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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 13:20
Drones: le DoD diffuse un document stratégique pour les années 2013-2038

 

29.12.2013 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense

 

En 25 ans, il peut s'en passer des choses... Et la "feuille de route" (roadmap) diffusée en début de semaine par le DoD sur les "unmanned systems" pourrait s'avérer prématurément obsolète. Ce qui est sûr, c'est que les Etats-Unis, entre 2014 et 2018, vont investir près de 24 milliards de dollars dans les drones UAS (air), UGS (terre), UMS (mer)

Pour autant, elle établit un point de situation qui n'est pas sans intérêt. Exemple: il dresse l'inventaire des drones aériens mis en œuvre par le DoD (cliquer sur l'image ci-dessous pour l'agrandir):

 

drones us inventaire.jpg

Cette riche feuille de route dresse aussi l'inventaire des drones terrestres et navals, ce qui n'est pas sans intérêt aussi puisque l'attention est trop souvent focalisée sur le domaine aérien où l'action des drones armées continue d'alimenter le débat éthique ou politique. Enfin, elle aborde la question de la logistique et de la formation des personnels militaires.

Pour accéder à ce riche document en anglais, cliquer ici.

A noter: "Drones-tueurs et éliminations ciblées. Les Etats-Unis contre Al-Qaïda et ses affiliés" par Stéphane Taillat, Focus stratégique n° 47, octobre 2013 . Pour consulter ce texte, cliquer ici ou ici.

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23 décembre 2013 1 23 /12 /décembre /2013 14:55
La France dispose désormais de deux drones américains Reaper

Les deux drones de surveillance américain Reaper seront acheminés vers le Sahel, plus exactement au Niger. - photo Armée de l'Air

 

20/12/2013 Michel Cabirol- LaTribune.fr

 

La Direction générale de l'armement a reçu mercredi aux Etats-Unis les deux premiers drones de surveillance américains Reaper dont l'achat a été décidé au printemps par le ministère de la Défense.

 

La Direction générale de l'armement (DGA) a procédé mercredi à la réception du premier "système français" de drones de surveillance américain Reaper, composé de deux vecteurs aériens, d'une station au sol et de la documentation nécessaire à sa maintenance, a-t-elle annoncé jeudi. "La phase suivante c'est le transport vers le Sahel", plus exactement au Niger, où les deux drones seront acheminés directement, a souligné Antoine Torres, ingénieur à la délégation à l'armement.

 

Des essais en vol du premier système ont eu lieu ces deux dernières semaines en Californie et au Texas. C'est "l'aboutissement d'un processus d'acquisition", conduit notamment grâce à "la réactivité des autorités américaines", a souligné la DGA.

 

Les Reaper en mission au Sahel

 

"Les drones dont nous avons fait l'acquisition seront en fonction à la fin de cette année en Afrique, au Sahel, c'est là leur principale mission", a assuré pour sa part jeudi matin le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, sur Europe 1. Afin de répondre au besoin opérationnel immédiat, deux drones Reaper ont été commandés pour être déployés en opérations et "compléter l'action de nos Harfang très sollicités sur le théâtre malien puisqu'ils viennent récemment de franchir la barre des deux mille heures de vol depuis leur engagement le 17 janvier dernier", avait expliqué début octobre le chef d'état-major de l'armée de l'air, le général Denis Mercier.

 

Les drones MALE (moyenne altitude longue distance) sont des appareils de reconnaissance sans pilote. Une fois déployés au Sahel, ces deux premiers Reaper fabriqués par la société américaine General Atomics renforceront la capacité de surveillance et de renseignement des forces françaises déployées en Afrique. "Au cours des prochains mois, l'armée de l'air et la DGA assureront la montée en puissance de la capacité, le soutien du système dans les meilleures conditions et l'amélioration de la chaîne technique d'exploitation du renseignement recueilli", a précisé la DGA. "Le Reaper constitue ainsi une capacité indispensable dans l'attente d'un hypothétique drone européen", avait rappelé le général Mercier.

 

La France autonome avec les Reaper ?

 

Avec les Reaper, la France doit composer avec les Etats-Unis. "L'important pour notre autonomie, dans l'immédiat, était de pouvoir choisir librement le satellite que nous utiliserons pour nos deux premiers Reaper. Ce point essentiel est acquis. Certes, le personnel de maintenance de ces appareils est pour l'instant fourni par les États-Unis, mais il n'aura pas accès aux cabines d'opérateurs sans notre autorisation", avait expliqué le chef d'état-major de l'armée de l'air. En outre, la France souhaite qu'une "étude soit conduite sur la francisation ou l'européanisation de capteurs, de moyens de transmission et d'outils de sécurisation des communications ; cette proposition n'a pas encore été acceptée", avait souligné début octobre le délégué général pour l'armement (DGA), Laurent Collet-Billon.

 

Le général Denis Mercier avait rappelé en octobre que "la chaîne de pilotage du drone et celle de pilotage des capteurs sont en effet imbriquées dans le Reaper Block 1, mais ces appareils pourront être rétrofités à partir de 2017 dans une configuration identique à celle du Reaper Block 5, ce qui permettra la francisation - ou, plutôt, l'européanisation - de ces capteurs". Le Reaper Block 5 se caractérise par des chaînes distinctes et une capacité d'atterrissage automatique. Et de rappeler que la France réfléchissait à l'européanisation des Reaper en lien avec l'Italie et le Royaume-Uni. "Nous pourrons y associer d'autres pays qui se doteraient du même type de drones", avait ajouté.

 

Pour le général Mercier, l'autonomie complète des plans de vol des Reaper "un programme de travail qui comporte trois volets : d'abord, l'autonomie d'emploi des matériels, dans la lignée des enseignements de nos opérations au Sahel. Ensuite, l'intégration dans l'espace aérien européen, selon une démarche dont l'efficacité suppose, à mon sens, d'avancer de manière pragmatique et bilatérale, en débutant par exemple avec nos partenaires italiens. Enfin, nous pourrons travailler dans le futur à l'intégration de capteurs européens".

 

La France au Mali et en Centrafrique

 

La France conduit simultanément deux opérations militaires, au Mali et en Centrafrique. Elle dispose en matière de renseignement de drones Harfang en bout de course et l'intervention au Mali a montré l'insuffisance de ses capacités dans ce domaine.

 

Jean-Yves Le Drian avait annoncé en juin que Paris voulait acheter au total douze drones Reaper aux Etats-Unis, une acquisition évaluée par ses services à 670 millions d'euros.

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23 décembre 2013 1 23 /12 /décembre /2013 07:45
Les deux premiers Reaper français en cours d'acheminement au Sahel

 

19.12.2013 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

La Direction générale de l'armement a reçu mercredi aux Etats-Unis les deux premiers drones de surveillance américains Reaper dont l'achat a été décidé au printemps par le ministère français de la Défense. 

Ce premier "système français" est composé de deux vecteurs aériens, d'une station au sol et de la documentation nécessaire à sa maintenance. 

Ces deux "orbites permanentes de surveillance armables et multi-capteurs" (OPSAM, en dronelangue, et drone en français de la rue!) seront affectés à l'escadron Belfort de Cognac dont six pilotes ont été déclarés opérationnels sur Reaper en novembre.

Les deux drones d'observation (ils ne seront pas armés) seront acheminés directement au Sahel (à Niamey), ainsi que l'a confirmé ce jeudi matin le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, sur Europe 1: "Les drones dont nous avons fait l'acquisition seront en fonction à la fin de cette année en Afrique, au Sahel, c'est là leur principale mission". Ils viendront renforcer les Harfang dont l'autonomie limitée ne permet pas des missions en RCA, par exemple.

Les deux premiers Reaper français en cours d'acheminement au Sahel
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22 décembre 2013 7 22 /12 /décembre /2013 21:45
photo UK MoD

photo UK MoD

 

December 18, 2013 By: John Ingham - express.co.uk

 

The Royal Navy [Dec. 17, 2013] launched its first drone in an operational theatre as it stepped up its campaign against Somali pirates.

 

The Scaneagle unmanned aerial system (UAS) was launched from the Royal Fleet Auxiliary Cardigan Bay in the Gulf and flew to a height of up to 19,500ft.

The UAS was then brought back by a pilot on the ship using remote controls after it had acted as an eye in the sky over the horizon.

The Scaneagle is one of two in a £30million deal with Boeing and each UAS will fly up to 300 hours a month.

The UAS is catapulted off the back of ships and then recovered by flying them back to be caught by a wire extended over the side. It is expected to be used shortly to spot pirates threatening shipping in the Indian Ocean.

Details emerged as Defence Secretary Philip Hammond threw open the RAF’s secret base for controversial drones – RAF Waddington in Lincolnshire.

RAF crews here and at the USAF base in Creech, Nevada, fly the Reaper on surveillance and attack missions over Afghanistan.

The 35ft long remotely piloted air system can unleash weapons on insurgents with the trigger being pulled thousands of miles away.

In 54,000 hours of flying over Afghanistan it has fired 459 weapons, usually Hellfire missiles in support of Coalition troops under attack from insurgents.

The drones are controversial and have been branded robot killers.

But Mr Hammond insisted that their crews are subject to the same rules of engagement and legal controls as the pilots of fighter bombers such as Tornados and Typhoons.

He said: “In well over 400 lethal strikes by British UAS’s we know of just one strike where sadly there were civilian casualties.

“But civilian casualties also result from strikes by manned aircraft. Our challenge is not to guarantee that they never happen but to minimise that risk to as low as possible.”

He added: “UAS’s are certainly part of the future. We expect they will be part of the British posture alongside manned aircraft. No-one knows what the balance will be between manned and unmanned systems.”

Mr Hammond also said there are moves to open up European air space to UAS’s with one expert predicting that the market in the UK alone could be worth up to £20billion within six years.

Mr Hammond, who said possible civilian uses include maritime search and rescue and border protection, said he expected progress in UAS’s being licensed to use European air space.

At RAF Waddington the full range of UAS’s used by the military was on display from the Army’s tiny Black Hornet mini helicopter to Watchkeeper which has a 33ft wing span.

The Black Hornet weighs just 16grammes, fits in the palm of a man’s hand and can be put up by soldiers to see what the enemy is up to in their immediate area.

Watchkeeper, which will enter service with the Royal Artillery next year, can stay airborne for 16 hours and relay information to troops on the ground day and night.

Meanwhile the Royal Navy revealed that its Scaneagle has had its first trial in an operational theatre.

royal navy, pirates, somlaia, hms cornwallDrones will help the Navy carry out more raids on pirates like this one by marines from HMS Cornwall [PA]

Commander Bow Wheaton, 46, from Dorking, said: “It was flown for the first time in theatre today and is due to enter service next month.

“Skippers get an unprecedented situation report from this eye in the sky.

“It lets us look for the enemy before they see us. It could be used to look for pirates, to spot a threat to your ship or to look ahead to a choke point where the enemy may have assembled small craft loaded with explosives. This would let you do something about it or avoid it.

“And at night it would help the skipper decide which lights out there are friendly – otherwise he is just looking at dots on a radar screen.”

The drones provide live video footage of incredible detail to commander son the ground, even letting them see what weapons the enemy are carrying.

One RAF Intelligence Analyst, who would only give his name as Corporal Billy, said: “There have been occasions when we have spotted disturbed earth which has turned out to be where insurgents have planted an improvised explosive device. Finding that is very fulfilling.

“Every time we have fired a missile we have been supporting our guys on the ground who more often than not were under fire. We are helping to save their lives which is just as fulfilling as spotting an IED.”

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22 décembre 2013 7 22 /12 /décembre /2013 17:30
New UAV Operators Get Their Wings

 

22.12.2013 Noa Fenigstein and Naomi Tzoref - iaf.org.il

 

Last Wednesday evening, a graduation ceremony for the graduates of the Unmanned Aerial Vehicle Operator Course was held at the Palmachim airbase, in the presence of the Commander of the IAF, Major General Amir Eshel. At the ceremony, another generation of operators received their operator wing pins and their officer insignia and made their way to the UAV squadrons of the force. "The Israeli UAV Division is considered the best UAV Division in the world"

 

The graduation ceremony for the UAV Operator Course was held last Wednesday evening at the Palmachim airbase, in the presence of the Commander of the IAF, Major General Amir Eshel, and was led by the commander of the base, Brigadier General Yoav Lior, and the commander of the Tel-Nof airbase, Brigadier General Tomar Bar. At the ceremony, officer insignia and operator "wings" were presented to the graduates. At the end of the ceremony, as per tradition, the graduates threw their officer hats high in the air.

 

Along the parade grounds, different UAV Division vehicles were put on display. The moment the new operators made an entrance, a "Heron" plane circled the sky, a sight that excited the guests. "The UAV division constitutes an important part of the connection between the air and the ground", said Commander of the IAF in his speech to the graduates. "In the frenetic and turbulent environment in which we find ourselves, the key to victory lies in the combining of forces and teamwork. The operators of the division bear much responsibility and they do so with honor. Nowadays, the Israeli UAV Division is considered the best UAV division in the world".

 

The new UAV operators in the IAF recently completed a seven month period of study of advanced UAVs at the UAV School at the Palmachim airbase. Only soldiers whose participation in the pilot course has been suspended for at least a year may join the course, so that they receive their platoon commander pin before their admission into the course at the Palmachim airbase. Now, at the end of the training period, the graduate operators will be placed in one of the UAV squadrons of the force where they will carry out visual reconnaissance missions for the IAF and all other security branches.

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22 décembre 2013 7 22 /12 /décembre /2013 09:55
Un des deux drones Reaper réceptionné par la DGA

Un des deux drones Reaper réceptionné par la DGA

 

20/12/2013 DGA

 

Six mois après la décision du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian d’acquérir en urgence deux drones Reaper, la direction générale de l’armement (DGA) a procédé dans la nuit du 18 au 19 décembre 2013 à la réception du système français. C’est un jalon fondamental avant son déploiement opérationnel au Sahel.

 

Le système sera mis dans les prochains jours à disposition du transporteur mandaté pour le livrer à l’armée de l’air au Sahel. Ce système est composé de deux vecteurs aériens, d’un segment sol et des équipements nécessaires à sa maintenance et à sa mise en œuvre. Il offrira aux forces françaises déployées en Afrique une capacité tout temps de renseignement, de surveillance.

 

La réception a été conduite par la DGA aux Etats-Unis, avec l’US Air Force et les équipes de l’industriel General Atomics. Des essais en vol et au sol des drones et de la station sol ont été réalisés pendant deux semaines à Grey Butte en Californie et dans les locaux de Raytheon à Mc Kinney, Texas, pour la boule optronique. L’équipe de programme, le service armement de l’ambassade de France, le service qualité et une équipe de spécialistes dans le domaine des drones, des essais en vol, de l’optronique et des moteurs, ont ainsi été mis à contribution.

 

Ce travail est l’aboutissement d’un processus d’acquisition FMS (ForeignMilitary Sales) conduit par les services du ministère en moins de 6 mois, ce qui a été rendu possible par une très grande réactivité du côté des autorités américaines. Il aura permis de préparer au mieux la mise en œuvre technique du système avant sa livraison aux forces (préparation de l’autorisation de vol, connexion aux systèmes d’analyse du renseignement et aux satellites, analyse de la compatibilité électromagnétique avec les autres systèmes d’armes français, conformité réglementaire, etc.). En parallèle de ces opérations, l’armée de l’air a pu former ses opérateurs Reaper aux Etats-Unis, et ce depuis cet été.

 

Au cours des prochains mois, l’armée de l’air et la DGA assureront la montée en puissance de la capacité, le soutien du système dans les meilleures conditions et l’amélioration de la chaîne technique d’exploitation du renseignement recueilli.

La DGA réceptionne le système Reaper françaisLa DGA réceptionne le système Reaper français
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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 21:55
Les lauréats du prix armée de l’air 2013

 

18.12.2013 CESA

 

Prix Clément Ader : Monsieur Rémi Laplace est Docteur en informatique, doctorat soutenu à l’université de Bordeaux 1 sous la direction du professeur Serge Chaumette. Ses domaines de recherche sont la flotte de terminaux mobiles, réseaux DTN, les essaims de drones et la validation des preuves formelles d’algorithmes.

La thèse de M. Laplace, Applications et services DTN pour flotte collaborative de drones, porte sur la mise en place d’une flotte de drones et le portage sur celle-ci d’applications distribuées utilisant des communications asynchrones, sans intervention du sol. L’étude concerne les drones à voilure tournante. L’objectif de ce travail est de montrer la faisabilité de la mise en essaim d’une flotte coopérative de drones autonomes communiquant par échanges de messages de type broadcast asynchrone et de référencer les problèmes techniques, humains et réglementaires soulevés par ce dispositif.

 

Prix René Mouchotte : Monsieur Kévin Martin est titulaire d’un master 2 professionnel « études européennes et internationales » spécialité "enjeux et dynamiques de l’intégration européenne". Dans le cadre de ses études, il a réalisé des stages au sein du groupe Safran-Snecma au département des affaires IES (information économique et stratégique) ainsi qu’au sein de la fondation pour la recherche stratégique (FRS) au pôle "industries de défense".

A travers son mémoire, La coopération des Etats et des industries aéronautiques européennes de la Défense à travers les démonstrateurs technologiques U.C.A.S, l’auteur se propose d’appréhender les coopérations européennes futures sur le segment des avions de chasse et plus particulièrement des drones de combat : il examine ainsi en quoi les programmes de démonstrateurs technologiques aéronautiques représentent un défi pour la construction de la politique et de l’industrie européenne de défense. Le mémoire dresse dans ce cadre un état des lieux de la coopération de recherche en matière de défense à travers les programmes aéronautiques. Il analyse ensuite plus précisément les démonstrateurs technologiques.

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 13:50
Unmanned aerial systems on show

A soldier with a Desert Hawk unmanned aerial system (library image) [Picture: Sergeant Brian Gamble, Crown copyright]

 

18 December 2013 Ministry of Defence and Defence Equipment and Support

 

The Ministry of Defence has, for the first time, opened the doors to its unmanned aerial systems (UAS) control centre, based in the UK.

 

Pictures and footage released today, Wednesday 18 December, show the high-tech operations room at RAF Waddington, where members of 13 Squadron remotely operate the RAF’s Reaper aircraft in Afghanistan.

Reaper is just one of a range of UAS, including remotely-piloted air systems, operated by UK armed forces, providing vital, lifesaving intelligence, reconnaissance and surveillance on operations.

Showing this work is a key way to dispel some common myths about the role of the equipment, which UK forces use predominantly in Afghanistan.

During a visit to RAF Waddington, Defence Secretary Philip Hammond viewed the full range of current and future equipment, including:

  • Desert Hawk (Army)

  • Black Hornet Nano (Army)

  • Tarantula Hawk (Army)

  • Watchkeeper (Army)

  • ScanEagle (Royal Navy)

Philip Hammond speaks with Royal Navy Commander Bow Wheaton
Defence Secretary Philip Hammond speaks with Royal Navy Commander Bow Wheaton at RAF Waddington [Picture: Senior Aircraftman Blake Carruthers, Crown copyright]

Mr Hammond also spoke to a Royal Artillery fire support team commander recently returned from Afghanistan who spoke of the benefits the ‘eyes in the sky’ can provide for troops on the ground.

Mr Hammond said:

Vital to our efforts to protect our forces and the people of Afghanistan, this battle-winning technology allows us to understand the situation on the ground more clearly, develop better intelligence, and precisely strike, within our rules of engagement, those who threaten or hurt the people we are protecting.

Much of the criticism of unmanned aerial systems is based on misunderstanding. This event provides a great opportunity to better inform people about these lifesaving assets and their variety of purposes.

Speaking at the event, Air Vice-Marshal Philip Osborn, Joint Forces Command Capability Director, praised unmanned aerial systems’ ability to provide ‘persistent surveillance of enemy positions without putting our servicemen and women at unnecessary risk’. He said:

In today’s operational environment, unmanned and remotely-piloted air systems are increasingly vital to keep one step ahead of the enemy, and to save military and civilian lives.

Highly trained and experienced personnel are at the heart of the capability, and human oversight and control is always paramount. This is a capability just like every other across defence; it has skilled and motivated people at its core, people who are in charge of technology and use it in strict accordance with the law.

Viewing the inside of a Reaper control cabin, the Defence Secretary was able to see how it is guided and controlled at all times by a team of highly trained and skilled people. Pilots, sensor operators and analysts all make decisions in real-time, exactly like the crew of a traditional aircraft.

In over 54,000 hours of operations, the UK’s Reaper, the only armed system used by British armed forces, has fired just 459 precision weapons.

When a precision strike capability is required from RAF Reaper aircraft by ground commanders this is always in accordance with international humanitarian law and the law of armed conflict, and is governed by strict rules of engagement; exactly the same as manned aircraft.

UK military unmanned aerial systems
Reaper remotely-piloted air system
An RAF Reaper remotely-piloted air system at Kandahar Airfield in Afghanistan (library image) [Picture: Corporal Mark Webster, Crown copyright]
Black Hornet
Black Hornet, a nano unmanned aerial system operated by the British Army (library image) [Picture: Sergeant Rupert Frere, Crown copyright]
ScanEagle
ScanEagle is an unmanned aerial system operated by the Royal Navy (library image) [Picture: Copyright Boeing Defence UK]
Hermes 450
A Hermes 450, operated by the British Army, at Camp Bastion in Afghanistan (library image) [Picture: Copyright Thales UK]
Desert Hawk
A soldier launches a Desert Hawk unmanned aerial system during an exercise in Kenya (library image) [Picture: Corporal Ross Fernie, Crown copyright]
T-Hawk
T-Hawk (Tarantula Hawk), a micro unmanned aerial system operated by the British Army (library image) [Picture: Andrew Linnett, Crown copyright]
Watchkeeper
A British Army Watchkeeper unmanned aerial system during trials in the UK (library image) [Picture: Peter Russell, Crown copyright]
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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 18:25
Check-up avant le décollage

Check-up avant le décollage

 

17/12/2013 Marine nationale

 

Le patrouilleur de haute mer L'Adroit est revenu mi-décembre 2013 d’une semaine d’essais en Méditerranée du drone hélicoptère S-100. La Marine a planifié l’acquisition de drones multi capteurs à voilure tournante dans le cadre du projet de système de drone aérien pour la Marine (Projet SDAM). Les essais conduits depuis L'Adroit s’inscrivent ainsi dans une démarche incrémentale, c’est-à-dire en évolution permanente, prenant en compte la maîtrise des nouvelles technologies et le retour d’expérience.

 

En présence d’ingénieurs de DCNS, de Schiebel (le constructeur du drone) et de représentants de la DGA, le détachement drone du CEPA 10S a testé en vol une mise à jour majeure du logiciel de contrôle du drone, ainsi que son début d’intégration au système de combat de L’Adroit.

 

Ces essais sont très précieux aux acteurs de l’expérimentation du drone, qui ne peuvent actuellement le mettre en œuvre que depuis un navire de la Marine nationale en mer équipé du dispositif radio permettant la communication du pilote avec le drone. L’Adroit, grâce à sa mâture unique, sa plate-forme et son hangar hélicoptère, est idéal pour mener de telles expérimentations.

 

Collaboration du détachement drone, de la DGA, et des industriels

Collaboration du détachement drone, de la DGA, et des industriels

Le drone prêt à décoller sur la plate-forme hélicoptère de l’Adroit

Le drone prêt à décoller sur la plate-forme hélicoptère de l’Adroit

 

«Grâce à sa caméra optique et sa grande autonomie, il permet de voir au-delà de l’horizon, et augmente beaucoup le potentiel de patrouille que possède le patrouilleur», commente le capitaine de frégate Régnier, commandant de l’équipage A de L’Adroit qui apprécie ce drone en tant que nouvelle source d’information qui peut être corrélée aux autres senseurs du bateau. Un retour d’expérience conforté par le capitaine de frégate Grozel, commandant du détachement drone: «Lors de la mission de surveillance des frontières de l’Union européenne (FRONTEX) effectuée par l’équipage B en septembre, L’Adroit a surveillé une zone double de celle qu’il aurait couverte sans le drone».

 

Du patrouilleur au porte-avions, en passant par la frégate et le bâtiment de projection et de commandement, le système de drone aérien pourra être mis en oeuvre à partir de toute unité de la Marine disposant d’un pont d’envol. Un système de drones embarqués renforce la cohérence entre moyens de détection et d’action des bâtiments et assure une certaine permanence de la surveillance tout en préservant les moyens pilotés pour les interventions à forte valeur ajoutée.

 

Le S-100 aux côtés de l’Adroit

Le S-100 aux côtés de l’Adroit

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 13:50
photo EDA

photo EDA

Claude-France Arnould, la directrice exécutive de l'Agence européenne de défense (AED), estime que l'Union européenne risque de perdre son industrie de défense si elle ne s'engage pas rapidement dans des programmes de coopération militaire concrets.

 

17-12-2013 par Emmanuel Jarry - nouvelobs.com

 

PARIS (Reuters) - L'Union européenne risque de perdre son industrie de défense si elle ne s'engage pas rapidement dans des programmes de coopération militaire concrets, déclare la directrice exécutive de l'agence européenne chargée de coordonner ces efforts.

 

Les dirigeants européens ont prévu de débattre de leur politique de défense jeudi, lors de l'ultime Conseil européen de 2013, ce qui ne s'est plus vraiment produit depuis 2005, explique Claude-France Arnould dans une interview à Reuters.

 

Les ministres de la Défense des pays membres de l'AED (les Vingt-Huit moins le Danemark) se sont accordés en novembre sur le lancement de quatre programmes de coopération prioritaires pour l'UE : ravitaillement en vol, drones de reconnaissance, communications par satellite et cyberdéfense.

 

Ils ont invité la Commission européenne à renforcer dans ces domaines les synergies entre les programmes civils et militaires pour s'appuyer sur le développement de technologies duales.

 

La patronne de l'Agence européenne de défense (AED), un organisme de 120 experts qui fête ses dix années d'existence, attend du Conseil européen "l'impulsion politique" nécessaire.

 

L'idée d'origine de l'AED est de mutualiser les moyens pour éviter que de nombreux pays lancent les mêmes programmes - de blindés, d'avions de combat ou d'hélicoptères - au moment où les budgets de la défense se réduisent, seuls la France, la Pologne et le Royaume-Uni étant proches, dans l'Union européenne, de l'objectif d'y consacrer environ 2% de leur PIB.

 

Claude-France Arnould souhaite que l'on se concentre désormais sur les programmes d'avenir dans l'espoir d'enclencher une dynamique vertueuse dans les autres domaines.

 

"Nous attendons un engagement des chefs d'Etat et de gouvernement sur les quatre programmes", explique-t-elle. "Pour qu'ils deviennent une réalité, des arbitrages nationaux doivent être faits en ce sens et les ressources allouées."

 

PRÉPARER L'AVENIR

 

Elle ne cache pas que l'évaluation de leur coût et de leur financement constitueront une difficulté et un enjeu de la discussion mais récuse l'idée, défendue par la Commission européenne, qu'il soit possible de "faire plus avec moins".

 

"Personne ne peut sérieusement considérer que le contexte stratégique dans lequel nous sommes nous permet de réduire nos moyens de sécurité et de défense" dit-elle.

 

"Il y a un message très clair du partenaire américain : 'soyez capable de faire votre part en matière de défense et ne comptez plus sur nous pour le faire à votre place, c'est-à-dire pour fournir 80% des capacités de ravitaillement en vol ou de renseignement'", ajoute-t-elle.

 

Il ne s'agit pas d'ignorer la crise financière et ses conséquences mais de donner une priorité à la "préparation de l'avenir", fait encore valoir la directrice de l'AED.

 

Elle invite les dirigeants européens à tenir compte de l'apport de l'industrie de défense à l'emploi, la croissance et d'innovation : 750.000 emplois directs et indirects dans l'UE, dont la suppression serait une perte d'"autonomie stratégique".

 

"Le drame serait de se réveiller de la crise financière guéris mais en ayant perdu entre-temps toute notre capacité industrielle et technologique de défense", explique la directrice de l'AED, selon qui cela ne manquera pas de se produire "si l'on continue sur la tendance actuelle".

 

"Le cri d'alarme des industriels est vraiment à prendre tout à fait au sérieux. Pour certains d'entre eux, la solution c'est de quitter le secteur de la défense", ajoute-t-elle.

 

Le président exécutif d'EADS, Thomas Enders, a d'ores et déjà prévenu que le groupe aéronautique européen ne pourrait "faire l'économie (...) de suppressions d'emplois" dans ses filiales de l'industrie de défense.

 

Pour Claude-France Arnould, une condition du succès des programmes de coopération est qu'ils bénéficient à l'ensemble des Etats membres - une allusion à la Pologne, notamment, très soucieuse de l'avenir de sa propre industrie de défense.

 

INCITER À LA COOPÉRATION

 

Mais si la survie d'une industrie de défense européenne - et de l'idée d'Europe de la Défense - passe par cette coopération sur des programme concrets, "on n'y arrivera pas sans incitation financière", ajoute la directrice de l'AED.

 

Elle attend donc des Vingt-Huit qu'ils se penchent jeudi sur "les éléments financiers et fiscaux qui peuvent inciter à la coopération" et qu'ils donnent mandat au Haut représentant de l'UE pour les Affaires étrangères, à l'AED ou à la Commission européenne d'en étudier les modalités.

 

Selon Claude-France Arnould, les conclusions du Conseil européen pourraient évoquer un tel mandat.

 

Elle cite parmi les pistes envisageables des exonérations de TVA pour les programmes de coopération ou la constitution d'un "pool" pour l'acquisition d'équipements de défense.

 

"Il faut un vrai examen de ce qui est possible avec une clause de rendez-vous devant les chefs d'Etat et de gouvernement à aussi court terme que possible", ajoute Claude-France Arnould, selon qui il faut "faire travailler ensemble les communautés de la défense et des finances" sur ce dossier.

 

Cette coopération suppose aussi un effort de rationalisation et d'harmonisation des besoins des pays de l'UE qui, jusqu'ici, ne va pas nécessairement de soi - il y aurait ainsi 23 versions différentes de l'hélicoptère de transport NH90.

 

"Il ne faut pas recommencer ce qu'on a fait pour l'avion de combat, avoir trois rivaux européens (le Rafale français, le Gripen suédois et l'Eurofighter Typhoon) en compétition avec le F16 et le F35 américains", souligne Claude-France Arnould.

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13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 13:55
Drones : premier avis d'invasion dans le ciel

 

13.12.2013 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord. - Défense Globale
 

Pour la surveillance et les frappes, ce sont les militaires qui ont inventé les avions sans pilote. Du loisir aux services, l’utilisation civile du drone explose. Depuis la nuit des temps, l’homme a rêvé de voler comme l’oiseau, s’élever au-dessus des siens, approcher les dieux, d’Icare aux frères Wright en passant par Léonard de Vinci. Eh bien, ça ne l’amuse plus (ou presque). Désormais, il fait voler des robots et les contrôle avec un joystick de jeu vidéo. Ils seront bientôt autonomes, programmés. Nous entrons dans l’ère des drones.

Voici un extrait d'un dossier drones, paru aujourd'hui dans La Voix du Nord qui est à consulter ici.

 

ORIGINES

Rien de tel qu’une guerre, forcément sale mais diablement féconde pour le cerveau humain. Durant la Première Guerre mondiale, Georges Clemenceau lance une étude. Un prototype naît en 1923 ; les militaires nient son utilité… Les Allemands avancent avec les V1 et V2 durant la Seconde Guerre mondiale mais ces engins sont plus proches des missiles. Les Américains utilisent les premiers drones dans la guerre psychologique, larguant des tracts sur la Corée et le Vietnam.

ARMES MILITAIRES

Caméras (vidéo, infrarouge, thermique), systèmes d’interception (électromagnétique), bombes ou missiles embarqués, le drone (mâle de l’abeille en anglais) apporte du renseignement ou donne la mort. Sans risque ou presque, dans des environnements complexes pour l’homme.

Les États-Unis en font une utilisation intensive depuis 2004 et la guerre contre le terrorisme. La CIA est accusée de cibler de simples suspects et d’être peu regardante sur les dégâts collatéraux dans les zones tribales au Pakistan, en Afghanistan, au Yémen et en Somalie. The Bureau of Investigative Journalism, basé à Londres, tente de compiler les tirs et d’identifier les victimes : 380 frappes depuis 2004 au Pakistan pour un total estimé de 2 534 à 3 642 morts, dont 426 à 951 civils et 168 à 200 enfants…

DroneAirReaper2.jpgUn drone n’est pas mieux ou pire qu’une autre arme. On parle de déshumanisation, d'absence sur le terrain qui dérogerait aux règles de la guerre. Mais quid d'un missile ? A quelle distance et de quelle façon, juge-t-on humain et digne de tuer ? En revanche, une doctrine d’emploi (pour les drones armés) s’impose. 

Une étude d’un officier de l’armée de l’air française estime qu’il sera nécessaire d’introduire des « valeurs humaines » dans les drones de combat. Ceux-ci ne seront plus manœuvrés par des pilotes munis de joystick mais programmés pour décoller, voler (frapper ?) et atterrir seuls. Comme le démonstrateur de Dassault aviation, nEUROn qui vole depuis un an.

DroneAirReaper1.jpgLa France vient d’expédier les deux premiers des douze drones américains MQ-9 Reaper achetés à General Atomics (dans une version non armée) directement à Niamey au Niger en l’absence d’une réglementation autorisant le vol en France de tels engins. Les systèmes de combat aérien futur (SCAF) signeront un jour la fin des pilotes de chasse…

Sur ces deux clichés, on voit les six premiers pilotes français du MQ-9 Reaper, formés sur la base de Holloman au Nouveau-Mexique (photos armée de l'Air, en haut le cockpit). Ils appartiennent à l'escadron de drones 1/33 Belfort de la base aérienne 709 à Cognac.

USAGES CIVILS

Le potentiel civil, balbutiant, semble énorme. Une réglementation européenne est à l’étude, notamment pour les couloirs aériens et l’atteinte à la vie privée (les images mais aussi les données numériques happées au passage). Pour l’instant, la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) délivre au compte-gouttes les autorisations. Pour le loisir, les mini-drones s’apparentent à de l’aéromodélisme. Cadeau de Noël idéal.

DroneSNCF.jpgLes applications professionnelles vont exploser : agriculture pour la surveillance des cultures et l’épandage, sécurité publique pour la police et les pompiers (le SDIS des Bouches-du-Rhône fut le premier à s’équiper en 2008), couverture de l’actualité pour les médias, météorologie, circulation… ERDF étudie la surveillance des lignes à haute tension, la SNCF, les lignes TGV (photo AFP d'un drone vérifiant un viaduc de la SNCF à Roquemaure dans le Gard).

Comme DHL, leader mondial de la logistique, le PDG d’Amazon, Jeff Bezos, lance un projet de livraison de sa boutique en ligne par drones, Prime Air. Il ne dit pas comment il fournira le locataire du troisième d’un immeuble de six étages. Mais le ciel va s’ouvrir en grand aux drones. D’ailleurs, préparez-vous à monter un jour dans un avion de ligne sans pilote… Prêt ?

OL. B.

Lire la suite sur le site de La Voix du Nord (avec vidéos).

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13 décembre 2013 5 13 /12 /décembre /2013 08:35
Taiwan Developing Weapons Capable UCAV

 

Dec 2013 by By Yasir Faheem

 

Taiwan's military is developing a weapons-capable unmanned aerial vehicle (UAV) with some stealth capabilities at the Chung-Shan Institute of Science and Technology, an official at the institute said.

 

This will be the first armed UAV from the military-run research center, which has developed various tactical drones for surveillance and reconnaissance that cannot carry weapons, according to the source familiar with the institute's project, who requested anonymity.

 

Unlike previous models, the drone under development boasts short wings, stealth features and a weapons cabin that can carry missiles and bombs, the official said.

 

"The new UAV would be able to evade radar detection as its body is made from radar-absorbent materials," the official added.

 

The revelation came on the sidelines of a defense technology exhibition at Taoyuan County Stadium.

 

A dazzling array of high-tech devices and equipment developed in civilian and military collaborative projects are on display.

 

Exhibits featured at the Dec. 6-7 event include a variety of UAVs, Hsiung Feng III anti-ship missiles — also known as Brave Wind III — and Tien Kung III air defense missiles —also known as Sky Bow III — as well as sophisticated devices in the fields of aerospace and green technology.

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 12:35
Australia Extends Heron Mission in Southern Afghanistan

 

Dec 11, 2013 ASDNews Source : MoD Australia

 

The Australian Government has extended the Heron Remotely Piloted Aircraft (RPA) deployment to Afghanistan providing high resolution Intelligence, Surveillance and Reconnaissance (ISR) support until July 2014.

 

The Heron RPA has been operating in the Middle East Area of Operations since January 2010, providing ISR support to missions in Uruzgan province and southern Afghanistan.

 

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 08:35
Philippine Marine Corps Seek for Small UAV

Three Marine Brigade will operate 6 small UAV (photo : pdff)

 

10 Desember 2013 Defense Studies



The Department of National Defense (DND) has announced plans of acquiring Marine Forces Imagery and Targeting Support System (MITSS) consist of : 6 small UAV, 9 target acquisition device and 12 tactical sensor integration for P684.2 million.

All of the MITSS will be used for three Marine Brigade of PMC

Delivery of MITSS is required within 5 years from the date of submission and receipts of bids.


Bids must be delivered before on or January 06, 2014 and will be opened in the same day.

(Defense Studies)

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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 08:50
La Pologne veut monter dans le futur drone européen

 

06 décembre 2013 Par Hassan Meddah - Usinenouvelle.com

 

Les industriels polonais s’organisent en consortium pour décrocher des coopérations avec leurs partenaires européens et sont soutenus par leur Etat qui souhaiterait même entrer au capital d’EADS.

 

Jeudi 5 décembre dernier, une délégation d’entreprises polonaises du secteur de la défense débarquait en force à Paris. Elle était renforcée par des gradés de l’armée polonaise, des membres du ministère de la Défense et d’instituts de recherche. L’objectif : une rencontre à l’ambassade avec leurs homologues français aussi bien industriels qu’étatiques, en vue d’engager des coopérations. "Ces partenariats doivent avoir une double dimension, à la fois industrielle et politique", précisait Adam Bartosiewicz, vice-président de WB Electronics SA, spécialiste en électronique militaire et leader du consortium qui réunit depuis deux ans les principaux industriels du pays agissant dans le secteur des drones. Parmi les grands industriels français, Cassidian, Sagem et Thales avaient répondu présents ainsi que la direction général de l’armement (DGA).

 

Savoir-faire dans les mini-drones

Les Polonais ont mis en avant leur savoir-faire dans les drones tactiques. "Ils ont un réel savoir-faire dans les mini-drones qui se lancent à la main", indiquait l’un des industriels français au sortir de cette réunion. Côté équipement, WB Electronics a affiché également son expertise dans le domaine des matériaux composites. Et surtout, il ne cache pas son ambition de vouloir décrocher un contrat relatif à la construction du futur drone MALE européen et donc de s’associer aux principaux leaders européens du domaine. Lors du dernier salon du Bourget, Dassault, Finmeccanica et Cassidian avait en effet fait pression sur les grands états européens pour qu’ils lancent un programme de drone MALE.

Cette initiative marque les nouvelles ambitions de la Pologne dans le domaine de la défense. En novembre dernier, ce pays avait rejoint le club des utilisateurs de drones qui réunit au total 7 pays européens dont la France et l’Allemagne. A l’heure où la plupart des budgets de défense européens sont revus à la baisse, la Pologne a annoncé un important budget de modernisation de son armée estimé à environ 140 milliards de zlotys (33,3 milliards d'euros) au cours des prochaines années. "Cela doit être l’opportunité d’établir au-delà des relations commerciales, de véritables partenariats industriels et de développement", explique Adam Bartosiewicz, de WB Electronics. Les Polonais ont également fait part de leur besoin et ils pourraient s’équiper dans l’avenir de drone de surveillance MALE (Moyenne Altitude Longue Endurance). Toutefois les Français et les Européens n’auront pas la partie facile. "En matière de drone MALE, nous cherchons des équipements éprouvés sur le terrain pas des projets de recherche", précisait en amont de cette rencontre  le colonel Grzegorz Putyra, du commandement des forces spéciales polonaises. De quoi favoriser les constructeurs américains et israéliens déjà fournisseur de l’armée polonaise.

 

Prendre pied sur le marché européen

Pour aider ses industriels, l’Etat polonais a confirmé qu’il envisageait de prendre une participation de 1% à 2% dans le capital d’EADS, rejoignant ainsi les pays fondateurs, la France (12%), l’Allemagne (12%) et l’Espagne (4%). "Nous étudions les possibilités, les pour et les contre, que pourrait apporter à l'industrie polonaise d'armement une telle participation dans EADS (…) Il s'agit de donner une chance aux sociétés d'armement polonaises d'être présentes sur le marché européen", a précisé un porte-parole du ministère polonais de la Défense. L’offensive polonaise sur la défense europénne ne fait que demarrer.

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7 décembre 2013 6 07 /12 /décembre /2013 12:20
Vue d'artiste du RQ-180 Crédit Aviation Week - Ronnie Olsthoorn

Vue d'artiste du RQ-180 Crédit Aviation Week - Ronnie Olsthoorn

 

06/12/2013 Par Duncan Macrae – Air & Cosmos

 

Ce sont nos confrèrers d’Aviation Week qui lèvent le voile sur un nouveau « black program » américain. Northrop Grumman et l’US Air Force mèneraient dans le plus grand secret sur la base d’essais classifiée de Groom Lake dans le Nevada — la fameuse Zone 51 —des travaux de développement d’un nouveau drone furtif conçu pour des missions dites « ISR » pour renseignement, surveillance et reconnaissance.

 

L’objectif serait de développer un successeur au SR-71, retiré du service en 1998 et toujours pas remplacé. Il s’agit de disposer d’un appareil capable de mener des missions ISR en environnement hostile (« denied airspace »). Un Global Hawk furtif en quelque sorte.

 

En matière de signature radar, l’appareil, une aile volante à double flèche de la taille approximative d’un Global Hawk, serait largement supérieur aux F-117, F-22 et F-35.

 

En fait le RQ-180 trouve ses origines dans l’échec du programme J-UCAS, lancé en 2003 avec comme objectif de doter l’US Air Force et l’US Navy d’une plateforme commune. Ce programme fut abandonné en 2006 sous décision de l’US Air Force. L’US Navy a sélectionné Northrop Grumman pour la suite du programme, rebaptisé UCAS-D, qui a donné lieu au X-47B.

 

L’US Air Force pour sa part aurait donc décidé à cette époque de lancer le RQ-180. Et ce n’était sans doute pas une coincidence quand, en 2007, Northrop Grumman avait annoncé le rachat de Scaled Composites avec son savoir-faire inégalé en matière d’aérostructures en composites. L’avancement du programme RQ-180 expliquerait par ailleurs la décision de l’US Air Force, en 2012, d’abandonner la version Block 30 du Global Hawk, ostensiblement pour des raison de coûts.

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5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 17:40
Russia updates UAV inventory

 

Dec. 5, 2013 by Howard Gethin – FG

 

Moscow - Russia's defence ministry has signed a deal worth over Rb100 million ($3 million) with Kazan-based Eniks for delivery of 34 short-range surveillance unmanned aerial vehicles (UAV).

 

The company will deliver 17 Eleron-ZSV systems, says the company’s general designer Valery Pobezhimov, after a contract was signed with the ministry on 3 December.

 

“I can’t state the exact value of the deal but it is in excess of 100 million roubles,” he told news outlets.

 

The UAVs – a modernised variant of earlier Eleron systems – will be delivered by next year, he adds.

 

Pobezhimov claims the Eleron costs just 20% of the price of similar foreign systems such as the Israel Aerospace Industries Zastava UAVs made under licence in Russia.

 

The 5.3kg (12lb) Eleron can carry a 1kg imaging payload, with a top speed of 70kt (130km/h) and ceiling of 13,000ft (4,000m), Eniks claims.

 

Meanwhile, UAE-based Adcom Systems is to deliver its United 40 medium-altitude long-endurance UAV to the Russian defence ministry for trials in February 2014, the company’s chief executive Ali Al-Dhaheri says.

 

“Regardless of the results of the first tests, further deliveries of the UAV will take place,” he told Russia’s RIA Novosti news agency.

 

Russia has signed a draft deal with Adcom for purchase of a trial batch of the system, he says.

 

The 1,500kg MTOW United 40, powered by a single pusher engine, is optimized for battle damage assessment, mission planning, border surveillance and communications relay, Adcom says, and can also be armed with air-to-surface missiles.

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5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 08:40
United 40 version-block-5 photo ADCOM Systems

United 40 version-block-5 photo ADCOM Systems

 

Dec. 4, 2013 defense-unmanned.com

(Source: RIA Novosti; published Dec. 3, 2013)

 

Russia to Test UAE-Made Drone Next Year

 

MOSCOW/DUBAI --- Russia’s armed forces will conduct test flights of a drone aircraft from the United Arab Emirates early next year, the manufacturer said.

 

The unmanned United 40 Block 5 long-range reconnaissance vehicle will be tested to assess whether it meets the military’s operational needs. The medium-altitude drone can stay airborne for more than 100 hours and can also be equipped with Namrod air-to-surface guided missiles.

 

Ali Al Dhaheri, chief executive and chief designer at the manufacturer, ADCOM Systems, said that the first drone would be delivered to Russia in February. A preliminary agreement had been reached to sell more test vehicles to the armed forces, depending on the results of the first flights.

 

The United 40 Block 5 made its international debut flight at this year’s MAKS air show near Moscow. Military expert Denis Fedutinov told RIA Novosti that ADCOM Systems had shown “great interest in the Russian market”.

 

“If this system satisfies the requirements of the Russian military, it can be expected that...the original purchase will be followed by a contract for deployment,” said Fedutinov.

 

Defense Minister, Sergei Shoigu said in June that aerial drones being developed in Russia for the military were inferior to similar foreign models. Russia purchased 12 drones from Israel Aerospace Systems in Israel in 2009 in a $53 million that attracted a lot of criticism at the time.

 

The United 40 Block 5 is 11 meters (36.5 feet) long and has two sets of wings with a span of 17.53 meters (53ft), according to the manufacturer’s specifications. It can fly to a height of 8,000 meters (26,000ft) and has a cruising speed of 120-200 kilometers per hour.

 

The drone can carry a payload of up to 100 kilograms (220 pounds) under each of its four wings.

 

Russia’s military began to seek out advanced reconnaissance systems following the brief conflict with neighboring Georgia in August 2008, when the effectiveness of ground operations was severely hampered by a lack of reliable intelligence.

 

Various experts have estimated that Russia’s armed forces need up to 100 unmanned drone aircraft and at least 10 guidance and control systems to ensure effective battlefield reconnaissance.

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5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 08:20
Northrop starts production of Global Hawk UAS for NATO

 

MOSS POINT, Miss., Dec. 4 (UPI)

 

NATO's first Global Hawk unmanned surveillance vehicle is starting to take shape on a Northrop Grumman production line, the company reports.

 

The NATO Alliance Ground Surveillance Block 40 Global Hawk has a cruise speed of 357 miles per hour, a range of 8,700 miles, a service ceiling of 60,000 feet and a flight endurance of more than 30 hours.

 

Once operational with NATO it will provide near real-time terrestrial and maritime situational awareness information throughout the full range of NATO military and civil-military missions.

 

NATO has ordered five of the aircraft, which will feature enhancements to meet the alliance's requirements for performing intelligence, surveillance and reconnaissance missions, Northrop said.

 

"The variety of sensors and ability to support a wide range of missions will revolutionize how NATO collects ISR," said Jim Edge, general manager of NATO's Air, Ground Surveillance Management Agency. "It was an honor to witness the start of production for the first NATO aircraft, and I'm excited at being one step closer to delivering the AGS system."

 

Production was kicked off with a ceremony at Northrop's facility in Mississippi, which was attended by representatives of the alliance, state government officials, community leaders and Northrop employees.

 

"Mississippi excels at advanced manufacturing, and the sophisticated aircraft that will be built at Northrop Grumman's Moss Point facility are a testament to the quality of the area's workforce," Gov. Phil Bryant said at the event. "Our state is also building a strong presence in the aerospace industry, and this operation will certainly bolster our reputation."

 

The NATO AGS system will be equipped with the multi-mode, Multi-Platform Radar Technology Insertion airborne ground surveillance radar sensor to provide all-weather, day or night intelligence. The system a suite of network-centric enabled line-of-sight and beyond-line-of-sight long-range, wide-band data links.

 

It also features European-sourced ground assets to provide in-theater support to commanders of deployed forces. Mobile ground stations, for interface between the AGS core system and a wide range of interoperable NATO and national command, control, intelligence, surveillance and reconnaissance systems are also part of the system.

 

"With the ability to fly up to 60,000 feet and for more than 30 hours, the NATO AGS system is uniquely suited to support NATO missions worldwide," said Jim Culmo, vice president, High-Altitude, Long Endurance Enterprise, Northrop Grumman Aerospace Systems.

 

Northrop said NATO is acquiring the system with 15 nations participating in the program. They are: Bulgaria, Czech Republic, Denmark, Estonia, Germany, Italy, Latvia, Lithuania, Luxembourg, Norway, Poland, Romania, Slovakia, Slovenia and the United States.

 

Companies participating in the project with Northrop include Cassidian, Selex ES, Kongsberg and defense companies from participating countries.

 

Details of the production/delivery schedule for the first and subsequent Global Hawks was not disclosed.

Northrop starts production of Global Hawk UAS for NATO
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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 13:40
Russie: l'armée acquiert 34 drones pour 2,2 M EUR

 

 

MOSCOU, 4 décembre - RIA Novosti

 

Le ministère russe de la Défense et la compagnie d'armements Enix ont conclu un contrat prévoyant l'acquisition de 34 drones de renseignement à courte portée pour plus de 100 millions de roubles (2,2 millions EUR), a appris l'agence RIA Novosti auprès du constructeur en chef du groupe, Valery Pobejimov.

 

"Nous avons conclu avec le département militaire un contrat prévoyant la livraison de ces systèmes, l'accord a été conclu hier", a indiqué l'interlocuteur de l'agence.

 

M.Pobejimov a précisé qu'en vertu du contrat signé, son groupe basé à Kazan, au Tatarstan, s'engageait à livrer au ministère russe de la Défense 17 systèmes Aileron-3SV comprenant 34 appareils sans pilote.

 

"Je ne suis pas en mesure de préciser le montant exact du contrat, mais il s'élève à plus de 100 millions de roubles", a expliqué le chef d'Enix avant d'ajouter que le contrat en question serait exécuté avant 2015.

 

D'après M.Pobejimov, l'armée russe recevra des drones modernisés, dont le prix est cinq fois inférieur à celui de leurs analogues étrangers.

 

Le drone Aileron-3SV est un appareil de renseignement à courte portée pesant 5,3 kg et capable de porter un kilogramme de charge utile. Il peut atteindre une vitesse maximale de 130 km/h et voler à 4.000 mètres d'altitude.

Russie: l'armée acquiert 34 drones pour 2,2 M EURRussie: l'armée acquiert 34 drones pour 2,2 M EUR
Russie: l'armée acquiert 34 drones pour 2,2 M EURRussie: l'armée acquiert 34 drones pour 2,2 M EUR
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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 08:55
Les limites du drone…

 

4 décembre, 2013 FOB

 

Bien involontairement, l’exercice Serpentex qui se déroule en Corse sous l’égide de l’armée de l’Air vient de rappeler les limites des drones. Qu’il s’agisse d’ailleurs des limites fixées par des règles d’exploitation en vigueur ou issues des capacités propres des appareils… La participation d’un drone Reaper MQ-9A mis en œuvre par le 28° Gruppo de la force aérienne italienne est annoncée depuis le début de l’exercice consacré à la pratique du Close Air Support (appui-feu aérien).

Deux belles premières  étaient annoncées : la participation de cet appareil à Serpentex et le premier transit transfrontalier d’un appareil sans pilote en Europe. Las ! Dix jours après le début de l’exercice, l’appareil qui devait faire deux missions hebdomadaires n’a toujours pas montré le bout de son antenne satellite. La faute en est revenue la première semaine à la météo sur la zone d’exercice, avec des vents violents qui ont également gêné les opérations aériennes (les limites portaient dans ce cas sur la sécurité des équipages en cas d’éjection au-dessus de la mer ou dans la montagne…). Après cette déconvenue, les Italiens pensaient bien se rattraper en début de deuxième semaine. Pas de chance, c’est cette fois le couloir aérien spécialement mis en place pour l’appareil entre la Sardaigne et la Corse qui s’est avéré impraticable, une fois encore en raison des conditions météo. Le Reaper avait pourtant bien décollé de sa base d’Amendola, dans le sud de l’Italie. Mais, forcé de rester dans son couloir aérien, il n’avait pu contourner les cellules orageuses qui s’y trouvaient et avait du finalement faire demi-tour. Un nouvel essai sera tenté avec la journée VIP de demain !

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 17:45
DRC drones take to the sky for the first time

 

 

03 December 2013 defenceWeb

 

Another component of the UN’s ongoing efforts to bring peace to the troubled DRC came into play today when UAVs were launched in Goma for the first time as an additional surveillance tool.

 

Herve Ladsous, head of peacekeeping for the world body, was in the eastern DRC city to witness the latest addition to the peacekeeping arsenal take to the skies.

 

MONUSCO, the UN Mission in the Democratic Republic of Congo (DRC), is on record as saying the UAVs are an “important new tool to assist in fulfilling its mandate to protect civilians”.

 

Ladsous said the UAVs are high technology systems that will allow better knowledge of what is happening on the ground. “This, in turn, will allow forces on the ground to do a better job,” he said.

 

MONUSCO brigade commander General Carlos Alberto Dos Santos Cruz said in October he expected to UAVs to be providing 24 hour surveillance by March next year.

 

He told Agence France Presse the UAVs would be based at Goma for at least five months and use of them would then be increased.

 

This is the first time the UN is using UAVs and, if trial surveillance use by peacekeepers in eastern DRC is successful, officials and diplomats are cautiously optimistic the unmanned platforms could be put in service by UN missions in South Sudan and the Ivory Coast.

 

The unarmed Falco medium altitude, medium endurance UAVs have been sourced from Italian company Selex ES following the signing of a commercial contract with the UN in July.

 

Expectations are the UAVs will make a major difference in surveillance in the eastern DRC where thick forests, rugged terrain and a scarcity of roads combine to make it difficult for ground-based troops to mount accurate observation.

 

Speaking ahead of today’s first UAV launch, Ladsous said there had been progress in creating a situation where civilians were at less risk than when particularly M23 rebels had been active.

 

The arrival of three South African Rooivalk combat support helicopters to augment the Force Intervention Brigade (FIB) has been termed by some military commentators as the decisive intervention which forced M23 to retreat from its fortified positions on high ground outside Goma.

 

Ladsous sees the UAVs as further bolstering the Mission’s ability to protect civilians.

 

UN estimates are that at least 100 000 people have been displaced by fighting this year alone with 2.6 million people in total displaced by fighting between DRC forces and various rebels elements over the year.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 17:45
RDC: le drone des Nations unies a fait son premier vol au-dessus du Nord-Kivu

Le drone «Falco», sur l'aéroport de Goma, en RDC, a fait son premier vol ce mardi 3 décembre. Photo Léa Lisa Westerhoff - RFI

 

03 décembre 2013 Par Léa Lisa Westerhoff, envoyée spéciale à Goma- RFI

 

Le premier drone jamais utilisé par une mission des Nations unies a été lancé ce mardi 3 décembre dans l'Est de la République démocratique du Congo. L'appareil, un Falco de fabrication italienne, a décollé à la mi-journée de l'aéroport de Goma, capitale de la province du Nord-Kivu, à l'occasion d'une présentation à la presse en présence du chef des opérations de maintien de la paix de l'ONU, Hervé Ladsous, et de plusieurs diplomates.

 

Près d’un an après la promesse d’envoyer des drones de surveillance en République démocratique du Congo (RDC), les Nations unies ont officiellement lancé le premier appareil sans pilote jamais utilisé par une mission de l'ONU.

 

→ A (RE)LIRE : L'ONU va déployer ses premiers drones à Goma

 

L'engin, un Falco de fabrication italienne, s’est envolé à midi du petit aéroport de Goma sous les applaudissements. Pour le chef des opérations de maintien de la paix des Nations unies, l'appareil - sorte d’avion miniature de 7 mètres de long - devrait faire une vraie différence pour sécuriser l’est du Congo, une région vallonnée et boisée particulièrement difficile d’accès.

Localiser les groupes armés cachés dans les forêts, mais aussi surveiller les frontières de la RDC avec le Rwanda et l’Ouganda, voilà la mission de cet engin équipé d’une caméra. Jusqu’ici, ce sont des hélicoptères qui se chargeaient de le faire. Mais, plus visibles, ils se sont fait tirer dessus à plusieurs reprises par la rébellion du M23.

 
L’appareil, un engin de type «Falco», fabriqué en Italie, ne peut s’éloigner qu’à 250 kilomètres de sa base de Goma.
Léa Lisa Westerhoff / RFI
 

Traquer les groupes armés et localiser les populations déplacées

« On va avoir maintenant des yeux au-dessus de régions où l'on avait de gros problèmes de mobilité », a affirmé Hervé Ladsous à RFI. « C’est la dernière technologie, un instrument essentiel pour nos troupes et la Monusco, à la fois pour faire leur travail de maintien de la paix, d’observation des groupes armés, mais aussi pour observer les groupes civils qui peuvent être déplacés et poussés à la fuite par des combats. »

→ A (RE)LIRE : Kabila à Goma: «La plus grande promesse que j'ai faite, c'est la paix»

« C’est crucial pour nous », a renchérit Alexandre Luba Ntambo, le ministre de la Défense congolais, « car cela nous permettra de savoir où sont cachés les différents groupes armés ».

L'ONU fait le pari de l'effet dissuasif

 

 
Un modèle de drone «Falco» en vol, tel que celui qui a fait son premier vol officiel en RDC sous les couleurs des Nations unies.
DR
 

Le drone, lui, peut voler plus haut, plus longtemps - entre 5 heures et 10 heures - et transmettre ses images en temps réel, de jour comme de nuit. Les Nations unies misent donc sur un effet dissuasif et espèrent accélérer la reddition des dizaines de milices qui opèrent dans l’Est du Congo.

Pour le moment, le drone ne peut cependant s’éloigner qu’à 250 kilomètres de sa base de Goma. Il faudra attendre l’arrivée d’engins supplémentaires ou multiplier les stations de décollage pour que le rayon de surveillance s’étende et que ces engins puissent surveiller tout l’Est du Congo. Un autre engin devrait arriver d'ici la fin de l'année 2013, et les deux derniers drones doivent être livrés d'ici à mars 2014.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 08:20
Northrop Grumman shows off two new drones

Bat  R-Bat on display Northrop Grumman offices in Rancho Bernardo photo Alex Fuller - UT San Diego

 

Nov. 30, 2013 By Jeanette Steele – utsandiego.com

 

Vice president talks about capabilities of smaller UAVs

 

Northrop Grumman, which engineers the Navy’s Fire Scout unmanned helicopter and the Air Force’s Global Hawk surveillance plane in San Diego, recently showed off two smaller drones at the company’s burgeoning Rancho Bernardo offices.

 

The defense giant has 2,000 employees at its San Diego “unmanned systems center of excellence” and recently took occupancy of an eighth building there.

 

And it wants to expand into new territory.

 

U-T San Diego spoke to George Vardoulakis, Northrop Grumman vice president for medium-range tactical systems, about the two smaller drones, the Bat and the R-Bat. He also discussed the new, beefed-up Navy Fire Scout.

 

Q: Give us the five-minute tour of the Bat and R-Bat.

 

A: Let’s start off with the Bat. This is a 12-foot aircraft with a “blended wing” body. Right now, we are in the flight test phase. We are testing these aircraft out in Yuma, Ariz. It’s got a six- to eight-hour flying endurance.

 

This is the R-Bat. It flies with the same control system as the fixed-wing aircraft, so we are leveraging the vehicle management computer between these two.

 

This one here is just for our guys to play with. It gives our engineers the opportunity to test our software and experiment.

 

Q: What has Bat been used for to date?

 

A: Bat was deployed to Afghanistan (with the U.S. Special Operations Command) for intelligence, surveillance and reconnaissance. It was doing improvised explosive device (roadside bomb) detection for our troops.

 

As part of the drawdown, we brought it back home, and we’re doing additional tests. And we’re scaling from this 12-foot aircraft up to 18 and 20 feet.

 

Q: What are the applications in the future for these two UAVs?

 

A: Ideally, the R-Bat in the commercial world is used for agriculture. Farmers will do crop dusting in their fields. Today they do that with a remotely piloted joystick. In the future, at some point when the Federal Aviation Administration clears it, they could do something like that autonomously.

 

Q: “Autonomous” means the drone is programmed to fly a specific route, as opposed to a hands-on operator “flying it” when it is in the air?

 

A: We not only preprogram it to run a route, but it can also be dynamically tasked. So, while it is running those autonomous routes, we can actually intervene and say, “I’d like to continue to loiter here, or move from there to that point.”

 

Q: It seems like drones are the way of the future, and not just for U.S. military use. Are there other commercial applications for these two drones?

 

A: The reality is they will eventually be used for a lot of things. Beyond agriculture — going up and down pipelines, looking for oil leaks in the Arctic.

 

Doing border surveillance, outfitting them with sensors for illegal immigration — aircraft are doing that today. Going out to oil rigs to move cargo and food supplies back and forth.

 

At some point in the military application, medevacs in a hostile environment. There’s an unlimited number of applications.

 

Q: What about public use? Some people might like to own one of these themselves.

 

A: I don’t think we are ready for that yet. There are security concerns, public privacy concerns. I think we all have to work our way through that. We’re working closely with the FAA to make sure that we can harmoniously fly unmanned aircraft with manned aircraft. It’s early in that process. And we want to make sure that we are bringing standards of autonomy up to a level where all of us feel comfortable, so that no matter who makes it, it’s done right and safe.

 

 

Northrop Grumman shows off two new drones

Q: Let’s talk about the MQ-8C Fire Scout, the unmanned helicopter that will deploy on Navy warships.

 

A: (Behind me) is the second test aircraft. It’s on its way to Point Mugu (Navy base in Ventura County).

 

We’ve got six months of flight testing in front of us. On the back side of that flight test period, we’re going to go out to a littoral combat ship to do dynamic interface testing. And then the Navy will be deploying these things.

 

Q: If these are test vehicles, when will regular production Fire Scout C’s start making an appearance?

 

A: The very first production aircraft will be here in a month. We are delivering an aircraft to Point Mugu every month.

 

Q: These will deploy with San Diego Navy ships. But we won’t see them in the skies over San Diego, correct?

 

A: Right now the military plans on deploying these things overseas, when they are out in international waters and/or over combatant areas. We don’t have FAA clearance to fly these in FAA airspace. Unfortunately! We’d all like to see these things flying at places other than Point Mugu.

 

Q: Talk about Northrop’s unmanned center in San Diego. As the use of drones grows, so do jobs here?

 

A: We do all our design and development work here for not only the medium-range, medium-altitude portfolio that I run … but also the high-altitude, long-endurance team just down the street.

 

So Global Hawks, Tritons, Euro Hawks, Fire Scouts, Fire Birds, Bats — all developed here. All of our advance programs, which are the future of unmanned aviation, are also born here.

 

We are growing, continuing to expand. We’ve moved folks from New York and Florida who were working on our autonomous systems to San Diego to join the rest of the family.

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1 décembre 2013 7 01 /12 /décembre /2013 22:20
Premiers équipages diplômés posant devant un drone Reaper

Premiers équipages diplômés posant devant un drone Reaper

 

29/11/2013 Armée de l'air

 

Le 26 novembre 2013, le général Antoine Creux, major général de l’armée de l’air (MGAA), s’est rendu sur la base aérienne d’Holloman aux États-Unis, afin de présider la cérémonie de remise de diplôme à la première promotion d’équipages français sur drone Reaper.

 

Au terme de 17 semaines d’une formation exigeante et de haut niveau, les trois premiers équipages de l’escadron de drones 1/33 « Belfort » sont désormais opérationnels et seront déployés au profit des opérations à compter de la livraison des drones Reaper.

 

L’arrivée prochaine du drone Reaper au sein de l’armée de l’air est un signe concret de la poursuite de sa modernisation et du renforcement de son caractère opérationnel, axes forts du projet « Unis pour Faire Face ».

Visite d'un poste de pilotage.

Visite d'un poste de pilotage.

Remise de diplôme

Remise de diplôme

Premiers équipages lors de la remise de diplôme

Premiers équipages lors de la remise de diplôme

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