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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 08:30

http://www.iaf.org.il/Sip_Storage/FILES/7/59527.jpg

 

27.02.2013 Shir Aharon Bram - iaf.org.il

 

American industries have renovated an IAF Patriot radar, which arrived here over 20 years ago, as a special project. "The renovation extended the radar's lifespan and its credibility. It has received 30 technical upgrades"

 

In a ceremony held this morning "Radar 120" of the Patriot System--a radar that has been renovated as a part of a special U.S Military program--has been initiated into the Aerial Defense Formation. Today, the radar will be transferred to Aerial Defense batteries, which will now put it into operational use. "Today, we will be concluding a long process when the radar is handed off to the unit", said Commander of the Aerial Defense Formation, Brigadier General Shahar Shochat. "It's a feeling of great pride and satisfaction".

 

The improved radar began its way in the IAF over two decades ago. "We're talking about a radar that was integrated in the Gulf War, in the year 1991", says Major Nir Hokima, head of ground-to-air missiles in the Material Directorate. "It's been working nonstop 24/7, very grinding work. When it was sent for renovation it was no less than 21 years old", he states. "The renovation has extended the lifespan and credibility of the radar. It has also undergone 30 technical upgrades which improve performances, security and maintenance".

 

According to Major Hokima, this is an extraordinary project in which U.S industries renovate weaponry for a foreign military. The radar renovation project was a cooperation between the interception systems wing in the Materiel Directorate and the aerial defense wing of the ADF. It also includes upgrades in the "cleanness" of the frequency produces by the radar, renovations to the antenna and trailer, and the all-around improvement of the radar.

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 08:30

Arrow-3-interception-missile-photo-4-IAF.jpg

 

27.02.2013 par Mylène Sebbah - israel-infos.net

 

Le lancement de Hetz 3 – ou Arrow 3 - a été salué comme une nouvelle étape dans la capacité d'Israël à repousser les menaces extérieures.

 

Pour Uzi Rubin, qui a supervisé le développement de ce nouveau missile intercepteur à longue portée, Hetz 3 représente aujourd'hui "le système le plus sophistiqué de son genre".

 

Le principal avantage de Hetz 3 -par rapport à son prédécesseur, Hetz 2- , est sa capacité à intercepter les missiles ennemis à plus haute altitude et de cibler les armes non conventionnelles de destruction massive.

 

Ceci est considéré comme particulièrement pertinent au regard de l'avancement du programme nucléaire de l'Iran.

 

Selon le ministre israélien de la Défense, Ehud Barakle test était une "étape importante dans le système israélien de protection multi-couches". En effet, Hetz 3 rejoint Hetz 2, Iron Dome (Dôme de fer) et Magic Wand (Fronde de David) pour constituer, globalement, un parapluie protecteur pour Israël contre tous les types de missiles, aussi bien ceux de courte et moyenne portée tirés depuis la bande de Gaza au sud ou ceux du Hezbollah au nord, que face à la menace potentielle des missiles iraniens.

 

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a salué la réussite technique israélienne et le partenariat avec les États-Unis qui, selon lui, permettent au gouvernement israélien de mieux protéger ses citoyens.

 

Ce système d'interception est développé par Israël Aerospace Industries en collaboration avec Boeing.

 

La fusée, encore aux premiers stades de développement, n'a pas eu de cible à intercepter et ne devrait être déployée qu'en 2016.

 

Pour sa part, le système Magic Wand a une autonomie de 70 à 200 kilomètres et devrait être opérationnel en 2014.

 

En revanche le système Dôme de fer a largement été sollicité au cours du dernier conflit avec Gaza, lors de l'opération Pilier de Défense en novembre dernier.

 

Ce système d'interception à courte portée a prouvé son efficacité, avec un taux d'interception de 84% des tirs de roquettes, jusqu'à 70 kilomètres, protégeant les zones résidentielles dans le sud d'Israël et du centre.

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 07:30

http://img.over-blog-kiwi.com/0/40/84/59/201302/ob_7ccd3f94090c579e2d5768cab3d578c4_image20.jpg

Le Multiple Cradle Launcher System (MCLS) en

démonstration dynamique lors du salon IDEX 2013

(crédit : Army Recognition)

 

27 Février 2013 par Pierre-Marie MEUNIER – Les Forges de Vulcain

 

On le croirait sorti d’un jeu vidéo ou d’un film de science-fiction, mais il est pourtant bien réel et a été présenté pour la première fois au public lors du salon IDEX 2013 d’Abu Dhabi, qui vient de fermer ses portes. Le Multiple Cradle Launcher System (MCLS) est de fait le plus imposant système lance-roquettes multiples, avec pas moins de 240 roquettes de 122 mm prêtes au tir, réparties sur quatre lanceurs indépendants Aselsan de 60 roquettes chacun. Ce système est aujourd’hui produit et commercialisé par Jobaria Defense Systems (JDS), une compagnie récemment créée au sein du groupe émirati Tawazun. Le développement de ce système a été réalisé depuis 2008 par la société Al Jaber Land Systems des EAU, en collaboration avec la société turque Roketsan.

 

Ce système est susceptible d’envoyer en une seule salve 240 roquettes non guidées, jusqu’à une distance de 40 km selon les modèles de roquettes. Bien qu’il existe des roquettes de 122 mm guidées (la roquette WS-22 SPMRL chinoise entre autres) cet armement a manifestement vocation à devenir un nouveau standard dans la catégorie saturation de zone. Sachant qu’une seule roquette HE standard neutralise une zone d’approximativement 2500 m2, une salve complète est théoriquement en mesure de traiter 60 ha. Même si la mode des frappes dites « chirurgicales » est un peu passée, on s’interroge sur la pertinence d’un tel volume de feu, avec le souci très actuel des dommages collatéraux. Avec un véhicule porteur de plus de 100 tonnes, donc très difficilement aérotransportable, peu maniable et vulnérable sur bien des théâtres, on se demande s’il y a véritablement une finalité opérationnelle derrière ce type de matériel. D’autant plus que la portée de 40 km, équivalente à celle d’un système d’artillerie classique type CAESAR, infiniment plus pratique, limite son utilité comparée. On pourrait être tenté de voir dans ce système une simple arme de prestige, plus que d’efficience militaire, à l’instar de chefs de guerre afghans qui exhibent un lanceur Scud-B dans leur arsenal, tout en sachant pertinemment qu’il est hors d’usage. Une forme de dissuasion conventionnelle pour pays pauvres ?

 

Pourtant, un tel système d’armes, utilisé par exemple en batteries de quatre engins, saturerait très rapidement les systèmes de défense C-RAM les plus évolués. On peut songer au système Iron Dome israélien, spécifiquement conçu pour contrer la prolifique famille des roquettes de 122 mm, mais aussi au système Sky Shield de Rheinmetall, ou encore au CIWS Phalanx Tous ces systèmes ont été conçus pour s’opposer prioritairement aux armes de combattants irréguliers, disposant d’un faible volume de feu. Le développement exponentiel de l’artillerie chinoise, très friande de lance-roquettes multiples, est là pour nous rappeler que le concept de saturation n’est peut être pas une relique de la guerre froide.

 


(crédit : Army Recognition)
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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 07:30

Iran

 

27/02/2013 Par LEXPRESS.fr (avec AFP)

 

Benyamin Netanyahou dénonce la poursuite par l'Iran de son programme nucléaire. Le Premier ministre israélien demande à la communauté internationale de menacer Téhéran d'une action militaire, si les sanctions ne suffisent pas.

 

Benyamin Netanyahou en appelle à la communauté internationale. Le Premier ministre israélien a demandé ce mercredi aux grandes puissances de mettre en garde l'Iran contre une action militaire s'il poursuivait son programme nucléaire controversé. 

 

"Comme la Corée du Nord, l'Iran continue de bafouer les normes de la communauté internationale et ne semble pas vouloir mettre fin à son programme nucléaire militaire", a déclaré Benyamin Netanyahu, selon un communiqué. 

"La communauté internationale doit renforcer ses sanctions contre l'Iran et clarifier qu'en cas de poursuite de son programme nucléaire, il y aura des sanctions militaires", ajoute le Premier ministre. 

De nouvelles discussions à la mi-mars

Le groupe des 5+1, c'est-à-dire les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU -Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie et Chine- plus l'Allemagne, s'est entendu ce mercredi avec l'Iran pour de nouvelles discussions sur le programme nucléaire de Téhéran. Celles-ci se tiendront à partir de la mi-mars. 

 

Le 21 février, le bureau de Benyamin Netanyahou avait qualifié de "grave" un rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Celui-ci estimait que l'Iran était "plus proche que jamais d'obtenir du matériel enrichi pour une bombe atomique". 

 

Lors d'un discours devant l'Assemblée générale de l'ONU en septembre, le Premier ministre israélien avait réclamé qu'une "ligne rouge claire" soit fixée au programme nucléaire de l'Iran. Selon son bureau, ce sujet sera d'ailleurs "le premier" que Benyamin Netanyahou abordera avec le président américain Barack Obama, attendu en Israël en mars. 

Les grandes puissances et Israël soupçonnent l'Iran de vouloir se doter de la bombe atomique sous couvert d'un programme nucléaire civil, ce que Téhéran dément.

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 18:30

Syria

 

February 27, 2013: Strategy Page

 

Video coming out of Syria shows rebels using a lot of new weapons, including Chinese portable anti-aircraft missiles and Yugoslav rifles, machine-guns, anti-tank weapons and grenade launchers. The Yugoslav weapons were apparently bought from Croatia by Saudi Arabia and moved into Syria via Jordan (where the Saudis are helping the government deal with and pay for the refugees pouring in.) The main rebel military organization, the FSA (Free Syrian Army) is responsible for distributing weapons and other supplies to rebel fighters inside Syria. This includes providing some supplies for the Islamic radical groups. But the Saudis have made it clear that the growing number of new weapons moved into Syria are not to be given to the Islamic radicals. The Saudis point out that if too much video gets out showing Islamic terrorists using this new stuff it will be bad for the rebel cause. 

 

The fighting in Aleppo keeps going against the government. Being forced out of the city would be a major defeat and would give the rebels a place to establish a new Syrian government. To avoid this catastrophe the government has been sending reinforcements north. But it isn’t enough, because the government has fewer and fewer troops available. Forming civilian militias is of only limited help because these guys are OK at defending their neighborhoods, but much less capable, or willing to move elsewhere and go on the offensive. Most of Aleppo is now controlled by the rebels and the Assad forces may be gone in weeks, or months depending on how desperate they are to hang on. 

 

The U.S. and Western Europe are still restricting their aid to help for refugees and some military advice. There may also be some intelligence passed along on where Assad forces are and what they are doing. But no such aid is given any publicity. The West is in a no-win situation here because the rebels are split into some very different factions. The most feared groups are the Islamic radicals (including al Qaeda) who are the most fanatical fighters and make no secret of their plan to try and establish a religious dictatorship when the Assads are gone and continue attacks against the West. The Islamic radicals have the fanaticism, but they don’t have the numbers. Resisting such a takeover is the one thing that would unite the other tribal, political and ethnic factions. This means that the Syrian fighting will go on for some time and the battle with the Assad government is just the first phase. The West prefers that the Arabs deal with their own problem here, because many Arabs will blame the West no matter what the West does. Although lacking the powerful military capabilities of the West, the Arab Gulf states, led by Saudi Arabia have lots of money and people with connections inside Syria. The Arabs are also getting deeper into an undeclared religious (Sunni versus Shia) war with Iran. Syria has long been one of the few Arab allies of Syria (because the Assads are members of the Shia minority in Syria) and provides a logistical connection to the Shia Hezbollah militia that controls south Lebanon. Hezbollah was created by Iran three decades ago and has become a destabilizing force in Lebanon. Most Lebanese want Iran out of Lebanon and getting rid of the Assads is a step in that direction. So the Arab states have stepped up with cash and are buying weapons and other supplies for the rebels, and taking care of the refugees (even though some of them are Assad supporters). The Saudis are also making progress in persuading the West to become more active in helping the rebels. The Saudis have made it clear that they can be a big help in dealing with Islamic radical groups in a post-Assad Syria and that is an attractive proposition to the West. Many Saudis still secretly support Islamic radicals (mainly with cash contributions and new recruits) but the Saudi government has been openly at war with Islamic terrorists since 2003 and does not want to see Syria turned into a sanctuary for them. The Assads were always hospitable to all sorts of terrorists, especially those hostile to Saudi Arabia. The Saudis are in this fight to win. They are willing to share the glory with the West, if the West will be a bit more helpful.

 

Rebels released video showing the impact of four ballistic missiles that hit residential areas of Aleppo on the 21st and killed 141 civilians.

 

February 26, 2013: Rebels ambushed a Hezbollah convoy near the Lebanon border. This shows how the rebels increasingly control the border areas and highways. This makes road travel much more dangerous for government forces. It also reveals that the rebels are receiving more information from inside the government and Hezbollah forces. The government has a growing problem with disloyalty and deserters. That inside information gets loose and gets government supporters killed. It also further demoralizes those still loyal to the Assads. Rather than take on these militias the rebels are going for the roads. As it is in all wars, logistics (supplies) is the key to victory. The Assads have long maintained their power by controlling the economy and rewarding their supporters. Now, if the Assads cannot get food, fuel and other necessities to their followers, they will lose the support of the small faction (10-20 percent) of the population they need to remain in power. The rebels are making road travel increasingly dangerous for government forces. The Assads don’t have enough troops to patrol all those roads regularly. The lack of such supplies through the country is causing an increase in disease and unhappiness in general.

 

February 25, 2013: The government said it was now willing to negotiate with the rebels. Most of the rebel factions are not interested in talking. Russia has tried to arrange such negotiations, without much success. The offer has boosted rebel morale as it is seen as a sign of Assad desperation.

 

A large bomb went off in Damascus, in a pro-government neighborhood. A growing number of neighborhoods in Damascus are controlled by the rebels, at least at night. These areas provide a base from which to plan and launch attacks on Assad forces and supporters in the city.

 

February 24, 2013:  There was a riot in a Jordanian refugee camp after an Arab man came in and distributed cash to refugees. When all the cash was gone, some of those who did not get any money attacked the donor and other refugees came to the donor’s defense. Over 200 people were involved in the fracas and two refugees and a policeman were badly hurt.

 

February 22, 2013: At least four ballistic missiles fell on residential neighborhoods in and around Aleppo. The missiles are not as useful as air strikes or artillery because it takes several hours to ready the liquid fueled models (like SCUDs) and they are less accurate. The one ton warheads can take down entire buildings; which makes for exciting video. But the aftermath, if that building is full of women and children, is rather more chilling. The army used the missiles in this case to destabilize rebel fighters in a neighborhood troops then advanced into. The troops were later forced to retreat.

 

February 21, 2013: A car bomb went off in Damascus near the Russian embassy and the headquarters of the ruling Baath Party. Over 70 died in this attack.

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 18:30

Saudi-Arabia-AF-A330-tanker-.jpg

 

Feb. 27, 2013 by Craig Hoyle – FG

 

London - Saudi Arabia has placed its first Airbus Military A330-200-based multirole tanker transports (MRTT) into operational use, with the type to be flown from its Riyadh air base.

 

Airbus Military says one MRTT was inducted into Royal Saudi Air Force service on 25 February, with this being the first of three examples "that have already been contractually delivered". Three more are also being produced under a follow-on contract, with deliveries to start in late 2014.

 

Riyadh's first operational MRTT carries the service registration 2402. Powered by two General Electric CF6-80E engines, the platform is equipped with an aerial refuelling boom system and under-wing hose and drogue refuelling pods, enabling it to support the air force's Boeing F-15, Eurofighter Typhoon and Panavia Tornado combat aircraft. The Saudi aircraft can also carry up to 266 passengers, in a two-class configuration.

 

Introduction of the new type supports an expansion in the Royal Saudi Air Force's inflight refuelling capabilities. The service's inventory already includes seven Boeing 707-derived KE-3A tankers delivered in 1987, says Flightglobal's MiliCAS database.

 

The service milestone in Saudi Arabia came just weeks after the early February delivery of the first of three MRTT aircraft to the United Arab Emirates. It was also followed on 27 February by the Royal Australian Air Force announcing that its fleet of five locally designated KC-30As had achieved initial operating capability. The A330-based tanker/transport is also in service as the Voyager with the UK Royal Air Force, which is using the type in a passenger transport role only.

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 17:30

air f-35a aa-1 flight top lg-source DefenceWatch

 

Feb 27, 2013 defense-aerospace.com

(Source: The Journal of Turkish Weekly; published Feb. 26, 2013)

 

Lockheed Dispute Clouds Turkey’s F-35 Commitment (edited excerpt)

 

Turkey has been one of the keenest partners in the multinational Joint Strike Fighter (JSF) consortium, but major disputes with the leading manufacturer in this huge program have weakened Turkish enthusiasm.

Last month, Turkey’s defense procurement authorities announced they were postponing an order to purchase the country’s first two F-35 fighter jets to be built by the JSF partnership. They cited “rising costs and technological failures” for their decision.

“Due to the current state of the JSF... and the rising cost ... it was decided to postpone the order placed on Jan. 5, 2012, for the two aircraft,” the undersecretariat for Defense Industries (SSM) said. It was also said that the decision was taken because the technical capabilities of the aircraft were “not at the desired level yet.” But Turkey still intended to buy 100 more F-35s in the long run.

Privately, procurement officials admit there was a “certain degree of psychological deliberation at work too.” By that they meant a “bandwagon effect,” which had added Turkey to a list of skeptical partners.

An SSM official said that it would be safer for Turkey to join the skeptical partners in order not to “stand alone in the dark.”

…/…

But Lockheed Martin F-35 program vice-president Steve O’Bryan said last week: “We will continue to drop the price of the airplane out to approximately 2020 where the U.S. government estimate is for an airplane, with the engine and all mission equipment, to be approximately $67 million. That is better than any fourth generation fighter out there today in terms of cost.”

That’s relieving but, for Ankara only if put into a formal guarantee. Recently, the SSM requested “cost guarantees” from the JSF consortium. “We don’t’ want to walk in complete darkness in regards to our budgeting,” said one SSM official. “We want to clearly see what kind of costs would be ahead of us.”

Industry sources said it would be surprising if the JSF group at this stage committed itself to any price when there are several unknowns in the program.

…/…

In another contentious issue, Turkey demands to obtain software source codes which the U.S. has been reluctant to share. Turkey announced in March 2011 that it was placing its order for 100 jets on hold due to the ongoing source code refusal issue. Ankara said the negotiations for access to the F-35 source codes, including codes that can be used to control the aircraft remotely had not yielded satisfactory results and that under these conditions Turkey could not accept the aircraft.

“We have not inched forward for the solution of this problem,” the SSM official said. “We don’t know what else we could do to tell our [American] counterparts that access to source codes is essential for us.”

The Air Force headquarters looks impatient about delays. An Air Force officer said that further delays could disrupt operational requirements and planning at the headquarters. “In that case we may have to sit down with the procurement people and devise a stop-gap plan,” he said.

SSM officials ruled out a potential Eurofighter Typhoon order, but say Ankara could consider an F-16 purchase. “We can compensate for rising costs with larger work share for our domestic industry. We also think that technical failures are not failures but just delays. If things get worse we can consider an F-16 buy,” he said. (end of excerpt)


Click here for the full story, on the JTW website.

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 14:30

Syria

 

MOSCOU, 27 février - RIA Novosti

 

La Maison Blanche pourrait apporter une aide militaire directe à certaines unités de la dénommée Armée syrienne libre (ASL), rapportent mercredi les médias occidentaux citant des sources diplomatiques européennes comme américaines.

 

Selon ces sources, l'administration Obama est prête à envoyer des armes non létales à certaines unités de l'ASL qui mène la lutte armée contre les forces fidèles au gouvernement de Damas. Précédemment, une telle aide n'était octroyée qu'à l'opposition politique syrienne.

 

Cette décision pourrait être adoptée et annoncée jeudi 28 février lors de la visite du nouveau secrétaire d'Etat américain John Kerry à Rome qui accueille une conférence internationale sur la Syrie. Pour le moment, l'octroi de l'aide militaire directe aux combattants anti-Assad doit être concerté avec les pays de l'Union européenne.

 

Devenue guerre civile, la révolte en Syrie se poursuit depuis mars 2011. Selon différentes sources, le conflit a déjà fait près de 70.000 morts et près de 500.000 personnes déplacées. Les autorités syriennes indiquent qu'elles luttent contre des combattants bien armés bénéficiant d'une aide étrangère. Selon Damas, certains groupes armés sont liés avec le réseau terroriste Al-Qaïda.

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 14:04

Strait of hormuz Bases Militaires source LeFigaro.fr

 

27.02.2013 by CESA

 

L’année 2011 a été marquée par la vague des printemps arabes qui a fait basculer plusieurs régimes. Véritable cygne noir , cette rupture n’a pas été anticipée par les pays occidentaux qui doivent ainsi réviser leur lecture de cet espace géopolitique. Les forces agissantes libérées par ces différents soulèvements populaires ont et continuent de transformer une société que l’on croyait figée. La France, particulièrement bien implantée dans le monde arabe, est confrontée à ce repositionnement de sa politique extérieure. A cet égard, la diplomatie de défense qu’elle a conduite auprès des pays du Golfe persique (I) mérite d’être examinée à la lumière de tous ces évènements (II). Sans aucun doute, la présence française dans cette région du monde prend aujourd’hui un nouveau relief à la faveur des mouvements contestataires qui secouent les gouvernements arabes.

 

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 12:30

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/27/Royal_Saudi_Navy_Logo.svg/333px-Royal_Saudi_Navy_Logo.svg.png

 

27/02/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Ce contrat négocié d'Etat à Etat, via ODAS, fait l'objet de dissensions au sein du conseil d'administration de cette société. DCNS souhaiterait qu'ODAS accorde sa garantie sur les travaux réalisés par son partenaire saoudien pour limiter ses risques. Les autres actionnaires, dont EADS, ne sont pas d'accord.

 

C'est l'histoire d'un contrat d'un milliard d'euros environ plusieurs fois attendu... mais jamais signé malgré la visite éclair en novembre 2012 de François Hollande en Arabie saoudite. Le contrat LEX (Life Extension Sawari 1), portant sur la modernisation de quatre frégates de classe Al Medinah et de deux pétroliers-ravitailleurs de classe Boraida mis en service en 1985-1986 (contrat Sawari I), aurait pu être le premier gros contrat du président socialiste. Cela n'a pas encore été le cas. Pourquoi ? Selon des sources concordantes, le camp français est divisé au sein de la société ODAS. Ce contrat d'Etat à Etat passe par cette société, qui a été créée à la demande de l'État français pour contribuer à développer les exportations dans le domaine de la défense, de la sécurité et des hautes technologies essentiellement en Arabie saoudite. Son actionnariat rassemble, aux côtés de l'État, une dizaine de grands groupes de défense français, dont DCNS, Thales, EADS France, MBDA France, Nexter, Dassault Aviation ainsi que la banque Crédit Agricole Corporate and Investment Bank (ex-Calyon).

 

Le camp français divisé

 

C'est au sein du conseil d'ODAS que le camp français est divisé. Car DCNS souhaite obtenir la garantie de cette société sur la partie des travaux, laquelle sera réalisée par le chantier naval saoudien, le groupe Zamil, associé à ce contrat par DCNS. Pour le groupe naval, ce contrat est une première de ce type en Arabie Saoudite. Il va devoir créer une structure industrielle à Djeddah sur les bords de la Mer Rouge dans un environnement local peu développé dans ce domaine d'activité. En outre, la remise en état des navires sera compliquée. Du coup, l'enjeu pour DCNS sera de maîtriser les coûts de production et les délais dans un environnement peu connu par le groupe. D'où la volonté de ne pas perdre sa chemise sur un un contrat à risques.

 

Mais au sein du conseil, d'autres actionnaires, dont EADS France, ne l'entendent pas de cette oreille, selon des sources concordantes. Pas question qu'ODAS accorde sa garantie sur les travaux réalisés par le groupe Zamil. "Ce n'est pas le rôle d'ODAS", explique-t-on à La Tribune. D'où le blocage du contrat. Une situation qui pourrait toutefois se dénouer à la faveur d'un arbitrage de l'Etat. D'autant que François Hollande doit dans les prochaines semaines retourner à Ryad. Selon un très bon observateur du pays, l'Arabie saoudite serait en train de desserrer l'étau sur les contrats français, qui s'entassent sur le bureau des proches du Roi. Le contrat LEX pourrait être signé prochainement tout comme une nouvelle commande en faveur de Thales portant sur la logistique des missiles Crotale (défense aérienne). La raison ? La convergence de vue entre Paris et Ryad sur le dossier de la Syrie n'est pas étranger au réchauffement des relations franco-saoudiennes après la période glaciale du quinquennat de Nicolas Sarkozy. "Ryad a pris le temps de se faire une idée des nouveaux responsables politiques français", explique ce connaisseur du royaume.

 

Guerre d'influence

 

Au-delà des guerres intestines au sein du conseil d'ODAS, il existe également une véritable lutte d'influence en coulisse en Arabie saoudite entre Français, qui jouent sur les différents membres de la famille royale pour faire avancer leurs affaires, voire faire trébucher les concurrents français. ODAS, tout comme Thales et DCNS, entretiennent ainsi de bonnes relations avec le ministère de la Défense saoudien, notamment avec Khaled ben Sultan ben Abdelaziz Al Saoud, vice-ministre de la Défense de l'Arabie saoudite, qui est le fils de l'ancien ministre de la Défense décédé en 2011, Prince Sultan bin Abdulaziz, le demi-frère du roi. De leur côté, EADS et MBDA entretiennent quant à eux des liens étroits avec le fils du roi Abdallah, le prince Mutaib bin Abdullah, patron de la Garde nationale, qui est l'armée privée du roi.

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 08:30

cyber warfare

 

TEL AVIV, Israel, Feb. 26 (UPI)

 

Israel's military has inaugurated a cyberdefense control center as the Jewish state grapples with a sharp increase in cyberattacks, most of them supposedly from Iran.

 

At the same time, Israel is amassing a multibillion-dollar arsenal of electronic weapons to use against the Islamic Republic in a largely covert campaign but which could come out of the shadows if Israel decides to launch pre-emptive strikes against Iran's contentious nuclear program.

 

The Americans are increasingly concerned with China's cyberactivities, which they see a growing security threat to the nation's still highly vulnerable industrial and financial systems.

 

But Israel's focus is almost entirely on Iran. The Jerusalem Post quoted a senior Israeli military source as saying there's been a dramatic rise in cyberattacks on the digital infrastructure of the armed forces and Iran's seen as the culprit.

 

"The world of attacks is changing rapidly," he said as the new center, two years in the planning, became operational this month.

 

"Few countries have this kind of defense ability," he noted. "This is part of the military's readiness to ensure continuity of conventional operations. This continuity is based on cybersecurity."

 

The command center, operating round the clock, is manned at all times by 20 personnel but the source said that's likely to be insufficient in view of the ever-widening cyberthreats.

 

"Two years ago, even my most pessimistic evaluations didn't lead me to believe we'd be facing the challenges we're seeing today," the military source told the Post. "Our enemies are not stupid. They're determined and want to cause harm wherever they can."

 

So far as is known, Israel hasn't suffered major damage from a cyberattack but there are concerns, and the new highly classified cyberdefense center reflect this, that sooner or later the Iranians will succeed in delivering a critical blow to Israel.

 

There's no real indication that the diplomatic deadlock between Iran and U.S.-led Western powers over Iran's nuclear program is anywhere near being broken. But there is a growing belief Israeli Prime Minister Binyamin Netanyahu, despite all his huffing and puffing, is unlikely to launch threatened pre-emptive strikes against Iran in 2013.

 

However, the Iranians can be expected to continue digital dirty tricks against the Jewish state, as well as the United States and its Persian Gulf allies whose energy industry got a whiff of Iran's growing cyber warfare capabilities in 2012 -- assaults that regional security experts fear may soon be repeated on a more damaging scale.

 

The Islamic Republic, one of the world's top oil exporters when it's not battered by economic sanctions, has been steadily building up its cyberdefenses since its nuclear program was sabotaged in 2010 by the Windows-based Stuxnet computer worm, reportedly planted by the United States or Israel, or in a combined operation.

 

"By the second half of 2014, things will be different," observed Financial Times analyst James Blitz.

 

"The risk is that while diplomacy is blocked, the 'shadow war' between an increasingly fearful Israel and an increasingly beleaguered Iran gets worse."

 

One area worth keeping an eye on, Blitz observed, "is cyber conflict, where both sides are increasingly active ...

 

"In short, 2013 will be an edgy year ... Israel will not take military action against the Iranian program.

 

"But it would be no surprise if both sides tried to gain an advantage over the other by covert means and especially in the realm of cyber conflict."

 

In January, U.S. Air Force Gen. William Shelton warned that the Tehran regime has significantly boosted its cyber warfare program since the Stuxnet attack on the uranium enrichment center at Natanz in central Iran.

 

Iran's official media claims that other nuclear facilities have also been hit by Stuxnet since then as part of the U.S.-Israeli effort to wreck Tehran's alleged plans to develop nuclear weapons.

 

Shelton, who's head of the U.S. Air Force Space Command and oversees its cyberoperations, cautioned that Iran is a serious threat in the realm of cyberwarfare.

 

"They're going to be a force to be reckoned with, with the potential capabilities they'll develop over the years and the potential threat they'll represent to the United States," he said.

 

In mid-2012, Western intelligence sources estimated Tehran had spent $1 billion to upgrade its cyber capabilities.

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 21:47

Iran

 

26.02.2013 Romandie.com (ats)

 

Les grandes puissances et l'Iran ont eu mardi une réunion "utile" sur le dossier nucléaire iranien à Almaty, au Kazakhstan, ont indiqué des responsables russe et occidental. Les deux parties ont décidé de poursuivre leurs discussions mercredi.

 

Les délégations des pays du groupe "5+1" (les cinq membres du Conseil de sécurité de l'ONU plus l'Allemagne) et de l'Iran se sont rencontrées pendant trois heures en milieu de journée. Cette rencontre était la première depuis huit mois entre les deux parties.

 

Ces discussions ont été jugées "utiles" par le chef de la délégation russe, Sergueï Riabkov, et une source occidentale. "Nous nous sommes mis d'accord pour avoir une autre réunion mercredi à 11h00 (06h00 suisses)", a déclaré de son côté Michael Mann, porte-parole de la cheffe de la diplomatie européenne Catherine Ashton, chargée des contacts avec Téhéran au nom du groupe 5+1.

Appel à la "flexibilité"

 

Une source iranienne a confirmé que les discussions reprendraient mercredi. "Nous espérons que les Iraniens viendront demain en montrant de la flexibilité et une volonté de compromis. La balle est vraiment dans leur camp", a déclaré un peu plus tard M. Mann.

 

Il a précisé que les Iraniens avaient eu des discussions bilatérales avec les Russes, les Allemands et les Britanniques sur la nouvelle offre des pays du groupe 5+1. Selon une source des grandes puissances, cette proposition promet "une réduction de certaines sanctions sur le commerce de l'or, de celles concernant l'industrie pétrochimique et de certaines sanctions bancaires", en échange de concessions de Téhéran.

 

Cette offre reprend la demande faite à l'Iran début 2012, à savoir "l'arrêt de l'enrichissement à 20 % (de l'uranium) , la fermeture du site de Fordo (enfoui sous la montagne et difficile à détruire, NDLR) et l'envoi du stock d'uranium enrichi à 20 %" à l'étranger, a-t-elle ajouté.

 

Lignes rouges iraniennes

 

De son côté, Téhéran a annoncé qu'il allait faire une nouvelle offre aux grandes puissances, mais insisté sur le fait qu'il refuserait de céder sur la fermeture du site de Fordo et l'envoi à l'étranger de son stock d'uranium à 20 %.

 

"En revanche, nous pouvons envisager l'arrêt de l'enrichissement à 20 % contre la levée de toutes les sanctions internationales, notamment celles du Conseil de sécurité" de l'ONU, a souligné une source proche de l'équipe de négociateurs iraniens.

 

De son côté, le secrétaire d'Etat américain John Kerry, en visite à Berlin, a dit mardi "espérer" que les deux parties trouvent une "solution diplomatique".

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 21:41

Syria

 

26 février 2013 21h09 Romandie.com (AFP)

 

WASHINGTON - L'Arabie saoudite a acheté des armes en Croatie pour équiper les rebelles syriens, affirme le New York Times.

 

Citant des responsables occidentaux sous le couvert de l'anonymat, le quotidien américain indique que l'Arabie saoudite a acheté une grande quantité d'armes terrestres appartenant à un stock secret datant des conflits dans les Balkans dans les années 90.

 

Les armes ont été fournies aux rebelles syriens via la Jordanie en décembre. C'est à partir de cette époque que l'on a retrouvé des armes yougoslaves dans les vidéos postées par les rebelles sur Youtube, a précisé le quotidien lundi.

 

Depuis lors, les responsables occidentaux affirment que de multiples avions chargés d'armes ont quitté la Croatie avec notamment des milliers de fusils et des centaines de mitrailleuses, ainsi qu'un nombre inconnu de munitions.

 

Un porte-parole du ministère croate des Affaires étrangères a affirmé au journal qu'aucune arme n'avait été vendue ni à l'Arabie saoudite ni aux rebelles syriens. La Jordanie comme l'Arabie saoudite ont refusé de répondre aux questions du New York Times.

 

Un porte-parole du département d'Etat américain, Patrick Ventrell, a répété mardi que les Etats-Unis apportaient une aide non létale à l'opposition syrienne. D'autres pays prennent d'autres décisions, qui sont leurs décisions souveraines, a-t-il ajouté devant la presse.

 

Les Etats-Unis s'en tiennent depuis près de deux ans à une aide humanitaire aux réfugiés dans les pays voisins, ainsi qu'à une aide dite non létale aux rebelles, soit des équipements de communication, de la formation, etc.

 

Les rebelles syriens combattent le régime de Bachar al-Assad depuis mars 2011 et contrôlent aujourd'hui un nombre important de territoires, en particulier dans le nord du pays. Selon les Nations unies, le conflit a fait quelque 70.000 morts.

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 17:33

Elbit Hermes 900 UAV – photo Armasuisse

 

Feb 25, 2013 ASDNews Source : Elbit Systems Ltd.

 

The delivery follows a recent contract award by the Israeli Ministry of Defense for the supply of additional Hermes® 900 UAS as well as for the development of advanced UAS capabilities and maintenance services

 

Elbit Systems Ltd. ("ESL") has delivered a Hermes® 900 unmanned aircraft system (UAS) to a customer in the Americas. The program includes delivery of ESL's Hermes® 900 unmanned air vehicles, Universal Ground Control Stations (UGCS) including installation in a mission control center, advanced electro-optic systems and additional unique systems.

 

Due to high demand, ESL has increased its UAS production activities and will soon be delivering additional Hermes® 900 systems to other international customers,

 

ESL announced on December 31, 2012 that it was awarded a second contract to supply a wide range of Hermes® 900 UAS to the Israel Defense Forces (IDF). The contract, a follow-on to the initial IDF order for Hermes® 900 in 2010, calls for development of additional advanced UAS capabilities as well as UAS maintenance services. On January 27, 2013, ESL announced that it  received an approximately $35 million contract from the Israel Ministry of Defense ("IMOD") for the development of advanced features for Unmanned Aircraft Systems (“UAS”). One of the mission requirements is the quick re-configuration of the UAS’ payloads.

 

The Hermes® 900 is well positioned as global leader in persistent intelligence, surveillance, target acquisition and reconnaissance (ISTAR), border control and ongoing security missions. The Hermes® 900 offers advanced and unique capabilities, including operation under adverse weather conditions, long endurance, high flight altitude and large multi-payload capacity. Elbit Systems offers a wide variety of advanced and high performance payloads to enable mission effectiveness in versatile missions. The system’s unique design allows fast and flexible plug-and-play re-configuration to carry various payloads and support multi-mission performance according to the customer’s requirements, in a cost-effective manner.

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 17:30

http://forcesoperations.com/wp-content/gallery/guillaume/sherpa.png

Sherpa sur le stand RTD durant IDEX (crédits: G Belan)

 

21.02.2013 par Guillaume Belan (FOB)

 

Alors que le salon IDEX ferme aujourd’hui ses portes, Renault Trucks Défense (RTD) qui n’a pas de contrat avec les Emirats Arabes Unis, a tout de même une activité élevée dans la région. Le constructeur de véhicules blindés français procède en ce moment à la livraison de 46 Sherpa Station Wagon ainsi que 20 Sherpa Scout à l’Arabie Saoudite. Ce 4X4 blindé de la classe des 10 tonnes se décline en différentes versions : la SW offre une large volume intérieur de plus de 10 m3 et celle Scout sera dédiée à la surveillance de frontière, donc très probablement équipée de senseurs (caméra…) et d’un toureleau téléopéré 12.7 mm. Le moteur de 175 CV lui permet de rouler à plus de 120 km/h, avec une autonomie de 800 km.

 

http://forcesoperations.com/wp-content/gallery/guillaume/higuard.png

Higuard sur le stand RTD durant IDEX (crédits: G Belan)

 

Au Qatar, RTD livre 22 MRAP Higuard et 10 Sherpa APC, fin des livraisons d’ici les deux prochains mois. Le Higuard est un blindé haut perché de 20 tonnes avec une bonne mobilité qui peut accueillir 12 hommes et leurs matériels. Il est destiné aux forces spéciales intérieures, notamment dans des missions anti-émeutes. Il faut croire que le printemps arabe provoque quelques frayeurs dans la région… Le véhicule qatarien est équipé d’un armement non létal qui permet de lancer des grenades lacrymogènes. Quant au Sherpa APC, il serait destiné aux forces spéciales qatariennes pour des missions antiterroristes. La version APC peut accueillir dix fantassins en plus des deux hommes d’équipage. Il est livré avec une mitrailleuse de 12,7 mm.

 

L’Egypte est également un bon client de RTD, le Caire a passé diverses commandes, à savoir des Sherpa, mais aussi des véhicules destinés au maintien de l’ordre.

 

La filiale de RTD, ACMAT a également livré pour la première fois une version ambulance de son ALTV dans le cadre du contrat pour la Côte d’Ivoire (relire l’article de FOB sur ce contrat ici). 4×4 léger de 3,5 tonnes avec une vitesse max de 160 km/h et autonomie de 1600 km, cette version est destinée soit aux premiers secours soit à une équipe chirurgicale. L’ALTV ambulance peut embarquer jusqu’à quatre patients allongés dans les versions d’évacuation. La version médicalisée n’emporte qu’un seul patient, mais une petite équipe médicale dispose alors de moyens d’intervention (plan de travail, réfrigérateur, lavabo, etc.).

 

Enfin ACMAT va achever d’ici fin mars la livraison au Tchad de ses Bastion Patsas. N’Djamena est le premier client de cette version blindée du véhicule Bastion. A peine livré, le véhicule est en ce moment déployé au Mali. Ce blindé de dix tonnes peut embarquer cinq hommes avec un équipement de combat complet : circulaire capable d’accueillir une mitrailleuse de 12,7 mm et trois postes de tirs (deux à l’arrière et un à l’avant) pour des mitrailleuses légères.

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 17:30

http://forcesoperations.com/wp-content/gallery/guillaume/earth2.png

Mad Max - (Earth) - photo G. Belan

 

25.02.2013 par Guillaume Belan (FOB)

 

Tous les salons de défense recèlent quelques pépites, inventions originales, décalées, absurdes ou étonnantes. IDEX qui se tenait la semaine dernière à Abu Dhabi n’y a pas fait exception. En voici donc, pour le sourire ou l’étonnement, quelques-unes repérées par FOB en déambulant dans les nombreux couloirs encombrés du « Show » des Emirats.

 

Les émiriens développent depuis quelques années leurs industries de défense. Elles étaient d’ailleurs surreprésentées durant cette édition d’IDEX. Parmi elles, un laboratoire de recherche, qui répond au nom sans ambiguïté de Emirates Advanced Research and Technology Holding (EARTH).

 

Ce très sérieux exposant, impliqués dans d’importants programmes de défense dévoilait quelques surprenantes innovations. Dont ce robot terrestre très « Mad Max », basé sur un Quad à chenille, EARTH y a installé un système d’arme éprouvé, la célèbre roquette RPG d’origine russe, ou plus exactement 4 lance-roquettes RPG ! La mobilité doit être bonne, par contre rien d’indiqué sur la précision d’un tel robot armé. C’est vrai, il faut le reconnaître, les règles de sécurité et d’engagement dans le désert du Golfe sont loin de celles françaises, très loin…

 

http://forcesoperations.com/wp-content/gallery/guillaume/earth.png

Jetpack - photo G. Belan

 

Changement de registre avec ce joujou digne d’un bon James Bond, qui permet à une personne de survoler le plancher des chameaux. Le Jetpack dispose de deux moteurs latéraux permettant le vol stationnaire. Ça doit chauffer les oreilles, voir chauffer tout court ! Pas de détails disponibles sur les essais… dommage.

 

http://forcesoperations.com/wp-content/gallery/guillaume/paramount.png

Marauder - photo G. Belan

 

Quand la mode s’attaque aux blindés, ça donne ça ! Le couturier Gavin Rajah, a arrêté un instant de travailler pour Beyoncé et Cameron Diaz, pour s’attaquer à un sujet aux lignes, reconnaissons le, bien plus évocatrices. Le 4X4 blindé est le Marauder du groupe Sud-Africain Paramount. 16 tonnes d’acier agressif recouverts d’une parure raffinée de chrome, cristal, d’or ou de bronze (si si!). Sur ce délicat et riche parement, une belle tourelle de 4 missiles anti-char.

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 16:30

système de défense anti-missiles Arrow 3

 

Feb 26, 2013 ASDNews Source : The Boeing Company

 

    Launch conducted during joint US-Israel missile defense test

    Next-generation interceptor to be crucial asset in Israel's multi-tier anti-ballistic missile defense strategy

 

The new Arrow 3 interceptor, which Boeing [NYSE: BA] and Israel Aerospace Industries (IAI) are co-developing to enhance Israel's ballistic missile defense, today successfully completed its first flight test.

 

Arrow 3 is the next-generation interceptor for the Arrow Weapon System jointly developed by Israel and the United States. It can be launched earlier and engage threats at higher altitudes outside the Earth's atmosphere than previous interceptors.

 

"This successful test underscores the effectiveness of the decade-long cooperative relationship we have forged with IAI on the Arrow program and other international missile defense initiatives," said Jim Chilton, Boeing vice president and general manager of Strategic Missile & Defense Systems. "Boeing is proud to help advance the Arrow program, which provides Israel with a proven asset in the country's multi-tier anti-ballistic missile defense strategy."

 

Today's flight happened during a test of Israel’s national missile defense system conducted by the Israel Ministry of Defense and the U.S. Missile Defense Agency.

 

The test began at 12:52 a.m. Eastern time when the Arrow 3 interceptor launched from an Israeli test range and concluded with the interceptor being terminated over the Mediterranean Sea.

 

The Arrow system is the world's first operational, national missile defense system. IAI, the prime contractor, is responsible for system integration and final interceptor assembly in Israel. Boeing, in addition to co-developing Arrow 3, provides several interceptor components for the in-service Arrow 2. Boeing produces major components and subsystems in Huntsville, Ala., and works with key partners across the U.S.

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 16:30

Predator XP

 

Feb 25, 2013 ASDNews Source : General Atomics Aeronautical Systems Inc

 

    UAE Air Force & Air Defence Signs Contract With IGG

 

General Atomics Aeronautical Systems, Inc. (GA ASI), a leading manufacturer of Remotely Piloted Aircraft (RPA), tactical reconnaissance radars, and electro-optic surveillance systems, today announced the procurement of its first Predator® XP RPA system by the United Arab Emirates (UAE). Predator XP is an updated version of the company’s flagship Predator RPA that has been licensed by the U.S. Government for sale to a broader customer base, including countries in the Middle East and North Africa.

 

“Two years ago we made a commitment to help the UAE strengthen its national security and protect critical infrastructure, and today we are pleased to share the news that this allied nation will soon be realizing the benefits of Predator XP’s long-endurance and wide-area surveillance capabilities,” said J. Neal Blue, chairman and CEO, GA-ASI.

 

The UAE Air Force & Air Defence has completed contract negotiations with International Golden Group (IGG), a leading supplier of integrated defense systems in the Middle East and GA-ASI’s partner, to procure Predator XP to meet the surveillance needs of the UAE Government.

 

Following the expected near-term completion of negotiations between IGG and GA-ASI, and between GA-ASI and the Abu Dhabi-based Tawazun Economic Council to establish a Joint Venture (JV) for long-term service and support of Predator XP in the UAE, the procurement will be complete.

 

Offering improved Intelligence, Surveillance, and Reconnaissance (ISR) capabilities, Predator XP exhibits the same physical dimensions, altitude, speed, and long endurance (up to 35 hours) as the proven “RQ-1” Predator A aircraft. The aircraft also has been updated to include triple-redundant avionics, an Automatic Takeoff and Landing System (ATLS), GA-ASI’s Lynx® Multi-mode Radar with Maritime Wide Area Surveillance (MWAS), High-Definition Electro-optic video, an improved Claw® sensor control and image analysis software system, an Automatic Identification System (AIS), and a more efficient propulsion system.

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 08:30

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/liban/130225-liban-formation-conjointe-genie/img_1163/2201186-1-fre-FR/img_1163.jpg

 

25/02/2013 Sources : EMA

 

Du 15 janvier au 15 février 2013, la section génie de la Force Commander Reserve (FCR), a conduit plusieurs semaines d’exercice menées conjointement entre les sapeurs français et libanais.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/liban/130225-liban-formation-conjointe-genie/img_0986/2201191-1-fre-FR/img_0986.jpg

 

Dans le cadre de la coopération franco-libanaise, un groupe génie composé de 9 sapeurs parachutistes du 17e RGP a été binômé pendant quatre semaines avec différents groupes génie libanais. Sur les camps des 5e, 8e et 9e Brigade des Forces Armées Libanaises, les soldats ont participé à des cours et des mises en pratique de manœuvres de force, de mise en œuvre d’explosifs et l’ouverture d’itinéraire. Ils ont aussi revu les fondamentaux du déminage. Plus généralement, l’ensemble des règles de sécurité ont également été abordées.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/liban/130225-liban-formation-conjointe-genie/img_1011/2201181-1-fre-FR/img_1011.jpg

 

Un véritable échange des savoir-faire s’est installé tout au long du stage, permettant aux soldats français et libanais de mieux connaitre leurs procédures respectives et leurs méthodes de travail. Respect, partage et cohésion furent au cœur de cette formation conjointe génie, contribuant ainsi à la montée en puissance des FAL.

 

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/operations/liban/130225-liban-formation-conjointe-genie/img_0561/2201176-1-fre-FR/img_0561.jpg

 

La France a pour mission de soutenir les forces armées libanaises (FAL) afin qu’elles prennent en compte la sécurité du Sud Liban. Le partenariat avec les FAL, inscrit dans le dialogue  stratégique FAL – FINUL (entériné par la résolution 2064 d’août 2012 qui renouvelle le mandat de la résolution 1701), est l’axe d’effort de la FCR qui conduit ses missions en étroite coopération avec les FAL.

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 08:30

Vue d'artiste du satellite HELIOS IIA. Crédits CNES ill.Ac

 

26/02/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Les Emirats Arabes Unis souhaitent s'équiper de deux satellites d'observation. Les groupes tricolores Astrium et Thales Alenia Space font de la résistance face aux Etats-Unis.

 

Guerre des sables entre Français et Américains aux Emirats Arabes Unis. Astrium et Thales Alenia Space (TAS), qui font cause commune dans cette compétition, ne désarment pas face à la nouvelle proposition de Lockheed Martin. Et pour cause, le montant de ce contrat est supérieur à 500 millions d'euros. Selon des sources concordantes, le groupe américain qui a fait une nouvelle offre technique très intéressante aux Emirats pour remporter un appel d'offre portant sur la fourniture de deux satellites d'observation, ont obligé les deux groupes français à réviser leur proposition sous la pression des Emiratis, très opportunistes pour demander une nouvelle offre aux constructeurs tricolores. Initialement, Astrium et TAS étaient pourtant les favoris d'un premier appel d'offre pour la fourniture de deux satellites d'observation ayant une résolution de 50 cm face à Raytheon, qui était 20 % plus cher, selon nos informations.

 

Mais l'irruption de Lockheed Martin a changé complètement la donne. Le groupe américain a vu un contrat annulé par la National Geospatial-Intelligence Agency (NGA), une agence du département de la défense des Etats-Unis qui a pour fonction de collecter, analyser et diffuser le renseignement géospatial en utilisant l'imagerie satellite. Avec un satellite fabriqué sur les bras, le groupe américain a sauté sur l'opportunité de le proposer aux Emirats. D'autant que ce satellite - Digital Globe - a une résolution de 34 cm, bien supérieure à celle proposée dans le cadre du premier appel d'offre. Washington s'est également mis au service de son industrie en signant avec Abu Dhabi un accord intergouvernemental régissant les conditions d'utilisation du satellite.

 

Réaction française

 

Les Français ont été forcés à réagir face à cette nouvelle proposition, qui a rebattu les cartes. Demandé par les industriels depuis plusieurs mois, un accord intergouvernemental, exigé par les Emiratis, a finalement été signé par la France. Lors de son passage aux Emirats la semaine dernière au moment du salon de défense IDEX, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a paraphé à la satisfaction des Emiratis cet accord avec le prince héritier, Cheikh Mohammed bin Zayed Al Nahyan. Et il a convenu de revenir aux Emirats avec une nouvelle offre française définitive et engageante six semaines après.

 

Aujourd'hui, Astrium et Thales Alenia Space, qui se sont chamaillés pour tirer les prix au plus bas mais sont condamnés à travailler ensemble sous la vigilance de Paris - l'Etat a été très clair, il veut une offre commune - , sont actuellement en train de travailler sur une nouvelle offre technique améliorée pour se remettre au niveau de celle de Lockheed Martin. Ce qui n'est pas du tout irréalisable pour les deux partenaires. Deux solutions sont actuellement étudiées. Soit dégrader une version d'un satellite de type Helios, soit augmenter la performance d'un satellite de type Pléiades.

 

La France en bonne position

 

La France n'a pas perdu la compétition. Loin de là. L'offre française sera au moins au même niveau que celle de Lockheed Martin même si elle sera réévaluée au niveau du prix par rapport à la première offre en raison de son amélioration technique. D'autant que des développements non récurrents seront facturés. Les deux partenaires sont d'ailleurs en train de définir un produit générique qui sera ensuite proposé à l'export. Comme quoi les exigences émiraties ont du bon... Enfin, les conditions d'utilisation des satellites américains sont tellement strictes qu'elles ne devraient pas satisfaire les Emiratis. Celles de Paris sont beaucoup plus souples.

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25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 13:30

http://www.iaf.org.il/Sip_Storage/FILES/4/59534.jpg

 

19.02.2013 Shir Aharon Bram - iaf.org.il

 

This morning's first experimental launch of the "Arrow 3" interception missile has been deemed a success, constituting a part of a series of advances and experiments to examine the capabilities of the "Arrow" system

 

The people of the Wall Administration of the Ministry of Defense, together with the U.S Missile Defense Agency, carried out the first flight experiment of the "Arrow 3" interceptor. The experiment, which was deemed a success, was conducted from experimental field in the center of Israel from which the capabilities of the "Arrow 3" system were now first tested. The Ministry of Defense reports that the success of the experiment is an important stepping stone in the construction of the operational capabilities of the State of Israel to deal with the threats it faces.

 

A Part of a Series

 

The "Arrow 3" system is designed to intercept long-range missiles and is a central part of the multi-layered defense formation developed by the Ministry of Defense. Since the Arrow System was first deemed operational in the year 2000, it is routinely advanced and upgraded by the IAF and security industries. The purpose of the ongoing upgrades is to provide the system with higher mission capabilities--intercepting long-range ballistic missiles.

 

In the past years, the Arrow system has progressed immensely. Its newest version (Block 4.1) includes advanced interception missiles, new radar to complement the veteran one, a new operational battery, special shields for the missile launchers and more. In order to examine the system advancements, the IAF and security industries are carrying out experiments that observe the new system capabilities out in the field. The experiments allow the examination of radar activity (its capability to discover a missile launch simulating a ballistic target) and the interceptors (using a literal launch of the advanced missile and examining its function) and the like.

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25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 12:30

BatteriePatriotStation@NLa-650x433

 

ANKARA, 24 février - RIA Novosti

 

Les systèmes de missiles sol-air Patriot fournis à la Turquie par l'Otan ont coûté au budget national 15 millions de livres turques (environ 6,5 M d'euros), a fait savoir dimanche le ministre turc de la Défense Ismet Yilmaz cité par les médias locaux.

 

"Les Patriot nous ont coûté 15 millions de livres. Mais je tiens à souligner que même une seule vie humaine sauvée est plus importante que toutes les dépenses. En Akçakale, des obus syriens ont fait cinq morts parmi nos citoyens, et c'est pourquoi nous avons pris ces mesures de protection", a déclaré le ministre lors d'une réunion du conseil consultatif des provinces turques tenue à Sivas.

 

En novembre dernier, Ankara a officiellement demandé à l'Otan de lui fournir des systèmes anti-aériens Patriot pour protéger sa frontière avec la Syrie. Le 4 décembre, le Conseil de l'Otan a donné une réponse positive à cette demande. Les Etats-Unis, l'Allemagne et les Pays-Bas ont envoyé des batteries de Patriot en Turquie.

 

Les dirigeants de l'Otan ont assuré que le déploiement des missiles Patriot ne visait pas à préparer une intervention militaire en Syrie et ne servirait pas à instaurer des zones d'exclusion aérienne.

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25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 12:30

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/2/26/Yemen_carte.png

 

ADEN (Yémen), 24 fév 2013 marine-oceans.com (AFP)

 

Des experts du Comité des sanctions de l'Onu, en mission au Yémen à la demande ce pays, ont inspecté dimanche à Aden (sud) un bateau chargé d'armes intercepté au large de ce pays et qui viendrait d'Iran, a rapporté l'agence officielle Saba.

 

La délégation de l'Onu a pris connaissance, en compagnie d'un haut officier de l'armée yéménite, le général Nasser al-Taheri, du contenu du bateau, dont des missiles sol-air, des roquettes Katioucha, des explosifs, des munitions et des systèmes de surveillance, a ajouté l'agence.

 

Selon Saba, le bateau, intercepté avec l'aide de la marine américaine en mer d'Oman le 23 janvier, venait d'Iran. Mais Téhéran a "catégoriquement démenti".

 

"Le gouvernement du Yémen a demandé que le Comité des sanctions mène une enquête approfondie", avait déclaré le 7 février l'émissaire de l'ONU au Yémen Jamal Benomar. Les experts du Comité "établiront les faits, d'où venait la cargaison et quels étaient les destinataires".

 

"Il est clair qu'un navire a été saisi dans les eaux yéménites et que sa cargaison contenait des armes perfectionnées dont des missiles sol-air", avait-il ajouté.

 

Une résolution de l'ONU adoptée en 2007 interdit à l'Iran d'exporter des armes sous peine de sanctions.

 

Selon une source de sécurité yéménite, les armes était destinées à des rebelles zaïdites (une branche du chiisme) qui contrôlent notamment la province de Saada (nord). Ils doivent prendre part au prochain dialogue national prévu à partir du 18 mars dans le cadre de l'accord de transition qui a permis le départ du président contesté Ali Abdallah Saleh.

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25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 11:30

Patriot system of the German Air Force

 

21.02.2013, La Voix de la Russie

 

Des officiels et des experts ont déclaré au journal Defense News que le système de missiles sol-air Patriot a été déployé en Turquie pour défendre un radar de la défense antimissile américaine en cas d’éventuel conflit avec l’Iran et non pas pour repousser la menace venant de la Syrie.

 

Six batteries antiaériennes Patriot ont été déployées en Turquie le 15 février.

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25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 08:30

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/idex20132/2063137-1-fre-FR/idex2013.jpg

 

23/02/2013 lorientlejour.com

 

Printemps arabe Au Salon de la défense d’Abou Dhabi, de nouvelles technologies non létales sont présentées.

 

Bien des vies auraient pu être épargnées au cours du printemps arabe si des armes antiémeute et des formations adéquates avaient été utilisées, selon des professionnels du Salon de la défense d’Abou Dhabi où de nouvelles technologies non létales ont été présentées.


Des véhicules antiémeute équipés de systèmes acoustiques répulsifs sophistiqués ont ainsi été présentés au Salon de la défense et de l’armement IDEX, le plus grand Salon du secteur au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, qui a attiré jusqu’à jeudi de hauts responsables militaires et de sécurité arabes. « Si un pays manque de moyens, d’éthique et de formation concernant la sécurité intérieure, il sera amené à utiliser du matériel létal disproportionné » contre des manifestants, explique Steven Adragna, directeur adjoint d’Arcanum, un cabinet américain de consultants. Les dispositifs anti-émeute habituels comprennent, outre des matraques, des fusils, des balles en caoutchouc, du gaz lacrymogène et des bombes assourdissantes. « Si un policier est bien entraîné à ces équipements, leur utilisation sera tout à fait légitime », souligne M. Adragna.


Des spécialistes des équipements antiémeute comme les entreprises sud-africaine Paramount Group et turque Otokar sont aussi venus à Abou Dhabi pour présenter leur matériel. « Les manifestations en Égypte (...) ont pris une tournure dramatique parce que la police a utilisé du matériel inapproprié », estime Ivor Ichikowitz, président exécutif de Paramount Group. « Des véhicules et du matériel antiémeute appropriés assurent une meilleure sécurité aux policiers, réduisant ainsi la pression qu’ils peuvent ressentir en situation de conflit », ajoute-t-il.

Usage « disproportionné »
Les balles en caoutchouc sont ainsi « fournies avec de (strictes) instructions », a indiqué un représentant d’une firme brésilienne, citant le respect d’une distance de sécurité lors du tir qui doit permettre aussi à la balle de faire un rebond pour ne toucher que les jambes de la cible.


Mais dans la plupart des pays arabes, les policiers tirent sur des manifestants souvent pacifiques revendiquant des droits politiques. Des milliers de personnes ont été tuées dans la répression par les forces de sécurité des manifestations qui ont secoué depuis décembre 2010 les pays du printemps arabe et qui ont provoqué la chute des chefs d’État tunisien, égyptien, libyen et yéménite.


En Syrie, la révolte populaire s’est militarisée face aux forces du régime de Bachar el-Assad, faisant plus de 70 000 morts selon l’ONU, et au Bahreïn, la répression des manifestations se poursuit. Dans ce petit royaume du Golfe, les forces antiémeute tirent à la chevrotine lors des heurts avec des protestataires chiites, touchant souvent la partie supérieure du corps, selon des images diffusées par l’opposition. Dans un communiqué jeudi, Amnesty International a appelé les fournisseurs à veiller à ce que leur matériel ne parvienne pas dans « des pays où ils pourraient contribuer à de graves violations des droits de l’homme ». « Les gouvernements permettent aux pressions commerciales des fabricants d’armes et leur propre intérêt national de prendre le pas sur l’édification du droit et du respect des droits d’homme », a ainsi regretté Brian Wood, responsable du contrôle des armes à Amnesty.

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