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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 18:55
Le projet MEMAN s'engage pour une Europe industrielle efficace

 

04 mars 2015 par  Fanny del Fabbro  - mesures.com

 

En tant que partenaire de MEMAN, le Cetim se fait l’écho de ce programme chargé de doter l’industrie européenne de méthodes innovantes pour optimiser la consommation des ressources.

 

Lancé en janvier 2015, le projet européen MEMAN (Integral Material and Energy flow MANagement in manufacturing metal mechanic sector) s’est donné pour objectif l’amélioration de la compétitivité des entreprises de la mécanique et de la métallurgie, représentant l’un des secteurs industriels les plus importants de l’UE28. L’approche novatrice recherchée consiste à envisager l’optimisation des ressources pour toute la chaîne de valeurs de la fabrication plutôt que pour une entreprise ou un process isolé, visant ainsi une meilleure efficacité de l’ensemble des maillons que forment l’énergie, les matières premières et tous les autres approvisionnements.

Ce projet se compose de quinze partenaires issus de six pays et regroupe aussi bien des industries que des PME ou des experts en modèles éco-innovants. Concrètement, le développement des nouvelles approches organisationnelles et techniques va être guidé par des clusters d’entreprises représentant trois chaînes de valeurs différentes: la fonderie (mené par la Corporation Mondragon au Pays Basque, Espagne), l’usinage (avec Mecanic Vallée et Technofi, France) et le traitement de surface (avec EFFIO, Allemagne et Autriche).

 

 

Suite de l'article

 

 

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 17:50
Bpifrance et l’association des Conseils en innovation aident les PME à participer à Horizon 2020

 

23 février 2015 par Jacques Marouani - electroniques.biz

 

Bpifrance met en place un dispositif d’aide au diagnostic des besoins des PME et d’orientation vers les programmes d’Horizon 2020, intitulé « Accès aux programmes européens » (APE).

 

Paul-François Fournier, directeur exécutif en charge de l’Innovation de Bpifrance, et Dominique Carlac’h, présidente de l’association des Conseils en innovation, viennent de signer un accord de partenariat afin d’améliorer la performance des PME françaises souhaitant accéder aux programmes européens de recherche et d’innovation.

 

À cet effet, Bpifrance met en place un dispositif d’aide au diagnostic des besoins des PME et d’orientation vers les programmes d’Horizon 2020, intitulé « Accès aux programmes européens » (APE).

 

APE a pour objectif de leur permettre d’accéder aux prestations de conseil proposées par les membres de l’association des Conseils en innovation.

 

Habilitées par Bpifrance, les sociétés de conseil intervenant dans le cadre de ce partenariat ont pour mission de sensibiliser, accompagner et suivre des PME françaises dans leurs démarches d’accession aux programmes de recherche et innovation de l’Union européenne dont l’enveloppe budgétaire globale s’élève à 79 milliards d’euros sur la période 2014-2020.

 

À propos de Bpifrance
Bpifrance, filiale de la Caisse des Dépôts et de l’État, partenaire de confiance des entrepreneurs, accompagne les entreprises, de l’amorçage jusqu’à la cotation en bourse, en crédit, en garantie et en fonds propres. Bpifrance assure, en outre, des services d’accompagnement et de soutien renforcé à l’innovation, à la croissance externe et à l’export, en partenariat avec Business France et Coface. Bpifrance propose aux entreprises un continuum de financements à chaque étape clé de leur développement et une offre adaptée aux spécificités régionales. Fort de 42 implantations régionales (90 % des décisions prises en région), Bpifrance constitue un outil de compétitivité économique au service des entrepreneurs. Bpifrance agit en appui des politiques publiques conduites par l’État et par les Régions pour répondre à trois objectifs :
• accompagner la croissance des PME
• préparer la compétitivité de demain
• contribuer au développement d’un écosystème favorable à l’entrepreneuriat.
Avec Bpifrance, les entreprises bénéficient d’un interlocuteur puissant, proche et efficace, pour répondre à l’ensemble de leurs besoins de financement, d’innovation et d’investissement.
Plus d’informations sur : www.bpifrance.fr – http://investissementsdavenir.bpifrance.fr/
Suivez-nous sur Twitter : @bpifrance


À propos de l’association des Conseils en innovation
Fondée en 1984, l’association des Conseils en innovation rassemble et représente les professionnels du conseil en innovation. Elle encourage les échanges de connaissances, d’expérience et de prospective entre ses membres et les acteurs des écosystèmes d’innovation, pour contribuer à la progression des méthodes d’interventions sur l’ensemble des métiers du conseil en innovation.
www.asso-conseils-innovation.org

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29 novembre 2014 6 29 /11 /novembre /2014 13:50
Vassilis Tsiamis- EDA is helping Europe's defence and technological base access structual funds for dual-use projects

Vassilis Tsiamis- EDA is helping Europe's defence and technological base access structual funds for dual-use projects

 

Brussels - 27 November, 2014 European Defence Agency

 

More than 120 attendees gathered on 25 November in Brussels to exchange views and offer ways forward on an important issue for the European defence industry: dual-use and smart clustering. The workshop was organised jointly by the European Commission, the European Defence Agency (EDA) and the European association of development agencies (EURADA).

 

The event was divided into three successive panels, the first one focusing on the European Union’s existing policies and tools to support dual-use research and clustering. “The EU is working to support clusters as a good breeding ground for innovative small & medium-sized enterprises”, a Commission representative pointed out. “This is all the more important as 38% of European jobs are based in clusters”, he added.

 

Actions and tools

 

Presentations were given on the COSME, Horizon 2020 programme, European Structural and Investment Funds as well as EDA actions and tools in support of defence-related SMEs, clusters and the defence supply chain. An EDA official underlined that “those SMEs and clusters that participate in defence markets are typically involved in dual-use activities and the increasing convergence of defence and security creates even greater emphasis on dual-use”.

 

A second panel offered stakeholders from defence-related clusters an opportunity to share their experiences and the associated challenges. Clusters from Estonia, France, Poland and Portugal were represented. They emphasised the need for greater cooperation at EU level in order to develop their dual-use activities. “Dual-use is in our DNA”, stated Jean-Luc Logel, president of the French EDEN cluster.

 

Opportunities

 

After a networking session held over lunch, a third and final panel focused on ways to develop dual-use opportunities at European level and saw interventions from the ECSEL Joint Undertaking, the European Commission and EDA. Reinhard Marak, from the Austrian National Defence Industry Association, provided industrial views on the subject: “We have to identify new funding schemes to alleviate the decline in defence spending and investment, but dual-use is no cure for all: if you want to access those funds you first need national buy-in”, he stressed.

 

In their concluding remarks, Tarja Jaakkola (EDA) and Sylvia Kainz-Huber (European Commission) underlined that this event provided a good opportunity for European policy-makers and representatives of the defence-related clusters and industry to exchange views on current and on-coming policies and tools with impact on clusters and dual-use activities. They encouraged participants to take advantage of such tools and stressed the need for more cooperation and networking between defence-related actors at European level.   

 

Participants then had the opportunity to engage with other attendees during a networking session of pre-arranged one-on-one meetings. About 60 of those pre-arranged meetings were held and most of the attendees expressed a wish to see more similar opportunities in the future.

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24 juin 2014 2 24 /06 /juin /2014 14:50
ExoSquelette photo Scuola Superiore Sant’Anna

ExoSquelette photo Scuola Superiore Sant’Anna

 

24.06.2014 Sagem (Safran)

 

Sagem (Safran) a signé récemment un accord de coopération portant sur le développement des technologies de l’exosquelette avec le laboratoire Percro* de l’école supérieure Sainte-Anne de Pise. Christophe Guettier, responsable technologie des architectures système chez Sagem, revient sur les objectifs de ce projet prometteur.

 

Qu’est-ce qu’un exosquelette et dans quels domaines peut-il être utilisé ?
 

L’exosquelette est une structure électromécanique autonome, externe à l’organisme humain, qui permet de démultiplier les capacités d’une personne en termes de force, de vitesse et/ou de précision (voir En Savoir Plus).
Actuellement, de nombreuses expérimentations sont menées dans le domaine militaire, par exemple pour l’assistance à la fixation d’un missile sous l’aile d’un avion. Mais, à terme, ce sont les applications dans le secteur civil qui vont se multiplier, dans la construction, la sécurité ou la conduite des premiers secours lors de catastrophes naturelles… Utilisées dans l’industrie, les technologies d’exosquelettes pourront augmenter les capacités de manutention ou permettre de diminuer les troubles muscolo-squelettiques des opérateurs. Et, dans les années à venir, les exo-prothèses amélioreront sensiblement l’autonomie des personnes handicapées ou à mobilité réduite. En témoigne ce récent événement : c’est un adolescent paraplégique équipé d’un exosquelette motorisé contrôlé par la pensée qui a donné le coup d’envoi de la Coupe du monde de football 2014, en shootant dans le premier ballon. Compte tenu de la multiplicité des applications envisageables, il est difficile, aujourd’hui d’évaluer précisément le potentiel de ce marché prometteur.


Quelle est la finalité des travaux menés par Sagem en partenariat avec le laboratoire italien Percro ?

Notre objectif premier n’est pas de développer des produits finis. Nous travaillons sur les technologies qui permettront d’améliorer différentes applications, quitte à nouer par la suite de nouveaux partenariats afin d’industrialiser certaines d’entre elles.
Les recherches vont essentiellement porter sur les problèmes de contrôle, d’équilibre et de stabilité des exosquelettes. Le savoir-faire très pointu de Sagem sur la combinaison de la stabilisation et de l’optronique, ainsi que sur la compréhension physique et biomécanique du corps humain, sera très précieux. Le laboratoire Percro pour sa part apportera ses compétences en matière de contrôle, de mécanique et de mécatronique appliquées.


En quoi ce projet s’inscrit-il dans une perspective européenne ?

Cette coopération avec le Percro est représentative de la stratégie de Safran à s’engager pleinement dans des coopérations européennes en faisant le choix d’associer à ses propres expertises celles des meilleurs laboratoires de recherche européens. Les travaux que nous allons mener sur les exosquelettes vont notamment s’inscrire dans le programme européen de R&D « Horizon 2020** », avec lequel l’Union européenne entend démontrer la capacité de l’Europe à développer des technologies de pointe en rupture.


* Perceptual Robotics Laboratory

** Horizon 2020 est le nouveau programme de l’Union européenne pour la recherche et l’innovation. Il recentre ses financements sur trois priorités : l’excellence scientifique, la primauté industrielle, les défis sociétaux. Il est doté de 79 milliards d’euros pour la période de 2014-2020.

 

En savoir plus

Exosquelette : un fonctionnement complexe

Un exosquelette pourrait se comparer à une armure mécanisée. Placés sur ce dispositif, des capteurs enregistrent les mouvements de la personne qui en est équipée. L’information ainsi collectée est transmise aux « muscles » de la machine, en l’occurrence des moteurs électriques qui vont reproduire le mouvement, mais en en démultipliant la force.

Pour que l’exosquelette fonctionne, il est nécessaire de synchroniser l’ensemble de ces moteurs. La reconnaissance posturale permet d’optimiser l’équilibre général de l’exosquelette, c’est-à-dire la capacité de la machine à interpréter la position que l’utilisateur souhaite adopter.

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28 octobre 2013 1 28 /10 /octobre /2013 06:50
Interview : Claude-France Arnould, directrice exécutive de l'Agence Européenne de Défense

25/10/2013 Par Guillaume Steuer - Air&Cosmos

 

Retrouvez ci-dessous un extrait de l'interview de Claude-France Arnould publiée dans le numéro 2379 d'Air&Cosmos.

 

Il y a quelques semaines, on fêtait l'arrivée dans l'armée de l'Air du premier A400M. Est-ce une vraie réussite du point de vue européen ?

 

C'est indéniablement un bel exemple de coopération, et nous essayons de travailler main dans la main avec l'Occar. Mais je crois qu'il faut désormais aller encore plus loin dans la coopération autour de cet appareil, et nous plaidons pour développer un "pool" de kits de ravitaillement en vol qui permettraient de pallier quelque peu les insuffisances européennes dans le domaine.

 

Le sujet des drones agite toutes les grandes forces aériennes européennes, dont la France. Comment abordez-vous cette problématique ?

 

Tous les éléments sont réunis pour confirmer l’Union Européenne dans un rôle structurant autour des drones. D'abord parce qu'il y a un besoin de réglementer leur usage dans le trafic aérien général européen, et que la Commission européenne est pleinement dans sa compétence.. Nous voulons également coopérer avec l'EASA et les agences de sûreté aéronautique militaires nationales pour faciliter les processus de certification.

 

Cela fait au moins 10 ans que l'Europe se casse pourtant les dents sur le sujet.

 

Oui, mais désormais nous n'avons plus le choix entre plusieurs programmes de drones. C'est un programme, ou rien. Les industriels ont été les premiers à prendre la mesure de la nécessité d'harmoniser les besoins dans le domaine au niveau européen. Et ils demandent aussi une harmonisation des procédures de certification, ce en quoi nous pouvons les aider.

 

L'AED fêtera l'an prochain ses dix années d'existence. Est-il nécessaire de la faire évoluer pour s'adapter à de nouveaux défis ?

 

Nous travaillons effectivement à une réorganisation autour de trois grands piliers. Le premier serait consacré au soutien des coopérations au niveau européen, afin de lancer une vraie dynamique qui permettrait le lancement de coopérations "à la carte" entre les Etats-membres. Un autre pilier sera justement consacré aux projets et programmes réunissant les aspects capacitaires, recherche et armement, tandis que le dernier doit nous permettre d’améliorer l’interaction avec les politiques européennes, comme le Ciel unique, Horizon 2020, etc. sur l'activité des pays membres.

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