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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 13:50

http://assets.digital.cabinet-office.gov.uk/government/uploads/system/uploads/image_data/file/6621/s300_7Bde-2013-008-159g.jpg

The Challenger 2 main battle tank being fired on Hohne

Ranges in Germany [Picture: Corporal Ross Fernie RLC]

 

21 February 2013 Ministry of Defence

 

The British Army's senior light cavalry regiment have been getting recquainted with their Challenger 2 main battle tanks during a training exercise on Hohne Ranges in Germany.

 

The Queen’s Royal Hussars (QRH), part of 20th Armoured Brigade, had a number of different roles while deployed on operations in Afghanistan.

 

Operation Herrick 15 saw them take on ground-holding roles using Warthog vehicles but it’s been 3 years since the QRH have had a chance to fire the Challenger 2 main battle tank so the exercise in Germany put them back in familiar territory.

 

Warrant Officer Class 1 Matt Campbell, QRH Regimental Sergeant Major, said:

It’s been fantastic to see the boys back to their core role, getting back onto the vehicles and working as crews again.

Many of the crews have new gunners and drivers so it was a great chance for them to learn their core role and bond as a fighting unit.

 

The Challenger 2's 120-millimetre-calibre tank gun
A view down the barrel of the Challenger 2 main battle tank's 120-millimetre-calibre gun [Picture: Corporal Ross Fernie RLC, Crown copyright]

The British Army Training Unit Suffield in Canada is next on the agenda for the QRH as they learn to fire their tanks as part of a battle group again on Exercise Prairie Thunder.

A member of the Queen's Royal Hussars in a Challenger 2 main battle tank
A member of the Queen's Royal Hussars in a Challenger 2 main battle tank [Picture: Corporal Ross Fernie RLC, Crown copyright]
Members of the Queen's Royal Hussars preparing ammunition
Members of the Queen's Royal Hussars preparing ammunition for the tank manoeuvres on Hohne Ranges [Picture: Corporal Ross Fernie RLC, Crown copyright]
The Challenger 2 main battle tank
The Challenger 2 main battle tank has a maximum speed of 59 kilometres per hour [Picture: Corporal Ross Fernie RLC, Crown copyright|
The Challenger 2 main battle tank
The Challenger 2 main battle tank in action on Hohne Ranges [Picture: Corporal Ross Fernie RLC, Crown copyright]
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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 12:50

http://www.eda.europa.eu/images/default-source/news-pictures/ce-eda_mod-lu

 

Brussels | Feb 22, 2013 European Defence Agency

 

On 21 February 2013, the Minister of Defence of Slovenia, Mr Aleš Hojs, and the Minister of Defence of Luxembourg, Mr Jean-Marie Halsdorf, visited the EDA for discussions with the Chief Executive Mme Claude-France Arnould.

 

In their respective meetings, the Ministers and the Chief Executive exchanged views on defence issues in preparation for the meeting of the European Council in December 2013. They also explored opportunities to support national capability requirements through European cooperation, including in research & technology and in the development of the European defence technological and industrial base, in particular through support to Small and Medium Enterprises (SMEs).

 

More information:

 

    News "Serbian State Secretary Visits EDA" (5 Feb 2013)

 

    News "Italian Minister of Defence Visits EDA" (22 Jan 2013) 

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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 12:50

http://www.ecole-navale.fr/IMG/jpg/2013mlvc009_001_016.jpg

 

22 février 2013 Par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

 

Le contre-amiral Philippe Hello, commandant l’Ecole Navale et le groupe des écoles du Poulmic, visite l’Ecole Navale Militaire de Marín (Espagne), pour un séjour de 3 jours.

 

Ces rencontres entrent dans le cadre des programmes d’échanges entre écoles navales de pays amis et alliés, pour renforcer les liens d’amitié et de coopération.

 

Signe des bonnes relations avec la marine nationale française, il a été décidé il y a quelques années de procéder à des échanges de professeurs : un officier professeur espagnol enseigne à l’école française et un officier français fait de même à l’Ecole Navale Militaire espagnole.

 

Cet échange est aussi réalisé avec les élèves qui visitent régulièrement les centres de formation de l’autre marine.

 

Parmi les activités prévues pendant la visite du commandant de l’Ecole Navale française, une conférence présentera le centre de formation espagnol et ses principales installations. Le programme de travail sera complété par un agenda culturel, qui comprend une visite au musée et à la zone monumentale de Pontevedra.

 

Référence : Faro de Vigo (Espagne)

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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 12:50

Chief Test Pilot VBS armasuisse flies Gripen EF test aircra

 

21.02.2013 Romandie.com (AWP)

 

Berne (awp/ats) - L'achat de 22 avions de combat suédois Gripen devrait franchir facilement le cap du Conseil des Etats. L'aval de la commission préparatoire à cette acquisition ainsi qu'au fonds qui financera l'opération et pourra être combattu par référendum n'a quasiment pas fait un pli.

 

Par 9 voix contre 4, la commission de la politique de sécurité propose au plénum, qui tranchera le 5 mars, de soutenir l'achat devisé à 3,126 milliards de francs. Si la minorité juge que cette acquisition n'est pas nécessaire, la majorité se range sans problème derrière le ministre de la défense Ueli Maurer.

 

CAPACITÉ PAS CONTESTÉE

 

"La capacité des Gripen n'est pas contestée de notre côté", a expliqué devant la presse le président de la commission Hans Hess (PLR/OW). Il faut remplacer les Tiger, et pouvoir assurer avec 22 nouveaux jets et les 33 F/A-18 existants les missions à remplir (surveillance et défense de l'espace aérien, police de l'air, reconnaissance aérienne, combat contre des objectifs au sol).

 

"Nous n'avons pas besoin d'une Rolls Royce" pour autant, a commenté le président. La commission a pu voir le projet de contrat définitif d'achat, qui devrait être signé d'ici mai, ainsi que ses annexes. Elle a été convaincue par les experts que les risques liés à l'acquisition peuvent être écartés.

 

Le recours à la location d'appareils dans un premier temps n'a pas été remis en cause. "Nous sommes certains que cela fonctionnera", a dit Hans Hess. La commission a pu être rassurée sur les interrogations qu'elle avait encore, a résumé Jean-René Fournier (PDC/VS).

 

Une seule précision a été ajoutée au programme d'armement 2012: le Conseil fédéral devrait faire le point chaque année sur l'avancement de l'achat des Gripen et cela jusqu'à ce que l'opération soit achevée.

 

FONDS

 

Par 9 voix contre 3, la commission s'est aussi ralliée à la création d'un fonds pour financer l'acquisition des avions. Afin d'alimenter ce fonds limité à dix ans, le Conseil fédéral propose de puiser en moyenne 300 millions par an dans le budget de l'armée.

 

Des minorités souhaitent l'empêcher d'utiliser pour ce faire les soldes de crédits non utilisés ou le produit de la vente de liquidation de matériel et d'immeubles. Elles ont notamment peur que l'on rogne sur les casernes pour financer les Gripen.

 

La création d'un fonds n'a pas posé de problème à la commission des finances, a rappelé M. Fournier. Cette manière de procéder permettra en outre au peuple d'avoir le dernier mot sur l'achat des Gripen, la loi instituant le fonds étant soumise au référendum facultatif. Une opportunité que la gauche a d'ores et déjà promis d'utiliser.

 

Si l'aval du Conseil des Etats aux avions de combats ne devrait pas poser de problèmes, l'opération est un peu plus risquée devant la Chambre du peuple. Une majorité de la sous-commission de National qui suit le dossier a jusqu'à peu continué d'émettre des doutes sur cette acquisition. Des voix UDC pourraient s'ajouter aux opposants déterminés que sont la gauche et les Vert'libéraux.

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 15:54

http://www.thalesgroup.com/Resizer.ashx?i=/uploadedImages/Press_Releases/Countries/United_Kingdom/2013/CC_PR_wide.jpg&w=730

Image courtesy of Schiebel

 

21 February 2013 Thales

 

 Thales’s I-Master radar system has successfully completed flight trials onboard a Schiebel CAMCOPTER® S-100 UAS (Unmanned Air System).

 

The flight trials on the CAMCOPTER® S-100 took place on 7th February 2013 at the Schiebel test facility in Wiener Neustadt, Austria. The flights, each lasting several hours, successfully proved both sensor performance and the stability of data transfer between radar operator and the airborne I-Master.

 

I-Master is a high-performance radar, providing Ground Moving Target Indication (GMTI) and Synthetic Aperture Radar (SAR) capability for all-weather surveillance, detection and recognition of targets over large areas at long stand-off ranges. Schiebel’s CAMCOPTER® S-100 is a proven vertical take-off and landing (VTOL) rotary wing UAS capable of carrying a range of sensors for military and civilian applications.

 

Eddie Awang, Vice President of Intelligence Surveillance & Reconnaissance at Thales UK, said, “This trial, conducted in partnership with Schiebel, provided excellent GMTI and SAR results. It shows that I-Master can operate successfully on this VTOL UAV, meeting the specific challenges of unmanned platforms without interference or operational impact.

“I-Master has again proven its world-leading credentials. It provides the best performance in its class, in a flexible adaptable package, bringing a high-end capability to more customers around the world - fixed wing aircraft and UAVs, helicopters, and now the Schiebel CAMCOPTER® S-100. Whether installed alone or to complement electro-optical/infrared sensors, I-Master greatly improves the effectiveness of any surveillance scenario.”


Hans Georg Schiebel, the Schiebel Group chairman, said, “The I-Master radar integrated easily with CAMCOPTER® S-100 proving the flexibility of both the UAV and the radar. With the I-Master installed, the system performed even above our high expectations, and provides invaluable surveillance, detection and recognition capability.”


Weighing only 30kg, I-Master has been designed for easy installation with ‘plug & play’ integration. It is designed with the same footprint as a standard 15’’ EO/IR sensor turret, allowing simple air worthiness and certification.

The CAMCOPTER® S-100 equipped with I-Master provides high-fidelity imagery for classification and positioning of various targets through 360º and can accurately detect and locate moving targets, from fast moving vehicles to individuals at walking pace. This provides an effective asset in operations such as homeland security, border surveillance pipeline security and incident management.

 

 

- Ends -

About Thales and Thales UK
Thales is a global technology leader for the defence & security and the aerospace & transport markets. In 2011 the company generated revenues of £11.4 bn (€13 bn), with 67,000 employees in 56 countries. With its 22,500 engineers and researchers, Thales has a unique capability to design, develop and deploy equipment, systems and services that meet the most complex security requirements. Thales has an exceptional international footprint, with operations around the world working with customers and local partners.

Thales UK employs 7,500 staff based at 35 locations. In 2011 Thales UK’s revenues were around £1.4 bn. 

About Schiebel
Founded in 1951, the Vienna-based Schiebel Group of companies focuses on the development, testing and production of state-of-the-art mine detection equipment and the revolutionary CAMCOPTER® S-100 Unmanned Air System (UAS). Schiebel has built an international reputation for producing quality defense and humanitarian products, which are backed by exceptional after-sales service and support. Since 2010 Schiebel offers the new division composite and is able to supply high-tech customers with this high-quality carbon fiber technology. All products are quality-controlled to meet ISO 9001 standards. With headquarters in Vienna (Austria), Schiebel now maintains production facilities in Wiener Neustadt (Austria), and Abu Dhabi (UAE), as well as offices in Washington DC (USA), and Phnom Penh (Cambodia).

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 13:52

The Union Jack Flag photo UK MoD

 

21 Feb 2013 By James Kirkup, Deputy Political Editor - telegraph.co.uk

 

Hundreds of millions of pounds will be diverted from Britain's growing aid budget to ease the impact of defence cuts on the Armed Forces.

 

David Cameron has signalled that money from the Department for International Development will be used to help pay for "stabilisation" operations by the Armed Forces in fragile states in Africa, the Middle East and Asia.

 

Providing basic security and peacekeeping is an important part of development, the Prime Minister said.

 

The shift from Mr Cameron comes after defence chiefs raised fears that the Treasury is planning more cuts in the Forces' budget. Government sources said money from the aid budget will help offset some of the cuts, but not all.

 

Taking money from DFID is likely to please Conservative MPs who are unhappy that aid spending is rising sharply even as other budgets shrink.

 

The Ministry of Defence budget is being cut by 8 per cent over four years, leading to the loss of 30,000 Armed Forces posts. By contrast, DFID's budget is growing by a third as Britain tries to hit a United Nations target of spending 0.7 per cent of its domestic product on overseas aid.

 

Speaking in India, Mr Cameron said that the aid and defence ministries already worked very closely together.

 

He added: "If you're asking, can they work even more closely together, and make sure the funds at our disposal are used to provide basic levels of security and stability in deeply broken and fragile states then, yes, I think we should – that is an important part of development."

 

DFID, the MoD and the Foreign Office already pay into a central "conflict pool" that funds some stabilisation work. Mr Cameron said that the principle of sharing money could be extended. He said: "Can we do more? Can we build on that approach? I am very open to ideas like that."

 

The pledge to increase aid spending was a central part of Mr Cameron's attempt to portray the Conservatives as compassionate and generous. Some Tories think it politically unsustainable in an age of austerity.

 

The pressure on the Armed Forces from new commitments in north Africa has made additional defence cuts more controversial. Mr Cameron said: "We have our moral responsibilities for tackling poverty, and we also have our national security responsibilities for mending conflict states. We should see DFID in that context."

 

Exactly which items of state spending count towards the 0.7 per cent target for aid is decided by the Organisation for Economic Cooperation and Development, a club of industrialised nations.

 

Its guidelines rule out using aid money for combat operations. But the rules are less clear on peacekeeping missions.

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 13:50

HMS Anson - astute class source Thales UK

 

Feb 21, 2013 ASDNews Source : Rolls-Royce Plc

 

Rolls-Royce, the global power systems company, today marked the beginning of construction of its Core Manufacturing Facility at Raynesway, Derby with a ground-breaking ceremony conducted by Vice Admiral Sir Andrew Mathews, Ministry of Defence (MoD).

 

The new facility, which will be a phased-build programme, will replace existing infrastructure and represents the third stage of the Raynesway modernisation project. When operational, the new state-of-the-art facility will produce reactor fuel cores for the UK's current and future Submarines Programme, sustaining 300 highly skilled jobs.

 

Vice Admiral Sir Andrew Mathews, Chief of Materiel (Fleet) at MoD said: "Rolls-Royce has played a vital role in supporting the Royal Navy's nuclear submarine propulsion programme for over 50 years. This significant investment to regenerate the facility, to build our nuclear reactor cores, will ensure that the site continues to do so for decades to come."

 

Jason Smith, Rolls-Royce, President, Submarines and Chief Operating Officer – Nuclear, said: "We are pleased to begin construction of this important new facility which will use the most advanced manufacturing techniques to enhance our world-leading nuclear manufacturing capability.

 

"The investment in this facility demonstrates the high level of trust that the MoD has in both our technology and the expertise of our highly skilled workforce."

 

Rolls-Royce is the UK's lead company, on behalf of the MOD, in nuclear submarine reactor systems and support services; incorporating design, manufacture, procurement and operation.

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 13:50

http://www.eda.europa.eu/images/default-source/news-pictures/seeing-the-unseen

 

Brussels | Feb 21, 2013 European Defence Agency

 

The European Defence Agency (EDA) and the European Commission (EC) jointly organise and chair a workshop to present the achievements under the established European Framework Cooperation (EFC) in the area of Chemical, Biological, Radiological and Nuclear (CBRN) protection research.

 

The workshop, held on 13 March as a side event of the Security Conference at HOMESEC 2013 in Madrid, will feature speakers from different projects under EDA’s Joint Investment Programme (JIP) CBRN and the EC’s FP7 Security Research Programme. The presentations will focus on showing progress and the possibilities of exchange of results among the frameworks. Current challenges and future European perspectives on civil-military research synergies will also be discussed.

 

More information:

 

    For more information on this event, the agenda and registration, click here.

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 12:52

IAF AW101 source Livefist

 

20 février 2013 Aerobuzz.fr

 

L’industriel de défense italien Finmeccanica qui se veut le pendant italien d’EADS traverse l’une des plus grave crise de son histoire suite à la mise en examen de ses principaux dirigeants, Giuseppe Orsi et Bruno Spagnolini.

 

Suite à l’arrestation et à la mise en examen de Giuseppe Orsi et Bruno Spagnolini, le PDG du groupe et le patron de la division hélicoptères, c’est Alessandro Pansa qui prend les commandes du groupe pour assurer la continuité. Il n’empêche que le mal est fait. Cette affaire, lourde de conséquences, est partie de pots de vin de 30M€ versés à un ou plusieurs intermédiaires en Inde pour remporter un contrat de plus de 500 M€ portant sur la vente d’hélicoptères trimoteurs AW101.

 

Plusieurs machines ont été livrées à ce jour cependant les autorités indiennes pourraient annuler le contrat et « blacklister » pour des années, l’industriel italien. Les ventes d’armes sont, en effet, régies par un code des bonnes pratiques édictées par l’OCDE. Ces règles font suite à des scandales survenus dans les années soixante, lors de ventes d’aéronefs de combat américains. Doit t-on pour autant en déduire que seul Finmeccanica cède à ce genre de pratiques ? Rien n’est moins sûr.

 

Ce scandale dans lequel est impliqué l’Italie met l’accent sur les différences de méthodes de vente entre les USA et le vieux continent. D’un côté, les USA qui assouplissent leurs règles de transfert de technologie pour faciliter leurs ventes export de matériels de défense, disposent depuis des années des fameux contrats FMS (Foreign Military Sales). Dans ce cas le client bénéficie d’un matériel « sur étagère » identique à celui acheté par le Pentagone et à un prix d’ami. Les européens ne peuvent pas s’aligner. Ce type de contrat explique en partie le succès des avions de combat F16 et F15 à l’export mais aussi des hélicoptères Blackhawk. De l’autre côté, les industriels européens eux misent sur la qualité des produits et les transferts de technologie pour survivre malgré un prix plus élevé, tout en s’efforçant de respecter les règles de l’OCDE. Mais dans le domaine des ventes d’armes, gage d’emplois de haute technologie, tous les coups tordus sont permis.

 

L’affaire Finmeccanica a éclaté au moment où se tenait en Inde, le salon aéronautique Aero India (6-10 février 2013) au cours duquel, l’Inde a multiplié les signatures de contrats. C’est ainsi que New Delhi a annoncé le lancement d’un nouveau système de défense sol-air courte portée pour équiper ses forces terrestres et navales. Ce développement financé à hauteur de 6 Md d’euros associe MBDA et l’institut de recherche indien DRDO. Le système, destiné à remplacer le Trishul de conception indienne est basé sur le missile VLMICA, la version sol-air du missile MICA qui équipe le Rafale et le Mirage 2000-5

 

Si beaucoup de contrats ont été signés, celui de la fourniture de 126 avions de combat Rafale à Inde demeure toujours en suspend. Ca coince au niveau des importantes compensations commerciales réclamées par l’Inde qui veut acquérir un maximum de technologie grâce à ce contrat. En dehors de l’entreprise nationale omnipotente HAL, il est difficile de trouver des partenaires susceptibles d’absorber rapidement le haut niveau technologique du chasseur hexagonal. Pour mémoire l’Inde produit en parallèle l’avion de combat russe SU-30MKI dont elle vient de commander 45 exemplaires et étudie avec Sukhoi l’avion furtif T50. Le déplacement officiel du président de la République française en Inde, n’a pas permis de débloquer le dossier.

 

En guise de lot de consolation, François Hollande a pu assister à la signature de la vente, par Eurocopter, de 7 hélicoptères légers biturbine EC135 à la société indienne Aviators India Pvt Ltd. Ces appareils sont dédiés au transport sanitaire. A terme, Eurocopter pourrait fournir une cinquantaine de machines. Même si les négociations qui ont abouti à la conclusion de ce contrat sont largement antérieures à l’affaire Finmeccanica, il est certain qu’Eurocopter suit avec d’autant plus d’intérêt les déboires du groupe aéronautique italien, que l’affaire est partie d’une vente d’hélicoptères Agusta-Westland.

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 12:50

Korvette MAGDEBURG F261 130-02 2008-03-04 03

La corvette allemande Magdeburg, du type K 130.

crédits : BUNDESWEHR

 

21/02/2013 Mer et Marine

 

La marine allemande semble, enfin, entrevoir le bout du tunnel avec ses nouvelles corvettes lance-missiles du type K 130, un programme qui a viré au calvaire, ces dernières années. Le 21 janvier, l’Oldenburg, quatrième et avant dernière unité de la série, a été admise au service, rejoignant les Braunschweig et Magdeburg, livrées en 2008 sans être opérationnelles. L’Erfurt, troisième de cette classe, devrait l’être prochainement. Quant à la dernière corvette, le Ludwigshafen am Rhein, sa mise en service est également prévue cette année. Mais le bâtiment, lors de ses essais, a fait le 19 janvier une escale forcée à Cherbourg, remorqué vers le port français suite à une avarie de propulsion. Après réparation, le Ludwigshafen am Rhein a débuté sa traversée de longue durée, qui le conduit notamment en Amérique latine.

 

Destinées à remplacer les patrouilleurs lance-missiles du type 143B, les K 130, mises sur cale entre 2004 et 2006, accusent 3 à 6 ans de retard. Leur construction, répartie entre trois chantiers (Nordseewerke, Lürssen et Blohm + Voss), a été marquée par d’importantes difficultés techniques. La plus grave fut la défectuosité de leur réducteur, qu’il a fallu remplacer. Les ingénieurs ont également été contraints de solutionner un problème d'échappement de gaz toxiques dans les machines, alors que l’intégration de certains équipements au système de combat fut semble-t-il  très complexe (on parle notamment des missiles antinavire NSM). Au final, les K 130 ne devraient pas être totalement opérationnelles avant 2014. Toutefois, malgré les difficultés techniques et retards rencontrés, à cette date, la marine allemande disposera du précieux appoint de ces très belles corvettes, fortement armées et équipées.

 

Longues de 89 mètres pour une largeur de 13.3 mètres et un déplacement de 1840 tonnes en charge, les K 130 pourront mettre en œuvre quatre missiles NSM, deux systèmes surface-air RAM, une tourelle de 76mm et deux canons de 27mm, ainsi que des drones aériens (plateforme pour un hélicoptère de classe 10 tonnes mais hangar trop petit pour une telle machine), des essais ayant été réalisés avec le Camcopter S-100 de Schiebel. Leur équipement électronique est conséquent, avec un radar de veille TRS-3D, deux conduites de tir optroniques Mirador et des moyens de guerre électronique (détecteur de radar, intercepteur de transmissions, lance-leurres MASS), l’ensemble des senseurs et de l’armement étant gérés par un système de combat CWCS.

 

Armés par un équipage de 65 marins, ces bâtiments peuvent atteindre la vitesse de 26 nœuds et franchir 2500 milles à 15 nœuds. Initialement, la marine allemande comptait faire construire six corvettes supplémentaires mais ce projet a été abandonné pour des questions budgétaires. Il est désormais question d’une nouvelle classe de patrouilleurs hauturiers plus économes, le type MKS 180, dont la commande interviendrait à partir de 2015.

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 12:50

Un-patrouilleur-israelien-aux-cotes-du-porte-aeronefs-C.jpg

Un patrouilleur israélien aux côtés du porte-aéronefs

Cavour. crédits : MARINA MILITARE

 

21/02/2013 Mer et Marine

 

Lors de son déploiement en Méditerranée orientale, le groupe aéronaval italien a pu réaliser des exercices avec la marine israélienne. L’occasion de découvrir la marine de Tsahal, généralement très discrète, et plus particulièrement les patrouilleurs lance-missiles du type Saar IV/V (classe Hetz). Deux de ces bâtiments, les Romat et Herev, ont en effet manœuvré avec le porte-aéronefs Cavour et son groupe aérien, constitué notamment d’avions AV-8B Harrier, ainsi que la frégate Caio Duilio.

 

Faisant partie d’une série de huit unités, ces patrouilleurs, construits à Haïfa, sont entrés en service en 1981 et 2002. Il s’agit d’une version améliorée des Reshef (Saar IV), réalisés à partir des années 70 et dont deux des exemplaires les plus récents, les Romat (1981) et Keshet (1982), ont d’ailleurs été refondus, les six autres - Hetz (1990), Kidon (1993), Tarshish (1995), Yaffo (1998), Heref (2002) et Sufa (2002) - étant construits dès l’origine au standard Saar IV/V.

 

Ces patrouilleurs se distinguent par leurs lignes très particulières et la puissance de leur armement. Longs de 61.7 mètres pour une largeur de 7.6 mètres et un déplacement de 490 tonnes en charge, les Hetz peuvent atteindre la vitesse de 32 nœuds. Ces patrouilleurs, armés par un équipage de 50 hommes, peuvent mettre en œuvre 8 missiles antinavire Harpoon, un système surface-air courte portée Barak (32 missiles), une tourelle de 76mm, deux canons de 25mm, un système multitubes Phalanx, des mitrailleuses et six tubes lance-torpilles. Leurs équipements électroniques comprennent un radar de veille Neptune, deux conduites de tir et 6 lance-leurres, ainsi qu’un détecteur de radars et un brouilleur. Il est également possible d’installer à bord un petit sonar remorqué pour la lutte anti-sous-marine. Ces bâtiments disposent en outre d’embarcations rapides pour les opérations spéciales.

 

Plus anciens, les Romat et Keshet doivent être remplacés par de nouvelles corvettes lance-missiles ou, à défaut, de grands patrouilleurs hauturiers. 

 

Pour mémoire, la flotte israélienne, qui comptait en 2011, selon les informations de Flottes de Combat, quelques 9500 hommes, dont 300 commandos nageurs de combat, ainsi que 5000 réservistes, aligne 55 bâtiments de combat, totalisant un peu plus de 15.000 tonnes. Figurent notamment, dans l’ordre de bataille, trois sous-marins du type Dolphin (auxquels doivent s’ajouter d’ici 2015 trois Dolphin II construits en Allemagne), ainsi que trois corvettes lance-missiles de 85.6 mètres et 1275 tonnes du type Saar V.

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 12:50

fremm-aquitaine-1-c-marine-nationale

 

19-02-2013 Le Nouvel Observateur avec AFP

 

En marge de la visite de François Hollande, Athènes tente ainsi de parer le gel de son programme de commande à la France en raison de la crise financière.

 

La Grèce va louer à la France deux frégates pour renforcer sa marine de guerre dans l'attente d'une reprise de ses achats militaires, a indiqué mardi 19 février une source gouvernementale grecque en marge de la visite à Athènes du président français François Hollande.

 

Cet accord "de principe" doit être finalisé lors de la venue annoncée pour fin février à Athènes par François Hollande du ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a précisé cette source. La location par la Grèce de "quatre avions de coopération navale" est aussi discutée, a-t-elle précisé.

Location "à bas prix"

 

Louées "à bas prix", les deux frégates, de type FREMM, "seront intégrées à la flotte militaire grecque" en Méditerranée du sud-est, a ajouté la même source.

 

Cette location vise à parer au gel par Athènes, pour cause de grave crise financière, du plus gros de ses commandes d'armements, alors que le pays figure parmi les plus gros clients du secteur, auprès des Etats-Unis, de l'Allemagne et de la France, du fait de ses disputes de souveraineté avec la Turquie.

 

"Je ne suis pas venu ici pour vendre du matériel" militaire, a d'ailleurs déclaré le chef de l'Etat français lors d'une conférence de presse à l'issue d'un entretien avec le Premier ministre grec Antonis Samaras.

 

Programme de commande suspendu

 

La Grèce a ainsi suspendu un programme de commande à la France de six frégates FREMM, discuté depuis des années, et combattu par la concurrence allemande. "Les discussions se poursuivent" sur ce projet entre Athènes et Paris, a souligné la même source.

 

Les deux bâtiments français pourront "éventuellement" être affectés à l'encadrement de missions de prospection d'hydrocarbures dans l'espace maritime grec, a-t-elle ajouté, alors que cette hypothèse a été avancée par le quotidien grec Kathimerini.

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 12:45
La “Légion” du général Lecointre

21 Février 2013 par François d'Orcival – V.A.

 

Bruxelles-Bamako. Tout juste 500 Européens mobilisés pour former de quatre à huit bataillons de Maliens… Une chance, la “nation cadre” est française !

 

Il aura fallu que les Européens s’y mettent à vingt-sept, avec deux pays observateurs, le Canada et la Norvège (membres de l’Otan), pour ne recruter que 500 hommes (et femmes) destinés à la mission de formation de quatre à huit bataillons de l’armée malienne… Un soldat européen pour trois maliens.

 

Les premiers à avoir répondu à l’appel sont les Espagnols, les Britanniques et les Belges. Ce sont les autres nations européennes qui ont un passé africain : les Espagnols, qui occupèrent jusqu’en 1975 une partie du Sahara (appelée depuis “occidentale”), intéressés par tout ce qui se passe au Sahel ; les Britanniques, qui veulent retrouver de l’influence sur le continent noir ; les Belges, qui n’ont pas oublié leur Congo.

 

Les contingents envoyés par ces différents États, auxquels se joignent des Italiens, des Suédois et des Allemands, sont bien modestes : quelques dizaines, voire une petite centaine d’officiers et de sous-officiers chacun. Au moins s’agit-il de soldats aguerris, autant que possible francophones, non seulement parce que la “nation cadre” est la France, mais aussi parce que le Mali parle français.

 

À la tête de cet embryon de “Légion étrangère européenne”, un général français, François Lecointre, jeune brigadier de 50 ans, fils de sous-marinier, officier des troupes de marine depuis sa sortie de Saint-Cyr. Il a déjà accompli près de vingt ans de service sur les théâtres extérieurs : depuis le Golfe jusqu’à la Côte d’Ivoire, en passant par la Somalie, Djibouti, le Rwanda, les Balkans. Sa promotion d’élèves officiers portait le nom de Monclar, un nom prédestiné : Monclar avait parcouru de long en large le Maroc et l’Afrique française avant d’aller se battre en Corée avec le bataillon français.

 

Lecointre a commandé le 3e régiment d’infanterie de marine envoyé à Abidjan en 2006. Après deux années passées au cabinet militaire du ministre de la Défense, il a pris le commandement de la 9e brigade légère blindée de marine, héritière de la 9e division d’infanterie coloniale. Cinq régiments, 6 000 hommes, et une devise adaptée : “Semper et ubique”, “Toujours et partout”. Le 11 janvier, au déclenchement de l’opération Serval, il était en alerte.

 

Le général Lecointre a emmené au Mali son état-major de brigade ainsi que les éléments avancés du 2e régiment d’infanterie de marine. Sur place, 250 cadres pour la formation des Maliens et l’équivalent d’une compagnie renforcée pour leur protection. Au programme, la reconstitution d’unités qui, au terme de deux mois et demi de classes, seront mises à l’épreuve sur le terrain. Si elles sont jugées aptes, elles rejoindront les forces françaises et africaines déjà engagées.

 

C’est en décembre dernier, après que les Français eurent sonné l’alarme et compris que l’armée malienne n’existait plus, que les Européens ont défini les contours de cette EUTM — mission européenne d’entraînement de l’armée malienne. Avec quel budget ? Tout juste 12 millions d’euros (hors soldes) ! Voilà ce dont dispose le général Lecointre pour une opération dont la durée est fixée à une année. Le général se demande s’il va pouvoir embarquer avec lui les bombardes et cornemuses de sa fanfare.

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 12:45

PSDC 01

 

21-02-2013 SEDE Sécurité et défense - REF. : 20130218IPR05920

 

L'industrie de la défense européenne doit, au-delà de sa compétitivité, être au service de l'autonomie stratégique de l'UE, ont insisté mercredi les députés de la sous-commission de la sécurité et de la défense, lors d'un débat avec le commissaire Barnier. Le commissaire a, pour sa part, insisté sur l'urgence de donner une nouvelle impulsion à la politique européenne de la défense.

 

 

L'industrie de la défense n'est pas "un secteur industriel comme les autres. Son caractère stratégique lui donne un aspect particulier qui doit être dûment pris en compte," a martelé Arnaud Danjean (PPE, FR), président de la sous-commission SEDE. Il a également rappelé l'importance du Conseil européen de décembre, qui doit se pencher sur les questions de sécurité et de défense, et la responsabilité des Etats membres d'en assurer le succès.

 

"Si la volonté politique (d'avancer l'Europe de la défense) est là, il faut être prêt", a déclaré Michel Barnier, en présentant aux députés les travaux de la task force de la Commission européenne sur l'industrie et les marchés de la défense.

 

Ceux-ci portent notamment sur une plus grande ouverture des marchés de la défense, le soutien aux PME, les capacités duales civilo-militaires, la recherche ainsi que le commerce des équipements de défense et le rôle que l'UE pourrait jouer dans l'accès des exportateurs européens aux marchés tiers, en particulier américain, de défense.

 

Les députés ont insisté lors du débat sur la nécessité d'avoir une base industrielle compétitive en Europe, qui permette à la politique de sécurité et de défense commune de rester opérationnelle, dans le contexte budgétaire difficile actuel. .

 

"En matière d'industries de la sécurité et de la défense, ce que les Européens ne feront pas pour eux-mêmes, personne ne le fera à leur place" a convenu le commissaire.

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 09:50

bae systems

 

21.02.2013 Romandie.com (AWP)

 

Londres (awp/afp) - Le groupe de défense britannique BAE Systems a enregistré un bénéfice net en baisse de 14% à 1,07 milliard de livres (1,2 milliard d'euros) en 2012, dans un contexte d'économies budgétaires continues au Royaume-Uni et aux Etats-Unis.

 

BAE, dont le projet de rapprochement avec l'européen EADS a échoué l'an dernier, table sur une croissance "modeste" de son bénéfice par action sous-jacent en 2013, alors que ses deux principaux marchés devraient rester sous pression, indique-t-il dans un communiqué publié jeudi.

 

"Des opportunités de croissance sont identifiées sur certains segments des marchés américain et britannique mais les perspectives globales dans les deux pays continuent d'être limitées", estime le numéro un européen de la défense.

 

BAE avait aussi prévenu en décembre que ses résultats risquaient de pâtir des retards dans la finalisation d'un important contrat avec l'Arabie saoudite.

 

Le royaume avait signé en 2007 avec le Royaume-Uni pour l'achat de 72 avions de combat Eurofighter Typhoon auprès de BAE Systems. Mais dans le cadre de ce programme nommé "Salam", les deux parties négocient actuellement une augmentation du prix des 48 appareils qui doivent encore être livrés.

 

Ces discussions sont toujours en cours, indique BAE Systems.

 

Le britannique dit aussi voir des opportunités pour l'Eurofighter en Malaisie et aux Emirats Arabes Unis, où il est en concurrence avec le Rafale du français Dassault Aviation.

 

Le groupe rappelle par ailleurs avoir mené entre juin et octobre 2012 des discussions avec EADS, la maison mère d'Airbus, en vue d'une fusion. "Mais aucun accord acceptable pour toutes les parties n'a pu être conclu", rappelle BAE.

 

Ce plan de fusion aurait permis de créer un géant mondial plus puissant que l'américain Boeing mais le projet a échoué devant les réticences de l'Allemagne, en particulier.

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 17:50

BAE 146 source asdnews

 

18 Feb 2013by Craig Hoyle – FG

 

London - The UK Royal Air Force has accepted two freshly modified BAe 146 quick change transports, with the pair to be deployed to Afghanistan following the completion of training activities and electronic warfare system trials.

 

Previously operated by TNT Airways, the passenger/freighter aircraft have been brought up to the new C3 operating standard under an urgent operational requirement deal contracted with BAE Systems during 2012. Now in grey service markings, the aircraft carry the military registrations ZE707 and ZE708.

 

Both 146-200QC aircraft will perform flight trials over the Donna Nook weapons range in Lincolnshire to test the performance of their newly installed self-protection equipment. Work to bring them to the RAF's theatre entry standard for Afghanistan has included the installation of two directional infrared countermeasures turrets beneath the tail and one below the forward fuselage, along with flare dispensers.

 

Acquired to help meet the UK's intra-theatre lift requirements inside Afghanistan, the transports have been purchased and modified under a programme worth an eventual £47 million ($72.7 million), according to figures released by the UK National Audit Office. They will be assigned to the RAF's 32 (The Royal) Sqn, which already operates two BAe 146s in the -100 standard for VIP transport tasks from the service's Northolt base in north London.

 

The Ministry of Defence says the new assets will be deployed to Afghanistan following the completion of training, test and acceptance activities, with its expectation being for their introduction during "spring 2013".

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 13:50

eurenco02op.png

 

19/02 Par Paul Molga – LesEchos.fr

 

Le fabricant de poudres et d'explosifs construit une nouvelle usine à Sorgue. Montant de l'investissement : 97 millions d'euros, dans un département agricole.

 

Les premiers coups de pioche de la nouvelle usine d'Eurenco, qui représentent un investissement de 97 millions d'euros, ont été donnés il y a quelques jours à Sorgue (Vaucluse). Une opération qui intervient après le feu vert de l'Etat à l'augmentation de capital de 70 millions d'euros de sa maison mère, la Société Nationale des Poudres et Explosifs.

 

Le site n'avait pas connu d'investissement depuis l'après-guerre. Sa reconstruction à proximité immédiate permettra de moderniser les installations, et notamment d'automatiser l'unique ligne de fabrication française d'explosif hexogène et de ses dérivés. L'usine en produit entre 400 et 700 tonnes par an, qui servent à stabiliser les mélanges avec d'autres molécules énergétiques entrant dans la fabrication de munitions, obus et petits missiles. Le chantier durera dix-huit mois. A l'issue, les effectifs seront revus à la baisse. « Il n'y aura pas de licenciements mais une trentaine de départs liés au plan amiante et à des fins de CDD sur un effectif actuel de 290 employés », a négocié Daniel Ayral, délégué FO majoritaire.

 

L'opération n'est pas seulement destinée à redonner du souffle à ce site dans un département essentiellement agricole qui souffre déjà de nombreuses pertes industrielles. Elle s'inscrit dans le projet de l'Etat de réorganiser et de consolider la filière des poudres et explosifs. Des discussions ont été engagées il y a déjà plusieurs mois avec le concurrent de la SNPE, Nitrochemie, détenue par l'allemand Rheinmetall et le suisse Ruang pour compléter ses marchés.

 

Doté d'une usine neuve, Eurenco serait alors valorisé à un plus juste niveau. En tant que filiale à 100 % de la Société des poudres et explosifs, il a réalisé avec quelque 900 salariés près de 250 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2012 dans cinq établissements en Europe. Celui de Sorgue est le plus important avec 125 millions d'euros d'activité et 150 prévus cette année.

 

Un acteur global

 

Cette bonne santé intéresse aussi l'acteur public d'armement terrestre français Nexter (1 milliard d'euros de chiffre d'affaires en 2012) dont le président, Philippe Burtin, a récemment affiché les ambitions de son groupe d'être un acteur global du secteur en englobant « une unité de compétences » dans les armements, les équipements, les munitions et les services. Il dispose de la trésorerie pour : l'an passé le groupe a versé 700 millions d'euros de dividendes à l'Etat, son actionnaire unique.

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 13:50

VL MICA surface-to-air defence system. (Photo MBDA)

 

20/02 Par Alain Ruello – LesEchos.fr

 

Les conditions de marché sont devenues plus difficiles dans le Golfe pour MBDA.

 

Débouchés historiques de MBDA, les pays du Golfe sont devenus beaucoup plus durs à pénétrer pour le premier fabricant de missiles européen. Au cours de la dernière décennie, la région a assuré 60 % des exportations de la filiale d'EADS, de BAE Systems et de Finmeccanica. Aujourd'hui, les temps sont devenus « plus difficiles », explique aux « Echos » son PDG, Antoine Bouvier, à l'occasion du Salon Idex d'Abu Dhabi.

 

MBDA bénéficie de la vente par le Royaume-Uni de 72 Eurofighter en Arabie saoudite, même si BAE rencontre quelques difficultés pour finaliser le contrat. Oman a également acheté 12 exemplaires de l'avion de combat, mais l'armement des appareils n'a pas encore été arrêté et restera limité. La visite sur Idex de Jean-Yves Le Drian, le ministre français de la Défense a ensuite permis de relancer les discussions (« Les Echos » du 18 février) sur la vente de Rafale aux Emirats arabes unis (et peut-être au Qatar). Mais il y a encore loin de la coupe aux lèvres… En dehors des grosses affaires d'avions de combat, par nature très longues à finaliser, MBDA essaie de faire son trou dans le domaine de la défense sol-air. La société a enregistré quelques succès en vendant par le passé son VL-Mica à la marine et la garde royale d'Oman, qui vient de réaliser un premier essai remarqué. Les Emirats arabes unis aussi ont acheté le missile, selon nos informations, et un certain nombre de discussions sont en cours, sur lesquelles Antoine Bouvier préfère rester discret.

 

« Pression politique »

 

MBDA doit toutefois faire face au rouleau compresseur américain, qui n'entend pas laisser un seul pays du Golfe échapper à son contrôle dans un secteur aussi stratégique. « La pression politique s'est accentuée », reconnaît Antoine Bouvier. La prochaine visite de Barack Obama à Oman pourrait ainsi enterrer les espoirs de MBDA de réaliser le tiercé gagnant, en vendant son VL Mica à l'armée de l'air locale.

 

Pour ne rien arranger, les pays du Golfe ont fait évoluer leurs priorités d'investissement, en mettant davantage l'accent sur la sécurité intérieure. Nombre d'industriels occidentaux en conviennent : beaucoup d'affaires ont pris du retard depuis 2011. L'exemple de Nexter est symptomatique. Engagé depuis 2010 dans un appel d'offres à Abu Dhabi portant sur 700 blindés d'infanterie, le numéro un français de l'armement terrestre espérait une heureuse nouvelle dimanche, premier jour du Salon… Il va devoir patienter encore un peu.

 

Dans ce contexte, MBDA tourne ses regards vers l'Asie. « La région du Golfe reste très importante, mais la croissance viendra d'Asie, d'Inde principalement », admet son PDG.

 

Affaire de 6 milliards de dollars en vue avec Delhi

 

Delhi n'est pas une terre vierge pour le missilier, qui a frappé il y a un an un très gros coup en vendant pour près de 1 milliard d'euros de missiles air-air Mica. Toutefois, si les négociations portant sur la vente de 126 Rafale débouchent, MBDA est assuré de prendre part à la production de l'armement.

 

L'autre grosse affaire indienne du moment est le développement en coopération avec la France d'un missile sol-air de courte portée. Les négociations sur le sujet ont été achevées lors de la récente visite de François Hollande en Inde. Le projet, baptisé « Maitri » en indien, représente 6 milliards de dollars, selon la presse locale. La part qui reviendrait à MBDA serait substantielle, même si son montant reste inconnu. « Nous discutons depuis 2005. C'est une affaire structurante qui s'étalera sur plus de dix ans. Notre objectif est de signer cette année », se contente d'indiquer Antoine Bouvier.

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 12:50

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f6/Axalp_F-5E_Patrouille_Suisse.jpg/800px-Axalp_F-5E_Patrouille_Suisse.jpg

La patrouille aérienne suisse porte fièrement les

couleurs de la confédération helvétique dans le ciel

européen

 

19 février 2013 par Philippe Chetail

 

Alors que la Patrouille Suisse est menacée de disparaître dès 2016, au moment de l’arrivée dans les escadrilles des Forces Aériennes du SAAB Gripen, Breitling annonce sa décision de sauver la formation en mettant ses L39 Albatros à disposition du pays.

 

Alors que le Conseil fédéral a décidé d’acquérir 22 avions de type Saab Gripen pour remplacer les Tiger F-5 qui ne répondent plus aux actuelles exigences opérationnelles, Ueli Maurer, chef du Département de la Défense a fait connaître son intention de dissoudre la célèbre Patrouille Suisse à l’horizon 2016. Cette annonce a immédiatement « provoqué une réaction aussi outrée que patriotique de la part du propriétaire de la marque horlogère Breitling », déclare un communiqué de la marque qui, depuis de nombreuses années, apporte son soutien au spectacle aérien. « Quand nous avons appris que la Patrouille Suisse pouvait être clouée au sol, nous avons réagi au quart de tour ; on ne peut pas renoncer en restant immobile devant la disparition de cette vitrine des valeurs Helvétiques  » a annoncé Stéfano Albinati, directeur du département aéronautique de Breitling.

 

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/0/08/Patrouillesuisse2958.jpg

La patrouille aérienne suisse est composée de sept F-5E Tiger

 

En pratique, l’intention clairement définie des responsables de la marque horlogère est de proposer la mise à disposition de la nation Suisse des L39 Albatros qui équipent son actuel « Jet Team » « En cas d’accord, nous les repeindrons en rouge et blanc et nous les ferons piloter par des militaires suisses  », renchérit Stefano Albinati. « Nous trouverons une autre solution pour nos activités de marketing…  »

 

Gripen EF Photo Stefan Kalm - saabgroup.com SKA0070 355x236

L’éventualité de la dissolution de la patrouille acrobatique suisse en 2016 correspond avec le remplacement des F-5E Tiger par les Saab Gripen, au sein des forces aériennes suisses

 

Le Département de la Défense, de la Protection de la Population et des Sports confirme qu’il a été informé de l’offre par le communiqué de Breitling. Il précise cependant qu’aucune décision définitive n’a encore été prise concernant l’avenir de la Patrouille Nationale et que, lors de la mise à la retraite des F5 Tiger, l’activité de la patrouille pourrait se poursuivre occasionnellement avec les nouveaux chasseurs Grippen ou des F 18 déjà en service dans les Forces aériennes, sans toutefois que les avions arborent la livrée caractéristique rouge et blanche de leurs prédécesseurs. Le moins que l’on puisse dire c’est que cette annonce crée des remous au sein de la classe politique Suisse qui manifeste son incompréhension et qui, toutes tendances confondues, est plutôt favorable au maintien de la formation.

 

Pression sur le département de défense ou coup de pub bien orchestré, cette réaction étonnante de l’horloger est d’abord, avoue t’il, de provoquer une prise de conscience « Nous lançons un signal d’alerte dans l’espoir qu’Ueli Maurer revienne sur sa décision. Mais s’il ne le fait pas, nous sommes prêts à tenir notre engagement.  »

 

Si tel est le cas, quid de l’avenir du Breitling Jet Team mis en œuvre par la société française Apache Aviation (actuellement en tournée en Asie du Sud Est) ? Gageons que cet épisode ne soit, comme nous l’espérons, qu’une formidable manoeuvre marketing, qui semble t’il, a atteint son but, celui d’émouvoir la communauté aéronautique internationale et le monde du spectacle aérien.

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 11:09

http://www.airbusmilitary.com/Portals/0/ImagesPress/02_20_2013.jpg

 

20/2/2013 Airbus Military

 

As the countdown to first customer delivery progresses, the Airbus Military A400M new generation airlifter has successfully passed a renewed series of cold weather tests in a production-representative configuration. During a week-long deployment to Iqaluit, Canada, the flight test-team demonstrated the capability of equipment such as the cargo system and production-standard engines which were not available during earlier tests in Sweden. Tests conducted over 5 days on Grizzly 5 / msn6 included engine runs after a 24-hour cold-soak to -32°C, use of all the cargo bay equipment, taxying, and a development flight. A high-resolution image of the aircraft at Iqaluit can be downloaded from http://bit.ly/139bJLf.

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 09:19

Gripen EF Photo Stefan Kalm - saabgroup.com SKA0070 355x236

 

20 February 2013 airforce-technology.com

 

The Swedish Defence Materiel Administration (FMV) has signed an agreement with Saab for development work on the JAS 39 Gripen E multirole combat aircraft.

 

With a combined value of SEK47.2bn ($7.4bn), the agreement covers production and delivery of Gripen E aircraft to the Swedish and Swiss air forces.

 

The company also received a SEK2.5bn ($0.39bn) contract to start development and modification of Gripen E from Sweden during a 2013-2014 timeframe, and is awaiting receipt of a SEK10.6bn ($1.6bn) follow-on development contract from the country in the first quarter 2013.

 

Saab president and CEO Hakan Buskhe said the agreement creates more opportunities for Gripen to export in the future.

 

"Our existing customers that operate the Gripen C/D version will also be able to take advantage of some of the development in their future upgrades," Buskhe added.

 

Saab business area Aeronautics head Lennart Sindahl said: "With this agreement we continue to develop the successful Gripen concept with our own innovative and unique design as well as our own software combined with sub-systems from different suppliers around the world."

 

Other orders under the agreement include modification of 60 Gripen C to Gripen E aircraft, which is expected to be awarded in the fourth quarter of 2013, along with the supply of mission-specific equipment, support and maintenance for Gripen E fighters in the fourth quarter of 2014.

 

Initial deliveries of Gripen E aircraft to the Swedish Air Force are scheduled to start in 2018 and run through to 2026.

 

As part of the agreement, the company will also supply 22 new Gripen E/F aircraft, along with related equipment to the Swiss Air Force, if the procurement is approved by the country's parliament.

 

A next-generation version of the JAS 39 Gripen aircraft, the Gripen E features more powerful engines, new electronic radar, upgraded presentation systems in the cockpit and modern avionics to successfully conduct longer missions.

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 17:30

Camcopter-S-100-at-IDEX.jpg

 

Feb 19, 2013 ASDNews Source : Schiebel

 

The 2013 IDEX International Defence Exhibition features an active participation of Schiebel, as the company underlines its continued strong market position with the proven CAMCOPTER® S-100 (UAE Armed Forces designation Al Saber) Unmanned Air System (UAS). Schiebel’s presence during the biennial trade show includes daily flight demonstrations, integrated with other air traffic, directly in the city of Abu Dhabi and carried out by Schiebel’s local cooperation partner ADASI (Abu Dhabi Automated Systems Investments), a Tawazun subsidiary.

 

The CAMCOPTER® S-100 (UAE Armed Forces designation Al Saber) already demonstrated its proven and reliable flight characteristics during IDEX 2011 and again convinces the audience of its unmatched capabilities at the daily dynamic displays of this year’s IDEX Defence Exhibition from 17 to 21 February 2013.

 

“ADASI has been supporting deployment of the Al-Saber system on a variety of missions benefitting from the versatility of the S-100” declared Ali Al Yafei, CEO of ADASI. ”The experience acquired by ADASI with the S-100 enables us to offer S-100 services in the region, and permit customers to ramp up quickly in their mission, leveraging on the cumulated experience of ADASI’s team.”

 

"The Middle East and North African (MENA) UAS market is very strong, we expect the demand for UAVs to continue to increase," said Hans Georg Schiebel, Chairman of the Schiebel Group. "Schiebel's commitment to the region is reflected by the continued growth of our partnership with ADASI - providing superior value and the most complete line of high-technology unmanned aviation products and services."

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 16:50

SIMBAD-RC.jpg

SIMBAD-RC naval air defence system

 

19 February 2013 naval-technology.com

 

MBDA has been awarded a contract to develop and deliver its SIMBAD-RC naval air defence system to an undisclosed foreign customer.

 

Under the first export contract, MBDA will deliver remotely-controlled SIMBAD-RC systems for installation onboard the customer's fleet of patrol vessels. Each vessel will be equipped with two systems.

 

A short-range anti-air self defence system, SIMBAD-RC has been designed to provide efficient strike capabilities against a wide range of threats such as anti-ship missiles, combat aircraft and unmanned air vehicles.

 

Equipped with one or two Mistral 2 missiles, the SIMBAD-RC gyro-stabilised automatic launcher turret features a thermal camera, an optional day camera for large field of view and provides self-defence capability to patrol vessels and support craft, or complements the air defence capabilities of other ship types.

 

MBDA CEO Antoine Bouvier said: "Building upon a market standard like the Mistral missile, of which 17,000 units have already been produced, we have developed a simple, highly automated system that largely extends the operational use of the missiles that are already in-service."

 

Developed to meet the growing needs of navies that operate in either littoral or blue waters, the single operator twin launcher system can be integrated with the ship's combat system, radar and electro-optical sensors.

 

The SIMBAD-RC is an upgraded version of the SIMBAD system currently in service with the French Navy, and also features a compact terminal (SMU-RC) to manage up to two turrets.

 

The first prototypes are currently undergoing production and initial deliveries are scheduled to begin in 2015.

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 16:50

IAF AW101 source Livefist

 

Feb. 19, 2013 – Defense News (AFP)

 

NEW DELHI — India’s Prime Minister Manmohan Singh said Tuesday he had conveyed his “serious concern” to British counterpart David Cameron over allegations of corruption in a 2010 deal for Anglo-Italian helicopters.

 

“I also conveyed to the prime minister our very serious concerns regarding allegations that unethical means were used in securing the 2010 contract for AgustaWestland,” Singh told a joint press conference. “Prime Minister David Cameron has assured me of the cooperation of his government in the investigation,” he added.

 

AgustaWestland, which manufactures helicopters in Britain, is owned by Italian aerospace giant Finmeccanica, whose then-chief executive was arrested last week over allegations the company paid bribes to win the Indian deal in 2010.

 

“We will respond to any request for information. I am glad that the Italian authorities are looking into this issue in detail,” Cameron told the press conference on the second day of his three-day trade-focused trip to India. “In Britain we have introduced anti-bribery legislation that is probably the strongest anywhere in the world. We will root out any problems of bribery and corruption wherever and whenever they appear,” he said.

 

Press reports based on leaks from Italian prosecutors suggest one of the alleged middlemen used to secure the deal for AgustaWestland is based in London.

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 16:50

Black Hornet

 

Feb 19, 2013 FG

 

More details have been revealed about the British Army's new Black Hornet nano-unmanned air system, with users declaring the 4.7in-long (120mm) aircraft an "unbelievable" asset.

 

Around 60 of the systems - 200 of which have been procured from Norwegian manufacturer Prox Dynamics, through UK intermediary Marlborough Communications for £20 million ($31 million) - are already in use by British troops in Afghanistan. The remainder, minus an unspecified number to be held back for training, will arrive in theatre during the forthcoming Herrick 18 deployment.

 

Each Black Hornet system consists of two aircraft, with a single controller for the UAS and its payload and a base station. A tablet-sized monitor is also part of the package, which totals approximately 2kg (4.4lb).

 

The UAS carries three cameras - one looking straight ahead, one straight down and one at 45˚ forward and down. While the aircraft is flown manually to its target, it cannot be launched until it has established the GPS co-ordinates of itself and its base station. When the end of the 20min maximum flight time nears the system alerts the operator, who then has the option to command the aircraft to automatically return.

 

Black Hornet's ability to acquire 10-figure grid references is sufficiently detailed to be used to direct air or artillery strikes, while data and imagery acquired in flight can be stored and uploaded to central databases.

 

The system is already being used widely during general patrols in Afghanistan, with its principal advantage over other British Army UAS in theatre being its speed of operation.

 

"You don't have to ask permission from higher [up the command chain] to fly something like this," Sgt Carl Boyd of 1st Battalion The Royal Regiment of Fusiliers, said during a media visit to pre-deployment training on Salisbury Plain, Wiltshire, on 13 February.

 

"If I want to get eyes-on in a nearby compound, instead of having to ask for [surveillance] assets, I just get the Hornet out. From getting the GPS log I can get that up and running in about a minute," he said.

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