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2 février 2016 2 02 /02 /février /2016 17:50
« Seul, personne ne peut rien »

 

2 févr. 2016 par MIL.be

 

Du 25 janvier au 5 février, l’Air Manoeuvre Brigade néerlandaise se livre à un exercice de grande ampleur dans les provinces du Limbourg, de Liège et d’Anvers. Elle coopère avec quelque 80 para-commandos belges du 2e Bataillon de Commandos de Flawinne.

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25 janvier 2016 1 25 /01 /janvier /2016 17:50
Crédits BATS

Crédits BATS

 

22 janvier 2016 RTL.be (Belga)

 

Des militaires détachés auprès d'ambassades belges à l'étranger jouent de plus en plus souvent le rôle d'intermédiaires entre l'industrie de l'armement et le pays où ils sont stationnés, affirme vendredi De Morgen, qui évoque dix-sept interventions de ce type l'an dernier.

 

La Belgique détache une vingtaine de membres de la Défense dans ses ambassades à travers le monde, afin de conseiller le diplomate en poste sur le volet militaire ou faciliter les rapatriements en cas de situation tendue. Mais ces attachés jouent aussi un rôle moins connu, celui d'intermédiaire entre l'industrie belge de l'armement et le pays où ils sont stationnés. Or depuis trois ans, cette fonction a pris de l'ampleur: le nombre de contacts de cette nature est passé de deux en 2012 à quatre en 2013, douze en 2014 et dix-sept en 2015. De Morgen recense dans ces contacts l'Arabie saoudite, le Bahreïn, les Émirats arabes unis, le sultanat d'Oman, le Koweït et le Qatar. Plus des trois quarts de ces contacts ont été noués au bénéfice de l'industrie wallonne, le reste pour l'industrie flamande, reflétant ainsi la répartition historique de ce type d'industrie. La FN Herstal apparaît en haut de la liste, de même que la société liégeoise BATS (Belgian Advanced Technology Systems), spécialisée en sécurité intérieure

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29 décembre 2015 2 29 /12 /décembre /2015 12:50
Les quatre dernières Alouette III des forces aériennes hollandaises étaient affectées à la famille royale photo Forces aériennes hollandaises

Les quatre dernières Alouette III des forces aériennes hollandaises étaient affectées à la famille royale photo Forces aériennes hollandaises

 

28 décembre 2015 Aerobuzz.fr

 

Les quatre dernières SA316 Alouette III des forces aériennes hollandaises seront définitivement retirées du service le 1er janvier 2016. Un chapitre de plus de 50 ans se boucle. La Hollande a, en effet, reçu le premier de ses 77 exemplaires d’Alouette III en juillet 1964 en remplacement des Piper Super Club, DHC-2 Beaver, Hiller H-23 Raven et Alouette II. A partir des années 90, les Boeing CH-47D Chinook et AS532 Cougar d’Eurocopter commenceront en remplir les missions dévolues aux Alouette III. Les Alouette III des forces aériennes hollandaises ont été engagées dans la première guerre d’Irak (1991), elles sont intervenues sous les couleurs des Nations Unies au Cambodge et en Yougoslavie. L’image de cet hélicoptère restera aussi attachée à celle de la patrouille « The Grasshoppers » composée de 4 Alouette III qui s’est produite en meetings aériens et salons aéronautiques entre 1973 et 1995.

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29 décembre 2015 2 29 /12 /décembre /2015 11:50
Capture d'écran de Facebook

Capture d'écran de Facebook

 

28 décembre 2015 RTL.be

 

Après la police, c’est au tour des pompiers d’afficher leur soutien au militaire qui a été suspendu suite à une photo publiée sur les réseaux sociaux. Ce soutien massif de la population et de différents corps pourrait influencer la Défense dans sa prise de décision quant au sort du militaire.

 

Après la police dimanche, ce sont les pompiers qui soutiennent ce lundi le militaire qui a été suspendu pour avoir fait ses courses de Noël pendant son service. Des hommes du feu ont posé, à leur tour, une photo d'eux avec un sac de shopping à la main.

 

"Aux fêtes de Nouvel An, les militaires pourraient être attablés en terrasse en train de boire des bières"

L'engouement autour de ce militaire ne faiblit donc pas. Du côté de la CGSP, on indique que le fait de faire des achats pendant son service est une faute et qu’il était donc difficile de ne pas sanctionner. "L’armée est assez mal prise dans le sens où, si la Défense ne réagit pas, ça veut dire que peut-être qu’aux fêtes de Nouvel An, les militaires pourraient être attablés en terrasse en train de boire des bières avec leurs armes de services en opération", explique Patrick Dessy, secrétaire permanent du syndicat socialiste, au micro d’Alfonza Salamone pour Bel RTL.

 

"Le soutien à ce militaire est assez important et fait qu’aujourd’hui, l’armée doit revoir sa position"

Il fallait donc sanctionner, les syndicats sont d'accord sur le sujet. Mais ce qui n'avait pas été prévu, c'est le soutien massif de la population et d'autres corps comme ceux de la police et des pompiers. Mais alors, que peut faire l'armée ? "Le soutien à ce militaire est assez important et fait qu’aujourd’hui, l’armée doit revoir sa position", répond M. Dessy.

La balle est donc maintenant dans le camp du ministre qui doit décider du maintien ou pas de la sanction, mais ce ne sera pas avant 2016 car l'armée est congé jusqu'au Nouvel An.

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23 décembre 2015 3 23 /12 /décembre /2015 13:50
Rafale et F-16 photo Baudouin Frippiat - MIL-be

Rafale et F-16 photo Baudouin Frippiat - MIL-be

 

22/12/15 Le Vif (Belga)

 

L'armée belge verra ses effectifs fondre à 25.000 hommes d'ici 2030, en vertu du "plan stratégique" pour la Défense approuvé mardi par le comité ministériel restreint, alors que 9,2 milliards d'euros seront consacrés à des investissements majeurs, comme 34 nouveaux avions de combat.

 

L'armée belge verra ses effectifs fondre à 25.000 hommes d'ici 2030, en vertu du "plan stratégique" pour la Défense approuvé mardi par le comité ministériel restreint, alors que 9,2 milliards d'euros seront consacrés à des investissements majeurs, comme 34 nouveaux avions de combat, deux frégates, six chasseurs de mines et six drones, a annoncé le ministre de la Défense, Steven Vandeput, évoquant la fin des "dividendes de la paix" engrangés après la fin de la Guerre froide.

 

"La Défense évoluera vers des effectifs en personnel de 25.000 équivalents temps plein, avec une moyenne d'âge de 34 ans (contre 40 actuellement) en engageant une modernisation de la politique du personnel, du statut, de la formation et de la gestion de la connaissance au sein de l'organisation", a-t-il indiqué dans un communiqué.

 

Le département de la Défense occupe encore en théorie quelque 32.000 militaires et civils, avec un contingent fixé pour 2016 à 30.820 militaires d'active et élèves.

 

Les 9,2 milliards d'euros d'investissements serviront à l'achat de 34 chasseurs-bombardiers - pour succéder aux 56 F-16 vieillissants actuellement en service -, de deux frégates (destinées à remplacer les bâtiments rachetés d'occasion aux Pays-Bas) au début des années 2000, six chasseurs de mines - un nombre identique à la flotte actuelle - et six drones, dont deux en 2021 et quatre en 2030. Aucun choix de matériel n'a encore été fait.

 

Ces investissements à réaliser d'ici 2030 concernent les dimensions terrestre, aérienne, maritime et Cyber/Intelligence de la Défense, ajoute le communiqué.

 

"La composante Terre sera pleinement équipée pour pouvoir assurer ses tâches", a précisé M. Vandeput (N-VA).

 

Selon lui, l'objectif est de parvenir à une répartition saine entre les dépenses de personnel (50%), de fonctionnement (25%) et les investissements (25%).

 

La Défense va aussi étudier la participation à un programme d'avions ravitailleurs - une des grandes lacunes des armées européennes - et examiner des options pour la flotte d'"avions blancs" (pour le transport de passagers), en raison du retrait prévu du service du dernier Mystère 20 fin 2016 et de l'unique Falcon 900 en 2018, tout comme pour la mission de recherche et de sauvetage ("Search and Rescue", SAR) actuellement assurée par les vieux hélicoptères Sea King et les nouveaux NH90 au départ de la base aérienne de Coxyde.

 

Evoquant une augmentation d'ici 2030 des dépenses de défense à 1,3% Produit intérieur brut (PIB) - elles sont tombées à un minimum historique de moins d'un pour cent, là où l'Otan réclame 2% de ses Etats membres -, M. Vandeput n'a pas hésité à évoquer un "nouvel avenir pour la Défense" et un "tournant historique" après les décennies de réduction des budgets militaires, notamment grâce aux dividendes de la paix générés par la fin de la Guerre froide.

 

Selon l'analyse faite par le gouvernement, le monde en effet fortement changé au cours des dernières années, avec une Europe entourée d'une "périphérie instable" à l'est, avec une Russie plus agressive, et au sud, théâtre de crises multiples.

 

"L'Europe ne peut nier ces problèmes, d'une perspective humaine, économique et de sécurité et doit être en mesure de les traiter de manière autonome par rapport aux autres acteurs mondiaux, à la fois politiquement, économiquement et militairement", souligne le communiqué de la Défense, qui réaffirme que la Belgique souhaite se positionner comme un partenaire "solidaire et fiable".

 

Selon M. Vandeput, il reste, après cet accord obtenu entre les principaux ministres sur les contours de l'armée belge à l'horizon 2030, "beaucoup de pain sur la planche".

 

Il a expliqué qu'il allait, en coopération avec l'état-major de la Défense, établir dans les prochains mois un "plan directeur" de mesures à exécuter au cours de l'actuelle législature, qui doit se terminer en 2019.

 

"Nous allons entamer plusieurs procédures d'appel d'offres afin de concrétiser dans des contrats les décisions du gouvernement", a conclu le ministre.

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21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 17:45
photo Stijn Verboven MIL.be

photo Stijn Verboven MIL.be


21.12.2015 Texte et photos : Stijn Verboven - MIL.be

L’exercice Tropical Storm qui se déroulait au cœur de l’Afrique a pris fin. Les derniers militaires belges se sont retirés de la capitale gabonaise, Libreville, le 13 décembre pour rejoindre la Belgique. Le reportage sur l’exercice peut être visionné ici.

 

Après l’exercice brigade du 9 décembre à Kindu, les para-commandos du 3 Bataillon de Parachutistes ont rejoint le reste du détachement belge au Gabon. Deux jours plus tard, le 11 décembre, ils ont donné une dernière démonstration sur la côte de Libreville.

Durant celle-ci, les para-commandos belges ont attaqué Barracuda Beach avec leurs collègues gabonais. La plage avait été prise par des rebelles fictifs. Les militaires ont accosté à l’aide de bateaux à moteur Zodiac avant de défaire rapidement l’opposition. Un homme y a été fictivement blessé et a été évacué par hélicoptère. Un beau spectacle offert aux différentes autorités belges, françaises, américaines et gabonaises sur place.

 

photo Stijn Verboven MIL-bephoto Stijn Verboven MIL-be
photo Stijn Verboven MIL-bephoto Stijn Verboven MIL-be

photo Stijn Verboven MIL-be

Pour bon nombre de participants, l’exercice Tropical Storm fut la première rencontre, mais aussi la plus intense, avec le continent africain. Et ce n’est pas anodin. Ils savent désormais à quoi s’attendre si des compatriotes devaient un jour être évacués d’Afrique.

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7 décembre 2015 1 07 /12 /décembre /2015 13:55
photo Marine nationale

photo Marine nationale


07/12/2015 Sources : Ministère de la Défense

 

Le 30 novembre 2015, le contre-amiral René-Jean Crignola, commandant la Task Force 473, s’est rendu à bord de la frégate belge Léopold 1er qui participe à l’escorte du Groupe aéronaval (GAN) constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle.

 

Le GAN a quitté son port de base de Toulon le 18 novembre 2015. Il est déployé en Méditerranée orientale depuis le 23 novembre 2015 et participe ainsi à l’opération Chammal, opération de lutte contre le groupe terroriste Daech en Irak et en Syrie. La frégate belge Léopold Ier participe avec les frégates françaises La Motte-Picquet et Chevalier Paul à l’escorte du porte-avions Charles de Gaulle. Les capacités multi-missions du Léopold Ier contribuent à la protection aérienne et anti-sous-marine du GAN. La frégate belge est parfaitement interopérable avec les autres bâtiments du GAN. Par exemple, l’Alouette III embarquée à bord du Léopold Ier est qualifiée pour assurer la fonction de Pedro - hélicoptère de secours qui est en vol lors des manœuvres aviation pour sauver les pilotes des aéronefs en cas d’éjection au catapultage ou à l’appontage. C’est une première pour le GAN français.

Le 30 novembre 2015, le contre-amiral René-Jean Crignola s’est rendu à bord de la frégate Léopold Ier. Il s’est entretenu des aspects opérationnels de la mission en cours avec le capitaine de frégate breveté d’état-major Luc J.J. De Maesschalck, commandant de la frégate belge.

La coopération militaire bilatérale avec la Belgique se traduit par un dialogue régulier entre états-majors, témoin d’une convergence de vue sur les enjeux sécuritaires en Afrique et au Levant. En opération, les forces françaises et belges sont essentiellement déployées dans le cadre d’engagements multilatéraux au sein de l’Union européenne, de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord, de l’Organisation des Nations Unies, ou au titre de coalitions, comme c’est le cas pour les opérations menées actuellement en Méditerranée orientale. La France et la Belgique se trouvent ici, en première ligne dans la lutte contre Daech.

Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise actuellement 3500 militaires. Aux côtés de la coalition, elle combat le groupe terroriste Daechen Irak et en Syrie. La force Chammal assure la formation des forces irakiennes qui combattent Daech en Irak ; elle frappe l’organisation terroriste avec ses moyens aériens en Irak et en Syrie. La force est composée de douze chasseurs de l’armée de l’Air (six Rafale, trois Mirage 2000D et trois Mirage 2000N), d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2, et depuis le 23 novembre 2015, du groupe aéronaval (GAN) - PA Charles de Gaulle, FDA Chevalier Paul, FASM La Motte Piquet, PR Marne, frégate belge Léopold Ier - dont le groupe aérien embarqué est composé de 18 Rafale Marine, 8 Super étendard modernisés, 2 Hawkeye et d’hélicoptères. Le 26 novembre 2015, la frégate légère furtive (FLF) Courbet a rejoint le dispositif Chammal en Méditerranée orientale. Si nécessaire, le dispositif Chammal peut être soutenu par des moyens de ravitaillement (C135-FR) ou de contrôle aérien (E3F).

 

Note RP Defense: voir Le Groupe Aéronaval accueille la frégate Léopold I (F930)

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 13:50
photos: Patrick Brion – MIL.be

photos: Patrick Brion – MIL.be

 

11/11/2015 Liesbeth Bardyn – MIL.be

 

Le 11 novembre 1918 était une date historique : les belligérants de la Première Guerre mondiale déposaient définitivement les armes. Après presque 100 ans, ce jour est devenu un moment de commémoration à l’égard de tous les militaires tués depuis la Grande Guerre.

 

Dans le centre de Bruxelles, le roi Philippe a déposé une couronne de fleurs au pied de la tombe du Soldat inconnu. En présence de vétérans, d’anciens combattants et de jeunes élèves, il a rendu hommage à tous les militaires belges tués lors des deux guerres ainsi qu’à ceux disparus depuis 1945. Au loin, 21 coups de canon ont retenti. Ils étaient tirés par le Bataillon Artillerie.

 

 

photos: Patrick Brion – MIL.bephotos: Patrick Brion – MIL.be

photos: Patrick Brion – MIL.be

Accompagné par l’actuel ainsi que par le précédent ministre de la Défense, le Premier ministre Charles Michel a également déposé des fleurs. Une délégation de militaires étrangers, de jeunes élèves de la ville ainsi que de la police lui ont emboîté le pas. Le roi a, ensuite, pris le temps de s’entretenir avec des vétérans et des anciens combattants.

vidéo: Clint Soete – MIL.be

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 12:50
photo Sedeyn Ritchie - MIL.be

photo Sedeyn Ritchie - MIL.be


10 nov. 2015 par MIL.be

 

Le camp militaire San Gregorio de Saragosse est l’un des dix quartiers généraux engagés dans l’exercice OTAN Trident Juncture. Nos troupes y sont cantonnées en grande partie. En octobre et novembre, quelque 900 militaires belges sont engagés afin d’obtenir leur certification à la Force de réaction 2016 de l’OTAN.


 

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 17:50
Le service du renseignement militaire inaugure son exposition

 

9 nov. 2015 MIL.be

 

A l’occasion du centième anniversaire du Renseignement et de la Sûreté Militaire, le Service Général du Renseignement et de la Sécurité (SGRS) organise une exposition du 6 novembre au 6 décembre  2015 à l’Institut National des Vétérans et des Invalides de guerre à Bruxelles.

Cette exposition met en lumière le passé, le présent et le futur du Service. Le visiteur fait la connaissance de thèmes comme le rôle des femmes dans le renseignement, l’affaire de l’espion Guy Binet et le réseau stay behind SDRA 8.

L’exposition est ouverte au public dès le 7 novembre jusqu’au  6 décembre 2015.  L ‘entrée est gratuite

 

 

Le service du renseignement militaire inaugure son exposition

Le Service Général du Renseignement et de la Sécurité (SGRS) existe depuis un siècle. Le 6 novembre, et afin de célébrer cet anniversaire, ses membres inauguraient l’exposition CLASSIFIED, the history of the Belgian military intelligence and security service. Le lieutenant général Eddy Testelmans, chef du SGRS, présentait également le livre du même nom.

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3 novembre 2015 2 03 /11 /novembre /2015 08:50
photo EMA

photo EMA

 

31.10.2015 source EMA

 

Le 28 octobre 2015, le général d’armée Pierre de Villiers a rencontré le général Gérard Van Caelenberge, chef de la Défense belge. Cette réunion s’est déroulée à Bruxelles en amont du comité militaire des chefs d’état-major de l’Union européenne.

Le général de Villiers tenait à remercier son homologue pour le soutien apporté par les forces armées belges dans le cadre des opérations Serval puis Barkhane au Sahel, ainsi que dans celui de l’opération Sangaris en Centrafrique. Désireux de poursuivre sur cette dynamique, les deux CEMA ont décidé de renforcer leur coopération en particulier dans le domaine maritime.

 

Reportage photos

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26 octobre 2015 1 26 /10 /octobre /2015 12:50
Pre Deployment Training, entrainement spécifique pour l'opération Sophia

 

22.10.2015 by F930 Leopold I - Belgian Navy

 

PDT -> Pre Deployment Training, ceci est un entrainement spécifique pour l'opération Sophia.

SOIT -> SchootsOnderricht – Instruction de Tir
C'est une cellule d'entrainement au sein de la Marine qui assure l'entrainement au tir pour son personnel et qui peut, éventuellement, donner une formation aux personnels des équipes de contrôles (Boarding) et de "Force protection" en coopération avec la marine néerlandaise.

 

Reportage photos

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10 octobre 2015 6 10 /10 /octobre /2015 11:30
photo NL MoD

photo NL MoD

 

5/10/15 – 7sur7.be (Belga)

 

Près de 60 militaires belges participent, en Irak et en Jordanie, aux opérations de la coalition dirigée par les Etats-Unis contre le groupe terroriste Etat islamique (EI), soit presque autant de personnes déployées en Afghanistan.

 

Vingt-trois personnes sont ainsi déployées dans les environs de Bagdad pour contribuer à la formation des forces de sécurité irakiennes sous le nom d'"Opération Valiant Phoenix" (OVP), a précisé le capitaine de frégate Guy Schotte lors d'un point de presse à Bruxelles.

 

Cette mission, entamée le 15 mars sur un site "hautement sécurisé" près de Bagdad - en fait sur l'aéroport international de la capitale irakienne - a été prolongée jusqu'à la fin de l'année. Les effectifs belges, liés aux activités de formation, avaient été réduits durant la période du Ramadan.

 

Trente-deux autres militaires sont par ailleurs stationnés en Jordanie voisine, où ils assurent la protection d'un détachement aérien néerlandais engagé dans les opérations de la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis contre l'EI (ou Daech en arabe), selon le commandant Schotte, responsable des opérations à l'état-major de la Défense.

 

Six F-16 belges ont participé durant neuf mois à ces opérations - uniquement en Irak -, réalisant 163 attaques au sol contre des objectifs terrestres de l'EI en 796 sorties, au départ d'une base aérienne jordanienne située près de la ville d'al-Azraq.

 

La participation belge aux opérations aériennes, sous le nom d'opération "Desert Falcon" (ODF), a été suspendue fin juin, pour des raisons budgétaires. Mais devrait reprendre à l'été prochain, en alternance avec les Pays-Bas.

 

Dans l'intervalle, un détachement belge assure la protection au sol des Néerlandais.

 

En Afghanistan, 64 Belges participent à l'opération "Resolute Support" de l'Otan, chargée de la formation des forces de sécurité afghanes. Ils sont présents principalement à Mazar-i-Sharif, la grande ville du nord de k'Afghanistan, et dans une moindre mesure à Kaboul, la capitale.

 

"Mais plus à Kunduz", où l'aviation américaine a bombardé samedi un hôpital de l'organisation Médecins sans frontières (MSF) qui a fait 22 morts, a précisé l'officier devant la presse.

 

Des centaines de Belges se sont succédé à Kunduz durant près de dix ans (mars 2004-octobre 2013) aux côtés de troupes allemandes et d'autres pays de l'ex-force internationale d'assistance à la sécurité (Isaf), commandée par l'Otan. Mais tous les contingents étrangers se sont désormais repliés sur Mazar-i-Sharif dans l'attente d'un départ, sans doute d'ici fin 2016.

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12 septembre 2015 6 12 /09 /septembre /2015 16:30
photo Defensie.be.

photo Defensie.be.

 

12 septembre 2015 45eNord.ca (AFP)

 

Le ministre belge de la Défense Steven Vandeput s’est dit samedi « prêt » à envoyer des soldats sur le terrain en Syrie, mais seulement dans le cadre de « missions de suivi » au sein d’une coalition internationale.

 

La Belgique a déjà participé ces derniers mois à des opérations aériennes contre l’organisation djihadiste État islamique (EI) en Irak avec la coalition internationale dirigée par les États-Unis.

 

« Si une coalition similaire est créée en Syrie, nous ne pouvons pas rester sur la ligne de touche », a expliqué M. Vanderput dans un entretien au quotidien flamand De Morgen.

 

« Il n’y a pas d’autres solutions, à terme, que de déployer des troupes pour rétablir la paix. Autrement, une action militaire n’a que peu de sens », estime le ministre belge.

 

« Il faut d’abord rétablir le calme en Syrie, et ensuite rester sur place pour le protéger », ajoute-t-il, en référence à la situation chaotique en Libye.

 

« Nous n’allons pas jouer les Rambo, mais si des conditions claires sont établies, je suis prêt à envoyer des troupes belges au sol en Syrie », affirme M. Vanderput en soulignant toutefois qu’il s’agirait de « missions de suivi », comme la surveillance de camps, ce que l’armée belge fait déjà au Mali.

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10 septembre 2015 4 10 /09 /septembre /2015 10:50
Photos : Jürgen Braekevelt – MIL.be

Photos : Jürgen Braekevelt – MIL.be

 

09/09/2015 Virginie Flawinne –MIL.be

 

Le groupement tactique mené par le 2 Bataillon de Commandos a effectué la prise de l'aérodrome de Saint-Hubert le mardi 8 septembre. Les militaires ont progressé toute la nuit jusqu'à l'objectif qu'ils ont attaqué le matin. Après sécurisation et acheminement du matériel nécessaire sur la nouvelle base, le battle group sera fin prêt à stabiliser la région comme lors d'un engagement au sein de la Force de réaction rapide de l'OTAN (NATO Response Force ou NRF).

Photos : Jürgen Braekevelt – MIL.bePhotos : Jürgen Braekevelt – MIL.bePhotos : Jürgen Braekevelt – MIL.be
Photos : Jürgen Braekevelt – MIL.bePhotos : Jürgen Braekevelt – MIL.bePhotos : Jürgen Braekevelt – MIL.be

Photos : Jürgen Braekevelt – MIL.be

Après l'infiltration par C-130 de tout le groupement tactique le lundi 7 septembre à Bertrix et une progression nocturne de 35 km, l'attaque a été menée le mardi matin sur l'aérodrome de Saint-Hubert, tombé aux mains de l'ennemi. Les quelque huit cents soldats sous le commandement du 2 Bataillon de Commandos de Flawinne ont rapidement pris le dessus. « Le site est complexe car les distances sont importantes et les insurgés disposent de véhicules », explique le chef de corps, le lieutenant-colonel Vincent Pierard, qui vient de terminer l'attaque avec ses hommes.

 

Malgré quelques blessés légers pris directement en charge sous le feu, le groupement, qui fera partie de la NRF en 2016, a démontré son professionnalisme. « Ce n'est pas parfait car nous comptons quelques blessés légers », avoue un para-commando « mais l'attaque s'est bien déroulée et nous poursuivrons la sécurisation jusqu'au déminage par le Génie et l'arrivée de l'ensemble des moyens. »

 

Une colonne de véhicules ainsi que du matériel transporté par voies aériennes ont rejoint le battle group dans le courant de l'après-midi. Dès ce mercredi, les troupes se mettront en mouvement depuis leur nouvelle base pour stabiliser la région.

 

Vidéo : DG Com

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8 septembre 2015 2 08 /09 /septembre /2015 16:50
photo 2 Bataillon de Commandos - MIL.be

photo 2 Bataillon de Commandos - MIL.be

 

25/08/15 – 7sur7.be (Belga)

 

L'armée belge organise du 7 au 11 septembre un important exercice en provinces de Luxembourg et de Namur, qui rassemblera près de 1.600 militaires des composantes Terre, Air et médicale pour les préparer à participer l'an prochain à la force de réaction rapide de l'Otan, ont indiqué mardi des responsables militaires.

 

Le programme de cette semaine d'exercice, baptisé "Active Trip", prévoit des sauts en parachute depuis quatre avions de transport C-130 Hercules, l'engagement de deux chasseurs-bombardiers F-16, des évacuations médicales - notamment menées avec des hélicoptères - et des attaques fictives sur des objectifs en terrain civil, a précisé le major Olivier Dourte, de l'état-major de la composante Terre lors d'une conférence de presse à Bastogne.

 

Forces spéciales

Ces 1.500 militaires, dont des membres des forces spéciales, utiliseront plus de 300 véhicules légers, mais aucun blindé lourd. Ils seront appuyés par un drone, a précisé l'officier. "Active Trip" vise à préparer un contingent militaire à participer tout au long de l'année 2016 à la force de réaction rapide de l'Otan, la "NATO Response Force" (NRF), capable de se déployer à bref délai partout dans le monde.

 

Groupement tactique

C'est dans ce cadre que la Belgique fournira en 2016 à la NRF un millier d'hommes, dont un "battle group" (groupement tactique) de 600 hommes, bâti autour du 2ème bataillon commando de Flawinne, sous les ordres du lieutenant-colonel Vincent Piérard. Cette unité sera intégrée au sein de la nouvelle force très réactive de l'Alliance atlantique, la VJTF (pour "Very High Readiness Joint Task Force"), une brigade d'environ 5.000 hommes commandée par l'Espagne.

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8 septembre 2015 2 08 /09 /septembre /2015 15:50
Zutendaal reserve air base, ca 2009 (Via GoogleMaps)

Zutendaal reserve air base, ca 2009 (Via GoogleMaps)

 

03/09/2015 deredactie.be


Le ministre de la Défense, Steven Vandeput (N-VA) a confirmé mercredi soir que la Belgique a donné son accord aux Etats-Unis pour une éventuelle réutilisation de la base militaire de Zutendaal, dans le Limbourg, pour entreposer du matériel militaire conventionnel dans le cadre de l’Otan.

 

"La Défense a donné une réponse positive à la demande des Etats-Unis" d'utiliser à nouveau le dépôt de Zutendaal pour "pré-positionner" du matériel, a déclaré Steven Vandeput à l'agence de presse Belga, en marge d'une réunion des ministres européens de la Défense à Luxembourg. La date-limite pour une réponse à Washington était le 1er septembre, a précisé le ministre belge de la Défense, confirmant une information publiée par le journal régional Het Belang van Limburg.

La Défense attend désormais une décision définitive des Etats-Unis, a ajouté le ministre, soulignant que la Belgique se présentait ainsi comme "un partenaire fiable" de Washington et de l'Otan.

 

Durant la Guerre froide, la base de Zutendaal - construite au départ comme un aérodrome de réserve de l'Otan - faisait partie d'un vaste réseau de dépôts militaires de l'US Army en Europe. Au plus fort de la confrontation est-ouest, l'armée américaine avait lancé un vaste programme de dépôts militaires en Belgique, en retrait par rapport au Rideau de fer. Mais ce programme s'était rapidement réduit comme une peau de chagrin après la chute du Mur de Berlin, en novembre 1989.

Les Américains avaient quitté Zutendaal en 1999. Il s’agissait d’un dépôt abritant le matériel organique d'une division de renforcement rapide (POMS, dans le jargon militaire), tout comme à Grobbendonck, en province d'Anvers, qui avait fermé ses portes en septembre 1995, quatre ans avant la base limbourgeoise.

Les installations avaient été reprises l'année suivante par l'armée belge, qui y stocke des archives, du matériel roulant - comme des chars Léopard déclassés en passe d'être ferraillés, ainsi qu'une usine de démantèlement de munitions. Environ 140 personnes y travaillent actuellement. Mais le nombre d'emplois pourrait croître, a fait valoir Steven Vandeput.

Selon le quotidien Het Belang van Limburg, les Américains ont demandé de pouvoir utiliser 70.000 m2 de surface de stockage à Zutendaal dans le cadre des "mesures de réassurance" décidées par l'Otan en faveur des alliés est-européens, inquiets de l'attitude russe depuis l'annexion de la péninsule ukrainienne de Crimée.

Le Secrétaire américain à la Défense, Ashton Carter, avait annoncé en juin dernier que les Etats-Unis allaient déployer 250 blindés à titre "provisoire" dans six Etats européens pour aider à "contrer les menaces terroristes extérieures, ainsi qu'à contenir la Russie".

Ce déploiement "provisoire" de 250 blindés de différents types - des chars M-1 Abrahams, des véhicules de combats M2 Bradley et des obusiers automoteurs - a lieu dans les Etats baltes, ainsi qu'en Bulgarie, en Pologne et en Roumanie. Ni la Belgique, ni l'Allemagne, située plus à l'ouest, n'avaient alors été mentionnées.

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28 juillet 2015 2 28 /07 /juillet /2015 16:50
Photos : Ritchie Sedeyn – MIL.be

Photos : Ritchie Sedeyn – MIL.be

 

10/07/2015 Johan Lievens – MIL.be

 

Le 8 juillet, des canonniers du Bataillon d’Artillerie de Brasschaat ont effectué le saut de leur vie. Ils ont été parachutés d’un C-130 au-dessus du terrain d’Elsenborn avec deux mortiers de 120mm. Ils ont pu ouvrir le feu peu après. L’expérience est unique car ces pièces sont tractées normalement par un véhicule. 

 

Photos : Ritchie Sedeyn – MIL.bePhotos : Ritchie Sedeyn – MIL.bePhotos : Ritchie Sedeyn – MIL.be
Photos : Ritchie Sedeyn – MIL.bePhotos : Ritchie Sedeyn – MIL.be

Photos : Ritchie Sedeyn – MIL.be

Un ballon rouge prend de l’altitude. Pas dans le cadre d’une fête mais bien pour évaluer la dérive du vent. « Parachuter du matériel procure un avantage stratégique », explique Tom Hey, commandent de batterie du Bataillon d’Artillerie. « C’est surtout au début d’une opération que peu de pistes sont accessibles ou que les possibilités de se déployer via les routes sont limitées. Nous pouvons alors choisir d’emprunter les voies aériennes ». 

 

Vidéo : Erwin Ceuppens - MIL.be

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28 juillet 2015 2 28 /07 /juillet /2015 16:45
photo MIL.be

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20/07/2015 Sarah Delafortrie, Christophe Springael – MIL.be

 

Sur proposition du ministre de la Défense Steven Vandeput, le Conseil des ministres a marqué son accord sur le déploiement de trois instructeurs belges durant une période de trois mois à Kinshasa, dans le cadre de l'appui au redémarrage du Groupement des écoles supérieures militaires (GESM).

 

Dans ce cadre, et dans la continuité des efforts déjà fournis, de début août à fin octobre 2015, trois instructeurs belges seront à nouveau déployés à l'Ecole de Commandement et d'Etat-Major à Kinshasa. Leur mission évoluera progressivement d'une mission d'enseignement vers une mission de coaching, pour finir à terme par rendre le GESM autonome pour la dispense de la formation continuée des officiers supérieurs.

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28 juillet 2015 2 28 /07 /juillet /2015 16:30
photo MIL.be

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20/07/2015 Sarah Delafortrie, Christophe Springael - MIL.be

 

Sur proposition du ministre de la Défense Steven Vandeput, le Conseil des ministres a marqué son accord sur la prolongation de l'engagement du détachement d'entraînement de quelque trente militaires à Bagdad jusqu'à la fin 2015. Ceci, afin de participer à l'entraînement des forces de sécurité irakiennes à partir d'un endroit sécurisé.

 

Durant la période de mars à avril 2015 et en collaboration avec les partenaires de la coalition internationale contre DAESH en Irak, le détachement d'entraînement belge a aidé à sélectionner et à former 1500 militaires irakiens. Le détachement d'entraînement belge a fourni 22 des 75 instructeurs pour le cours médical, la formation sniper, la sélection et la formation de base commando. La mission du détachement d'entraînement belge de quelque trente militaires à Bagdad sera prolongée jusqu'au 31 décembre 2015.

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28 juillet 2015 2 28 /07 /juillet /2015 16:30
Photo MIL.be

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20/07/2015 Johan Lievens – MIL.be

 

Durant les neuf mois de l’opération Desert Falcon (ODF), les six F-16 belges ont effectué 163 attaques lors des 796 vols au-dessus de l’Irak. La contribution belge s’élevait à 5,5% de la coalition internationale contre DAESH. La mise en place des moyens aériens a empêché la chute de Bagdad et la transformation de l’Irak en un califat. Le détachement belge de Force Protection s’occupe, quant à lui, de la sécurité de nos collègues néerlandais jusqu’à la fin 2015.

 

Le 24 septembre 2014, ODF recevait l’aval du Conseil des ministres. Elle prenait fin le 2 juillet 2015. Les pilotes avaient trois types de missions. D’abord, ils étaient impliqués dans des actions Air Interdiction dont le but était de diminuer ou détruire le potentiel de l’organisation terroriste. Ensuite, les pilotes fournissaient du Close Air Support aux troupes irakiennes au sol ou Peshmergas kurdes. Enfin, ils ont effectué de nombreux vols de reconnaissance grâce auxquels ils ont recueilli des informations importantes.

 

Chaque attaque était soigneusement analysée. Toutes les missions étaient étudiées par un red card holder (RCH) belge au quartier général au Quatar. Ce dernier analysait tous les aspects légaux des missions. Lorsque tout cadrait avec la loi, le RCH donnait son feu vert. Pourtant, toutes les missions n’ont pas été effectuées. Via des images hautes résolutions, les pilotes apercevaient parfois des civils près de leur but. Ils ont donc stoppé leur engagement. « Ces interventions sont à apprécier à long terme » a déclaré le général-major aviateur Frederik Vansina, commandant de la Composante Air. IS a perdu 30% de son territoire.

 

La contribution belge au sein de la coalition internationale contre DAESH s’élevait à 5,5%. «  Cet effort a été fortement apprécié par les États-Unis et les autres partenaires de la coalition » assure le ministre de la Défense, Steven Vandeput. « Nos pilotes sont très bons et appartiennent au top », explique le général-major Vansina. Avec la participation à ODF, la Belgique se positionne à nouveau dans le top 10 des partenaires fiables de la coalition.

 

À l’été 2016, et sous condition d'un accord gouvernemental, la Belgique reprendra la tâche des Pays-Bas.

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 21:50
Centre des opérations du CRR-Fr lors de l'exercice CITADEL KLEBER à Mourmelon en mars 2015 - photo CRR-Fr

Centre des opérations du CRR-Fr lors de l'exercice CITADEL KLEBER à Mourmelon en mars 2015 - photo CRR-Fr

 

06/07/2015 Stephan Boonen - MIL.be

 

Quinze Belges font partie du Corps de Réaction Rapide – France. Quatre cent-trente militaires provenant de douze pays travaillent côte à côte au sein de cet état-major international de l'armée française.

 

Cet état-major, créé le 1er juillet 2005, offre une réponse aux engagements internationaux de la France en matière de Défense et de sécurité. Plus précisément, dans le cadre de l'Union européenne et de l'OTAN. Dès 2017, il sera de standby pour la NATO Joint Task Force.

Cérémonie du 14 juin 2015 commémorant  les 10 ans du CRR-Fr - photo CRR-Fr

Cérémonie du 14 juin 2015 commémorant les 10 ans du CRR-Fr - photo CRR-Fr

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2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:50
photo Patrick Brion – MIL.be

photo Patrick Brion – MIL.be

 

02/07/2015 Johan Lievens –MIL.be

 

Malbork, Pologne. L’alarme est déclenchée pour deux F-16 belges. Un avion non identifié est entré dans l’espace aérien de l’OTAN. Nos avions sont envoyés pour l’intercepter en plein vol au-dessus de la mer Baltique. Depuis janvier 2015, la Belgique a déployé quatre F-16 et cinquante personnes dans le cadre de la mission de surveillance aérienne de l’OTAN Enhanced Air Policing Mission (EAPM).

 

Suite à la crise ukrainienne et l’annexion de la Crimée par la Russie, l’OTAN a décidé de renforcer ses activités dans la région de la mer Baltique. La Belgique, ayant beaucoup d’expérience en matière de surveillance aérienne, a fourni un appui. Le détachement mène des interventions d’urgence (Quick Reaction Alert -QRA) dont le nombre est déjà grimpé à quatorze. Dans la plupart des cas, il s’agit d’avions russes ne communiquant pas leur plan de vol ou ne prenant pas contact avec le contrôle aérien de l’espace survolé. « C’est un peu plus rude que durant la guerre froide », lâche le commandant de la Composante Air, le général-major aviateur Frederic Vansina. « À l’époque, nous étions pilotes avant tout et les relations étaient amicales. Mais actuellement, ils osent entreprendre des manœuvres fatigantes pour rendre la vie dure à nos  pilotes. »

 

photo Patrick Brion – MIL.bephoto Patrick Brion – MIL.be
photo Patrick Brion – MIL.bephoto Patrick Brion – MIL.be

photo Patrick Brion – MIL.be

Le but d’un QRA est d’identifier l’appareil et de communiquer cette information aux contrôleurs aériens. L’avion qui ne communique pas son plan de vol sera escorté par le F-16 jusqu’à sa sortie de la zone contrôlée. « Je pense qu’il est important de montrer que nous n’acceptons pas n’importe quoi », explique le ministre de la Défense Steven Vandeput. Dans la majorité des cas, les pilotes belges sont tombés sur des pilotes russes occupés à effectuer des vols de reconnaissance le long des frontières allemandes, suédoises, danoises et polonaises. Un pic d’activité russe a été constaté du 16 au 18 juin pendant l’exercice OTAN BALTOPS 2015. Les Belges sont de permanence QRA pendant une semaine. La suivante, ils rentabilisent au mieux leur présence en s’entraînant au combat aérien avec les MIG-29 polonais. L’espace aérien polonais est bien plus grand et offre bon nombre de possibilités impensables en Belgique. « Le MIG-29 est un peu le « meilleur » ennemi du F-16 et, avec ces combats simulés, nous apprenons à découvrir les points faibles de l’adversaire »,  explique le général Vansina.

 

En date du 30 juin 2015, le détachement belge avait déjà contribué pour quelque 25% dans les efforts fournis par l’OTAN dans la région. La contribution belge à cette mission de surveillance aérienne s’achèvera début août.

Vidéo : Clint Soete

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2 juillet 2015 4 02 /07 /juillet /2015 16:50
Les meilleurs du tir tactique en compétition en Belgique

 

2 juil. 2015 par MIL.be

 

Le championnat national de tir militaire s’est déroulé ces 1er et 2 juillet au camp Lagland à Arlon. Il réunissait les meilleurs tireurs de toute la Défense.

 

Pour chaque militaire participant, tout débutait par un contrôle complet de l’arme. « Nous vérifions notamment que la détente ne soit trafiquée car il est toujours tentant de l’avoir plus souple », explique le premier sergent Pascal Dechene, armurier. La « triche » est formellement sanctionnée et les participants doivent bien vérifier qu’ils ne vont pas tricher inopinément. « Les webbings, ces fameux gilets intégrant protection et porte-chargeurs, doivent peser au minimum huit kilos », ajoute l’adjudant Carl Deleu, un des responsables techniques du championnat.

 

photo Sedeyn Ritchie - MIL.bephoto Sedeyn Ritchie - MIL.be
photo Sedeyn Ritchie - MIL.be
photo Sedeyn Ritchie - MIL.bephoto Sedeyn Ritchie - MIL.bephoto Sedeyn Ritchie - MIL.be

photo Sedeyn Ritchie - MIL.be

« À l’origine, le championnat était une discipline olympique mais nous l’avons adapté à l’entraînement militaire et il est devenu une compétition dynamique », explique l’adjudant Frank Verstraeten de la cellule du sport de la Défense. « Le concept se veut le plus réaliste possible dans l’esprit train as you fight », poursuit le major Frank Adam du même service. « Le championnat et ses épreuves sont d’ailleurs en constante évolution. La prochaine étant l’inclusion des armes de défense personnelle : chacun tirera avec son arme organique. »

En effet, si les tireurs étaient aujourd’hui équipés de manière identique, c’est parce que la FNC et ses munitions de guerre 5.56 étaient communes à chacun. Même les participants néerlandais et luxembourgeois tiraient avec cette arme à laquelle ils ne sont pas habitués. « Le grand atout que nous aurons lorsque les armes de défense personnelle auront été implémentées, c’est que le championnat s’y adaptera et proposera des parcours polyvalents permettant à chacun de s’y mesurer selon son équipement spécifique. »

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1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 16:50
Photos : Jurgen Braekevelt – MIL.be

Photos : Jurgen Braekevelt – MIL.be

 

01/07/2015 Stijn Verboven – MIL.be

 

L’instruction des nouveaux officiers et sous-officiers destinés aux brigades légère et médiane s’est achevée à Arlon. Le 30 juin 2015, après dix mois de cours intensifs théoriques et tactiques, une cérémonie était organisée pour célébrer ce moment important. Elle se déroulait, dans une chaleur étouffante, sur la plaine de parade de la caserne Général Bastin à Arlon.  

 

« Nous y sommes ! Nous clôturons aujourd’hui une formation longue et intensive ». C’est en ces termes que le lieutenant-colonel Gert Van Ryckeghem, chef du département Manœuvre, s’adresse aux jeunes cadres. « Vous serez, dès demain, à la tête d'un peloton ou d'une section. Souvenez-vous : un chef n’est jamais au-dessus de son personnel. Il est là pour lui indiquer la marche à suivre, se tient à ses côtés pour le soutenir et l’aide à progresser dans les moments difficiles. Je vous souhaite bonne chance ! »

Lors de cette parade, place était également faite à la réflexion. Des fleurs furent déposées au monument des troupes de manœuvre et à celui du régiment des Guides. Une pensée particulière fut adressée au lieutenant-colonel Ronny Piens, décédé lors d’une attaque survenue au Mali en mars 2015.

 

Photos : Jurgen Braekevelt – MIL.bePhotos : Jurgen Braekevelt – MIL.bePhotos : Jurgen Braekevelt – MIL.be
Photos : Jurgen Braekevelt – MIL.be

Photos : Jurgen Braekevelt – MIL.be

L’instruction étant terminée, les nouveaux officiers et sous-officiers se rendront prochainement dans leur unité afin d’endosser leur rôle de chef de section ou de peloton. Les para-commandos ont encore quatre mois de formation à subir avant d’être considérés comme chefs à part entière.

Vidéo : Erwin Ceuppens

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