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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 18:45

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/9/99/Flag_of_the_Philippines.svg/800px-Flag_of_the_Philippines.svg.png

 

12 décembre 2012 ouest-france.fr

 

Les Etats-Unis vont renforcer leur présence militaire aux Philippines, ont annoncé mercredi les autorités de l'archipel sans donner de chiffres précis, évoquant une augmentation du nombre de navires et d'avions militaires ainsi que de soldats américains.

 

Des responsables militaires des deux pays se sont rencontrés dans la journée à Manille pour évoquer cette question sur fond de tensions régionales provoquées par les revendications territoriales de Pékin en mer de Chine méridionale.

 

L'augmentation du nombre de soldats américains se fera sur une base de rotation, et un accord quinquennal sur la tenue de manoeuvres militaires mixtes sera en outre adopté cette semaine. En revanche, les responsables des deux pays soulignent qu'il n'est pas question de ressusciter la présence dans l'archipel de bases militaires américaines permanentes, dont les dernières ont été fermées en 1992.

 

Le renforcement de la présence militaire américaine a également pour but annoncé de fournir une assistance humanitaire accrue lors de catastrophes naturelles comme le typhon qui a durement frappé les Philippines la semaine dernière.

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 18:45

Unha-3

 

11.12.2012, La Voix de la Russie

 

Les troupes de défense aérospatiale russes suivront le tir de la fusée nord-coréenne, mais ne seront pas mises en état d’alerte, a annoncé le vice-ministre de la Défense russe Oleg Ostapenko.

 

La Corée du Nord a annoncé la prologation des préparatifs de lancement de sa fusée jusqu'au 29 décembre. La RDPC parle de la mission pacifique du lancement. La communauté mondiale estime cependant que Pyongyang se prépare à tester un lanceur destiné à porter une ogive nucléaire.

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 17:45

Australian C-130 Hercules

 

17.12.2012 Romandie.com (AWP)

 

Berne (awp) - Le groupe technologique et d'armement RUAG, détenu par la Confédération, a annoncé lundi l'acquisition de l'entreprise australienne Rosebank Engineering, pour un prix non communiqué. Spécialisée dans l'entretien, la réparation et la révision des avions, cette société réalise un chiffre d'affaires de 21 mio AUD, soit près de 21 mio CHF, sur quatre sites où travaillent en tout 154 employés, tous repris, selon un communiqué.

 

La signature du contrat avec Rosebank Engineering a eu lieu le 14 décembre 2012. La nouvelle entreprise s'appelle désormais "Rosebank Engineering Australia".

 

L'armée de l'air australienne est le principal client de Rosebank Engineering, qui fonctionne avant tout comme prestataire spécialisé dans l'entretien, les réparations et la remise en état des avions militaires en Australie et Asie du Sud-est.

 

L'entreprise intervient auprès de constructeurs aéronautiques tels qu'EADS/Eurocopter, Boeing, Sikorsky ou Thales. Sur les marchés internationaux, excepté en Australie, l'entreprise sera représentée par RUAG.

 

Ce rachat fait partie intégrante de la stratégie de mondialisation à long terme affichée par RUAG. À l'heure actuelle, 52% du chiffre d'affaires de la société est réalisé à l'étranger.

 

RUAG veut aussi optimiser sa croissance sur les plateformes aéronautiques existantes comme la F/A-18, mais aussi développer des intérêts commerciaux sur de nouvelles plateformes (C-130, Blackhawk, F-35) avec une spécialisation dans le secteur de l'entretien des avions.

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16 décembre 2012 7 16 /12 /décembre /2012 19:42

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/a7/Cartedujapon.png

 

16/12/2012 Par Arnaud de La Grange – LeFigaro.fr

 

Tokyo renforce discrètement son influence diplomatique et militaire en Asie face à l'ombre grandissante de la Chine.

 

Dans une asie où le militarisme japonais du siècle passé n'a pas laissé que de bons souvenirs, l'appel à de quoi surprendre. Le chef de la diplomatie philippine vient d'affirmer sans complexes que Manille était favorable à un réarmement du Japon, et à son implication plus forte dans la sécurité régionale. Et ce, afin de contrebalancer la montée en puissance militaire chinoise, qui donne dangereusement du poids aux ambitions territoriales de Pékin. Avec ses gesticulations souvent maladroites, la Chine avait déjà ouvert une voie royale au «retour de l'Amérique en Asie». Et voilà maintenant le Japon «pacifiste» poussé presque malgré lui à reprendre du service militaire dans la région.

 

En fait, cela fait déjà deux ans qu'un tournant stratégique a commencé. Discrètement mais sûrement, Tokyo a entrepris de «muscler» sa posture tant diplomatique que militaire. «C'est un grand changement: nous avons pris conscience qu'il nous fallait nous aussi avoir notre sphère d'influence, développer notre réseau d'alliés et de partenaires, explique le professeur Yoshihide Soeya, directeur de l'Institute of East Asian studies à la Keio University. Il ne s'agit pas d'endiguer la Chine, juste d'une stratégie de survie dans un environnement où l'ombre de la Chine ne cesse de grandir.»

Submersibles nippons

L'alliance américano-japonaise reste bien sûr le pilier de la sécurité de l'Archipel. «Mais nous pensons désormais qu'il faut tisser d'autres alliances, et il y a pour nous trois acteurs principaux, l'Inde, l'Australie et la Corée, auxquels il faut ajouter les pays d'Asie du Sud-Est», assure Tetsuo Kotani, chercheur au Japan Institute of International Affairs. Le premier exercice maritime bilatéral avec l'Inde a eu lieu au mois de juin. Avec l'Australie, des manœuvres de ce type existent depuis 2009. Côté Corée du Sud, les choses sont compliquées par l'histoire et des différends territoriaux. «Mais si les relations sont tendues entre politiques, elles sont excellentes entre militaires», poursuit l'universitaire. Les navires japonais augmentent aussi leur présence en mer dans la région, et multiplient les escales dans les pays riverains.

 

En 2012, le ministère japonais de la Défense a mis sur pied un programme de coopération militaire permettant d'aider des pays de la région à améliorer leurs capacités de défense. Une initiative qui s'adresse surtout aux pays d'Asie du Sud-Est, et dont le budget devrait doubler l'an prochain. «Notre stratégie est de les aider à bâtir des forces s'inspirant de notre modèle et de notre savoir-faire, poursuit Tetsuo Kotani, nous commençons par des unités de garde-côtes pour ensuite passer à des unités plus militaires. L'idée est de débuter par le “software”, mais de pouvoir aussi fournir du “hardware”». De la coopération d'abord, donc, puis de la fourniture d'équipements.

 

Sur ce registre aussi, le Japon a opéré un changement passé inaperçu mais lourd de sens. Il y a un an exactement, Tokyo a assoupli les principes qui interdisaient les exportations d'armement, autorisant désormais la fourniture à des pays «non communistes» de systèmes d'armes «Made in Japan». Y compris offensifs. Tokyo a d'abord fourni des patrouilleurs à l'Indonésie et des bateaux d'entraînement à la Malaisie. Et 10 patrouilleurs vont également prendre la direction des Philippines, pays engagé dans un bras de fer maritime avec la Chine autour du récif de Scarborough Shoal.

 

L'étape suivante se profile. Même si cela doit prendre un peu de temps car ces matériels sont plus sensibles, le Japon ambitionne dans le futur de vendre des avions ou ses sous-marins Diesel. Des pays d'Asie du Sud-Est ont témoigné de l'intérêt pour des hydravions, tandis que l'Australie pourrait être intéressée par les submersibles nippons, tout comme la Malaisie ou le Vietnam. Et comme au Japon on entretient bien les choses, qu'il s'agisse d'appareils photo, de voitures ou de tanks, le pays pourrait alimenter un intéressant marché de l'occasion régional. C'est ainsi que Tokyo construit chaque année un sous-marin diesel, et, pour garder sa flotte à 16 unités, en retire en même temps un du service. Plutôt que de partir à la ferraille, ces unités encore vaillantes pourraient connaître une deuxième vie dans une marine du Sud-Est asiatique.

Forces purement défensives

Pour l'heure, ce nouvel engagement régional japonais ne signifie pas une rupture avec le dogme de forces purement défensives. Mais il réjouit des Américains heureux de voir leurs alliés dans la région fédérer enfin leurs efforts. Et il suffit à déclencher l'ire de la Chine, qui tempête contre une stratégie «d'encerclement». Sans que Pékin ne remette en question sa politique maladroite d'affirmation régionale, qui fait que dans bien des esprits, la «menace chinoise» a fini par l'emporter sur le traumatisme des menées japonaises pendant la Seconde Guerre mondiale.

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12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 12:35

North Korea rocket

 

12/12/2012 Le Point.fr (AFP)

 

Pyongyang affirme que l'objectif est de placer en orbite un satellite météorologique. Le Conseil de sécurité des Nations unies se réunit mercredi matin.

 

La Corée du Nord a lancé mercredi une fusée dans l'espace, pour la première fois apparemment avec succès, faisant fi des mises en garde de Washington et de ses alliés qui ont dénoncé un tir de missile balistique justifiant une réunion en urgence du Conseil de sécurité de l'ONU. "Le lancement de la seconde version de notre satellite Kwangmyongsong-3 depuis le centre spatial de Sohae [...] est réussi" et "le satellite est entré en orbite comme prévu", a triomphalement annoncé à la télévision une présentatrice vêtue du costume traditionnel coréen, un hanbok de couleur rose. Le Commandement de la défense aérienne nord-américain (Norad) a prudemment confirmé le succès de la mission en parlant toutefois d'un "missile" ayant "déployé un objet qui s'est placé en orbite".

 

Il s'agit d'une première pour la Corée du Nord qui prétend posséder des missiles balistiques intercontinentaux (ICBM) capables d'atteindre le continent américain, mais dont les trois précédents essais s'étaient soldés par des échecs. Dans une première réaction, les États-Unis, qui n'entretiennent pas de relations diplomatiques avec la Corée du Nord, ont déploré un acte "hautement provocateur". Un diplomate occidental aux Nations unies a annoncé que le Conseil de sécurité tiendrait des "consultations" mercredi à la demande des Américains et des Japonais, augurant une "réaction forte".`

 

Renforcement des sanctions internationales

 

La Chine, seul allié de poids de Pyongyang, a estimé que le Nord "devrait se plier aux résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU" lui interdisant "tout lancement utilisant une technologie de missile balistique", selon l'agence officielle Chine nouvelle. Tokyo a dénoncé un acte "intolérable" tandis que la Corée du Sud a "vigoureusement" condamné le tir et dénoncé les "provocations" du Nord. Condamnation "forte" également du chef de la diplomatie britannique William Hague, qui devait convoquer l'ambassadeur nord-coréen à Londres.

 

Le régime communiste, resté sourd aux exhortations américaines, s'expose à un renforcement des sanctions internationales, mais la Chine, son seul allié de poids, a systématiquement brandi sa menace de veto au Conseil de sécurité afin de limiter leur portée.

 

La Corée du Sud et le Japon ont été les premiers à annoncer le tir de la fusée depuis le centre de Sohae dans le nord-ouest du pays. Selon leurs observations, les premier et deuxième étages du lanceur Unha-3 -un missile Taepodong-2, selon eux, sont tombés en mer à l'ouest et au sud-ouest de la péninsule coréenne, le troisième à 300 kilomètres à l'est des Philippines.

 

Le Japon, qui avait pris des dispositions pour détruire le lanceur ou ses débris s'ils menaçaient son territoire, a précisé que le lanceur était passé au-dessus de l'île nippone d'Okinawa douze minutes après son décollage. La Corée du Nord avait annoncé qu'elle voulait lancer sa fusée du 10 au 22 décembre, vraisemblablement pour faire coïncider le lancement avec le premier anniversaire de la mort, le 17 décembre 2011, de l'homme fort du régime, Kim Jong-Il.

 

Confronté à des contretemps techniques et à une météo défavorable, Pyongyang avait finalement élargi la fenêtre de tir jusqu'au 29 décembre. Les médias sud-coréens avaient même affirmé mardi que le lanceur avait été retiré de son pas de tir.

 

Geler les avoirs à l'étranger

 

Le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté deux trains de sanctions en 2006 et 2009 après chaque test nucléaire suivant des tirs d'essai de missile ou de fusée. Les résolutions 1718 et 1874 de l'ONU interdisent à Pyongyang toute activité nucléaire ou balistique.

 

Selon des médias japonais, le Japon, les États-Unis et la Corée du Sud vont demander au Conseil un renforcement des sanctions au niveau de celles frappant l'Iran. Les trois pays alliés souhaitent geler les avoirs à l'étranger, à partir d'une liste élargie, d'institutions financières, d'entreprises et de personnalités nord-coréennes. Lundi, les ministres européens des Affaires étrangères de l'Union européenne ont prévenu qu'un tir de fusée serait considéré comme "une provocation", qui entraînerait sans doute des mesures de rétorsion.

 

Le Taepodong-2 a une portée comprise entre 6.000 et 9.000 kilomètres. Il a été testé en juillet 2006, en avril 2009 et en avril 2012, après un premier missile de portée moindre, le Taepodong-1, testé en 1998. Les experts estiment que la Corée du Nord est cependant loin de posséder une puissance balistique fiable et que la mise au point d'une capacité nucléaire délivrable par missile intercontinental prendra encore beaucoup de temps.

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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 18:35

lrsam.jpg

 

TEL AVIV, Israel, Dec. 11 (UPI)

 

Israeli and Indian companies have signed a memorandum of understanding for joint development of naval air defense systems.

 

Israel Aerospace Industries Ltd. and Bharat Electronics Ltd. India signed the agreement for cooperation on Long Range Surface-to-Air Missile systems this month, a result of previous cooperation on manufacturing various subsystems for Indian military forces.

 

Under the MOU, BEL will be lead integrator and producer of major LRSAM subsystems. IAI will act as the design authority and produce subsystems as a main subcontractor of BEL.

 

"This MOU is a significant step forward in our joint work with India," IAI President and Chief Executive Officer Joseph Weiss said. "Partnership with BEL will further enhance IAI's ability to provide high-quality solutions and service to Indian defense services, best supporting the needs of India.

 

"BEL is a strategic partner for IAI and we hope this cooperation will expand to other areas of mutual interest."

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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 18:35

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/5b/Uno_City_Kaiserwasser.jpg/800px-Uno_City_Kaiserwasser.jpg

 

LAMPUNG (Indonésie), 11 décembre - RIA Novosti

 

Le nombre d'attaques de pirates et de détournements de navires a diminué en 2012, grâce notamment au programme anti-piraterie de l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC), a annoncé mardi le directeur exécutif de l'Office et vice-secrétaire général de l'ONU Iouri Fedotov.

 

"En 2011, le montant total des rançons versés aux pirates s'élevait à 150 millions de dollars. Au cours des onze premiers mois de 2012, il s'est chiffré à seulement 35 millions de dollars", a indiqué M.Fedotov à Lampung, sur l'île de Sumatra, à l'issue d'une visite de quatre jours en Indonésie.

 

"A l'heure actuelle, 1.200 pirates sont incarcérés dans différents pays du monde, dont 870 dans cette région - en Afrique de l'Est. Nous avons construit trois prisons en Somalie, une prison dans le Somaliland et une prison dans le Pount où nous avons lancé la construction d'une seconde prison. Il y a également un bloc pénitentiaire aux Seychelles et une prison érigée à l'époque des Anglais a été reconstruite au Kenya", a ajouté M.Fedotov.

 

Ces derniers temps, l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime a également commencé à lutter contre le blanchiment de l'argent versé à titre de rançon. Ces efforts empêcheront à des milliers de jeunes de devenir pirates et de risquer leur vie pour quelques sous, parce que ce sont les organisateurs des attaques de pirates qui touchent un vrai butin", a conclu le directeur exécutif d'ONUDC.

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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 17:35

Pakistan-jf-17

 

09 December 2012 Mirror

 

The Sri Lanka Air Force is due to is arranging to  purchase six JF -17 planes, according to  the  progress freport of Ministry of Defense and Urban Development. These aircraft are due to be purchased under the 2013 finalised projects.

 

The JF-17 (Thunder) co-developed by Pakistan Air Force and China Aero Technology Import Export Cooperation (CATIC) and co-produced by Pakistan Aeronautical Complex (PAC)

 

The JF-17 Thunder is an all weather, multi-role, light combat aircraft that has the potential to be the main stay & work horse of any Air Force.

 

In addition, 17  Mi-17 helicopters  and 02 B.206 helicopters are also due to be purchased.  These are to be utilized for passenger transport.

 

The Mi-17 medium multi purpose helicopter is produced by Kazan Helicopters. The B 026 is built by Bell helicopters.

 

However the time span within which the purchased are to be made has not been determined.

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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 16:35

Japan PAC Missiles

 

December 11, 2012 defense-aerospace.com

(Source: Defense Security Cooperation Agency; issued December 10, 2012)

 

WASHINGTON, December 10, 2012 – The Defense Security Cooperation Agency notified Congress today of a possible Foreign Military Sale to Japan for the upgrade of previously provided AEGIS Combat Systems, as well as associated equipment, parts, training and logistical support for an estimated cost of $421 million.

The Government of Japan has requested a possible sale for the upgrade of previously provided AEGIS Combat Systems as part of the modernization of two Atago Class Ships (DDG-177 ATAGO and DDG-178 ASHIGARA) with Integrated Air Missile Defense capability. The modifications/replacements consist of the following components: J6 AEGIS Weapon System Computer Program, 2 Multi-Mission Signal Processors for existing AN/SPY-1D(V) radar, 2 Common Processor Systems, 2 ship sets Common Display Systems (44 OJ-827(V)1 Tri Screen Display Consoles, 8 Display Processor Cabinets, 2 Video Wall Screen and Projector Systems, 46 Flat Panel Displays, and 2 Distributed Video Systems), 2 ship sets AN/SPQ-15 Digital Video Distribution Systems, 2 ship sets Operational Readiness Test Systems hosted in AEGIS Weapon Systems computing infrastructure, Ballistic Missile Defense (Mission Planner Blade server processors hosted in CPS, and 2 Kill Assessment Systems/Weapon Data Recording Cabinets), Vertical Launching System MK41 upgrade to Baseline 7 (24 Motor Control Panels MK 448 Mod 1, 48 Programmable Power4 Supplies MK 179 Mod 0, and 24 Launch Sequencers MK 5 Mod 1, 4 Fiber Optic Distribution Boxes, and 24 Single Module Junction Boxes), 4 Launch Control Units MK 235 Mod 7 with Global Positioning System Integrator, 2 ship sets Gun Weapon Systems MK 34, and 2 ship sets MK 20 Electro-Optical Sensor Systems. Also included: software updates, ordnance alterations and engineering changes, spare and repair parts, support equipment, tools and test equipment, technical data and publications, personnel training and training equipment, U.S. Government and contractor engineering, technical, and logistics support services, and other related elements of logistics support.

The estimated cost is $421 million.

Japan is one of the major political and economic powers in East Asia and the Western Pacific and a key ally of the United States in ensuring the peace and stability of this region. The U.S. Government shares bases and facilities in Japan. This proposed sale is consistent with U.S. objectives and with the 1960 Treaty of Mutual Cooperation and Security.

The proposed sale of AEGIS components to Japan will contribute to U.S. security objectives by providing a significantly improved Air Warfare capability. This sale will enhance Japan’s Ballistic Missile Defense (BMD) capabilities by modernizing and upgrading the AEGIS technology on its two Atago-class destroyers. The Government of Japan can easily integrate the capabilities of these upgraded AEGIS Weapon Systems into its concept of operations. Japan will have no difficulty absorbing these systems into its armed forces.

The proposed sale of this equipment and support will not alter the basic military balance in the region.

The principal contractor will be Lockheed Martin MS2 in Mooretown, New Jersey. There are no known offset agreements proposed in connection with this potential sale.

Implementation of this proposed sale will require multiple trips to Japan involving six U.S. Government and ten contractor representatives for technical reviews/support, programs management, and training over a period of three years.

There will be no adverse impact on U.S. defense readiness as a result of this proposed sale.

This notice of a potential sale is required by law and does not mean the sale has been concluded.

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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 16:35

North Korea rocket

 

TOKYO, 11 décembre - RIA Novosti

 

La fusée nord-coréenne censée placer sur orbite un satellite scientifique a été retirée du pas de tir de la station spatiale de Sohoe en raison des défaillances techniques constatées au niveau du premier étage, a annoncé mardi l'agence sud-coréenne Yonhap, citant une source militaire.

 

"Le lanceur a été retiré du pas de tir", a indiqué l'interlocuteur de l'agence. Selon la source, des spécialistes sont arrivés à cette conclusion après avoir analysé des photos de la station spatiale faites par un satellite. Les images montrent que les trois étages de la fusée ont été démontés et transportés dans un atelier d'assemblage situé à proximité de l'aire de lancement.

 

Pyongyang a annoncé lundi que le lancement de la fusée Unha-3, prévu initialement entre le 10 et le 22 décembre, aurait finalement lieu avant le 29 décembre.

 

Les médias sud-coréens ont fait savoir que le démontage de la fusée pouvait résulter d'un défaut du système de direction du flux du premier étage.

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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 13:35

Unha-3

 

11 décembre 2012 Romandie.com (AFP)

 

SEOUL - Le tir de la fusée nord-coréenne, qui suscite colère et inquiétude à Séoul et Washington, pourrait finalement accuser un important retard après le retrait complet du lanceur de son pas de tir, mardi, en raison de défaillances techniques, selon les médias sud-coréens

 

Il semble que la Corée du Nord ait retiré la fusée du pas de tir pour remédier à des problèmes techniques, a indiqué une source militaire à l'agence sud-coréenne Yonhap sur la foi d'images satellite du centre spatial de Sohae.

 

Le ministère de la Défense sud-coréen a refusé de commenter ces informations, qui, si elles s'avèrent exactes, pourraient signifier un report important de l'opération.

 

Lundi, Pyongyang avait élargi d'une semaine la fenêtre de tir de sa fusée: prévu initialement entre le 10 et le 22 décembre, le lancement de la Unha-3 pouvant se faire d'ici le 29 décembre.

 

Le régime communiste affirme vouloir mettre en orbite un satellite civil d'observation terrestre, mais une partie de la communauté internationale dénonce un nouvel essai de missile balistique que lui interdisent les sanctions de l'ONU.

 

Les analystes estiment que le Nord s'est sans doute précipité dans les préparations, afin de faire coïncider le tir du lanceur avec le premier anniversaire de la mort, le 17 décembre 2011, de l'homme fort du régime, Kim Jong-Il, auquel son fils Kim Jong-Un a succédé.

 

Le précédent tir, en avril, s'était soldé par un échec.

 

Et nombre d'experts ont accrédité la thèse d'un calendrier de lancement accéléré pour des raisons purement politiques, en faisant valoir que huit mois entre les deux tirs semblaient un laps de temps extrêmement court pour corriger les erreurs ayant conduit à l'explosion en vol de la fusée au printemps dernier.

 

La Corée du Nord a expliqué avoir enregistré des températures particulièrement basses ces derniers jours. Les médias d'Etat ont cité Ri Chol-Su, le directeur adjoint de l'Institut central de météorologie, indiquant que le mercure était descendu jusqu'à -17° Celsius sur les côtes ouest où se trouve le centre spatial de Sohae.

 

Malgré la forte opposition de la Chine, seule alliée de poids de Pyongyang, le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté deux trains de sanctions en 2006 et 2009 après chaque test nucléaire --qui suivait des tirs de fusée--, les résolutions 1718 et 1874 interdisant à Pyongyang toute activité nucléaire ou balistique.

 

Les diplomates des Etats membres ou non membres du Conseil de sécurité ont intensifié ces dernières semaines leurs consultations en coulisses au sujet de la réponse à donner à un nouveau tir de fusée.

 

Selon des médias japonais, le Japon, les Etats-Unis et la Corée du Sud sont convenus de demander au Conseil un renforcement des sanctions au niveau de celles frappant l'Iran.

 

Les trois pays alliés souhaitent geler les avoirs à l'étranger, à partir d'une liste élargie, d'institutions financières, d'entreprises et de personnalités nord-coréennes.

 

Lundi, les ministres européens des Affaires étrangères de l'Union européenne ont prévenu qu'un tir de fusée serait considéré comme une provocation, qui entraînerait sans doute des mesures de rétorsion.

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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 13:25

J-15 test 1

 

December 11, 2012 china-defense-mashup.com

 

2012-12-11 (China Military News by China-defense-mashup) — Deng Yudong, who is the business director of Shenyang Aircraft Industry Group Company (SAC), recently said that J-15 is going to be involved in a series of tests, including emergency barricade landing test on Liaoning Aircraft Carrier.

 

Deng Yudong summarized that recent J-15′s successful landing test on Liaoning aircraft carrier is accomplished by the fighter arresting hook catching ship-based arresting gear. When a landing aircraft engages a deck pendant, the force of the forward motion of the landing aircraft is transferred to a purchase cable which is routed via sheaves to the arresting engine, located in a machinery room below the flight deck or on either side of the runway.

 

He says that if a normal (pendant) arrestment or landing cannot be made, the barricade can be the last safety net for carrier-based fighters. To rig a barricade, it is stretched across the flight deck between stanchions, which are raised from the flight deck. The barricade webbing engages the wings of the landing aircraft, wherein energy is transmitted from the barricade webbing through the purchase cable to the arresting engine.

 

Deng also revealed that J-15 will carry other follow-up tests will be carried out, including aircraft maintenance on the aircraft carrier and weapon loading, beside of the emergency barricade landing test.

 

Short take-off but arrested recovery (STOBAR) is a system used for the launch and recovery of aircraft from the deck of an aircraft carrier, combining elements of both short take-off and vertical landing (STOVL). The Russian Navy aircraft carrier Admiral Kuznetsov is the first country to build STOBAR carrier. Liaoning Aircraft Carrier also features a STOBAR configuration.

 

According to the People’s Liberation Army Daily claimed in a 28 April report in 2012, Chinese engineers are reportedly trying to develop an electromagnetic catapult system for China’s future aircraft carriers, the report said that General Ma Weiming (馬偉明), a professor at the PLA Naval University of Engineering, is said to have led the efforts to develop the system, which seeks to emulate the development of the Electromagnetic Aircraft Launch System (EMALS) in the United States.

 

Some resources also disclose that China has developed a conventional steam-driven CATOBAR (Catapult Assisted Take Off But Arrested Recovery) system for its second or third aircraft carrier.

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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 12:35

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/4/4a/Air_Force_Flag_of_the_People%27s_Republic_of_China.svg/750px-Air_Force_Flag_of_the_People%27s_Republic_of_China.svg.png

 

December 10, 2012 china-defense-mashup.com

 

2012-12-10 — The Air Force of the Chinese People’s Liberation Army (PLA) recently conducted a comprehensive support drill for multi-types of aircraft on double-runway under information conditions at an airport in southwest China. Nearly 100 fighters of over 10 different types open the curtain of the base-oriented transformation of the combat support mode of the PLA Air Force.

 

According to Zhan Houshun, chief commanding officer of the drill and deputy commander of the air force under the Chengdu Military Area Command (MAC) of the PLA, there was only one runway for taking-off and landing at the airports of the PLA Air Force in the past, which could only support relatively a few types of aircraft to simultaneously implement the combat and training missions. But the airports with two runways for aircraft to take off and land at the same time can not only simultaneously support the flight of various types of active fighters, but also be used for the taking-off and landing of all types of domestic civil airplanes, Zhan Houshun added.

 

The reporters saw on the drill site that the aircraft took off and landed on the double-runway for 12 sorties within 10 minutes. At the same time, more than 200 support vehicles of various types and hundreds of officers and men were making preparation before aircraft’s taking-off and carrying out maintenance after aircraft’s landing for various types of aircraft on the parking aprons on the east and west sides of the airport.

 

After the drill, Zhang Jian, commanding officers of the main control tower of the east runway of the airport, said that “The aircraft throughput per hour for the first drill was one third more than that at the airport in the past, and the peak throughput was even doubled, exceeding the aircraft throughput per hour at the civil airport with the same size, which was beyond the imagination of an old pilot with more than 20 years of flying experience like me.”

 

Zhang Feiran, director of the Military Material and Fuel Supply Section of the Logistics Department of the air force under the Chengdu MAC, said the fuel consumption in the 5-odd-hour-long drill was four times the daily consumption of the airport in the past. To meet fuel demands, a fuel supply center and a set of straight-line pressure-refueling system were installed on each runway.

 

According to Zhang Hong, chief of an air station who participated in the drill, support for double-runway doubled their workload while the number of supporting personnel and equipment did not change, which obliged them to improve the supporting process, optimize the supporting methods and enhance the supporting personnel’s capability of “one-post with multi skills”.

 

According to Fang Dianrong, commander of the air force under the Chengdu MAC, the goal of the drill is to explore the new mode for base construction, operation and management of multi-type-aircraft comprehensive support.

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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 12:35

North Korea rocket

 

11.12.2012 Romandie.com (ats)

 

La Corée du Nord a démantelé une partie de la fusée qu'elle entend lancer au cours des prochains jours malgré la condamnation d'une partie de la communauté internationale, a indiqué mardi la presse sud-coréenne. La veille, Pyongyang avait élargi d'une semaine la fenêtre de tir.

 

Des images satellitaires prises lundi signalent que des techniciens ont commencé à "démanteler une partie de la fusée" au centre spatial de Sohae, selon une source gouvernementale sud-coréenne citée mardi par l'agence Yonhap. On ignore si cette section est retirée pour être réparée ou si la totalité du lanceur va être démantelée, a-t-elle ajouté.

 

Le lancement d'Unha-3, prévu initialement entre le 10 et le 22 décembre, aura finalement lieu entre le 10 et le 29 décembre.

 

Le régime communiste affirme vouloir mettre en orbite un satellite civil d'observation terrestre. Mais une partie de la communauté internationale dénonce un nouvel essai de missile balistique que lui interdisent les sanctions votées par le Conseil de sécurité de l'ONU en 2006 et 2009.

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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 11:35

AAD LAUNCHED (1)-23 nov 2012 source Livefist

 

December 5, 2012: Strategy Page

 

On November 24th India held more tests of its ABM (Anti-Ballistic Missile) system. This one involved intercepting multiple incoming ballistic missiles and was declared a success. As a result of this, and several other successful tests earlier this year, Indian missile development officials believe their anti-missile system is ready for mass production and deployment. This would provide some Indian cities protection from Pakistani or Chinese ballistic missiles.

 

The Indian system uses two types of interceptors. The Prithvi Air Defense (PAD) missile is the larger of the two and is used for high altitude (50-80 kilometers up) interception. The short range Advanced Air Defense (AAD) missile is used for low altitude (up to 30 kilometers) intercepts. The two missiles, in conjunction with a radar system based on the Israeli Green Pine (used with the Arrow anti-missile missile), provide defense from ballistic missiles fired as far as 5,000 kilometers away. A third interceptor, the PDV, is a hypersonic missile that can take down missiles as high as 150 kilometers and is still in development. India is the fifth nation to develop such anti-missile technology.

 

The Indian system has been in development for over a decade. Ten years ago India ordered two Israeli Green Pine anti-ballistic missile radars. That equipment was used six years ago in a successful Indian test, where one ballistic missile was fired at another "incoming" one. The Israeli Green Pine radar was originally developed for Israel's Arrow anti-ballistic missile system. Arrow was built, in cooperation with the United States, to defend Israel from Iranian and Syrian ballistic missiles. India has since developed, with Israel, the Swordfish radar, which has similar capabilities to the Green Pine and has been operational for two years. Swordfish is part of a system that integrates data from satellites and other sources in order to detect and track incoming missiles.

 

The interceptor missiles and the fire control systems were designed and built in India, although more Israeli technology may have been purchased to speed things along. India wanted to buy the entire Israeli Arrow system but the United States refused to allow the sale (which involved a lot of American technology). The Indian ABM system wasn’t supposed to become operational for another two years. But the developers believe it is ready now and are asking parliament for money to start building systems to defend places like New Delhi (where parliament is). Even so, it’s doubtful that the ABM system would be operational, even if just around New Delhi, by 2014. Then there is the question of just how effective the India ABM system really is. India has a shabby reputation with developing weapons. Projects go on for decades without ever producing operational weapons. But joint-ventures with other countries (like Russia, France, and Israel) have been more successful. Israel is believed to be more heavily involved in this ABM than official pronouncements indicate. If so, this would be a good thing, even if the Indians don’t like to publicize it.

 

China and Pakistan could only defeat the Indian ABM defenses by firing more missiles at the same time than the Indians could handle. It's also possible to equip warheads with decoys in an attempt to get the interceptor missile to miss. Israel has technology designed to deal with these decoys and India can probably purchase that. But against an overwhelming number of incoming missiles, some are going to get through.

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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 09:35

Unha-3

 

BEIRUT, Lebanon, Dec. 7 (UPI)

 

Iranian scientists and military officers will attend North Korea's test launch of a long-range ballistic missile expected this month, underlining Tehran's close and long-standing links to Pyongyang on missile development.

 

Western diplomatic sources say an engineering team from the Shahid Hemmat Industrial Group, the Iranian organization that developed the Shehab-3 ballistic missile which constitutes the backbone of the Islamic Republic's strategic missile force, will be on hand for the North Korean test scheduled for sometime Dec. 10-22.

 

The Shehab-3 is based on North Korea's Nodong missile, while more advanced and longer-range ballistic weapons, identified as the Shehab-5 and Shehab-6, are understood to be modeled on Pyongyang's Taepodong series.

 

Shahid Hemmat Industrial Group, known to Western missile experts as the "SHIG team," is part of Iran's Aerospace Industries Organization, which is controlled by the elite Islamic Revolutionary Guards Corps as part of its Iran missile and nuclear programs mandate.

 

For more than a decade, Iran and North Korea maintained what is in effect a joint missile development program. Iranian teams have observed all of North Korea's long-range missile tests in 1998, 2006, 2009 and the last one April 13, which was a failure and probably curtailed Iranian efforts.

 

Iranian teams have been present at North Korean nuclear tests, at least those conducted in 2006 and 2009, both times after failed missiles tests.

 

More ominously, Japan's Kyodo news agency, citing Western diplomatic sources, reported Friday that Iran stationed military personnel in North Korea in October at a military facility 53 miles from the Chinese border, apparently to strengthen cooperation in missile and nuclear development.

 

Western security sources say an unknown number of North Korean and Chinese missile technical experts work at the Shahid Hemmat complex, including the missile plant, outside Tehran on the Damavand highway northeast of the city.

 

In July 2001, Ali Mahmudi Mimand, one of Iran's top aeronautical engineers and purportedly the brains behind the ballistic program, reportedly died under mysterious circumstances.

 

Western sources said Mimand was killed in an unexplained explosion at the SHIG facility while tests were being carried out on advanced launch apparatus for the Shehab-3 then being developed.

 

It's not clear whether that was connected to the campaign of sabotage and assassinations carried out by the United States and Israel against Iran's missile and nuclear programs, which has escalated since then.

 

The United States has twice imposed sanctions on Shahid Hemmat for its role in developing ballistic missiles that could eventually be armed with nuclear warheads.

 

Iran's program to develop liquid-fuel missiles has been linked to North Korea since it began in the early 1990s with the purchase of Soviet-designed Scud-B and -C missile maintenance and assembly facilities from Pyongyang.

 

The International Institute for Strategic Studies, a London think tank, notes: "Tehran's decision to procure the Nodong missile ... rather than design, develop, test and produce a more capable missile based on a cluster of four Scud engines suggests that its technical wherewithal and indigenous missile capabilities were at that time limited.

 

"However, shortly after the turn of the century, Iranian engineers began asserting greater independence from foreign supply, starting with the major, foreign-assisted redesign of the Shehab-3, which resulted in the longer range Ghadr-1."

 

Oil-rich Iran provided much of the financing for the Nodong program by destitute North Korea, for which the technology transfers were part payment.

 

U.S. diplomatic cables published by WikiLeaks in February 2010 stated U.S. intelligence was convinced North Korea sold Iran at least 19 BM-25 ballistic missiles.

 

This missile is based on the Russian SS-N-6 submarine-launched ballistic weapon and was unveiled in Pyongyang in October 2007.

 

That was seen as proof that Pyongyang was developing its ballistic weapons capability despite U.N. sanctions.

 

Tehran's acquisition of the BM-25s rang alarm bells in the West, because, if the technology could be refined, "the BM-25 could carry both conventional and nuclear warheads, and with them serious implications for the future security in both the Asia-Pacific region and Europe," Asia analyst Bertil Lintner observed.

 

The leaked cables suggested "a much closer military cooperation" between Iran and North Korea "than was previously known to the public."

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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 08:35

Unha-3

 

10.12.2012 Par Edouard Pflimlin et Yann Rozec - Le Monde.fr

 

La Corée du Nord devrait procéder à la mi-décembre à son deuxième tir de missile balistique – une fusée Unha-3 – de l'année, a indiqué samedi 1er décembre l'agence de presse officielle KCNA. Le missile, qui doit théoriquement permettre de mettre sur orbite un satellite, sera lancé entre le 10 et le 22 décembre, a indiqué un porte-parole du comité nord-coréen pour la technologie spatiale.

 

La date de ce nouveau lancement coïncide avec la tenue de l'élection présidentielle en Corée du Sud, fixée au 19 décembre. Elle correspond aussi avec celle des élections législatives anticipées au Japon, le 16 décembre. Le 17 décembre marquera en outre le premier anniversaire de la mort du dirigeant nord-coréen Kim Jong-il, auquel son fils, Kim Jong-un, a succédé.

 

SYSTÈMES DE DÉFENSE ANTIMISSILES ACTIVÉS

 

Si les deux pays, ainsi que leurs alliés, ont réagi fermement sur le plan diplomatique, ils savent aussi que le régime de Pyongyang n'hésite pas à se mettre à dos la communauté internationale, et que les protestations ont peu d'effets sur un régime tyrannique et très fermé. Aussi ont-ils ordonné à leurs forces militaires de se préparer face à cette menace. Pour cela, ils ont activé leurs systèmes de défense antimissiles (ABM).

 

Le ministre de la défense japonais, Satoshi Morimoto, a ainsi ordonné vendredi 7 décembre aux Forces d'autodéfense (appellation de l'armée) de l'Archipel de se tenir prêtes à détruire la fusée si elle menaçait le territoire nippon. Le Japon a préparé des missiles sol-air Patriot PAC 3 sur l'île d'Okinawa (sud) et a déployé trois destroyers équipés du système de radar américain Aegis et de missiles d'interception SM-3.

 

La Corée du Sud a, elle, décidé d'accélérer le déploiement de radars de détection de missiles balistiques de type "Green Pine" achetés à Israël, qui peuvent détecter des missiles jusqu'à 500 km de distance. Séoul déploie aussi deux navires de guerre Aegis équipés du radar SPY-1, qui peuvent détecter des cibles jusqu'à 1 000 km. Enfin, la Corée du Sud prévoit de déployer des systèmes PAC 2 pour intercepter le missile au cas où il changerait de trajectoire et survolerait son territoire. Les Etats-Unis, grand allié du Japon et de Séoul, ont de leur côté envoyé deux destroyers Aegis, l'USS Benfold et l'USS Fitzgerald, équipés de capacités antimissiles balistiques

 

DÉPLOIEMENT NAVAL ET TERRESTRE AU JAPON

 

Les systèmes ABM existants sont développés de plusieurs années, le Japon étant beaucoup plus en avance que la Corée du Sud, même si celle-ci rattrape en partie son retard. Le programme de bouclier antimissile japonais s'est développé en étroite collaboration avec les Etats-Unis. Si cette coopération a commencé dans les années 1980 dans le cadre de l'initiative de défense stratégique (IDS ou "Guerre des étoiles"), c'est l'accroissement de la menace balistique nord-coréenne et, dans une moindre mesure, chinoise qui a conduit à partir de 2004 à un important programme (1 milliard de dollars investis en moyenne chaque année). Il a abouti à la configuration suivante au Japon : le système de défense antimissile mis en place comporte deux niveaux : naval et terrestre.

Le premier déploie quatre destroyers Aegis de la classe Kongo, auxquels s'ajoutent deux plus récents de la classe Atago, équipés de missiles SM-3 (Standard Missile-3), qui ont une capacité d'interception à haute altitude. La portée des missiles est de 1 000 km et ils visent à intercepter des missiles à courte et moyenne portée. En revanche, les SM-3 ne peuvent pas détruire les missiles intercontinentaux (portée supérieure à 5 500 km), que ne possède pas encore la Corée du Nord, mais que Pyongyang souhaite développer. A cela s'adjoint une défense terrestre avec seize systèmes de missiles PAC-3 (Patriot Advance Capability-3), qui opèrent l'interception de missiles ennemis en phase terminale, c'est-à-dire lors de leur entrée dans l'atmosphère.

 

L'ensemble est coordonné par un système de commandement et de contrôle et par un réseau de radars terrestres "et les moyens embarqués sur les destroyers Aegis. La capacité d'alerte est d'autant plus essentielle pour le système de défense antimissile japonais que les temps de vol entre les zones de tir nord-coréennes et le territoire japonais sont de l'ordre de dix minutes", souligne une étude de la Fondation pour la Recherche Stratégique (FRS). L'utilisation d'emplacements de tir situés à proximité de la frontière entre la Corée et la Chine permettrait à l'armée populaire de libération d'atteindre l'ensemble de l'archipel en moins de quinze minutes. Malgré ces temps de réaction très courts, la FRS estime que le système serait efficace avec un taux de succès élevé.

 

UN EFFORT DE MODERNISATION EN CORÉE DU SUD

 

La République de Corée a, elle, conduit progressivement un effort de modernisation de ses moyens de défense aérienne qui vise, entre autres, à disposer d'une capacité antibalistique autonome : la Korea's Air and Missile Defense (KAMD). Le projet de modernisation des moyens de défense anti-aérienne du pays a débuté au milieu des années 1990, afin de remplacer à l'horizon 2010 les systèmes vieillissants Nike.

 

La capacité antimissile disponible aujourd'hui comprend des moyens d'alerte, un système de commandement et de contrôle et des intercepteurs adaptés à une menace constituée de missiles de courte et de moyenne portées. Il s'agit essentiellement de 8 batteries de 48 lanceurs PAC-2 achetés à l'Allemagne. Par ailleurs, la Corée du Sud possède des destroyers Aegis, dérivés des destroyers Arleigh Burke américains. Ils abritent un système de défense aérienne Aegis, capable de suivre 1 000 objets et d'engager simultanément une vingtaine de cibles.

 

Compte tenu des temps de réaction à des tirs de missiles nord-coréens, de l'ordre de quelques minutes, la Corée du Sud devrait compter avec les moyens américains en matière de défense antimissiles. La FRS souligne que : "Si l'ensemble des moyens était utilisé, [le système sud-coréen] permettrait d'engager une demi-douzaine de salves de missiles SCUD-B et SCUD-C, ce qui permettrait d'accroître la protection des agglomérations et bases militaires de façon significative pendant 2-3 jours (en supposant deux salves par jour). En revanche, utilisées seules, les capacités sud-coréennes permettraient au mieux de protéger les zones concernées contre une première salve."

 

LE JAPON LIMITÉ AUX ARMES DÉFENSIVES

 

Si le Japon et la Corée du Sud ont tout deux adopté des ABM, leurs attitudes sont en réalité assez différentes. Le Japon, contraint par sa Constitution de se limiter aux armes défensives, développe fortement son système ABM et coopère avec les Etats-Unis pour le développement du SM3. Les deux pays développent conjointement le SM3 Block IIA avec le missilier Raytheon, dans le cadre d'un contrat de 925 millions de dollars. Le nouveau missile dispose de capacités d'interception améliorées et devrait être opérationnel en 2018.

 

Cependant, les systèmes de surveillance actuels ne permettent pas une détection totale, avec une zone non couverte au niveau de la basse altitude. Ainsi, ni le radar américain d'alerte avancé en bande X implanté sur la base de Shariki (dans le nord de l'île principale du Japon, Honshu) ni les destroyers Aegis de type Kongo n'ont pu détecter la précédente tentative de tir de fusée nord-coréenne, le 13 avril 2012, le missile n'ayant pas atteint une altitude suffisante pour être repéré.

 

Un deuxième radar à bande X va donc être déployé par les Américains dans l'Archipel. Mais afin d'être plus autonome, le ministère de la défense japonais a lancé le 5 novembre un programme pour le développement d'un drone de détection des missiles balistiques. Plutôt qu'un satellite d'observation, le choix du drone s'explique par sa capacité à détecter, dès le lancement, un missile balistique, ce qu'un satellite peut difficilement faire. Cette détection précoce facilite l'interception. Volant à une altitude de 13 500 m, avec une autonomie de 22 heures, il devra être capable de détecter, même à basse altitude, les lancements de missiles balistiques et permettrait peut être de repérer également les missiles de croisière.

 

CAPACITÉ DE DISSUASION RENFORCÉE EN CORÉE DU SUD

 

A l'inverse, la Corée du Sud adopte une approche double, basée d'une part sur une défense antimissile balistique crédible, aux moyens importants, mais restant hors du système américain, et d'autre par sur un accroissement de la portée de ses missiles balistiques, ce qui permet d'obtenir une capacité de dissuasion conventionnelle forte, et à même de faire réfléchir la Corée du Nord.

 

Le refus d'intégrer le système américain a été justifié par l'intérêt sud-coréen de se concentrer sur les missiles ayant une portée comprise entre 500 et 1 000 km, la faible distance séparant les deux Corées rendant irréalisables les interceptions exo-atmosphériques. Séoul évite ainsi de froisser son puissant voisin chinois, qui voit d'un mauvais œil le bouclier américain se développer tout autour d'elle. Depuis 2001, la Corée du Sud avait accepté de limiter la portée de ses missiles en deçà de 300 km. Cependant, face aux provocations multiples de la Corée du Nord, Séoul a renégocié avec Washington ce pacte et est parvenu, le 7 octobre 2012, à un accord accroissant la portée à 800 km – avec une charge de 500 kg–, ce qui lui permet de frapper l'ensemble du territoire nord-coréen. Par ailleurs, en avril, la Corée du Sud a confirmé avoir déployé un nouveau missile de croisière moins rapide et plus facile à intercepter qu'un missile balistique, le Hyunmoo-3, ayant un rayon d'action de 1 500 km.

 

La Corée du Sud semble ainsi durcir sa position face la Corée du Nord afin de la contraindre à la négociation et à l'arrêt de son programme nucléaire. Le résultat des élections au Japon et en Corée du Sud, marquées par la diffusion des idées nationalistes, pourrait conduire à un renforcement de ces systèmes d'armes, et plus généralement de la course aux armements, accroissant les risques d'instabilité dans une région déjà fragile...

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 18:35

 

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December 10, 2012 by Shiv Aroor - Livefist


 


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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 18:35

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December 10, 2012 by Shiv Aroor - Livefist

 

 

After formally announcing the CH-47F Chinook's victory in the Indian Air Force's heavy copter competition last week in Parliament, the Indian defence minister has now officially confirmed Boeing's AH-64D Apache Block III win as well. Here's the full statement in Parliament today:

Indian Air Force (IAF) is procuring Chinook Ch-47F heavy-lift helicopters and AH-64D Block-III Apache helicopters from Boeing Company of USA. In the two separate proposals initiated by Indian Air Force (IAF) for procurement of 15 Heavy Lift Helicopters and 22 Attack Helicopters, M/s Boeing of United States of America (USA) with Chinook CH-47F(I) and 'Apache' AH-64D respectively, has emerged as the L1 Vendor. The Acceptance of Necessity (AoN) cost for 15 Heavy Lift Helicopters and 22 Attack Helicopters is Rs.2468.41 Crores and Rs.3094.98 Crores respectively. However, final cost of the Contracts would depend upon outcome of the Contract negotiation with the L1 Vendor.

Importantly, the government also reiterated its recent decision on future attack copter purchases going straight to the Army:

Government has decided to let the Army to have its own heavy duty attack helicopter. The decision to vest the future inductions of attack helicopters with the Army has been taken keeping in view the operational requirements in the field.

The Minister also made the following statement in response to a question on media reports of faulty Chinese-built spares in US aircraft for India:


While Government is aware of certain media reports regarding possible usage of Chinese counterfeit electronic parts in military aircraft manufactured in the US, no P8I aircraft has so far been delivered to India. Moreover, during the last four years of operation of the US defence equipment including C-130J transport aircraft, IAF have not encountered any faulty spare parts and equipment. It has been confirmed from M/s. Boeing, the vendor of P-8I, that no counterfeit parts have been installed on the aircraft to be supplied to India. Besides this, the Indian Air Force (IAF) have acquired a list of supplier from the US Government with respect to aircraft procured from the USA and none of the suppliers are found to be Chinese manufacturers.

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 18:35

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SU-30MKI India photo USAF

 

7 décembre 2012 par Daniel Favre – INFO-AVIATION

 

L’Inde négocie actuellement avec la Russie une modernisation supplémentaire de 80 chasseurs Su-30MKI afin de les élever au niveau du Super-30. L’opération pourrait se chiffrer à 1 milliard de dollars (source : Russia & India Report).

 

Cette modernisation concernerait le lot de 80 chasseurs Su-30MKI* déjà achetés à la Russie (consortium Suhkoï/Irkout). Les avions Su-30MKI sont livrés à l’Indian Air Force (IAF) en quatre étapes. Selon le plan actuel, leur modernisation devrait être réalisée au cours des trois ou quatre prochaines années.

 

Au total, l’Inde possède 170 appareils Su-30MKI. L’IAF envisage aussi d’acheter 272 avions supplémentaires. Une commande pour 230 appareils a été déjà passée.

 

Ce contrat se cumulerait donc au contrat de modernisation Super-30 de 42 Su-30MK livrés à l’Inde entre 1997 et 2004, chiffré à 3,77 milliards de dollars et qui est susceptible d’être signé lors de la visite du président russe Vladimir Poutine à New Delhi le 24 décembre.

 

La modernisation Super-30 prévoit entre autres l’installation de nouveaux radars, d’ordinateurs de bord, de nouveaux systèmes électroniques et de missiles de croisière supersoniques BrahMos d’une portée de 300 km. Elle devrait commencer en 2015 et effectuée sous licence par la société publique Hindustan Aeronautics Ltd (HAL).

 

L’Indian Air Force (IAF) devrait donc pouvoir créer son huitième escadron de Su-30MK en décembre 2012. Il sera basé à Sirsa d’Haryana, près de la frontière avec le Pakistan. Il s’agira du troisième escadron de Su-30MK à être déployé à proximité de la frontière avec le Pakistan depuis 14 mois. Les deux derniers escadrons sont situés à Jodhpur au Rajasthan et à Punjab Halwara.

 

* Le Su-30MKI est fabriqué en Inde sous la licence de HAL. Il est facilement reconnaissable des autres variantes Su-30 par l’ajout de plans canard et de tuyères à poussée vectorielle.

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 18:35

Tiger Australia photo Aus DoD

 

10 décembre 2012 INFO-AVIATION

 

L’apparition récurrente de fumée dans le cockpit a incité plusieurs pilotes d’hélicoptères Tigre de l’armée australienne à stopper les vols contre l’avis de leur hiérarchie. Une vingtaine de pilotes aurait déjà quitté l’armée (source : The Australian).

 

Des dizaines de pilotes de l’armée australienne ont mené une mini-révolte allant jusqu’à faire « grève » en refusant de voler sur leurs hélicoptères d’attaque Tigre ARH. Plusieurs équipages ont été gênés par des fumées émanant du cockpit pour la troisième fois cette année.

 

La dernière alerte a eu lieu au centre de formation militaire de Cultana dans le sud de l’Australie le 4 novembre. Des incidents antérieurs avaient eu lieu en mars et en juillet 2012. La flotte d’hélicoptères n’a pourtant pas été clouée au sol après ce troisième incident.

 

http://info-aviation.com/wp-content/uploads/2012/12/ASSEMBLAGE_ARH_TIGER.jpg

Chaîne d'assemblage du Tigre ARH à Brisbane en Australie.

 

« L’équipage a appliqué la procédure standard en cas de fumées ou de vapeurs dans le cockpit et a atterri en toute sécurité à l’aérodrome d’El Alamein », a déclaré un responsable du ministère de la Défense de l’Australie.

 

Irrités par la décision de leur hiérarchie de ne pas suspendre les vols, les équipages du 1er Régiment d’aviation basé à Darwin ont voté contre la poursuite des vols jusqu’à ce que tous les problèmes de sécurité soient résolus. Un fait rare dans l’armée qui peut s’apparenter à de la mutinerie. Beaucoup de pilotes de l’armée australienne ont d’ailleurs été choqués que leurs collègues puissent voter et refuser de voler, défiant ainsi leurs officiers supérieurs qui avaient jugé l’hélicoptère opérationnel.

 

« Habituellement, il faut plutôt se battre pour empêcher un pilote de voler, » a déclaré un anonyme de l’armée.

Les vols du Tigre avaient été temporairement mis en veille en mars et en juillet 2012 en raison de fumées. Mais depuis 2007 le poste de pilotage du Tigre a tout de même enregistré 24 incidents de fumée.

 

De son côté, le ministère de la Défense australien a refusé de reconnaître que les pilotes avaient effectivement refusé de voler. Il a néanmoins reconnu les préoccupations des équipages et expliqué qu’une accalmie des vols n’était pas rare pendant les phases d’entretien.

 

Le ministère de la Défense a aussi confirmé que le 1er Régiment d’aviation n’avait pas volé depuis l’incident au centre d’entraînement de Cultana le 4 novembre.

 

« Aucun vol de l’ARH (Tiger Armed Reconnaissance Helicopter) n’a été programmé par le 1er Régiment de l’aviation à Darwin depuis l’incident des fumées à Cultana, » a t-il confirmé.

L’équipage brise la glace

Au cours du premier incident, l’équipage en tandem de l’hélicoptère Tigre avait dû ouvrir les fenêtres à l’intérieur du cockpit pour faire circuler l’air et dissiper les fumées. Lors du deuxième incident en juillet, la fenêtre du cockpit était coincée faute d’avoir été vérifiée pendant les inspections de pré-vol et l’équipage a donc été contraint de casser la verrière pour ventiler l’habitacle.

 

http://info-aviation.com/wp-content/uploads/2012/12/Cockpit-du-Tigre.jpg

Le cockpit en tandem du Tigre ARH.

Selon les premières analyses, les fumées proviendraient d’un condensateur défectueux sur les anciens modèles d’un module d’alimentation dans le système d’affichage multi-fonction. Au départ, l’armée a d’abord pensé qu’il s’agissait du système d’air conditionné.

 

Plusieurs pilotes de Tigre ont dû engager des procédures d’évacuation pour préserver leur sécurité. En 2012, 22 pilotes d’hélicoptères ont même quitté l’armée dont deux du 1er régiment à Darwin.

 

En septembre, le commandant de l’escadron 162 du 1er régiment d’aviation, le major Archibald Hayden, avait pourtant affirmé qu’il aimerait combattre en Afghanistan avec le Tigre.

 

Mais l’armée australienne a été critiquée lors de l’enquête sur la mort en Afghanistan du pilote lieutenant Marcus où les enquêteurs avaient mis en évidence l’incapacité de l’armée à respecter les règlements de navigabilité opérationnelle.

L’armée de Terre australienne possède 22 hélicoptères Tigre ARH dont 16 sont déployés à Darwin. Ils ont été construits par Eurocopter, filiale du géant européen EADS, et assemblés à Brisbane par Australian Aerospace, pour un coût de 2 milliards de dollars. Le premier modèle assemblé en Australie porte le numéro 005 (photo ci-dessus).

 

Note : Le Tigre est un hélicoptère d’attaque et de reconnaissance construit à 80% en fibre de carbone. Il dispose d’un équipage en tandem composé d’un pilote et d’un opérateur d’armes (missiles antichars Hellfire, roquettes, canon de 70mm/30mm) et d’une cabine blindée. Son coût unitaire est d’environ 70 millions de dollars. Trois versions sont produites : le Tigre UHT (Allemagne), le Tigre HAP (France), le Tigre ARH (Australie), et le Tigre HAD (Espagne, France).

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 17:36

CH-47F Chinook photo Boeing source FG

 

December 05, 2012 by Shiv Aroor - Livefist

 

 

Indian Defence Minister AK Antony in Parliament: "In the proposal initiated by Indian Air Force (IAF) for procurement of 15 Heavy Lift Helicopters, M/s Boeing with Chinook Helicopter has emerged as the L1 Vendor. The cost of the Contract would depend upon outcome of the Contract negotiation with the L1 Vendor, which has not yet concluded. The Field Evaluation Trials for these Helicopters conducted by the Indian Air Force have found them to be compliant with all the stated Air Staff Qualitative Requirements (ASQRs). Divulging further details in this regard may not be in the interest of National security."

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 17:35

Unha-3

 

TOKYO, 10 décembre - RIA Novosti

 

Pyongyang a élargi jusqu'au 29 décembre la période de lancement d'une fusée transportant un satellite scientifique, rapporte lundi l'agence de presse nord-coréenne KCNA.

 

Le 8 décembre, l'agence a annoncé un possible report du lancement de la fusée dû à "un certain nombre de problèmes". Lundi, Pyongyang a déclaré que le lancement de la fusée Unha-3, prévu initialement entre le 10 et le 22 décembre depuis le cosmodrome de Sohae, aurait finalement lieu avant le 29 décembre.

 

Le 1er octobre dernier, la Corée du Nord a annoncé son intention de lancer une fusée destinée à placer sur orbite un satellite d'observation terrestre. La communauté internationale a vivement condamné ce projet, soupçonnant Pyongyang de vouloir effectuer un tir dissimulé de missile balistique à longue portée.

 

Le 15 avril 2012, en dépit de nombreuses protestations internationales, Pyongyang a effectué le tir de sa fusée Unha-3 avec à son bord un satellite d'observation terrestre. Le lancement s'est soldé par un échec, des débris de la fusée sont retombés en mer Jaune, à 165 km au sud de Séoul.

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 17:35

http://4.bp.blogspot.com/-bxokoUVq0i8/T_0lOpL9PLI/AAAAAAAAQpw/2qmMOShTpiU/s1600/197RSH.jpg

 

December 05, 2012 by Shiv Aroor - Livefist

 

Indian Defence Minister AK Antony has just informed Parliament about the 197 reconnaissance and surveillance (RSH) helicopter acquisition programme, that's already delayed:

 

"The Ministry has not deferred its decision of purchasing of 197 Light Utility Helicopters (LUHs) and the procurement case is under examination. The Defence Procurement Procedure lays down stringent guidelines to effect utmost probity and transparency in procurement transactions. It is not a fact that these helicopters were to be purchased from Government of Italy. In the context of an allegation against one service officer, as appearing in the media, information has been sought from the Government of Italy."

 

Incidentally, the two companies are likely to be instructed to extend the validity of their commercial bids for the fourth time as they expire by the end of this month. It is possible that the deal will come up at a meeting of the Defence Acquisition Council (DAC) later this month.

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 16:37

IL-78 Refuels SU-30MKI source info-aviation

 

10/12/2012 by Paul Fiddian - Armed Forces International's Lead Reporter

 

An air-to-air refuelling capability is now considered essential for all India's combat aircraft and helicopters, officials have said.

 

The capability is required for all, current in-service Indian Air Force frontline aircraft, including fighters, attack helicopters and transporters, along with those it will purchase from now on.

 

The decision was announced at the recent Fifth National Seminar on Aerospace Technologies by Air Marshal DC Kumaria - the vice chief of the Indian Air Force. This was the latest instalment of the now well-established N-SAT conferences, staged by the India Strategic publication. N-SAT is an event where the latest Indian military technology matters are discussed - those present tending to look at what's needed at least two decades into the future.

 

Indian Air Force Refuelling

 

Indian Air Force air-to-air refuelling is already common practice. The Indian Air Force's Sukhoi Su-30MKIs, Jaguars and Mirage 2000s can all be air-to-air refuelled and, say officials, it's such a ubiquitous capability that most of the world's military aircraft now have it as standard.

 

These frontline fighters are regularly topped up in the air by Ilyushin IL-78MKIs, of which the India Air Force has six.

 

Right now, the Indian Air Force has a number of aircraft acquisition contracts in progress, at various stages of completion. Among the aircraft types involved are C-130J Hercules and C-17 Globemaster III military transport aircraft, Rafale multirole combat aircraft, CH-47 Chinook transport helicopters and AH-64 Apache helicopter gunships.

Air-to-Air Refuelling

 

There are a number of benefits supplied by air-to-air refuelling. Not only can it extend an aircraft's range and allow it to reach targets located further away but it can also let it stay in the same area for longer. In addition, air-to-air-refuelling allows an aircraft to take off with a reduced fuel load but a greater weapons loads.

 

"This in-flight refuelling capability literally has far-reaching implications, enabling modern aircraft to cover long distances 360 degrees", Air Marshal Ashok Goel explained to India Strategic.

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