans le pays. Ça permet de garder un avantage économique et technologique. " Le cas des drones français ou européens reste donc un échec historique retentissant de la fin du XXe siècle... 

Inutile d'épiloguer sur les responsabilités. Les aviateurs se réfugient derrière les manques de crédits ; les industriels derrière le manque de perception de l'engin à l'époque ; les politiques derrière l'absence de vision stratégique. Bref, tout le monde a eu tort sur ce coup-ci.

Cassidian (Barracuda), filiale d'EADS, Dassault aviation (nEUROn) et BAE systems (Taranis) travaillent sur la conception d'un drone français ou plutôt européen. Pour l'instant, la France, qui a réaffirmé l'importance de cet outil dans le dernier Livre blanc de la Défense et de la sécurité nationale, n'a pas d'autres moyens que d'acheter des drones aux Etats-Unis, voire en Israël (avec l'Eitan de Israel Aircraft Industries). Ce sont les deux seuls pays qui en fabriquent. Point à la ligne.

 

Douze drones dans le Livre blanc

Si le Livre blanc préconise l'acquisition de douze drones de surveillance, la France s'apprête donc à en acheter deux très rapidement (avant la fin de l'année). Les Harfang ont joué leur rôle lors de l'opération Serval mais leur technologie est dépassée. Les Etats-Unis ont donné leur accord pour extraire de la ligne de production du fabricant General Atomics deux exemplaires de MQ-9 Reaper dans une version de surveillance non armée (environ 40 millions d'euros pièce à part accord particulier).

Car ce drone, de 11 m de long et de 20 m d'envergure, qui vole 27 heures jusqu'à 15 000 m d'altitude, peut transporter et tirer des missiles sol-air (voire deux missiles air-air ou deux bombes). L'US Air Force a largement utiliser sa puissance de feu en Afghanistan voire au Pakistan. Le Reaper, qui signifie moissonneur (ou faucheur), ne sera donc pas utilisé au maximum par l'armée française. Et de toute façon pas sur le sol national ou même européen. Ce produit intégralement américain n'est pas habilité à survoler nos contrées. Il devrait donc rejoindre le Sahel, basé à Niamey au Niger comme les Harfang durant l'opération Serval, ou au Tchad.

L'armée américaine compte 104 Reaper et l'US Air Force compte en acheter douze supplémentaires d'ici 2014. Pour l'instant, seuls les armées britanniques et turques possèdent des MQ-9 Reaper.

 

Le PDG de Dassault déplore

" Nous sommes inquiets. Voir acheter des drones américains sans avoir au même moment un réel lancement de programme européen ou franco-britannique ou franco-allemand, cela ne peut pas nous réjouir ", indique le PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier, présent au salon de l'aviation d'affaires à Genève : " A l'heure où on nous dit qu'il va falloir faire des efforts, qu'il va y avoir des restrictions sur certains programmes (militaires), on nous dit qu'on ne peut pas aller chercher la technologie (drones de surveillance) chez vous alors qu'elle existe. "

Le PDG de Dassault renvoie le ballon dans le camp du gouvernement. Pour un futur drone européen, " je n'ai pas vu de besoins communs exprimés vers nous (industriels) qui couvrent les besoins allemands, français, britanniques. Cette demande n'existe pas. Si elle existait, il n'y aurait pas de problème pour faire un drone entre les industriels. BAE systems, EADS et Dassault pourraient trouver un terrain d'entente dès lors que les pays auraient émis un besoin commun ".

Beaucoup moins simple qu'un achat sur étagères mais plus porteur pour l'indépendance stratégique, l'industrie, les emplois... Quand on se réveille en retard, il faut courir.

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Voici une vidéo de l'US Air Force présentant le drone MQ-9 Reaper Predator...

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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 05:55
Le PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier, a déploré lundi l'achat par la France de deux drones de surveillance américains, soulignant que les industriels européens, disposant de la technologie, attendent toujours le lancement d'un programme européen. - photo EDA 2013

Le PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier, a déploré lundi l'achat par la France de deux drones de surveillance américains, soulignant que les industriels européens, disposant de la technologie, attendent toujours le lancement d'un programme européen. - photo EDA 2013

20.05.2013, Le Parisien (AFP)

 

L'achat de drones américains par l'armée française ne satisfait pas du tout le groupe Dassault Aviation. Son PDG, Eric Trappier, l'a fait savoir lundi, soulignant que les industriels européens, disposant de la technologie, attendent toujours le lancement d'une coopération européenne. «Nous sommes inquiets. Voir acheter des drones américains sans avoir, au même moment, un réel lancement de programme franco-britannique ou franco-allemand, cela ne peut pas nous réjouir», a-t-il déclaré en marge du salon de l'aviation d'affaires Ebace, à Genève (Suisse).

Le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian a justifié dimanche l'achat par la de deux drones de surveillance aux Etats-Unis en expliquant que la avait «raté le rendez-vous des drones» et confirmé des discussions avec Israël pour l'achat d'autres appareils. Le ministre a par ailleurs insisté sur la nécessité de «se préparer à construire au niveau européen des drones d'une nouvelle génération susceptibles d'être les remplaçants des drones» qui sont sur le point d'être achetés.

«Bae Systems, et Dassault pourraient trouver un terrain d'entente»

Eric Trappier a souligné que, sur ce point, aucun besoin n'a pour l'heure été défini. «Je n'ai pas vu de besoins communs exprimés vers nous (industriels) qui couvrent les besoins allemands, français et britanniques. Cette demande n'existe pas», a-t-il commenté. «Si elle existait, il n'y aurait pas de problème pour faire un drone entre les industriels. Bae Systems, EADS et Dassault pourraient trouver un terrain d'entente dès lors que les pays auraient émis un besoin commun», a-t-il assuré.

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17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 11:50
Skeldar V-200

Skeldar V-200

16 May 2013 army-technology.com

 

Saab has successfully conducted flight testing of the Skeldar V-200 vertical lift unmanned aircraft system (UAS) in an effort to demonstrate its critical capabilities at various sites across Sweden and the US.

 

Carried out primarily to demonstrate land and sea-based operations of the UAS during both day and night conditions, the flight testing fully validated its convoy shadowing, use of electro-optical/infrared (EO/IR) sensor, as well as precision landing capabilities.

 

As well as highlighting the platform's ability to perform long-range operations using tactical hand-over between ground control stations (GCS), the fully autonomous flights also verified a heavy fuel engine for the UAS.

 

The upgraded next-generation variant of the original design aviation fuel engine has been delivered and cleared for flight testing, according to the company, which also conducted several customer demonstration flights of the UAS.

 

Saab Tactical UAS product area director Mikael Franzen said: "The combination of two alternative engine types, a modular payload design, and the ability to incorporate and utilise a variety of data link systems, provides a true multi-mission capability for the Skeldar V-200 and a flexibility that enables the customer to successfully meet their mission objectives on land or at sea," Franzen said.

 

The built-in safety functionality of the Skeldar V-200 system confirmed contingency behaviours in an event of link loss, including autonomous navigation in accordance to predefined parameters, as well as auto landing and shutdown during flight tests.

 

Featuring two air vehicles and a mobile UAS control station, the Skeldar V-200 is a medium range vertical takeoff and landing (VTOL) UAS designed for reconnaissance, surveillance and target acquisition (RSTA), light cargo transportation and electronic warfare missions.

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 11:20
photo US Army

photo US Army

May 15, 2013 ASDNews Source : Raytheon Corporation

 

    Effort will mark first time Army has capability on unmanned vehicle

 

 Raytheon Company (NYSE: RTN) has delivered two electronic attack payloads in support of the U.S. Army's Networked Electronic Warfare, Remotely Operated (NERO) system. The payloads were delivered as part of a contract awarded by the U.S. Navy NAVSEA-Crane in 2012. NERO is utilized on the Army's MQ-1C Gray Eagle UAS (Umanned Aircraft System) as an airborne electronic attack system capable of jamming enemy communications systems.

 

The NERO system builds on the success of the Army's Communications Electronic Attack with Surveillance and Reconnaissance (CEASAR) program. By migrating the same pod system and advanced capability to the Gray Eagle, NERO is capable of two- to three-times longer missions with reduced operating costs compared with the current C-12 based CEASAR system. It also reduces risk to the warfighter by being mounted onto an unmanned platform.

 

"NERO provides critical jamming capabilities to warfighters in counterinsurgency environments," said Glen Bassett, director of Advanced Communications and Countermeasures for Raytheon's Space and Airborne Systems business. "We leveraged our combat-proven success from the manned CEASAR program to deliver this key tactical electronic attack capability onto an unmanned application."

 

CEASAR, first awarded in 2010, was mounted onto a Beechcraft King Air C-12 aircraft and uses the same lightweight pod as NERO. Both systems enable the Army to control use of the electromagnetic spectrum by providing beyond line of sight jamming capability to support ground troop operations.

 

CEASAR and NERO counter military and commercial communication systems in today's operations and are adaptable to counter the next generation of enemy threats.

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 11:20
NGC, US Navy Catapult X-47B From Carrier Into History Books

May 15, 2013 ASDNews Source : Northrop Grumman Corporation

 

Northrop Grumman Corporation (NYSE:NOC) and the U.S. Navy today launched a new chapter in the history of unmanned systems – carrier-capable unmanned aircraft – by successfully catapulting the X-47B Unmanned Combat Air System (UCAS) demonstrator from the deck of the USS George H.W. Bush(CVN-77).

 

The launch occurred at 11:18 a.m. Eastern time while the carrier was under way off the coast of Virginia. The tailless, strike-fighter-sized aircraft flew autonomously back to Naval Air Station Patuxent River where it landed safely 65 minutes later.

"Today's catapult launch of the X-47B is a momentous feat for naval aviation," said Capt. Jaime Engdahl, Navy UCAS program manager for the Naval Air Systems Command. "It proves that the Navy's goal of operating unmanned systems safely and effectively from aircraft carriers is well on its way to becoming a reality."

 

Northrop Grumman is the Navy's prime contractor for the UCAS Carrier Demonstration (UCAS-D) program. The company designed, produced and is currently flight testing two X-47B air vehicles for the program. Air Vehicle 2 completed the catapult shot.

 

"Catapulting the unmanned X-47B off the USS George H.W. Bush is an event as historic as the Navy's first catapult of a manned aircraft, which occurred in Nov. 1915 from the armored cruiser USS North Carolina (ACR-12)," said Carl Johnson, vice president and Navy UCAS program manager for Northrop Grumman. "We are delighted to help launch this new era of naval capability."

 

The X-47B catapult launch occurred just one day after the USS George H.W. Bush had departed from Naval Air Station Norfolk, Va.

 

The current at-sea period is the second such test period for the UCAS-D program. In December 2012, the program hoisted an X-47B aircraft aboard the USS Harry S. Truman (CVN-75), then demonstrated that the aircraft could be maneuvered safely and precisely on the ship's flight deck, in its elevators and in its hangar bay.

 

In preparation for the launch, the UCAS-D program successfully completed a series of shore-based catapult shots at Naval Air Station Patuxent River between November and March. The air vehicle was transported by barge from Patuxent River to Naval Air Station Norfolk in early May, then hoisted aboard the ship.

 

Northrop Grumman's UCAS-D industry team includes Pratt & Whitney, GKN Aerospace, Eaton, GE Aviation, UTC Aerospace Systems, Dell, Honeywell, Moog, Lockheed Martin, Wind River, Parker Aerospace and Rockwell Collins. The latest news and information about the UCAS-D program can be found atwww.northropgrumman.com/X-47B.

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 11:20
X-47B Ready To Launch

5/15/2013 Strategy Page

 

ATLANTIC OCEAN (May 14, 2013) An X-47B Unmanned Combat Air System (UCAS) demonstrator prepares to launch from the aircraft carrier USS George H.W. Bush (CVN 77). George H.W. Bush is the first aircraft carrier to successfully catapult launch an unmanned aircraft from its flight deck. (U.S. Navy photo by Erik Hildebrandt)

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 16:20
US Navy Slingshot Launch for Stealth Drone

14/05/2013 by Victoria Knowles - Armed Forces International Reporter

 

The US Navy plans to launch a carrier drone for the first time, making aviation history.

 

On Tuesday, the Navy will catapult an unmanned plane from an aircraft carrier, testing a stealthy, long-range, bat-winged jet that signifies a leap forward in drone technology.

 

With a flying capability of over 2,000 nautical miles in one journey and a six-hour endurance, the X-47B is scheduled to depart in the Atlantic from the USS George H. W. Bush utilizing the same sling-shot method that shoots manned jets upward from aircraft carriers' short runways.

 

X-47B Drone Launch from US Aircraft Carriers

 

Developed by defense technology firm Northrop Grumman, the jet was first flown in 2011, and boasts a 62-foot wingspan. The X-47 project is now part of the US Navy's Unmanned Combat Air System Demonstration (UCAS-D) program, and as of January 2012, the project's cost inflated to $813 million.

 

Due to its stealth potential and bettering the F-35 Joint Strike Fighter's range nearly two-fold, the X-47B and its descendants are regarded as a potential solution to the posing threat by Iran and China's developed anti-ship medium-range missiles, among other potential rival, according to defense analysts.

 

These missiles and other reputed area denial, anti-access weapons would oblige US aircraft carriers to function distant enough from land that F/A-18 and F-35 jets would be forced to undertake refueling to execute their missions, leaving them susceptible to attack.

 

Dual-Purpose Attack and Defence Capabilities

 

But an unmanned drone such as the X-47B could provide the Navy both with a reconnaissance competency and a long-range attack.

 

"That makes it strategically very important," says senior defense analyst Anthony Cordesman, from the Center for Strategic and International Studies. He regarded the jet as "essentially a really long-range stealth system."

 

Subsequent variants of the aircraft could potentially be developed for full-spectrum broadband stealth, making it difficult for the radar to position it, said the analysts.

 

US drones currently in operation in areas like Afghanistan and tribal regions of Pakistan, like the Reaper and Predator - are not stealthy planes and are not subject to air defense.

 

Due to its long range and requisite to have take off and landing capability from an aircraft carrier, day and night, the X-47B can operate with much greater autonomy than existing remotely piloted jets.

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 07:30
Chasseur Qaher-313

Chasseur Qaher-313

MOSCOU, 10 mai - RIA Novosti

 

L'Iran a créé un drone capable d'échapper à la surveillance radar, a annoncé jeudi l'agence iranienne IRIB.

 

Selon l'agence, qui cite le ministre iranien de la Défense, le général Ahmad Vahidi, ce drone - baptisé Epopée -  fait partie de la dernière génération d'appareils sans pilote. Il peut évoluer à une grande altitude et se distingue par une durée de vol prolongée. Conçu pour remplir les missions d'observation, de reconnaissance et de frappe, le nouveau drone iranien est en mesure d'échapper à la surveillance radar.

 

En février dernier, la République islamique a présenté son nouveau chasseur Qaher-313. Selon ses concepteurs, cet appareil est également doté de technologies furtives.

 

Les autorités iraniennes ont souligné à cette occasion qu'il s'agissait d'un "projet défensif".

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9 mai 2013 4 09 /05 /mai /2013 11:35
RQ-11B Raven small Unmanned Aircraft System photo US Army

RQ-11B Raven small Unmanned Aircraft System photo US Army

26 Apr 2013 By Arie Egozi – FG

 

Tel Aviv - The Indian air force will evaluate several micro unmanned air systems in early May, with sources suggesting that 10 companies will demonstrate their products for the service.

 

Leading contenders for the requirement include AeroVironment, which is promoting a version of its Raven, plus the Aurora Integrated Systems Urban View, BlueBird Micro-B and Innocon Spider.

 

Sources expect a selection decision to be made during July 2013, with the Indian air force micro UAS requirement likely to cover the acquisition of 95 systems.

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8 mai 2013 3 08 /05 /mai /2013 16:25
A maritime version of the Hermes 450 is already on offer from Elbit Systems

A maritime version of the Hermes 450 is already on offer from Elbit Systems

26 Apr 2013 By Arie Egozi - FG

 

Tel Aviv - The Brazilian navy has begun to evaluate unmanned air systems for its missions. The two current options are the Elbit Systems Hermes 450 and Israel Aerospace Industries Heron 1, both of which are already in service in Brazil in other configurations.

 

Elbit and IAI have already developed maritime versions of these two types equipped with a maritime search radar and electro-optical/infrared sensors, and Brazil's navy now wants to field its own maritime configuration.

 

The Brazilian air force's Horus squadron is operating its first two Hermes 450 systems from Santa Maria air base in Rio Grande do Sul, while the nation's federal police flies the Heron 1 from the Parana district. The type is mainly performing missions as part of an effort to fight drug trafficking.

 

According to the Brazilian police, four bases will be equipped with UAS by 2014.

 

Meanwhile, in preparations for Brazil hosting the 2014 World Cup and 2016 Olympics, the nation's defence ministry has dispatched 7,500 troops to its northwestern borders with Peru and Bolivia in an effort to stop cross-border crime.

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8 mai 2013 3 08 /05 /mai /2013 12:50
Maritime Heron UAV  photo Israel Aerospace Industries

Maritime Heron UAV photo Israel Aerospace Industries

2 May 2013 By Arie Egozi – FG

 

Tel Aviv - A European project intended to prove the feasibility of using satellite communications to enable unmanned air system operations in non-segregated airspace completed a 6h flight from San Javier air base in Spain on 24 April.

 

Performed using a maritime surveillance variant of the Israel Aerospace Industries Heron, the demonstration involved the beyond line of sight control of the air vehicle, with satellite communications maintained between an operator in its ground control station and air traffic controllers.

 

Funded by the European Defence Agency (EDA) and European Space Agency, the Desire programme test was conducted by an international consortium led by Spain's Indra, and also included AT-One, CIRA, SES ASTRA and Thales Alenia Space.

 

The Heron's satellite data link was engaged after take-off, while the aircraft was still in segregated airspace, before it entered class-C airspace at 20,000ft (6,100m) under the supervision of Spanish air navigation service provider Aena.

 

During the trial, a manned aircraft from the Spanish air force academy approached the UAS, simulating frontal and 90˚ collision trajectories. "The pilots of the two aircraft followed the separation instructions issued by the air traffic controllers, demonstrating the safe operation of remotely-piloted aircraft, even in an emergency situation," the EDA, ESA and Indra say in a joint statement.

 

Land and maritime surveillance information was also relayed to the ground control station during the mission.

 

"All the information collected in these tests will be analysed and compared with the safety requirements being established by the European Aviation Safety Agency and the operational requirements being set by Eurocontrol," the programme partners say.

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 11:30
Des soldats se préparent à lancer le Skylark.

Des soldats se préparent à lancer le Skylark.

 

février 4, 2013 tsahal.fr

 

Des yeux d’aigle, un maximum d’efficacité pour un minimum de risques : découvrez en images le drone Skylark de Tsahal.

 

Craignant de perdre des pilotes en territoire ennemi, les États-Unis et Israël sont à l’origine du développement des drones. Éléments essentiels qui accompagnent les pilotes d’avions de chasse et d’hélicoptères de l’Armée de l’Air Israélienne, les drones, avions sans pilote, jouent un rôle essentiel pour la sécurité du pays.

 

Le «Skylark I-LE» est petit et léger. Il peut être porté par une seule personne et être prêt à voler en moins de huit minutes, comme en témoignent ces images.

Le drone Skylark est conçu pour recueillir des renseignements.

Le drone Skylark est conçu pour recueillir des renseignements.

Un soldat se prépare à lancer un "Skylark".

Un soldat se prépare à lancer un "Skylark".

Le «Skylark I-LE», il peut être porté par une seule personne et être prêt à voler en moins de huit minutes.

Le «Skylark I-LE», il peut être porté par une seule personne et être prêt à voler en moins de huit minutes.

Il dispose de trois heures d’autonomie de vol et d’une caméra vidéo intégrée qui filme de jour comme de nuit, et ce quelles que soient les conditions météorologiques. Le «Skylark» semble calme, mais possède les yeux d’un aigle. Il est rapidement déployé et rapidement rapatrié à la base.

 

Les drones Skylark sont en service dans Tsahal et dans d’autres armées étrangères. Ils ont déjà été utilisés sur le champ de bataille dans de nombreuses zones de guerre, y compris en Irak et en Afghanistan.

 

Il est conçu pour recueillir des renseignements dans des missions “au-delà de la colline”, c’est-à-dire des missions pour lesquelles la cible est située à une courte distance. Le drone est exceptionnellement silencieux et possède d’excellentes capacités d’observation aussi bien de jour que de nuit.

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25 avril 2013 4 25 /04 /avril /2013 15:48
Un drone venant du Liban abattu dans le nord d'Israël

 

25 avril 2013 Romandie.com (AFP)

 

JERUSALEM - Un drone entré dans l'espace aérien israélien en provenance du Liban a été abattu au large du nord d'Israël, a annoncé jeudi l'armée israélienne, soulignant qu'il s'agissait de la deuxième fois depuis l'envoi d'un drone en octobre par le Hezbollah chiite libanais.

 

Un avion sans pilote repéré alors qu'il approchait de la côte israélienne a été intercepté par l'aviation israélienne à cinq milles nautiques au large de Haïfa, affirme un communiqué militaire qui précise que l'appareil a été abattu vers 14H00 (11H00 GMT).

 

C'est la deuxième fois qu'un avion sans pilote est intercepté dans l'espace aérien israélien en sept mois, selon le texte.

 

Je considère avec une extrême gravité cette tentative de violer notre frontière. Nous continuerons à faire tout le nécessaire pour protéger la sécurité des citoyens israéliens, a réagi le Premier ministre Benjamin Netanyahu dans un bref communiqué.

 

M. Netanyahu se rendait vers le nord pour assister à une cérémonie au moment où le drone a été repéré et son hélicoptère s'est posé jusqu'à l'interception sur ordre des services de sécurité, a rapporté la radio publique.

 

Le 6 octobre, un drone envoyé par le Hezbollah avait survolé la Méditerranée avant d'entrer dans le ciel israélien à proximité de la bande de Gaza, pour être finalement abattu par un avion de combat israélien au-dessus du désert du Néguev, où se trouvent les installations nucléaires israéliennes.

 

Le drone se déplaçant du nord au sud le long de la côte libanaise a été repéré peu après 13H00 (10H00 GMT), a précisé dans un briefing téléphonique le porte-parole de l'armée israélienne, le lieutenant-colonel Peter Lerner.

 

Nous ne savons pas d'où venait l'appareil ni où il allait, a-t-il indiqué, faisant état d'une enquête et de recherches en cours des débris.

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25 avril 2013 4 25 /04 /avril /2013 15:30
Un drone venant du Liban abattu dans le nord d'Israël

 

25 avril 2013 Romandie.com (AFP)

 

JERUSALEM - Un drone entré dans l'espace aérien israélien en provenance du Liban a été abattu au large des côtes du nord d'Israël, a annoncé jeudi l'armée israélienne.

 

Un avion sans pilote repéré alors qu'il approchait de la côte israélienne a été intercepté par l'aviation israélienne à cinq milles nautiques au large de Haïfa, selon un communiqué militaire qui précise que l'interception a eu lieu vers 14H00 (11H00 GMT).

 

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25 avril 2013 4 25 /04 /avril /2013 07:20
GA-ASI, OMX Team for Canadian RPA Program

 

April 23, 2013 defense-unmanned.com

(Source: General Atomics Aeronautical; issued April 23, 2013)

 

GA-ASI and OMX Partner to Identify Suppliers for Canada's JUSTAS Program

 

SAN DIEGO and TORONTO, CANADA --- General Atomics Aeronautical Systems, Inc. and OMX today announced that the companies have signed a two-year agreement to support GA-ASI’s Industrial Regional Benefit (IRB) efforts to identify and work with Canadian suppliers.

 

The partnership will strengthen GA-ASI’s and its teammate CAE’s commitment to offer the Predator B and/or Predator C Avenger RPA to meet the Canadian Government’s Joint Unmanned Surveillance and Target Acquisition System (JUSTAS) requirements. GA-ASI and CAE, the Montreal-based leader in simulation/modeling technologies and in-service support solutions, formalized their teaming arrangement in May 2011 to meet Canada’s Intelligence, Surveillance, Target Acquisition, and Reconnaissance (ISTAR) needs.

 

“GA-ASI is committed to integrating Canadian suppliers of all sizes into its long-term global supply chain, ensuring real, long-term, high-value, economic benefit to Canada,” said Frank Pace, president, Aircraft Systems Group, GA-ASI.

 

Over the past year, OMX has developed the largest, amalgamated structured database in the Canadian defence, aerospace, and security industry. OMX’s database system uses information that is actively gathered, collected, and managed from existing information available on the Internet by a series of proprietary algorithms. The searchable database has been live since December 2012, with nearly 50,000 companies indexed.

 

The effort to identify, review, validate, and track potential suppliers across Canada, particularly Small and Medium Enterprises (SMEs), is substantial to GA-ASI as entering large acquisition programs can be confusing and expensive for many Canadian suppliers.

 

“We want every Canadian supplier to have the opportunity to determine its own fate,” added Pace. “Suppliers should be able to manage their own data and its availability to our company and other primes without the need to rely on others.”

 

Not only does the database allow suppliers to manage their own data, but it also actively searches the Web to bring forward new opportunities for GA-ASI to partner with Canadian suppliers that otherwise might be missed through traditional channels.

 

“There is a constant “push/pull” relationship between suppliers and GA-ASI,” said Nicole Verkindt, founder of OMX. “The best way for Canadian companies to be noticed, particularly SMEs, is to claim their company profile, update their information, including CCVs, and message GA-ASI directly on the site.”

 

The database will provide GA-ASI with a centralized location for managing data regarding potential suppliers from anyplace in the world. As a result, data regarding potential Canadian suppliers will no longer be lost within stovepiped organizations. GA-ASI will be able to sort and manage data for potential suppliers by type, size (e.g. can view “SMEs only”), location, services provided, certifications/standards, experience, capacity, CCV percentage, and many other factors.

 

GA-ASI and OMX are working together to develop a back-end to the supplier-managed database that will enable GA-ASI to have a single location to submit and annotate its own data fields, including contact histories, validation comments, and internal reviews, for companies that are coupled with it. In addition, the future OMX IRB tracking platform will be used to monitor GA-ASI’s successful efforts to create jobs and opportunities in Canada.

 

 

General Atomics Aeronautical Systems, Inc., an affiliate of General Atomics, delivers situational awareness by providing remotely piloted aircraft, radar, and electro-optic solutions for military and commercial applications worldwide. The company’s Aircraft Systems Group is a leading designer and manufacturer of proven, reliable remotely piloted aircraft systems, including Predator A, Predator B, Gray Eagle, and the new Predator C Avenger and Predator XP.

 

OMX is a secure software application for government contractors to manage their offset obligations in the defence, aerospace and security industries. The OMX marketplace provides access to tens of thousands of potential Canadian recipients—including suppliers, investment opportunities and R&D projects—by region, classification and capability.

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24 avril 2013 3 24 /04 /avril /2013 18:40
Drone Altius - SOURCE humanoides.fr

Drone Altius - SOURCE humanoides.fr

MOSCOU, 23 avril - RIA Novosti

 

L'Armée de l'air russe créera des unités de drones d'ici trois à cinq ans, a annoncé mercredi son commandant Vladimir Chamanov dans une interview exclusive à RIA Novosti.

 

"A mon avis, nous accomplirons cette tâche d'ici trois ou cinq ans", a indiqué le général Chamanov.

Orlan-10 UAV

Orlan-10 UAV

"Nos artilleurs, sapeurs et notre défense antiaérienne ont déjà des unités de drones. Des équipes dotées de petits drones portatifs seront ensuite mises en place au sein des unités d'assaut vertical et de l'infanterie de l'air", a ajouté le général.

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22 avril 2013 1 22 /04 /avril /2013 13:58
Eitan (Heron TP) drone source Defense Update

Eitan (Heron TP) drone source Defense Update

22/04/2013 Par Georges Malbrunot – LeFigaro.fr

 

INFO LE FIGARO - Jusque-là prudent face au conflit syrien et après une tentative avortée de négociations avec Bachar el-Assad, le roi Abdallah II a mis deux couloirs aériens à la disposition de l'aviation israélienne.

 

À tout moment, les drones israéliens peuvent désormais pénétrer dans l'espace aérien jordanien, à l'est de l'État hébreu, avant de remonter au nord au-dessus de la Syrie observer le conflit qui ensanglante le pays depuis deux ans et menace Israël. «Le roi Abdallah a décidé d'ouvrir son espace aérien à l'armée de l'air israélienne, révèle au Figaro une source militaire occidentale au Moyen-Orient. C'est un geste fort et exceptionnel.» Connue seulement d'une poignée de services de renseignements occidentaux, la décision aurait été prise par le souverain hachémite lors de la visite en Jordanie du président Barack Obama, les 22 et 23 mars, après son étape israélienne.

 

L'État hébreu s'inquiète de plus en plus de la détérioration de la situation à sa frontière avec la Syrie, où les tirs d'artillerie se sont multipliés ces dernières semaines, alors que les djihadistes progressent en direction du plateau du Golan occupé par Israël. Pour éviter d'être repérés, «les drones israéliens volent durant la nuit», précise le militaire. «Ils font de la reconnaissance, mais ils sont aussi armés et peuvent donc frapper une cible n'importe où en Syrie». Selon cet expert, «les Syriens disposent de moyens antiaériens russes, mais les aéronefs israéliens sont difficiles à détecter et donc quasiment à l'abri d'une contre-mesure».

 

Deux couloirs aériens auraient été mis à la disposition de l'aviation israélienne: l'un par le sud de la Jordanie à partir du désert du Néguev, l'autre plus au nord d'Amman, qui permet aux appareils israéliens ayant décollé d'une base près de Tel-Aviv de s'avancer rapidement au-dessus du territoire syrien. L'ouverture de l'axe jordanien leur évite les survols au-dessus du Sud-Liban, où les Israéliens redoutent toujours une riposte du Hezbollah chiite pro-iranien.

 

Afflux de réfugiés syriens

 

En octroyant ce privilège à son voisin israélien, le roi Abdallah II prend le risque de voir son fragile royaume entraîné dans le conflit syrien. Jusque-là, le monarque, tout en dénonçant la sanglante répression de Damas contre les manifestants, affichait une position prudente, dictée par sa faiblesse face à son puissant voisin avec lequel les liens sécuritaires ont d'ailleurs été maintenus. Mais l'afflux massif de centaines de milliers de réfugiés syriens pèse lourdement sur l'économie jordanienne, affectée déjà par un fort taux de chômage et une inflation galopante.

 

Pour desserrer l'étau, début mars, le roi a tenté une mission secrète auprès de Bachar el-Assad, qu'il est allé rencontrer à Damas. Mais il en serait revenu bredouille, selon plusieurs sources. D'où le durcissement de sa posture, deux semaines plus tard lors de la visite de Barack Obama à Amman. D'autant que le roi aurait pris seul cette initiative qui s'est soldée par un échec. Inflexible, Bachar el-Assad a rejeté toutes les propositions de son interlocuteur d'instaurer un arrêt des combats pour entamer des négociations avec l'opposition en vue d'élections supervisées par l'ONU en 2014, terme de son mandat. Abdallah II en a ensuite informé ses alliés américains et saoudiens.

 

Le basculement jordanien du côté de l'opposition syrienne est-il définitif? Le roi doit prendre au sérieux la dernière mise en garde de Bachar el-Assad. Dans un entretien télévisé diffusé mercredi, ce dernier a prévenu que «l'incendie ne s'arrêtera pas à nos frontières. Tout le monde sait que la Jordanie est aussi exposée (à la crise) que la Syrie connaît».

 

Ces dernières semaines, Assad a encore dépêché le chef de ses services de renseignements, Ali Mamlouk, auprès du roi. Mais dans le même temps, les États-Unis ont annoncé le déploiement de 200 soldats près de la frontière nord avec la Syrie.

 

Jusqu'à présent, la coopération jordano-américaine se limitait à la surveillance des armes chimiques détenues par le régime syrien et à la formation de rebelles de l'Armée syrienne libre par 150 membres des Forces spéciales US - aidés par une poignée de Britanniques et de Français - dans un camp près d'Amman. Mais devant le danger créé par l'instabilité qui gagne le sud de la Syrie, l'objectif serait désormais d'y créer une zone-tampon. Celle-ci permettrait de relâcher la pression sur la Jordanie en renvoyant des milliers de réfugiés syriens du côté syrien de la frontière, mais également de protéger Israël. Autant de sujets qui seront évoqués vendredi prochain lorsque le roi Abdallah sera reçu à la Maison-Blanche par Barack Obama.

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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 16:42
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