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Gilles de Kerchove, EU Counter-terrorism Coordinator
01-04-2015 - by SEDE
On 30 March the AFET Committee and SEDE Subcommittee held an exchange of views with Jens Stoltenberg, NATO Secretary General. After this exchange of views AFET and SEDE MEPs had a debate with Gilles de Kerchove, EU Counter-Terrorism Coordinator.
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21 mars 2015
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21.03.2015 Romandie.com (ats)
Le coordinateur de l'UE pour la lutte contre le terrorisme a appelé vendredi l'agence européenne de contrôle des frontières Frontex à la vigilance. Il a sensibilisé l'organisme au risque d'infiltration en Europe de djihadistes se faisant passer pour des réfugiés.
"Nous devons être vigilants. Il est relativement facile de pénétrer dans l'Union européenne quand on se mêle au flux de migrants", a déclaré Gilles de Kerchove en marge d'une réunion ministérielle à Vienne.
Plus d'un demi-million de personnes, dont 20% de Syriens, ont demandé l'asile politique dans l'UE en 2014, a indiqué vendredi l'Office européen de statistiques (Eurostat). Ce chiffre record est en hausse de 44% par rapport à 2013.
M. de Kerchove, qui s'exprimait auprès de l'agence autrichienne APA, a souligné avoir jusqu'à présent évité d'évoquer le risque d'infiltration par les voies humanitaires, "car il ne faut pas tout confondre".
Main migratory routes into the EU - land & sea - credits Frontex
Attentats d'ampleur
"Aujourd'hui je le dis: nous devons être vigilants", a-t-il déclaré, en appelant à une sensibilisation accrue des forces Frontex, en particulier face aux flux venant de Syrie et d'Irak, mais aussi de Libye.
Le coordinateur belge a par ailleurs estimé que si l'Europe était principalement visée aujourd'hui par des attaques à petite échelle commises par des individus se réclamant du groupe Etat islamique, le continent n'était pas à l'abri d'un attentat de forte ampleur qu'Al-Qaïda pourrait commettre "pour montrer qu'ils sont toujours là".
M. de Kerchove était l'invité d'une réunion de ministres des Balkans, d'Autriche et d'Italie. Cette rencontre était destinée à améliorer la coopération internationale dans la lutte contre les flux de djihadistes originaires des Balkans ou transitant par cette région.
24 septembre 2014
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PARIS, 24 septembre - RIA Novosti
Le nombre de jihadistes européens partis combattre en Syrie et en Irak a progressé ces derniers mois pour atteindre 3.000 personnes, a annoncé le coordinateur de l'UE pour la lutte contre le terrorisme Gilles de Kerchove cité par les médias occidentaux.
Selon le responsable, cette augmentation serait due à l'avancée sur le terrain du groupe extrémiste Etat islamique (EI) et à la proclamation en juin d'un "califat" sur les territoires irakiens et syriens passés sous son contrôle.
Ces combattants arrivent pour la plupart de France, de Grande-Bretagne, d'Allemagne, de Belgique, des Pays-Bas, de Suède et du Danemark, mais aussi d'Espagne, d'Italie, d'Irlande et désormais d'Autriche, a fait savoir M.de Kerchove.
L'EI, appelé autrefois l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), sévissait au départ principalement en Syrie où il combattait les troupes gouvernementales, s'imposant comme l'une des organisations terroristes les plus cruelles. Il y a quelques mois, l'EI s'est soudainement activé en Irak, s'emparant d'importants territoires. Depuis le 8 août, l'armée américaine porte des frappes aériennes contre les positions des djihadistes de l'EI en Irak.
Mardi matin, les Etats-Unis ont lancé des raids contre les combattants de l'Etat islamique, du Front Al-Nosra et de Khorasan en Syrie depuis des navires déployés en mer Rouge et dans le nord du golfe Persique.
5 juin 2014
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05/06/2014 Par LEXPRESS.fr
En plein débat autour des djihadistes français après la tuerie de Bruxelles, François Hollande a annoncé mercredi que "plus de 30 ressortissants français" partis combattre en Syrie y ont trouvé la mort.
Face au phénomène des combattants étrangers en Syrie, "nous devons coopérer davantage", et notamment en matière "de renseignement", a ajouté le président de la République lors d'une conférence de presse à l'issue de la première journée du sommet du G7 à Bruxelles.
"Nous avons décidé d'une coopération pour prévenir, dissuader et punir ce type de mouvement, qui peut mettre en cause notre propre sécurité", a-t-il ajouté, invoquant la tuerie le 24 mai au musée juif de Bruxelles pour laquelle un Français au profil djihadiste passé par la Syrie a été arrêté.
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