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7 juin 2015 7 07 /06 /juin /2015 11:55
Acsiel, le GFIE et le Simtec ne feront bientôt plus qu’un

 

05 juin 2015 par  Pascal Coutance - electroniques.biz

 

Les présidents de ces trois syndicats professionnels de l’électronique ont annoncé hier, lors de la conférence annuelle de l’initiative APIE (Agir pour l’industrie électronique), le regroupement de ces trois entités.

 

Hier [4 juin], lors de la conférence annuelle de l’initiative APIE (Agir pour l’industrie électronique), les présidents d’Acsiel (Alliance des composants et systèmes pour l’industrie électronique), du GFIE (Groupement des fournisseurs de l’industrie électronique) et du Simtec (Syndicat de l'instrumentation de mesure, du test et de la conversion d'énergie dans le domaine de l'électronique) ont annoncé que ces trois organisations allaient se regrouper pour former une seule entité professionnelle qui sera lancée le 1er janvier 2016. Ce nouveau syndicat baptisé « Alliance Electronique » conservera l’acronyme Acsiel.

 

Ce nouveau syndicat comptera alors quelque 160 adhérents qui représenteront un effectif global d’environ 120 000 personnes pour un chiffre d’affaires de 9 milliards d’euros. Bien évidemment, il continuera à faire partie de la Fieec (Fédération des industries électriques, électroniques et de communication).

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26 janvier 2015 1 26 /01 /janvier /2015 17:55
Un séminaire IPC sur les minéraux de guerre

 

20 janvier 2015 par Didier Girault - electroniques.biz

 

L’IPC et l’EIPC organisent, en lien avec l’Iftec agissant en tant que sponsor, un séminaire sur les minéraux de guerre ("conflict minerals"), le 2 février prochain, à l’Espace Hamelin de la FIEEC (Paris XVI).

 

Cet évènement fera le point sur la législation européenne et sur la législation américaine dans ce domaine, et permettra aux auditeurs de répondre à la question de la déclaration de l’utilisation de minéraux de guerre dans les produits fabriqués.

 

Ce séminaire sera animé par monsieur Aidan Turnbull de la société britannique Environ UK et par madame Fern Abrams de l’IPC.

 

Les personnes susceptibles d’être intéressées sont des responsables d’entreprise, des responsables qualité et environnement, des juristes d’entreprise et des acheteurs.

 

Le droit d’entrée s’élève à 435 euros pour les adhérents à l’IPC ou à l’EIPC, et de 530 euros pour les non adhérents. A partir du 2ème employé d’une même entreprise, il est appliqué une réduction de 20% sur le montant à régler.

 

Pour s’inscrire ou pour toute information concernant l’inscription, voir le site de l’IPC ou celui de l’EIPC, ou contacter Sonja Derhaag (email : sderhaag@eipc.org).

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:55
Sécurité : la filière se met en ordre de marche

 

21/11 Alain Ruello, Les Echos

 

Le premier comité de pilotage installe ce matin trois groupes de travail.

Avec l'aide de l'Etat, les industriels veulent cibler cinq pays prioritaires à l'export.

 

Création du Conseil des industries de confiance et de sécurité (le CICS) début octobre, premier comité stratégique à Matignon le 23 du même mois et, ce matin, premier comité de pilotage Etat-Industrie, en marge du Salon Milipol : la toute nouvelle filière des fournisseurs d'équipements et de solutions de sécurité s'organise à marche forcée.

 

La séance présidée par Jean-Marc Ayrault il y a un mois et à laquelle ont participé sept ministres a arrêté les objectifs stratégiques. Dotés de cette feuille de route, les représentants de l'administration, du CICS et de quelques grands opérateurs d'infrastructures vont installer ce matin les trois groupes de travail chargés de les mettre en oeuvre : expression du besoin, politique industrielle et recherche.

 

Programme d'investissements d'avenir, Agence nationale de la recherche, ministères de la Défense ou du Redressement productif : « La première tâche de chaque groupe de travail sera de recenser où est l'argent », explique Hervé Guillou, le président du CICS. Il s'agit évidemment de mieux concentrer les moyens sur les technologies prioritaires, à même de faire la différence à l'international.

 

Chasser en meute

 

Dans son discours d'inauguration de Minipol, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a beaucoup insisté sur la nécessité pour l'Etat d'améliorer le dialogue entre tous les acteurs de la sécurité, notamment en période de baisse de budgets. Evoquant trois domaines - radio numérique, vidéo et protection des forces - dont il attend des avancées, il a par ailleurs promis le soutien de ses équipes auprès des industriels à l'export. Pour mieux conquérir les marchés internationaux, Hervé Guillou estime qu'il faut se concentrer dans un premier temps sur un nombre très restreint de pays. « J'en ai proposé cinq », indique-t-il. Sa deuxième préconisation a souvent été mise en avant en d'autres occasions : chasser en meute, comme savent très bien le faire les Allemands. Quand ils répondent à des appels d'offres de BTP ou de TGV, Vinci ou Alstom par exemple devraient embarquer avec eux des spécialistes français de la sécurité.

 

Les chiffres

10 milliards d'euros : C'est le chiffre d'affaires du secteur des industries de confiance et de sécurité.

50.000 emplois : Les effectifs estimés des entreprises membres du Conseil des industries de confiance et de sécurité (CICS).

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1 octobre 2013 2 01 /10 /octobre /2013 11:55
Les professionnels de la sécurité unissent leurs forces

01.10.2013 Alain Ruello, Les Echos

 

Quatre fédérations industrielles se regroupent pour parler d'une seule voix.

 

Les industries de confiance et de sécurité rassemblent leurs forces. Quatre groupements professionnels fortement impliqués dans ce secteur - Fieec (industries électriques, électroniques et de communication), Gifas (aéronautique et spatial), Gican (maritime) et Gicat (armement terrestre) - annoncent ce matin la création d'un « supersyndicat » pour coordonner leurs positions et ainsi parler d'une seule voix en France et à l'international.

 

Le Conseil des industries de confiance et de sécurité (CICS), c'est son nom, a tenu son premier conseil d'administration la semaine dernière. Selon nos informations, il a élu à sa présidence Hervé Guillou, l'un des responsables d'EADS. Le CICS est le pendant industriel de la filière de la sécurité créée par le gouvernement dans la foulée des préconisations du Livre blanc de la défense. Cette filière sera animée par un comité de filière qui devrait être installé par le Premier ministre dans les prochaines semaines.

 

Le domaine de la sécurité est très vaste. Le CICS s'en tiendra aux équipements et aux solutions de sécurité. Ce qui représente tout de même une grosse part du gâteau : sécurité des frontières terrestres et maritimes, transport de passagers ou de marchandises, sécurité civile, infrastructures et grands événements, sans oublier bien sûr tout ce qui a trait à la cybersécurité.

 

Même si les statistiques précises manquent encore, toutes ces activités représentent 50.000 salariés en France, plutôt hautement qualifiés, pour un chiffre d'affaires de 10 milliards d'euros. Celles-ci réalisent plus de la moitié de leurs revenus à l'exportation et affichent une croissance à deux chiffres. « Nous sommes les constructeurs de la sécurité, pas les opérateurs », précise aux « Echos », Hervé Guillou. Une société comme Veritas n'est donc pas éligible comme membre du CICS. Tout comme le Corac pour l'aéronautique ou le Cospace pour l'espace, la nouvelle filière de la sécurité va plancher, en relation avec les pouvoirs publics et les grands donneurs d'ordre privés ou semi-publics, sur l'expression des besoins, la recherche et la politique industrielle. Sur ce dernier volet, la question des normes est majeure. Avec le CICS, la France peut espérer chasser en meute.

 

La France part en retard

 

Une partie de la bataille se joue d'ailleurs à Bruxelles qui a dans les cartons un projet de directive sur le secteur. Il n'y a pas de temps à perdre, car la France, une fois encore, part en retard. Les Britanniques ont cinq ans d'avance, les Etats-Unis encore plus, eux qui se sont dotés d'un département de la sécurité intérieure (« homeland security ») au lendemain ou presque des attentats du 11-Septembre.

 

« Jusqu'ici, la France n'était pas capable de fournir un point de vue unique vis-à-vis de l'extérieur », confirme Hervé Guillou. Grâce au socle technologique que lui a apporté l'industrie de défense, les professionnels de la sécurité peuvent espérer conserver une certaine avance technologique à l'international, en matière d'identité numérique par exemple.

 

 

Le CICS en bref

Le Conseil des industries de confiance et de sécurité rassemble quatre syndicats professionnels : Fieec, Gican, Gicat et Gifas.

Il s'inscrit dans le cadre de la filière nationale de la sécurité créée par le gouvernement.

Son périmètre représente 50.000 salariés et 10 milliards d'euros de chiffre d'affaires.

Les enjeux de la filière portent sur les normes de vidéosurveillance, l'identité numérique, les communications sécurisées, la cybersécurité ou la protection des grandes infrastructures.

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