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18 décembre 2015 5 18 /12 /décembre /2015 17:55
Philippe Errera, directeur général des relations internationales et de la stratégie, a remercié tous les participants en se félicitant du caractère transverse et ouvert de la journée - R. Senoussi/DICOD

Philippe Errera, directeur général des relations internationales et de la stratégie, a remercié tous les participants en se félicitant du caractère transverse et ouvert de la journée - R. Senoussi/DICOD

 

18/12/2015 DICOD

 

Le mercredi 16 décembre 2015 au sein de l’Hexagone Balard s’est déroulée la traditionnelle journée d’information Défense au profit des attachés de défense étrangers accrédités en France, laquelle était organisée pour la première fois par la Direction générale des relations internationales et de la stratégie (DGRIS). Au-delà d’une présentation sur le regroupement des états-majors et services sur le site de Balard, cette journée a permis à une centaine d’attachés de défense étrangers de se faire présenter les positions de la France sur les grandes thématiques d’actualité.

 

100 uniformes pour 60 nations, c’est l’assistance qu’avaient en face d’eux les nombreux intervenants de cette journée, conviés par la Direction générale des relations internationales et de la stratégie (DGRIS) pour dresser un état des lieux, dans leur domaine respectif, du contexte stratégique, des opérations militaires, de la politique industrielle et d’exportation, et des perspectives désormais offertes par le regroupement des états-majors et services sur le site unique de Balard. La variété des différents exposés visait à donner aux attachés de défense étrangers des clefs de compréhension permettant de mieux décrypter les événements dont ils sont témoins, pour en faire des relais plus efficaces de et vers leur pays. Cette rencontre avait aussi pour but de leur permettre d’identifier leurs différents points de contact au sein du ministère et de créer ou entretenir des liens humains.

Aux interventions du vice-amiral du Ché, directeur adjoint de la DGRIS, de Jean-Paul Bodin, secrétaire général pour l’administration, se sont succédé celles de Pierre Bayle, porte-parole du ministère de la Défense et directeur de la Délégation à l’information et à la communication de la Défense, et de l’IGA Vincent Thomassier, sous-directeur Europe occidentale – Amérique du Nord de la Direction générale de l’armement. Le général Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, a conclu cette série de présentations en rappelant que « l’union fait aussi la force : ensemble, nous pouvons faire reculer la violence » et que « [les] coopérations ont toutes en commun un triple objectif d’efficacité, de partage des coûts et de légitimité dans l’engagement ». Philippe Errera, directeur général des relations internationales et de la stratégie, a enfin remercié tous les participants en se félicitant du caractère transverse et ouvert de la journée.

 

Le général de Villiers, chef d'état-major des armées, est intervenu lors de cette matinée - R. Senoussi/DICOD

Le général de Villiers, chef d'état-major des armées, est intervenu lors de cette matinée - R. Senoussi/DICOD

 

Comme l’a souligné le général Jean-François Corminboeuf, attaché de défense de la Suisse, qui quitte ses fonctions en tant que doyen de l’association des attachés de défense étrangers avec pour successeur le général Gaudin, ces interventions ont notamment permis aux attachés étrangers de « comprendre la philosophie et le fonctionnement de l’Hexagone Balard ». Comme lui, nombreux sont ceux qui ont loué « cette réunion de grande qualité, [qui] apporte beaucoup de nouvelles informations, en particulier cette année ».

 

Forts de ce grand moment d’échanges, tous les participants se sont donné rendez-vous à l’automne prochain.

 

Rôle des attachés de défense

Sous l’autorité de l’ambassadeur de son pays, l’attaché de défense étranger accrédité en France a pour mission de :

-  soutenir et faire connaître la politique de défense de la France, mettre en valeur les capacités de ses forces, leurs activités et leurs équipements ;

-   remplir auprès de l’ambassadeur le rôle de conseiller et d’expert des questions de défense, apporter son concours aux actions de prévention ou de gestion des crises ;

-   promouvoir et animer les relations militaires bilatérales ou conduites dans un cadre multinational et piloter les actions de coopération ou d’assistance militaires, apprécier leur efficacité et leur adéquation aux besoins locaux ;

-   concourir à la promotion de l’industrie française de défense, au développement et à l’animation de la coopération en matière d’armement.

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17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 16:55
Philippe Errera - Directeur de la DGRIS

Philippe Errera - Directeur de la DGRIS

 

17.12.2014 par Jean-Dominique Merchet

 

Le conseil des ministres d'aujourd'hui créé officiellement la DGRIS
 

Le décret "fixant les attributions et l’organisation de la direction générale des relations internationales et de la stratégie du ministère de la défense" (DGRIS) sera adopté ce matin en Conseil des ministres, mettant fin à des mois de bagarres internes, comme nous l'indiquions dès juillet dernier.  Voulue par le ministre Jean-Yves Le Drian, cette DGRIS succèdera à la DAS (Direction des affaires stratégiques) dont les compétences seront élargies aux relations internationales, qui jusqu'à présent étaient gérées au sein de multiples organismes au sein du ministère. Son directeur est  le diplomate Philippe Errera et son adjoint l'amiral Charles-Henry du Ché.

Dans DGRIS, la lettre importante est G pour Générale. Il ne s'agit pas d'un ornement administratif mais d'une décision politique qui place le titulaire du poste à un niveau très élevé de la hiérarchie du ministère, dont il devient l'un des principaux responsables. 

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17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 15:55
 Présentation stratégique du projet annuel de performances 2015 (DGRIS)

 

07.10.2014 par  Philippe ERRERA, Directeur des affaires stratégiques - Responsable du programme n° 144 : Environnement et prospective de la politique de défense

 

Jusqu’en 2014, le programme 144 « Environnement et prospective de la politique de défense » placé sous la responsabilité du directeur chargé des affaires stratégiques (DAS) regroupait des entités de l'état-major des armées (EMA), de la direction générale de l'armement (DGA), de la délégation aux affaires stratégiques (DAS), de la direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) et de la direction de la protection et de la sécurité de la défense (DPSD) qui, dans leur domaine d'action respectif, veillaient à :

- élaborer la prospective en matière d'évolution du contexte stratégique ;

- rechercher le renseignement de défense ;

- définir les systèmes de forces futurs et contribuer à la maîtrise de capacités industrielles et technologiques cohérentes ;

-  orienter et conduire la diplomatie de défense.

 

La réforme de l’action internationale, décidée et engagée par le ministre de la défense, a conduit à retenir la création d’une direction générale des relations internationales et de la stratégie du ministère de la défense (DGRIS). Cette réforme ambitieuse vise à regrouper au sein de cette entité l’essentiel des fonctions de l’action internationale du ministère qui étaient jusqu’à présent principalement réparties entre l’EMA, la DGA et la DAS et qu’il était nécessaire d’optimiser et de mieux coordonner. La DGRIS est constituée à partir de la DAS et d’éléments transférés de l’EMA et de la DGA. Elle est composée de trois directions et d’un service d’administration centrale. Sa mission est d’élaborer et de mettre en œuvre la politique internationale du ministère de la défense en y associant l’EMA, la DGA et le SGA, de piloter les travaux de prospective stratégique et de coordonner ceux nécessaires à la préparation du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale (LBDSN) et à son actualisation régulière.

 

Le chef d’état–major des armées (CEMA) et le délégué général pour l’armement (DGA) conservent cependant, chacun en ce qui le concerne, la responsabilité sur leurs équipes spécialisées, nécessaires à la réalisation du volet international de leur mission (respectivement l’activité opérationnelle des forces et les activités internationales ayant un impact direct sur la conduite des coopérations en matière d’armement).

 

Le programme 144 traduit pour l’année 2015 la montée en puissance de la nouvelle organisation, afin qu’elle soit pleinement opérationnelle dans les meilleurs délais.

 

S’agissant des dépenses de titre 2, en application des orientations fixées par la loi de programmation militaire 2014-2019, l’ensemble des crédits de personnel (titre 2) et les effectifs associés sont, à partir de la maquette budgétaire 2015, unifiés au sein du programme 212 « Soutien de la politique de la défense », placé sous la responsabilité du secrétaire général pour l’administration du ministère de la défense. Au sein de ce programme, les crédits sont désormais repartis, essentiellement, par gestionnaire des ressources humaines, chacun pour ce qui le concerne en charge d’un budget opérationnel de programme.

 

En conséquence, le programme 144 « Environnement et prospective de la politique de défense » ne présente plus, à compter du 1er janvier 2015, de crédits de personnel (titre 2) et d’effectifs associés. Il n’en demeure pas moins que son responsable de programme est associé à la gouvernance du titre 2. Enfin, la nomenclature par destination (architecture MPASA : mission, programme, action, sous-action) adoptée est commune au titre 2 et aux autres titres, ce qui garantit une lisibilité de l’action du programme et au sein du programme.

 

Le directeur général veillera à optimiser la mise à disposition et le pilotage des ressources du programme 144 pour mener les actions dans les domaines suivants :

 

Élaborer des études et des propositions en matière de prospective et de stratégie de défense.

 

Pour répondre à l’extension de ses missions dans ce domaine, la DGRIS s’appuiera sur sa direction « Stratégie de défense, de la prospective et de la contre-prolifération (lutte contre la prolifération et contrôle des transferts sensibles) ». Aujourd’hui, la DAS réalise et fait réaliser des études prospectives et stratégiques qui déterminent la nature et la forme des menaces futures. Elle concourt également aux publications de recherche dans le domaine stratégique par l'attribution de subventions à divers instituts. L’articulation nécessaire entre la stratégie de défense et la programmation militaire en cours conduira à élargir le champ de ces études, notamment en relation avec le monde universitaire et les instituts de recherche.

 

De plus, la démarche de sensibilisation des futures élites étrangères aux positions françaises en matière de sécurité de défense sera poursuivie au moyen du programme « Personnalités d'avenir défense ». En outre, des crédits seront affectés au partenariat mondial contre la prolifération des armes de destruction massive et des matières connexes (PMG 8).

 

Rechercher le renseignement de défense

 

L’appréciation du contexte stratégique se fait également en s’appuyant sur une collecte et une analyse pertinentes du renseignement. La fonction stratégique « connaissance et anticipation », réaffirmée dans le Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale, a pour objet le maintien d’une capacité d’appréciation autonome des situations, indispensable à une prise de décision libre et souveraine.

 

Le renseignement voit donc son rôle central réaffirmé, au-delà des seules nécessités militaires ou strictement sécuritaires. En ce sens, la DGSE, clairement identifiée au sein du programme, siège au sein du Conseil national du renseignement. Le service de renseignement extérieur voit ses ressources humaines et financières augmenter en vue d'améliorer ses capacités de prévision des menaces. Dans ce cadre, l'effort d'investissement dans le domaine du renseignement technique et des opérations d'infrastructures constitue un axe majeur de sa programmation. Ce service est un précieux outil de réduction des incertitudes qui doit permettre à nos dirigeants d’éviter d’être exposés à des surprises stratégiques.

 

De son côté, la DPSD poursuit sa réorganisation et les ressources qui lui sont allouées se stabilisent. Ce service de renseignement, qui participe étroitement aux activités de la communauté du renseignement, maintiendra à un haut niveau de technicité son système d'information et de sécurité et renforcera ses procédures d'action préventive. Dans cette perspective, le programme SOPHIA (plate-forme d’échange de données d’habilitation par voie électronique) contribue à la modernisation du ministère, en permettant l'instruction, la gestion, le partage et la conservation des informations relatives à la protection des personnes et à celles du secret des contrats.

 

Définir les systèmes de forces futurs et contribuer à la maîtrise de capacités industrielles et technologiques cohérentes

 

Les moyens dévolus à la maîtrise des capacités technologiques et industrielles traduisent la volonté du ministère de la défense de garantir l'effort de recherche et de consolider la base industrielle et technologique. Ces travaux représentent près de 75 % des crédits de paiement du programme. Ils comprennent, d’une part, les études amont et, d’autre part, des activités financées sur subventions auprès de l’Office national d’études et de recherches aérospatiales, de l’Institut Saint-Louis et des écoles d’ingénieurs sous tutelle de la DGA.

 

Ces recherches technologiques ont vocation à déboucher sur une application dans les programmes d'armement futurs. Elles relèvent aussi de trois autres enjeux fondamentaux :

- disposer des technologies nécessaires au développement et à l’évolution des systèmes pour lesquels une autonomie nationale totale ou partielle est requise ;

- disposer des compétences industrielles permettant de réaliser les programmes futurs, dans un cadre national ou en coopération ;

- stimuler et accompagner l’innovation dans les domaines intéressant la défense, en particulier au sein des PME/PMI et des organismes de recherche.

 

La réorganisation de la gestion de ces travaux au sein du ministère de la défense, engagée depuis 2013, a pour objectif une meilleure coordination des études amont et des activités menées par les opérateurs précités. La nouvelle gouvernance associée, prenant acte du retour d'expérience sur les dispositions antérieures, vise à optimiser l'efficacité du pilotage de ces activités. À cette nouvelle coordination, s'ajoutent les efforts d'économie menés par les opérateurs.

 

Orienter et conduire la diplomatie de défense.

 

Les capacités du réseau de diplomatie de défense sont maintenues. Ce réseau permet la mise en œuvre de nos coopérations et partenariats de défense, qui constituent des facteurs essentiels d’influence pour la France.

 

Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, la DGRIS se voit confier la stratégie d’influence internationale du ministère de la défense et intègrera donc, au sein de son service « pilotage des ressources et de l’influence internationale », les bureaux « influence française à l’étranger » et « liaisons avec les missions étrangères en France » actuellement à l’EMA. Partie intégrante du volet prévention de la politique de défense de la France, cette action est également déterminante pour permettre aux forces de se déployer dans les meilleures conditions et de préserver la liberté d'action des décideurs.

 

Parce qu'elles constituent un des leviers d'action de la politique internationale et un moyen de soutenir, au plan économique, les industriels exportateurs, les ressources consacrées par le programme aux exportations d'armement sont aussi maintenues. La réforme introduite par la loi du 22 juin 2011, précisée par l'arrêté du 27 juin 2012, vise à simplifier les démarches menées par les industriels.

 

 

récapitulation des objectifs et indicateurs de performance

 

 

 

 OBJECTIF 1

Renforcer une démarche prospective européenne en matière de sécurité et de défense en promouvant une démarche prospective commune

 INDICATEUR 1.1

Taux de coopération européenne en matière de prospective, de recherche et de technologie

 OBJECTIF 2

Améliorer le niveau de sécurité des forces et du patrimoine industriel et économique lié à la défense (DPSD)

 INDICATEUR 2.1

Taux d’avis émis dans les délais prescrits

 INDICATEUR 2.2

Taux des sites du domaine militaire et des sites industriels et économiques liés à la défense inspectés dans les délais prescrits

 OBJECTIF 3

Développer les capacités scientifiques technologiques et industrielles nécessaires à la défense

 INDICATEUR 3.1

Taux de progression des technologies spécifiques nécessaires à la défense

 OBJECTIF 4

Contribuer à l’autorisation et au contrôle des transferts des biens et technologies sensibles

 INDICATEUR 4.1

Délai de traitement des dossiers d’exportation de matériels de guerre

 

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14 avril 2014 1 14 /04 /avril /2014 16:35
La France et la sécurité en Asie-Pacifique

 

11/04/2014 Sandra Lewinski  - DICoD

 

Le directeur de la Délégation aux affaires stratégiques (DAS), M. Philippe Errera, a présenté  jeudi 10 avril dans les salons de l’Hôtel de la Marine à Paris, la politique de défense et de sécurité de la France en Asie-Pacifique. A cette occasion, il a dévoilé un document intitulé « La France et la sécurité en Asie-Pacifique », en présence d’autorités civiles et militaires françaises et de représentants des principaux partenaires européens de la France.

 

«  Notre prospérité est liée à celle de l’Asie, toute crise dans cette zone affecterait nos intérêts ». Le directeur aux affaires stratégiques (DAS), Philippe Errera, a souligné l’importance d’une politique de défense et de sécurité entre la France et la région Asie Pacifique. La présentation de la brochure «  La France et la sécurité en Asie-Pacifique», à l’hôtel de la Marine le 10 avril a été pour lui l’occasion de rappeler les relations qu’entretient la France avec les pays de cette région et leurs interdépendances croissantes. Dans la continuité du livre Blanc, l’engagement de la France dans cette zone tient aux immenses opportunités qu’offrent ce vaste espace géopolitique, principal moteur de la croissance mondiale ces dernières décennies. «Les exportations de défense en Asie-Pacifique représentent un tiers des exportations totales ce qui contribue au renforcement de l’industrie française» a souligné Philippe Errera.

 

Le directeur aux affaires stratégiques, s’est exprimé aux cotés de son adjoint, Nicolas Regaud et du général Maurin, adjoint au sous-chef plan relation internationale de l’Etat-major des armées (EMA). Ils ont partagé une vision commune sur l’importance de la zone Asie-Pacifique : « Nous devons être en mesure de surveiller, de prévenir et d’agir militairement face à une menace qui porterait atteinte à l’intégrité de notre sécurité». En effet, la France est une puissance de l’océan Indien et du Pacifique. Elle y dispose de territoires et de ressortissants en nombre croissant.

 

Au cours de cette présentation, les différents intervenants ont rappelé que la France a noué des liens étroits avec un grand nombre de pays d’Asie-Pacifique et participe, par sa coopération de défense, à la sécurité de plusieurs d’entre eux. Elle consolide par ailleurs son engagement politique à travers une présence active, le développement de partenariats stratégiques et l’intensification de ses réseaux de coopération. L’océan Indien est une « zone de transit majeure pour le commerce international». Des actions conjointes ont été menées pour enrayer les menaces communes telles la piraterie ou la prolifération des armes. « L’opération Atalante illustre le fait que cette zone est non seulement importante pour la France mais aussi pour l’Union européenne » a insisté Nicolas Regaud.

 

Au delà de ses engagements multilatéraux, la France souhaite aider les pays de la zone Asie-Pacifique à renforcer leur souveraineté. Le général Maurin a insisté sur le fait qu’il n’y avait pas de changement de posture sur la région Asie-Pacifique : « Le  dispositif global sur place sera maintenu. Malgré des réductions d’effectifs, il ne s’agira pas de faire moins mais autrement en agissant partout où cela sera nécessaire».

 

Cette plaquette, issue de la collaboration entre différents services du ministère de la Défense et du ministère des Affaires étrangères, existe en français et in english

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