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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 07:00
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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 21:59
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11 mars 2011 5 11 /03 /mars /2011 08:00
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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 07:00
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8 mars 2011 2 08 /03 /mars /2011 00:41
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6 mars 2011 7 06 /03 /mars /2011 19:30
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4 mars 2011 5 04 /03 /mars /2011 23:30
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4 mars 2011 5 04 /03 /mars /2011 23:30

EADS NA logo


March 4, 2011by Aubrey Cohen - blog.seattlepi.com/aerospace

 

EADS North America will not protest the U.S. Air Force’s award of its aerial refueling tanker contract to rival Boeing, company executives said Friday.

 

“After meeting with the Air Force and the Department of Defense and evaluating the information they provided to us … EADS North America has decided not to protest the KC-X tanker award,” EADS North America Chairman Ralph Crosby Jr. said Friday. “The outcome was decided by price, and Boeing’s offer was at a lower price than ours.”

 

He also suggested it might be hard for Boeing to deliver tankers on the Air Force’s timetable and make a profit on the contract.

 

“We believe there’s no basis for protest,” he said. “This outcome was ordained by a very, very, very aggressive price by our competition.”

 

While the Air Force didn’t answer all of EADS’ questions about Boeing’s bid, it did provide “adequate data” to understand the outcome, Crosby said. He said the decision “Went to the top of the (EADS) corporation,” rather than just being made at EADS North America.

 

EADS North America Chief Executive Officer Sean O’Keefe said there’s no indication that the company’s congressional allies will attempt to block the contract, although they feel “now is an opportunity to exert a level of oversight that this program deserves.”

 

EADS’ congressional supporters in Alabama, where the company would have assembled its tankers, promised to do just that.

 

“I will continue to scrutinize the results to ensure the contract award was fair and justified,” U.S. Sen. Jeff Sessions, R-Ala., a senior member of the Senate Armed Services Committee, said in a statement. “It is clear that this fierce competition drove down the cost of the aircraft. Now, the winner must deliver on their promises.”

 

U.S. Rep. Jo Bonner, R-Alabama, said: “I believe Boeing simply bought the contract with a low-ball bid and I sincerely hope our military and taxpayers are not the ultimate losers if Boeing fails to deliver. … I will do all that I can to ensure that they abide by the terms of their contract to produce 18 tankers on time and on budget by 2017.”

 

Responding to EADS’ announcement Friday, Boeing spokesman Bill Barskdale said: “We are proud to have been selected to produce the most advanced, capable, and efficient next generation aerial refueling tanker for the Air Force at the best value for the taxpayers. We understand the importance of this effort to our customer and the country and stand ready, along with our nationwide team of suppliers, to go to work on the new KC-46A program.”

 

The Air Force issued a statement saying: “As we previously stated, this source selection involved two world-class companies, with long-standing relationships with the Department, that we expect will continue. The Air Force looks forward to the long awaited recapitalization of its air refueling fleet.”

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4 mars 2011 5 04 /03 /mars /2011 23:30
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4 mars 2011 5 04 /03 /mars /2011 18:30
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3 mars 2011 4 03 /03 /mars /2011 23:00

http://s2.lemde.fr/image/2010/03/09/540x270/1316445_3_0a84_un-avion-ravitailleur-en-action.jpg

 

LEMONDE.FR avec AFP 03.03.11

 

Selon une source proche du dossier, le groupe européen EADS ne devrait pas faire appel de la décision du Pentagone d'attribuer à son rival américain Boeing le contrat géant pour renouveler la flotte d'avions ravitailleurs de l'armée de l'air américaine. Cette décision devrait être officialisée vendredi 4 mars.

 

En abandonnant l'ultime recours, le groupe européen mettrait fin à une bataille qui aura duré près de dix ans pour l'attribution de ce contrat évalué à environ 35 milliards de dollars. Le Pentagone avait annoncé sa décision le 24 février et EADS avait techniquement jusqu'à dix jours après l'attribution du contrat pour annoncer son intention de faire appel ou non.

 

L'histoire de cet appel d'offres est émaillée de plusieurs coups de théâtre, notamment d'un scandale d'espionnage. Le contrat a été annulé à deux reprises, après avoir été attribué une première fois à Boeing en 2003, puis une deuxième, en 2008, à Airbus et Northrop Grumman.

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3 mars 2011 4 03 /03 /mars /2011 07:00
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2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 20:00
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2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 20:00
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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 14:00
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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 14:00

http://static.lexpansion.com/medias/83/42978_le-projet-d-avion-ravitailleur-de-boeing-qui-a-remporte-l-appel-d-offres-du-pentagone.jpg

 

25/02/2011 par Catherine Mollicone / L’Expansion.com

 

Après des années de scandales et de polémiques, le Pentagone s'est décidé. C'est Boeing, et pas EADS, qui fabriquera les avions ravitailleurs américains. Le feuilleton en quelques dates.

 

Septembre 2001 : Boeing pousse au renouvellement des avions ravitailleurs

Au lendemain des attentats du 11 septembre 2001, le numéro un mondial de l'aéronautique se rend très vite compte que les perspectives du transport aérien civil s'assombrissent, et pour longtemps. Boeing devra chercher le salut du côté du secteur militaire. Aussitôt, le groupe fait appel à tous ses groupes de pression auprès du Congrès, des médias, du département de la Défense, et de la Maison Blanche pour les convaincre de la nécessité de renouveler la flotte d'avions de ravitaillement militaire.

 

Janvier 2002 - février 2002 : Premiers bâtons dans les roues d'EADS

Le Pentagone décide d'acquérir en leasing jusqu'à 100 avions ravitailleurs, soit un contrat de près de 28 milliards de dollars. EADS est autorisé à concourir, mais les dés sont pipés. Boeing occupe le terrrain depuis des mois, alors que le consortium européen n'a que quinze jours pour présenter une offre concurrente, et on « omet » de lui indiquer la taille de l'appareil requis.

 

Mai 2002 - décembre 2003 : Boeing accusé de corruption, le contrat est annulé

L'européen est écarté du marché, mais, souhaitant ménager son avenir sur le marché américain, il ne dénonce pas les irrégularités de l'appel d'offre. C'est John McCain, sénateur républicain de l'Arizona et pourfendeur du gaspillage de l'argent public, qui apporte la preuve que Boeing a été favorisé. Le contrat est suspendu et le scandale fait rage. S'ensuivent les démissions du PDG de l'avionneur, Phil Condit et de son directeur financier. Une ancienne employée du Pentagone sera reconnue coupable de "collusion criminelle" contre le gouvernement américain pour avoir fourni à Boeing des informations confidentielles en échange d'une promesse d'embauche pour elle-même et deux membres de sa famille.Au mois de mai 2004, le Pentagone annule le contrat estimant qu'il n'y a "pas de raison matérielle ou financière impérative" pour remplacer ses avions supertankers.

 

Septembre 2005 : EADS s'allie avec Northrop Grumman

Près d'un an et demi après l'annulation du contrat, un nouvel appel d'offre est lancé. Cette fois-ci, pour y concourir, EADS s'associe avec l'américain Northrop Grumman. Pour pénétrer le marché américain, le groupe européen envisage alors d'implanter à Mobile, en Alabama un site destiné à l'assemblage du futur avion ravitailleur; à terme, des A330 commerciaux y seraient aussi montés. Le tandem américano-européen ne vise pas la totalité du contrat, mais il compte bien proposer une alternative sérieuse au B767 avec une version modifiée de son A330, plus grand mais aussi plus cher.

 

Février 2008 : Divine surprise pour EADS

Le marché américain semble enfin s'ouvrir à EADS. Avec son allié américain, il remporte la première tranche du contrat de 179 appareils pour un montant estimé à 35 milliards de dollars. Cette commande pourrait, à terme s'élever à quelque 100 milliards pour 400 à 500 avions. Le succès d'EADS surprend la plupart des observateurs, des deux côtés de l'Atlantique.

 

Juillet 2008 - septembre 2008 : Annulation du contrat EADS

Boeing conteste les conditions d'attribution du contrat, la Cour des comptes américaine lui donne raison. Une enquête révèle que plusieurs irrégularités ont entâché le processus de sélection. L'armée américaine suit les recommandations des magistrats et, une fois encore, remet le contrat en jeu. Mais, en pleine campagne présidentielle, l'administration Bush refuse de trancher et annule l'appel d'offre.

 

Septembre 2009 - décembre 2009 : Un appel d'offres à nouveau contesté

Il y a maintenant urgence car la flotte des supertankers américains est de plus en plus vieillissante. Après l'élection de Barack Obama, la compétition repart. Le nouveau Président assure que tout sera mis en oeuvre pour que les candidats au marché bénéficient des mêmes conditions. Mais, quelques jours après l'annonce du troisième appel d'offres de Washington, EADS et son partenaire accusent le Pentagone de favoriser Boeing en lui divulguant la proposition tarifaire de la partie adverse. Alors que les termes définitifs de l'appel à candidatures ne sont pas encore arrêtés, le consortium américano-européen menace de se retirer de la compétition. Il estime que le cahier des charges privilégie trop le prix unitaire et s'estime lésé.

 

Février 2010 - mars 2010 : EADS et Northrop rendent les armes

Quelques jours après la publication des termes définitifs de l'appel d'offres, Northrop jette l'éponge. L'avionneur conteste la méthodologie du Pentagone qui privilégie un plus petit appareil, tel que celui de Boeing. Et, ce lundi 8 mars, à six mois de la décision finale, EADS et son partenaire annoncent qu'ils se retirent de la compétition.

 

1er avril 2010 - Le Pentagone se montre conciliant

Comme le prédisait la rumeur dès le 12 mars 2010, au moment où Nicolas Sarkozy suspectait les Etats-Unis de protectionnisme, le département américain de la Défense reporte la date limite de l'appel d'offre. L'avionneur européen pourra ainsi y concourir. EADS, qui demandait 90 jours de report, et n'en obtient que 60, déclare qu'il ne participera à la compétition que s'il a de sérieuses chances de l'emporter face à Boeing.

 

21 avril 2010 - EADS soumettra une offre aux Etats-Unis

Boeing ne sera pas seul à concourir. L'avionneur européen revient dans la course et déposera une offre le 9 juillet 2010 auprès du département américain de la Défense. Après la défection de Northrop Grumman, EADS recherche une autre partenaire américain qui aura en charge "une part significative des équipements". Le Pentagone rendra son verdict à l'automne.

 

8 juillet 2010 - Airbus en avance de 24 heures sur Boeing

En mettant en avant les 48 000 emplois générés aux États-Unis par son projet, l'avionneur européen espère remporter la mise face à Boeing. Depuis la défection de Northrop Grumman en mars 2010, Airbus n'a pas trouvé d'allié industriel pour le remplacer. Mais il s'associe avec plus de 200 partenaires américains.

 

9 juillet 2010 - Boeing provoque Airbus

Face aux 48 000 emplois promis par l'avionneur européen, l'américain déguaine une offre à 50 000 emplois. Et, alors que l'européen affiche un partenariat avec 200 industriels américains, Boeing s'est associé, lui, à 800 fournisseurs. Chacun des deux candidats a déposé un dossier d'environ 9000 pages. Le Pentagone promet de rendre son verdict en octobre.

 

23 décembre 2010 - Le Pentagone retarde sa réponse

L'État-major américain se donne juqu'au mois de février pour trancher entre Boeing et Airbus sur le contrat des 179 avions ravitailleurs. D'ici là, les deux candidats peuvent encore peaufiner leur offre pour répondre au mieux aux 273 spécifications du cahier des charges du Pentagone.

 

16 février 2011 - EADS baisse le prix de son offre

Quelques jours après le dépôt des deux offres définitives, EADS annonce avoir fait un effort sur le prix de sa proposition. Sans préciser le montant du rabais consenti par l'avionneur européen, Ralph Crosby, le président pour l'Amérique du Nord d'EADS, déclare qu'il a soumis "une proposition à prix très compétitif ". Le Pentagone rendra sa décision dans les prochains jours.

 

24 février 2011 : Boeing l'emporte

Boeing remporte le méga-contrat, évalué à plus de 30 milliards de dollars, écrasant son concurrent Airbus. Ce dernier pourrait faire appel.

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26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 18:00

http://cdnpullz.defencetalk.com/wp-content/themes/dtstyle/scripts/timthumb.php?src=http://www.defencetalk.com/wp-content/uploads/2011/02/blackhawk-helicopter-sunset.jpg&w=375&h=245&zc=1

Source Defense Talk


By Northrop Grumman on Friday, February 25th, 2011


Northrop Grumman and SELEX Galileo have announced the successful integration of a continuous laser autoboresight module into an advanced jam head to enhance the signal jamming capabilities of the company's U.S. Army Common Infrared Countermeasures (CIRCM) self-protection system offering. The CIRCM jam head is lightweight, small, inexpensive and highly reliable, designed specifically for rotary-wing applications. The laser autoboresight module ensures that laser energy is aligned with the jam head track point to maintain jamming energy on the threat missile.

 

Read more: http://www.defencetalk.com/enhancing-the-protection-of-rotary-aircraft-against-missiles-32374/#ixzz1F59g0900

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26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 15:00
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26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 12:00
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26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 12:00
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25 février 2011 5 25 /02 /février /2011 08:27

USAF logo

 

25 février 2011 Romandie News AFP

 

WASHINGTON - Le Pentagone a assuré jeudi avoir mené un processus "équitable" en sélectionnant Boeing pour le méga-contrat des avions ravitailleurs de l'Armée de l'air américaine, pour lequel il était en concurrence avec l'européen EADS. "Aujourd'hui, sur la base de critères bien évalués (...) nous annonçons que l'Armée de l'air a choisi la proposition avancée par l'entreprise Boeing", a annoncé devant la presse le secrétaire à l'Armée de l'air, Michael Donley. M. Donley a assuré que le contrat, qu'il a évalué à "plus de 30 milliards de dollars", avait été attribué au terme d'un processus de sélection "équitable, ouvert et transparent". Le contrat, qui a donné lieu pendant des années à une série de coups de théâtre, porte au total sur 179 avions ravitailleurs. EADS, qui était donné comme favori par des experts du secteur, s'est dit "déçu et inquiet" du choix des Etats-Unis, tandis que Boeing a assuré qu'il était "prêt" à construire la nouvelle flotte d'avions ravitailleurs.

 

En référence aux rebondissements juridiques du contrat, qui avait été attribué une première fois à Boeing en 2003, puis une deuxième en 2008 à Airbus et son allié américain Northrop Grumman avant d'être retoqué par la Cour des Comptes américaine, M. Donley a espéré que "les deux parties respecteront cette décision et permettront à cette importante acquisition d'avancer sans obstacle". "Boeing l'emporte haut la main", a noté le secrétaire adjoint à la Défense, William Lynn, à qui l'on demandait s'il avait été difficile de trancher. "C'est évidemment une tournure d'événements décevante et nous avons hâte d'en discuter avec l'armée de l'Air pour voir comment elle est parvenue à cette conclusion", a commenté Ralph Crosby, président d'EADS pour l'Amérique du Nord, sans dire si sa société envisageait de faire appel de cette décision. La bataille entre les deux géants aéronautiques s'est doublée d'une bagarre politique à Washington.

 

Patty Murray, sénatrice de l'Etat de Washington (nord-ouest) où Boeing a prévu de construire les ravitailleurs dans son usine d'Everett, a salué "une victoire majeure pour les travailleurs américains, l'industrie aéronautique et spatiale américaine et l'armée américaine". En revanche, les élus de l'Alabama (sud), où aurait été assemblé le ravitailleur d'Airbus, soutenaient l'européen qui avait promis de créer 48.000 emplois aux Etats-Unis. Plus neutre, le sénateur John McCain s'est dit satisfait que le contrat soit enfin attribué et a appelé l'Armée de l'air "à démontrer au cours des semaines qui viennent que la décision d'aujourd'hui a été prise de façon équitable, ouverte et transparente". "Seul un tel processus permettra de faire en sorte que nous ayons le meilleur avion ravitailleur au meilleur prix possible", a plaidé l'ancien candidat républicain à la présidentielle de 2008.

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25 février 2011 5 25 /02 /février /2011 01:08

http://www.kc45now.com/images/library/mrtt_photo_3-lg.jpg

25 février 2011 GUYSEN NEWS

 

Boeing a remporté l'appel d'offres portant sur la livraison d'avions ravitailleurs à l'armée de l'air américaine, a annoncé jeudi soir le Pentagone. La décision sur l'attribution du contrat marque un tournant dans ce dossier. Mais les analystes estiment qu'il n'y a aucune garantie que le conflit entre Boeing et Airbus, filiale d'EADS , s'arrête là.

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