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13 novembre 2015 5 13 /11 /novembre /2015 17:30
En Israël, 4ème Congrès AUVSI

 

13.11.2015 IsraêlValley (IsraPresse)

 

Des centaines de personnes ont participé récemment au 4e Congrès international des véhicules sans pilote AUVSI-UVID, qui a ouvert ses portes au Salon des expositions à Tel Aviv. Le congrès est organisé par Israel Defense et l’organisation AUVSI Israel.

 

Le gouverneur de l’État du Mississippi, Phil Bryant, qui participait à l’évènement, a souligné l’importance du domaine des véhicules sans pilote et de la coopération internationale sur ce plan. M. Bryant a évoqué les accomplissements de son État dans le domaine, rappelant que le Mississippi est l’un des leaders du secteur aérospatial et des véhicules sans pilote.

 

Le Mississippi compte en effet 120 sociétés aérospatiales, dont une grande partie coopère avec des sociétés israéliennes. Des pièces destinées au montage des drones israéliens sont du reste construites dans cet État. Le gouverneur Bryant a également vanté les réussites d’Israël, qui est l’un des leaders de ce marché depuis les années 1970.

 

Plusieurs sociétés ont présenté leurs produits, notamment les Industries aérospatiales israéliennes (IAI). Le président d’IAI, Rafi Maor, a de son côté évoqué les défis que présente le domaine des véhicules sans pilote.

 

Le président du Congrès, Dr David Harari, lui-même un ancien directeur des Industries aérospatiales, a rappelé qu’au départ les drones étaient réservés à un usage militaire et que ces dernières années, les véhicules sans pilote prennent de plus en plus de poids sur le marché civil, au point de bientôt être davantage utilisés à des fins non militaires.

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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 08:30
An airborne view of the Terra test site, where integration testing of the IAI Elta TERRA dual-band multi-radar system is taking place. Photo: IAI

An airborne view of the Terra test site, where integration testing of the IAI Elta TERRA dual-band multi-radar system is taking place. Photo: IAI

 

11.11.2015 IsraelValley Desk

 

Un nouveau système de radar d’Israël appelé “Terra” est conçu pour identifier chaque missile, satellite ou avion ennemi à une distance de plusieurs milliers de kilomètres.

 

Le système se compose de deux types de radar qui se complètent mutuellement: le premier est le radar à courte portée « Ultra » qui peut fournir la première identification d’un missile ou d’un avion lancé et commencer à le suivre tout en recueillant des statistiques sur sa destination prévue. C’est là que le radar « Spectra » joue son rôle et fonctionne à une résolution plus élevée lors de la collecte de données précises sur le missile: type, poids, vitesse de vol, cible estimée.

 

Les deux radars « Terra » offrent une gamme combinée de 320 degrés et peuvent fonctionner l’un à côté de l’autre ou éloignés. En effet, le radar « Spectra », le plus petit des deux, peut être monté et utilisé de façon portable.

 

Le coût du système atteint des centaines de millions de dollars. Le radar plus petit, le « Spectra », pèse 130 tonnes et mesure 15 mètres de large et neuf mètres de haut. Le «Ultra» pèse 280 tonnes et mesure 30 mètres de large et 10 mètres de haut. Les deux sont plus grands que le radar américain Aegis.

 

Le système a été conçu par l’Israel Aerospace Industries (IAI) et sa filiale Elta, où sont conçus la plupart des systèmes de radar en Israël. Il n’est pas actuellement vendu en Israël, mais a déjà été utilisé pendant près de deux ans par des armées étrangères.

 

Le développement a duré trois ans, un record international pour la quantité de temps nécessaire pour développer un tel système. Quatre cents personnes ont travaillé sur son développement, y compris des ingénieurs et techniciens dans les usines IAI à travers Israël.

 

« Les pays du Moyen Orient avaient déjà des missiles balistiques rapides il y a dix ans, qui ont depuis été améliorés, et qui aujourd’hui peuvent atteindre des cibles, en moyenne deux à trois fois plus vite », explique une source de haut rang de l’industrie aérospatiale. « Le système est capable d’identifier et de recueillir des données fiables sur un grand nombre de cibles différentes en même temps – des missiles à longue portée, des satellites et différents types d’avions, y compris des drones », ajoute-t-il.

 

Chacun des deux radars du système est composé de centaines de petits radars qui, ensemble, peuvent se connecter à d’autres systèmes de pistage, donnant ainsi une image complète du ciel.

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28 octobre 2015 3 28 /10 /octobre /2015 08:30
A counter-measure to small drones has been developed by Elta Systems, a subsidiary of Israel Aerospace Industries.

A counter-measure to small drones has been developed by Elta Systems, a subsidiary of Israel Aerospace Industries.

 

Oct. 23, 2015 By Richard Tomkins (UPI

 

BEN GURION INTERNATIONAL AIRPORT , Israel, Oct. 23) -- A counter-measure system that detects, identifies and disrupts small drones has been debuted by Israel Aerospace Industries.

 

Drone Guard, displayed at an aeropace exhibition in South Korea this week, combines adapted 3-D radars, electro-optical sensors and dedicated electronic attack jamming systems and comes from IAI subsidiary Elta Systems Ltd.

 

"We have begun demonstrating these novel capabilities to potential customers, in response to this new threat (from small drones)," said Nissim Hadas, IAI executive vice president and president of Elta Systems. "We believe that in the near future every critical asset and public site will require these safety measures for protection against hostile drones."

 

Drone Guard uses 3D radars -- including Elta's ELM-2026D, ELM-2026B and ELM-2026BF -- for short, medium and long-range detection of drones, coupled with special detection and tracking algorithms. EO sensors for visual identification of the target are also used.

 

The systems' jamming systems, which can be used as a standalone system, disrupts the drone's flight and can either cause the drone to return to its point of origin or shut down and crash, IAI said.

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16 octobre 2015 5 16 /10 /octobre /2015 06:30
Israel receives upgraded C-130 transport

Israel is modernizing its C-130H fleet, Photo: Israeli Air Force.

 

TEL AVIV, Israel, Oct. 14 By Richard Tomkins (UPI)

 

A C-130 aircraft modernize by Elbit Systems and Israel Aerospace Industries has been delivered to the Israeli Air Force.

 

The Israeli Air Force reports that it has received its first C-130H Hercules transport it had modernized by Elbit Systems and Israel Aerospace Industries. The aircraft has new radar, digital screens, advanced systems and a new main wing. The IAF said the upgrades will help keep the plane flying for decades.

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12 septembre 2015 6 12 /09 /septembre /2015 16:35
New Delhi Nods +$400 Million Israeli Mega Drone Procurement

 

Sep 12, 2015 defense-update.com

 

The IAF has been seeking an unmanned, precision attack capability as a matter of high priority. These new drones will be operated by the Indian Air Force (IAF), which already has a large fleet of Searcher and Heron I reconnaissance drones. Both are produced by Israel Aircraft Industries (IAI).

 

The Indian government recently approved a plan to procure ten new missile-armed drones from Israel. “The $400-million proposal for buying armed Heron TP drones from Israel was cleared last week,” The Economic Times reported.

These new drones will be operated by the Indian Air Force (IAF), which already has a large fleet of Searcher and Heron I reconnaissance drones. Both are produced by Israel Aircraft Industries (IAI). The IAF also has a fleet of Harpy UAVs from Israel – designed as loitering radar-supression weapons. In addition,India operates the HAROP, a spin-off variant of the loitering weapon, designed to attack other surface targets. (Both Harpy and Harop are also made by IAI).

The proposed sale of the Heron TP to India had been on the table since 2012, but, only after the election of the new Modi government, did it receive the necessary political backing.

 

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 12:30
Défense : 4 compagnies israéliennes dans le Top 100


28.07.2015 israpresse.net
 

Le dernier classement des 100 meilleures entreprises de défense du monde, publié mardi par le magazine américain Defense News comprend quatre compagnies israéliennes.

La société israélienne la mieux placée dans le prestigieux classement est Elbit Systems. L’entreprise a d’ailleurs progressé d’une place et arrive en 29e position, avec des recettes de 2,95 milliards de dollars en produits de défense sur l’année 2014.

Les Industries aérospatiales israéliennes (IAI), dirigées par Joseph Weiss, arrivent non loin derrière en 32e position (contre la 35e position en 2014), avec des recettes de 2,785 milliards de dollars.

Vient ensuite la compagnie Rafael Advanced Systems, dirigée par Yedidia Yaari, qui passe de la 48e à la 45e place, avec 1,965 milliard de recettes.

Enfin, les Industries militaires israéliennes (IMI), dirigées par Avi Felder, ont en revanche régressé de cinq places et arrivent en avant-dernière position du Top 100.

Les deux compagnies qui se trouvent en tête du classement sont les entreprises américaines Lockheed Martin (40,128 milliards de recettes dans le secteur de la défense) et Boeing (29 milliards, alors que les recettes de défense ne constituent que 32 % des revenus du fabricant).

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 11:20
ELM-2084 MMR Radar - photo IAI

ELM-2084 MMR Radar - photo IAI

 

Jul 28, 2015 source IAI

 

Rheinmetall-Canada and ELTA Systems, an IAI subsidiary and group, have been awarded the significant Medium Range Radar (MRR) program by the Canadian Department of National Defense (DND). The radar to be supplied for the multi-mission role is the ELTA ELM-2084 MMR "Iron Dome" radar which includes C-RAM (Counter Rockets, Artillery and Mortars) and air-surveillance capabilities, and will be produced locally in cooperation with Rheinmetall-Canada.

 

Following an extensive competition process and demanding demonstrations which also included live fire testing, the ELM-2084 MMR radar was selected due to its superior performance and outstanding capabilities.

 

The ELM-2084 MMR is an advanced three-dimensional, S-Band radar, incorporating modular and scalable architecture, and is the world-leading multi-mission system. The solid-state, electronically-steered active array system incorporates Gallium Nitride (GaN) technology and offers exceptional detection and accuracy performance. The MMR is a highly mobile system, designed for fast deployment with a minimal crew.

 

Designed to simultaneously perform hostile weapon locating, friendly-fire ranging and air surveillance, the ELM-2084 MMR radar is able to detect rockets, artillery and mortars at long ranges, and can simultaneously engage a large number of targets. Deployed in a C-RAM role, the MMR can provide fire control when integrated with a weapons system.

Because of its superior tracking capabilities MMR delivers a reliable and improved air situation picture as well as reliable, uninterrupted tracking of any manoeuvring aircraft. Furthermore, it can detect and track low radar cross-section (RCS) targets.

Advanced signal processing enables effective operation even in conditions of heavy clutter as well as in noisy and dense environments, with assured classification and identification of targets and superior low-altitude operation. The radar system also includes advanced Electronic Counter-Counter Measure (ECCM) capabilities.

 

The two companies will implement a technology transfer program in full conformity with the intent of Canada's recently announced Defence Procurement Strategy to create local jobs and capabilities and help spur economic growth.

 

"This partnership with ELTA Systems is of strategic importance to Rheinmetall Canada," said Rheinmetall Canada's President and CEO, Dr. Andreas Knackstedt. "ELTA was considered the partner of choice due to the program's demanding requirements. The award of the MRR contract to the Rheinmetall/ELTA team is a testimony of Elta's leading-edge technology and know-how for which it is recognized worldwide."

 

"We are honoured to have been selected by the Canadian Army," said Mr. Nissim Hadas, IAI Executive VP & ELTA President. "Together, with our partners in Rheinmetall-Canada, we will provide the most sophisticated C-RAM,air-surveillance and radar available, with a significant portion of the production to be performed locally in Canada."

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7 juillet 2015 2 07 /07 /juillet /2015 11:30
IAI and Thales have integrated a new datalink capability on Heron

 

Jul 7, 2015 source IAI

 

Israel Aerospace Industries (IAI) and Thales have conducted, in Israel, risk reduction flight tests for the integration of Thales and Elisra's NATO STANAG 7085 data link on board the Heron Medium-Altitude Long-Endurance unmanned aerial vehicle (MALE UAV).

 

Through a joint effort between IAI and Thales, Thales's data link terminal, the TMA 6000, together with Elisra Radio Frequency Modules and antennas, have been integrated on board the Heron system and successfully demonstrated in flight. During the flight test, both infrared and daylight videos were transmitted in real time to the ground control station, and the sensors were controlled in real time from the ground.

 

The TMA 6000 complies with NATO STANdard Agreement (STANAG) 7085: the waveform standard for real time transmission of videos, images and other Intelligence Surveillance Reconnaissance (ISR) data from on-board sensors to dedicated ISR stations. This compliance ensures NATO interoperability and guaranties radio frequency authorisation in full alignment with the International Telecommunications Union (ITU) regulation, as well as high resistance to jamming and interception. The TMA 6000 offers exceptional radio performances with a throughput capability up to 137 Mb/s.

 

The Heron is a MALE UAV developed by Israel Aerospace Industries. It is capable of operations of up to 45 hours in duration at up to 30,000 ft. The different variants of Heron are operated by more than 15 nations worldwide including: Israel, Australia, Canada, France, Germany, and more.

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24 mars 2015 2 24 /03 /mars /2015 12:25
IAI's first B767 MMTT conversion was the 'Jupiter' currently operated by the Colombian Air Force (FACH).

IAI's first B767 MMTT conversion was the 'Jupiter' currently operated by the Colombian Air Force (FACH).

 

Mar 2015 By: Arie Egozi - FG

 

Tel Aviv - After long delays, the Brazilian government has allocated the required budget for the purchase of three converted Boeing 767-300s that will serve as aerial tankers. The conversions will be performed by Israel Aerospace Industries.

 

IAI was selected for the contract in 2013, but the elections in Brazil last October had frozen the process, which remained slow even after the formation of a new government.

 

According to sources in Brazil, the air force increased its pressure, by claiming that the capability to refuel aircraft in the air and to also transport forces and equipment is its top priority.

 

The service has already retired a previous fleet of four KC-137 tankers, which were adapted from the Boeing 707, and now has just two Lockheed Martin KC-130H/M aircraft operational in this role.

 

At least one of the 767s will be converted by IAI's Bedek division, with the others to be completed in Brazil by TAP subsidiary TAP Manutenção e Engenharia Brasil, under its supervision. The work will include equipping the aircraft with wing-mounted hose and drogue refuelling pods.

 

Brazilian sources say they already have the tail numbers of the three 767s that will be converted. After the contract is signed IAI will purchase the aircraft and begin the conversion process.

 

IAI declines to comment on the fact that the programme has received the green light from the Brazilian government.

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 12:30
Défense: 3 microsatellites Samson ont été lancés à partir d’un avion

 

March 8, 2015 by israelmagazine

 

3 microsatellites Samson ont été lancés à partir d’un avion, sur une orbite basse de 300/600 km, en formation. Mis au point par le Technion de Haïfa, sous la direction du Pr Pini Gourfil, en coopération avec les sociétés Rafael et Israel Aerospace Industries, chaque satellite est construit à partir de six cubes dont le volume ne dépasse pas 10cm3 et pour un poids total de 8kg. Ces microsatellites ont pour but de localiser en un court délai un point sensible, afin de faciliter des sauvetages ou des interventions rapides suite à un désastre. D’autres applications sont également envisagées comme l’élaboration d’une plate-forme de communication rapide et de photographie à très haute résolution…

 

Suite dans Israël Magazine n°170.

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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 12:30
Credits Israel Defense

Credits Israel Defense

 

March 19, 2015 By: Arie Egozi – FG

 

Tel Aviv - Israel's defence ministry is trying to create a "formula" that will allow the nation's unmanned air system manufacturers to sell their products in Poland.

Warsaw is soliciting bids for 12 systems of middle-range tactical UAS and 15 systems of mini-UAS for its armed forces. Initial bids were made last month, with further stages to follow. The Polish defence ministry wants to sign a deal in early 2016.

At this stage, the official position of the Polish government is to make an effort to buy systems via local companies, but the armed forces are pressing for proven systems, which will bring Israeli manufacturers into the competition – either directly or indirectly.

 

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 08:35
A330 MRTT photo Airbus DS

A330 MRTT photo Airbus DS

 

Mar 14, 2015 defense-aerospace.com

(Source: Korea Herald; published Mar 13, 2015)

 

South Korea has postponed the introduction of aerial refueling tankers by about a year until 2018 due to a delayed process of selecting a successful bidder, government officials and industry sources here said Friday.

 

The 1.4 trillion won ($1.26 billion) project to purchase four refueling tankers has drawn interest from three aerospace giants: Europe's Airbus Defense and Space, Boeing of the United States and Israel Aerospace Industries (IAI) of Israel.

 

The Defense Acquisition Program Administration (DAPA), South Korea's state arms procurer, had planned to choose the winning bidder by the end of last year, but the process has been delayed due mainly to gaps in offsets of defense trade terms, according to industry sources.

 

Offsets in defense trade encompass a range of industrial compensation arrangements required by foreign governments as a condition of the purchase of defense articles and services from a non-domestic source.

 

"We will resume negotiations with the candidates next week," said a DAPA official, requesting anonymity. "After wrapping up the talks and bidding process by the end of next month, we will make a contractor selection in June."

 

The delay in the selection process has subsequently caused the military's schedule of putting the tankers into service to be postponed from 2017 to 2018, a defense ministry official said.

 

"But we are to deploy all four tankers by 2019 as planned -- two in 2018 and two in 2019," the official noted.

 

The use of tankers allows the fighter jets to stay airborne for an extra hour and carry more weapons. The greater payload is made possible because the jets can take off with less fuel, thereby lightening their weight. (Yonhap)

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 08:35
Bird-Eye 400 photo IAI

Bird-Eye 400 photo IAI

 

Feb 11, 2015 Defence-Update

 

The agreement covers local production of IAI's Bird-Eye 400 and Bird-Eye 650 mini UAS as well as other mini-unmanned aerial systems

 

Israel Aerospace Industries (IAI) and India’s Alpha Design Technologies have signed a teaming agreement for the production and marketing of mini-Unmanned Aerial Systems (UAS) in India to accommodate the operational needs of Indian customers. Potential customers in India include security agencies and all defense organizations including police forces, coastguard and Border Security Forces (BSF).

 

According to Shaul Shahar, IAI VP and General Manager of the Military Aircraft Group, the agreement with Alpha follows India’s policy for ‘Buy and make India’. “The important vision of ‘Make in India’ is being made fully effective by this joint effort. Alpha will meet the huge market in India and will examine further, later exports by Alpha, through IAI to various countries”. Col. H. S. Shankar, Chairman & Managing Director, Alpha Design Technologies Private Limited, added.

 

The agreement covers local production of IAI’s Bird-Eye 400 and Bird-Eye 650 mini UAS as well as other mini-unmanned aerial systems. Production of the systems will take place in India, while the marketing will be a joint effort of the two companies. Alpha Alpha will also provide integration of the systems in India, with IAI’s support.

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19 décembre 2014 5 19 /12 /décembre /2014 07:30
Top Gun fuze photo IAI

Top Gun fuze photo IAI

 

13/12/2014 IsraelDefense

 

Pursuant to Operation Protective Edge, the IDF Ground Arm has decided to complete the development process and initiate procurement in the context of the "precision artillery shell" project

 

The IDF Ground Arm has decided to complete the development process and initiate procurement in the context of the "precision artillery shell" project.

 

MAFAT, IMOD's Weapon System & Future Technological Infrastructure Research & Development Administration, had initially supported two primary projects involving the manufacture of precision guidance fuzes for artillery shells: the fuze designated "Top Gun" by IAI and the fuze designated "Silver Bullet" by Rokar, a subsidiary of the BAE Systems Group.

 

The fuze is intended to convert any "dumb" artillery shell into a precision-guided munition.

 

The idea behind the development effort was to convert "standard" artillery layouts, that are part of every military organization around the world, into systems possessing the ability to launch precision-guided munitions with an accuracy radius of ten meters, for a price that may be regarded as relatively inexpensive, so that ground forces may be able to afford the acquisition of the new measure.

 

In the case of the Silver Bullet fuze, the shell leaves the muzzle of the gun with the fins already deployed. The location data of the shell are continuously transmitted and picked up by a two-way antenna. The uploading of target data into the computer inside the fuze is accomplished through wireless communication.

 

The Top Gun fuze by IAI also passed a series of trials in previous years. In the Top Gun fuze, the fins are deployed after the shell has left the muzzle of the gun. They are identical in size and function much like the wings of an aircraft.

 

The IDF Ground Arm made a decision to acquire "a precision guidance fuze" and will select one of the options being offered.

 

Converting "dumb" artillery shells into precision-guided munitions can be a significant force multiplier for any artillery unit. Converting standard shells into precision-guided munitions will also make it possible to engage targets in densely-populated combat zones that characterize the modern battlefield, as concerns about hitting uninvolved parties – as was the case during Operation Protective Edge – will be minimized.

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 08:30
Un missile Arrow 3 missile lancé en test (photo U.S. Missile Defense Agency)

Un missile Arrow 3 missile lancé en test (photo U.S. Missile Defense Agency)

 

17 décembre 2014 timesofisrael.com (AFP)

 

Le nouveau système de défense antimissile, Arrow 3 a été testé mardi, mais il n’a pas pu être testé en condition réelle

 

Israël a procédé mardi au test d’un nouveau système de défense antimissiles, Arrow 3, mais a dû renoncer à expérimenter dans des conditions réelles ses capacités à intercepter un engin supposé hostile, selon un responsable du ministère de la Défense cité dans la presse.

 

Israël avait prévu d’intercepter pour la première fois avec Arrow 3, un système israélo-américain, un missile factice tiré au-dessus de la Méditerranée.

 

Mais « les conditions n’ayant pas été réunies et en fonction de nos critères, nous avons décidé de ne pas lancer l’intercepteur Arrow 3″, a dit Yaïr Ramati, haut responsable du ministère cité sur le site internet du quotidien Jerusalem Post.

 

« Une panne est survenue au cours du test du missile ennemi qui devait servir de cible, pour des raisons inconnues », a rapporté le site d’information Wallaafpa, citant des experts de l’industrie militaire.

 

Le ministère de la Défense a simplement indiqué, dans un communiqué, qu’un missile d’interception avait « été lancé avec succès et suivi par le système Arrow dans le cadre du programme de tests menés avec l’Agence américaine de défense antimissiles ».

 

Le lancement du projet Arrow remonte à 1988, dans le cadre du programme antibalistique américain connu sous le nom de « Star Wars ». Il a été accéléré après le bombardement du territoire israélien par des missiles Scud irakiens durant la première guerre du Golfe, en 1991.

 

Le Arrow et ses différentes versions sont l’une des quatre composantes du projet « Homa » (« muraille » en hébreu) qui vise à protéger Israël des attaques de missiles et roquettes. Israël cherche en particulier à se protéger d’une menace iranienne.

 

Le programme Arrow, en partie financé par les Etats-Unis, a été conçu et réalisé par Israel Aerospace Indutries avec Boeing, et les entreprises israéliennes Elta et Elbit-Elisra.

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2 décembre 2014 2 02 /12 /décembre /2014 08:30
Israël, vol au-dessus d’un nid de drones

 

26.11.2014 Par , LeMonde.fr

 

Pour le visiteur néophyte, l’atelier ultra-sécurisé de l’entreprise Israel Aerospace Industries (IAI) pourrait parfois ressembler à une salle d’exposition pour avions modèles réduits. Dans ce hangar baigné d’une lumière crue, une délégation venue d’Asie déambule entre des engins à différents stades d’assemblage, dont les plus petits peuvent être soulevés à deux mains. Mais ces appareils à la silhouette futuriste n’ont guère à voir avec le monde ludique de l’aéromodélisme : nous sommes chez Malat, la division « avion sans pilote » d’IAI.

La compagnie étatique est l’un des champions de l’Etat hébreu en matière de défense. Et le point de passage obligé pour qui veut comprendre comment Israël s’est imposé premier exportateur mondial de drones, devant les Etats-Unis. Une prouesse que ce pays de 8 millions d’habitants, plus petit que la Lorraine, est en passe de rééditer en 2014 malgré une concurrence accrue.

« Le marché local est bien trop petit pour nous : plus de 90 % de nos produits sont vendus à l’export et nous comptons une cinquantaine de clients sur les cinq continents », énumère Jacques Chemla, directeur de la branche Malat, où il œuvre depuis le début des années 1980. Avec huit sortes de drones opérationnels au catalogue, l’entreprise développe une gamme d’une rare diversité. De l’engin électrique assez petit pour être transporté dans un sac à dos au drone MALE (moyenne altitude longue endurance) Heron TP dont l’envergure est proche de celle d’un Boeing 737, en passant par le kamikaze Harop, qui détruit sa cible en fondant sur elle comme un missile. Parmi les projets en développement, le Butterfly (« papillon »), 15 grammes seulement, équipé d’une caméra miniaturisée et conçu pour voler à l’intérieur d’un bâtiment…

Selon une étude du cabinet Frost & Sullivan publiée en 2013, l’industrie israélienne des drones a totalisé 4,6 milliards de dollars (3,7 milliards d’euros) d’exportations entre 2005 et 2012. Les Etats-Unis, premier producteur mais très orienté vers le marché intérieur, arrivent derrière avec moins de 3 milliards de dollars.

 

Rôle précurseur

La formule du succès ? Un mélange d’histoire et de géopolitique, relevé d’un goût prononcé pour l’innovation et d’un fort sens commercial. Dans le hangar d’IAI, fièrement accroché au plafond, un modèle Scout de la toute première génération d’appareils télécommandés rappelle le rôle précurseur joué par Israël dans cette industrie. Le programme a été lancé juste après le désastre de la guerre du Kippour, en 1973, qui avait vu l’armée de l’air subir des dégâts considérables faute d’informations fiables.« Le pays a été pionnier, car il a très vite dû mener des conflits asymétriques, estime ainsi Yaki Baranes, expert chez Frost & Sullivan. Et, compte tenu de sa petite taille qui lui interdit de disposer d’une armée très nombreuse, il a toujours mis l’accent sur la technologie. »

Au sein de l’armée de l’air, les drones assurent déjà plus de la moitié des missions. Une place prépondérante confirmée cet été lors de l’opération « Bordure protectrice » à Gaza, où ces robots volants ont été omniprésents. Une grande conférence réunissant hauts responsables de l’armée et de l’industrie de défense, mercredi 26 novembre, près de Tel-Aviv, prévoyait justement de se pencher sur « le rôle des systèmes sans pilote pendant l’offensive à Gaza ». Cette symbiose est dénoncée par les Palestiniens, qui accusent Israël de se servir de ces conflits comme d’un laboratoire pour tester ses armements.

La proximité avec Tsahal offre à l’industrie un autre avantage : celui du « système de la réserve », comme l’appelle le spécialiste Alon Unger, organisateur de l’UVID, la principale conférence israélienne consacrée au secteur. Au sein des groupes de défense, de nombreux ingénieurs sont aussi des réservistes régulièrement actifs dans l’armée. Cette double casquette permet « un retour sur expérience rapide de la façon dont la technologie est utilisée concrètement et peut être améliorée », explique M. Unger. Elbit Systems, grand concurrent privé d’IAI, coté au Nasdaq, n’hésite pas à faire figurer la mention « combat proven »(« ayant fait ses preuves au combat ») sur la notice de certains de ses produits phares. Le groupe de Haïfa, qui n’a pas souhaité répondre à nos questions, est le premier fournisseur de l’armée israélienne en drones tactiques avec son modèle Hermes 450, capable de rester dix-sept heures en vol.

 

Applications civiles

A en croire les professionnels du secteur, la géostratégie et le partenariat avec l’armée ne sont pas les seuls arguments commerciaux des fabricants.« Notre politique de coopération avec l’industrie des pays clients est un élément décisif pour comprendre notre réussite à l’export », assure M. Chemla, qui évoque « une approche typiquement israélienne ».

Dès la phase de conception, les drones sont pensés de façon modulaire et ouverte. Le client n’est pas contraint d’acquérir les applications développées par l’entreprise mais peut choisir d’installer lui-même les charges utiles et les options. Autrement dit, les caméras, viseurs-lasers et autres systèmes de communication qui donnent à l’appareil toute sa valeur. Telle fut l’approche privilégiée par la France pour ses quatre drones MALE Harfang, codéveloppés avec EADS à partir du Heron.

IAI et Elbit sont les deux géants d’un marché qui compte localement d’autres acteurs, plus petits mais non moins dynamiques. « Nous essayons de nous battre comme David contre Goliath, en étant créatifs et flexibles », fait valoir Dany Eshchar, vice-président du fabricant Aeronautics. Pour faire la différence, l’entreprise se positionne sur un segment à fort potentiel : celui des mini-drones. Elle compte déjà 35 clients dans le monde pour son petit modèle Orbiter. Aeronautics s’engouffre aussi dans le marché des applications civiles, « encore immature mais très prometteur », selon M. Eshchar. Certains de ses drones Dominator et Aerostar sont aujourd’hui utilisés pour de la surveillance agricole, d’autres pour aider à combattre les incendies.

Si celui-ci est toujours balbutiant faute de réglementations adaptées, le marché commercial est un débouché que n’ignore plus aucun producteur. Elbit a ainsi vendu au Brésil son nouveau modèle Hermes 900 pour effectuer des missions de surveillance et de sécurité lors de la Coupe du monde de football cet été.

 

Concurrence plus rude

Les groupes israéliens étudient toutes les stratégies, soucieux de conserver leur avantage à l’heure où la concurrence se fait plus rude. La décision de la France, mi-2013, de commander douze drones Reaper à l’américain General Atomics, au détriment du Heron TP qui devait être « francisé » par Dassault, a marqué les esprits. Le marché des avions sans pilote reste promis à une belle expansion : les dépenses qui lui sont consacrées devraient doubler en dix ans pour atteindre 11,6 milliards de dollars annuels, selon une étude du cabinet Teal publiée en 2013. Mais, de la Chine à la Russie, en passant par les Emirats arabes unis ou l’Inde, de plus en plus de pays veulent aujourd’hui leur part du gâteau.

Dans cette course, l’Etat hébreu conserve toutefois de sérieux atouts. Une combinaison d’expérience et d’inventivité qu’un détour par la jeune entreprise Tactical Robotics permet d’illustrer. Physique sec, regard bleu acier, le patron, Rafi Yoeli, est un vétéran du secteur. Ancien d’IAI, il a participé au premier programme Scout. « A l’époque, ce fut une véritable percée. L’engin que nous construisons aujourd’hui est une nouvelle révolution qui marquera un tournant dans la façon dont sont utilisés les drones », affirme-t-il sans ciller.

Trônant au milieu des locaux, l’AirMule, machine étrange aux airs de voiture volante, est le résultat de douze années de travail et de 37 brevets. Cet hélicoptère sans pilote, à décollage et atterrissage vertical, a l’étrange particularité d’avoir ses rotors intégrés à l’intérieur du fuselage. Objectif : pouvoir évacuer les blessés et ravitailler les troupes dans des zones de guerre où ne peut intervenir un hélicoptère traditionnel, rendu vulnérable par le rayon de ses pales. Mi-2015, l’appareil sera testé dans le désert du Néguev (Sud).

Rafi Yoeli table sur une première commande l’an prochain et évoque de nombreuses marques d’intérêt de l’étranger. « Au début, on nous prenait pour des fous, mais sans doute est-ce bon signe », s’amuse cet ingénieur aéronautique selon lequel la formule du succès à l’israélienne se résumerait ainsi : toujours penser « out of the box ». Hors des sentiers battus.

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1 décembre 2014 1 01 /12 /décembre /2014 07:35
Drone Down! Indian Heron UAV Crashes

 

November 26, 2014 Livefist

 

Drone down. An IAI Heron unmanned aerial vehicle of the Indian Air Force crashed today [26 nov] near Bhuj in western India. Indications are that the crash followed engine trouble and subsequent loss of control. The Indian Navy has lost a few Searcher MK.IIs in the past, but I'm pretty sure this is the first crash of the larger Heron, the most advanced unmanned air system currently in Indian service. The IAF and Indian Navy operate about 45 Heron I/IIs between them, with the government clearing a 15 Heron buy 11 months ago.

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11 novembre 2014 2 11 /11 /novembre /2014 17:35
photo IAI (source Livefist)

photo IAI (source Livefist)

 

NEW DELHI, 10 novembre - RIA Novosti

 

L'Inde et Israël ont testé un missile sol-air guidé à longue portée, LRSAM, sur le territoire israélien, a annoncé lundi le gouvernement indien.

 

"Tous les systèmes, y compris le radar, le système de lancement et le missile, ont fonctionné comme prévu et le missile a détruit sa cible", a indiqué le gouvernement dans un communiqué.

 

Les représentants de l'entreprise de construction aéronautique Israel Aerospace Industries (IAI) et de l'agence indienne Defence Research and Development Organisation (DRDO) ont assisté à l'essai du missile qui doit équiper les forces armées des deux pays.

source Livefist

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5 novembre 2014 3 05 /11 /novembre /2014 17:30
Israël inaugure la ligne de production des avions F-35

 

05.11.2014 i24news.tv

 

Le ministre de la Défense Yaalon salue la coopération américano-israélienne sur un projet de 2,5 milliards $

 

Israel Aerospace Industries (IAI) a inauguré sa ligne de production des ailes de l'avion de combat F-35.

 

La ligne automatisée devrait produire environ quatre paires d'ailes par mois qui seront ensuite fixées au fuselage du F-35 aux États-Unis.

 

IAI devrait fournir plus de 800 paires d'ailes de F-35 au cours de la prochaine décennie.

 

La première paire d'ailes sera prête pour la livraison à la mi-2015.

 

Les ventes potentielles sont estimées à 2,5 milliards de dollars.

 

Lors de la cérémonie de lancement du fabricant israélien, le ministre de la Défense Moshe Ya'alon a décrit la participation de son pays dans le projet comme une preuve que les relations bilatérales étaient bonnes, en dépit des revers.

 

"La relation spéciale entre les Etats-Unis et Israël est plus forte que tout désaccord", a déclaré Ya'alon.

 

"Et il n'y a pas de différend sur la reconnaissance que le peuple d'Israël a besoin des États-Unis pour soutenir notre force et notre sécurité", a déclaré Ya'alon.

 

Une autre société israélienne, Elbit Systems Ltd, va produire des casques pour les pilotes. Susan Ouzts, vice-président des programmes internationaux à Lockheed, place la valeur de la contribution d'Israël au projet F-35 à 4 milliards de dollars.

 

Israël a par ailleurs acheté 19 F-35 à 2,75 milliards de dollars, et les livraisons devraient commencer en 2016, et pourrait bientôt commander entre 25 et 31 avions en plus, selon des sources militaires.

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14 octobre 2014 2 14 /10 /octobre /2014 12:56
Un rapport dénonce le fiasco financier et calendaire du drone Harfang

Airbus Group a mis près de 270 millions d'euros de sa poche pour livrer le drone Harfang à l'armée française (Crédits : Arméé de l'Air)

 

14/10/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Une facture qui enfle (de 100 à 440 millions d'euros), des délais qui explosent (5 ans de retard), une opération qui est mal évaluée, selon un rapport du ministère de la Défense. Le drone Harfang a cumulé tout ce qu'il ne fallait pas faire.

 

Le Predator aurait pu voler beaucoup plut tôt sous les couleurs de l'armée française. Dès 2003. C'est la petite histoire dans l'histoire chaotique, trop chaotique du SIDM (Système intérimaire de drone MALE). Car Sagem, associé à l'américain General Atomics, proposait en 2001 au ministère de la Défense un système sur la base du drone Predator. Mais c'est finalement Airbus Group (alors EADS), qui est retenu par la DGA (Direction générale de l'armement) pour doter l'armée de l'air d'un drone de surveillance, de reconnaissance et de désignation d'objectif de jour comme de nuit. La plateforme du successeur du drone Hunter est réalisée par le groupe israélien IAI, sur la base du drone Heron.

C'est le début d'un long chemin de croix pour les militaires, qui ne pourront disposer du drone Harfang, d'abord conçu comme une solution intérimaire de courte durée, qu'en 2008... au lieu de 2003. Cette opération non érigée en programme (ONEP) initialement prévue pour être réalisée entre 2001 et 2003, devait être proche d'un achat sur étagère. Elle s'est poursuivie "jusqu'à la fin 2008", note un rapport du ministère de la Défense. "Plus de cinq ans de retard, pour une durée initialement prévue de deux ans, montrent que la difficulté technologique d'une telle opération avait été sous-estimée. De plus, le refus américain d'autoriser l'utilisation de certains composants a créé des problèmes qui ont également retardé le déroulement du programme", explique ce rapport.

 

La facture passe de 100 à 440 millions d'euros

A l'origine, le coût envisagé était relativement limité pour quatre drones (environ 100 millions d'euros), explique le rapport. Mais le résultat est très éloigné de cette évaluation : il a été multiplié par plus de quatre, pour atteindre plus de 440 millions. Selon le rapport, le coût de réalisation (163 millions) ne représente que la moitié des coûts identifiés jusqu'en octobre 2013, le soutien (contractualisé et interne) atteignant près de 100 millions d'euros, tandis que le coût d'utilisation s'élève à 36 millions d'euros. Pour une utilisation jusqu'à 2017, les coûts de soutien et d'utilisation sont évalués à plus de 120 millions d'euros, dont près de 22 millions d'utilisation: soit 440 millions d'euros.

Airbus Group a effectué, pour sa part, plus de 130 millions d'euros de dépenses propres, auxquelles peuvent être ajoutés plus de 120 millions d'euros pour les études du futur drone MALE. Il a par ailleurs eu à s'acquitter de 18,5 millions d'euros de pénalités. Soit près de 270 millions d'euro de sa poche.

 

Une opération mal évaluée

Lors du lancement de l'opération, les difficultés de réalisation ont été "mal évaluées, notamment en matière de navigabilité ou de capacité de vol". Airbus Group "n'a pas tenu ses engagements, notamment en termes calendaires". En revanche, le rapport du ministère estime que "les équipements livrés apportent aujourd'hui une capacité essentielle aux forces, et leur intégration dans la chaîne opérationnelle est maintenant bien maîtrisée". Les auteurs du rapport reconnaissent que certaines étapes de la réalisation du drone "ont connu des problèmes difficilement prévisibles".

Pour autant, en dépit des difficultés de ce programme, l'emploi du drone Harfang a été "décisif en Afghanistan et au Mali". Ces drones ont pu être employés en opérations extérieures, notamment en Afghanistan dès 2009, avant même d'avoir toutes leurs capacités. Celles-ci ont été apportées par la suite et utilisées au Mali. Ils ont montré une "excellente intégration dans la manoeuvre aérienne et terrestre".

 

Et maintenant ?

Comme toujours, en matière de drones, le futur est toujours compliqué en France. Des travaux sont actuellement menés pour maintenir jusqu'en 2017 le système Harfang actuel. Au-delà, il est prévu que la capacité de drones MALE soit assurée par des systèmes Reaper (un premier système a été acheté et livré en 2013) et les réflexions se poursuivent pour les drones futurs. "Quant au système pérenne qui doit lui succéder, espéré depuis 2001 et aujourd'hui envisagé pour 2020, il risque de connaître également un glissement de calendrier de plusieurs années, notamment s'il s'agit de développer un drone de conception européenne", estime le rapport.

La France dispose dans ce domaine de capacités industrielles certaines, estime le rapport, mais il lui est difficile d'y rester présente face aux Américains. "Il lui faut néanmoins tenter de poursuivre cette activité, notamment dans le domaine des équipements pour lequel les industriels ont des compétences reconnues", précise-t-il. Pourtant, les drones, qui sont de plus en plus indispensables aux armées, ont un intérêt opérationnel essentiel. "Les drones ne remplacent pas des capacités existantes mais apportent des capacités nouvelles (notamment l'endurance longue de 24 heures et la surveillance à distance de la base)". Enfin, "si l'on compare les missions effectuées avec celles d'un avion de combat, le coût global d'une heure de surveillance d'un drone est bien moins coûteux: celui-ci assure en effet une permanence longue et ne nécessite pas d'avion ravitailleur pour effectuer le transit".

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 11:30
MDA and Israel test upgraded Arrow 2 interceptor missile system

The Arrow 2 anti-ballistic missile interceptor lifts off from the Point Mugu Sea Range, California, US. Photo US Navy.

 

10 September 2014 army-technology.com

 

The US Missile Defence Agency and the Israel Missile Defense Organization's directorate of defence research and development conducted a joint test of an upgraded Arrow 2 ballistic missile interception system over the Mediterranean Sea.

 

US Defense Department spokesman army colonel Steven Warren said: "An Arrow-2 missile was launched and performed its flight sequence as planned.

 

"The results are being analysed by programme engineers.

 

"The test results have no effect on the Israeli operational system capability to cope with the existing threats in the region."

 

A Sparrow missile was fired from the Mediterranean Sea at Israel during the test, which forms part of Israel's effort to develop a more advanced block of air defences against continually improving projectile threats used by its enemies.

 

A senior Israeli defence ministry official said: "The systems detected and tracked the missile, and at the correct time, fired an Arrow 2 interceptor.

 

"All of the stages were carried out. We are now going over visual intelligence, broadcast from the interceptor and the target missile, to determine what occurred in the end stage."

 

The improved version of the joint US-Israel Arrow Weapon System is intended to counter future threats and provide the system with an interceptor engagement capability.

 

Manufactured by Israel Aerospace Industries, the Arrow 2 serves as the second layer of Israel's multi-layered missile defence system and is designed to block incoming long-range enemy missiles.

 

In 2000, the system entered operational service with the Israeli Defence Forces and has occasionally been tested either in Israel or the US.

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 11:35
INS Kolkata - photo Livefist

INS Kolkata - photo Livefist

 

14 août 2014. Portail des Sous-Marins

 

Le bombardement par Israël de la bande de Gaza a des conséquences assez inattendues pour la marine indienne. Le conflit, combiné avec la défaillance de l’organisme indien de recherche, a conduit au retard de l’installation d’un système de missiles à bord du destroyer INS Kolkata, un navire dont l’admission au service actif reste cependant programmé pour ce samedi en présence du premier ministre Narendra Modi.

 

Cette affaire illustre la manière dont des conflits étrangers peuvent affecter l’Inde, en particulier son niveau de préparation militaire : l’armée et la marine indiennes sont très dépendantes des importations et des savoir-faire étrangers.

 

L’admission au service actif signifie normalement qu’il est opérationnel, prêt à accomplir ses missions. Mais l’INS Kolkata est privé de son système de défense anti-aérienne et de son sonar actif remorqué, un des 2 moyens qui lui permettent de détecter les sous-marins, ont reconnu ce jeudi des officiers de haut-rang.

 

« Nous sommes inquiets, » a déclaré le vice-amiral A.V. Subhedar, responsable de la construction et des achats de navires. « Mais nous pensons que le missile sera disponible sous peu : les lanceurs sont prêts. »

 

Le système de défense anti-aérienne devait être développé conjointement par la Defence Research and Development Organisation (DRDO) indienne et par Israel Aircraft Industries selon un accord signé en 2006.

 

Le contre-amiral A.B. Singh, adjoint au chef d’état-major, a expliqué que le système de lancement du missile Barak NG (pour nouvelle génération) était prêt, mais qu’il ne pourrait être installé à bord du destroyer qu’après que le missile ait été testé en Israël.

 

Un précédent essai, en février, a échoué « parce qu’il y a eu des oscillations, tous les paramètres n’ont pas été respectés. »

 

Un essai complet du missile — au cours duquel il sera lancé depuis un lanceur et devra abattre un missile attaquant — ne devrait avoir lieu que vers la fin septembre.

 

L’essai a été retardé à cause des bombardements israéliens sur la bande de Gaza. De nombreuses compagnies aériennes avaient annulé leurs vols vers Tel Aviv — des roquettes lancées par le Hamas étaient tombées à proximité de l’aéroport — jusqu’à ce qu’un cessez-le-feu fragile n’intervienne cette semaine.

 

Le destroyer INS Kolkata, d’un déplacement de 6.800 t, est la tête de série du Projet 15A. 2 autres sont en construction : le Kochi et le Chennai.

 

Baptisé un “destroyer furtif”, le Kolkata était attendu pour 2010. Il a déjà 4 ans de retard, mais, malgré ce retard, le DRDO n’est pas parvenu à terminer à temps le système de missiles d’une portée de 70 km. Le Barak NG est supposé être le bouclier anti-aérien non seulement de l’INS Kolkata mais aussi de toute la force qu’il protège, dont un porte-avions.

 

Le Kolkata est aussi le “navire d’essai” pour une autre classe de 4 navires, baptisée le Projet 15B. Ces 4 navires doivent recevoir de nouveaux systèmes, dont la plupart sont développés en Inde, mais l’absence du Barak NG et du sonar actif remorqué peut limiter le rôle de ces navires.

 

Un autre conflit à l’étranger — la crise en Ukraine — pourrait avoir des conséquences sur le Kolkata : ses moteurs — des turbines à gaz fabriquées par l’usine Zorya en Ukraine — doivent aussi constituer le principal système de propulsion du Projet 15B.

 

La crise en Ukraine ne devrait pas avoir de conséquences immédiates. Mais la marine indienne est à la recherche d’autres fournisseurs pour les pièces détachées des navires en construction.

 

Le 23 aout, la marine indienne doit mettre en service un 2è navire, le Kamorta. Caractéristique unique : le Kamorta est une corvette de lutte anti-sous-marine, dont 90% des équipements ont été conçus en Inde.

 

Mais le Kamorta, comme le Kolkata, ne sera pour l’instant équipé de son sonar actif remorqué. En d’autres termes, la plateforme ASM n’aura pas de senseur de détection de sous-marin.

 

Le mois dernier, le ministre de la défense Arun Jaitley a annoncé au Parlement qu’il avait retenu une compagnie allemande, Atlas Electronik, pour fournir le sonar actif remorqué, non seulement pour le Kamorta, mais pour tous les navires de 1er rang. La DRDO cherche aussi à développer son propre sonar actif remorqué.

 

Référence : Calcutta Telegraph (Inde)

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14 août 2014 4 14 /08 /août /2014 07:30
IAI targets fresh sales with loitering Harop

 

12 Aug 2014 By: Arie Egozi - FG

 

Israel Aerospace Industries is negotiating further sales of its Harop loitering munition, which it is offering as part of a package that also includes the Lora surface-to-surface missile.

The Harop can be launched from a variety of platforms on land or sea, before navigating towards a potential target area.

 

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 07:30
Op Protective Edge: IAI's Green Rock System Became Operational

 

28/7/2014 IsraelDefense

 

The mobile autonomous tactical counter Rocket, Artillery & Mortar (C-RAM) system supports and assists troops in Gaza to return fire at the source of mortar fire, which have become a significant threat

 

The mortar threat has become a significant during the ground operation in Gaza. Many troops are within the range of Hamas' mortars and supper injuries as a result. The Green Rock system by IAI entered operational use in Gaza in record time, following the threats directed against the fighting forces.

 

So far the system performance proved itself and succeeded in detecting and pinpointing the source of fire, and thus the system helps protect the lives of soldiers in the field.

 

The system, revealed just a month ago, is a mobile autonomous tactical counter Rocket, Artillery & Mortar (C-RAM) system. The system is designed to support a variety of ground force protection missions, including fire source location, friendly forces fire correction, and detection of low-flying airborne targets such as UAVs, gliders and hovering platforms.

 

The system provides a complete low/high trajectory target, real-time intelligence and rapid response solution for tactical forces. Green Rock's mission is to locate fire squad positions, distribute selective warning alarms and enable an effective fire response.

 

The system, developed by ELTA systems, an IAI group and subsidiary, can be installed on a variety of mobile or stationary platforms such as armored personnel carriers, high mobility multipurpose wheeled vehicles, and all-terrain vehicles. Green Rock includes a Phased-Array Pulse Doppler Radar which acquires and tracks the trajectories of ballistic munitions such as rockets, artillery and mortars, calculates the point from which they were launched, and predicts the location of the expected impact. This information is reported, via a communications system, to friendly forces to indicate and provide warning of relevant threats. Data can be also sent to precision weapons systems to allow a rapid and accurate response to source of the threat.

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17 juillet 2014 4 17 /07 /juillet /2014 07:30
Défense: Un Contrat de 1,2 $ Milliard pour IAI (Israel Aerospace Industries)

 

15.07.2014 par Avner Myers – Israel Valley

 

Israel Aerospace Industries (IAI) est actuellement en pourparlers pour commercialiser des systèmes électroniques pour un montant de 1.2 milliard de dollars.

 

L’accord imminent, avec un client étranger dont l’identifié n’a pas été dévoilée, comprend la livraison de systèmes radar de pointe.

 

Ces informations ont été révélées par la société israélienne d’armement via un communiqué laconique adressé à la Bourse de Tel-Aviv. En cas de signature du contrat, l’accord portera pour une durée de 5 ans.

 

IAI a rendu public cette annonce peu de temps après celle révélant une prévision de trésorerie en déficit pour le deuxième trimestre 2014, causée principalement par un retard de paiement de dettes du ministère de la Défense. Le Ministère serait en effet débiteur d’une somme de 250 millions de dollars, contre 175 millions de dollars à la fin du premier trimestre. Cette situation expliquerait le déficit de trésorerie de IAI lors des deux derniers trimestres.

 

En conséquence, IAI envisagerait d’émettre de nouvelles obligations boursières dans le courant du mois de juillet afin de financer ses opérations en cours.

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