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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 17:50
Le service du renseignement militaire inaugure son exposition

 

9 nov. 2015 MIL.be

 

A l’occasion du centième anniversaire du Renseignement et de la Sûreté Militaire, le Service Général du Renseignement et de la Sécurité (SGRS) organise une exposition du 6 novembre au 6 décembre  2015 à l’Institut National des Vétérans et des Invalides de guerre à Bruxelles.

Cette exposition met en lumière le passé, le présent et le futur du Service. Le visiteur fait la connaissance de thèmes comme le rôle des femmes dans le renseignement, l’affaire de l’espion Guy Binet et le réseau stay behind SDRA 8.

L’exposition est ouverte au public dès le 7 novembre jusqu’au  6 décembre 2015.  L ‘entrée est gratuite

 

 

Le service du renseignement militaire inaugure son exposition

Le Service Général du Renseignement et de la Sécurité (SGRS) existe depuis un siècle. Le 6 novembre, et afin de célébrer cet anniversaire, ses membres inauguraient l’exposition CLASSIFIED, the history of the Belgian military intelligence and security service. Le lieutenant général Eddy Testelmans, chef du SGRS, présentait également le livre du même nom.

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18 juin 2015 4 18 /06 /juin /2015 11:50
Le renseignement belge cherche une taupe très bien infiltrée

 

15/06/15 -7sur7.be (belga)

 

Le Service général du renseignement et de la sécurité (SGRS) est à la recherche d'une taupe qui a fait fuiter des documents sur la réforme de l'armée. Les investigations du SGRS l'ont mené jusqu'au cabinet du ministre de la Défense Steven Vandeput. Ce dernier s'est opposé à la saisie d'un ordinateur portable, a indiqué lundi la VRT, une information confirmée à Belga par le cabinet du ministre.

 

L'origine de l'affaire remonte au début avril après une nouvelle fuite d'informations reprises dans un document sur les plans d'avenir de la Défense que le ministre Steven Vandeput destine à l'armée. Courroucé par cette nouvelle fuite, le ministre a saisi la hiérarchie de l'armée d'une enquête.

 

Cette enquête a mené au cabinet du ministre, même si un porte-parole souligne qu'il ne faut pas en tirer de conclusions. "Le SGRS examine toutes les pistes et celles-ci mènent également au cabinet", explique-t-il. "Il n'est absolument pas question d'un problème d'intégrité ou de confiance entre le ministre et le collaborateur concerné", précise-t-il.

 

Le ministre a refusé que l'ordinateur portable d'un de ses collaborateurs puisse être emmené. "Ils sont venus s'entretenir avec cette personne mais le ministre a répondu négativement à la demande. Il s'agit d'une personne en laquelle le ministre place toute sa confiance", selon le porte-parole.

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4 mars 2015 3 04 /03 /mars /2015 17:50
L'armée belge va recruter 25 spécialistes en cybersécurité

 

03/03/15 Le Vif (Belga)

 

Le service de renseignement de l'armée, le SGRS, a obtenu l'autorisation de recruter 25 spécialistes en cybersécurité réclamés depuis des mois par les responsables de ce service, a-t-on appris mardi de bonne source.

 

Le ministre de la Défense, également chargé de la Fonction publique, Steven Vandeput, a obtenu de son collègue du Budget, Hervé Jamar, l'autorisation de recruter ces 25 personnes au profit du Service général du renseignement et de la sécurité (SGRS), en dépit du blocage des engagements dans la fonction publique fédérale décidé à la fin de l'an dernier.

 

La Défense va donc pouvoir engager des experts en matière de cybersécurité pour poursuivre le développement de son "Cyber Security Operations Center", a-t-on indiqué dans l'entourage de M. Vandeput (N-VA). Ces spécialistes seront affectés à des tâches d'analyse de la menace et des risques cybernétiques, de gestion du système de surveillance des réseaux et de détection des intrusions (IDS), à la recherche de logiciels malveillants (malwares), complexes et ciblés, ainsi qu'au soutien à la protection des réseaux informatiques de la Défense, qui véhiculent de nombreuses informations "classifiées" (secrètes) de plusieurs degrés.

 

Le patron du service de renseignement militaire, le lieutenant-général Eddy Testelmans, avait récemment réclamé des moyens supplémentaires pour le SGRS, en soulignant, lors d'une audition en commission de la défense de la Chambre, que son service allait fonctionner en 2015 en "mode survie", tout en restant capable de remplir la plupart des tâches qui lui sont confiées.

 

"Cela (ces économies imposées par le gouvernement) ne peut durer des années", sans affecter les capacités du SGRS, avait-il prévenu. Il avait souligné qu'il ne pourrait en 2015 procéder au moindre investissement pour moderniser le matériel de son service ni recruter aucun des 24 spécialistes prévus en matière de cyber-sécurité.

 

"Cela va faire mal pour la cybersécurité", avait-il dit en rappelant le projet de créer un Centre belge pour la Cybersécurité (CCSB), réaffirmé dans l'accord gouvernemental de l'équipe Michel 1er. "Nous sommes déjà trop peu pour répondre aux missions" qui sont confiées par le ministre de la Défense et le chef de la Défense (CHOD), avait dit le général, en citant des "manques" dans les domaines ICT (technologies de la communication) et de la programmation informatique.

 

De plus, 20% des spécialistes du SGRS (alias département d'état-major renseignement et sécurité, ou Acos IS) partiront à la retraite d'ici cinq ans. Le général Testelmans avait exprimé ses besoins totaux en personnel à une centaine de personnes "pour répondre aux nouveaux défis" et "de le faire de façon plus moderne" en plaidant pour le recrutement de "geeks" de l'informatique, notamment pour scruter les réseaux sociaux et les sources ouvertes de renseignement.

 

Son collègue de la Sûreté de l'État, Jaak Raes, a dressé un tableau assez similaire de l'état de son service, lui aussi touché par le blocage des recrutements décidé le 1er septembre dernier par le précédent gouvernement. L'an dernier, le SGRS avait imaginé de mettre sur pied un "jeu" baptisé "Capture the flag" pour recruter - en interne à la Défense - dix spécialistes en matière de cyberdéfense.

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15 avril 2014 2 15 /04 /avril /2014 12:50
Les services de renseignements belges vulnérables aux hackers

 

 

15/04/14 – 7sur7.be (Belga)

 

Le système informatique externe du Comité R, l'organe de contrôle des services de renseignements et de sécurité belges, a été affecté par la faille de sécurité "Heart­ bleed", mais pas son système interne sécurisé, où circulent tous les documents confidentiels, indiquent mardi La Libre, La DH/Les Sports et L'Echo.

 

La faille a été découverte samedi grâce à la dili­gence d'un expert en informa­tique belge, Frédéric Jacobs, qui a alerté les services informatiques du Comité R. Le sys­tème a été neutralisé dimanche. Les documents confidentiels et toute information sensible vont sur le serveur sécurisé qui n'a pas été affecté, a précisé Guy Rapaille, le président du Comité R.

 

L'entièreté du trafic transitant par le serveur externe du Co­mité R était en revanche vulnérable, y com­pris les communications de type emails ayant transité par le serveur par le passé, selon La Libre. En effet, plusieurs experts en sécurité ont récemment confirmé que la faille "Heartbleed" pouvait être exploitée afin d'obtenir les clés de décryptage de sites web et finalement déchiffrer d'im­menses quantités d'informa­tion stockées par le passé.

 

Le Comité R devait analyser lundi les conséquences de cette vulnérabilité avant de prendre les mesures de renforcement adéquates.

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14 avril 2014 1 14 /04 /avril /2014 10:50
La Belgique peut se protéger en cas de cyberattaque

 

12/04/14 7sur7.be (Belga)

 

La Belgique serait capable de se protéger en cas de cyberattaque, mais pas de contrattaquer seule, selon le chef du renseignement militaire, Eddy Testelmans, interrogé par Le Soir samedi.

 

En cas de cyberattaques contre les systèmes informatiques ou de communications de la Défense, le Service général du renseignement et de la sécurité (SGRS) a pour mission de neutraliser l'attaque, d'identifier l'attaquant et, éventuellement, de riposter. 80% de l'information dont le SGRS a besoin se trouve dans l'espace cybernétique.

 

Le volet "riposte" n'est pas une priorité des services belges, qui préfèrent imaginer une riposte encadrée, probablement par l'Otan. "De toute façon, ce serait une décision politique car les conséquences d'une contre-attaque seraient énormes", souligne le lieutenant-général Testelmans.

 

Le réseau ouvert du SGRS a déjà été victime d'un virus et qu'il fait encore l'objet de "hits", mais que la protection fonctionne, selon le lieutenant-général.

 

Eddy Testelmans plaide pour que le cadre organique soit complété. "Nous avons besoin de toutes les capacités dont nous disposons maintenant, mais j'espère que nous ne serons pas obligés de faire des choix pour raison budgétaire."

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3 avril 2014 4 03 /04 /avril /2014 11:50
L'armée belge n'a jamais mené de cyberriposte

 

2/04/14 – 7sur7.be (Belga)

 

Le Service général du renseignement et de la sécurité (SGRS) de l'armée belge dispose d'une capacité offensive de riposte en cas de cyberattaque mais n'en a jamais fait usage, a affirmé mercredi le ministre de la Défense, Pieter De Crem.

 

"Vous savez que le SGRS n'a pas encore fait usage de cette possibilité légale", a-t-il indiqué en commission de la défense de la Chambre.

 

En vertu d'une loi du 30 novembre 1998, complétée par une autre datant du 4 février 2010, le SGRS a le droit "dans le cadre de cyberattaques contre les systèmes informatiques et connectiques militaires ou contre les systèmes que contrôle le ministre de la Défense territoriale, de neutraliser ces attaques et d'en identifier les auteurs, sans préjudice du droit de réagir immédiatement par une cyber-attaque propre conformément aux dispositions du droit des conflits armés".

 

Le service de renseignement de l'armée est désormais doté d'une cellule de "gestion de la cyberdéfense".

 

Le SGRS (alias département d'état-major renseignement et sécurité, ou Acos IS) a aussi entamé le recrutement de 10 spécialistes, a indiqué mercredi M. De Crem (CD&V), en réponse à une question de la députée Karolien Grosemans (N-VA).

 

Ces 10 personnes s'inscrivent dans le cadre de l'opérationnalisation de la stratégie de la Défense en matière de "Cyber Defence", et ne feront pas partie du centre belge de cybersécurité (CCB), dont le Premier ministre Elio Di Rupo a annoncé la création en février dernier.

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 12:50
L'armée [belge] recherche dix spécialistes en cyberdéfense

 

5/02/14 7sur7.be (Belga)

 

Le Service général du renseignement et de la sécurité (SGRS) de l'armée a imaginé de mettre sur pied un "jeu" pour recruter - en interne à la Défense - les dix spécialistes en matière de cyberdéfense dont le Premier ministre Elio Di Rupo a annoncé mardi l'engagement, a indiqué mercredi le ministère sur son site internet.

 

La Défense souhaite renforcer sa capacité dans ce domaine en étoffant ses effectifs d'une dizaine de personnes. Le SGRS (alias département d'état-major renseignement et sécurité, ou Acos IS) a élaboré un test pour "identifier" et "attirer" les candidats potentiels, civils ou militaires déjà en service.

 

Ce test est baptisé "Capture the flag". Pour y participer, les membres du personnel de la Défense doivent s'inscrire sur un site. Après s'être connectés, ils reçoivent des questions présentées en huit catégories concernant la sécurité de réseaux informatiques (ou Cyber Defence).

 

"Nous sommes certains que des dizaines de personnes vont sortir du lot", explique le chef "Cyber Defence" du SGRS, le lieutenant-colonel Miguel De Bruycker, cité sur le site web du département. "Nous connaissons les informaticiens de la Défense. Ils occupent généralement déjà des fonctions clés. Grâce à cet exercice, nous recherchons d'éventuels nouveaux candidats", ajoute-t-il.

 

"Capture the flag" n'est pas un test de connaissance, mais mesure surtout le "potentiel" du participant matière de défense cybernétique.  "Capture the flag" prendra fin le 3 avril prochain à 12h00. Les candidatures internes seront clôturées deux semaines plus tard.

 

M. Di Rupo a annoncé mardi à la Chambre la mise sur pied d'un centre belge de cybersécurité (CCB), qui dépendra directement de ses services et qui bénéficiera d'une partie des dix millions d'euros libérés par le gouvernement. Cinquante personnes seront bientôt engagées dans les différents services chargés de cette politique (police, Sûreté de l'Etat, SGRS, etc.).

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