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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 16:50

IHEDN

 

18.02.2013 IHEDN

 

Dans le cadre la session nationale « Politique de défense », ce samedi 16 février 2013, le général Jean-Marc Duquesne a eu le plaisir d’accueillir les auditeurs de la Bundesakademie für Sicherheitspolitik, la BAKS, l’homologue allemand de l’IHEDN.

 

Les liens qui unissent la BAKS et l’IHEDN sont anciens. Notre coopération est étroite comme en témoigne la récente visite du général Duquesne, le 14 janvier dernier, à Berlin, avec Jacques-Pierre Gougeon, historien et germaniste, dans le cadre de la commémoration du 50e anniversaire du Traité de l’Elysée.

 

Commémoration qui a débuté dès le 12 décembre dernier pour l’IHEDN à Paris, avec l’invitation faite à Stéphane Beemelmans, secrétaire d’État au ministère de la défense de la République fédérale d’Allemagne, à venir s’exprimer devant un très large public.

 

Ces deux événements ont d’ailleurs fait l’objet d’une plaquette qui a été distribuée à l’ensemble des auditeurs de l’IHEDN, comme à ceux de la BAKS et qui est consultable sur le site de l’Institut.

 

http://www.ihedn.fr/?q=content/traite-elysee-50ans-grands-temoins-forum-schonhauser 

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 13:45

http://assets.digital.cabinet-office.gov.uk/government/uploads/system/uploads/image_data/file/6563/s300_MNT-20130211-019-Unclass-073.jpg

Troops from Ghana prepare to fly into Mali on a

99 Squadron C-17 - Picture ABIPP RAF, MOD 2013

 

18 February 2013 Ministry of Defence

 

The UK will contribute 40 people to the European Union Training Mission in Mali, the Defence Secretary has announced.

 

The objective of the EU Training Mission is to enable the Malian authorities to restore democratic order, re-establish the state’s authority and neutralise organised crime and the terrorist threat.

 

An infantry training team and a mortar and artillery training team will deploy to Mali to work with Malian Armed Forces personnel currently fighting violent extremists in the African country.

 

The UK will not be providing troops in a combat role or force protection for the mission - that role is being carried out by French and Czech personnel - but will provide 4 headquarters staff and 3 civilians under the Foreign & Commonwealth Office’s ‘Preventing sexual violence initiative’ who will be responsible for human rights and gender awareness training.

Twenty-one troops from 1st Battalion The Royal Irish Regiment will carry out the infantry training and 12 personnel the mortar and artillery training.

 

Defence Secretary Philip Hammond said:

British personnel will play an important role in the EU Training Mission, enabling the Malian authorities to restore order and deny a safe haven to terrorists.

 

This mission is a further demonstration of our commitment to tackle violent extremism and the threat that it poses to our national interests.

The EU Training Mission is being launched in Brussels today and marks a significant partnership between the UK and the Republic of Ireland. Ireland will contribute 6 infantry training personnel to augment the UK infantry training team.

Mr Hammond continued:

We welcome the Irish contribution which will help develop further working relations between our 2 countries.

Last month 2 RAF C-17 aircraft were deployed in a logistical role to support the French intervention, delivering troops and equipment, and a Sentinel aircraft has been providing intelligence and surveillance support.

 

And since then, as well as offering the 40 personnel confirmed by the EU mission launch today, the UK is offering up to 200 training personnel to English-speaking nations neighbouring Mali. While these negotiations are ongoing, an RAF C-17 aircraft has been used at Ghana’s request to deliver around 120 Ghanaian engineering troops to Mali to support African-led training.

 

An advance party of the EU Training Mission has deployed and the main contingent is due to deploy later in the spring.

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 12:51

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/d/d9/Flag_of_Norway.svg/800px-Flag_of_Norway.svg.png

 

18.02.2013, norwaynews.com

 

Norway will establish a counterterrorism unit after the small Nordic nation lost more than 80 lives to acts of terror on home soil and abroad in about an 18-month span. The new unit will be led by the nation's Police Security Service with assistance from Norway's military intelligence service. The plan is to have the effort up and running by the end of 2013, Norway's Minister of Justice and Public Security Grete Faremo said Monday.The nation of about 5 million people was rocked on July 22, 2011, when Norwegian Anders Behring Breivik killed 77 of his countrymen, many of them are students.

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 12:50

http://www.lw.admin.ch/internet/luftwaffe/fr/home/verbaende/einsatz_lw/kunstflugteam/ps.parsys.24559.Image.direct.jpeg

Photos: Lauberhorn 2012 © Bruno Petroni

 

19.02.2013 Romandie.com (ats)

 

L'armée suisse continuera de posséder une formation de vol acrobatique, mais pas en rouge et blanc, a indiqué le ministre de la défense Ueli Maurer dans un entretien. Il en coûterait 50 millions de francs de plus chaque année pour conserver les avions Tiger F-5 utilisés actuellement par la Patrouille Suisse, dit-il.

 

Les réactions à une possible suppression de la Patrouille Suisse l'ont surpris, déclare M. Maurer dans l'interview publiée mardi par le journal "Südostschweiz" et ceux de la "Nordwestschweiz". "Il est clair depuis des mois qu'avec la mise au placard des Tiger F-5 la Patrouille Suisse n'existera plus dans sa forme actuelle".

 

Si les Tiger F-5 étaient conservés, l'armée de l'air posséderait trois flottes après l'achat prévu des Gripen suédois: les F/A-18, les Gripen et les Tiger. Selon Ueli Maurer, il en "coûterait 30 millions de francs supplémentaires par rapport à aujourd'hui".

 

"Nous ne pouvons pas nous le permettre". Mais l'armée continuera de disposer d'une formation en vol acrobatique. "Nous avons les avions et les pilotes formés en conséquence. Mais nous ne pouvons plus peindre la croix suisse sur les appareils".

 

Problème de quantité

 

Il y a un problème de quantité, explique le chef du Département de la défense (DDPS). L'armée de l'air possède actuellement encore 54 Tiger. Onze d'entre eux composaient la Patrouille Suisse. A l'avenir, la Suisse n'aura plus que 55 Gripen et F/A-18. "Nous ne pouvons pas faire peindre dix d'entre eux".

 

Le ministre de la défense a indiqué la semaine dernière que la formation de vol acrobatique de l'armée aux couleurs suisses devrait disparaître du paysage aérien. Il a fait cette annonce lors d'une réunion de la commission de la politique de sécurité du Conseil national.

 

La question de savoir si la Patrouille Suisse volera avec des Gripen ou des F/A-18 reste ouverte, dit Ueli Maurer dans l'entretien. Les vieux Tiger pourraient encore voler deux ou trois ans. "Mais ensuite ce serait définitivement fini".

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 09:52

Piaggio_Aero_PHH_HammerHead_Roll_Out-88757.jpg

Le drone P.1HH extrapolé du Piaggio P180 Avanti II a

effectué son roll out le 14 février 2013

 

18 février 2013 par Gil Roy – Aerobuzz.fr

 

A l’occasion du salon IDEX 2013 d’Abu Dhabi, Pieaario Aero Industries et Selex ES dévoilent le P.1HH « HammerHead », un drone de grande envergure (15,5 m) directement extrapolé du biturbopropulseur P180 Avanti II.

 

Après deux ans de développement, le P.1HH « HammerHead » a effectué son « roll out » (sortie d’atelier), le 14 février 2013. Les moteurs ont été mis en marche et le drone a pu rouler sur une base aérienne italienne. Le premier vol est prévu en 2013. Cet engin volant est développé par le constructeur aéronautique italien Piaggio (qui appartient au groupe indien Mubadala Aerospace and Tata Ltd) et par Selex ES, une filiale de Finmeccanica, spécialiste de systèmes électronique d’information destinés à la Défense.

 

Le P.1HH est dérivé du biturbopropulseur P.180 de Piaggio. C’est donc un drone à plan canard, équipé de deux moteurs Pratt & Whithney Canada PT6-66B à hélices propulsives Hartzell à cinq pales. Il a une envergure de 15,5. C’est véritablement un Avanti II sans pilote capable de décoller et de se poser de manière autonome et d’évoluer à 45.000 ft d’altitude soit environ 15.000 m durant des vols de 16 heures. Le P.1HH est destiné à des missions de surveillance et de renseignement.

 

Alors que les ventes du P180 Avanti II s’érodent sur le marché de l’aviation d’affaires, Piaggio vise le marché beaucoup plus rentable de la surveillance. Après avoir présenté en juillet 2012 la version MPA « Multi Patrol Aircraft » de son biturbopropulseur, l’avionneur italien se positionne sur le créneau du drone.

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 09:30

Europe Flag

 

19 février 2013 Par Perrine Mouterde - RFI

 

L'embargo européen sur les armes à destination de la Syrie est prolongé, mais assoupli. La décision a été adoptée lundi 18 février lors d'une réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne à Bruxelles. Divisés sur la question de la livraison d'armes à l'opposition syrienne, les Vingt-Sept sont parvenus à s'entendre sur une option de compromis.

 

Les Européens devaient absolument s’entendre avant que le paquet de sanctions à l’encontre de la Syrie n’arrive à échéance à la fin du mois. Ils ont décidé, sans surprise et à l’unanimité des Vingt-Sept, de le reconduire pour trois mois.

 

Depuis mai 2001, l’Union européenne a adopté 19 trains de sanctions. Parmi ces mesures, l’interdiction d’importer du pétrole syrien, le gel des avoirs de certaines personnalités syriennes, ainsi que l’embargo sur les armes.

Les Etats membres ont actuellement l’interdiction d’exporter vers la Syrie non seulement des armes mais aussi tout équipement susceptible d’être utilisé à des fins de répression. Ils ont aussi l’obligation d’inspecter les navires et les avions qui pourraient transporter du matériel vers ce pays.

 

Pas de livraison d’armes aux rebelles syriens

 

Ce lundi, cet embargo a été amendé, l’Union européenne pouvant désormais fournir un soutien « non létal » plus important à l’opposition, en exportant du matériel non-offensif. Elle pourra aussi fournir une assistance technique pour la protection des civils.

 

Cet assouplissement de l’embargo ne satisfera pas pleinement l’opposition syrienne, qui réclame depuis des mois la livraison d’armes aux rebelles. Si l’embargo concerne aussi bien le régime que l’opposition, les forces de Bachar el-Assad recevraient encore de l’armement, notamment de la part de l’Iran et de la Russie. Ce week-end encore, les douanes finlandaises ont indiqué avoir mis la main sur un conteneur rempli de pièces détachées pour blindés qui semble avoir été envoyé de Moscou vers Damas.

 

Les rebelles bénéficieraient eux aussi de livraisons d’armes de pays étrangers, le Qatar ou l’Arabie Saoudite notamment, mais dans des proportions bien moindres. Surtout, ils restent largement sous-équipés face aux forces régulières et ne parviennent donc pas à empêcher les bombardements aériens du régime.

 

Des armes entre de « mauvaises mains » ?

 

S’ils sont sensibles à ces arguments, Européens et Américains redoutent de « militariser » encore davantage le conflit. Les Nations unies estiment que près de 70 000 personnes ont été tuées depuis le début de la crise. Alors, envoyer des armes supplémentaires en Syrie ne risque-t-il pas de rendre la situation encore plus meurtrière pour les civils ?

Autre préoccupation de poids pour les Occidentaux, celle de savoir entre quelles mains ces armes peuvent tomber. Bien que les groupes islamistes – comme le Front al-Nosra - qui se battent désormais sur le terrain ne représentent qu’une minorité des rebelles, leur présence inquiète les chancelleries européennes et américaine.

 

Cette crainte est accrue par le précédent libyen : après l’intervention française contre le régime de Mouammar Kadhafi, des stocks d’armes ont été disséminés dans la région du Sahel. Certaines d’entre elles se retrouvent aujourd’hui entre les mains des islamistes contre lesquelles la France se bat au Mali.

 

Des Européens divisés sur la question des armes

 

Au sein de l’Union européenne, la Grande-Bretagne est l’un des pays les plus favorables à l’armement de l’opposition syrienne. Le chef de la diplomatie britannique William Hague a répété à l’ouverture de la réunion à Bruxelles qu’il fallait fournir « davantage d’équipement » aux rebelles. Il espère d'ailleurs que l'Union européenne ira « plus loin » lorsqu'elle réexaminera le régime de sanctions dans trois mois.

 

Si Paris semblait, il y a encore quelques mois, sur la même ligne que Londres - le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius ayant proposé une levée de l'embargo sur les armes défensives en novembre -, cette position a évolué. Début février, le président François Hollande s'est prononcé contre une levée de l’embargo tant qu'il resterait la possibilité d'un dialogue politique.

 

Les pays nordiques étaient quant à eux opposés à un assouplissement de l’embargo, tout comme l’Autriche, l’Espagne, Chypre ou encore le Luxembourg. L’option retenue lundi à Bruxelles est donc bien une option de compromis, qui ne devrait pas avoir d’impact décisif sur la situation en Syrie. 

 


Bachar el-Assad sûr de sa victoire

 

« Nous avons la certitude gagner ». Ces propos auraient été tenus par Bachar el-Assad devant des hommes politiques libanais, selon le journal As-Safir.

 

La rhétorique est toujours la même : le président parle de lutte contre des groupes extrémistes, c'est ainsi qu'il nomme l'opposition, il évoque aussi un complot ourdi de l'étranger puisqu'il estime que les rebelles sont soutenus par l'Arabie Saoudite et le Qatar, notamment.

 

Le président syrien met enfin en avant les exploits militaires du régime. Or sur le terrain, la situation est loin d'être claire.

 

Les combats continueraient à Alep, particulièrement autour des aéroports. L'OSDH, une ONG proche de l'opposition, affirme que les rebelles se sont emparés lundi d'un barrage militaire menant à l'aéroport international. A Deraa, l'opposition armée serait également parvenue à détruire un barrage qui coupait une route allant vers la Jordanie.

Chaque partie revendique régulièrement la victoire, mais les informations restent difficiles à vérifier, en l'absence de journalistes sur le terrain

 

 

 
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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 17:50

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18 février 2013, Usinenouvelle.com (Reuters)

 

Le ministère indien de la Défense a annoncé le 15 février avoir ouvert une procédure visant à annuler le contrat après l'arrestation de Giuseppe Orsi, le PDG démissionnaire de Finmeccanica, soupçonné d'avoir versé des pots-de-vin. 

 

Le groupe italien de défense et d'aéronautique Finmeccanica a démenti le 16 février l'annulation par l'Inde d'un contrat de 750 millions de dollars (560 millions d'euros) portant sur la livraison de 12 hélicoptères.

 

La filiale d'AgustaWestland a précisé que New Delhi lui avait donné une semaine pour apporter des "clarifications" sur les conditions d'obtention du contrat, soupçonné d'avoir été entâché de corruption.

 

"Le ministère de la Défense n'a pas annulé le contrat mais nous a notifié qu'il souhaitait obtenir des informations dans les sept jours", lit-on dans un communiqué d'AgustaWestland, qui dit "préparer sa réponse".

 

Après avoir décidé le 14 février de suspendre "tout paiement à venir" à Finmeccanica, le ministère indien de la Défense a pourtant bien annoncé le lendemain avoir "entamé des mesures pour annuler le contrat d'acquisition" des 12 hélicoptères AW101. Il a donné 7 jours à la société italienne pour lui fournir une raison de renoncer à sa procédure. L'Inde a déjà réceptionné 3 appareils, et devait recevoir les 9 restants d'ici à 2014.

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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 16:55

First production Airbus Military A400M in French Air Force

 

18/2/2013 Airbus Military

 

OCCAR (Organisation Conjointe de Coopération en matière d’ARmement), acting on behalf of France, and Airbus Military have signed the initial In-Service Support (ISS) contract providing an 18-month A400M support services package to the French Air Force. This is a key milestone in preparation for the delivery of the first A400M to the French Air Force.

 

This contract provides a tailored service to meet the needs of the French Air Force building on the foundations laid by the A400M Launch Contract between OCCAR (acting on behalf of France, Turkey, the UK, Germany, Spain, Belgium and Luxemburg) and Airbus Military, which already foresees Integrated Logistic Support (ILS) services such as Technical Documentation, Aerospace Ground Equipment and the like. The ISS contract covers industrial on-base maintenance support, spares management, extended query answering service and more to allow for smooth flight operations at the A400M’s initial operating base at Orleans.

 

In preparation of the period following the initial 18 months ISS package, Airbus Military provided last November a joint French/UK ISS proposal for a further support arrangement. The parties concerned are currently discussing this offer with an expectation to reach an agreement during the second semester of this year.

 

About the A400M

The A400M is an all-new military airlifter designed to meet the needs of the world's Armed Forces in the 21st Century. Thanks to its most advanced technologies, it is able to fly higher, faster and further, while retaining high maneuverability, low speed, and short, soft and rough airfield capabilities. It combines both tactical and strategic/logistic missions. With its cargo hold specifically designed to carry the outsize equipment needed today for both military and humanitarian disaster relief missions, it can bring this material quickly and directly to where it is most needed. Conceived to be highly reliable, dependable, and with a great survivability, the multipurpose A400M can do more with less, implying smaller fleets and less investment from the operator. The A400M is the most cost efficient and versatile airlifter ever conceived and absolutely unique in its capabilities.

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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 12:50

Eurofighter Typhoon Spanish air force

 

Feb 18, 2013 ASDNews Source : Cassidian

 

    This flight simulator is part of the ASTA (Aircrew Synthetic Training Aid) advanced training system

    The simulator will be used by the aircrew of the 14th Wing of the Albacete Air Base

 

Cassidian has delivered a new Eurofighter flight simulator to be used by the aircrew of the 14th Wing of the Albacete Air Base, adding to the two already installed at the Morón de la Frontera Air Base in Seville.

 

The simulator delivered is part of the ASTA advanced training system. Cassidian has been responsible for all tasks related to the installation and commissioning of this Cockpit Trainer/Interactive Pilot Station (CT/IPS-E) which, together with the Full Mission Simulator (FMS), form the ASTA.

 

The 19 ASTA systems in service in five of the nations operating the Eurofighter Typhoon combat aircraft – Austria, Germany, Italy, Spain and the United Kingdom – are intended for crew training. This ranges from familiarisation with the aircraft to actual missions in highly complex tactical environments, using aircraft software code tailored to the simulator to reflect the behaviour of the aircraft and its embedded systems with a high degree of fidelity. The simulators currently in service at the Morón de la Frontera Air Base have to date clocked up 6,500 hours of simulation including 4,800 training missions.

 

Pilar Albiac, Head of Cassidian’s Chief Operating Office and CEO of Cassidian Spain, said: “At Cassidian, we work day in day out to develop our skills in order to provide our customers with the most advanced solutions to meet their requirements. The delivery of this new Eurofighter simulator marks a new milestone for the industry and for our customer, the Spanish Air Force.”

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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 12:50

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/74/HMS_Tireless_S-88.jpg

 

17 février 2013 Par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

 

Un sous-marin nucléaire d’attaque britannique a dû rentré d’urgence à son port-base pour des réparations après avoir subi une fuite radioactive.

 

Le HMS Tireless, lancé il y a 30 ans, participait à un exercice de formation pour de nouveaux officiers, il y a 10 jours, lorsque son réacteur nucléaire a connu un grave problème.

 

Le sous-marin, qui appartient à la classe Trafalgar, a reçu l’ordre de rentrer à la base navale de Faslane, où des spécialistes ont inspecté la fuite. Il est maintenant rentré à son port-base, Devonport, et devra passer 10 mois en cale sèche pour les réparations.

 

Lancé en 1984, le HMS Tireless devait être désarmé cette année, mais il a été prolongé de 4 ans en raison du retard dans la sortie des nouveaux sous-marins de la classe Astute.

 

En mai 2000, il était déjà resté bloqué pendant 12 mois à Gibraltar, après une fuite radioactive. Il y avait eu une fuite au niveau du système de refroidissement du réacteur.

 

Un porte-parole de la Royal Navy a déclaré que : « le HMS Tireless est rentré à la base navale de Devonport la semaine dernière pour des réparations après une petite fuite de liquide de refroidissement, qui a été contenue à l’intérieur du compartiment scellé du réacteur. Il n’y a aucun risque pour le public, l’environnement ou l’équipage. »

Référence :

 

Daily Expres (Grande-Bretagne)

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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 06:50

Logo LBG 2011

 

18/02 Par Marie-Sophie Ramspacher – lesEchos.fr

 

Pots-de-vin : Giuseppe Orsi a remis sa démission vendredi, à la suite de son arrestation trois jours plus tôt dans le cadre d'une enquête sur des soupçons de corruption. Le président du groupe italien de défense et d'aéronautique aurait versé des pots-de-vin pour décrocher un contrat de 12 hélicoptères de 560 millions d'euros pour la filiale AgustaWestland qu'il dirigeait. Le numéro deux de Finmeccanica, A

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 23:59

http://2.bp.blogspot.com/-fOdk6N8EB-M/UR5eVe1z2XI/AAAAAAAATfc/gQZlfeYCUo8/s1600/eh101in.jpg

 

Feb. 17, 2013 - by ANDREW CHUTER  - Defense news

 

LONDON — Graham Cole’s drawing of a three-leg milking stool may not represent the finest of British art, but it helps the chairman of AgustaWestland’s U.K. helicopter operations get across his message that the company’s future depends on adding commercial and export markets to a business dominated by declining British defense orders.

 

A five-year effort transforming the strategy and efficiency of the Yeovil-based arm of Italian helicopter maker Agusta-Westland into a wider-based business is revitalizing a company that had an uncertain future here in 2010. That’s when the Ministry of Defence threatened to ax an order for the AW159 Wildcat for the Army and Navy as part of budget cuts.

 

That challenge was fought off, and last month, the U.K. arm of the Finmeccanica-owned company secured the first export order for the Wildcat multirole helicopter from South Korea. The initial order is for eight machines, but company executives say the total could approach 40.

 

Despite the success, Yeovil’s prospects are again clouded due to another potential cancellation. The Indian government last week threatened to cancel an order for 12 AW101 VIP helicopters being built at the factory. The threatened cancellation follows accusations of corruption in the deal by top executives at Finmeccanica and AgustaWestland in Italy.

 

Three AW101s, sometimes referred to as the Merlin in its military variant, have already been delivered and the remainder of the order is scheduled to be handed over from the Yeovil assembly site by the end of the year.

 

India is the company’s largest customer for VIP AW101s and a key part of the drive to keep the Yeovil AW101 assembly line busy.

 

Aside from India, a recent tour of the Yeovil factory showed other machines either on the flightline or in the assembly hall for heads of state in Saudi Arabia and Tajikistan.

 

Briefing reporters Feb. 5 before the arrest in Italy of Finmeccanica CEO Giuseppe Orsi and AgustaWestland boss Bruno Spagnolini, the managing director of the helicopter company’s U.K. operations, Ray Edwards, said the company saw the VIP market as a big opportunity and had been putting considerable effort into that sector of the market.

 

Yeovil now houses the only AW101 assembly line, and aside from the VIP machines the factory is also working on an order for combat-search-and-rescue helicopters for the Italian military.

 

The market for AW101 is pretty tough, though, and Edwards admitted he would “love to dream we could [assemble] one a month.”

 

Exports also have been boosted by an Algerian requirement for six Lynx SL300s. Assembly starts in May and will add to earlier AW101 and Lynx orders.

 

On the commercial side, executives are planning the assembly of the AW189, in anticipation of a possible order to meet a British government requirement for a search-and-rescue (SAR) helicopter.

 

Yeovil is set to assemble all SAR versions on the AW189 frame, and produce the blades and transmission parts for other variants of the 8-ton machine built elsewhere by AgustaWestland.

 

“Conservative estimates are for exports of more than 200 SAR-configured machines generating 2 billion pounds [$3.1 billion] revenue over the next 10 years,” Cole said.

 

Yeovil also is working on other civil activities, including the AW169 and the AW609 tilt-rotor aircraft. Assembly of about 10 AW189s for the Department for Transport will result in the first commercial helicopter to emerge from the factory since the ill-fated Westland 30 line closed in 1987.

 

“To get where we are in the U.K. today depended on a massive increase in efficiency, it depended on convincing colleagues in Italy that we should undertake civil and other work, and it depended on us winning more military exports. It’s been quite a challenge,” Cole told reporters during a briefing at the Yeovil site.

 

Leading that efficiency turnaround is Edwards, who arrived three years ago after stints at Airbus and Agusta-Westland in Italy.

 

Jobs have been cut, infrastructure improved, processes changed and profit margins more than doubled in a U.K. business that has seen 100 million pound growth over the three years to 2011, when revenues totaled 1.1 billion pounds.

 

Five years ago, the MoD element represented more than 75 percent of the company’s business, much of it relating to innovative fly-by-the-hour support contracts. That mix is already changing.

 

Edwards said he would be satisfied with the U.K. MoD accounting for about 50 percent of revenues, with commercial taking a 30 percent share and military exports the remainder.

 

In part, the decline in U.K. military business reflects reduced MoD spending.

 

“The MoD remains a strong underpinning in what we do here,” he said. “I don’t want people to go away with the thought we are now a commercial helicopter company; we are not.”

 

The MoD revealed recently a 12.1 billion pound helicopter procurement and support budget for the next 10 years. Included is spending on the 62 Wildcats AgustaWestland is building for the British military, and a substantial upgrade of 30 Merlin (AW101) Mk1s for the Royal Navy already on the modification line.

 

Other MoD opportunities coming up for the company include optimizing 25 battlefield lift versions of the Merlin for amphibious lift duties with the Royal Marines and a plan to update the existing British Army Apache fleet and further support work.

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 08:50

bae systems

 

16 Feb 2013By James Quinn - telegraph.co.uk

 

BAE Systems and Vodafone have signed a five-year pact to work together on cyber security for mobile phones and tablet devices, The Telegraph can reveal.

 

The agreement, believed to be the first of its kind between a global defence specialist and a worldwide telecoms company, is recognition of the increasing need for security around mobile technology.

 

The deal has been signed by Vittorio Colao and Ian King, chief executives of Vodafone and BAE respectively.

 

It involves a link-up between the mobile telecoms giant and BAE Systems Detica, the defence company’s cyber and security arm.

 

The pair are attempting to take advantage of the growing market for cyber security. Canalys, the technology research firm, estimates that the mobile security market could be worth $3bn (£1.9bn) by 2015.

 

Detica estimates that there has been a tenfold increase in cyber attacks in the past year.

 

The aim of the partnership, which could be formally announced as early as tomorrow, is to provide businesses with a range of security products.

 

The first part of the agreement will see a new cloud-based mobile security product rolled out to Vodafone’s 1,500 largest corporate customers this spring. The product, Vodafone Mobile Threat Manager, places Detica’s cyber security technology into Vodafone’s network.

 

Over the longer term, it is expected that the two FTSE 100 companies will work on machine-to-machine technology, looking at securing communications between different devices.

 

Possible iterations of this could include securing car GPS navigation systems, providing driving details to an insurance company, or a hospital emailing medical records to a patient. As part of the deal, Vodafone will also become BAE’s mobile phone provider of choice outside the US.

 

Mr Colao said: “Businesses big and small now rely on mobile services to an extent unimaginable five years ago.”

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 08:50

Mindef

 

 

15/02/2013 Par Isabelle Lasserre – LeFigaro.fr

 

La Grande-Bretagne soutient l'opération au Mali, mais s'inquiète des futures coupes budgétaires imposées au ministère français de la Défense.

 

En 2011, pour faire tomber le régime de Kadhafi, Paris et Londres avaient agi main dans la main. L'opération franco-britannique, permise par le retour de la France dans le commandement intégré de l'Otan et par la signature des accords de Lancaster en 2010, avait, à l'époque, été considérée comme un modèle d'intervention militaire au sein d'une Europe se désintéressant des questions de défense.

 

Deux ans plus tard, le rapprochement des défenses française et britannique scellé à Lancaster fait toujours l'objet de sommets et de visites. Celle qu'a rendue jeudi à Paris le ministre britannique de la Stratégie pour la sécurité internationale a largement été consacrée au Mali. «L'opération française a suscité une certaine admiration à Londres. Les objectifs annoncés ont été rapidement atteints», commente Andrew Murrison.

 

Il s'agit désormais de concentrer les efforts sur la mission militaire européenne, qui aura la lourde tâche de former les forces maliennes. «Tout cela prendra du temps. Il faut faire attention à ne pas dire trop vite que la mission est bientôt finie», poursuit le ministre britannique.

 

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Avec la Belgique, la Grande-Bretagne fut le premier pays à proposer une aide logistique à la France. Pour le reste, les capitales européennes ne se sont pas ruées pour apporter leur soutien, affaiblissant davantage l'Europe de la défense, désormais réduite à l'état embryonnaire. «Si les autres pays ne se manifestent pas, la France pourra légitimement dire: “où étiez-vous lorsque nous avions besoin de vous?”», prévient le ministre britannique.

 

Réorientation stratégique

 

Mais ce qui l'inquiète davantage encore que le Mali, c'est le nouveau livre blanc français de la défense, qui doit rendre ses conclusions dans les prochaines semaines. Les contraintes budgétaires limitent la marge de manœuvre des planificateurs. «Or, si la France opère des coupes drastiques dans ses forces conventionnelles et fait tomber le budget de la défense à 1,5 % du PIB, les conséquences politiques se feront sentir jusqu'à Londres», redoute Andrew Murrison. La France et la Grande-Bretagne sont les deux seuls pays européens à investir encore de manière conséquente dans leurs budgets de défense. «Si l'un des deux décroche, la pression se fera automatiquement ressentir l'autre», poursuit le ministre britannique.

 

Une perspective d'autant plus inquiétante qu'outre-Atlantique, le second mandat de Barack Obama devrait accentuer la réorientation stratégique vers l'Asie-Pacifique.

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 08:50

Europe Flag

 

11.02.2013 par Christophe Cavailles - toulouse7.com

 

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense et Giampaolo Di Paola ministre italien de la Défense se sont entretenus le 11 février à l’Hôtel de Brienne à l’occasion d’un déjeuner de travail précédé d’une entrevue en tête à tête.

 

Cette rencontre a été l’occasion, pour les deux hommes, d’échanger sur la situation internationale. Au-delà de la question syrienne, les ministres ont échangé sur le Mali. Un point a pu être fait sur le déroulement de l’opération Serval mais aussi et surtout sur le lancement imminent de la mission de l’Union européenne « EUTM Mali ».

 

Les deux ministres ont souligné que la mobilisation concrète des Européens était une étape majeure vers la construction d’une Europe de la défense qu’ils appellent tous deux à intensifier. La Libye a également constitué un point marquant des échanges entre les deux ministres, indiquant, là encore, que l’Union européenne a un rôle clef à jouer dans la gestion des frontières de ce pays.

 

Les ministres ont également abordé la préparation du Conseil européen de décembre 2013, consacré aux questions de défense, ce qui n’avait pas été le cas depuis 2008. Tous deux voient dans cette échéance, une opportunité majeure pour les Européens de se mobiliser de manière concrète sur des sujets capacitaires et industriels.

 

A cet égard, les ministres se félicitent de la dynamique impulsée lors du sommet franco-italien de Lyon du 3 décembre dernier. Ils feront prochainement un point d’étape, avec leurs chefs d’états-majors et directeurs nationaux d’armement, sur la feuille de route adoptée lors du sommet qui doit permettre d’aborder les projets de coopérations à promouvoir, y compris dans un cadre européen, mais aussi les synergies industrielles à explorer entre les deux pays.

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 08:50

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/4/40/Patrouillesuisse2956.jpg/800px-Patrouillesuisse2956.jpg

photo Mike Lehmann

 

17.02.2013 Romandie.com (ats)

 

L'association Pro Libertate veut s'engager pour le maintien de la Patrouille Suisse, au besoin par le lancement d'une initiative. Pro Libertate a présenté ses arguments dimanche matin dans un communiqué. Récemment, Ueli Maurer a fait planer le doute sur l'avenir de cette institution fondée en 1964.

 

Pro Libertate s'oppose farouchement à la position du Conseil fédéral à propos de la Patrouille Suisse, dont l'avenir demeure incertain à l'horizon 2016. "La suppression de cette patrouille n'est pas acceptable", déclare Pro Libertate dans son communiqué.

 

Les opposants à son abolition soulignent qu'elle est une carte de visite de l'armée suisse, le devoir de la Patrouille Suisse consistant à démontrer la précision et les capacités d'utilisation des avions suisses, soulignent-ils. Elle sert également, selon Pro Libertate, à motiver les jeunes pour l'aviation en Suisse.

 

Mercredi, le ministre de la défense Ueli Maurer avait notamment déclaré que la formation de vol acrobatique de l'armée aux couleurs suisses devrait disparaître du paysage aérien. Il a fait cette annonce lors d'une réunion de la commission de la politique de sécurité du Conseil national portant sur les avions Gripen.

 

Les couleurs en moins

 

Le Conseil fédéral souhaite remplacer dès 2016 les Tiger F-5E, utilisés par la Patrouille Suisse, par les jets suédois. L'âge des Tiger F-5E constitue la raison principale de leur mise au placard. Il s'avèrerait trop coûteux de les conserver uniquement pour des démonstrations.

 

Ueli Maurer n'exclut cependant pas que les Forces aériennes suisses s'adonnent dans le futur à des démonstrations ponctuelles de vol acrobatique avec d'autres appareils, les F/A-18 ou les nouveaux Gripen. Ceux-ci ne porteraient toutefois plus les couleurs nationales.

 

Fondée à l'occasion de l'Exposition nationale de 1964, la Patrouille Suisse se compose de la crème des pilotes professionnels du pays, selon le site officiel des Forces aériennes suisses. Basée à Emmen (LU), elle maîtrise un total de 20 figures répondant entre autres aux noms de "chaise à traire" ou de "fourchette à fondue".

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16 février 2013 6 16 /02 /février /2013 18:30

http://www.ixarm.com/IMG/jpg/isl3.jpg

 

16/02/2013 par Jean-Christophe Meyer - lalsace.fr

 

    L’Institut de recherches de Saint-Louis est un symbole ancien et trop souvent méconnu de la coopération franco-allemande.

 

Établissement binational, l’Institut de recherches de Saint-Louis (ISL) est exploité par l’Allemagne et par la France sur la base d’un traité international signé le 31 mars 1958. Cinq ans avant le traité de l’Élysée ! Il a pour mission « d’effectuer des recherches et études scientifiques et techniques fondamentales » pour la défense.

 

Avec l’Université

 

Les champs de compétence de l’ISL sont nombreux : « L’étude des sources laser et leurs applications, la détonique, la balistique, la protection et l’environnement du combattant, l’acoustique, l’électronique de puissance et ses différentes applications, l’aérodynamique, la mécanique du vol, l’optronique ou encore la sensorique. » L’ISL s’ouvre aux questions de sécurité civile et à la protection contre la menace terroriste sur le territoire national et dans les zones d’opérations extérieures.

 

C’est aussi un organisme de recherche qui poursuit ses investissements : 13 millions en 2013. Parmi les projets importants, « une soufflerie trisonique qui permettra de renforcer nos activités aérodynamiques des projectiles et balistique », indiquent Wolfgang Förster et Christian de Villemagne, directeurs allemand et français de l’ISL.

 

L’institut n’a jamais été aussi ouvert sur le monde universitaire. Ainsi, 40 thésards sont passés par l’ISL l’an passé, contre 25 en 2011. L’ISL vient aussi de signer une convention historique avec l’Université de Strasbourg ( L’Alsace du 19 janvier). « Une initiative qui rapproche deux acteurs majeurs de la recherche en Alsace », selon le président de l’Université Alain Beretz, et qui créera des synergies, y compris en direction de l’industrie.

 

L’ISL, institut de recherches militaires, il y a encore quelques années très centré sur lui-même, poursuit donc une mue entamée voici quelque temps, avec des applications duales (militaires et civiles) et une ouverture de plus en plus grande vers le privé. L’an passé, l’ISL a réalisé 3,8 millions d’euros de prises de commandes de clients français, allemands, suisses, britanniques et américains. Une augmentation de 50 % par rapport à 2011.

 

Des idées nées à l’ISL vont connaître dans les prochains mois un développement industriel pour des applications civiles (par exemple un système d’analyse des flux de piétons). Et d’autres projets ont eu une reconnaissance internationale, comme ce concept qui permet de détecter des « ultratraces de matériaux explosifs », en s’inspirant des antennes d’un papillon, le bombyx du mûrier.

 

SURFER www.isl.eu.

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16 février 2013 6 16 /02 /février /2013 17:30

The 16 participating think tanks

 

12.02.2013 Notre Europe - Jacques Delors Institute

 

Notre Europe - Jacques Delors Institute presents a first series of policy papers on European security for the Think Global – Act European project (report available in March 2013, dir. Elvire Fabry, Senior Research Fellow, Notre Europe – Jacques Delors Institute)

The following policy papers are a contribution of the experts of working group V to the project ‘Think Global – Act European (TGAE). Thinking Strategically about the EU’s external action’ directed by Notre Europe – Jacques Delors Institute.

Before the publication of the final report presenting the key recommendations of the 16 think tanks involved in the project, 5 series of policy papers address the following key challenges: CSDP, EU neighbourhood, strategic resources, migration and economic policy.


Strategic priorities for EU defence policy
Daniel Keohane (FRIDE), Policy Paper No. 63, Notre Europe – Jacques Delors Institute, February 2013

Where does CSDP fit in EU foreign policy?
Nick Witney (ECFR), Policy Paper No. 64, Notre Europe – Jacques Delors Institute, February 2013

Will Europeans ever agree on the use of military force?
Jan Techau (CARNEGIE EUROPE), Policy Paper No. 65, Notre Europe – Jacques Delors Institute, February 2013

How to maintain hard capabilities in times of budget cuts?

Ronja Kempin (SWP), Policy Paper No. 66, Notre Europe – Jacques Delors Institute, February 2013

The European defence industry’s future: how European?
Jean-Pierre Darnis (IAI), Policy Paper No. 67, Notre Europe – Jacques Delors Institute, February 2013 

 

The authors of the policy papers participated to a working group seminar, open to external experts, hosted on the 24th of October at the delegation of the European Parliament in Paris.

The synthesis of the seminar

Event Gallery

                                             
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16 février 2013 6 16 /02 /février /2013 16:30

http://a403.idata.over-blog.com/4/22/09/08/Belgium/Belgium-Navy/F931-Louise-Marie--a-Karel-Doorman-class-frigate.jpg

 

15 février 2013 Le Vif (Belga)

 

La frégate Louise Marie de la Marine belge, engagée dans l'opération européenne Atalanta de lutte contre la piraterie somalienne, rentrera le 27 février en Belgique, a indiqué vendredi le ministère de la Défense.

 

La frégate a quitté Zeebrugge le 7 novembre pour gagner Djibouti et la Corne de l'Afrique. Le 9 février, elle sera de retour à Djibouti avant de mettre le cap sur la Mer Rouge et la Méditerranée. Le navire et ses 169 membres d'équipage sont engagés depuis le 23 novembre dans cette opération qui a commencé en décembre 2008 et a été prolongée jusqu'à la fin de l'année prochaine. Il s'agissait de la 3e participation de la frégate à une mission de lutte contre la piraterie. (PVO)

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16 février 2013 6 16 /02 /février /2013 01:14

JAS-39 Gripen source Defence Talk

 

15.02.2013 Romandie.com (ats)

 

Les 22 avions de combat pour la Suisse et les 60 Gripen destinés à la Suède représentent pour Saab des commandes d'un montant d'environ 7 milliards de francs. Malgré ce chiffre concret, les prix entre la Suisse et la Suède ne peuvent être comparés.

 

"Nous ne connaissons pas le prix des avions de combat suisses", a affirmé le vice-président de Saab Lennart Sindahl lors d'une conférence de presse vendredi à Berne. Des propos qui peuvent être contredits par des chiffres déjà connus: selon le Conseil fédéral, les 22 Gripen coûteront 3,126 milliards de francs.

 

Saab vend le Gripen destiné à la Suisse à l'Administration suédoise pour le matériel de défense (FMV). Les autorités suédoises le revendent ensuite au gouvernement suisse, mais Saab a indiqué ne pas connaître à quel montant.

 

Saab obtient quelque 2,2 milliards de francs, a révélé le Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS) à l'ats. Les 900 millions restants concernent les armes et les services. Une partie de l'argent couvre en outre le risque et les hausses de coûts estimés.

 

Le prix est "plutôt bon"

 

Le prix fixe que la Suisse a négocié avec la Suède est "plutôt bon", a estimé Saab. La Suisse obtiendra de surcroît des avions de chasse neufs. La Suède va en revanche intégrer dans ses 60 Gripen des parties du modèle C, les coûts de production sont par conséquent moins chers.

 

C'est la raison pour laquelle les prix entre les 40 à 60 Gripen suédois et les 22 Gripen suisses ne sont pas comparables, même s'il s'agit finalement du même avion, a expliqué M. Sindahl.

 

La conférence de presse a été organisée pour annoncer que l'accord concernant l'avion de combat Gripen entre le constructeur Saab et les autorités suédoises avait été signé pour la période 2014 à 2026.

 

Si les 22 nouveaux avions de chasse et les 60 Gripen transformés sont commandés, le constructeur suédois prévoit pour les deux prochaines années des commandes à hauteur de 47,2 milliards de couronnes (6,9 milliards de francs).

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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 23:59

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/3/34/Do-DT45_02.JPG/800px-Do-DT45_02.JPG

photo Bastlmichi

 

UNTERSCHLEISSHEIM, Germany, Feb. 15 (UPI)

 

A production milestone is being touted by Cassidian of Germany, which said it manufactured its 1,000th target drone.

 

The DT 45 UAV, for training of air defense units and fighter pilots was built at the company's facility in Friedrichshafen, Germany, for the German navy.

 

"For over 10 years now, the units have been using our target drones for air defense training for all armed forces on their respective weapon systems, and for practicing the interaction between all participants," said Stefan Baten, head of Cassidian's Target Systems and Services division.

 

"By providing armed forces with the ability to portray complex scenarios, we can offer them clear added value in terms of tactical combat."

 

Cassidian's target drones can be equipped with a variety of sensors and transmitters, including infrared and radar emitters for simulating threat scenarios, such as hostile aircraft or missile attacks.

 

In addition to the German military, armed forces in the Middle East, Asia, Canada and South Africa use Cassidian's target simulation systems, which include Cassidian devised infrastructure for target simulation.

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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 22:52

European External Action Service.svg

 

15/2/2013 EU source: Council Ref: CL13-018EN

 

Summary: 15 February 2013, Brussels - On Monday, 18 February 2013, the EU's Foreign Affairs Council will meet from 9.30 onwards on 18 February, chaired by the EU High Representative for Foreign Affairs and Security Policy, Catherine Ashton.

 

The Council will discuss the situation in

 

Mali and EU action to support Mali.

 

Ministers will examine the implementation of the EU's Eastern Partnership, in preparation for upcoming meetings with the EU's Eastern Partners.

 

Ministers will also discuss the latest developments in Iraq.

 

The Council will debate events in the EU's southern neighbourhood and take stock of the Middle East peace process.

A press conference will be held at the end of the meeting (+/- 16.00).

 

The Northern Dimension ministerial meeting will be held from 18.30, with the participation of Iceland, Norway and Russia.

 

* * *

Press conferences and public events by video streaming:

http://video.consilium.europa.eu/

 

Video coverage in broadcast quality (MPEG4):

www.eucouncil.tv

 

Photographic library on

www.consilium.europa.eu/photo for photos in high resolution.

 

Mali

 

The Council will take stock of the situation in Mali. It will adopt conclusions.

 

The EU has mobilised political and diplomatic action in response to the crisis including: a training mission for the Malian Armed Forces, funding for the African-Led International Support Mission in Mali (AFISMA), humanitarian and development aid.

 

The EU has welcomed the adoption of a roadmap by the Malian government, designed to restore constitutional order through an election process, and has encouraged inclusive dialogue with representatives of the people of the north of Mali, including non-terrorist groups which recognise the unity, integrity and territorial sovereignty of Mali.

 

On 5 February, the EU hosted a meeting of the support and follow-up group on the situation in Mali. The advance of the Malian armed forces, supported by France and the region, against the terrorist groups in the north of Mali was welcomed. Members also commended the Malian transitional authorities on the adoption of the roadmap for the transition and they encouraged them to implement it faithfully and with resolve.

 

The EU training mission in Mali is intended to help restore the military capacity of the Malian Armed Forces in order to allow, under civilian authority, the restoration of the country's territorial integrity. It will provide basic military training as well as train and advise the Malian forces on command and control, logistics, human resources as well as on international humanitarian law, the protection of civilians and human rights. The mission will not be involved in combat operations.

 

The EU has committed €50 million from the African Peace Facility to support the deployment of AFISMA. It has also established a "clearing house" mechanism to coordinate other military support of member states and other international partners to AFISMA, including the transportation of equipment, personnel and ammunition.

 

EU development aid, partly suspended since the coup d'état of 22 March 2012, will be gradually resumed as a consequence of the adoption of the roadmap for the transition. €250 million may be mobilised, mainly for restoring democracy and peace through reconciliation, conflict prevention and supporting the electoral process. In addition, food security, water and sanitation and relaunching the economy will be the focus of cooperation.

 

The political crisis in Mali comes in addition to the already serious Sahel food crisis in 2012, which affected nearly 18 million people in the region. So far in 2013, the European Commission has allocated € 20 million as humanitarian aid for Mali. In 2012, the EU and its member states contributed € 111 million to humanitarian operations in that country.

 

For more details, see factsheet European Union and the Sahel and factsheet EUTM Mali.

 

Eastern Partnership

 

The Council will take stock of the implementation of the EU's Eastern Partnership, in preparation for the Eastern Partnership foreign ministers meeting in July in Brussels and the summit in Vilnius in November.

 

The Council is due to reaffirm the importance it attaches to the Eastern Partnership and its objectives. It is expected to adopt conclusions.

 

The EU's Eastern Partnership was launched at the Prague Eastern Partnership summit in May 2009.

 

It concerns six partner countries in Eastern Europe and the Southern Caucasus: Armenia, Azerbaijan, Belarus, Georgia, Moldova and Ukraine. Its objectives include accelerating the political association and deepening the economic integration with the Eastern European partner countries.

 

The EU supports reforms in the partner countries aimed at consolidating democracy, the rule of law, respect for human rights and an open market economy. At the same time, it offers gradual integration into the European economy, greater mobility for citizens and closer political ties. In the period from 2010 to 2013, € 1.9 billion is allocated to support its implementation.

 

The Eastern Partnership provides for Association Agreements with each of the states, which are to replace the existing Partnership and Cooperation Agreements. The new accords are to include deep and comprehensive free trade agreements. Negotiations have been launched with Moldova,

 

Azerbaijan, Armenia and Georgia and concluded with Ukraine. The European Council of 7/8 February called for the finalisation of negotiations with Moldova, Georgia and Armenia by the time of the Eastern Partnership summit in Vilnius (see conclusions, para 8).

 

Greater mobility of citizens is a core objective of the Eastern Partnership. Agreements on visa facilitation and readmission were signed with Armenia in December 2012, with Georgia in June 2010 and with the Ukraine in June 2007. Negotiations for such an agreement with Azerbaijan have been ongoing since March 2012. Visa-free travel is a second step, provided that conditions for well managed and secure mobility are in place. Both the Ukraine and Moldova are currently conducting a dialogue on visa-free travel with the EU.

 

Iraq

 

The Council will exchange views on the situation in Iraq, which has become increasingly fragile recently. Inter alia, President Talabani had suffered a serious stroke and cannot fulfil his important function of mediation between political actors. Ministers will consider how the EU can contribute to promoting stability in the country, together with the UN through the UN assistance mission for Iraq.

 

The EU is committed in assisting the building of the new Iraq since 2003, and has devoted a total of more than €1 billion towards the reconstruction of Iraq since then. Focal sectors of EU intervention are good governance, socio-economic recovery, education, strengthening institutional capacity, water management, agriculture, access to basic services and the rule of law through its EUJUST LEX mission.

 

The EU-Iraq Partnership and Cooperation Agreement was signed on 11 May 2012. It is the first ever framework agreement between the EU and Iraq. It provides for a comprehensive platform for enhancing cooperation in a wide range of areas: from political matters, such as countering terrorism and promoting human rights, to trade and investment in key areas such as energy and services. The Partnership and Cooperation Agreement establishes regular political dialogue on bilateral, regional and global issues. Work is underway to establish the relevant joint bodies as provided for in this agreement.

 

Southern neighbourhood

 

- Syria

 

The Council will discuss the latest developments in Syria, including efforts by Joint Special Representative Lakhdar Brahimi to bring an end to the violence, support to the Syrian opposition and EU sanctions policy. The Council is expected to adopt conclusions.

 

The European Council of 7/8 February recalled its tasking to the Foreign Affairs Council to "work on all options to support and help the opposition and to enable greater support for the protection of civilians". (see conclusions)

 

According to the UN Refugee Agency (UNHCR), more than 780.000 Syrian refugees have arrived in the neighbouring countries Jordan, Iraq, Lebanon and Turkey as well as in Egypt and North Africa. At the same time, the UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs (OCHA) estimates the number of internally displaced persons in Syria at more than 2 million. The death toll is close to 70.000, says the Office of the UN High Commissioner for Human Rights.

The EU is the largest humanitarian donor for the Syrian crisis. So far, the EU and its member states have given more than € 423 million in humanitarian assistance to Syrians inside and outside of Syria. The funds mostly go to food assistance, shelters and emergency healthcare.

 

The Council has gradually reinforced EU restrictive measures against the Syrian regime. For more details, see  factsheet European Union and Syria.

 

Middle East peace process

 

The Council will discuss the state of play concerning the Middle East peace process and discuss how the EU can support it, following the Israeli elections.

On 10 December 2012, the Council stated "the European Union firmly believes that now is the time to take bold and concrete steps towards peace. The parties must engage in direct and substantial negotiations without pre-conditions in order to achieve a lasting solution to the Israeli-Palestinian conflict, ending all claims."

It also underlined "the urgency of renewed, structured and substantial peace efforts in 2013 and, towards this end, it is ready to work with the US and other international partners, including within the Quartet."

 

See Council conclusions.

 

Other items

 

The Council is set to adopt several items without discussion, including:

 

- Democratic People's Republic of Korea


The Council is expected to adopt conclusions on DPRK, condemning in the strongest terms the nuclear test conducted on 12 February. In response to DPRK's recent violations of its international obligations, the Council is due to strengthen EU restrictive measures against DPRK. It will implement sanctions approved at UN level and is expected to adopt further autonomous EU restrictive measures in addition to those contained in UN Security Council Resolution 2087 of 22 January.

 

- EU priorities for the UN Human Rights Fora


In conclusions, the Council is expected to define the EU's priorities at the UN Human Rights Council and in other UN human rights fora in 2013. It will underline that the EU will continue to speak out against human rights violations worldwide.

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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 17:50

JAS-39 Gripen source Defence Talk

 

Feb 15, 2013 ASDNews Source : Saab AB

 

Defence and security company Saab has signed an agreement with the Swedish Defence Materiel Administration (FMV) for Gripen E. The agreement includes development and modification of Gripen E for Sweden during the period 2013-2026 and a possible order for new production of Gripen E from Switzerland. FMV has today placed an initial development order of SEK 2.5 billion for operations during 2013-2014. Remaining orders from Sweden are expected in 2013-2014. The total value of possible orders under the agreement amounts to a total of SEK 47.2 billion.

 

The Swedish Parliament, has with a broad majority, decided that Sweden will acquire Gripen E. The agreement signed leads to an initial delivery of Gripen E to Sweden in 2018.

 

The agreement with FMV includes several parts. The first part, ordered today, relates to development of Gripen E in 2013-2014 and is worth SEK 2.5 billion. The remaining parts of the agreement include orders as follows:

 

    Remaining development work for Gripen E to Sweden of SEK 10.6 billion – expected in the first quarter 2013.

    Modification of 60 Gripen C to Gripen E with first deliveries toSwedenin 2018 – expected in the fourth quarter 2013 at the latest.

    Mission-specific equipment and support and maintenance for Gripen E toSwedenwith initial deliveries in 2018 – expected in the fourth quarter 2014 at the latest.

    In Switzerland, a possible acquisition of 22 Gripen E is to be processed in the parliament. The agreement therefore includes provisions of delivery of 22 brand new Gripen E, and related equipment toSwitzerland, if Switzerland decides to acquire Gripen E.

 

All orders under the agreement, including a possible order from Switzerland via FMV, amounts to a total value of approximately SEK 47.2 billion and will be booked when each order is received.

 

The agreement includes rights for FMV - conditional to certain pre-requisites - to fully or partly make cancellations. If so, Saab has the right to compensation for costs already taken and costs for discontinuation. The agreement also includes sections regulating the conditions should Switzerland decide not to acquire Gripen E.

 

“This is an historic event for Saab. We are proud to continue to deliver a world-leading fighter aircraft to the Swedish Air Force. Gripen has long been the backbone of the Swedish Air Force as well as for several other countries. This next step also creates more opportunities in the export market for many years to come. Our existing customers that operate the Gripen C/D version will also be able to take advantage of some of the development in their future upgrades,” says Saab’s President and CEO Håkan Buskhe.

 

“We are now entering a development and test phase which will occupy many of our existing employees. We also anticipate that we will need to recruit. The production will take place in Sweden with suppliers from several countries,” says Lennart Sindahl, Head of business area Aeronautics, and adds:

 

“With this agreement we continue to develop the successful Gripen concept with our own innovative and unique design as well as our own software combined with sub-systems from different suppliers around the world.”

 

Gripen E has a substantially developed capability compared to previous versions. The aircraft is based on the same smart design and innovative technological solutions, which leads to considerable savings compared to other alternatives. Gripen E has a more powerful engine with the capacity to operate for a longer duration and carry more weapons and payload. New electronic radar, upgraded presentation systems in the cockpit and modern avionics (aircraft electronics) enhances the ability to perform successful missions. The technological steps that have been taken with Gripen E have been proven in the Gripen 39-7 E/F demonstrator program, where the test aircraft has flown more than 250 hours inSweden, the UK,India and Switzerland among others since 2008.

 

Through upgrading both hardware and software, Gripen E becomes a modern system that is easy to further develop for the future.

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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 13:53

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/espace-collaboratif/redaction-dicod/informelle-des-ministres-de-la-defense-de-l-ue/2183050-1-fre-FR/informelle-des-ministres-de-la-defense-de-l-ue.jpg

 

15.02.2013 International

 

Jean-Yves Le Drian s'est rendu à Dublin le 12 février 2013 pour une réunion informelle des ministres de la Défense de l’Union européenne. Le secrétaire général de l’Otan et le secrétaire général adjoint pour le maintien de la paix de l’ONU avaient fait le déplacement. L’Europe de la défense, la situation au Mali et les opérations de maintien de la paix étaient au menu des discussions.


Le ministre Jean-Yves Le Drian, était à Dublin mardi 12 février 2013, pour la réunion informelle des ministres de la Défense de l'Union européenne. Les discussions se sont tenues sous la présidence du ministre irlandais de la justice, de l’égalité et de la défense, Alan Shatter. Le secrétaire général de l’Otan, Anders Fogh Rasmussen, ainsi que le secrétaire général adjoint pour le maintien de la paix des Nations Unies, Hervé Ladsous, étaient présents.

La situation au Mali était au cœur de cette réunion. Le général François Lecointre, qui commandera la mission EUTM-Mali, a participé aux discussions. Celles-ci ont mis en avant l’importance de cette opération dans la prévention du terrorisme et la sécurité européenne. L'Irlande et le Royaume-Uni ont annoncé qu’ils déploieraient une équipe commune qui contribuera à la formation de l'infanterie malienne.

 

La politique européenne de Défense était également à l’ordre du jour. « Les discussions qui ont eu lieu ces deux jours reflètent une nouvelle impulsion pour développer les capacités militaires pour la PSDC », a expliqué Alan Shatter, en accord avec les conclusions du Conseil européen du 14 décembre 2012

 

Dernier grand thème abordé, les opérations de maintien de la paix des Nations Unies, auxquelles les ministres de la Défense ont renouvelé leur soutien. Alan Shatter a fait part de son espoir de voir « une nouvelle dynamique émerger d'un engagement renouvelé des États membres pour renouer avec les Nations Unies et soutenir les opérations de maintien de la paix en mettant à dispositions des capacités militaires nécessaires quand et où celles-ci sont essentielles »

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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 13:50

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15/02/2013 Vincent Lamigeon, grand reporter à Challenges Supersonique

 

Giuseppe Orsi, le patron du géant de l’aéronautique et de la défense italien Finmeccanica, arrêté comme un vulgaire malfrat pour corruption internationale présumée. Le dirigeant de la filiale hélicoptères AgustaWestland, la pépite du groupe, assigné à résidence. C’est un véritable cataclysme qui a touché le fleuron industriel italien transalpin (17,3 milliards d’euros, soit plus que Thales ou Safran) cette semaine. Giuseppe Orsi, qui cumule les postes de président et d'administrateur délégué, était visé depuis avril 2012 par une enquête portant sur la livraison en 2010 de 12 hélicoptères au gouvernement indien par une filiale du groupe, AgustaWestland, un contrat de 748 millions de dollars. Son arrestation décapite un groupe en pleine convalescence, deux ans après la chute du prédécesseur d’Orsi, le patriarche Pier Francesco Guarguaglini, également soupçonné de corruption.

 

Que va devenir Finmeccanica ? Le fleuron transalpin sortait à peine d’une année 2011 marquée par une perte nette record de 2,3 milliards d’euros, et d’une année 2012 encore poussive : Deutsche Bank prévoit seulement 183 millions d’euros de résultat net sur l’exercice, et surtout une dette encore colossale, à 3,5 milliards d’euros. Dès son arrivée, Orsi s’était engagé dans un grand ménage : une quarantaine de cadres dirigeants remerciés, 3,2 milliards d’euros de dépréciations d’actifs en 2011 pour solder le passé, et un plan de cession impliquant notamment la filiale ferroviaire Ansaldo. L’affaire de corruption affaiblit encore le champion industriel dans ses négociations avec les industriels intéressés, mais aussi avec ses créanciers. Elle touche surtout directement la pépite du groupe, l’hélicoptériste AgustaWestland, qui mène la vie dure à Eurocopter depuis quelques années sur le segment des appareils civils.

 

L’arrestation d’Orsi risque aussi d’avoir des conséquences financières désastreuses. L’Inde a déjà annoncé avoir stoppé les paiements à la firme italienne en attendant les résultats de l’enquête. « Une mise à l’écart prolongée sur le marché de défense et de sécurité indien aurait des conséquences significatives pour Finmeccanica, le groupe étant en lice pour plus de 12 milliards de dollars en 2013 », souligne Guy Anderson, analyste chez IHS Jane’s, qui estime l’objectif de 500 millions d’euros de commandes par an en Inde à l’horizon 2015 « clairement menacé ». Eurocopter et Thales, concurrents traditionnels des filiales du groupe (AgustaWestland, Selex) pourraient notamment profiter de cette mise à l’écart.

 

Le scandale Orsi risque enfin d’affaiblir Finmeccanica dans ses relations avec ses partenaires et clients. Le groupe italien collabore avec Thales dans la JV Thales Alenia Space, avec EADS dans le constructeur de turbopropulseurs ATR, avec BAE Systems et EADS dans le consortium Eurofighter (chasseur Typhoon) et dans le missilier MBDA. Il est aussi un gros fournisseur de Boeing pour les tronçons en composites du long courrier 787 Dreamliner, dont il risque aussi de payer les déboires. La situation financière et juridique du groupe va probablement l’amener à faire des choix dans ces alliances où le groupe est rarement en position de force.

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