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20 septembre 2013 5 20 /09 /septembre /2013 07:50
SEDE welcomes Belgian Defence Minister
19.09.2013 SEDE
 
The SEDE subcommittee will hold an exchange of views with Pieter de Crem, Minister of Defence of Belgium, in view of the December defence summit.
 
When: 26 September 2013, 9:30-11:00

 

Further information
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18 septembre 2013 3 18 /09 /septembre /2013 17:50
Le ministre de la Défense belge se rend à Avord

18/09/2013 Armée de l'air

 

Lundi 16 septembre 2013, monsieur Pieter De Crem, vice-premier ministre et ministre de la Défense belge, s’est rendu sur la base aérienne 702 d’Avord pour visiter l’école qui forme des pilotes de transport belges.

 

Accueilli par le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air, le ministre de la Défense a rencontré le personnel militaire belge affecté à l’école de l’aviation de transport (EAT) située à Avord. Depuis plusieurs années, l’armée de l’air française forme des pilotes belges au sein de ses écoles. À Avord, c’est en avril 2005 qu’ils ont commencé leur instruction. Depuis, huit aviateurs belges en moyenne passent dans les murs de l’EAT chaque année et 64 d’entre eux ont reçu leur macaron depuis 2005.

 

Au cours de sa visite, monsieur Pieter De Crem a également rencontré les cadres de l’école et notamment le commandant Philippe Hadad, chef du détachement belge à l’EAT, pour participer à une mission à bord d’un simulateur de vol.

 

Le ministre de la Défense s’est ensuite dirigé vers la base aérienne 120 de Cazaux, base phare dans le domaine de l’instruction des pilotes de chasse français et belges avec l’école de transition opérationnelle (ETO).

Le ministre de la Défense belge se rend à Avord
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18 septembre 2013 3 18 /09 /septembre /2013 12:50
Belgacom embarrassée par les soupçons d'espionnage et de piratage

18.09.2013 Par Jean-Pierre Stroobants - Le Monde.fr

L'enquête sur le piratage à grande échelle dont a été victime, apparemment pendant deux ans, l'opérateur belge de téléphonie Belgacom fait des vagues et soulève déjà de nombreuses questions. La direction de la société et le gouvernement belge ont confirmé lundi 16 septembre "un piratage très intrusif". Si les soupçons s'orientent vers l'Agence nationale de sécurité américaine (NSA), la presse a révélé, mercredi 18 septembre, que le président du conseil de la société, Michel Moll, est depuis 2010 conseiller de l'entreprise chinoise Huawei, laquelle a été soupçonnée - à tort, selon elle – de se livrer à de l'espionnage industriel aux Etats-Unis.

La Sûreté de l'Etat, les services belges de renseignement, manifestent également des inquiétudes quant aux activités de ce groupe, fournisseur d'équipements et producteur de smartphones. La Belgique a ouvert une enquête sur ces éventuelles pratiques l'an dernier.

Interrogé par le quotidien néerlandophone De Morgen, M. Moll a expliqué qu'il avait donné des conseils stratégiques à Huawei, mais aucun concernant l'Europe et la Belgique. Il souligne, en outre, qu'il n'a exercé aucune fonction commerciale et que, de toute manière, Huawei et Belgacom ne sont pas concurrents. M. Moll refuse de révéler le montant de sa rémunération et nie toute implication dans des pratiques d'espionnage.

 

Suite de l'article

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 12:35
L'armée belge s'apprête à quitter Kunduz (Afghanistan) par la petite porte

16 septembre 2013 lalibre.be

 

L' "appui aux activités de redéploiement" (en direction de la Belgique) a débuté le 9 septembre à Kunduz pour la trentaine de militaires belges encore présents dans ce camp - dont des policiers militaires (MP) et des spécialistes en "opérations psychologiques" -, a indiqué le ministère de la Défense sur son site internet.

 

L'armée belge se prépare à quitter, en toute discrétion et après près de dix ans de présence qui a culminé à une bonne centaine de personnes, le camp militaire de Kunduz (nord de l'Afghanistan), que la Bundeswehr prévoit de fermer "à l'automne" dans le cadre du retrait progressif de ses troupes d'ici fin 2014, a-t-on appris lundi de sources concordantes. L'"appui aux activités de redéploiement" (en direction de la Belgique) a débuté le 9 septembre à Kunduz pour la trentaine de militaires belges encore présents dans ce camp - dont des policiers militaires (MP) et des spécialistes en "opérations psychologiques" -, a indiqué le ministère de la Défense sur son site internet.

 

"Sécurité opérationnelle" oblige, aucune date n'a encore été évoquée officiellement pour le départ des derniers Belges de Kunduz, qui n'abrite plus que quelque 300 soldats allemands, selon la presse d'Outre-Rhin.

 

Mais il se murmure à la Défense que le gros du contingent belge devrait avoir quitté Kunduz d'ici début octobre, ne laissant sur place que des logisticiens chargés de démanteler les installations et de rapatrier le reste du matériel via Mazar-i-Sharif, la grande ville du nord afghan.

 

L'armée belge s'était installée en mars 2004 dans le camp de l'Equipe provinciale de Reconstruction ("Provincial Reconstruction Team") dirigée par l'Allemagne à Kunduz, au départ avec une demi-douzaine de militaires seulement, à l'instigation du ministre de la Défense de l'époque, André Flahaut (PS).

 

Mais cette présence dans le cadre de la force internationale d'assistance à la sécurité (Isaf, dirigée par l'Otan) avait cru au fil des ans, sous la protection des troupes allemandes. Elle avait atteint un maximum d'environ 125 personnes entre le printemps 2009 et avril dernier, lorsque deux équipes d'instructeurs belges (des OMLT, devenues des MAT) encadraient des unités de l'armée nationale afghane (ANA), une implication accrue voulue par l'actuel titulaire du portefeuille de la Défense, Pieter De Crem (CD&V).

 

Les autres pays européens quittent aussi la zone militaire

 

La première de ces équipes, forte d'une cinquantaine de personnes, est rentrée au pays le 5 mai dernier après avoir assuré depuis janvier 2009 - mais avec des relèves de personnel tous les six mois - la formation d'un "kandak" (bataillon afghan), à Kaboul d'abord, à Kunduz ensuite.

 

La seconde équipe d'instructeurs - un "Military Advisory Team" (MAT), en jargon militaire -, qui compte une dizaine de militaires chargés de conseiller l'état-major d'une brigade de l'armée afghane, est toujours sur place. Mais son retour est présenté comme proche, alors que l'Otan a décidé de concentrer à partir de l'an prochain ses efforts de formation et d'encadrement sur les niveaux plus élevés, dont celui du corps d'armée, dont celui établi à Mazar-i-Sharif.

 

Quant aux quelque 25 membres de l'ex-PRT de Kunduz, devenu récemment PATF ("Partnering Advising Task Force") pour refléter le "partenariat" qui s'est établi entre les forces afghanes et celles de l'Otan, ils devraient aussi rentrer au pays dans les semaines à venir.

 

Il s'agit d'un groupe travaillant à l'aéroport de Kunduz et chargé du chargement et du déchargement du fret ("aircraft handling"), de spécialistes en renseignement opérationnel, d'une équipe Psy-Ops ("opérations psychologiques"), des spécialistes en informatique, des MP et des contrôleurs aériens avancés ("Forward Air Controllers", FAC) sont également intégrés dans ce PATF.

 

Les Pays-Bas ont terminé le 28 août - et de manière quelque peu prématurée - le retrait de la plupart des 540 personnes affectées durant deux ans à une mission de formation de la police afghane à Kunduz. L'Allemagne a en effet annoncé un retrait accéléré de ses troupes, qui y assurent aussi la protection des continents étrangers.

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 07:50
Belgique : Accord du gouvernement à des achats pour la Défense

13 septembre 2013 lalibre.be

 

Actualité Montant total: 489,5 millions d'euros. Quatre nouveaux programmes vont être lancé.

 

Le Conseil des ministres a autorisé vendredi le ministre de la Défense, Pieter De Crem, à attribuer deux marchés publics et à lancer quatre procédures de marchés publics dans le cadre de son plan d'investissements pour la Défense et la Sécurité (PIDS) sur trois ans d'un montant total de 489,5 millions d'euros approuvé l'an dernier par le gouvernement.

 

Il s'agit de l'attribution d'un marché public relatif au remplacement des installations radios sol-air (en jargon "Local Air C²") au profit de la composante Air, y compris un contrat d'entretien de durée indéterminée et l'achat "ponctuel" de carabines multifonctionnelles de diverses versions avec leurs accessoires, couplé à un contrat pluriannuel à durée indéterminée à bordereaux de prix relatif à l'acquisition de pièces de rechange, à l'entretien et à diverses prestations de service, a précisé la Défense dans un communiqué.

 

Aucun montant n'a été cité, mais un montant de 21,6 millions d'euros a été prévu au PIDS pour l'acquisition de 4.500 "carabines modulaires" pour remplacer l'arme de base du soldat, le FNC vieillissant de la Fabrique Nationale (FN).

 

M. De Crem (CD&V) a d'autre part été autorisé à lancer quatre autres marchés publics pour:

- la poursuite de la modernisation des chasseurs F-16 - qui, âgés de plus de trente ans devront rester en service jusqu'à leur remplacement, prévu entre 2023 et 2028 - en vertu du programme "Communality & Interoperability Program" (CICP) pour lequel l'état-major de la Défense propose de consacrer 25 millions d'euros;

- le remplacement de l'équipement informatique (PC, laptops et écrans) de la Défense via un leasing opérationnel d'une durée de cinq ans;

- l'acquisition et l'installation de deux "suites" de liaison de données tactiques (dite "Link 16");

- l'achat de trente grands bus "Low Entry de catégorie M3" pour le transport de minimum 75 passagers en une tranche fixe et deux tranches conditionnelles et un contrat omnium d'entretien et de réparation.  

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17 septembre 2013 2 17 /09 /septembre /2013 07:50
La NSA soupçonnée de piratage de l’opérateur de téléphonie belge Belgacom

16/09/2013 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord - Défense globale

 

La Belgique a vivement dénoncé lundi une « intrusion » dans le système informatique de son opérateur de téléphonie Belgacom, soupçonnant l’implication « à haut niveau d’un autre Etat » qui pourrait être les Etats-Unis par le biais de la controversée Agence nationale de sécurité (NSA).

 

On peut lire également sur ce sujet les déboires du service de renseignement militaire belge, victime d'une intrusion sur son réseau fin 2012 et " dépanné " par le cybercommand américain...

 

Deux mois après les premières révélations d’Edward Snowden, l’ex-administrateur réseaux de la NSA aujourd’hui réfugié en Russie, l’opérateur historique Belgacom, majoritairement détenu par l’Etat belge, a annoncé que son système informatique interne avait été victime d’une « intrusion digitale ».

 

Les traces de cette intrusion ont été décelées début juillet par les experts en sécurité du groupe belge, qui a directement porté plainte contre X devant le parquet fédéral à Bruxelles pour « accès non-autorisé » à son réseau interne.

 

Après deux mois de préparation, « des dizaines » de personnes ont travaillé durant tout le week-end pour « nettoyer le système » et renforcer les mesures de sécurité, a expliqué lors d’une conférence de presse le patron de Belgacom, Didier Bellens.

 

« Au stade actuel, il n’y a aucune indication d’impact pour les clients ou leurs données », a ajouté M. Bellens. En clair, rien n’indique que les logiciels malveillants découverts dans « quelques dizaines d’ordinateurs » de membres du personnel et dans des serveurs ont permis d’intercepter des données sensibles, selon le groupe.

 

Les virus ont uniquement infiltré « le système interne à l’entreprise tournant sous Windows », pas les « services télécoms », a précisé un autre responsable de Belgacom.

 

" Une opération internationale d'espionnage étatique "

 

Pourtant, l’affaire est prise très au sérieux par la justice. « L’enquête démontre que le hacking n’a été réalisable que moyennant l’engagement d’importants moyens financiers et logistiques par les intrus. Cette donnée, de même que la complexité technique du hacking (entre autres l’emploi de malware spécifiques et de techniques de cryptage avancées) et son ampleur, orientent les investigations vers une opération internationale d’espionnage étatique », a indiqué le parquet fédéral.

 

« L’objectif de ce hacking semble plutôt être de rassembler des informations stratégiques et non de commettre des actes de sabotage ou de causer des dommages économiques ou autres », poursuit-il.

 

L’enquête devra déterminer « les organisations » à l’origine du piratage, « très important et très intrusif », a abondé le ministre de tutelle de Belgacom, Jean-Pascal Labille.

 

La Belgique entend évoquer les problèmes de cybersécurité avec ses partenaires européens, a expliqué le ministre. « Nous ne sommes pas les seules victimes, les Français aussi il y a peu de temps », a-t-il ajouté.

 

Dans un communiqué, le Premier ministre Elio Di Rupo a assuré que si « l’implication à haut niveau d’un autre pays » était confirmée, il « entreprendra les démarches appropriées », sans citer toutefois les Etats-Unis ou un autre pays.

 

Soupçons sur la NSA

 

La presse belge porte toutefois clairement ses soupçons sur la NSA.

 

Selon le quotidien De Standaard, qui ne cite pas ses sources, l’opération d’espionnage durait depuis 2011 au moins. Le journal de référence en Flandre ajoute que l’agence américaine s’intéressait en particulier à l’une des filiales du groupe belge, Belgacom International Carrier Services (Bics).

 

Détenu par Belgacom, Swisscom et le sud-africain MTN, Bics est un acteur majeur pour le transfert de données vocales, de SMS ou encore de trafic internet entre opérateurs de téléphonie fixe ou mobile du monde entier, en particulier en Afrique et au Proche-Orient.

 

« Ce sont essentiellement des communications avec des numéros de pays comme le Yémen, la Syrie ou d’autres Etats jugés "voyous" par les Etats-Unis qui auraient été enregistrés », assure le Standaard.

 

La semaine dernière, de nouveaux documents obtenus par l’intermédiaire d’Edward Snowden et révélés au Brésil ont indiqué que la NSA aurait espionné les réseaux privés de communications du ministère français des Affaires étrangères, le réseau international de transferts bancaires internationaux Swift (dont le siège est en Belgique), Google et Microsoft, ainsi que la compagnie pétrolière brésilienne Petrobras.

 

La Commission européenne a à nouveau demandé le 12 septembre aux autorités américaines de lui fournir des « réponses claires et satisfaisantes » sur ces nouvelles allégations d’espionnage par la NSA.

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 18:00
Belgium investigates suspected cyber spying by foreign state

16 September 2013 defenceWeb (Reuters)

 

Belgium said on it was investigating suspected foreign state espionage against its main telecoms company, which is the top carrier of voice traffic in Africa and the Middle East, and a newspaper pointed the finger at the United States.

 

Federal prosecutors said in a statement that the former state telecoms monopoly Belgacom had filed a complaint in July about the hacking of several servers and computers.

 

"The inquiry has shown that the hacking was only possible by an intruder with significant financial and logistic means," they said.

 

"This fact, combined with the technical complexity of the hacking and the scale on which it occurred, points towards international state-sponsored cyber espionage." The prosecutors declined to say which foreign state they suspected, Reuters reports.

 

Documents leaked by the former U.S. intelligence contractor Edward Snowden have revealed a vast National Security Agency (NSA) electronic surveillance program that has tracked enormous quantities of both Americans' and foreigners' email and telephone data.

 

This has mostly been done by agreement with telecommunications or internet providers or foreign government intelligence agencies.

 

However, the Brazilian television network Globo this month alleged that the NSA had tapped into the computer systems of companies including Google Inc. and the Brazilian state oil firm Petroleo Brasileiro, as well as France's Foreign Ministry and the Belgian-based international banking cooperative SWIFT, which handles international financial transactions.

 

The Belgian daily De Standaard said the NSA had been monitoring international telephone traffic through Belgacom for two years. It said the hackers had been primarily interested in Belgacom's subsidiary BICS, a wholesale provider of international phone lines and biggest voice carrier in Africa and the Middle East.

 

STATE NOT NAMED

 

The government of Belgium, which has a majority stake in Belgacom, condemned the intrusion and the violation of a public company.

 

Prosecutors said the intruder had used malicious software and advanced encryption techniques with the aim of gathering strategic information, and had not sabotaged Belgacom's data or sought to cause direct economic damage.

 

Belgacom itself said it had carried out work over the weekend to improve security and remove an unknown virus from its internal systems, adding that at the moment there was no indication of any impact on customers or their data. It said it had filed a complaint against an unknown third party.

 

Globo's revelations were based on leaked U.S. documents provided by Guardian journalist Glenn Greenwald, who has worked with Snowden to expose the extent of U.S. spying.

 

James Clapper, the U.S. Director of National Intelligence, responded last week by saying U.S. agencies did collect information about economic and financial matters, which was used to combat terrorist financing and predict problems that could lead to financial crises or disrupt financial markets.

 

"What we do not do," Clapper said in a statement, "is use our foreign intelligence capabilities to steal the trade secrets of foreign companies on behalf of - or give intelligence we collect to - U.S. companies to enhance their international competitiveness or increase their bottom line."

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16 septembre 2013 1 16 /09 /septembre /2013 11:50
Chasseurs et Spahis font bon ménage

12/09/13 par Concetto Bandinelli - mil.be

 

Un exercice conjoint mené par le Bataillon belge des Chasseurs à Cheval et le 1er Régiment français de Spahis vient de se terminer dans le sud-est de la Belgique. Après plusieurs jours, ces troupes de reconnaissance ont renforcé les liens qui les unissent depuis des décennies.

 

Photos >>

 

« Nous installons notre radar en 20 minutes et sommes opérationnels en 40 minutes », explique le sergent Jasper Moreels, de l'Escadron B. Son bataillon, représenté par un peloton belge de Pandur Recce et deux sections de radar, était aux prises avec un escadron et trois pelotons français.

 

À tour de rôle, du 9 au 12 septembre 2013, Français et Belges se sont épiés, cherchés en scrutant l'horizon et au-delà. Ces hommes, formés à l'observation minutieuse des mouvements suspects sur le terrain, circulent sur des Véhicules Blindés Légers (VBL), Pandur Recce, Véhicules Avant Blindés (VAB), Unimog SCB ou Light Multipurpose Vehicle (LMV), équipés de systèmes de surveillance et de transmission modernes.

 

Ils sont l'œil de lynx de l'échelon supérieur à qui ils doivent signaler tout mouvement de troupes. « Mon collègue se trouve à ma gauche, à 50 km. Et l'autre section, à ma droite, se trouve à la même distance. Le chef de peloton circule parmi nous », ajoute le sergent Moreels, le visage zébré par son camouflage. « Nous sommes en position et surveillons les PPO (points de passage obligés) qu'empruntera l'ennemi. » Après quelques minutes, le sergent Moreels et ses hommes rentrent l'antenne radar et replient les filets de camouflage pour gagner la lisière d'un autre bois. Il faut occuper une position le moins de temps possible.

 

 

Chasseurs et Spahis font bon ménage

L'objectif de ces deux unités est d'affiner les techniques et procédures tactiques qui leur sont propres, pour ensuite les confronter et en retirer les principaux avantages. Le 1er Régiment de Spahis, unité de reconnaissance de combat, met à profit la contribution essentielle des radaristes et autres spécialistes du Bataillon de Chasseurs à Cheval, caserné à Heverlee. Ensemble, Belges et Français deviennent complémentaires. Les premiers fournissent l'information de base aux seconds qui l'exploitent pour en faire un renseignement digne d'intérêt. En contrepartie, les Spahis offrent une protection et une puissance de feu suffisante (canon de 105 mm) grâce à leurs AMX 10-RC de 17 tonnes.

 

Cette unité belge communément appelée ISTAR (intelligence, surveillance, target aquisition and reconnaissance) est jumelée aux Spahis français depuis plus de 30 ans lorsque le 4e Régiment de Chasseurs à Cheval se trouvait encore à Arnsberg, en Allemagne. Le Bataillon ISTAR a repris les traditions de son aîné et entretient ainsi les relations historiques qui le lient à cette unité de la cavalerie française.

 

Photos : Daniel Orban - Vidéo : Mathieu Duhembre

Chasseurs et Spahis font bon ménage
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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 16:40
Chasseurs et Spahis font bon ménage

Publiée le 12 sept. 2013 belgiandefence

 

Un exercice conjoint mené par le Bataillon belge des Chasseurs à Cheval et le 1er Régiment français de Spahis vient de se terminer dans le sud-est de la Belgique. Après plusieurs jours, ces troupes de reconnaissance ont renforcé les liens qui les unissent depuis des décennies.

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11 septembre 2013 3 11 /09 /septembre /2013 17:50
Le centenaire de l'aviation militaire belge

11 sept. 2013 belgiandefence

 

Diplomates, représentants de l'OTAN, autres personnalités politiques et militaires étaient réunis sur la base aérienne de Beauvechain ce vendredi 6 septembre 2013. À l'occasion des cent ans de l'aviation militaire belge, la Défense a organisé un exercice mettant en scène les moyens de réaction rapide déployés en cas d'attaque. Quarante-huit heures d'effervescence résumées en une heure et demie de pur spectacle.

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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 17:50
L'entretien de 113 Puma français confié à Sabena Technics et OGMA Industria Aeronautica de Portugal

09.09.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

La SIMMAD a attribué trois contrats d'entretien des "113 hélicoptères Puma de l'Etat". L'avis est consultable au BOAMP en cliquant ici.

 

Selon le lot attribué, le titulaire interviendra (lot 1) en métropole pour des visites périodiques et/ou des grandes visites ; et/ou (lot 2) en Guyane française pour des visites périodiques ; et/ou (lot 3) à Djibouti pour des visites périodiques. Le marché ne prend en compte ni les prestations de maintenance Nti3 sur les OAE, ni les prestations de maintenance Nti3 des moteurs.

 

Péripéties. Le lot 1 d'une valeur de 21,6 millions d'euros a été attribué le 1er août à Sabena Technics (installé à Dinard), au terme d'un parcours chaotique (demande d'annulation de la procédure par Aéromecanic, avis du Conseil d'Etat en mars... puis avis de juillet).

Les deux autres, d'une valeur respective de 3,8 et 5,6 millions d'euros, à OGMA Industria Aeronautica de Portugal (cliquer ici pour accéder au site web de cette société). OGMA effectue depuis 2005 l'entretien des Puma de l'armée de Terre (voir ici la page consacrée à cette activité) et des C130 français.

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 16:50
Phase de tests après la modernisation du Léopold I

9 sept. 2013 belgiandefence

 

La frégate modernisée Léopold I est à nouveau opérationnelle. Équipée de nouveaux systèmes de détection, elle a quitté Den Helder le 7 septembre 2013 pour rejoindre Zeebruges, son port d'attache. L'entraînement ainsi qu'une batterie de tests commencent pour l'équipage qui doit être fin prêt à assumer ses prochaines missions.

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 16:50
Phase de tests après la modernisation du Léopold I

9 sept. 2013 belgiandefence

 

La frégate modernisée Léopold I est à nouveau opérationnelle. Équipée de nouveaux systèmes de détection, elle a quitté Den Helder le 7 septembre 2013 pour rejoindre Zeebruges, son port d'attache. L'entraînement ainsi qu'une batterie de tests commencent pour l'équipage qui doit être fin prêt à assumer ses prochaines missions.

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 16:50
Flahaut veut "faire avancer concrètement la défense européenne"

05 septembre 2013 LaLibre.be (Belga)



Il a toutefois plaidé pour une réduction des dépenses militaires, en période de crise économique. "Il ne faut pas augmenter nos dépenses de défense, mais leur efficience", a-t-il lancé. 

 

Le président de la Chambre de Belgique, André Flahaut, a préconisé jeudi à ses homologues européens réunis à Vilnius de s'inspirer de trois réalisations menées au niveau belge - et sous son égide lorsqu'il était ministre de la Défense - afin de "faire avancer concrètement la défense européenne". Il a également proposé d'utiliser une résolution sur la défense européenne adoptée en avril dernier par la Chambre, une communication émanant de la Commission européenne et de développer une "vision à long terme". 
 
"Plus aucun pays européen ne peur agir seul en matière de défense, faute de moyens matériels, budgétaires et humains. Malgré nos 190 millions d'euros de dépenses de défense et notre million et demi de militaires, nous ne disposons que de bien piètres capacités opérationnelles", a constaté M. Flahaut lors d'une conférence interparlementaire sur la politique étrangère et de sécurité commune et la politique de sécurité et de défense commune organisée par la présidence lituanienne de l'UE. 
 
Il a toutefois plaidé pour une réduction des dépenses militaires, en période de crise économique. "Il ne faut pas augmenter nos dépenses de défense, mais leur efficience", a-t-il lancé. 
 
Et de citer trois exemples de rationalisation réalisés en Belgique: la création d'un seul état-major de Défense, interarmées, offrant "plus de cohérence, plus de souplesse de fonctionnement et de transversalité", l'avion de transport Airbus A400M possible modèle pour le développement de drones et d'avions de combat, et les formations communes - comme celle franco-belge des pilotes ou néerlando-belge pour la marine. 
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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 17:50
Photo Daniel Orban - MIL.be

Photo Daniel Orban - MIL.be

05.09.2013 Karen Bral  MIL.be

 

La Défense acquiert une nouvelle Installation de Neutralisation de Substances Explosives (INSE). Le département a permis la construction du quartier Wevelsmoer à Zutendaal. Le 4 septembre 2013, le général aviateur Gerard Van Caelenberge, inaugurait officiellement ces nouvelles infrastructures.

 

La Défense n'est pas la seule concernée par le stockage important des déchets de munitions. De nombreux domaines en dissimulent et en regorgent. Ainsi, les fossés qui entourent le fort de Zwijndrecht en comportent entre 2.000 et 4.000 tonnes. Le département a donc permis la construction d'une installation de destruction afin d'entamer une vaste opération d'assainissement.

 

« Tous les occupants du fort de Zwijndrecht ont abandonné des munitions depuis son édification en 1870 », explique le major Thierry Debu, ingénieur et chef de l'INSE. « À l'époque, les gens croyaient que le simple fait d'immerger un explosif suffisait à le neutraliser. La problématique des déchets en la matière fait partie intégrante du plan environnemental de la Défense. Raison pour laquelle, nous souhaitons procéder aux destructions en concordance avec le respect du milieu. » 

 

L'Installation de Neutralisation des Substances Explosives durera environ quinze ans. La sécurisation du fort de Zwijndrecht en prendra quatre. L'INSE pourra ensuite annihiler les munitions non opérationnelles contenues dans les dépôts de la Défense. L'installation peut en détruire de 1.000 à 1.500 tonnes annuellement.

 

« Quatre-vingts pourcents de l'infrastructure se compose de filtres destinés à dépourvoir les gaz de combustion de leurs nuisances », nuance le général aviateur Van Caelenberge. Les gaz qui retournent dans l'atmosphère satisfont complètement aux normes VLAREM, principes environnementaux définis par l'autorité flamande. Les déchets retournent après inspection dans des containers qu'une firme civile recycle ensuite. « Il est donc évident que l'environnement est primordial pour la Défense », conclut son chef.

 

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5 septembre 2013 4 05 /09 /septembre /2013 11:50
FN Herstal to Exhibit at DSEi 2013

September 04, 2013 by FN HERSTAL

 

FN Herstal will attend the DSEi Defence & Security Event, due to take place in London on 10-13 of September. Staff will be on hand at booth N3-622 in the Belgian Pavilion at the ExCeL centre to answer questions about FN Herstal's latest products and developments, which will be on display.

 

FN Herstal's exhibits will be:

 

    The FN MINIMI® 5.56 light machine gun, the world's most widely deployed machine gun in 5.56mm

    The FN MINIMI® 7.62 light machine gun, combining lightweight, long-range, and hitting power; the MINIMI® 5.56 and the MINIMI® 7.62 feature high parts commonality and identical ergonomics and operator handling

    The famous FN MAG® machine gun, originally designed by FN Herstal, is still a leading reference in the field of 7.62x51mm NATO caliber general purpose machine gun with more than 200,000 units supplied to more than 90 countries all around the globe

    The family of FN SCAR® assault rifles: designed for, tested, adopted, and used by the most demanding combat units. This highly adaptable weapon is available in 5.56mm or 7.62mm NATO caliber, easy to change between short (CQC) and standard barrels, light, modular, ergonomic, accurate and highly reliable in the harshest conditions. An additional FN40GL® 40mm LV grenade launcher mounted under the 5.56 or 7.62mm assault rifle or as a stand-alone launcher provides increased capability to the user

    The FN SCAR® precision rifle in 7.62mm caliber is the latest development within the FN SCAR® family and is available with a foldable or fixed sniper-type butt; while retaining the ergonomics and reliability of the FN SCAR® assault rifle, it has been adapted for increased range and accuracy for sniper support or designated marksman roles

    The FN FCU™ fire control unit is a full solution highly accurate aiming system for 40mm LV/MV grenade launchers allowing first round hits, at all ranges, in the most difficult situations, by day or by night

 

In addition to an extensive range of portable weapons designed, developed and manufactured for military, law enforcement and special forces operators worldwide, FN Herstal's product portfolio also includes integrated weapon systems for air, land and sea applications.

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3 septembre 2013 2 03 /09 /septembre /2013 07:50
La Belgique en mission Baltic Air Policing- Photo Daniel Orban

La Belgique en mission Baltic Air Policing- Photo Daniel Orban

02.09.2013 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

C’est à présent au tour de la Belgique de déployer des moyens aériens pour assurer la mission de police du ciel au-dessus des trois états baltes dans le cadre du dispositif « Baltic Air Policing ». Quatre F-16 devraient atterrir ce 2 septembre sur la base de Siauliai en Lituanie, afin de prendre le relais de la France dans ce mandat. Selon le ministère belge de la Défense, chaque pilote déployé effectuera en moyenne 15 à 20 heures de vol mensuelles, soit un total d’environ 320 heures pour l’ensemble de la mission.

 

Après quatre mois passés à survoler les ciels de la Lettonie, de l’Estonie et de la Lituanie, les Mirage F1 CR de l’escadron de reconnaissance 2/33 « Savoie » vont regagner la BA 118 de Mont-de-Marsan.

 

L’Estonie, la Lituanie et la Lettonie n’ayant pas les capacités d’assurer leur propre défense aérienne, l’OTAN a décidé en 2004 que des nations alliées assureraient la sécurité de l’espace aérien à tour de rôle, au moins jusqu’en 2018.

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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 10:18
Les forces occidentales disponibles pour une intervention en Syrie - le Monde 28.08.2013

Les forces occidentales disponibles pour une intervention en Syrie - le Monde 28.08.2013

BRUXELLES, 29 août - RIA Novosti

 

Les pays occidentaux ne veulent pas entrer en guerre en Syrie, mais sanctionner l'emploi d'armes chimiques lors d'une opération limitée dans le temps, a déclaré mercredi le vice-premier ministre et ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders, sur les ondes de la radio Bel.RTL.

 

"On sait bien qu'aujourd'hui en Syrie la situation est d'une complexité telle, que mettre le pied en Syrie, c'est bien sûr savoir quand on y entre, mais pas du tout quand on en sort et dans quelles conditions (…). Ni les Etats-Unis, ni la Grande-Bretagne, ni la France, qui a utilisé un langage très martial, ne veulent partir en guerre. Ce qu'on nous dit aujourd'hui - on veut sanctionner, ça je le comprends. On veut sanctionner, à un moment donné, l'utilisation d'armes chimiques. Mais cela veut dire qu'on va agir pendant quelques heures ou quelques jours, et puis on se retire", a indiqué le ministre.

 

"Le président Obama a déjà dit qu'il ne veut pas participer à une opération militaire pour faire changer de régime. Il privilégie toujours la piste politique", a-t-il ajouté.

 

Dans le même temps, M.Reynders a estimé qu'il fallait "réagir avec le Conseil de sécurité", trouver un consensus pour relancer un processus politique de négociations entre le régime et l'opposition en Syrie.

 

La situation en Syrie est entrée dans une phase critique le 21 août, date à laquelle certains médias ont fait état de l'utilisation d'armes chimiques par les troupes gouvernementales dans la région de Damas. Selon les rebelles, cette attaque présumée pourrait avoir fait jusqu'à 1.300 morts. Damas a démenti avoir mené l'attaque et dénoncé une manipulation visant à déclencher une intervention étrangère dans le conflit syrien, qui dure depuis mars 2011.

 

Le 27 août, un porte-parole de la Maison Blanche a annoncé que le président Barack Obama réfléchissait aux mesures de riposte à cette attaque. Certains pays occidentaux, dont les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France, appellent à une intervention militaire en Syrie.

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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 07:50
Belgians Begin NH90 NFH Training

Belgian Defense photo by Jürgen Braekevelt

 

Aug 28, 2013 by Nicholas Fiorenza – Ares, A Defense Technology Blog

 

The first Belgian NH90 Nato Frigate Helicopter (NFH) has flown to Eurocopter France in Marignane, southern France, after being rolled out at Eurocopter Germany in Donauwörth at the beginning of August. The helicopter will be used to train Belgian pilots and technicians.

 

The NH90 NFH will replace Belgium's Sea King in the search and rescue role and be used to support its navy. After some delays, the first NH90 NFH90 will be delivered to Coxyde, where its Sea Kings are currently based, at the end of the year. It will become operational in 2014. Belgian NH90 NFH pilots will receive training in simulators in Germany and Italy.

 

Belgium has ordered four NH90 NFHs and four NH90 troop transport helicopters. It will jointly manage spare parts with other NH90 NFH nations under the EU's pooling and sharing initiative.

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25 juillet 2013 4 25 /07 /juillet /2013 20:45
Les hélicoptères belges d'EUTM de retour en Europe

24.07.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense
 

Les deux hélicoptères Agusta engagés fin janvier dans les opérations militaires au Mali sont rentrés le 9 juillet en Belgique à bord d'un avion-cargo de type Iliouchine Il-76. Selon le chef des opérations de l'armée belge, le lieutenant-général Marc Compernol, ces deux appareils ont effectué 53 heures de vol et réalisé six interventions "Medevac" (évacuation médicale) durant l'opération Serval, puis 170 heures et trois transports de patients pour le compte de l'EUTM.

 

Les Agusta avaient initialement été déployés au Mali fin janvier - à Sevaré d'abord, puis à Gao, respectivement à 600 et 1 200 km au nord-est de Bamako - pour appuyer l'opération Serval. Ils étaient ensuite passés, le 22 mars, avec la même tâche, sous le commandement de l'EUTM, déménageant par la même occasion vers Bamako.

 

Les hélicoptères ont cédé le relais à un Puma et un Bell (en attendant deux BK117) de la société Starlite, une entreprise sud-africaine enregistrée en Irlande - une première dans les opérations militaires de l'Union européenne, qui n'a jamais fait appel à des appareils civils pour assurer des missions d'évacuation médicale. Les 35 personnes qui étaient chargées de leur mise en oeuvre sont rentrées jeudi dernier en Belgique, à bord du vol retour de l'Airbus A330 de la Défense qui avait acheminé les soldats belges chargés de la protection du site de formation de Koulikoro.

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25 juillet 2013 4 25 /07 /juillet /2013 11:50
Mise à jour de l'annuaire des think tanks - RPUE

25.07.2013 RPUE - Représentation Permanente de la France auprès de l'Union

 

Annuaire des "think tanks" et centres de recherche sur les affaires européennes

 

Les éléments fournis sont inspirés des présentations en ligne des différents organismes.
 

 

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22 juillet 2013 1 22 /07 /juillet /2013 10:50

19 juil. 2013 belgiandefence

Durant le défilé de la Fête nationale, le tout nouvel hélicoptère NH-90 escortera le fidèle Sea King. Le grand public pourra admirer cette nouvelle acquisition.

La Défense a présenté le nouvel appareil à la presse vendredi 19 juillet à la base aérienne de Beauvechain. Le Major aviateur Frank De Wolf est le premier pilote à avoir l'honneur de défiler aux commandes du NH-90. Il est un des quatre pilotes à avoir été formé.

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21 juillet 2013 7 21 /07 /juillet /2013 09:05
Remise de brevet à un élève-pilote belge

Remise de brevet à un élève-pilote belge

19/07/2013 Armée de l'air

 

Le jeudi 18 juillet 2013, a eu lieu une remise de brevets du personnel navigant sur la base aérienne 705 de Tours. La cérémonie était présidée par le général Néret, du commandement des forces aériennes (CFA). Ce macaronnage concernait les pilotes de chasse français et belges, ainsi que les NOSA (navigateurs officiers systèmes d’armes).

 

Après la revue des troupes, la cérémonie a débuté par des remises de décorations à certains cadres de la base aérienne. Ces récompenses ont une valeur d’exemple pour les plus jeunes, notamment de ceux qui recevaient ce jour-là leur poignard d’officier et leur brevet de pilote ou de navigateur.

 

Au cours de la cérémonie, six lieutenants français, deux marins et cinq adjudants belges ont reçu leur brevet de pilote de chasse. Des brevets de NOSA ont également été remis à trois lieutenants français. Enfin, cinq d’entre eux se sont vus remettre leur poignard d’officier, marquant leur entrée dans ce corps et rappelant leur engagement à servir la France.

Remise de brevet à un élève français

Remise de brevet à un élève français

Il s’agissait du dernier macaronnage des élèves pilotes belges à Tours. Depuis la création de l’AJeTS en 2004, une cinquantaine d’entre eux avaient été formés à la BA 705. La phase III de leur formation sera désormais assurée sur la base aérienne de Cazaux.

La cérémonie de remise de brevet marque un moment crucial dans la carrière de ces jeunes navigants

La cérémonie de remise de brevet marque un moment crucial dans la carrière de ces jeunes navigants

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19 juillet 2013 5 19 /07 /juillet /2013 11:50
Hot Blade 2013: Preparing Together for Operations
Ovar, Portugal | Jul 17, 2013 European Defence Agency
 

Starting today, Portugal hosts the multinational helicopter exercise HOT BLADE 2013 (HB13) at Ovar Military Airfield, near Porto. More than 700 military personnel, 26 helicopters and seven fixed wing aircraft from Austria, Belgium, Germany, the Netherlands and Portugal participate in the exercise, which lasts until 31 July 2013. HB13 is part of the European Defence Agency's Helicopter Training Programme.

 

HB13 allows European helicopter crews to practice operations in a hot, high and dusty environment, simulating the challenge and the dynamic conditions that participating forces encounter if they deploy to current theatres of operation.
Besides the focus on flying in challenging environmental conditions, the exercise is developed to train joint interoperability tasks including Air Assault (AA), Special Operations Aviation (SOA), Combat Service Support (CSS), Close Air Support (CAS) including Urban CAS and Emergency CAS, Convoy/helicopter escorts, Reconnaissance and Security (R&S) operations, Combat Search and Rescue (CSAR), Personnel Recovery (PR), Military/Non Military extractions (NEO Ops), Medical Evacuation (MEDEVAC) and Casualty Evacuation (CASEVAC).
The exercise is developed on a building block approach design, starting with cross-training activities on small COMAO missions, in order to build a mutual understanding of each participant’s equipment and standard operational procedures. As the exercises progresses the complexity and numbers of assets in each COMAO missions increase. Crews from all nations will use for the first time standing operating procedures.
 

Helicopter Training Programme

HB13 builds on EDA’s Helicopter Training Programme which is consisting of the HEP (Helicopter Exercise Programme), HTC (Helicopter Tactics Course), EHTIC (European Helicopter Tactics Instructors Course), OELC (Operational English Language Course), DisSim CCD (Distributed Simulation Capability Concept Demonstrator) and the Basic Helicopter Flying Training (BHFT) projects/programmes.
The exercise programme has so far delivered five multinational exercises with 123 helicopters, 227 crews and over 5,000 personnel participating. Over 50% crews that have attended these exercises later subsequently deployed to Afghanistan. In November 2012, defence ministers of thirteen nations signed a ten years programme arrangement for the Helicopter Exercise Programme. This commitment is a concrete indication that training together is an integral part of European capability and interoperability.

“HB13 is the 6th EDA helicopter exercise, but it is also the first in many ways. It is the first exercise in a 10-year programme agreed by thirteen countries, it is the first exercise where we are flying to commonly agreed procedures, and most excitingly for me, it is the first exercise where we have been able to introduce instructors – who themselves are graduates from the first European Helicopter Tactics Instructors Course. These instructors drawn from Germany, Sweden and UK are the ‘best of the best’ and I am looking forward to seeing them mentor some of the less experienced crews, as they meet the planning and flying challenges of the exercise”, said Wing Commander Andy Gray, in charge of EDA’s Helicopter Training Programme.

For further information, visit our HB13 web page.

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12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 12:45
AIR MEDEVAC: Starlite succède au contingent belge

6 juillet 2013 EUTM Mali

 

Sans titre 2 300x206 AIR MEDEVAC: Starlite succède au contingent belgeLe 1er juillet 2013, la société irlando-sud-africaine Starlite a pris la succession du détachement belge Air Medevac afin d’assurer la permanence de la capacité d’évacuation médicale aérienne d’EUTM Mali. Le nouveau détachement Air Medevac fourni par Starlite dispose de deux hélicoptères médicalisés offrant un rayon d’action de 300km : un Puma 330J et un Bell 407. Ces deux hélicoptères, qui succèdent donc aux deux Augusta 109 du détachement belge, seront remplacés par deux BK 117-C1 à compter de la mi-août 2013. Le détachement Starlite comprend actuellement neuf personnes : trois pilotes, deux infirmiers spécialisés, deux ingénieurs et deux officiers de liaison. Il sera renforcé à la fin du mois de juillet par un infirmier, un pilote et un ingénieur supplémentaires pour atteindre 12 personnes. Chaque hélicoptère dispose d’un quota de 10 heures de vol mensuelles dévolues à l’entraînement et aux exercices MEDEVAC, hors interventions réelles.

 

AIR MEDEVAC: Starlite takes over the Belgian contingent

 

On the 1st of July 2013, the Irish-South African company Starlite took over the Belgian Air Medevac detachment to ensure the permanence air medical evacuation capacity for EUTM Mali. The new Air Medevac detachment provided by Starlite has two medical helicopters with a radius of 300km action: a 330J Puma and a Bell 407. These two helicopters, which succeed the two Augusta 109 of the Belgian detachment, will be replaced by two BK 117-C1 from mid-August 2013. The detachment Starlite currently includes nine people: three pilots, two specialized medics, two engineers and two liaison officers. It will be reinforced at the end of July by one additional pilot, medic and engineer so it will reach 12 people. Each helicopter has a quota of 10 hours per month assigned to flight training and MEDEVAC exercises, in complement of real interventions.

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