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12 novembre 2014 3 12 /11 /novembre /2014 08:30
UK Reaper bombs IS militants in Iraq

UK MQ-9 Reaper aircraft launched the first air strike against the Islamic State fighters in Iraq. Photo UK MoD

 

11 November 2014 airforce-technology.com

 

A UK Royal Air Force's (RAF) MQ-9 Reaper remotely piloted air system (RPAS) has launched the first air strike against the Islamic State (IS) fighters in Iraq.

 

Assigned to support a series of coalition missions near Bayji, north of Baghdad over the weekend, Reaper successfully attacked terrorists laying improvised explosive devices using a Hellfire missile.

 

The drone used procedures identical to those of manned aircraft and also continued to provide intelligence, surveillance and reconnaissance assistance to coalition aircraft. This enabled them to conduct further strikes.

 

Also on 9 November, two RAF Tornado GR4 fighters were tasked to investigate suspected IS activity near Al Anbar, west of Baghdad.

 

The aircraft fired a single Brimstone missile to successfully destroy a shipping container used by the terrorists to store equipment to support extortion and control of the local population.

 

Operating from RAF Akrotiri in Cyprus, the Tornado fighters have been conducting airstrikes on multiple IS targets in northern Iraq since last month.

 

The Reaper airstrikes come just days before the US Department of Defense announced that the initial group of Iraqi F-16 jets will be sent to Tuscon, Arizona, instead of Balad Air Base, Iraq.

 

Iraq ordered a total of 36 F-16 C/D Block 52 fighters from Lockheed Martin in September 2011 and October 2012, to help rebuild its air force.

 

Deliveries to Iraqi Air Force were originally scheduled to start by mid-2014, but were postponed after IS overran much of the north-western part of the country. This led to evacuation of the programme contractors from Balad airbase.

"We are going to deliver three F-16s to Tucson in December and then one per month after that through May for a total of eight F-16s."

 

US Defense Department spokesman Army colonel Steven Warren said: "We are going to deliver three F-16s to Tucson in December and then one per month after that through May for a total of eight F-16s.

 

"We expect the Iraqi pilots will begin flying their own aircraft for continuation training beginning in January.

 

"All maintenance for the F-16s will be provided by [contracted] logistic support."

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12 novembre 2014 3 12 /11 /novembre /2014 07:30
RQ 170 stealth drone Sentinel

RQ 170 stealth drone Sentinel

 

MOSCOU, 10 novembre - RIA Novosti

 

L'Iran a testé avec succès un drone de combat conçu sur la base d'un drone-espion américain RQ-170 saisi en 2011, a rapporté lundi l'agence IRNA se référant au général de brigade iranien Amir-Ali Khajizade, le chef de la division aérienne des Gardiens de la Révolution.

Les spécialistes iraniens ont antérieurement présenté le drone de fabrication nationale lors d'un salon d'armement à Téhéran. Selon un représentant des forces aérospatiales iraniennes, les ingénieurs et techniciens du pays ont réussi à copier des informations importantes stockées sur le disque dur de l'engin américain ce qui a notamment permis de mieux protéger sa réplique iranienne contre les radars.

D'après l'agence FarsNews, le drone iranien est capable d'effectuer des missions de reconnaissance, mais aussi de combat.

L'Iran pris le contrôle d'un drone-espion américain RQ-170 début décembre 2011, alors que cet avion sans pilote, long de 4,6 m et d'une envergure d'environ 26 m, survolait le territoire iranien près de la ville de Tabas (nord-est). Par la suite, les autorités iraniennes ont montré une vidéo représentant le drone pratiquement intact. Selon Téhéran, ses experts ont piraté le système informatique du drone pour le forcer de se poser dans un désert.

Washington a d'abord démenti ces informations, avant d'exiger de restituer le drone, ce que Téhéran a refusé de faire.

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12 novembre 2014 3 12 /11 /novembre /2014 07:20
Pentagon Seeks Aircraft-based Drones for Future Missions

 

Nov. 11, 2014 By RAY LOCKER, USA TODAY – Defense News

 

The Pentagon is looking for ways to base multiple unmanned drones aboard larger aircraft, from which the drones will depart and return after they fly intelligence, surveillance and reconnaissance missions in hard-to-reach areas, according to a new request from the US Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA).

 

The request for information released over the weekend seeks drones that would be based on larger aircraft, such as B-52 or B-1 bombers or C-130 transport planes, to cite a few examples. The smaller drones would then fly from the larger planes, conduct their missions and return to the aircraft, which would then be able to fly away from potentially contested airspace.

 

“The agency envisions a large aircraft that, with minimal modification, could launch and recover multiple small unmanned systems from a standoff distance,” the request for information says.

 

Drones are continuing to play a larger role in US military and intelligence operations, including flights over Africa and the Middle East in search of terrorist groups.

 

DARPA’s latest request is part of a series of research programs aimed at developing aircraft and weapons that will enable US forces to cover large distances to get to coastal and other regions that are often protected by rival forces.

 

Earlier this year, DARPA released requests for long-range, anti-ship missiles that would break down the defenses of potential rivals such as China and Iran, as well as underwater drones that would be based aboard larger submarines. Another DARPA plan would enable multiple drones to communicate with each other autonomously without a central station on the ground.

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10 novembre 2014 1 10 /11 /novembre /2014 17:55
Drone n°4/11 - Y a-t-il un pilote dans l’avion ?

Préparation du DRAC par un binôme de la batterie de renseignement de la 9e brigade légère blindée de Marine appartenant au 11e régiment d'artillerie de Marine lors du camp régimentaire à Suippes - Crédits : J-B. Tabone/Armée de Terre

 

source Defense.gouv

 

Les hommes derrière les machines. Qui sont les hommes qui font voler les drones ? Voici un album sur les mécaniciens et opérateurs sans qui les drones n’existeraient pas…


http://bit.ly/ADAdrones

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10 novembre 2014 1 10 /11 /novembre /2014 08:45
Barkhane: les drones Reaper de l’armée de l’Air passent les 2000 heures de vol

 

07/11/2014 Sources :  Etat-major des armées

 

Le 30 octobre 2014, moins de 10 mois après son premier vol et sa mise en service, le détachement Reaper a franchi le cap des 2 000 heures de vol.

 

Après une montée en puissance progressive de cette nouvelle capacité ISR (Intelligence, surveillance and reconnaissance) de l'armée de l'Air, initiée le 16 janvier 2014, les missions d'appui renseignement aux opérations au Mali comme au Niger, en appui de l'opération Serval d'abord et de Barkhane ensuite, se sont succédées à un rythme extrêmement soutenu.

 

Les équipages, constitués de personnels navigants mais aussi d’officiers renseignement et d’interprétateurs d’images, sont très largement mis à contribution.  Engagés en amont du déclenchement des opérations menées dans la zone dans le cadre de la préparation Renseignement de l’espace opérationnel (PREO), les drones Reaper assurent dès le début des opérations, la permanence de la surveillance au cours d’une orbite continue, avec relèves de drones pouvant aller jusqu’à une centaine d’heure. Ils appuient les phases offensives des opérations notamment au cours des phases d’engagement des moyens aériens et des troupes au sol. Les équipages assurent en temps réel l’analyse des frappes afin de permettre aux autorités décisionnaires d’être informées et de pouvoir ainsi réorienter l’action.

 

Les deux MQ-9 Reaper et les équipages du 1/33 Belfort auront fait au cours de ces derniers mois la parfaite démonstration de la plus-value opérationnelle d'un système de drone MALE (moyenne altitude longue endurance) performant et moderne comme élément clé de l'appui ISR aux opérations de contre insurrection et de lutte contre le terrorisme. Engagé en complément du Harfang et d’autres moyens ISR, ils concourent ainsi pleinement à la manœuvre globale des capteurs en appui des actions de la force Barkhane.

 

Environ 3 000 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

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7 novembre 2014 5 07 /11 /novembre /2014 17:55
Parrot présente son Bebop Drone, piloté à longue distance

 

07 novembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Paris - Le français Parrot qui ambitionne de devenir un des protagonistes du marché des drones, a présenté vendredi son dernier-né, le Bebop Drone, un quadricoptère de loisir équipé d'une caméra de haute résolution, qui peut être piloté depuis une distance maximale de deux kilomètres.

 

Le Bebop Drone relève plusieurs défis: bien se comporter en vol, filmer en 1080 pixels (haute résolution, ndlr) de manière stabilisée, le tout dans un format 25% plus réduit que l'AR.Drone, le best-seller de Parrot déjà vendu à plus de 700.000 exemplaires dans le monde, a annoncé vendredi Henri Seydoux, le PDG du groupe.

 

Il peut être piloté sur une très longue distance, jusqu'à 2 kilomètres, grâce à une télécommande baptisée Skycontroller. Cette distance est toutefois théorique puisqu'elle dépend des limites imposées par les réglementations nationales.

 

Interrogé sur la question des drones ayant récemment survolé des centrales nucléaires en France, M. Seydoux a rappelé que la réglementation dans l'Hexagone est bien définie et n'autorise pas de telles pratiques.

 

On n'a pas le droit de faire voler (un drone) au-dessus d'un endroit habité, des aéroports et des centrales nucléaires, a-t-il souligné, lors de la présentation à la presse.

 

Le groupe, qui est également présent sur le segment des drones professionnels, ambitionne de devenir un des leaders du secteur, a expliqué à l'AFP le PDG de Parrot.

 

L'objectif, c'est de développer l'entreprise comme un leader des drones et des micro-drones, qui sont des marchés globaux, a-t-il déclaré=.

 

Le chiffre d'affaires drones (10,5 millions d'euros au premier semestre 2014 sur près de 100 millions au total) de Parrot est réalisé à 80% dans les loisirs et à 20% sur le marché professionnel. Le groupe est principalement présent en Europe et aux Etats-Unis.

 

Le nouvel engin de Parrot, vendu entre 499 et 899 euros, est un condensé de technologies.

 

Il mesure seulement 37 cm sur 23 pour une hauteur de 19 cm et pèse au maximum 410 grammes avec sa carène de protection.

 

Il se pilote sur une distance de 250 mètres par Wi-Fi via une application de pilotage gratuite, FreeFlight 3.0, pour Smartphones et tablettes iOS, Android et Windows Phone. Avec la possibilité de le contrôler depuis une distance encore plus grande.

 

Parrot offre aussi une compatibilité de son drone avec des lunettes subjectives (FPV, First Person View) qui une fois connectées en HDMI, offrent une vue immersive du vol, comme si le pilote était physiquement aux commandes.

 

Avec le Skycontroller, nous entrons dans une nouvelle dimension, celle du pilotage immersif et de haute précision, a fait valoir Henri Seydoux.

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7 novembre 2014 5 07 /11 /novembre /2014 12:30
RQ-170 Sentinel drone. Air Force photo

RQ-170 Sentinel drone. Air Force photo

 

Nov 7 Joseph Trevithick - War Is Boring

 

Mock attack could point to future Middle East strikes

 

Two years ago, the U.S. Air Force brought the stealthy RQ-170 drone and the Massive Ordnance Penetrator—two of America’s most secretive weapons—together for a single test.

The Pentagon denies that it’s aiming the huge MOP bomb—which can punch deep into the ground to destroy underground bunkers—at any specific targets. But the experimental pairing from 2012 could have been a sort of rehearsal for potential strikes in the Middle East.

 

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6 novembre 2014 4 06 /11 /novembre /2014 17:50
Concept SCAF - Système de Combat Aérien Futur (ou FCAS, Future Combat Air System) - crédits Dassault Aviation

Concept SCAF - Système de Combat Aérien Futur (ou FCAS, Future Combat Air System) - crédits Dassault Aviation

 

6 novembre 2014 par Gil Roy – Aerobuzz.fr

 

La France et la Grande-Bretagne vont consacrer 250 M€ sur deux ans, à l’étude d’un système de combat aérien du futur (SCAF). Une aubaine pour les bureaux d’études de Dassault Aviation, BAE Systems, Safran, Rolls-Royce, Thales, Finmeccanica-Selex menacés par la baisse des budgets de Défense.

 

Le Joint Strike Fighter américain, archétype de l’avion de combat de cinquième génération, sera-t-il le dernier vecteur piloté de l’intérieur ? Les progrès réalisés par le drone furtif X-47B peuvent laisser penser, en effet, que l’avenir appartient aux drones. En Europe, Dassault Aviation a pris les commandes du Neuron, un démonstrateur de drone de combat, également furtif, qui pourrait préfigurer le successeur du Rafale, du Gripen ou encore de l’Eurofighter. Si ce programme implique une multitude d’industriels de Défense de nombreux pays, en revanche, celui qu’il va désormais falloir appeler SCAF pour «  Système de combat aérien futur » ne réunit que deux partenaires, la France et la Grande-Bretagne, qui ont déjà a leur actif plusieurs programmes aéronautiques communs. Dans le domaine militaire, on se souvient évidemment du Jaguar…

 

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5 novembre 2014 3 05 /11 /novembre /2014 20:55
centrale de Belleville-sur-Loire - photo EDF

centrale de Belleville-sur-Loire - photo EDF

 

05/11/2014 Par LEXPRESS.fr

 

Les trois jeunes ont été placés en garde à vue après leur interpellation en possession d'un drone près de la centrale de Belleville-sur-Loire, dans le Cher.

 

Ils risquent jusqu'à un an de prison et 75 000 euros d'amende. Trois hommes, âgés d'une vingtaine d'années, ont été interpellés ce mercredi en milieu d'après-midi en possession d'un drone aux abords de la centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire.

Ces jeunes gens sont accusés de "survol volontaire par pilote d'un aéronef d'une zone interdite", d'après la procureure de la République de Bourges, qui s'est refusée à dévoiler si la centrale a elle-même été survolée. La zone interdite s'étend jusqu'à 5km aux alentours de tels sites.

 

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5 novembre 2014 3 05 /11 /novembre /2014 20:45
photo APS

photo APS

 

05 Novembre 2014 Par Wahib AïT OUAKLI - lexpressiondz.com

 

«L'Algérie abritera la plate-forme technologique de fabrication des moteurs de ce type d'appareil à usage tactique innovant», a affirmé Hafid Aouragh.

 

Le Salon international sur les véhicules aériens, drones, a été clôturé dimanche. Chez les étudiants et les scientifiques un sentiment particulier: développer, vaille que vaille, cette nouvelle technologie que l'on ne voyait auparavant que dans les films de science-fiction. Le véhicule aérien, appelé communément drone, est ce petit appareil qui peut survoler des espaces entiers pour différents objectifs et dans des missions scientifiques, militaires et autres. En Algérie, l'utilisation du drone dans les différents domaines s'avère incontournable. D'autant qu'il permettra de rendre plus agissante toutes les opérations comme la lutte antiterroriste dans le Grand Sud et percer le confinement de certaines zones fortement boisées. Le drone permet d'assurer une bonne surveillance continue de l'ensemble des sites sensibles et des installations industrielles et pétrolières et de rationaliser les coûts de surveillance aérienne des autoroutes. «Avec le drone, on peut intervenir efficacement et à temps dans n'importe quel domaine comme lors de la sécurisation des unités industrielles», a affirmé Nadia Bennaceur du réseau des ingénieurs-consultants et experts franco-algériens. Militairement parlant, le drone peut assurer la possibilité d'intervenir au-delà des frontières et de manière à la fois forte et discrète. L'Algérie est-elle en train de négocier un virage décisif dans son élan de développement de son industrie aéronautique?

 

L'université pense drone

 

Ambitionnant de se mettre au diapason avec les nouvelles technologies, l'Algérie s'est mise en plein bain de construction de drone. Deux nouveaux drones de conception algérienne sont en cours de réalisation à l'université des sciences et de la technologie Mohamed-Boudiaf d'Oran, Ustomb.

 

«L'expérimentation des deux modèles par simulation numérique a été accomplie avec succès et les prototypes seront bientôt réalisés», a précisé le professeur Bachir Imine, directeur du Laboratoire d'aéronautique et des systèmes propulsifs, LASP de l'Ustomb, ajoutant que «les deux drones présentent des performances aérodynamiques intéressantes pour divers domaines d'application civile comme la cartographie urbaine et la surveillance des forêts». Le laboratoire figure parmi les structures de recherche algériennes qui ont pris part au Salon international des UAV qui s'est tenu à Oran de vendredi à dimanche dernier. «Le premier drone, dit à «aile ventilée» est également appelé aussi «fanwing».

 

Il fait partie de la catégorie d'engins volants «capables de rester dans l'air sur une zone limitée et pour une période de temps prolongée», a expliqué le professeur tout en faisant valoir l'avantage de leur vitesse réduite permettant des prises de vue de grande netteté via l'appareil-photo embarqué. Le deuxième drone, dit «à silhouette d'hirondelle», présente quant à lui des performances liées à sa capacité à embarquer des systèmes plus lourds.

 

Le professeur a indiqué que «le Laboratoire a déjà à son actif la réalisation, en avril dernier, d'un drone à usage environnemental». Le tabou est donc brisé dès lors que l'université a pris les devants dans sa recherche. En effet, le premier drone supersonique africain verra le jour en 2016 en Algérie dans le cadre de la coopération scientifique avec l'Afrique du Sud. Une telle annonce a été faite par le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, Hafid Aouragh qui a déclaré que «l'Algérie abritera la plate-forme technologique de fabrication des moteurs de ce type d'appareil à usage tactique innovant».

 

Pour ce faire, l'Institut d'aéronautique de l'université de Blida a été choisi à ce titre pour accueillir le site d'implantation de la plate-forme de production où la mise en place des équipes mixtes est prévue le 1er janvier 2015 pour un délai de réalisation de 18 mois. Cette opération sera concrétisée à la faveur de la mise en commun des compétences et des savoir-faire algériens et sud-africains. Une convention de coopération scientifique entre les deux pays a été signée vendredi dernier à Oran. Cet accord, conclu en présence du ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mohamed Mebarki, met en partenariat l'université de Blida et le Conseil pour la recherche scientifique et industrielle (Csir) d'Afrique du Sud, pays invité d'honneur du Salon.

 

Les drones supersoniques se distinguent des autres types de véhicules aériens autonomes par leurs turbo-réacteurs qui leur permettent d'atteindre une vitesse importante.

 

La conception et la fabrication des autres catégories de drones est déjà parfaitement maîtrisée en Algérie. Une autre convention de coopération avait été également signée, à l'inauguration du Salon, entre le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et l'Agence allemande d'aéronautique et du spatial. L'accord algéro-allemand a pour objectif de consolider la formation dans un large spectre de domaines technologiques dont l'aéronautique, le spatial, la robotique et les énergies renouvelables. Les organisateurs, dont le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, se sont félicités de l'engouement qu'a suscité le Salon dédié aux UAV chez le public. Le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique a mis en évidence «l'importance du réservoir des compétences algériennes à même de contribuer à la mise en place de la stratégie nationale axée sur la sécurité et souveraineté du pays». Le Salon international des UAV a été organisé avec la participation des universités, des centres de recherche algériens et des institutions nationales telles que le ministère de la Défense nationale et la Compagnie nationale Air Algérie. Ont également pris part à cette rencontre des universités et des établissements scientifiques étrangers spécialisés dans le domaine de l'aéronautique, représentant plusieurs pays comme l'Allemagne, le Brésil, l'Espagne, la France, le Royaume-Uni, la Russie et la Tunisie.

 

L'histoire du drone avec l'Algérie est récente lorsque des essais inauguraux du drone algérien, baptisé Amel, ont été entamés le mois de juin de 2013 par l'équipe d'ingénieurs du Centre de recherche en soudage et de contrôle (CSC) de Bou Ismaïl. Les essais ont été effectués dans l'aérodrome de l'ex-Alat, à l'est de la ville de Sidi Bel Abbès. Malgré un petit contretemps, les chercheurs du CSC n'ont été nullement affectés puisque effectuant des essais de roulage au sol (accélérations et freinages) après une mise en marche du drone doté d'un moteur à deux temps et deux cylindres. Selon ses concepteurs, le drone aura une autonomie de vol de 6 heures sur une distance de 200 km et une altitude de 3500 m à partir de son point de guidage et de contrôle terrestre. Les essais se feront en plusieurs phases et devront durer plusieurs semaines.

 

Rétrospective

 

«Notre objectif est atteint, en ce sens que nous avons pu mettre en place une équipe pluridisciplinaire formée de compétences nationales pour la concrétisation de ce projet», a affirmé le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique.

Ce prototype d'avion sans pilote dont la construction a débuté au mois d'octobre 2010, pour un échéancier de réalisation de 36 mois, comporte des composantes embarquées, électroniques et informatiques, de conception entièrement algérienne. L'idée de ce prototype d'avion sans pilote a été lancée en 2010, lors de la visite du président de la République à l'université de Ouargla. Elle s'est ensuite poursuivie par la réalisation des divers matériaux et équipements au niveau du Centre de soudage et contrôle de Bou Ismaïl.

 

3 drones confisqués à l’aéroport de Carthage

 

«Nous avons essuyé un refus catégorique de la part de la douane tunisienne quant à transporter notre matériel en vue de prendre part au Salon international du drone qui se tient à Oran», a déploré le gérant de la boîte tunisienne Pixel Drone Technologies, Zoubeir Bensassi. Dans son argument, explique le gérant de Pixel Drone, les douaniers de laéroport de Carthage nont trouvé rien de mieux à dire que de nous signifier que « nous ne sommes pas en droit de voyager avec un tel matériel sans passer par le service fret». «Cet acte nhonore nullement les Tunisiens ni encore moins la Tunisie dautant que notre participation à Oran porte dans ses dimensions la représentation de la Tunisie vu les enjeux économiques», a déploré Bensassi Zoubeir.

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5 novembre 2014 3 05 /11 /novembre /2014 17:50
Polish Ministry of Defence Presents the Procurement Plans. UCAV’s and Reconnaissance UAV’s to Be Purchased Soon

 

Nov 05, 2014  defense-aerospace.com

(Source: Defence24.com Poland; published Nov 05, 2014)

(Edited for style)

Agreements regarding procurement of the JASSM missiles and the NSM rocket system for the 2nd Coastal Missile Squadron will be signed in December next year, the Polish MoD Secretary of State, Czesław Mroczek, said during a Nov 4 conference updating the Armed Forces’ 2013-2022 modernisation program.

The price of the JASSM missile package, comprising the missiles and the related F-16 modernisation, will cost at most half as much as the 500 million US dollars indicated in the FMS notification, Mroczek said.

The meeting was also attended by the Chief of Polish Army’s General Staff, General Mieczysław Gocuł, the head of the Armament Inspectorate, Brig. General Sławomir Szczepaniak, the director of the Arms Policy Department, Brig. Gen. Włodzimierz Nowak, and the chief of the P8 Planning Board, Brig. Gen. Sławomir Pączek.

Deputy Minister Czesław Mroczek reported on this year’s equipment deliveries, including inter alia new Rosomak wheeled APCs, Leopard 2 tanks and new trucks. He also addressed the implementation of modernisation scheduled for 2014 – PLN 8 billion have been allocated to that purpose, and PLN 6.5 billion had been spent by the end of October.

MoD plans assume that negotiations regarding Konsberg NSM missiles will be completed in the coming months. The system will be supplied to the 2nd Coastal Missile Squadron. The JASSM missiles contract is to be signed in December, and the missiles will be used by F-16 fighters. Along with Homar land-based missiles and submarine-launched cruise missiles, these weapons will create Poland’s conventional deterrent.

When it comes to the controversial multi-purpose helicopter deal, the Deputy Minister of Defence clearly stated that neither the deadline nor the conditions will be changed. Offers will be accepted until 28th November and MoD hopes to receive three compliant bids to choose from, according to the requirements specified in the tender.

Among the programmes to be finalised in the near future, the officials listed:

- Procurement of the multi-purpose helicopters and realisation of the technical dialogue regarding the “Kruk” assault helicopter programme;

- Delivery of mini-UAVs called “Wizjer” and short range “Orlik” tactical UAVs;

- Acquisition of new type of submarines within the “Orka” programme, along with “Czapla” patrol minehunters and “Miecznik” coastal defence vessels;

- Procurement of Wisła medium range anti-aircraft missiles and technical dialogue regarding the “Narew” short range system.

Deputy Minister Mroczek said that when it comes to anti-aircraft systems, due to production capabilities, delivery of the planned quantity of the “Wisła” batteries may be difficult. It is one of the issues which is part of negotiation process.

Mroczek also denied that the Mistral deal that France concluded with Russia might have an impact on the chances of the French offers in the air-defence and multi-purpose helicopter competitions.

“Mistrals are an element of the NATO and EU stance related to the sanctions against Russia. This should not be treated as a problematic issue in our bilateral relationship with France. Poland of course is not in favor of selling Mistrals to the Russian due to the situation in our region of Europe. Nevertheless, Mistrals are not the key issue in Poland’s relationship with France,” Deputy Minister Czesław Mroczek said.


(EDITOR’S NOTE: Four companies have so far expressed interest in the “Kruk” competition to supply 30 attack helicopters, Reuters reported Nov 4 from Warsaw. They are Airbus Helicopters (teamed with Heli Invest Services), Turkish Aerospace Industries, Bell Helicopter and Polish company BIT SA. As the list of potential bidders is still open, other bidders such as Boeing could still join the competition.)

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4 novembre 2014 2 04 /11 /novembre /2014 17:35
Comment Pékin peut pulvériser les petits drones

Sécurité La Chine a mis au point une arme laser capable de détruire en vol des drones légers

 

03/11/2014 latribune.fr 

 

La Chine a trouvé une parade à la menace des petits drones qui survolent des sites protégés. Pékin a développé une arme laser capable de détruire en vol des drones légers.

 

La solution est radicale... mais efficace. Alors que des drones continuent de survoler des centrales nucléaires françaises, la Chine a mis au point une arme laser capable de détruire en vol des drones légers, a rapporté lundi la presse, quelques jours avant le forum de l'Asie-Pacifique pour lequel Pékin renforce ses mesures de sécurité. Ce dispositif a un rayon d'action de deux kilomètres et peut atteindre une petite cible aérienne, évoluant à basse altitude, moins de cinq secondes après l'avoir localisée, a précisé l'agence Chine nouvelle en citant un communiqué de l'Académie d'ingénierie de Chine.

Les médias d'Etat ont diffusé des photographies du système, composé d'un gros cube mobile, recouvert d'une peinture motif camouflage, sur lequel est fixé un canon émettant le faisceau laser. L'agence Chine nouvelle a aussi publié des clichés d'épaves de drones, détruits en vol.

 

Un système de défense clé

Ce système de défense est appelé à jouer un rôle clé à l'occasion d'événements majeurs organisés dans les sites urbains, a-t-elle ajouté. Pékin accueille la semaine prochaine le Forum de coopération économique Asie-Pacifique (Apec), une réunion au sommet pour laquelle la capitale chinoise s'apprête à fortement renforcer ses mesures de sécurité.

Comment Pékin peut pulvériser les petits drones
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4 novembre 2014 2 04 /11 /novembre /2014 12:55
Croire que le drone permet de mener une ‘‘guerre zéro mort” est dangereux

 

03/11/2014 DICoD

 

Avouons-le. Nous n’avons pas toujours le temps de parfaire notre culture générale ou d’approfondir nos connaissances géopolitiques … Pas de panique ! La rédaction vous propose de retrouver chaque dernier vendredi du mois la rubrique « Enjeux et réflexions ». Ce mois-ci, les questions éthiques soulevées par l’usage des drones sont abordées avec l’interview de Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, docteur en science politique et en philosophie, et juriste. L’article est extrait du dossier du numéro d’octobre novembre 2014 d’Armées d’aujourd’hui, intitulé « l’ère des drones » et dirigé par notre journaliste Paul Hessenbruch.

 

Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, docteur en science politique et en philosophie, et juriste.

Pour Jean-Baptiste Jeangène Vilmer*, l’usage des drones s’inscrit dans la nature asymétrique des conflits contemporains. Les questions éthiques soulevées lorsque certaines nations ont éliminé des cibles humaines par ce moyen ne doivent pas accréditer l’idée que la « guerre zéro mort » est possible.

 

Pourquoi le drone, en comparaison d’autres systèmes d’arme, pose-t-il tant de questions sur le plan éthique?

 

Ce n’est pas l’armement des drones en tant que tel qui a suscité un débat moral, mais l’intensification des frappes américaines au Pakistan, au Yémen et en Somalie. La première raison est donc une confusion entre la chose et son usage : entre le drone et la politique (américaine et israélienne) d’élimination ciblée qui l’utilise. Celle-ci est discutable, autant moralement que légalement, mais il ne faut pas confondre la fin et les moyens. Cette confusion est extrêmement répandue. La deuxième raison, cette fois propre au système d’arme lui-même, est qu’il permet à celui qui l’utilise de tuer sans risquer de l’être. C’est l’asymétrie du risque qui pose problème à tous ceux qui parlent de « lâcheté ». Pour autant, les drones ne sont pas la cause de l’ère post-héroïque, mais l’un de ses effets. Ils sont l’un des symptômes d’une évolution antérieure. Il existe aujourd’hui un décalage entre ce que doit être la guerre pour la société et ce qu’elle est devenue. La perception de ce qu’elle doit être en reste à la guerre conventionnelle et au modèle antique du choc frontal et du corps-à-corps, dont on a conservé une conception chevaleresque qui confond le champ de bataille et une scène de western (héroïsme). Ce qu’elle est devenue est une guerre irrégulière et asymétrique, c’est-à-dire basée précisément sur l’évitement du choc frontal, parce que l’ennemi n’est plus une armée, mais un acteur non-étatique, souvent déterritorialisé (post-héroïsme).

 

La France est-elle la seule nation à se poser des questions sur l’éthique des drones?

 

Absolument pas, et elle est même loin d’être la première à le faire. Le débat est logiquement antérieur et plus développé dans les pays qui possèdent et utilisent des drones armés : les États-Unis, Israël et le Royaume-Uni. Il existe aussi chez ceux qui ont des drones armables et se posent donc des questions légitimes (France, Allemagne, Italie). C’est désormais un débat global, qu’on retrouve dans les revues et les colloques internationaux en relations internationales, philosophie, droit, stratégie, etc.

 

Quels enseignements peut-on tirer des autres pays ayant recours à ce système?

 

La stratégie américaine au Pakistan a connu une évolution regrettable : un changement majeur a eu lieu lorsque la CIA a élargi ses cibles, ne visant plus exclusivement celles dites de « grande valeur », mais n’importe quel groupe de militants présumés, sur la base d’un comportement a priori douteux. La multiplication de ces signature strikes – des frappes basées non pas sur l’identité (personality strikes) mais sur le comportement – a conduit à de nombreux abus. Ces dérives et l’industrialisation de l’élimination ciblée dont elles sont le symptôme sont évidemment condamnables, et le gouvernement américain en est d’ailleurs revenu (il y a eu 122 frappes au Pakistan en 2010, 73 en 2011, 48 en 2012, 21 en 2013 et pour l’instant 7 en 2014). à condition de ne pas confondre la chose et son usage, il est tout à fait possible de condamner les abus d’une politique laxiste telles que les signature strikes sans remettre en cause le principe même de l’élimination ciblée et l’usage des drones. L’interprétation restrictive d’Harold Koh (conseiller juridique du département d’état jusqu’en janvier 2013), qui estime qu’il est légal de viser des individus, mais uniquement des « high-value -targets », uniquement lorsqu’ils complotent effectivement contre les États-Unis, et uniquement quand la menace est suffisamment spécifique pour invoquer la légitime défense, me semble généralisable et elle pourrait inspirer la France, par exemple si elle décide d’armer ses Reaper.

 

De quelle manière le fait d’avoir recours à des drones alimente l’idée d’une « guerre zéro mort » ? En quoi cette association peut-elle être dangereuse?

 

Les drones alimentent l’idée de « guerre zéro mort », et celle corrélative de « guerre propre », de deux manières : ces appareils donnent l’impression qu’il est possible de combattre sans pertes de notre côté (non-réciprocité du risque) et avec peu de pertes civiles du côté adverse (précision de l’arme). Si les gens sont généralement convaincus que « les drones font beaucoup plus de victimes civiles » alors qu’en réalité ils en font beaucoup moins que leurs alternatives (missiles Tomahawk, campagne aérienne classique ou opération terrestre), c’est parce qu’ils exigent davantage d’une arme qui donne l’impression d’être chirurgicale. Les victimes sont d’autant plus inacceptables qu’elles auraient pu ne pas être faites. Croire que le drone permet de mener une « guerre zéro mort » est doublement dangereux : d’une part parce que cette illusion peut inciter à intervenir, et donc augmenter le nombre de conflits (effet pervers déstabilisateur); d’autre part parce que les drones seuls ne peuvent pas faire grand-chose, ils doivent être accompagnés au sol et protégés dans les airs. L’opérateur du drone peut être lui-même relativement protégé (l’Américain l’est puisqu’il reste à la maison, le Français moins puisqu’il opère in situ), mais il fait partie d’un dispositif impliquant d’autres combattants qui, eux, risquent leur vie.

 

Les propos de cet entretien n’engagent que leur auteur

 

* Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, docteur en science politique et en philosophie, juriste, enseigne le droit de la guerre à Sciences Po Paris et à l’École spéciale militaire de Saint-Cyr. Il est chargé de mission au Centre d’analyse, de prévision et de stratégie.

 

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3 novembre 2014 1 03 /11 /novembre /2014 17:35
Un drone alerte avions de chasse et 1.200 soldats en Chine

 

23/10/14 7sur7.be (Belga)

 

Les autorités chinoises ont mobilisé plus de 1.200 soldats et déployé deux avions de chasse, en réaction au vol non autorisé d'un drone privé réalisant des études topographiques, non loin de l'aéroport de Pékin, ont indiqué jeudi des médias d'Etat.

 

Trois hommes ont été inculpés par la justice à la suite de l'incident, survenu en décembre dernier mais révélé récemment, a précisé le China Daily. Selon les procureurs ayant instruit l'affaire, 1.226 membres de l'armée, 123 véhicules militaires, 26 techniciens spécialisés, deux hélicoptères et deux avions de chasses, avaient été rapidement dépêchés sur les lieux pour intercepter cet aéronef non identifié apparu sur les écrans radars. La police a arrêté les deux hommes qui manipulaient le drone, tandis qu'un troisième a confessé ultérieurement sa part de responsabilité, selon le journal.

 

Tous trois travaillaient pour une entreprise de technologie aéronautique, et le drone de 2,6 mètres d'envergure qu'ils faisaient voler ce jour-là était destiné à des usages d'études topographiques et de cartographie, a ajouté le China Daily. En raison de ce drone et de la mobilisation qui avait suivi, 10 vols au départ de l'aéroport de Pékin avait été retardés, provoquant des pertes financières de quelque 18.000 yuans (2.300 euros) pour la compagnie Air China, à en croire le quotidien.

 

La Chine interdit strictement tout vol d'aéronef -avec personne à bord ou télécommandé depuis le sol- sans autorisation préalable de l'armée, des autorités de l'aviation civile et du bureau local de contrôle du trafic aérien.

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3 novembre 2014 1 03 /11 /novembre /2014 12:55
Infographie - Des drones à tous les étages

 

31/10/2014 Capitaine K. Djemaï / infographie sergent-chef S. Millet - Sources : Armée de l'air

 

Ils sont souvent présentés comme les vecteurs aériens du futur. Pourtant, les drones font pourtant partie du présent de l’armée de l’air depuis plus d’une décennie.

 

Des 20 mètres d’envergure du Reaper aux quelques centimètres d’un mini-drone, les systèmes utilisés par les aviateurs sont très variés. Tous évoluent dans le même espace aérien et sont soumis au respect d’une réglementation stricte.

 

Ci-dessous, l’infographie animée vous présente les grandes familles de drones actuellement en service en France et dans le monde.

 

 

À noter également que le magazine Air actualités consacre, dans son numéro de novembre 2014, un article sur la création du centre d’excellence « drones ». Stationnée sur la base aérienne 701 de Salon-de-Provence, cette unité doit répondre aux besoins croissants de l’armée de l’air en matière de formation et d’innovation.

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24 octobre 2014 5 24 /10 /octobre /2014 18:55
Sagem EUROFLIR 410 - Photo Ph Wodka-Gallien

Sagem EUROFLIR 410 - Photo Ph Wodka-Gallien

 

Euronaval 2014, Paris, Le Bourget, October 24, 2014 Sagem

 

At this year's Euronaval trade show and exhibition, Sagem (Safran) is showcasing its innovative optronics and navigation systems for naval forces, from frontline units to coast guards. Sagem's products on display cover the full range of maritime requirements, including merchant marine security, and are organized in four main areas: observation & engagement, navigation, airborne surveillance and self-defense.

 

Several new Sagem products will be featured at Euronaval 2014:

 

Optronic attack mast. A high-performance mast for attack submarines, this optronic unit features multiple sensors in a small package. Sagem's mast offers a non-penetrating design for thick hulls. It incorporates four high-resolution cameras, panoramic surveillance and antennas for electronic warfare, communications and GPS. Its modular design makes it adaptable to both new ships and the modernization of units already in service.

 

Vigy Engage. Combining surveillance capability and deployment of small caliber arms (up to 30 mm), Vigy Engage includes a gyrostabilized optronic turret and a fire control function. The surveillance version of the Vigy Observer is offered as an early warning and identification system for systems used on merchant vessels to protect them from pirates(*).

 

Paseo Marine. A multi-mission optronic system, Paseo Marine provides both panoramic surveillance and fire control. It's a very compact system, including a ballistic computer, laser rangefinder and high-resolution cameras, integrated in a gyrostabilized turret. Paseo Marine supports high-precision firing against surface or aerial targets. It can be integrated with a combat system, or operated from a dedicated console, and can also be connected directly to most types of naval artillery.

 

EOMS NG. New-generation Electro Optical Multifunction System. The EOMS NG provides infrared panoramic tracking and shipborne artillery fire control from a multifunction console in the operations center. Designed for large warships, it offers very high performance. The new version of the EOMS NG now features an autonomous self-defense function for medium-tonnage ships, using a dedicated console.

 

Euroflir® 410SP. Designed for aircraft and drones, the Euroflir® 410SP system incorporates several types of very-high-resolution optronic sensors in a gyrostabilized turret: infrared imagers and TV cameras, spotter with progressive zoom, pointer and laser illuminator. A pivotal part of any airborne surveillance setup, the Euroflir® 410 SP features new solutions for the operation of sensors and image recognition software.

The Euroflir® 410SP was successfully tested on the Patroller tactical drone during the summer of 2014. A new optronic payload will be developed by Optrolead, the Sagem / Thales joint venture.

 

SIGMA 40 navigation system. Sagem's navigation unit is spotlighting its SIGMA 40 military navigation systems at Euronaval 2014. Featuring laser gyro inertial sensors, the Sigma 40 meets the most demanding performance requirements of different types of warships: aircraft carriers, combat vessels, support and special mission ships. The Sigma 40 XP version, also a very compact design, is specially designed for attack submarines, and has become the global benchmark in submarine navigation systems.

 

SIGMA 20M gyro-compass. Sagem continues to extend its inertial range with this new navigation system, combining a compact design, cost-competitiveness, robustness and maintenance-free operation. The SIGMA 20M offers a breakthrough inertial technology, namely the Hemispherical Resonator Gyro (HRG), patented by Sagem. The SIGMA 20M gyro-compass is intended for demanding naval applications and is fully compliant with military standards. It complements the SIGMA 40 range based on laser-gyro technology, the leader in its market segment.

 

BlueNaute® attitude and heading reference system. Sagem has developed the BlueNaute® family of attitude and heading reference systems to meet the needs of both commercial ships and government agencies operating at sea (police, customs, coast-guards, support vessels, etc.). In production since the end of 2012, BlueNaute® uses Sagem's patented hemispherical resonator gyro technology. This highly innovative technology offers virtually unlimited lifetime and very high reliability, while also perfectly matching the requirements of the International Maritime Organization and the SOLAS (Safety of Life at Sea) treaty.

More than 400 Sagem optronic system are now deployed by some 30 navies worldwide. Sagem's navigation systems are used on more than 450 surface vessels and 60 submarines in 14 different classes.

 

(*) At Euronaval, Sagem will lead a technology workshop dubbed "Long-term solutions for the protection of commercial ships against piracy" – Tuesday, October 28, 2:30 pm – Space B 51.

.

***

Sagem, a high-tech company of Safran, holds world or European leadership positions in optronics, avionics, electronics and safety-critical software for both civil and military markets. Sagem is the No. 1 company in Europe and No. 3 worldwide for inertial navigation systems (INS) used in air, land and naval applications. It is also the world leader in helicopter flight controls and the European leader in optronics and tactical UAV systems. Operating across the globe through the Safran group, Sagem and its subsidiaries employ 7,500 people in Europe, Southeast Asia and North America. Sagem is the commercial name of the company Sagem Défense Sécurité.

 

For more information: www.sagem.com

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 16:20
photos Northrop Grumman

photos Northrop Grumman

MQ-8C Fire Scout completes "slope testing"

 

POINT MUGU, Calif. – Oct. 23, 2014 – Northrop Grumman

 

Northrop Grumman Corporation successfully completed precision sloped landing tests Aug. 27 with the MQ-8C Fire Scout at Naval Base Ventura County, Point Mugu, in preparation for at-sea testing.

 

MQ-8C Fire Scout has been undergoing rigorous flight testing and validation, which will culminate in the actual takeoff and landing on the deck of a Navy vessel at-sea. The MQ-8C is the company's latest variant of its successful Fire Scout unmanned aerial system, which performs intelligence, surveillance and reconnaissance missions for the U.S. Navy.

 

"The sloped takeoff and landing tests are designed to be as real as it gets to actually operating on a Navy ship," said Capt. Patrick Smith, Fire Scout program manager at Naval Air Systems Command. "The autonomous MQ-8C Fire Scout system is able to precisely track and understand the roll and pitch of the surface which resembles at-sea conditions."

 

The sloped landing platform was previously used to test and certify the MQ-8B Fire Scout for ship-based operations and is now being used for the more capable MQ-8C. The MQ-8C is utilizing the same proven autonomous system for takeoff and landings as the current MQ-8B model.

 

Northrop Grumman's MQ-8C Fire Scout Prepares for Shipboard TestingNorthrop Grumman's MQ-8C Fire Scout Prepares for Shipboard Testing

"The MQ-8C Fire Scout system is performing as predicted and as previously demonstrated during Fire-X testing back in 2011," said George Vardoulakis, vice president for Medium Range Tactical Systems, Northrop Grumman. "These tests enable a validation of our autonomous system and clear the way for dynamic interface testing onboard the ship."

 

Since its first flight Oct. 31, 2013, the MQ-8C Fire Scout has flown 219 flights and 287 hours. The most recent tests on the MQ-8C have consisted of electromagnetic testing, which assured compatibility with ship-based emitters (like radar) and an initial phase of dynamic interface testing, which looked at deck handling and communications networks. The MQ-8C's first ship-based series of flights are planned for later this year.

 

Northrop Grumman is a leading global security company providing innovative systems, products and solutions in unmanned systems, cyber, C4ISR, and logistics and modernization to government and commercial customers worldwide. Please visit www.northropgrumman.com for more information.

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 00:45
Un drone américain s’écrase au Niger (20 oct.)

French and US drone aprons at Niger’s Diori Hamani International Airport located in Niamey - DigitalGlobe satellite imagery October 2013

 

20 octobre 2014 BBC Afrique

 

Au Niger, un drone de l'armée américaine s'est écrasé, vers 3 heures du matin, sur la piste d'atterrissage de l'aéroport international de Niamey.

 

L'avion, sans pilote, aurait provoqué après sa chute d'importants dégâts matériels sans faire de victime.

 

L'aéroport est momentanément fermé pour cause de travaux et ce jusqu'à minuit [20 oct.].

 

En janvier 2013, les Etats-Unis ont envoyé un détachement de 120 hommes à Niamey afin de mettre en œuvre 4 drones de surveillance et de reconnaissance pour soutenir les forces françaises, alors engagées dans l’opération Serval contre les groupes djihadistes implantés au nord du Mali.

 

Ce déploiement de drones vise à apporter un soutien à la collecte de renseignements, ainsi qu’à faciliter les échanges avec l’opération Berkane, en cours au Mali, et avec d’autres partenaires dans la région.

 

C’est d’ailleurs à Agadez, dans le nord du Niger, que les Etats-Unis s’apprêtent à installer leur nouvelle base de lancement de drones.

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21 octobre 2014 2 21 /10 /octobre /2014 20:50
Le dossier expérimental de certification civile du drone Atlante d’Airbus DS est ouvert

Le drone Atlante d’Airbus DS a réalisé en octobre 2014, le premier vol en Europe d’un aéronef de ce type à partir d’un aéroport civil, à Almeria.  photo Airbus DS

 

12.10.2014 Aerobuzz.fr

 

Airbus Defence and Space a officiellement adressé à l’Agence européenne de la sécurité aérienne (EASA) , une demande de certification de type civile pour son drone Atlante (UAV). Il s’agit là d’une première qui va permettre à l’organisme de certification d’élaborer un cadre spécifique à partir d’un cas concret et en étroite collaboration avec l’industriel.

 

A l’origine, l’Atlante est un drone tactique multicharges MALE (moyenne altitude longue endurance) conçu par Airbus Defence and Space en Espagne pour répondre à une demande du ministère espagnol de la Défense. Il a effectué son premier vol, le 28 février 2013, sur l’aérodrome de Rozas (Espagne), avant de réaliser en octobre de la même année le premier vol en Europe d’un aéronef de ce type à partir d’un aéroport civil, à Almeria. [1] Un deuxième appareil a été mis récemment en vol.

 

Suite de l'article

 

[1] Ce vol au départ de l’aéroport d’Almeria faisait partie d’un exercice réalisé dans le cadre du projet « Perseus » (Protecting European seas and borders through the intelligent use of surveillance) de l’Union européenne. Airbus Defence and Space est l’une des 29 organisations, issues de 12 pays, partenaires du consortium « Perseus ».

 

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14 octobre 2014 2 14 /10 /octobre /2014 12:56
Un rapport dénonce le fiasco financier et calendaire du drone Harfang

Airbus Group a mis près de 270 millions d'euros de sa poche pour livrer le drone Harfang à l'armée française (Crédits : Arméé de l'Air)

 

14/10/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Une facture qui enfle (de 100 à 440 millions d'euros), des délais qui explosent (5 ans de retard), une opération qui est mal évaluée, selon un rapport du ministère de la Défense. Le drone Harfang a cumulé tout ce qu'il ne fallait pas faire.

 

Le Predator aurait pu voler beaucoup plut tôt sous les couleurs de l'armée française. Dès 2003. C'est la petite histoire dans l'histoire chaotique, trop chaotique du SIDM (Système intérimaire de drone MALE). Car Sagem, associé à l'américain General Atomics, proposait en 2001 au ministère de la Défense un système sur la base du drone Predator. Mais c'est finalement Airbus Group (alors EADS), qui est retenu par la DGA (Direction générale de l'armement) pour doter l'armée de l'air d'un drone de surveillance, de reconnaissance et de désignation d'objectif de jour comme de nuit. La plateforme du successeur du drone Hunter est réalisée par le groupe israélien IAI, sur la base du drone Heron.

C'est le début d'un long chemin de croix pour les militaires, qui ne pourront disposer du drone Harfang, d'abord conçu comme une solution intérimaire de courte durée, qu'en 2008... au lieu de 2003. Cette opération non érigée en programme (ONEP) initialement prévue pour être réalisée entre 2001 et 2003, devait être proche d'un achat sur étagère. Elle s'est poursuivie "jusqu'à la fin 2008", note un rapport du ministère de la Défense. "Plus de cinq ans de retard, pour une durée initialement prévue de deux ans, montrent que la difficulté technologique d'une telle opération avait été sous-estimée. De plus, le refus américain d'autoriser l'utilisation de certains composants a créé des problèmes qui ont également retardé le déroulement du programme", explique ce rapport.

 

La facture passe de 100 à 440 millions d'euros

A l'origine, le coût envisagé était relativement limité pour quatre drones (environ 100 millions d'euros), explique le rapport. Mais le résultat est très éloigné de cette évaluation : il a été multiplié par plus de quatre, pour atteindre plus de 440 millions. Selon le rapport, le coût de réalisation (163 millions) ne représente que la moitié des coûts identifiés jusqu'en octobre 2013, le soutien (contractualisé et interne) atteignant près de 100 millions d'euros, tandis que le coût d'utilisation s'élève à 36 millions d'euros. Pour une utilisation jusqu'à 2017, les coûts de soutien et d'utilisation sont évalués à plus de 120 millions d'euros, dont près de 22 millions d'utilisation: soit 440 millions d'euros.

Airbus Group a effectué, pour sa part, plus de 130 millions d'euros de dépenses propres, auxquelles peuvent être ajoutés plus de 120 millions d'euros pour les études du futur drone MALE. Il a par ailleurs eu à s'acquitter de 18,5 millions d'euros de pénalités. Soit près de 270 millions d'euro de sa poche.

 

Une opération mal évaluée

Lors du lancement de l'opération, les difficultés de réalisation ont été "mal évaluées, notamment en matière de navigabilité ou de capacité de vol". Airbus Group "n'a pas tenu ses engagements, notamment en termes calendaires". En revanche, le rapport du ministère estime que "les équipements livrés apportent aujourd'hui une capacité essentielle aux forces, et leur intégration dans la chaîne opérationnelle est maintenant bien maîtrisée". Les auteurs du rapport reconnaissent que certaines étapes de la réalisation du drone "ont connu des problèmes difficilement prévisibles".

Pour autant, en dépit des difficultés de ce programme, l'emploi du drone Harfang a été "décisif en Afghanistan et au Mali". Ces drones ont pu être employés en opérations extérieures, notamment en Afghanistan dès 2009, avant même d'avoir toutes leurs capacités. Celles-ci ont été apportées par la suite et utilisées au Mali. Ils ont montré une "excellente intégration dans la manoeuvre aérienne et terrestre".

 

Et maintenant ?

Comme toujours, en matière de drones, le futur est toujours compliqué en France. Des travaux sont actuellement menés pour maintenir jusqu'en 2017 le système Harfang actuel. Au-delà, il est prévu que la capacité de drones MALE soit assurée par des systèmes Reaper (un premier système a été acheté et livré en 2013) et les réflexions se poursuivent pour les drones futurs. "Quant au système pérenne qui doit lui succéder, espéré depuis 2001 et aujourd'hui envisagé pour 2020, il risque de connaître également un glissement de calendrier de plusieurs années, notamment s'il s'agit de développer un drone de conception européenne", estime le rapport.

La France dispose dans ce domaine de capacités industrielles certaines, estime le rapport, mais il lui est difficile d'y rester présente face aux Américains. "Il lui faut néanmoins tenter de poursuivre cette activité, notamment dans le domaine des équipements pour lequel les industriels ont des compétences reconnues", précise-t-il. Pourtant, les drones, qui sont de plus en plus indispensables aux armées, ont un intérêt opérationnel essentiel. "Les drones ne remplacent pas des capacités existantes mais apportent des capacités nouvelles (notamment l'endurance longue de 24 heures et la surveillance à distance de la base)". Enfin, "si l'on compare les missions effectuées avec celles d'un avion de combat, le coût global d'une heure de surveillance d'un drone est bien moins coûteux: celui-ci assure en effet une permanence longue et ne nécessite pas d'avion ravitailleur pour effectuer le transit".

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10 octobre 2014 5 10 /10 /octobre /2014 06:20
Much Ado about "Killer" Drones


9 Oct.,2014 by Lazarus - informationdissemination.net


The recent successful test of a swarm of U.S. small boats for escort duties has again triggered questions regarding the use of “killer” drone vehicles. Antiwar groups, legal scholars and even the United Nations have taken strong stands against the use of so-called “killer robots” by the United States. Although many of these protests stem from the use of unmanned aerial vehicles (UAV’s), there is a developing general unhappiness with drone units. This is unfortunate since unmanned vehicles represent the best means for the U.S. and other Western states to increase their military capabilities against the threat of rising or rouge states bent on aggressive activity. Much of the public mistrust of drones has been shaped by science fiction stories and films rather than science fact. Drones have in fact been a distinct part of warfare since the development of mine. Finally, while platforms with unfortunate names like the Predator and Reaper have become the demon “poster children” of drone warfare, there are many other well developed and controlled offensive and defensive applications of drone units that cannot be ignored by U.S. and Western military planners.

 

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9 octobre 2014 4 09 /10 /octobre /2014 12:20
Unmanned-Aircraft Industry Divided Over New Name for Drones: Reports


 

MOSCOW, October 9 (RIA Novosti)

 

The unmanned aircraft industry rejects the term "drone" claiming it is technically inaccurate, however companies are divided on a new name for the devices, The Wall Street Journal reported Thursday.

"We need another name for it, but I'm not sure what that new name should be," venture-capital executive Zack Porter was quoted as saying by WSJ.

According to the newspaper, unmanned-aircraft developers believe the term "drone" gives the devices a poor militaristic reputation. Alternative names include UAV (unmanned aerial vehicle), UAS (unmanned aircraft system), RPA (remotely piloted aircraft), RPAS (unmanned aircraft system), or simply, robot. One patent attorney, John Mulcahy, has suggested the term "crone" for commercial drones.

Michael Toscano, chief executive for the Association for Unmanned Vehicle Systems International said the term drone makes most people think "weaponized, hostile, large and autonomous," and prefers the name UAS since it encompasses the entire system, including "the technology on the ground with the human at the controls," according to The Wall Street Journal.

However, the former general counsel of the unmanned aircraft trade group, Ben Gielow rejected any name using the misleading term "unmanned" and stated, "We have to stop defining the technology by what it's not. They used to call the car a horseless carriage," the newspaper reported.

Some companies have settled on names for their devices, like Wasp, TigerShark, Predator and Reaper, while others have created names based on how many propellers they have. The US military is also divided on the matter with the Navy using UAV, the Coast Guard calling them UAS, and the Air Force calling them RPA. The Federal Aviation Administration and Congress have agreed upon the name of UAS for the devices in legislation and official documents.

There are others in the industry that are not opposed to the word, claiming more people are familiar with the term "drone" than any other name. According to data from Google Trends, searches for "drone" exceed any alternative names and has remained the most popular name for the devices since 2010.

The name "drone" was first coined in 1935 by the British Royal Navy who began using unmanned aircraft as aerial targets for shooting practice following developments in the United States. The United Kingdom named its device the Queen Bee which led to the Navy calling its targets "drones," the term for male bees. Evidence of the media using the term has been traced to 1946 when Popular Science reported on the devices.

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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 07:45
Paramount to develop mid-size UAV as it grows unmanned product range

 

07 October 2014 by Guy Martin - defenceWeb

 

Paramount Advanced Technologies will start development work on a light medium-altitude long-endurance unmanned aerial vehicle (MALE UAV) next year, after expanding its unmanned aircraft range with the recently launched Mwari and Roadrunner platforms.

 

The new UAV will weigh between 500 and 600 kilogrammes and will have an endurance of up to 24 hours, Paramount officials said after unveiling the Mwari and Roadrunner small UAVs at the Africa Aerospace and Defence (AAD) 2014 exhibition at Air Force Base Waterkloof.

 

The 25 kg Mwari is based on a scaled down model of the Advanced High Performance Reconnaissance Light Aircraft (AHRLAC). Paramount used experience gained with its quarter scale unmanned flying AHRLAC model to produce the Mwari.

 

Jan Vermeulen, Business Development at Paramount Advanced Technologies, said that the company finished producing two Mwari prototypes a couple of months ago ahead of the type’s launch at AAD. He added that several potential customers have expressed interest in the type, which features a sensor turret in the nose. Endurance is four hours and line of sight range is 40 km.

 

The new Roadrunner UAV was designed with a rhomboid wing for high strength and compact dimensions – wingspan of the 15 kg aircraft is 1.5 metres. Vermeulen said the configuration gives a high speed range, making it less susceptible to bad weather. The UAV will be available in a variety of different engine configurations for speeds ranging from 70 to 300 km/h depending on whether petrol, electric or jet engines are used. An electric engine will give an endurance of 45 minutes while a fuel engine will provide a range of around two hours. Vermeulen said the aircraft has flown with turbine, propeller and ducted fan engines and that the next stage is to fly with a petrol propeller engine.

 

The Roadrunner is launched by catapult and either stalled and landed on its belly or caught via a net. Sensors include an infrared camera and electro-optical sight. The aircraft will be ready for production around January 2015, according to Paramount.

 

Also showcased at AAD 2014 were some of Paramount Advanced Technologies’ other UAVs, which were developed from experience gained by the acquisition of Advanced Technologies and Engineering (ATE). The 5 kg Civet tactical UAV is powered by an electric motor giving an endurance of one hour and a line of sight range of 15 km. The aircraft is already in service in Namibia’s national parks and with surveying companies. The Civet, Roadrunner and Mwari all share the same payload.

 

Vermeulen said that that Paramount Advanced Technologies acquired 30 years of UAV experience from ATE and is aggressively expanding its unmanned aircraft systems portfolio. An important part of the company’s strategy is to develop unique software and payloads that enhance platform effectiveness, such as software that can automatically detect and track targets and notify the operator, so he does not have to look at his screen all the time.

 

Paramount aims to integrate its unmanned vehicles with its various air, land and sea products for a better combined solution. Its recently launched Robotics division is exploring unmanned ground, sea and subsurface vehicles using common hardware and software. On the ground vehicle side, Paramount is exploring the use of unmanned vehicles for threat detection with the possibility of having a robotic sensor/prodder to deal with improvised explosive devices.

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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 06:40
Ukraine/mission de l'OSCE: 40 nouveaux observateurs arriveront dimanche

 

MOSCOU, 7 octobre - RIA Novosti

 

Quarante observateurs se rendront dimanche en Ukraine pour compléter la mission spéciale d'observation (MSOU) déployée dans ce pays par l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe, a annoncé mardi l'OSCE sur sa page Twitter.

 

"Le nombre d'observateurs de la MSOU va bientôt atteindre 500 personnes. Nous attendons dimanche l'arrivée de 40 nouveaux observateurs", lit-on dans le message Twitter.

 

Le président ukrainien Piotr Porochenko a antérieurement demandé à l'OSCE de porter le nombre d'observateurs internationaux à 1.500 personnes.

 

Créée pour superviser la situation en Ukraine, en particulier dans l'est du pays, la mission de l'OSCE a commencé ses activités en mars dernier. Le chef de la MSOU, Ertugrul Apakan, a déclaré mi-septembre qu'au cours des deux prochains mois, les effectifs de la mission atteindraient le nombre de 500 personnes prévu par le mandat.

 

photo OSCE SMMU

photo OSCE SMMU

Selon M. Apakan, la nécessité d'élargir la mission de l'OSCE en Ukraine résulte des nouvelles tâches fixées à ses membres en matière de supervision du cessez-le-feu. Il s'agit notamment de nouveaux projets: l'utilisation de drones d'observation et le monitorage des zones de sécurité mises en place le long de la frontière russo-ukrainienne.

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 17:50
Ukraine : des drones français et allemands pour surveiller le cessez-le-feu

Le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, a assuré que la France et l'Allemagne allaient « tout faire » pour que cessent les violations de la trêve entre l'armée ukrainienne et les prorusses.

 

05.10.2014 Le Monde.fr avec AFP et Reuters

 

La France et l'Allemagne vont envoyer « dans les prochains jours » des drones pour surveiller le respect du cessez-le-feu dans l'est de l'Ukraine, a annoncé le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, dimanche 5 octobre.

 

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