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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 17:50
Fully armed MQ-9 takes off on a mission in Afghanistan. Photo US Air Force

Fully armed MQ-9 takes off on a mission in Afghanistan. Photo US Air Force

 

22.11.2013 Helen Chachaty journal-aviation.com

 

La ministre de la Défense néerlandaise Jeanine Hennis-Plasschaert a annoncé hier son choix de s’équiper de quatre drones MQ-9 Reaper pour assurer ses futures missions ISR. « Le Reaper est le seul drone qui répond aux exigences de la Défense, que ce soit l’autonomie en vol, la rapidité ou la précision de ciblage », selon le communiqué du ministère. L'acquisition de ces drones devrait se faire comme en France, par le biais des FMS (Foreign Military Sales) du Pentagone.

 

Une consultation pour s’équiper de drones MALE avait été lancée en 2011. La pleine capacité opérationnelle est attendue pour 2017.

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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 05:45
Deux MQ-9 Reaper français opérationnels au Sahel d’ici fin 2013

03.09.2013 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian l’a affirmé haut et fort cet après-midi à la fin de son audition par la Commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées : Il y aura bien deux MQ-9 Reaper présents dans la région du Sahel fin 2013. « Les deux Reaper commandés seront opérationnels à la fin de cette année » a déclaré Jean-Yves Le Drian, confirmant ainsi que la France allait bien réceptionner deux drones MALE MQ-9 fabriqués par General Atomics.

 

La notification d’achat avait été transmise au Congrès américain le 27 juin dernier et concernait 16 drones ainsi que le matériel associé. Début juin, le ministre avait confirmé l’achat de douze Reaper, ajoutant que les deux premiers devraient rapidement être déployés dans la région du Sahel pour pallier au manque de moyens de surveillance et de renseignement.

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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 16:45
Drones in Niger Reflect New U.S. Tack on Terrorism

July 10, 2013 By ERIC SCHMITT - nytimes.com

 

NIAMEY, Niger — Nearly every day, and sometimes twice daily, an unarmed American drone soars skyward from a secluded military airfield here, starting a surveillance mission of 10 hours or more to track fighters affiliated with Al Qaeda and other militants in neighboring Mali.

 

The two MQ-9 Reapers that are based here stream live video and data from other sensors to American analysts working with French commanders, who say the aerial intelligence has been critical to their success over the past four months in driving jihadists from a vast desert refuge in northern Mali.

 

The drone base, established in February and staffed by about 120 members of the Air Force, is the latest indication of the priority Africa has become for the United States at a time when it is winding down its presence in Afghanistan and President Obama has set a goal of moving from a global war on terrorism toward a more targeted effort. It is part of a new model for counterterrorism, a strategy designed to help local forces — and in this case a European ally — fight militants so American troops do not have to.

 

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29 juin 2013 6 29 /06 /juin /2013 07:50
photo RP Defense

photo RP Defense

28.06.2013 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

L’industriel américain General Atomics a annoncé le 26 juin qu’il allait développer – sur fonds propres – une variante de son drone MALE MQ-9 Reaper (Predator B), afin de pouvoir en offrir une version pleinement compatible avec les exigences de navigabilité de l’US Air Force, mais surtout de futurs potentiels acheteurs membres de l’OTAN.

 

Il s’agit principalement pour General Atomics de travailler sur des capacités accrues d’intégration dans l’espace aérien du pays acheteur, pour offrir une configuration permettant au drone d’obtenir facilement ses certificats de navigabilité. Une initiative calculée de General Atomics, au vu des récentes polémiques ayant eu trait à la certification de navigabilité des drones dans l’espace aérien européen – l’EuroHawk pour ne pas le nommer.

 

Le drone MALE MQ-9 Reaper est destiné aux missions ISR ainsi qu’au ciblage d’objectifs précis. Motorisé par un TPE331-10 d’Honneywell, il peut voler jusqu’à une altitude de 50 000 pieds et rester un maximum de 27 heures dans les airs. Il est actuellement utilisé par l’US Air Force, la Royal Air Force et l’Italie. La France attend elle le feu vert du congrès américain pour pouvoir en acquérir deux d’ici la fin de l’année 2013.

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28 juin 2013 5 28 /06 /juin /2013 15:55
Un drone Air Force MQ-9 Reaper

Un drone Air Force MQ-9 Reaper

28/06/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Le Pentagone a notifié jeudi une possible vente à la France de 16 Reaper MQ-9, fabriqués par General Atomics Aeronautical Systems, au Congrès, qui doit donner son feu vert à l'opération. Une vente estimée à 1,14 milliard d'euros. Bien loin des estimations du ministère de la Défense français, qui évaluait cette opération à 670 millions d'euros, achat et développements ultérieurs compris.

 

Ce n'est pas 12 drones MALE Reaper pour un montant de 670 millions d'euros que la France veut acheter aux Etats-Unis, comme l'avait récemment expliqué le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, mais finalement 16 Reaper MQ-9 et 8 stations sol mobile pour une enveloppe de 1,5 milliard de dollars (1,14 milliard d'euros), un prix qui intègre les coûts d'entraînement et de logistique. Bien loin donc des estimations du ministère de la Défense français, qui subit une cure d'austérité même si le budget de la défense est maintenu à 31,4 milliards d'euros. Dans les 670 millions, le coût de la francisation des drones MALE américains était compris. C'est le Pentagone, ou plus exactement la Defense Security Cooperation Agency (DSCA), l'agence dédiée aux ventes d'armes à l'international, qui a vendu la mèche. La DSCA a effet notifié jeudi au Congrès une possible vente à la France de 16 Reaper MQ-9, fabriqués par General Atomics Aeronautical Systems. Ce type d'opération doit recevoir l'aval du Congrès avant de pouvoir être réalisée.

Selon la DSCA, très favorable à cette vente,"la France est l'un des pays politiques et économiques majeurs en Europe et de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN)". Elle est également "un allié des États-Unis dans la poursuite de la paix et de la stabilité"dans le monde. En conséquence, la DSCA considère que cette vente de 16 drones Reaper "est essentielle à l'intérêt national américain d'aider la France à développer et maintenir une solide capacité d'autodéfense. Cette vente potentielle améliorera les capacités ISR (intelligence, surveillance et reconnaissance) de l'armée française" dans le cadre des opérations nationales, de l'OTAN, des Nations unies (ONU) et dans d'autres opérations au sein d'une coalition". Cettte vente augmentera "énormément l'interopérabilité" entre les armées américaine et française ainsi que les forces de maintien de la paix.

La France considérée comme un bon élève

La DSCA a expliqué que la France demandait cette capacité opérationnelle pour renforcer la défense de ses troupes déployées, la sécurité régionale et améliorer l'interopérabilité avec les États-Unis. Selon la DSCA, cette vente augmentera "la capacité de la France à faire face à des menaces actuelles et futures". La France, "qui a déjà piloté à distance ce type d'appareil, n'aura aucune difficulté à maîtriser cette capacité supplémentaire", estime la DSCA. Enfin, cette dernière estime que cette vente ne changera pas l'équilibre militaire dans la région. "Il n'y aura aucun impact défavorable sur la sécurité de la défense américaine", assure-t-elle au Congrès.

Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, avait annoncé le 11 juin dernier son intention d'acheter douze drones d'observation Reaper aux Etats-Unis. Il avait précisé lors d'un déjeuner de presse que, dans un premier temps, il voulait acquérir deux Reaper ainsi qu'une station sol fabriqués par General Atomics, pour parer aux besoins urgents des forces armées françaises au Mali et dans la région du Sahel. "Il y a une nécessité opérationnelle immédiate", avait-il précisé. La France a également besoin de dix autres drones Reaper qui puissent opérer dans l'espace aérien français et européen, ce qui suppose que leurs moyens de transmission soient adaptés par des industriels européens. Là aussi, le Congrès devra donner son accord pour que la France ait accès aux "codes sources", codes informatiques de ce matériel militaire soumis à de strictes règles d'exportation, afin de le modifier.

Le Pentagone est favorable et "si on s'y prend dans le bon sens, ça devrait se débloquer"', avait alors estimé Jean-Yves Le Drian. On l'a senti moins optimiste sur cette deuxième phase. "J'espère que cela ira", a-t-il avoué. A défaut d'accord du Congrès, la France pourrait se tourner vers un drone israélien, a cependant ajouté le ministre. Le coût total de l'acquisition de ces 12 drones MALE (pour moyenne altitude, longue endurance, soit 24 heures de vol), soit le prix d'achat et le coût de leur "francisation", est évalué par les services du ministère à 670 millions d'euros. Elle doit être inscrite dans la loi de programmation militaire pour la période 2014-2019 qui sera présentée au parlement à l'automne.

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28 juin 2013 5 28 /06 /juin /2013 14:55
MQ-9 Reaper flies above Creech AFB - photo USAF

MQ-9 Reaper flies above Creech AFB - photo USAF

28/06 Par Alain Ruello – LesEchos.fr

 

Le Pentagone a notifié au Congrès la possible vente de 16 drones Reaper à la France pour 1,5 milliard de dollars. « Une borne haute non engageante » , indique-t-on dans l’entourage de Jean-Yves Le Drian.

Surprise : alors que le livre blanc de la défense a fixé à 12 le nombre de drones d’observation dont l’armée doit disposer à terme, la demande officielle de la France aux Etats-Unis pour acheter des Reaper à General Atomics porte sur... 16 exemplaires. Si l’on ajoute les stations au sol, la formation ou encore les pièces détachées, la facture atteint 1,5 milliard de dollars, là encore bien plus que le chiffre avancé jusque-là.

C’est ce qui ressort de la notification du Pentagone au Congrès , en application directe de la procédure dite « Foreign military sales) qui veut que les parlementaires américains doivent donner leur feu vert à toute vente d’armement à un pays étranger.

Renseignements pris dans l’entourage du ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, on assure qu’il n’y a pas de changement. Avec le « FMS », le Pentagone notifie un nombre maximal d’exemplaires de l’équipement en question, et donc la fourchette haute de prix qui en découle. Sans que cela soit définitif. « On a pas le choix, c’est comme cela, et ça n’engage en rien », assure-t-on.

On en reste donc au plan A qui prévoit que la France achète rapidement deux drones Reaper MQ-9 identique à ceux qui servent dans l’armée américaine. Cela pour les envoyer rapidement traquer les rebelles dans le Sahel. La deuxième étape consiste à négocier l’achat et la possibilité de modifier 10 exemplaires supplémentaires (au maximum si la cible du livre blanc est respectée).

La modification doit porter notamment sur l’ajout d’équipements permettant aux aéronefs de voler dans l’espace aérien français. Si cette « francisation » s’avérait impossible où trop coûteuse, le ministère de la Défense négocie en parallèle avec l’israélien IAI.

Pour tenter de contrer ce qu’ils considèrent comme une menace grave pour la souveraineté industrielle de l’Europe, Dassault, EADS et Finmeccanica ont profité du Bourget pour affirmer qu’ils étaient prêts à concevoir un drone en commun si plusieurs Etats leur passent commande. On en prend pas vraiment le chemin...

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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 19:55
670 millions d’euros pour les futurs Reapers français

12.06.2013 Helen Chachaty - .journal-aviation.com

 

Selon la presse invitée à un déjeuner avec le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian mardi 11 juin, la France achètera bien douze drones MALE MQ-9 Reaper, pour un total de 670 millions d’euros.

 

La commande initiale porterait d’abord sur deux appareils, qui devraient être déployés dans la région du Sahel d’ici la fin de l’année 2013, afin de pallier aux manques constatés des moyens de renseignement sur la zone. Les drones de General Atomics devraient également être francisés. Le Congrès américain doit toutefois donner son accord pour cette transaction.

 

Par ailleurs, le ministre de la Défense aurait également évalué le marché des drones de « troisième génération » à 30 ou 40 appareils, à l’échelle européenne. Reste toutefois l’épineuse question de la coopération industrielle des différents pays, tout comme la mise en commun des besoins capacitaires.

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2 juin 2013 7 02 /06 /juin /2013 07:55
Laser guided bombs and hellfire missiles loaded on a General Atomics MQ-9 Reaper drone prior to a mission

Laser guided bombs and hellfire missiles loaded on a General Atomics MQ-9 Reaper drone prior to a mission

May 31, 2013 by Tamir Eshel - defense-update.com

 

France has decided to buy two MQ-9 Reaper medium-altitude long endurance (MALE) drones from the USA, to extend the strategic reconnaissance capability of the French Air Force after the current Harfang drones end their planned mission in 2014. The two General Atomics (GA-ASI) MQ-9 Reapers that will be delivered by 2013 year-end. The two drones are not likely to be used in armed recce missions as they do  with the US Air Force. Defense-Update reports.

Given the short delivery schedule, it is likely the two Reapers will not be new but taken from the US Air Force inventory. According to the French Defense Minister Jean-Yves Le Drian the French Air Force desperately need the new drones to address the immediate situation in the Sahel region.

The Harfang was fielded with the French Air Force under the SDIM program in June 2008. France ordered three planes and two ground control stations which became operational with the Drone Experimentation Squadron 1/330 Adour, in Cognac, in June 2008. From the beginning the program was regarded as an interim capability, and proposals for the full capability plan were submitted by EADS Since 2007. Despite their ‘interim’ capability, the French Harfangs were supporting all contingencies the French forces were involved in, including Afghanistan, Libya and Mali.

Through the years the Ministry of Defense evaluated only two options – the Israeli Heron TP and US made MQ-9 Reaper. IAI, the developer and manufacturer of the Heron and Heron TP has teamed with Dassault Aviation and EADS to form industry teams to support the selection of its drones, but has not succeeded in winning the French Air Force support for its system.

The procurement of the two Reapers is also considered an interim phase, until France is capable of establishing its own drones, considered as the centerpiece of future intelligence and combat operations. Two parralel programs are currently underway in France – the collaborative development of a jet-powered Unmanned Combat Air Vehicle (UCAV) known as NeuroN, expected to replace some manned aircraft by 2030. Another collaborative development of a UAS, with the British industry. Dassault is also cooperating with Israel Aerospace Industries, on the development of a future MALE platform addressing the French requirements. However, it is not clear whether this alliance will hold after failing to win the interim MALE program. France is currently interested in MALE drones designed for strategic reconnaissance, attack missions are currently not a priority for these assets.

IAI is also coopreating with Rheinmetall’s Unmanned Aerial Systems, a joint entity set by EADS and Rheinmetall, pursuing a similar program in Germany. Defense Minister Thomas de Maiziere said Berlin is set to decide on the procurement of 16 drones, five to be operational by 2016.

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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 12:55
MQ-9 Reaper taxis Afghanistan photo Staff Sgt. Brian Ferguson US Air Force

MQ-9 Reaper taxis Afghanistan photo Staff Sgt. Brian Ferguson US Air Force

31/05 Jean-Yves Le Drian est ministre de la Défense. - Les Echos

 

Les drones défraient la chronique depuis plusieurs années. Malgré des préconisations répétées depuis 1999, leur poids dans les investissements du ministère de la Défense est resté limité. Aujourd’hui, les décisions prises par le président Hollande à l’occasion de la publication du Livre blanc permettent de préciser notre stratégie : sortir d’une impasse opérationnelle et industrielle pour enfin doter la France de drones, pièces maîtresses du renseignement et de la guerre de demain.

 

Depuis un an, sur tous les théâtres d’opération majeurs, les situations ­concrètes ont confirmé le sentiment que nous avions : la France doit disposer de drones de surveillance pour conduire ses opérations, protéger ses militaires, les aider à contrôler de vastes espaces et parer d’éventuelles attaques ennemies.

 

Le désengagement d’Afghanistan, que j’ai conduit à la demande du président de la République, a largement reposé sur des drones dits « tactiques ». Mis en œuvre par l’armée de terre l’an dernier, ils ont permis de sécuriser les convois tout au long de leur déplacement vers Kaboul. Mais ces équipements, provi­soires et insuffisants, doivent être ­remplacés par des systèmes plus modernes.

 

Même constat au Mali. Ce territoire, grand comme 2,5 fois la France, rend indispensable le déploiement de drones de moyenne altitude longue endurance (Male) qui, avec la discrétion qui s’impose, sont en mesure de parcourir de longues distances et d’observer de larges espaces pendant plus de vingt heures.

 

Or, nous constatons que l’ensemble de la communauté de défense, le ministère autant que l’industrie, a manqué le virage de ce type d’équipement. Et ce qui est vrai en France l’est aussi en Europe. Aujourd’hui, la France continue à utiliser deux systèmes que l’on disait intérimaires au moment de leur lancement, en 2003. Le provisoire est devenu permanent. Dix ans ont passé ; nous n’avons pas progressé. Nous en sommes à espérer que nos deux systèmes encore opérationnels ne subissent pas d’incident majeur et à compter sur la solidarité de nos alliés dans un domaine majeur pour notre souveraineté, celui du renseignement, sans lequel il n’est pas d’action libre ni sûre.

 

Le temps presse. Notre besoin en drones nous impose d’être pragmatiques, et c’est bien ma démarche. Ministre de la Défense, c’est ma responsabilité et j’entends l’assumer.

 

Dès le mois de juillet 2012, j’ai signé avec mon homologue britannique, ­Philip Hammond, un partenariat autour du drone Watchkeeper de Thales.

 

Pour les mêmes raisons, la situation immédiate au Sahel me conduit à ­lancer l’acquisition d’un équipement existant, parce que nous ne pouvons plus attendre. Devant nous, deux possibilités : le Héron-TP réalisé en Israël et le Reaper produit aux Etats-Unis. A très court terme, la piste américaine est la plus prometteuse, avec la perspective d’une première livraison de deux ­drones d’ici à la fin de cette année. Comment, après tant de tergiversations, ne pas ­saisir l’occasion qui se présente la ­première ?

 

Pour autant, l’urgence ne doit pas faire obstacle à l’avenir. C’est pourquoi j’ai proposé à nos partenaires européens, toujours dans le domaine des drones Male, de nous regrouper, pour partager nos expériences et nos capacités, et impliquer nos industries dans la mise au point de ces équipements pour nos propres besoins. Cette ambition est d’ores et déjà en chantier.

Le premier vol du demonstrateur neuron - Rafale photo Dassault Aviation 01.12.2012

Le premier vol du demonstrateur neuron - Rafale photo Dassault Aviation 01.12.2012

Enfin il y a le plus long terme, avec le champ des drones de combat qui, à l’horizon 2030, viendront compléter, voire remplacer nos flottes d’avions de chasse. Ce rendez-vous, nous ne le manquerons pas. L’industrie française et européenne est à la pointe de cette ­technologie, comme l’a démontré le premier vol du drone Neuron au début de cette année. Elle doit le demeurer et nous lui consacrerons à cette fin les moyens nécessaires.

 

Il y a un an, les drones étaient pour nos armées une question sans réponse. Aujourd’hui, nous avons une stratégie d’ensemble, une première réponse forte, et j’entends m’y tenir.

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26 avril 2013 5 26 /04 /avril /2013 16:35
RAF Waddington takes command of MQ-9 Reaper UAV operations in Afghanistan

 

26 April 2013 airforce-technology.com

 

The UK Ministry of Defence (MoD) has started command and control operations of its MQ-9 Reaper unmanned aerial vehicles (UAV) in Afghanistan from a newly constructed facility at Royal Air Force (RAF) Waddington in Lincolnshire, UK.

 

Flown by the No. 13 Squadron personnel using ground control stations (GCS) earlier this week, the move marks the first time the UAVs have been operated from the UK, more than five years after their acquisition for conducting intelligence, surveillance and reconnaissance missions in Afghanistan.

 

To date, the UK has been controlling the RAF's five Reaper drones from the Creech Air Force Base in Nevada, US, following launch from an airfield within Afghanistan, as it did not have the capability to control them from home bases.

 

Undisclosed military officials were cited by Guardian as saying that the 13 Squadron pilots in collaboration with the personnel in the US will now take charge of Reapers from an advanced and sophisticated UAV centre at RAF Waddington.

 

The centre, with three operating terminals, was built in 2012 under the supervision of the UK MoD, as part of the 2010 strategic defence and security review.

 

The 39 Squadron will not be disbanded and will continue operations until the end of 2014, when all Nato-led coalition forces will pull out from Afghanistan, the officials added.

 

Initially deployed unarmed in Afghanistan, the RAF Reapers have since been equipped with 500lb laser-guided bombs and Hellfire missiles by the MoD, which also ordered additional five units to tackle Taliban insurgents in October 2012.

 

Manufactured by General Atomics, the MQ-9 Reaper is a medium-to-high altitude, long-endurance (HALE) UAV designed to conduct close air support, air interdiction and intelligence, surveillance, target acquisition and reconnaissance (ISTAR) missions.

 

Announced two days before a protest organised by Drone Campaign Network outside RAF Waddington, the move has also attracted sharp criticism from the Stop the War Coalition, which says the switching of control to the UK represents "an unwelcome expansion in the country's UAV programme".

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