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13 octobre 2016 4 13 /10 /octobre /2016 10:55
La prise de Constantine, par Horace Vernet

La prise de Constantine, par Horace Vernet


13.10.2016 source SHD
 

13 octobre 1307 : arrestation des Templiers en France. Par ordre du Roi de France, Philippe IV le Bel, Guillaume de Nogaret (Garde du sceau) fait arrêter et confisquer leurs biens aux membres de l’ordre des chevaliers du Temple, premier ordre militaire d'Occident fondé en 1119. L’ordre est définitivement dissous lors du concile de Vienne en 1312 par le pape Clément V. La superstition attachée au vendredi 13 daterait du vendredi 13 octobre 1307.

 

13 octobre 1694 : prise du fort Nelson (actuel Canada - Manitoba). Après une navigation difficile dans la baie d’Hudson, le chevalier d’Iberville, capitaine de frégate dans la Marine royale prend aux Anglais le fort Nelson à l’embouchure de la rivière Sainte-Thérèse et le rebaptise fort Bourbon. Le fort est en fait un poste d’échanges ou comptoir colonial. Les Français sont, à ce moment, maîtres de la baie d’Hudson, de l’accès au Saint-Laurent, de Terre-Neuve et de l’Acadie. Le fort redevient anglais en 1713 avec le traité d’Utrecht. 

 

13 octobre 1775 : prémices de l’US Navy. Le Congrès continental (ancêtre du Congrès des Etats-Unis) demande qu’une flotte soit armée pour faire face aux Britanniques durant la guerre d’indépendance.  C’est tout d’abord une flotte corsaire qui voit le jour (navires marchands militarisés). Les premiers bateaux de guerre sont construits seulement à partir de 1790. Aujourd’hui, première marine du monde, elle compte 283 bâtiments de combat (dont 10 porte-avions, une soixantaine de sous-marins), 3 700 aéronefs embarqués et 225 000 marins d’active. Budget annuel approchant les 150 milliards de dollars. 

 

13 octobre 1837 : prise de Constantine (Algérie). Louis-Philippe 1er ordonne la prise de Constantine pour effacer le cuisant échec du Maréchal Clauzel, un an plus tôt, (1836) devant les remparts de la ville défendue par Hadj Ahmed Bey. 16 000 soldats commandés par le général Danrémont mettent le siège à Constantine et finissent par investir la ville grâce à la colonne d'assaut du lieutenant-colonel Lamoricière qui escalade la brèche pratiquée par l'artillerie dans le mur d'enceinte. Les troupes du génie ont, à cette occasion, appuyé la progression des assaillants au prix de lourdes pertes en faisant exploser barricades et murs.

 

13 octobre 1951 : fin de la bataille de Crève-cœur (Corée). Depuis le 12 septembre, le 23 RI américain tente de prendre sans succès le mont Heartbreak ridge (Crève-cœur) tenu par un bataillon chinois. Engagé au titre de l'ONU, le bataillon français commandé par le chef de bataillon Le Mire échoue lui aussi après trois assauts. Le « lieutenant-colonel » Monclar (en fait général de corps d’armée zingué LCL) décide d'arrêter les attaques frontales et privilégie une action de débordement en pleine nuit qui oblige les Chinois, surpris, à se replier. Placé à la tête de l’état-major des Forces terrestres (EMFTF), Monclar coiffe ce bataillon et est chargé, avec une dizaine d’officiers spécialistes de faire du RETEX sur les opérations de Corée. Mais, en raison de nombreuses frictions avec les officiers du BF/ONU, l’EMFTF est dissous au mois de novembre 1951. 

 

13 octobre 2012 : collision au large de la Floride. Lors de manœuvres, le croiseur lance-missiles USS San Jacinto percute le sous-marin nucléaire d’attaque USS Montpelier qui se trouve à l’immersion périscopique. Pas de victimes.

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26 janvier 2016 2 26 /01 /janvier /2016 12:20
Le destroyer américain USS Stockdale carbure à la graisse de bœuf

Les moteurs diesel du destroyer « USS Stockdale » fonctionnent grâce à un mélange de 90 % de fuel conventionnel et de 10 % de biocarburant à base de graisse de bœuf. (Photo : US Navy)

 

25/01/2016 LeMarin.fr

 

Il carbure à la graisse de bœuf. Le premier navire de combat américain à utiliser en opérations du biocarburant, le destroyer USS Stockdale, a appareillé le mercredi 20 janvier de la base aéronavale de North Island, en Californie.

L’USS Stockdale fait partie du groupe aéronaval déployé autour du porte-avions nucléaire USS John C. Stennis. Celui-ci expérimente le recours aux carburants alternatifs aux énergies fossiles, ce qui inclut l'énergie nucléaire, dans le cadre du programme de l’US Navy baptisé Great Green Fleet (la grande flotte verte).

Le secrétaire à la Marine, Ray Mabus, et le secrétaire à l’Agriculture, Tom Vilsack, ont salué le départ du premier groupe aéronaval « vert » de l’US Navy. Après la cérémonie, ils se sont rendus à bord du destroyer USS William P. Lawrence pour assister à un ravitaillement en mer en biocarburant depuis le pétrolier ravitailleur USNS Guadalupe.

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22 janvier 2016 5 22 /01 /janvier /2016 08:20
Lockheed S-3B Viking - photo US Navy

Lockheed S-3B Viking - photo US Navy

 

20.01.2016 par Frederic Lert - Aerobuzz.fr
 

L’US Navy annonce le retrait de service de ses derniers Lockheed S-3B Viking. Un avion discret et pourtant remarquablement polyvalent, qui reste pour l’heure sans véritable remplaçant.

L’appareil avait quitté les unités de combat et le pont des porte-avions depuis 2009. Mais trois exemplaires volaient encore depuis cette date au sein du VX30 Air Test and Evaluation Squadron de Point Mugu en Californie. Leur mission, sans gloire, consistait à « blanchir » [1] les zones d’essais en mer. Sur ces trois avions, un premier avait été retiré du service en novembre dernier et les deux autres viennent à leur tour de quitter l’uniforme. La NASA, toujours à l’affut de bonnes affaires, en a toutefois récupéré un. L’autre est parti pour un stockage longue durée. Il ne va pas s’y ennuyer, puisqu’il y va retrouver environ 90 de ses petits camarades...

Après celle des Tomcat, Intruder et autres Prowler [2] , la mise à la retraite du Viking est une étape de plus dans la mutation de l’aviation embarquée américaine. Tous les avions spécialisés qui assurèrent son hégémonie dès la fin des années 70 sont à présent remplacés sur les ponts d’envol par un cortège uniformément gris et déprimant de F/A-18 Hornet et Super Hornet.

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20 janvier 2016 3 20 /01 /janvier /2016 17:20
Le CEMM remet la médaille d’officier de l’ordre national du mérite au VAE Mark I. Fox (US Navy)

 

20 Janvier 2016 Marine Nationale

 

L’Amiral Bernard Rogel, chef d’état-major de la marine, a remis la médaille d’officier de l’ordre national du mérite au vice-amiral d’escadre Mark I. Fox en présence de l’ambassadrice des Etats-Unis à Paris.

 

Cette distinction, remise au nom du Président de la République, témoigne de la qualité des relations historiques entre les marines américaine et française. Elle vise à saluer le vice-amiral d’escadre Fox pour son action personnelle et son haut niveau d’engagement dans la construction du partenariat entre nos deux marines.

 

La marine a atteint avec l’US Navy un niveau de confiance particulièrement élevé. Cette confiance permet aujourd’hui à l’amiral commandant le groupe aéronaval d’assurer également le commandement de la Task Force 50, normalement attribuée à un Américain. C’est une première dans l’histoire des relations entre nos deux marines.

 

En tant qu’adjoint au commandant des forces armées américaines dans la zone Proche et Moyen-Orient (CENTCOM), l’Amiral Fox œuvre depuis l’intervention en Afghanistan pour le renforcement de notre collaboration maritime bilatérale dans le golfe arabo-persique et dans le nord de l’océan Indien.

 

Institution républicaine créée en 1963 par le Général de Gaulle, l’ordre national du Mérite est le second ordre national après la Légion d’honneur. Il a pour vocation de récompenser les « mérites distingués » et d’encourager les forces vives du pays.

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15 janvier 2016 5 15 /01 /janvier /2016 12:30
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

13/01/2016 Sources : État-major des armées

 

Le 6 janvier 2016, aux commandes d’un avion C-2A Greyhound, un équipage américain a réalisé une série d’appontages sur le porte-avions Charles de Gaulle.

 

Les neuf appontages et les séries de touch-and-go (ou manœuvres de poser-décoller) effectuées ont permis à trois pilotes américains de s’entraîner à se poser sur le porte-avions français.

 

Les porte-avions américain Harry S. Truman et français Charles de Gaulle présentent de légères différences : la disposition du pont, l’emplacement du miroir, les brins d’arrêt ne sont pas les mêmes. Pour être parfaitement à l’aise en mission opérationnelle, les pilotes doivent connaître l’environnement de travail du pont d’envol. En effet, lorsqu’un pilote qualifié à l'appontage change de type de porte-avions, il doit effectuer une carrier qualification ou adaptation. Elle consiste en une passe avec remise de gaz, des touch-and-go sur le pont et un appontage. Le pilote est ainsi parfaitement à l’aise pour effectuer des missions opérationnelles.

 

La présence de marins américains à bord du porte-avions français a également participé à la réussite de cette requalification, notamment celle d’un Landing Signal Officer (officier d’appontage) du porte-avions Harry S. Truman. L’officier d’appontage américain a livré son expertise aux officiers d’appontage français sur le guidage final du type d’appareil. Les équipes « pont d’envol hélicoptère » françaises se sont ainsi  re-familiarisées aux mouvements et aux caractéristiques particulières d’emploi du C-2 sur le pont d’envol dans un environnement dédié à l’entraînement.

 

Les C-2A Greyhound sont des avions de transport « cousin » de l’avion de guet aérien E-2C Hawkeye. Aéronefs à vocation maritime, ils assurent des missions de soutien logistique entre la terre et les porte-avions. Equipés de deux turbopropulseurs de 5 000 chevaux chacun et d’un porte-cargo à l’arrière, ils peuvent embarquer jusqu’à 15 passagers et quatre tonnes de fret.

 

Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise actuellement 3 500 militaires. Aux côtés de la coalition, elle combat le groupe terroriste Daech en Irak et en Syrie, en frappant l’organisation terroriste avec ses moyens aériens. Le dispositif de la force Chammal comprend également des militaires projetés à Bagdad et Erbil pour assurer la formation et le conseil des militaires irakiens. Les moyens aériens sont composés de 38 chasseurs (armée de l’Air et Marine nationale), ainsi que de capacités de renseignement, de commandement, de contrôle (C2) et de ravitaillement. Depuis le 23 novembre 2015, le groupe aéronaval (GAN) est intégré à la force Chammal. Il est composé du porte-avions Charles de Gaulle, de la frégate de défense aérienne (FDA) Chevalier Paul, de la frégate multi-mission (FREMM) Provence, de la FREMM Aquitaine, du bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) Marne, de la frégate allemande Augsburg. Le 26 novembre 2015, la frégate légère furtive (FLF) Courbet a également rejoint le dispositif Chammal en Méditerranée orientale. Si nécessaire, le dispositif peut être soutenu par des moyens complémentaires de ravitaillement (C135-FR) et de contrôle aérien (E3F).

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photo Marine Nationale

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31 décembre 2015 4 31 /12 /décembre /2015 12:30
photo US Navy

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30 déc. 2015 US Navy

 

ARABIAN GULF (Dec. 29, 2015) Aircraft return to the flight deck aboard the aircraft carrier USS Harry S. Truman (CVN 75) upon completion of the ship’s first mission in support of Operation Inherent Resolve. The Harry S. Truman carrier strike group is deployed in support of Operation Inherent Resolve, maritime security operations and theater security cooperation efforts in the U.S. 5th Fleet area of Operations. (U.S. Navy video by Mass Communication Specialist 3rd Class J. Richardson/Released)

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31 décembre 2015 4 31 /12 /décembre /2015 12:30
USS Harry S. Truman ordnancemen load bombs onto F/A-18 strike fighters for missions against ISIL


30 déc. 2015 US Navy

 

ARABIAN GULF (Dec. 29, 2015) Aviation ordnancemen upload ordnance on the flight deck aboard the aircraft carrier USS Harry S. Truman (CVN 75) in support of Operation Inherent Resolve. The Harry S. Truman carrier strike group is deployed in support of Operation Inherent Resolve, maritime security operations and theater security cooperation efforts in the U.S. 5th Fleet area of Operations. (U.S. Navy video by Mass Communication Specialist 3rd Class J. Richardson/Released)

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30 décembre 2015 3 30 /12 /décembre /2015 08:30
photo EMA / Marine Nationale

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29/12/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Après une courte escale à Djibouti du 17 au 20 décembre, la frégate multi-missions « Provence » a intégré le 23 décembre, la Task Force 58 (TF 58) constituée autour du porte-avions USS « Harry S. Truman ». La TF 58 a franchi le détroit d’Ormuz le 26 décembre et est entré dans le golfe arabo-persique.

 

La première intégration d’une FREMM au sein d’un groupe aéronaval US en zone de crise n’a posé aucune difficulté technique et témoigne de la remarquable interopérabilité des marines française et américaine.

 

Au cours de cette période, le Caïman Marine de la flottille 33F embarqué sur la « Provence » a pu apponter sur le porte-avions américain et les bâtiments ont échangé des officiers de liaison.

 

La « Provence » a maintenant quitté la TF58 pour intégrer l’escorte du porte-avions « Charles de Gaulle », actuellement engagé dans l’opération « Chammal » qu’elle a rejoint le 28 décembre.

 

photo EMA / Marine Nationale

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Repère

Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise actuellement 3 500 militaires.

Aux côtés de la coalition, elle combat le groupe terroriste Daechen Irak et en Syrie, en frappant l’organisation terroriste avec ses moyens aériens. Le dispositif de la force Chammal comprend également des militaires projetés à Bagdad et Erbil pour assurer la formation et le conseil des militaires irakiens.

Les moyens aériens sont composés de 38 chasseurs (armée de l’air et marine), ainsi que de capacités de renseignement, de commandement, de contrôle (C2) et de ravitaillement. Depuis le 23 novembre 2015, le groupe aéronaval (GAN) est intégré à la force Chammal. Il est composé du porte-avions Charles de Gaulle, de la frégate de défense aérienne (FDA) Chevalier Paul, de la frégate anti-sous-marine (FASM) La Motte Piquet, de la frégate multi-mission (FREMM) Provence, du bâtiment de commandement et de ravitaillement (BCR) Marne, de la frégate belge Léopold Ier, de la frégate allemande Augsburg et de la frégate britannique HMS Defender. Le 26 novembre 2015, la frégate légère furtive (FLF) Courbet a également rejoint le dispositif Chammal en Méditerranée orientale.

Si nécessaire, le dispositif Chammal peut être soutenu par des moyens complémentaires de ravitaillement (C135-FR) et de contrôle aérien (E3F).

photo EMA / Marine Nationale

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30 décembre 2015 3 30 /12 /décembre /2015 08:30
Christmas Time Over The Gulf Of Oman


source Strategy Page

 

GULF OF OMAN (Dec. 25, 2015) Aircraft assigned to Carrier Air Wing (CVW) 7 embarked aboard the aircraft carrier USS Harry S. Truman (CVN 75) fly over the Gulf of Oman. The Harry S. Truman Carrier Strike Group is deployed in support of maritime security operations and theater security cooperation efforts in the U.S. 5th Fleet area of responsibility. (U.S. Navy photo by Mass Communication Specialist 3rd Class J. R. Pacheco)

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16 décembre 2015 3 16 /12 /décembre /2015 08:30
Lafayette Returns!

SUEZ CANAL (Dec. 7, 2015) The French navy nuclear aircraft carrier Charles de Gaulle (R91) transits the Suez Canal as it enters the U.S. 5th Fleet area of operations. Commander, French Maritime Force, Rear Adm. René-Jean Crignola, embarked aboard Charles de Gaulle, took command of U.S. Naval Forces Central Command’s Task Force 50 Dec. 7. CTF 50 plans and conducts strike operations in the U.S. 5th Fleet area of operations. (Official French navy photo/Released)

 

December 9, 2015 By Vice Adm. Kevin Donegan* -  U.S. Navy

 

On December 7th, travelers near the Suez Canal witnessed an incredible sight as the French nuclear-powered aircraft carrier FS Charles de Gaulle (R 91) led a flotilla of warships from France, Belgium and Germany on a southbound transit into the U.S. Fifth Fleet area of operations, a crossing many of these vessels have made before at various times over the years. But Monday’s crossing held a special significance. 

 

That’s because after completing the transition into the Red Sea, the admiral commanding this multi-national battle group, French Navy Rear Adm. Rear Adm. René-Jean Crignola, took command of U.S. Naval Forces Central Command’s Task Force 50, which plans and conducts naval strike operations in the region, and is the primary executor of the U.S. Navy’s support to Operation Inherent Resolve — the fight to destroy the ISIL terrorist organization. This is the first time an American ally has held command of this task force.
Just before the battle group entered the Suez, France’s President Francois Hollande addressed the crew when he visited while Charles de Gaulle was off the Syrian coast, “In a few days you will be deployed in a new zone and will take command responsibilities of our allies in the framework of the coalition. After the cowardly and terrible attacks on our country, I decided to intensify the battle against Daesh … that means intensifying strikes,” he said, using the Arabic acronym for ISIL.

The French naval aviators from Charles de Gaulle now join our own Marine Corps naval aviators flying anti-ISIL strike missions from the deck of the amphibious assault ship USS Kearsarge (LHD 3) from its station in the Arabian Gulf. 

Besides bringing much-needed firepower to the fight – and returning carrier based naval aviation to the mission for the first time since October when USS Theodore Roosevelt departed Fifth Fleet — Charles de Gaulle’s presence underscores the firm resolve of our French allies to fully integrate into our operations. This partnership allows both of our navies to expand the boundaries of interoperability, making us an ever more formidable alliance and fighting force.

The enduring forward presence of the U.S. Navy in the waters of the Middle East and the resulting continual interaction with our allies and partners played a critical enabling role allowing France to seamlessly join our command structure. 

Interoperability is the measure of the degree to which various organizations or individuals are able to operate together to achieve a common goal. Our goal in this case is to apply naval strike power to the effort to degrade and destroy ISIL by fully integrating the forces of many nations into a common command and control structure. The ability of the French forces to join our U.S. structure in a command role has literally been decades in the making, even if over the years those working toward this day could not have foreseen the form all of the training, exercises, deployments, concepts and system development would take here in this part of the world — in this particular fight — against this common enemy of civilization and humanity.

I fully expect that we will learn a great deal from having France command Task Force 50. We will take these valuable lessons and keep moving forward, improving the process and increasing our effectiveness as a combat team.

Despite the turmoil ashore throughout the region, our Naval forces along with those of our partners, are performing an incredible job keeping the maritime reaches open and secure every day. That’s important when you consider that 40 percent of the energy vital to the global economy passes through this region that includes three of the world’s most strategically important maritime chokepoints on its way to market. 

The challenges in this region are great but not impossible. Our resolve is firm and our strategy is true. With the help of allies like France, willing to step up and lead, I have no doubt that we will achieve our objectives in this current campaign and come out a stronger, more capable force for having worked though this together.

 

 

* Commander, U.S. Naval Forces Central Command; Commander, U.S. Fifth Fleet and Commander, Combined Maritime Forces

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10 décembre 2015 4 10 /12 /décembre /2015 08:35
photo Marine Nationale

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09/12/2015 Sources : Ministère de la Défense

 

Le 26 novembre 2015, la frégate de surveillance Vendémiaire a fait escale à Dili, capitale du Timor oriental.

 

Cette escale a été l’occasion pour nos deux marines de coopérer tout en constituant un moment propice aux échanges avec les autorités politiques et militaires de ce pays.

 

Reçu par le ministre de la Défense timorais, monsieur Cirilo Cristovão, le capitaine de frégate Damien Lopez, commandant le Vendémiaire, a pu aborder plus en détail la coopération militaire bilatérale. Par ailleurs, cet échange a contribué à enrichir le dialogue entretenu par les pays de la zone Asie-Pacifique dans le cadre de la Theatre security cooperation. Mis en œuvre afin de partager leur approche de la sécurité maritime, ce dialogue vise à renforcer la coopération régionale pour mieux appréhender cette problématique.

 

Simultanément, les marins français ont reçu à bord leurs homologues timorais pour leur faire découvrir la frégate et les modes d’action de la Marine nationale, au travers notamment de démonstrations dynamiques : un exercice sécurité (Securex) et un exercice de contrôle de bâtiment (Visitex).

 

Sous le contrôle opérationnel de l’Amiral commandant la zone de responsabilité Asie-Pacifique (ALPACI), le déploiement de la frégate Vendémiaire s’inscrit dans le cadre de la mission de présence des Forces armées françaises dans la zone Asie-Pacifique. L’ALPACI se coordonne avec les Forces armées en Nouvelle-Calédonie (FANC) pour entretenir la coopération militaire avec l’ensemble des pays riverains.

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9 décembre 2015 3 09 /12 /décembre /2015 08:20
Future USS Zumwalt underway for the first time conducting at-sea tests and trials in the Atlantic Ocean

The future USS Zumwalt (DDG 1000) is underway for the first time conducting at-sea tests and trials in the Atlantic Ocean Dec. 7, 2015. The multimission ship will provide independent forward presence and deterrence, support special operations forces, and operate as an integral part of joint and combined expeditionary forces. U.S. Navy photo courtesy of General Dynamics Bath Iron Works

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19 novembre 2015 4 19 /11 /novembre /2015 22:30
USS Kearsarge embarked Marine Corps AV-8B Harrier strikes ISIL


19 nov. 2015 by US Navy

 

ARABIAN GULF (Nov. 19, 2015) An AV-8B Harrier assigned to Marine Medium Tiltrotor Squadron (VMM) 162 (Reinforced), 26th Marine Expeditionary Unit (26th MEU), launches from the amphibious assault ship USS Kearsarge (LHD 3) to conduct their first missions over Iraq in support of Operation Inherent Resolve. Kearsarge is deployed to the U.S. 5th Fleet, supporting Operation Inherent Resolve, the effort to degrade and ultimately destroy ISIL; maritime security operations; and regional theater security cooperation efforts. (U.S. Navy video/Released)

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18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 17:20
Deux LRASM ont été intégrés sur un Super Hornet pour des essais en vol. © NAVAIR

Deux LRASM ont été intégrés sur un Super Hornet pour des essais en vol. © NAVAIR

 

18/11/2015 par Emmanuel Huberdeau – Air & Cosmos

 

Le Naval Air Systems Command (NAVAIR : Centre de recherche et de développement de l'aéronavale américaine) a annoncé le début des essais en vol du programme d'intégration du missile LRASM (Long Range Anti-Ship Missile) sur F/A-18E/F Super Hornet. Les essais ont lieu sur la base aéronavale de Patuxent River.

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18 novembre 2015 3 18 /11 /novembre /2015 14:55
photo Marine Nationale

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18 Novembre 2015 à 14:42 Sources : Etat-major des armées / Marine Nationale

 

Le 18 novembre 2015, le Groupe aéronaval (GAN) a appareillé pour la Méditerranée orientale. Il prendra part rapidement aux opérations de la Coalition contre Daech et complètera ainsi le dispositif de l’armée de l’Air déjà engagé au Levant. Le GAN permettra de multiplier par trois le potentiel miliaire des moyens français engagés au Levant contre Daech.

Au cours de son déploiement, il participera également à des manœuvres conjointes dans un cadre multinational et interalliés, ainsi qu’à des manœuvres bilatérales avec les pays de la région. Dans le golfe Arabo-Persique, le GAN assurera durant plusieurs semaines le commandement de la Task Force 50.

 

Cette mission du GAN est baptisée Arromanches 2.

 

Constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle, le groupe aéronaval a pris le nom de Task Force 473 (TF 473). La TF 473 est placée sous le commandement tactique du contre-amiral René-Jean Crignola. Le GAN sera placé successivement sous le contrôle opérationnel de commandant de la zone maritime en Méditerranée et du commandant de la composante navale de la coalition dès son entrée en Océan Indien et jusqu’à sa sortie du golfe Arabo-Persique, puis du commandant de la zone maritime de l’Océan Indien jusqu’au franchissement du canal de Suez.

 

Le GAN est composé :

- Du porte-avions Charles de Gaulle, du groupe aérien embarqué (18 Rafale Marine, 8 Super étendard modernisés, 2 Hawkeye, 2 Dauphin et 1 Alouette III) et de l’état-major du GAN ;

- D’une frégate de défense aérienne Chevalier Paul (+ 1 Caïman Marine) ;

- D’une frégate anti sous-marine La Motte Piquet (+ Lynx) jusqu’à mi-janvier 2016 ;

- D’une frégate multimission (FREMM) Aquitaine (+ 1 Caïman Marine) à partir de mi-janvier 2016 ;

-D’un bâtiment de commandement et de ravitaillement Marne (+ Alouette III) ;

- D’une frégate anti-aérienne britannique HMS Defender (+ Lynx et Merlin) ;

- D’une frégate belge Léopold Ier (+ Alouette III) du 18 novembre 2015 au 4 janvier 2016 ;

 

Il pourra être renforcé par la FREMM Provence (+ 1 Caïman Marine) lors de son déploiement de longue durée, et ponctuellement de moyens américains navals et aériens.

 

Des bâtiments de d’autres nations alliées pourront être intégrés au GAN.

 

L’interopérabilité des moyens français avec ceux des Marines alliées est l’assurance pour la Coalition de pouvoir agir avec une très grande réactivité au Levant.

 

La présence du GAN dans le golfe Arabo-Persique augmente ainsi les opportunités de coopération avec nos partenaires régionaux. Elle est le signe concret de l’intérêt que la France porte à cette zone.

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16 novembre 2015 1 16 /11 /novembre /2015 12:20
(Dec. 19, 2004) – The amphibious assault ship USS Bonhomme Richard (LHD 6) underway in the waters of Western Pacific Ocean. U.S. Navy photo by Photographer 3rd Class Matthew J. Kuhlman

(Dec. 19, 2004) – The amphibious assault ship USS Bonhomme Richard (LHD 6) underway in the waters of Western Pacific Ocean. U.S. Navy photo by Photographer 3rd Class Matthew J. Kuhlman

 

 

As the world mourns the tragic loss of life in the terrorist attacks in Paris on Nov. 13, we wanted to share a few small examples of the enduring friendship between America’s Navy and America’s first Ally, France.  As SECDEF Carter stated, “for more than 200 years the United States and France have stood together in friendship. We have stood for the common good and security of all nations. We have never stood closer than we do now. Vive la France.”

In addition to five ships that bear or have borne French names, take a moment to check out the four links to blogs posted here during the visit to the U.S. of the replica of the Revolutionary War era French naval ship L’Hermione.

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13 novembre 2015 5 13 /11 /novembre /2015 08:20
Flight Ready: Atlantic Targets & Marine Operations


12 nov. 2015 NAVAIRSYSCOM

 

Preparing the fleet for the frontlines, that's the job of the Atlantic Target and Maritime Operations (ATMO) division, Norfolk detachment, based in Dam Neck, Va. Learn how this fleet training team executes simulated attacks on ships and aircraft and why these realistic threat drills are vital to a battle group's success at sea.

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 19:30
Intégré au CSG 12, le Cassard navigue avec l’USS Roosevelt - photo Marine Nationale

Intégré au CSG 12, le Cassard navigue avec l’USS Roosevelt - photo Marine Nationale

 

12.11.2015 Marine Nationame

 

Depuis le 24 septembre 2015, la frégate anti-aérienne Cassard, est déployée dans le golfe Arabo-Persique dans le cadre de l’opération Chammal. Elle a ainsi rejoint le groupe aéronaval américain CSG 12 constitué autour du porte-avions Theodore Roosevelt, de plusieurs destroyers lance-missiles et d’un croiseur.

 

Ce déploiement vise à coordonner et contrôler l’activité aérienne au-dessus du golfe Arabo-Persique au profit des avions de l’opération Inherent Resolve agissant en Irak et en Syrie. Le Cassard doit également diriger la défense aérienne d’une zone du Golfe sous les ordres du centre de coordination des opérations aériennes (CAOC) d’Al Udeid et contribuer ainsi à la sécurité des aéronefs de la coalition.

 

Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise 700 militaires. Elle vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un appui (aérien et formation) aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste Daech. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale, trois Mirage 2000D et trois Mirage 2000N) et d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2.

 

Reportage photos

Le Cassard dans le golfe Arabo-Persique - photo Marine Nationale

Le Cassard dans le golfe Arabo-Persique - photo Marine Nationale

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 17:20
photo Lockheed Martin

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Nov 10, 2015 ASDNews Source : Lockheed Martin

 

LM Transitions to Digital Engineering in Program's 60th Year

 

The U.S. Navy conducted successful test flights Nov. 7 and 9 of two Trident II D5 Fleet Ballistic Missiles built by Lockheed Martin (NYSE: LMT). The world’s most reliable large ballistic missile, the D5 missile has achieved a total of 157 successful test flights since design completion in 1989. The D5 is the sixth in a series of missile generations deployed since the sea-based deterrent program began 60 years ago. The Navy launched the unarmed missiles in the Pacific Ocean from a submerged Ohio-class submarine. The missiles were converted into test configurations using kits produced by Lockheed Martin that contain range safety devices and flight telemetry instrumentation. The test flights were part of a demonstration and shakedown operation, which the Navy uses to certify a submarine for deployment following an overhaul.

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 08:20
The ALFS integrated dipping sonar system enables the MH-60R to accomplish assigned undersea warfare missions. (Photo credit Lockheed Martin)

The ALFS integrated dipping sonar system enables the MH-60R to accomplish assigned undersea warfare missions. (Photo credit Lockheed Martin)


06.11.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense

Bon an, mal an Raytheon Company et Thales Underwater Systems, Brest, produisent une vingtaine de sonars de type AN/AQS-22 Airborne Low Frequency Sonar (ALFS). Les deux firmes sont associés pour la production de ce sonar qui équipe les hélicoptères MH-60R de l'US Navy.

La dernière commande en date porte sur 22 sonars (20 pour l'US Navy et 2 pour la marine saoudienne). 59% du marché sera réalisé à Brest par TUS. Montant de ce marché: 65,8 millions de dollars.

 

L'avis du Pentagone:

"Raytheon Co., Integrated Defense Systems, Portsmouth, Rhode Island, is being awarded a $65,801,757 modification to a previously awarded firm-fixed-price contract (N00019-13-C-0012) for the procurement of 22 MH-60R full-rate production Lot XIII Airborne Low Frequency Sonar systems for the Navy (20), and the government of Saudi Arabia (2), including associated program management support. Work will be performed in Brest, France (59 percent); Portsmouth, Rhode Island (37 percent); and Johnstown, Pennsylvania (4 percent), and is expected to be completed in September 2018. Fiscal 2015 aircraft procurement (Navy) and foreign military sales funds in the amount of $65,801,757 are being obligated at time of award, none of which will expire at the end of the current fiscal year. This modification combines purchases for the Navy ($59,819,779; 91 percent), and the government of Saudi Arabia ($5,981,978; 9 percent) under the Foreign Military Sales program. The Naval Air Systems Command, Patuxent River, Maryland, is the contracting activity."

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7 novembre 2015 6 07 /11 /novembre /2015 17:20
Countermine System (GBU-61) credits: US Navy

Countermine System (GBU-61) credits: US Navy

 

November 2, 2015: Strategy Page

 

The United States has developed a new way to deliver naval mines; by attaching a JDAM glide and satellite navigation kit to naval mines designed to be dropped, like dumb bombs, into shallow water. The JDAM mine can glide 70 kilometers thus avoiding many enemy air defenses. This avoids risking aircraft, which typically have to come down low to drop the air delivered mines. It also means you don’t have to risk your nuclear subs for the delivery of these mines. Subs have long been an effective way to plant mines in enemy waters. The JDAM approach does not eliminate all risk from anti-aircraft systems. China and Russia have modern S-300 systems with ranges of over a hundred miles. But the farther away the attacking aircraft are the less they are at risk. That’s because American aircraft go into combat with EW (electronic warfare aircraft) and EW devices on all aircraft. That provides a lot of protection but it is not 100 percent and the less time you spend in the danger zone the less risk you are exposed to.

 

Meanwhile the United States and its allies have to spend a lot more effort figuring out how to effectively deal with enemy naval mines. The few enemies the West has possess a lot of these mines. Iran has a few thousand naval mines and that is a small arsenal compared to Russia (over 200,000), China (over 100,000) and North Korea (over 50,000). It is generally agreed that all these mines are a serious danger. While often ignored, naval mines are a formidable weapon. But these passive weapons just don't get any respect. The historical record indicates otherwise.

 

Modern naval mines were widely used for the first time over a century ago, during the Russo-Japanese war (1904- 1905). These were contact mines, floating in shallow water and kept in place with an anchor and chain. When the tide was right they would be just below the surface, ready to explode whenever struck by a ship. Some 2,000 of these mines were used to destroy sixteen ships during the Russo-Japanese war. That's one ship lost for every 125 mines used.

 

During World War I (1914-18), modern mine tactics and clearing methods evolved. Thousands of mines were laid to provide defensive barriers against enemy movement in the North Sea. Mines were also used offensively by secretly placing them across known enemy sea routes. More than 1,000 merchant and war ships were lost because of the 230,000 mines used. That's over 200 mines used for every ship lost.

 

During World War II there was a major effort to develop better mine clearing methods to deal with an even larger number of mines. During World War II a total of 2,665 ships were lost or damaged to 100,000 offensive mines. That's one ship for every 37 mines. Some 208,000 mines were used defensively to inhibit enemy movement and tie up his resources.

 

Naval mines achieved several striking successes during World War II. In the Pacific naval mines proved more destructive to the Japanese war effort than the atom bombs. During a 10 week period between April and August 1945, 12,000 mines were delivered to the Japanese coast by American bombers. These destroyed 1,250,000 tons of Japanese shipping (670 ships hit, 431 destroyed). That's 18 mines for each ship hit. The Americans had air superiority, so losses during these 1,500 missions amounted to only 15 planes, most of them accidents. Had these missions been flown against opposition, losses would have been between 30 and 60 aircraft, plus similar losses to their fighter escorts. Either way it was a stunning success for naval mines,

 

A conventional submarine campaign was also waged against Japanese shipping using mines. Comparisons between subs using mines and torpedoes are interesting. A hundred submarines were involved in a campaign that ran for 45 months from December, 1941 to August, 1945. Some 4.8 million tons of enemy shipping was sunk with torpedoes. For every U.S. submarine sailor lost using submarine launched torpedoes, 560 tons of enemy ships were sunk. During the mine campaign 3,500 tons were sunk for each U.S. fatality. On a cost basis the difference was equally stark. Counting the cost of lost mine laying aircraft (B- 29's at $500,000 each) or torpedo armed submarine ($5 million each), we find that each ton of sunk shipping cost six dollars when using mines and fifty-five dollars when using submarines. This data was classified as secret until the 1970s. It indicates that mines might have been more effective than torpedoes, even if the mines were delivered by submarine.

 

The Germans waged a minelaying campaign off the east coast of the United States between 1942 and 1944. Only 317 mines were used, which sank or damaged 11 ships. This was a ratio of 29 mines used for each ship hit. More importantly eight major ports were closed for a total of 40 days. One port, Charleston, South Carolina, was closed for 16 days, tying up not only merchant shipping but the thousands of men, warships, and aircraft dealing with the situation. American submarines also waged a limited mine campaign in the Pacific. For 658 mines used, 54 ships were sunk or damaged (12 mines per ship). No subs were lost. Considerable Japanese resources were tied up dealing with the mines. On the Palau atoll the port was closed by the mines and not reopened until the war ended. Even surface ships were used to lay mines. Three thousand mines were laid by destroyers. Only 12 ships were hit but these were barrier fields, not the ambush type mine fields that a submarine can create by sneaking into an enemy held area.

 

In Korea during the early 1950s, the Soviets provided North Korea with 3,000 mines, many of 1904 vintage. These were used to defend Wonson harbor. It took several weeks for UN forces to clear these, at a loss of a dozen ships hit. Half of these ships were destroyed.

 

During the Vietnam War over 300,000 American naval mines were used, primarily in North Vietnamese rivers. The vast majority were not built as mines but were aerial bombs equipped with magnetic sensors instead of fuzes. These bombs/mines used a small parachute to insure that no damage occurred on landing. In shallow water these makeshift weapons sat on the bottom and performed as well as mines. Haiphong Harbor was actually mined with 11,000 of these "destructors," as the US air force called them, and less than a hundred conventional mines. Haiphong Harbor was shut down completely for months, and it took years to clear out all the American mines. The "destructor" mine design was so successful that it is still in use, using more modern electronics, as the Mk 62 mine. This is one of the mines delivered via JDAM.

 

During the 1991 Gulf War the Iraqis laid over a thousand mines off the Iraqi and Kuwaiti coast. The predominantly American naval forces did not have sufficient mine sweeping resources to deal with this situation and had a helicopter carrier and cruiser hit and damaged while trying to clear the area. This effectively prevented any U.S. amphibious operations, although the Marines were not going to be used for a landing anyway. It took over a month of mine clearing after the fighting ceased to eliminate all the mines. In the meantime, two U.S. warships were damaged by these mines.  In 2003, the Iraqis again tried to use mines, but were hampered by prompt American, British, and Kuwaiti action.

 

In any future war naval mines will again surprise everyone with how effective they are. It is feared that terrorists might get their hands on some bottom mines, but so far, there do not appear to have been any attempts.

 

The only American minesweeper ships are the twelve Avengers. These are 72.3 meter (224 foot) long ships that draw only 4.8 meters (15 feet) of water, enabling them to operate close to shore. The crews are supposed to be trained in navigating such shallow areas. The Avengers are armed with two .50 cal. (12.7mm) machine guns, two 7.62mm machine guns, two 40mm automatic grenade launchers, and have a crew of 84. Most Avengers are stationed in the Persian Gulf, operating out of Bahrain or in the Pacific and based in Sasebo, Japan. The “home port” for the Avengers is San Diego, California.

 

The U.S. Navy needs these minesweepers because replacements (minesweeping helicopters and minesweeping versions of the new LCS ship) have been delayed by technical problems. Meanwhile the U.S. has upgraded the sonars on its Avenger class ships. The new AN/SQQ-32(V)4 mine hunting sonar improves the ability of the sonar to spot mines on sea bottoms cluttered with other stuff (natural or manmade). In many parts of the world shallow coastal waters are used as a dumping ground for junk that won’t float ashore. This has been found to help hide bottom mines. The Avengers have also received new engines. The four original diesel engines in each Avenger have never been very reliable. With their new engines the Avengers can still move at up to 27 kilometers an hour. Normally, however, the Avengers move much more slowly (3-4 kilometers an hour) when searching for mines. The Avengers also received improved hydraulics and new mine destruction systems.

 

The upgrade is part of an attempt to deal with delays in the arrival of the LCS class ships, or at least the ones equipped for mine hunting. So for the last decade the navy has been hustling to refurbish its existing Avengers. The 3,000 ton LCS ships are designed for minesweeping (and a lot of other jobs) but the 1,400 ton Avengers specialize in minesweeping. Built mostly of wood and very little iron, the fourteen Avengers entered the fleet between 1987 and 1994, and twelve are still in service. The upgrades enable the surviving Avengers to remain in service at least until 2016 and probably until the end of the decade.

 

The navy also had a dozen smaller Osprey class coastal mine hunters (900 tons displacement, crew of 51), but these were all given away to foreign navies and are to be replaced by the LCS and new minesweeping helicopters.

 

The navy has also equipped helicopters for mine clearing. But the navy is having a very difficult time maintaining its force of 30 MH-53E helicopters. This aircraft are the only ones that can tow a sled containing naval mine detecting gear. This sort of thing is called AMCM (Airborne Mine Countermeasures) and is considered essential in areas, like the Persian Gulf, where the enemy (Iran) might use a lot of naval mines that would have to be cleared quickly in wartime.

 

The MH-53E is an update of the original 1960s era CH-53 and entered service in the early 1980s. Fifty MH-53Es were built and they have been worked hard ever since. That’s why only 30 are left and few of them are fit to fly at any one time. Originally the navy planned to retire the MH-53Es in 2008, but replacements (lighter sleds that could be pulled by smaller and more modern helicopters) did not work out as expected. So retirement was pushed to 2012, then 2017 and currently the navy hopes to keep some MH-53Es operational into the 2020s.

 

Meanwhile efforts continue to develop lighter equipment for the mine hunting task. Some of these projects have had limited success. The AQS-24A mine-hunting system looks like a torpedo with extra fins and attachment. It is lowered into the water and dragged by the helicopter at speeds of up to 34 kilometers an hour. The AQS-24A contains a high resolution sonar that seeks out mines than lay on the sea bottom, waiting for ships to pass over. The bottom mine then detonates if a ship type it was programmed to attack is detected. The U.S. Navy has been using this mine hunting approach since the 1980s. The original sled system went through several major upgrades and is considered very reliable and effective. The MH-53E sled is still able to carry more equipment and sweep a larger area faster.

 

The U.S. Navy has also developed a complementary system, ALMDS (Airborne Laser Mine Detection System). Designed to operate from the MH-60S helicopter, ALMDS uses a Laser Imaging Detection and Ranging blue-green laser to detect, and identify naval mines near the surface. Unlike the AQS-24A, ALMDS operates from the low flying, and smaller, helicopters. Surface mines are either moored (via a chain to the bottom) or floating (a favorite terrorist tactic), and many float just below the surface. The laser works very quickly, and enables the ALMDS equipped helicopter to quickly check out large areas for surface mines. Terrorists have used naval mines before, of the floating variety. Navies tend to use the more sophisticated, expensive and hard-to-get bottom mines (that lie on the bottom, in shallow water).

 

Many of these American mine detecting and clearing systems have had performance problems and work continues to make them more reliable and effective. American allies have also developed new mine detection and clearing tools and some of the new U.S. equipment uses foreign tech. While new mine designs have become more effective, the basic problem is that the many older mine designs are still very dangerous, especially for the unprepared.

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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 08:20
photo Lockheed Martin

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Nov 3, 2015 ASDNews Source : Lockheed Martin

 

Vector Hawk to support canister and hand launch requirements for U.S. forces

 

Lockheed Martin (NYSE: LMT) was awarded a $4.6 million contract from the Combating Terrorism Technical Support Office (CTTSO) for the continued development of a maritime canister-launched small Unmanned Aircraft System (sUAS). “We are extending our sUAS capabilities to tactical maritime users with the Vector Hawk’s innovative canister deployment and launch ability,” said Jay McConville, Lockheed Martin director of business development for Unmanned Solutions.

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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 08:20
photo US Navy

photo US Navy

 

Nov 3, 2015 ASDNews Source : US Navy

 

The U.S. Navy held a keel laying ceremony for the future USS Billings (LCS 15) at Marinette Marine Corporation shipyard, Nov. 2. Mrs. Sharla Tester, Billings' sponsor and wife of Sen. Jon Tester, authenticated the ship's keel. As the ship's sponsor, Tester serves as an advocate and honorary member of the crew .

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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 08:20
photo US Navy

photo US Navy

 

Nov 3, 2015 ASDNews Source : US Navy

 

Expeditionary Fast Transport (EPF) 6, the future USNS Brunswick, completed Acceptance Trials, Oct. 23. The ship, which was constructed by Austal USA, is the sixth ship of the EPF class. The EPF class ships were formerly known as Joint High Speed Vessels (JHSV).

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 17:35
USS Ronald Reagan (CVN 76) steams alongside the Republic of Korea Navy destroyer Sejong the Great (DDG 991) - photo US Navy

USS Ronald Reagan (CVN 76) steams alongside the Republic of Korea Navy destroyer Sejong the Great (DDG 991) - photo US Navy


04.11.2015 Portail des Sous-Marins
 

Le mois dernier, un sous-marin d’attaque chinois se serait approché du porte-avions américain USS Ronald Reagan, au sud du Japon, selon des responsables US de la défense.

Le sous-marin chinois a navigué très près du Reagan pendant le weekend du 24 octobre, indiquent des responsables américains. L’incident s’est produit alors que le Ronald Reagan se dirigeait vers la mer du Japon en contournant l’extrémité sud du Japon.

Quelques jours plus tard, le Ronald Reagan a été survolé par 2 bombardiers russes Tu-142, à une altitude de 500 pieds et à une distance de moins d’un nautique. Des chasseurs de l’US Navy ont décollé pour écarter les bombardiers russes.

Quelques jours plus tard, un destroyer américain, l’USS Lassen, naviguait à proximité d’une île revendiquée par la Chine en mer de Chine du Sud.

Cette affaire est dévoilée au moment où l’amiral Harry Harris, commandant des forces américaines dans le Pacifique, se rendait en Chine pour la première fois.

Aucun détail supplémentaire — type du sous-marin impliqué, a-t-il fait surface ou est-il resté en plongée, à quelle distance s’est-il approché du porte-avions — n’a été diffusé.

Un responsable a expliqué que la détection du sous-marin a déclenché les sirènes d’alarme sur le Reagan, mais il ne pouvait indiquer si un appareil de lutte ASM a été envoyé pour localiser et pister le sous-marin.

Cet incident rappelle le pistage en 2006 du porte-avions USS Kitty Hawk.

Un sous-marin de la classe Song avait fait surface le 26 octobre 2006 à portée de torpille du Kitty Hawk. Cet incident avait aussi été révélé lors d’une visite en Chine du commandant de la flotte du Pacifique, l’amiral Gary Roughead.

On ignore si le sous-marin chinois a respecté les règles de sécurité mises au point dans un accord destiné à prévenir les collisions en mer.

 

Référence : Washington Free Beacon (Etats-Unis)

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