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21 septembre 2016 3 21 /09 /septembre /2016 10:55
Henri IV à la bataille d'Arques, 21 septembre 1589

Henri IV à la bataille d'Arques, 21 septembre 1589


21.09.2016 source SHD
 

21 septembre 1589 : bataille d'Arques (Normandie). Henri IV, roi de France, repousse les assauts des ligueurs catholiques. Il ne doit cependant sa victoire qu’au débarquement de renforts anglais et écossais dépêchés par Elisabeth I pour prêter main forte au nouveau roi de France (23/09).

 

21 septembre 1711 : Duguay Trouin prend Rio de Janeiro (Brésil). A la tête d’une escadre sept vaisseaux (financée par un groupe d'armateurs malouins et par le comte de Toulouse), le corsaire Duguay-Trouin force la rade de Rio de Janeiro, fermée par un goulet plus étroit que celui de Brest et protégée par sept vaisseaux portugais. A l’issue d’un débarquement appuyé par ses navires, ses 3 200 hommes de troupe s’emparent des sept forts défendant la rade, pourtant tenus par 12 000 soldats. La ville de Rio est prise le 21 septembre puis rançonnée ; 5 navires de guerre et 60 marchands sont pris ou détruits. Cet exploit parmi les plus extraordinaires de la marine à voiles marque la fin de la vie embarquée d’un des plus incroyables marins français. Il servira encore la marine avec le grade de Lieutenant général de la Marine, commandant successivement la Marine à Saint-Malo, la Marine à Brest, puis l'escadre pour le Levant et enfin le port de Toulon.

 

21 septembre 1792 : abolition de la monarchie française par la Convention

 

21 septembre 1793 : bataille de Montaigu (guerre de Vendée). Les révoltés vendéens infligent une sévère défaite aux Républicains.

 

21 septembre 1860 : bataille de Palikao (Chine). La France et la Grande Bretagne voulant s'ouvrir le marché chinois, ont envoyé un corps expéditionnaire de 5000 hommes commandés par les généraux Grant et Cousin-Montauban qui marche vers Pékin. Le fort de Ta Kou à l’embouchure du Pei Ho est tombé le 21/08 dernier.  A Palikao, les Chinois lancent plus de 40 000 soldats contre les franco-britanniques qui ne rompent pas les lignes et obligent même l'assaillant à se replier. La combattivité et le nombre des Chinois ne peuvent pas grand-chose contre la discipline et l'armement moderne des Européens. C’est le 2ème bataillon de chasseurs à pied qui prend le pont de Palikao. Ces derniers ne déplorent que 5 tués alors que les Chinois perdent 1200 hommes. Le général Cousin-Montauban est fait comte de Palikao par Napoléon III. L'Empereur Xiangfan s'enfuit lorsque les européens entrent dans Pékin, le 12 octobre. Le palais d’été est malheureusement mis à sac, sur ordre de Lord Elgin. La destruction du palais d'Eté reste, dans l'optique chinoise, la preuve de la barbarie occidentale; il faut comprendre que sa destruction et son pillage ne pourraient se comparer qu'avec celles du Louvre et de Versailles combinées.

 

21 septembre 1918 : prise de Naplouse (actuelle Palestine). Durant la bataille de Megiddo (16 – 21 septembre), le détachement français de Palestine et Syrie (DFPS) commandé par le colonel de Pieppape et constitué principalement d’unités des 4ème Chasseurs, 1er Spahis, d’éléments de la Légion d’Orient et de tirailleurs algériens fait une brèche de 25 km de large dans le front et sur 8 km de profondeur prenant Naplouse et 2400 prisonniers ottomans. Cette victoire s’inscrit dans la vaste opération que le général britannique Allenby a entrepris contre le général allemand Liman von Sanders (commandant 3 armées turques) pour repousser les Ottomans vers le Nord-Est et finalement prendre Damas (1er octobre). A noter aussi la belle coordination des actions de sabotage du colonel T.E Lawrence sur les lignes ferroviaires (qui auraient pu permettre un repli général) et les bombardements des flottes britannique et française (CA Varney) sur les troupes ottomanes du littoral (et débouchant sur la conquête de Beyrouth).

 

21 septembre 1931 : les Japonais occupent la Mandchourie.

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31 décembre 2015 4 31 /12 /décembre /2015 17:35
Porte-avions Liaoning

Porte-avions Liaoning

 

31/12/2015 Par latribune.fr

 

Le pays disposait jusqu'à maintenant d'un porte-avions de fabrication soviétique. Ce premier porte-avion chinois préfigure les ambitions de Pékin dans le Pacifique où il compte se mesurer à la puissance navale américaine.

 

La Chine est en train de construire son premier porte-avions, a annoncé jeudi le ministère de la Défense, au moment où Pékin développe les capacités de sa marine sur fond de contentieux maritimes avec nombre de ses voisins.

 

Un programme de plusieurs centaines milliards d'euros

Ce bâtiment, qui est de conception entièrement chinoise, est en chantier dans la ville de Dalian, dans le nord-est du pays, a précisé Yang Yujun, un porte-parole du ministère de la Défense, lors d'une conférence de presse régulière. Cette confirmation intervient après des mois de spéculations sur l'existence de ce chantier.

La Chine, qui veut parvenir à terme à rivaliser avec la puissante US Navy dans le Pacifique, travaille à l'édification de groupes aéronavals autour de plusieurs porte-avions, un programme phare de centaines de milliards d'euros.

 

Deux ans après le porte-avions "soviétique"

Le premier porte-avions chinois, le Liaoning, est un bâtiment construit il y a plus d'un quart de siècle en Union soviétique, inachevé du fait de l'effondrement de l'URSS et finalement racheté par la Chine. Admis au service actif en septembre 2012 après des années de travaux, il est devenu le navire-amiral incarnant les ambitions maritimes de l'armée chinoise.

M. Yang a précisé que le nouveau bâtiment serait à propulsion conventionnelle, et non nucléaire et qu'il transporterait notamment les Shenyang J-15, un avion de combat de la marine chinoise. De nombreux contentieux opposent Pékin à ses voisins régionaux, et notamment les Philippines et le Japon sur la souveraineté de la mer de Chine méridionale et de la mer de Chine orientale.

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19 décembre 2015 6 19 /12 /décembre /2015 17:35
La marine chinoise se dote d'un destroyer ultra-moderne


15.12.2015 sputniknews.com
 

Un nouveau navire de type 052D, le destroyer le plus avancé jamais construit en Chine, fait dorénavant partie de la marine chinoise et est destiné à renforcer ses capacités.

 

Le destroyer Hefei est entré dans la marine chinoise samedi dernier, lors d'une cérémonie dans la base navale de Sanya, dans la province de Hainan.

"Nos marins et officiers ont été familiarisés avec l'équipement et les armements avancés à bord du destroyer", a affirmé le capitaine du Hefei, le commandant Chao Yang Chuan dans un entretien au journal China Daily. "Dans un futur proche, nous allons nous focaliser sur les exercices militaires pour le mettre en plein service sur un court laps de temps".

Selon le commandant, l'une des capacités les plus importantes du destroyer concerne la détection des cibles et la défense antiaérienne.

Le navire héberge un vaste ensemble d'armements, notamment un canon automatique d'un calibre de 130 millimètres, un système d'armes à courte portée, des canons antimissiles, ainsi que des missiles de croisière surface-sol.

Le premier navire de type 052D Kunming a augmenté les rangs de la marine chinoise en mars 2014, le deuxième, Changsha, est entré en service en août 2015. En parallèle de ces deux navires, le destroyer Hefei est censé augmenter l'efficacité opérationnelle de la marine chinoise.

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19 décembre 2015 6 19 /12 /décembre /2015 13:35
photo USAF

photo USAF

 

19 décembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Pékin - Le ministère chinois de la Défense a dénoncé samedi une grave provocation militaire après le survol la semaine dernière par des bombardiers américains B-52 d'eaux de mer de Chine méridionale revendiquées par Pékin et au coeur de vifs différends avec ses voisins.

 

Le 10 décembre au matin, deux bombardiers américains B-52 sont entrés sans autorisation dans l'espace aérien des îles chinoises Nansha et des eaux territoriales adjacentes, a indiqué le ministère dans une déclaration sur son site, se référant au nom en mandarin des îles Spratleys.

 

Lors d'une mission de deux B-52 la semaine dernière, l'un des deux appareils s'était approché à moins de deux milles marins, plus près que prévu, d'un îlot artificiel construit par la Chine sur un récif des Spratleys, avait rapporté vendredi le Wall Street Journal, citant des responsables du Pentagone.

 

L'avion avait dévié de sa route, sans en avoir l'intention, peut-être en raison de mauvaises conditions météorologiques, avait précisé le quotidien.

 

Ce comportement (représente) une grave provocation militaire, qui complique la situation générale en mer de Chine méridionale et qui contribue même à la militarisation de la région, a pour sa part accusé le ministère chinois de la Défense.

 

Pékin revendique des droits de souveraineté sur la quasi-totalité de la mer de Chine méridionale et mène d'énormes opérations de remblaiement d'îlots, transformant des récifs coralliens en ports, pistes d'atterrissage et infrastructures diverses.

 

Le Vietnam, les Philippines, la Malaisie et Taïwan ont des revendications --qui se chevauchent parfois-- sur une partie de la zone, au coeur de vifs différends territoriaux avec la Chine.

 

De son côté, Washington considère les constructions et prétentions chinoises comme une menace à la liberté de navigation, sur l'une des routes maritimes les plus stratégiques du globe.

 

Cela fait déjà quelque temps que les Etats-Unis envoient de façon incessante des avions et navire de guerre dans l'espace aérien et les eaux de la mer de Chine du sud pour des démonstrations de force et pour attiser les tensions, a insisté le ministère chinois.

 

Nous demandons aux Etats-Unis d'adopter immédiamement des mesures pour éviter que se répètent ces comportements dangereux, afin de ne pas compromettre les relations entre nos deux pays. L'armée chinoise prendra toutes les mesures nécessaires pour défendre résolument la souveraineté et la sécurité du pays, ajoutait-il.

 

De fait, les Etats-Unis ont provoqué la colère de Pékin à plusieurs reprises ces derniers mois en envoyant un destroyer puis un bombardier B-52 à proximité d'îlots artificiels des Spratleys contrôlés par la Chine.

 

De leur côté, des forces navales chinoises --comprenant des navires de guerre, sous-marins, systèmes de détection et de commandement aéroporté ainsi que des avions de chasse-- ont été déployées cette semaine en mer de Chine du sud pour des exercices de combat.

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17 décembre 2015 4 17 /12 /décembre /2015 08:35
USS Oliver Hazard Perry (FFG-7) - photo US Navy

USS Oliver Hazard Perry (FFG-7) - photo US Navy

 

16 décembre 2015 45eNord.ca (AFP)

 

Les Etats-Unis veulent vendre à Taïwan pour 1,8 milliard de dollars d’armes, dont deux frégates, une décision qui ne remet pas en cause quatre décennies de la politique américaine d' »une seule Chine » mais qui a déjà provoqué la colère de Pékin.

 

Cet important contrat pour de multiples équipements de défense intervient dans un contexte de rapprochement entre la Chine communiste et l’île de Taïwan nationaliste séparées depuis 1949, mais aussi des inquiétudes de Washington qui accuse Pékin de « militariser » une partie de la mer de Chine.

 

Conformément à la procédure juridique habituelle américaine, « l’administration a notifié au Congrès aujourd’hui la vente d’un ensemble d’armes défensives à Taïwan pour 1,83 milliard de dollars », a annoncé à quelques journalistes au département d’Etat le porte-parole du bureau des affaires politico-militaires du ministère des Affaires étrangères, David McKeeby.

 

Cette requête formelle du gouvernement démocrate, en vue d’un feu vert sous 30 jours du Congrès républicain, comprend entre autres deux « frégates de type Perry, des missiles antichars, des véhicules amphibie » ainsi que divers systèmes électroniques de guidage et des « missiles sol-air Stinger », a détaillé le responsable américain.

 

Ces ventes d’armes à Taïwan, que les Etats-Unis, à l’instar de presque toute la communauté internationale, ne reconnaissent pas officiellement, sont « motivées par la Loi sur les Relations avec Taïwan (de 1979, Ndlr) et fondées sur une évaluation des besoins de Taïwan en matière de défense », a argumenté M. McKeeby.

 

Pour riposter par avance aux critiques, le département d’Etat et le Pentagone ont assuré que « la politique de longue date de ventes d’armes à Taïwan » a été le fait de « six administrations américaines différentes » depuis que les Etats-Unis se sont spectaculairement rapprochés de la Chine communiste au début des années 1970, sous la présidence du républicain Richard Nixon, avant d’établir des relations diplomatiques en 1979.

 

‘Une seule Chine’

 

La diplomatie américaine a d’ailleurs réaffirmé mercredi qu’il n’y avait « pas de changement à la politique de longue date d’une seule Chine », c’est-à-dire vis-à-vis de Pékin.

 

Pour autant cette semaine, alors que l’information sur les frégates avait filtré, la Chine avait manifesté sa « ferme opposition » et prévenu Taïwan du risque de mise en péril des relations entre les deux pays à l’histoire tumultueuse et séparés par le détroit de Taïwan. « La Chine exhorte avec force la partie américaine à prendre sérieusement conscience de l’extrême sensibilité et des graves dommages des ventes d’armes à Taïwan », avait martelé le porte-parole de la diplomatie chinoise, pressant l’Amérique d’y « mettre fin ».

 

Mais des deux côtés de l’échiquier politique aux Etats-Unis, on fait visiblement fi de la colère du rival chinois, deuxième puissance mondiale.

 

Le sénateur républicain et président de la commission des Forces armées, John McCain, a exprimé son « fort soutien » à une « nouvelle vague de ventes d’armes à Taïwan ». C’est « une décision qui correspond (…) à notre intérêt national à aider le gouvernement démocratique à Taipei pour qu’il préserve la stabilité de part et d’autre du détroit de Taïwan », a insisté le candidat républicain à la présidentielle de 2008.

 

Le représentant démocrate Eliot Engel a même regretté que la « dernière » vente d’armes à Taipei remonte à quatre ans: « Il ne faut pas que notre relation avec la République populaire de Chine (RPC) se fasse au détriment de notre amitié avec le peuple de Taïwan ou de notre implication pour la défense de Taïwan », a-t-il plaidé.

 

Pékin considère depuis 1949 Taïwan comme lui appartenant et n’a pas renoncé à la réunification, par la force si nécessaire. Les relations se sont toutefois apaisées avec l’élection en 2008 du président taïwanais Ma Ying-jeou. Ce dernier et le président chinois Xi Jinping ont tenu un sommet historique le 7 novembre. Il s’agissait de la première rencontre entre dirigeants des deux régimes depuis la proclamation par Mao Tsé-toung de la RPC en 1949, quand les nationalistes du Kuomintang s’étaient réfugiés à Taïwan.

 

Les Etats-Unis s’alarment aussi depuis des mois des ambitions territoriales maritimes de Pékin en mer de Chine méridionale et orientale. Elles alimentent des contentieux avec les voisins de la Chine en Asie orientale. Pékin a entrepris d’énormes opérations de remblaiement d’îlots, transformant des récifs coralliens en ports, pistes d’atterrissage et infrastructures diverses. Le secrétaire d’Etat John Kerry avait fustigé en août une « militarisation » entreprise par la Chine.

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7 décembre 2015 1 07 /12 /décembre /2015 20:35
H-6K. Photo via Chinese Internet

H-6K. Photo via Chinese Internet

 

December 7, 2015: Strategy Page

 

In late November Chinese media made much of a training exercise over the South China Sea featuring their H-6K bomber. This is the latest version of China’s largest and most capable long range bomber. In the November exercise eight H-6Ks were seen more than a thousand kilometers out to sea and accompanied by electronic warfare aircraft. Four of the H-6Ks flew close to Okinawa and were photographed by Japanese aircraft. This was apparently an effort to demonstrate the Chinese capability to hit targets far from the Chinese mainland, especially American bases in Okinawa and Guam. This was but the latest effort to publicize the H-6K. In March China media heavily covered senior officials visiting airbases where the H-6K was shown off with media allowed to take close up photos of the aircraft, including the cockpit. Apparently that publicity did not do the trick so the November flights were used for emphasis.

 

The H-6K is the latest version of the H-6 and while much is known about it, there had been no pictures of the cockpit, at least none that the public could see, before the March media event. Apparently Western intel agencies had not had a look inside either as there was some buzz in the intel community when the propaganda pictures of the visit showed the inside of the cockpit and the modern (“glass”) cockpit that consisted largely of five flat screen touch displays rather than the older array of many switches and small indicators. These pictures also showed that the H-6K had a new side entry door that could use a stair or a ladder.

 

Since 2011 China has received over twenty of the H-6K. This model only entered service in 2011, after several years of development. The H-6K uses more efficient Russian engines (D30KP2) that give it a range of about 3,500 kilometers. Electronics are state-of-the-art and include a more powerful radar. The fuselage of the bomber has been reinforced with lighter, stronger, composite materials giving it longer range and greater carrying capacity. The rear facing 23mm autocannon has been replaced with electronic warfare equipment. The H-6K can carry six of the two-ton CJ-10A land-attack cruise missiles under its wings and one more in the bomb bay. These appear to have a range of up to 2,000 kilometers, as they are similar to the older Russian Kh-55 (which could be armed with a nuclear warhead). The CJ-10A is sometimes described as a high-speed (2,500 kilometers an hour), solid fuel missile. But that type of missile is a short range (about 300 kilometers) anti-ship system. The CJ-10A appears to be more of a copy of the American Tomahawk (using a much slower jet engine). The CJ-10A can carry a nuclear warhead but usually does not. Armed with these missiles the H6K can attack American bases on Okinawa and Guam with these cruise missiles. The H-6K can also carry up to eight anti-ship missiles, making it a threat to American carriers.

 

There are about a hundred H-6s in service (out of about 200 built). These are Chinese copies of the Russian Tu-16s (about 1,500 built). Although the Tu-16 design is over fifty years old, China has continued to rely on their H-6s as one of their principal bombers. The H-6 is a 78 ton aircraft with a crew of four and two engines. Most models can carry nine tons of bombs and missiles, with the new H-6K able to haul about 12 tons. Most H-6s carry the CJ-10A and C201 missiles, as well as bombs. It does not appear that China is building a lot of H-6Ks, perhaps no more than thirty. The Russians kept their Tu-16s in service until the early 1990s, but China kept improving their H-6 copy. Thus the H-6K is a capable heavy bomber that will apparently be around for another decade or two

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16 novembre 2015 1 16 /11 /novembre /2015 17:30
Chinese S-300 (HongQi 9 [HQ-9]) launcher during China's 60th anniversary parade, 2009. photo Jian Kang

Chinese S-300 (HongQi 9 [HQ-9]) launcher during China's 60th anniversary parade, 2009. photo Jian Kang


15.11.2015 45eNord.ca (AFP)
 

La Turquie a annulé un mégacontrat d’un montant de 3 milliards d’euros (4,29 milliards $ CAD) remporté il y a deux ans par la Chine pour équiper son armée de missiles sol-air, a indiqué dimanche à l’AFP une source proche du gouvernement turc.

 

« Cette décision a été récemment prise par le gouvernement », a déclaré cette source. Ce contrat attribué en 2013, à la surprise générale, à la firme China Precision Machinery Export-Import Corporation (CPMIEC), avait suscité l’ire des États-Unis.

L’information survient alors que la Turquie accueille dimanche et lundi à Antalya (sud) les dirigeants des pays du G-20, les plus riches de la planète, dont le président chinois Xi Jinping.

La Turquie a décidé d’annuler le projet, à la traîne notamment en raison de la réticence de la partie chinoise de partager une grande partie de sa technologie durant plusieurs mois de longues discussions, a rapporté la chaîne d’information CNN-Türk.

Pour l’heure, « Ankara projette de produire ses propres missiles avec le soutien d’un système d’armement mondialement reconnu », a affirmé la chaîne.

Ankara ne devra donc pas lancer un nouvel appel d’offres, un processus qui risque encore de prendre de longs mois, a-t-on précisé de source informée.

En 2013, sa décision de retenir une entreprise d’État chinoise avait provoqué la levée de boucliers des alliés de la Turquie au sein de l’Otan. Tous ont regretté l’absence de compatibilité du matériel chinois avec leurs propres systèmes et rappelé que CPMIEC faisait l’objet de sanctions de Washington pour avoir livré des armes à la Syrie et à l’Iran sous embargo.

Sous pression, Ankara a donc été contraint de revoir à plusieurs reprises sa position en repêchant les deux autres candidats de l’appel d’offres (les américains Raytheon et Lockheed Martin, et le consortium franco-italien Eurosam), priés de reformuler leurs propositions.

Au début de l’année 2014, la Turquie située dans une position géostratégique particulièrement instable et dangereuse, avait fait finalement savoir que son choix pour les missiles chinois n’est pas définitif et étendu à deux reprises le délai de soumission pour favoriser, semble-t-il, de nouvelles offres.

La Turquie envisage à la fois de renforcer sa protection contre des attaques aériennes ou de missiles, de diversifier ses fournitures d’équipements et de trouver des partenaires en vue de la coproduction d’armements.

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8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 07:20
Le ministre américain de la Défense met en garde contre un conflit en mer de Chine méridionale

Sec of Defense Ashton Carter photo R. Reagan Foundation

 

08 novembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Simi Valley (Etats-Unis) - Les Etats-Unis sont profondément inquiets d'un risque de conflit en mer de Chine méridionale en raison des revendications territoriales de plusieurs Etats, à commencer par la Chine, a déclaré samedi le secrétaire américain à la Défense, Ashton Carter.

 

Le ministre a également affirmé que Washington adaptait sa posture opérationnelle pour contrer toute agression russe, au cours d'un forum sur les questions de défense au sein de la bibliothèque présidentielle Ronald Reagan située à Simi Valley, en Californie.

 

S'exprimant au terme d'une tournée de huit jours, qui l'a vu rencontrer plusieurs homologues de la région Asie-Pacifique, M. Carter a déclaré que les profondes inquiétudes des Etats-Unis concernant le rythme et la portée des revendications territoriales en mer de Chine méridionale étaient largement partagées dans la région.

 

Ce haut responsable américain s'est dit préoccupé par les perspectives de militarisation accrue, ainsi que par le potentiel qu'ont ces activités d'accroître le risque de mauvais calculs ou de conflit entre les Etats ayant des revendications.

 

La Chine proclame sa souveraineté sur la quasi-totalité de la mer de Chine méridionale, dont certaines zones sont également revendiquées par le Vietnam, la Malaisie, les Philippines et le sultanat de Brunei.

 

Les Etats-Unis ont provoqué le mécontentement de la Chine en faisant croiser le 28 octobre un destroyer américain près d'îlots artificiels mis en place par Pékin dans l'archipel des Spratleys.

 

Le forum Reagan sur la défense nationale réunit chaque année des dizaines de personnalités de la défense des Etats-Unis, y compris des responsables politiques des deux camps, afin d'évoquer la politique américaine dans ce domaine.

 

M. Carter a utilisé cette plateforme pour s'en prendre aux manoeuvres militaires de la Russie.

 

En mer, dans les airs, dans l'espace et dans le cyberespace, les acteurs russes se sont engagés dans des activités provocatrices, a-t-il estimé.

 

Et, plus perturbant, les rodomontades russes autour du nucléaire posent question, selon lui.

 

Nous mettons à jour et perfectionnons nos plans de dissuasion et de défense compte tenu du changement de comportement de la Russie, a dit le chef du Pentagone.

 

Nous adaptons notre posture opérationnelle et nos plans d'urgence dans le travail que nous faisons - nous-mêmes et avec nos alliés - pour dissuader la Russie d'une agression, et pour contribuer à réduire la vulnérabilité de nos alliés et de nos partenaires, a-t-il encore affirmé.

 

M. Carter a précisé que Washington modernisait son arsenal nucléaire et investissait dans des moyens de haute technologie comme les drones, les bombardiers à long rayon d'action, les lasers, les canons électro-magnétiques et la guerre électronique.

 

Il a fait allusion à de nouveaux moyens militaires surprenants, ajoutant qu'il ne pouvait pas vraiment les décrire maintenant.

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 17:35
USS Ronald Reagan (CVN 76) steams alongside the Republic of Korea Navy destroyer Sejong the Great (DDG 991) - photo US Navy

USS Ronald Reagan (CVN 76) steams alongside the Republic of Korea Navy destroyer Sejong the Great (DDG 991) - photo US Navy


04.11.2015 Portail des Sous-Marins
 

Le mois dernier, un sous-marin d’attaque chinois se serait approché du porte-avions américain USS Ronald Reagan, au sud du Japon, selon des responsables US de la défense.

Le sous-marin chinois a navigué très près du Reagan pendant le weekend du 24 octobre, indiquent des responsables américains. L’incident s’est produit alors que le Ronald Reagan se dirigeait vers la mer du Japon en contournant l’extrémité sud du Japon.

Quelques jours plus tard, le Ronald Reagan a été survolé par 2 bombardiers russes Tu-142, à une altitude de 500 pieds et à une distance de moins d’un nautique. Des chasseurs de l’US Navy ont décollé pour écarter les bombardiers russes.

Quelques jours plus tard, un destroyer américain, l’USS Lassen, naviguait à proximité d’une île revendiquée par la Chine en mer de Chine du Sud.

Cette affaire est dévoilée au moment où l’amiral Harry Harris, commandant des forces américaines dans le Pacifique, se rendait en Chine pour la première fois.

Aucun détail supplémentaire — type du sous-marin impliqué, a-t-il fait surface ou est-il resté en plongée, à quelle distance s’est-il approché du porte-avions — n’a été diffusé.

Un responsable a expliqué que la détection du sous-marin a déclenché les sirènes d’alarme sur le Reagan, mais il ne pouvait indiquer si un appareil de lutte ASM a été envoyé pour localiser et pister le sous-marin.

Cet incident rappelle le pistage en 2006 du porte-avions USS Kitty Hawk.

Un sous-marin de la classe Song avait fait surface le 26 octobre 2006 à portée de torpille du Kitty Hawk. Cet incident avait aussi été révélé lors d’une visite en Chine du commandant de la flotte du Pacifique, l’amiral Gary Roughead.

On ignore si le sous-marin chinois a respecté les règles de sécurité mises au point dans un accord destiné à prévenir les collisions en mer.

 

Référence : Washington Free Beacon (Etats-Unis)

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 12:20
Lockheed Martin Receives Final Regulatory Approval Needed to Close Sikorsky Acquisition

 

BETHESDA, Md., Nov. 3, 2015 Lockheed Martin

 

Republic of China's approval marks end to successful and comprehensive regulatory review process

 

Lockheed Martin (NYSE: LMT) has received the final regulatory approval needed to close its acquisition of Sikorsky Aircraft, a world leader in military and commercial rotary-wing aircraft, from United Technologies Corp. The completion of the regulatory review by the Ministry of Commerce of the People's Republic of China marks the end of a successful and comprehensive regulatory review process in eight jurisdictions.

"With this final regulatory approval, we are one step closer to completing this historic acquisition," said Marillyn Hewson, Lockheed Martin chairman, president and CEO. "Sikorsky brings a legacy of innovation and performance that perfectly complements Lockheed Martin's portfolio. We are excited to soon welcome the men and women of Sikorsky to our team."

Lockheed Martin anticipates closing the acquisition on Friday, Nov. 6.

Once completed, the acquisition of Sikorsky Aircraft will advance Lockheed Martin's commitment to provide its customers with mission-ready solutions that are affordable and efficient, while expanding its core business into the growing areas of helicopter production and sustainment.

For additional information, visit our website: www.lockheedmartin.com.

 

About Lockheed Martin
Headquartered in Bethesda, Maryland, Lockheed Martin is a global security and aerospace company that employs approximately 112,000 people worldwide and is principally engaged in the research, design, development, manufacture, integration and sustainment of advanced technology systems, products and services. The Corporation's net sales for 2014 were $45.6 billion.

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3 novembre 2015 2 03 /11 /novembre /2015 13:35
USS Lassen - photo US Navy

USS Lassen - photo US Navy

 

03 novembre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Pékin - L'armée américaine poursuivra ses déplacements en mer de Chine méridionale partout où l'y autorise le droit international, a assuré mardi à Pékin un haut responsable du Pentagone, peu après le passage d'un navire de guerre américain près d'îlots dont la Chine revendique la souveraineté.

Les eaux internationales et l'espace aérien international appartiennent à tout le monde et ne peuvent être sous la domination d'une quelconque nation, a prévenu l'amiral Harry Harris, chef des forces américaines dans le Pacifique, en visite en Chine.

Notre armée continuera de voler, de naviguer et d'opérer partout où le droit international nous y autorise. La mer de Chine méridionale n'est pas et ne sera pas une exception, a-t-il martelé, selon le texte d'un discours prononcé à l'Université de Pékin.

Le destroyer lance-missiles USS Lassen avait navigué le 28 octobre à moins de 12 milles d'îlots artificiels construites par Pékin en mer de Chine méridionale, dans l'archipel disputé des Spratleys.

Pékin avait réagi avec colère, dénonçant une incursion illégale, sans la permission de la Chine, et déplorant une menace pour sa souveraineté et ses intérêts sécuritaires.

Cela a créé un climat de discorde pour notre rencontre et cela est très regrettable, a déclaré le chef d'état-major de l'armée chinoise, le général Fang Fenghui, lors de son entretien mardi avec M. Harris.

L'appel lancé par Washington, exhortant Pékin à arrêter la militarisation de la mer de Chine méridionale, tout en envoyant un navire de guerre dans la zone était une tentative de priver la Chine de son droit à la légitime défense en tant qu'Etat souverain, a déclaré mardi la porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Hua Chunying.

C'est une expression typique d'hypocrisie et d'hégémonisme, a-t-elle ajouté.

La Chine considère comme ses eaux territoriales la zone des 12 milles autour de ces îlots qui affleurent parfois à peine au-dessus du niveau de la mer, ce que réfute Washington.

Pékin revendique des droits sur la quasi-totalité de la mer de Chine méridionale, se basant notamment sur une délimitation en pointillés apparue sur les cartes chinoises dans les années 1940 - une source de vifs différends territoriaux avec ses voisins.

Ces revendications, constamment rejetées par les Etats-Unis, ont été qualifiées d'ambiguës par l'amiral Harris, qui a évoqué la soi-disant +ligne en neuf traits pointillés+.

Pour asseoir ses prétentions dans la région, Pékin mène d'énormes opérations de remblaiement des îlots, accélérant depuis un an la transformation des récifs coralliens en ports, pistes d'atterrissage et infrastructures diverses.

 

- 'Pas pessimiste' -

Les Spratleys, qui comprennent une centaine d'îlots et de récifs inhabités, sont également âprement revendiqués par le Vietnam, la Malaisie, Brunei et les Philippines, un allié de Washington.

Les Etats-Unis et des pays d'Asie du Sud-Est redoutent un coup de force du géant chinois qui lui donnerait le contrôle sur l'une des routes maritimes commerciales les plus stratégiques du globe, par laquelle transite notamment un tiers des cargaisons mondiales de pétrole.

L'amiral Harris a néanmoins eu quelques mots conciliants mardi pour vanter le dialogue entre les marines chinoise et américaine et rappeler les visites effectuées par les navires de chaque nation dans des ports de l'autre pays.

Certains experts prédisent un affrontement à venir entre nos nations. Je ne souscris pas à cette vision pessimiste, a observé l'amiral, pointant de nombreux sujets où (les deux pays) trouvent un terrain d'entente.

Pékin a annoncé vendredi son rejet de toute conclusion de la Cour permanente d'arbitrage (CPA), organisation internationale qui s'était déclarée la veille compétente pour juger certains aspects du différend territorial l'opposant à Manille en mer de Chine méridionale.

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1 novembre 2015 7 01 /11 /novembre /2015 12:35
Philippines: China Waits For The Americans To Come And Go

 

October 26, 2015: Strategy Page

 

The Philippines and its closest neighbors are slowly losing control of their offshore waters to increasingly aggressive Chinese claims. The Philippines faces losing control of 80 percent of its waters in the West Philippine Sea while Malaysia loses 80 percent of its coastal waters off Sabah and Sarawak. Vietnam loses half its coastal waters while Brunei loses 90 percent. Even Indonesia loses 30 percent of its coastal waters facing the South China Sea. These losses include several known offshore oil and natural gas fields and a number of areas that have not been explored yet plus lucrative fishing grounds and control over vital shipping routes. China is going all this by ignoring the 1994 Law of the Sea treaty (as well as at least two other similar treaties. The widely adopted (including by China) 1994 agreement recognizes the waters 22 kilometers from land “national territory” and under the jurisdiction of the nation controlling the nearest land. That means ships cannot enter these "territorial waters" without permission. More importantly the waters 360 kilometers from land are considered the Exclusive Economic Zone (EEZ) of the nation controlling the nearest land. The EEZ owner can control who fishes there and extracts natural resources (mostly oil and gas) from the ocean floor. But the EEZ owner cannot prohibit free passage or the laying of pipelines and communications cables. While this agreement eliminated or reduced many of the existing or potential disputes it did not completely deal with all of them. Thus some nations keep violating the agreements, usually because they feel their claims supersede the international agreements. China is the most frequent offender. For example China claims that American electronic monitoring ships are conducting illegal espionage while in the Chinese EEZ. But the 1994 treaty says nothing about such matters. China is simply doing what China has been doing for centuries, trying to impose its will on neighbors, or anyone venturing into what China considers areas that should be under its control. China is not alone, but because China is pushing the limits of how the 1994 law can be interpreted (or misinterpreted) other nations with similar opportunities to lay claim to crucial chunks of the seascape are ready to emulate China if some of the more aggressive Chinese ploys actually work. This is one reason why China faces strong opposition from nations worldwide.

 

Thus while the United States recently announced that it will send warships and military aircraft through areas of the South China Sea that China openly claims as “sovereign Chinese territory” that does not seem to be stopping the Chinese from harassing Filipino ships and fishing boats in disputed (but legally Filipino according to the treaty) waters. This time the United States has said it will move within 22 kilometers of newly established Chinese bases in the South China Sea. China insists that these islands (some of them artificial and recently built) are “sovereign Chinese territory” but the rest of the world disagrees and China will, at the very least, be embarrassed by this American show of force. China will back off when the United States (or even Japan or Taiwan) move through disputed waters with warships but will continue to go after unarmed “intruders”. The Philippines and its neighbors need an ally who is willing and able to stick around and get China to back off. So far, such an ally has not appeared.

 

The Moslem separatist group MILF is working on implementing its recently signed peace deal for the largely Moslem areas in the south. There is a problem down there in that a sizable minority of southern Moslems (ten percent or more) want to hold out, and keep fighting, to establish a separate Moslem state in the south. MILF leaders know this is impossible because a majority of the people in the south are opposed. That includes a majority of the Moslems and the nearly all the non-Moslems in the south. Moslems are only eight percent of all Filipinos, and an even smaller proportion of the economic activity. MILF wanted control of more of the economy, which meant control of "ancestral Moslem areas" in the south that are now populated by Christians. The Christian majority refused to allow domination by Moslems in a larger and more autonomous Moslem south. MILF settled for a smaller autonomous area that had a Moslem majority. This issue is still a big deal for many Moslems and could still turn into an armed rebellion against MILF and the collapse of the plan for an autonomous Moslem area in the south.  So far MILF has kept things under control. In part this is because of the thousands of soldiers and marines in Basilan taking care of the only large group of Islamic terrorists (Abu Sayyaf) in the country. These guys have not expanded much mainly because they are basically bandits with a veneer of Islamic radicalism. Abu Sayyaf is mostly about the money but they will cooperate with real Islamic terrorists as it suits them.

 

October 25, 2015: In the south (Basilan) a clash between an army patrol and about 40 Abu Sayyaf gunmen left three Islamic terrorists dead and four soldiers wounded.

 

October 21, 2015: In the south (Basilan and Sulu) two clashes with Abu Sayyaf gunmen left a soldier dead and a civilian wounded. Both clashes involved the Islamic terrorists attacking soldiers working on development projects.

 

October 20, 2015: In the south (Tawi-Tawi province) Abu Sayyaf released a mining company manager they kidnapped in 2014. It is a believed that a ransom of over $20,000 was paid.

 

October 19, 2015: In the south (Agusan del Sur) NPA gunmen murdered another mayor, along with his adult son. This killing is part of an NPA campaign to go after former NPA members who go on to become local leaders and organize defense (against the NPA) militias. The NPA is losing a lot of popular support and seeking to regain it any way it can.

 

October 16, 2015: In the south (Batangas province) NPA gunmen ambushed two off-duty soldiers and killed them. This was believed to be in retaliation for NPA losses on the 14th.

 

October 14, 2015: In the south (Batangas province) NPA gunmen clashed with troops and five rebels were killed. Two nearby civilians were wounded. Troops recovered four rifles.

 

October 10, 2015: China declared operational newly built lighthouses on two reefs in the South China Sea. According to China these lighthouses (not really needed in the GPS age) strengthen their claims on the surrounding waters.

 

October 5, 2015: In the south (Sulu) marines found and disabled an Aby Sayyaf bomb near one of their checkpoints.

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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 08:35
Z-11WB light utility helicopter -  Aviation Industry Corporation of China (AVIC)

Z-11WB light utility helicopter - Aviation Industry Corporation of China (AVIC)

 

October 23, 2015: Strategy Page

 

China, noting the success of the American MH-6 "Little Bird" light transport helicopter has developed a similar model (Z-11WB) for its own commandos. China noted that in a place like Afghanistan the small AH-6 is, armed with half a ton of weapons (usually a 7.62mm/12.7mm/30mm machine-gun and guided missiles), was particularly effective. Both AH-6 and MH-6 are military versions of the civilian MD-500. The MH-6 weighs up to two tons and can carry six commandos, who sit outside on the skids. The MH-6 is small, and has a range of about 500 kilometers. The MH-6 has an extensive array of electronics on board, making it capable of operating at night and in any weather. The AH-6 replaced the six commandos with weapons and fire control systems.

 

The Chinese Z-11WB is based on the commercial AC311. This model is based on the Eurocopter AS350. Both the AC311 and AS350 are 2.2 ton single engine helicopters that can carry a pilot and six passengers. The AC311 is actually a civilian version of the Z-11, which first appeared in 1994 and is basically the same as the AC311 and AS350. The Z-11WB has a targeting pod under the front with an auto cannon and the ability to carry two or more guided missiles. Even with this the Z-11WB still has space for passengers, which would be commandos carried on missions where the missiles could be left behind. The Z-11 and Z-11 WB both carry a max load of 577 kg and can stay in the air about three hours per sortie. Max speed is 278 kilometers an hour and max altitude is 5,200 meters (17,000 feet).

 

China already has a light attack helicopter; the Z-19. This is a heavily armed scout helicopter, a 4.5 ton, two seater armed with a 23mm autocannon and up to half a ton of munitions (missiles, usually). But the Z-19 cannot carry passengers, while the Z-11WB can.

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 08:35
USS Lassen - photo US Navy

USS Lassen - photo US Navy

 

29 octobre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Washington - Le chef de la marine chinoise et son homologue américain se sont entretenus par vidéoconférence jeudi, deux jours après une patrouille d'un navire de guerre des Etats-Unis dans une zone de la mer de Chine revendiquée par Pékin, selon le Pentagone.

 

Le chef des forces américaines dans le Pacifique, l'amiral Harry Harris, va par ailleurs se rendre la semaine prochaine à Pékin, pour une visite planifiée de longue date, a indiqué un responsable américain sous couvert de l'anonymat.

 

La visite aura lieu du 2 au 5 novembre, a précisé un autre responsable américain.

 

Les Etats-Unis ont envoyé mardi le destroyer lance-missiles USS Lassen croiser à moins de 12 milles d'îlots artificiels que Pékin a construit sur des récifs de l'archipel des Spratleys, en mer de Chine méridionale.

 

La marine américaine a aussi affirmé qu'elle comptait renvoyer d'autres navires dans la même zone.

 

La patrouille du Lassen a provoqué la colère de Pékin, qui a convoqué l'ambassadeur américain et prévenu que le gouvernement chinois défendrait résolument sa souveraineté territoriale et ses intérêts maritimes.

 

Jeudi, l'amiral américain John Richardson, chef d'état-major de la marine américaine, et son homologue chinois Wu Shengli se sont entretenus par vidéoconférence pendant près d'une heure, a indiqué le Pentagone.

 

La vidéo-conférence, décidée après la patrouille du USS Lassen, a duré à peu près une heure, et a été professionnelle et productive, a indiqué le capitaine de vaisseau Jeff Davis, porte-parole du Pentagone.

 

Le porte-parole n'a donné aucun détail sur la teneur des discussions, se bornant à confirmer que la question de la liberté de navigation dans les Spratleys avait bien été abordée.

 

Les deux amiraux ont convenu de l'importance de maintenir le dialogue actuel entre les deux marines et de se reparler par vidéoconférence d'ici la fin de l'année, a-t-il précisé.

 

L'archipel des Spratleys fait l'objet de revendications de la Chine mais aussi d'autres pays voisins, dont les Philippines, alliées de Washington, le Vietnam, la Malaisie et Brunei.

 

Les Etats-Unis affirment qu'ils ne veulent pas prendre parti sur le fond des querelles de souveraineté entre ces pays. Washington dit vouloir simplement assurer la liberté de navigation internationale à travers ces eaux situées à un point de passage stratégique pour le commerce mondial.

 

Mardi, le USS Lassen a d'ailleurs également patrouillé près des îles revendiquées par les Philippines ou le Vietnam, souligne les responsables américains.

 

La situation en mer de Chine méridionale sera dans tous les esprits la semaine prochaine, lors d'une réunion des ministres de la Défense de l'Association des Nations d'Asie du Sud-Est (Asean) à Kuala Lumpur, à laquelle participera le secrétaire américain à la Défense Ashton Carter.

 

La zone des 12 milles marins (22 km) est celle reconnue internationalement sur laquelle un Etat côtier peut appliquer sa souveraineté, dans les airs et sur mer.

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27 octobre 2015 2 27 /10 /octobre /2015 08:35
USS Lassen (DDG-82) - photo US Navy

USS Lassen (DDG-82) - photo US Navy

 

27 octobre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Pékin - La Chine a vivement condamné mardi la présence d'un navire de guerre américain à moins de 12 milles d'îles artificielles que Pékin construit en mer de Chine méridionale, en dénonçant une menace pour (sa) souveraineté.

 

Le navire lance-missiles USS Lassen a navigué mardi matin (heure locale) dans les eaux entourant au moins une de ces îles revendiquées par la Chine dans l'archipel disputé des Spratleys, avait indiqué à l'AFP un responsable américain de la Défense.

 

Des manoeuvres confirmées peu après par les autorités chinoises, qui ont exprimé leur ferme opposition.

 

Ce navire est entré illégalement et sans permission de la Chine dans les eaux entourant ces îlots disputés, a déclaré Lu Kang, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, dans un communiqué publié sur l'internet.

 

Cela constitue une menace pour la souveraineté de la Chine et pour ses intérêts sécuritaires, a-t-il poursuivi, rappelant que le pays possédait une souveraineté indiscutable sur l'archipel et sur les eaux environnantes.

 

Pékin s'oppose absolument à ce qu'un pays tiers utilise la liberté de navigation et de survol comme un prétexte pour porter atteinte à la souveraineté nationale de la Chine ou à ses intérêts sécuritaires, a insisté M. Lu, ajoutant que le gouvernement chinois répondrait de façon résolue à toute action provocatrice.

 

De son côté, l'agence étatique Chine nouvelle, dans un commentaire au ton acerbe, a jugé que le passage du navire américain représentait une provocation ostensible (...) et une démonstration de force sous couvert de tester la liberté de navigation dans la région.

 

La Chine considère comme des eaux territoriales la zone des 12 milles autour de ces îles, construites sur des îlots qui affleurent parfois à peine.

 

Mais les Etats-Unis rejettent cette revendication, estimant que la Chine ne peut se construire ainsi une souveraineté sur ces eaux stratégiques.

 

La Chine revendique des droits sur la quasi-totalité de la mer de Chine méridionale et y mène d'énormes opérations de remblaiement, accélérant depuis un an la transformation de récifs coralliens en ports, pistes et infrastructures diverses.

 

Les Etats-Unis et des pays d'Asie du Sud-Est redoutent un coup de force du géant chinois qui lui donnerait le contrôle sur l'une des routes maritimes les plus stratégiques du globe.

 

Les Spratleys, qui comprennent une centaine d'îlots et de récifs inhabités, sont revendiqués par le Vietnam, les Philippines, la Malaisie et Brunei.

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16 octobre 2015 5 16 /10 /octobre /2015 07:35
Le J-31 chinois en lice pour l’exportation ?


14.10.2015 par Info-Aviation
 

Le groupe chinois AVIC a officiellement dévoilé les spécifications de son avion de combat furtif J-31. Cette annonce ouvre implicitement la voie aux contrats d’exportation bien que les travaux de conception ne soient pas encore terminés (source : China Daily).

 

L’avion est développé par Shenyang Aircraft Corporation (filiale d’AVIC) depuis 2010 pour la supériorité aérienne et l’attaque au sol en réponse au F-35 américain. Il a effectué son premier vol le 31 octobre 2012.

Le J-31 sera capable d’effectuer des vols à une altitude de 16.000 mètres, atteindre une vitesse de 2.200 km/h et emporter jusqu’à 8 tonnes de munitions. Son rayon d’action s’étend à 1.200 km, et la durée de vie s’établit à 30 ans.

À titre de comparaison, la version modernisée du MiG-29 vole jusqu’à 2.500 km/h et transporte 4,5 tonnes d’armes, tandis que son rayon d’action est de 1.000 kilomètres. Le F-16 américain peut transporter jusqu’à 7,7 tonnes de charge utile, sa vitesse maximale atteint 2.300 km/h et son rayon d’action s’établit à 600 kilomètres. Mais il s’agit d’avions commercialisés depuis les années 80.

Début 2015, l’hebdomadaire allemand Der Spiegel citant des données fournies par Edward Snowden a rapporté que la Chine aurait volé des informations concernant la construction du chasseur américain de cinquième génération F-35 pour les utiliser dans la conception de son avion J-31.

Le F-35 peut emporter 6,8 tonnes d’armements, vole à 18.500 mètres d’altitude à une vitesse de 1.930 km/h (Mach 1,6+).

 

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15 octobre 2015 4 15 /10 /octobre /2015 16:30
Un amiral chinois en Iran pour renforcer les relations militaires

 

15 octobre 2015 Romandie.com (AFP)

 

Téhéran - La Chine compte renforcer ses relations militaires avec l'Iran, a assuré un amiral de la flotte chinoise en visite à Téhéran, trois mois après la conclusion d'un accord international sur le nucléaire iranien.

 

L'amiral Sun Jianguo a tenu ces propos lors d'une rencontre mercredi avec le ministre iranien de la Défense Hossein Dehghan, selon le communiqué jeudi du ministère chinois de la Défense.

 

La visite de l'amiral Sun est destinée à développer l'amitié, approfondir la coopération et les échanges de vues sur les sujets d'intérêt mutuel des deux armées, a ajouté le communiqué.

 

M. Dehghan a lui aussi souhaité le renforcement de la coopération stratégique bilatérale, selon le site du ministère iranien de la Défense. Le développement des relations militaires renforcera la stabilité et la sécurité aux deux extrêmes du continent asiatique.

 

Avec de puissantes coalitions régionales, il faut contrecarrer l'influence des Etats-Unis et les crises que cela provoque, a ajouté M. Dehghan, en évoquant l'intervention des Etats-Unis en Afghanistan et en Irak (...) qui a renforcé les groupes terroristes.

 

Il a également salué l'intervention de la Russie en Syrie où les avions russes bombardent les rebelles pour aider les troupes du régime de Bachar al-Assad, un allié de Téhéran et de Moscou.

 

Le ministre iranien de la Défense a espéré que les actions positives de la Russie (en Syrie) auront pour résultat des changements substantiels dans la lutte contre le terrorisme dans la région, selon le site du ministère.

 

La Chine est le premier client du pétrole iranien et s'était attirée des menaces de sanctions de la part de Washington pour cette raison au plus fort du blocage des négociations entre l'Iran et la communauté internationale sur son programme nucléaire.

 

Pékin a aidé depuis à la conclusion de l'accord obtenu le 14 juillet à Vienne entre Téhéran et les grandes puissances, au terme de deux ans d'âpres négociations.

 

Adopté mardi par le Parlement iranien, l'accord ouvre la voie à la levée des sanctions économiques internationales imposées à l'Iran, en échange de son engagement à renoncer à l'arme atomique, et limite son programme nucléaire civil.

 

Cité par la chaîne iranienne Press TV, le commandant de la flotte iranienne, le vice-amiral Habibollah Sayari, s'est prononcé pour une coopération sino-iranienne dans la protection des routes maritimes de l'océan Indien.

 

Les entretiens du responsable chinois à Téhéran ont également porté sur les échanges de renseignements et la coopération antiterroriste, à l'heure où la Chine s'inquiète de l'agitation dans sa population musulmane ouïghoure du Xinjiang.

 

Les bâtiments des flottes chinoise et iranienne ont procédé à des escales mutuelles depuis 2013 et conduit des exercices antipiraterie ainsi que des opérations conjointes de recherche et de sauvetage en mer.

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14 octobre 2015 3 14 /10 /octobre /2015 12:35
Type 094 Jin Class Nuclear-Powered Submarine

Type 094 Jin Class Nuclear-Powered Submarine

 

12 octobre 2015. Portail des Sous-Marins

 

Au cours des 20 dernières années, la République Populaire de Chine a accompli de grands progrès dans ses capacités militaires. Elle accuse cependant un important retard en ce qui concerne le développement de sous-marins à propulsion nucléaire. Les Chinois ne disposent pas des technologies nécessaires dans les domaines de la discrétion et de la propulsion nucléaire pour construire quelque chose qui serait comparable, même de loin, aux sous-marins nucléaires américains ou russes.

 

Même les sous-marins les plus récents, le SNLE Jin et le SNA Shang, sont plus bruyants que les sous-marins soviétiques des années 70 : SNA Victor III et SNLE Delta III, selon l’Office of Naval Intelligence de l’US Navy.

 

Et même le prochain sous-marin chinois Type 95 sera plus bruyant que les sous-marins soviétiques de la classe Shchuka-B (Projet 971), Akula I. Et il est probable qu’il en sera de même pour le SNLE Type 96. Bien évidement, les choses sont entièrement différentes en ce qui concerne les sous-marins classiques chinois.

 

Pourquoi les Chinois n’accomplissent-ils pas autant de progrès dans la construction de sous-marins qu’ils y parviennent dans d’autres domaines ?

 

Pour Bryan Clark, associé du Center for Strategic and Budgetary Assessments, ancien conseiller spécial du chef d’état-major de l’US Navy et officier de sous-marins, la réponse est assez simple : « Les sous-marins nucléaires ne sont pas une priorité pour la Chine, puisque les avantages qu’ils offrent par rapport aux sous-marins classiques (avec ou sans propulsion anaérobie) — autonomie, vitesse et capacité —, ne sont pas d’une grande importance pour les missions que la marine chinoise fixe à ses sous-marins : surveillance et défense côtière contre les bâtiments de surface ennemis. »

 

« Les sous-marins classiques chinois actuels ne sont pas aussi avancés que leurs équivalents européens, mais ils sont efficaces dans la mission qui leur est attribuée. Les Kilo chinois sont équipés du missile de croisière anti-navire SS-N-27. Le plus récent sous-marin à propulsion anaérobie, le Yuan, aurait des systèmes de combat modernes, pourrait utiliser des missiles, des torpilles et des mines. L’attention récente portée par la Chine aux sous-marins nucléaires s’explique par sa volonté de jouer un plus grand rôle sur la scène géopolitique. »

 

« Aujourd’hui, ils développent un SNLE et une nouvelle classe de SNA, dans le cadre de leur volonté de disposer d’une marine de “haute-mer” et d’une capacité de riposte nucléaire, à l’égal des autres grandes puissances. »

 

Référence : War is boring (Etats-Unis)

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14 octobre 2015 3 14 /10 /octobre /2015 07:35
Fiery Cross Reef

Fiery Cross Reef

13/10/2015  lecourrier.vn

 

Les États-Unis ont briefé leurs alliés en Asie sur les plans de conduire des patrouilles navales "liberté de navigation" près des îles artificielles construites par la Chine dans la Mer Orientale, ont dévoilé des officiels américains cités par le New York Times paru le 12 octobre.


Les patrouilles, qui se dérouleraient dans les limites des 12 milles marins d’au moins l’une des îles artificielles construites illégalement par la Chine sur des récifs dans l’archipel  de Truong Sa (Spratleys).

Elles sont destinées à remettre en cause les efforts de la Chine pour revendiquer la quasi-totalité de cette mer, carrefour de routes maritimes vitales pour le commerce mondial et réserve potentielle de pétrole, de gaz et d’importantes ressources halieutiques.

L’assistant du secrétaire américain à la Défense pour l’Asie de l’Est et le Pacifique, David Shear, a dit devant le Congrès que les États-Unis se sont abstenus de s’en approcher de si près les îles occupées par la Chine.

En mai, un avion de surveillance militaire P-8A Poseidon, avec à son bord un reporter de la CNN, avait survolé près de trois des cinq îles artificielles illégalement construites par la Chine en Mer Orientale sans entrer dans les limites des 12 milles marins, que déjà des opérateurs radio de la marine chinoise l’avaient adressé huit avertissements pour quitter les lieux.

Des fonctionnaires aux Philippines ont déclaré qu’ils avaient été informés ces derniers jours de ces patrouilles, et le sénateur Antonio F. Trillanes IV, président du Comité national de défense et de sécurité a indiqué lundi 12 octobre saluer cette décision.

Le secrétaire américain de la Défense, Ashton B. Carter, et le secrétaire d’État américain John Kerry, devraient discuter des patrouilles avec leurs homologues australiens lundi et mardi à Boston. Le commandant de la Flotte américaine du Pacifique, l’admiral Harry B. Harris Jr, devrait les rejoindre.

 

>>Expos de photos sur les constructions illégales de la Chine en Mer Orientale

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13 octobre 2015 2 13 /10 /octobre /2015 16:30
CH-4B UAV source AeroHisto

CH-4B UAV source AeroHisto

 

October 10, 2015 AeroHisto - Aviation History

 

On Saturday morning of October 10th, 2015, Iraqi Defence Minister Mr. Khaled al-Obeidi visited al-Kut Air Base and oversaw the launch of the first official flight of Iraqi CH-4B drone that will be used against ISIS. Iraq ordered CH-4B UAV (Unmanned Aerial Vehicles) to China, probably after the visit of Chinese foreign minister in February 2014. According to Aero Histo sources, the first batch was received on January 23rd, 2015. First pictures of three units were seen in March.

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11 octobre 2015 7 11 /10 /octobre /2015 11:35
USS Ronald Reagan (CVN 76) - photo US avy

USS Ronald Reagan (CVN 76) - photo US avy


09.10.2015 Pacific Sentinel
 

China’s military is getting its ducks in a row for what many experts see as a realistic competence at destroying US aircraft carriers during a confrontation scenario over Taiwan.

 

In a recent issue of the Chinese-language state-run China Youth Daily newspaper, a report claims that the Gaofen-4 geostationary earth observation satellite will be launched by the end of this year with the express purpose of hunting US aircraft carriers. The satellite is equipped with a visible light imager at 50 meters and infrared staring optical imager at 400 meters.

 

During the 1996 Taiwan Strait missile crisis, the Chinese military was flustered by the presence of two US aircraft carriers sent to protect Taiwan during missile exercises designed to intimidate the island.

 

Since then, the military has created the means of holding at risk US aircraft carriers with two new anti-ship ballistic missiles, the DF-21D and the new DF-26. However, locating US aircraft carriers is not easy, and China has developed a variety of airborne and space-based sensors to ease the search.

 

Read the full story at DefenseNews

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10 octobre 2015 6 10 /10 /octobre /2015 11:35
Yuan class submarine (photo : pixnet)

Yuan class submarine (photo : pixnet)


08.10.2015 Defense Studies

The Thai Navy will rework funding pattern for the purchase of three Chinese submarines and resubmit the proposal to the cabinet for approval.

The purchase proposal was on the cabinet agenda last week but withdrawn amid a report the Defence Ministry wanted the navy to spread payments for the submarines over 10 years rather than seven, Thai media reported.

Thai Defence Minister Prawit Wongsuwon on Tuesday denied reports that the navy's submarine procurement project was being suspended or stalled.

Gen Prawit said he had asked the navy, which plans to buy three Chinese submarines valued at 36 billion baht, to rework its funding plan. The proposal would be submitted to the cabinet for consideration "when the time is right".

There were reports last week that Thailand might prefer frigates in place of submarines. Newly appointed Royal Thai Navy Chief, Admiral Na Areenij had said that the navy would propose an ‘alternative’ if the submarine plan was stalled or cancelled. Local media interpreted this to mean that that the navy would propose the purchase of frigates.

(DefenseWorld)

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9 octobre 2015 5 09 /10 /octobre /2015 16:35
Leading Aircraft Manufacturer Poised to Export New Fighter Jet

 

Oct. 09, 2015 defense-aerospace.com

(Source: Zhao Lei China Daily; published Oct. 09, 2015)



BEIJING --- China's leading aircraft manufacturer is on the verge of exporting its fifth-generation fighter jet, according to industry sources. Aviation Industry Corp of China disclosed the technical specifications of the J-31 Gyrfalcon at an aviation expo even though the plane was still being tested, the sources said.

During the four-day Aviation Expo China 2015, a biennial event held in Beijing in mid-September, AVIC also displayed a large-scale model of the J-31.

Expo visitors were surprised that the State-owned defense contractor was willing to declassify the J-31's specifications, as it had never previously released such information on military air-craft until they entered mass-production and were ready for export.

Analysts said the decision indicates that the corporation wants potential foreign buyers to learn about the plane's capabilities as soon as possible so that it can secure contracts when the jet becomes operational.

A source close to AVIC who declined to be named said publication of the aircraft's specifications was aimed at impressing potential buyers. "The earlier the buyers know about the J-31's capabilities, the higher chance AVIC has of taking up a good share of the fifth-generation aircraft market," he told China Daily.

"Once the company receives buyers' payments, it can use these to sustain the production line and continue to upgrade the aircraft to win more customers."

AVIC executives have never concealed their intentions for the J-31 project. Li Yuhai, deputy general manager of AVIC, told reporters in November, "Since the start of the J-31's development, we have planned to use the plane to end some foreign nations' dominance of the fifth-generation fighter jet. One of its variants will be specifically designed for export."

Li was speaking on the sidelines of the 10th China International Aviation and Aerospace Exhibition held in Zhuhai, Guangdong province.

Chen Hu, a military expert with the People's Liberation Army, said exporting the J-31 would be a milestone for China's aviation industry because the plane would give AVIC a significant boost in competition with Western defense giants.

Xu Bangnian, a professor at the PLA Air Force Command Institute, said he expected international demand for the plane as it appeared to be the only choice for developing countries wanting an affordable fifth-generation stealth aircraft.

The only fifth-generation fighter jet available on the market is the United States' Lockheed Martin F-35 Lightning II, but the US will only sell it to its allies.

The J-31's maiden flight in October 2012 caused a surprise globally, as few people expected China to develop another fifth-generation fighter jet following the J-20 stealth aircraft, which made its first flight in January 2011. During the past three years, the J-31 has undergone several test flights and some changes have been made to its design.

The AVIC specifications show that it has a maximum takeoff weight of 25 metric tons and is designed to be in service for up to 30 years.

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9 octobre 2015 5 09 /10 /octobre /2015 12:35
L'AVIC s'apprête à exporter son nouvel avion de chasse

 

09-10-2015 Par : Lisa -  French.china.org.cn

 

Le premier fabricant d'avions de Chine est sur le point d'exporter son avion de combat de cinquième génération, selon des sources de l'industrie. Aviation Industry Corp of China (AVIC) a dévoilé les spécifications techniques de son J-31 Gyrfalcon lors d'un salon de l'aviation, bien que l'avion soit encore en phase de test, selon les sources.

 

Au cours de l'Aviation Expo China 2015 de quatre jours, un événement biennal organisé à Beijing à la mi-septembre, le groupe AVIC a également présenté un modèle à grande échelle du J-31.

 

Selon les analystes, cette décision montre que la société veut que les acheteurs étrangers potentiels soient conscients des capacités de l'avion dès que possible, afin que des contrats puissent être signés dès que l'appareil sera opérationnel.

 

Une source proche d'AVIC, qui a préféré garder l'anonymat, a déclaré que la publication des spécifications de l'appareil était destinée à impressionner les acheteurs potentiels.

 

« Une fois que la société reçoit les paiements des acheteurs, elle pourra les utiliser pour maintenir la ligne de production et continuer d'améliorer l'avion et gagner ainsi plus de clients », a déclaré la source.

 

Les dirigeants de l'AVIC n'ont jamais caché leurs ambitions pour le J-31.

 

Li Yuhai, directeur général adjoint de l'AVIC, a déclaré aux journalistes en novembre que « depuis le début du développement du J-31, nous avons prévu d'utiliser cet avion pour mettre fin à la domination des avions de combat de cinquième génération de certains pays étrangers. Une de ses versions sera spécifiquement conçue pour l'exportation ».

 

Chen Hu, expert militaire de l'Armée populaire de Libération, a déclaré que l'exportation du J-31 serait une étape importante pour l'industrie de l'aviation chinoise, parce que cet avion donnerait un coup de pouce significatif à l'AVIC pour sa compétitivité avec les géants occidentaux de la défense.

 

Xu Bangnian, professeur à l'Institut du commandement des forces aériennes de l'APL, a déclaré qu'il attendait une forte demande internationale pour cet avion, car il semblait être le seul choix pour les pays en développement qui souhaitent un avion furtif de cinquième génération abordable.

 

Le seul chasseur de cinquième génération disponible sur le marché est le Lockheed Martin F-35 Lightning II développé par les Etats-Unis, mais le pays ne le vend qu'à ses alliés.

 

Le vol inaugural du J-31 en octobre 2012 a causé la surprise à l'échelle internationale. Peu de gens pensaient la Chine capable de développer un autre avion de combat de cinquième génération après le chasseur furtif J-20, qui a effectué son premier vol en janvier 2011. Au cours des trois dernières années, le J-31 a effectué plusieurs vols d'essai et quelques modifications ont été apportées à son design.

 

Les spécifications de l'AVIC montrent qu'il a un poids maximum au décollage de 25 tonnes et qu'il est conçu pour voler un maximum de 30 ans.

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7 octobre 2015 3 07 /10 /octobre /2015 16:45
First Chinese corvette for Algeria heads home

 

07 October 2015 by defenceWeb

 

The first of three C28A corvettes for the Algerian Navy is on its way home to North Africa, and is currently docked in Malaysia for rest and replenishment.

 

The corvette, named Adhafer (920) docked at the Boustead Cruise Centre (BCC) at Port Klang yesterday morning, according to the Royal Malaysian Navy. It will be docked there until Thursday to replenish supplies and rest before continuing on its way to Algeria.

 

The vessel is commanded by Lieutenant Colonel Ali Yahi. The Royal Malaysian Navy said that 20 contractors from China's Hudong-Zhonghua Shipbuilding Group are accompanying the vessel’s crew of 120. Malaysian naval officers were due to inspect the Adhafer but this is apparently no longer the case. The type had earlier this year been offered to the Royal Malaysian Navy.

 

The other two C28A corvettes are due for delivery to Algeria in 2016 and 2017. According to Want China Times, China and Algeria are discussing the possibility of supplying another three C28A corvettes.

 

Adhafer began sea trials in August this year - delivery to the Algerian Navy was originally scheduled for May. Algeria signed a contract for the three C28A corvettes in March 2012. The first vessel (920) was launched on August 16 last year and the second corvette (921) was launched in February this year.

 

The corvettes are armed with a 76 mm main gun, FM-90N launcher for HQ-7 surface-to-air missiles and YJ-82/C-802 anti-ship missiles. Once in Algeria the vessels will be fitted with Thales Smart-S Mk 2 radar and command, control, and communication systems. When the second vessel (921) was launched in February, it was fitted with two Type 730 series close-in weapon system (CIWS) turrets.

 

The C28A corvettes are around 120 metres long, 14.4 metres wide and have a draft of 3.87 metres. They displace about 2 880 tons fully loaded, and are powered by MTU diesel engines, giving a top speed of 27 knots. They feature some stealth in their design, including the placement of the exhausts towards their waterline to reduce infrared signature.

 

Algeria’s navy is set to expand significantly in the near future as it receives a number of new vessels, including two Meko A-200AN frigates by 2018 and two Project 636 Varshavyanka (Kilo class) diesel electric submarines from Admiralty Shipyards in Russia, also in 2018.

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