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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 19:20
Premier pas à l'ONU pour "moraliser" le commerce international des armes

03.06.2013 Le Monde.fr

 

C'est un premier pas symbolique vers une "moralisation" des ventes d'armes conventionnelles que doivent signer ce lundi, lors d'une cérémonie au siège de l'ONU à New York, un traité par une soixantaine de pays, mais qui n'entrera en vigueur qu'après 50 ratifications, soit normalement dans un peu plus d'un an. Le texte, qui était en discussion depuis 2006, souhaite mieux réguler un marché de 80 milliards de dollars par an.

 

Le ministre des affaires étrangères argentin, Hector Timerman, a été le premier à signer le texte sous les applaudissements qui doit être suivis par les Européens et plusieurs pays d'Amérique latine dont le Costa Rica et le Brésil.

 

Lire notre enquête : L'Inde, ce marché gigantesque qui fait rêver tous les industriels de l'armement

 

LES PRINCIPAUX VENDEURS D'ARMES N'ONT PAS SIGNÉ LE TRAITÉ

Si l'enthousiasme à l'ONU était de mise ce lundi, il faut nuancer la portée d'un tel évènement puisque les principaux pourvoyeurs d'armes de la planète, à commencer par les Etats-Unis, ont repoussé à plus tard une éventuelle signature, tout comme la Russie et la Chine qui ont réservé leur position. Lors de son adoption le 2 avril par l'Assemblée générale de l'ONU, le traité avait recueilli 154 voix pour et trois contre (Syrie, Corée du Nord, Iran) ainsi que 23 abstentions dont des acheteurs de ces armes comme l'Egypte, l'Inde ou l'Indonésie. Il avait fallu deux longues sessions de négociations pour élaborer ce texte d'une quinzaine de pages. Chaque pays est libre de signer ou non le traité et de le ratifier.

Principale mesure du dispositif, chaque pays devra dorénavant évaluer avant toute transaction si les armes vendues risquent d'être utilisées pour contourner un embargo international, violer les droits de l'homme ou être détournées au profit de terroristes ou de criminels. Si c'est le cas, la transaction ne doit pas être autorisée.

 

UN MARCHÉ JUTEUX

En 2011, selon le Congressional Research Service (CRS), groupe de recherche du Congrès américain, plus des deux tiers des livraisons d'armes conventionnelles (ni nucléaires, ni chimiques, ni bactériologiques) effectuées dans le monde – estimées à 44,3 milliards de dollars (34,2 milliards d'euros) – ont été effectuées par les Etats-Unis, la Russie, le Royaume-Uni, la France et la Chine.

Les pays du Maghreb et du Moyen-Orient ont été les principaux destinataires de ces armes, représentant pour les Etats-Unis et le Royaume-Uni jusqu'à plus de 60 % des livraisons totales effectuées entre 2008 et 2011. L'Asie arrive en deuxième position et figure en tête des destinations pour la Russie et la Chine.

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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 12:55
Sagem croit au succès de son drone Patroller

03 juin 2013 Par Hassan Meddah - Usinenouvelle.com

 

Si le ministre de la Défense privilégie pour l'instant d'autres fournisseurs, le fabricant français a démontré les performances de son dernier drone à l'étranger notamment au Qatar ou au Kazakhstan. Exposé au prochain Bourget, le Patroller vise également le marché de la sécurité civile.

 

Fabrique-t-on des drones militaires de surveillance en France ? Oui, à Montluçon en Auvergne ! Qui l'eut cru ? Et pourtant, en pleine terre bourbonnaise, dans le hall d'intégration de l'usine de Sagem, trois drones tactiques dont deux portant déjà la cocarde tricolore, sont en cours d'assemblage à différents stades d'avancement, ils vont bientôt effectuer leur premier vol de contrôle et rejoindre les rangs de l'armée française pour remplacer les modèles abimés lors du conflit afghan. Mais ces Sperwer, drones reconnaissables par leur voilure en forme d'aile delta, conçus dans les années 90, ne correspondent plus aux exigences actuelles des armées. Trop petits, ces drones dits tactiques sont désormais limités: aussi bien au niveau de leur autonomie (moins de 10 heures de vol) que de leur charge utile limitée à environ 60 Kg. Des performances qui restreignent de fait leur mission de renseignement. Aujourd'hui, toutes les armées du monde et les forces françaises y compris, rêvent de drones stratégiques ultra-performants dits "MALE" (pour Moyenne altitude longue endurance) voire "HALE" (Haute altitude longue endurance) capables de voler une trentaine d'heures et d'embarquer jusqu'à 2 tonnes de charge utile.

 

3 000 vols

 

Les Sperwer ont toute même fait les beaux jours de Sagem : ce modèle a été produit en série et vendu à 140 exemplaires. Aucun autre fabricant européen ne peut en dire autant. "Ce drone a été développé sur fonds propres. La conception et la fabrication sont totalement françaises ou presque, ainsi que le support en opération. Nous n'avons pas attendu de commandes de l'Etat pour le produire. D'ailleurs la France n'a été que notre quatrième client", explique Patrick Durieux, directeur commercial de l'activité drones de Sagem. Les Pays-Bas, la Suède, la Norvège, la Grèce et le Canada ont largement exploité les Sperwer en Afghanistan. En neuf ans de conflit, ces appareils ont cumulé plus de 3 000 vols. "Nous avons assuré le support en exploitation durant toute cette période. Cela nous confère une expérience unique en Europe dans le domaine des drones", explique le responsable de Sagem.

Grâce à ce savoir-faire, la filiale du groupe Safran veut réitérer ce succès avec son nouveau drone, le Patroller. Un premier exemplaire opérationnel est visible à l'usine de Montluçon à côté de la ligne d'assemblage des Sperwer. Pour le concevoir, Sagem a pris en compte l'expérience accumulée en Afghanistan. Les deux appareils n'ont plus rien à voir. Ainsi le nouveau drone appartient à la famille des MALE légers d'environ 1 tonne plutôt que des drones tactiques. Ses performances ont été démultipliées. Le Patroller s'appuie sur une cellule d'avion piloté, le S-15 de l'avionneur allemand Stemme. Cette plateforme de 18 m d'envergure et déjà certifiée EASA, est capable de voler jusqu'à une trentaine d'heures avec des pointes à 300 km/heure tout en étant relativement silencieuse. 

 

Conception européenne

 

A l'intérieur du cockpit et sous ses ailes, l'appareil peut transporter environ 250 kg de charge utile. Soit une grande variété de capteurs (caméra thermique, équipement optronique, radar, détecteur de balises, systèmes d'écoutes électromagnétiques...) et même des roquettes ou des missiles tactiques. Sa chaîne d'image, 100% Sagem (des capteurs embarqués jusqu'à la station sol en passant par le traitement informatique) permet de distinguer avec netteté des cibles à 3 km de distance. Pour compléter la panoplie de l'avion espion, le Patroller intègre d'autres équipements fournis par des partenaires européens : la transmission par Thales ou Zodiac, le radar par l'italien Selex (groupe Finmecannica), le système de guerre électronique par Thales, l'armement par MBDA...

"Ce drone est de conception européenne sous maîtrise française. On maîtrise 100% les problèmes techniques et on peut réagir très vite pour apporter des évolutions. A contrario, passer un fournisseur non européen, c'est prendre le risque d'acheter des boites noires", explique Patrick Durieux de Sagem. Toutefois, ces performances ne rivalisent pas avec les véritables drones MALE lourds d'environ 5 tonnes qui intéressent actuellement l'armée française, que seuls General Atomics avec son Reaper et l'israélien IAI avec le Heron TP sont capables de fournir. 

Sagem nourrit toutefois d'autres espoirs. Dans la catégorie des drones MALE légers, l'armée française teste avec les forces britanniques le Watchkeeper de Thales. Et tant que la décision d'achat final n'est pas prise, le fabricant français ne désespère pas de faire valoir les qualités de son appareil. Par ailleurs, le Patroller a d'autres débouchés possibles que les forces tricolores. D'autant plus qu'il a été développé sur les fonds propres du groupe comme le Sperwer. Sa polyvalence en termes de capteurs embarqués lui permet de remplir des missions de sécurité territoriale et civile (surveillance des frontières, sauvegarde maritime, détection de départ de feu, surveillance des grands événements...). Le coût d'une heure de vol de drone est en effet moindre, comparée à celle d'une surveillance effectuée par pilote. Et comme pour le Sperwer, Sagem mise également sur les marchés exports. "Le Patroller répond assez bien au cahier des charges qui sortent à l'export notamment au Moyen-Orient, en Asie, en Pologne, au Kazakhstan". Le Patroller a déjà été démontré fin avril au Qatar. Au Bourget, le constructeur ne manquera pas de mettre en avant son appareil sans pilote espérant y séduire les clients potentiels.

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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 12:50
Ruag nomme Markus Zoller CEO de la division Defence

 

 

03.06.2013 Romandie.com (AWP)

 

Zurich (awp) - Le groupe de technologie et d'armement Ruag a nommé Markus Zoller au poste de CEO de sa division Defence et membre de la direction de groupe. Il prendra sa fonction dans le courant du quatrième trimestre 2013 et poursuivra la stratégie de l'entreprise au niveau de la croissance internationale et des relations avec le client principal, le Département fédéral de la défense (DDPS).

 

Ces dernières années, M. Zoller a occupé diverses fonctions de responsabilité au sein d'entreprises internationales comme ABB, Alstom et Siemens. Dernièrement, il était conseiller indépendant et a, à ce titre, dirigé et développé diverses PME.

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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 12:40
RAC MiG to design Skat-based unmanned combat air vehicle

Jun. 3, 2013 by Zach Rosenberg – FG

 

Washington DC - RAC MiG has signed a research and development contract to build an unmanned combat air vehicle (UCAV) based on its previous Skat design.

 

The deal, reported by news agency RIA Novosti, is for an autonomous system which requires minimal oversight once in flight. The Skat - a stealthy flying wing design - is the most sophisticated Russian UAV known. The country has had mixed success with developing unmanned systems, and has in the past purchased systems from Israel.

 

"We signed a R&D contract for UCAVs on 15 May," says RAC MiG director general Sergei Korotkov. "The contract requirements include a mock-up for a future UCAV for the defence ministry. We are already ahead on this, based on our Skat programme."

 

The Skat system was first unveiled in 2007.

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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 12:20
US Army engineers push the T-72 tank target for systems check at Condron Army Airfield on White Sands Missile Range in New Mexico, US. Photo: courtesy of John Andrew Hamilton, ATEC.

US Army engineers push the T-72 tank target for systems check at Condron Army Airfield on White Sands Missile Range in New Mexico, US. Photo: courtesy of John Andrew Hamilton, ATEC.

3 June 2013 army-technology.com

 

US Army engineers have developed a new mobile, remotely operated tank target to serve as foreign surrogate for cost-effective testing or training of a wide range of military equipment, including advanced sensors or weapon systems.

 

Designed to represent the Russian T-72 main battle tank (MBT), the target has been jointly manufactured by the Army Program Executive Office for Simulation, Training, and Instrumentation - Program Manager Instrumentation, Targets and Threat Simulators-Targets Management Office, as well as the Army Test and Evaluation Command's Systems Engineering Directorate.

 

Developed from a set of simple plastic targets generally used for acquisition and gunnery exercises, the target also features heating units to support heat sensing equipment testing, as well as metal stripping, foil and plating for visibility on radars.

 

The remotely operated system is mounted on a light utility vehicle chassis similar to those used by golf course and park maintenance personnel for enhanced realism.

 

Targets Management Office programme manager Eric Hoffman said the system currently represents a T-72 tank, and will closely resemble an actual T-72 radar cross section and infrared (IR) signature, following completion of development programme.

 

Originally produced at the White Sands Missile Range, the target can also be used to represent other armoured vehicles, including the Russian BMP infantry combat vehicle, or the BTR amphibious armoured personnel carrier, by replacement of the outer shell.

 

 

The target is now being shipped to the Edwards Air Force Base (AFB) in California, US, for planned evaluation that will confirm it is an appropriately accurate representation of the intended vehicles, prior to deployment for validation of a new system.

 

However, the new systems will not be restricted to the forthcoming testing at the Edwards AFB.

 

"The nice thing about this is that this is going to give WSMR and the Target Management Office the ability to do this here on site at White Sands," Hoffman said.

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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 07:20
Major Firms Concerned Over Health of Small Suppliers

Jun. 2, 2013 By PAUL McLEARY – Defense News

 

WASHINGTON — Everyone from the US defense secretary to the service chiefs to industry executives at major companies are concerned about the health of the smaller, specialized parts suppliers that keep planes flying, ships steaming and trucks on the road.

 

But what to do about them as the defense sector constricts and commercial markets rebound is a problem that no one has managed to solve.

 

Over the past few years of belt tightening at the Pentagon — with fewer new start programs coming on line — “certainly you’ve seen some consolidation in the supply base and I think that is a significant concern to everyone in the business,” said Rick Edwards, executive vice president for Lockheed Martin’s Missiles and Fire Control business.

 

During a May 15 interview at the Special Operations Forces Industry Conference in Tampa, Fla., Edwards offered a candid assessment of how surging markets like domestic oil and natural gas production may be luring some second- and third-tier suppliers from the defense industry, and the difficulties the industry is facing recruiting and retaining qualified engineers in a tightening, and highly competitive, market.

 

“Being in the defense business requires a level of rigor and discipline that doesn’t come free,” he said, particularly when you see the current upswing in some commercial markets that could encourage smaller companies to abandon the defense sector where the volume of work is going down.

 

Precision machining, in particular, is an industry that is taking advantage of the booming domestic energy and drilling market, where companies can make more money machining parts for the oil business than they can making parts for programs such as the Hellfire missile.

 

Army Chief of Staff Gen. Ray Odierno echoed the concern over retaining smaller suppliers in a May 29 speech when he fretted over “the smaller [companies] who do so much for us in terms of developing some niche technologies. How do we keep them going as we reduce budgets?”

 

One of Lockheed’s answers involves stepping in and helping them, regardless of whether they want the assistance.

 

“Supporting and helping our suppliers is not something that’s optional,” Edwards said. “You are dependent on them for success and we view them as an integral part of our team because if the product fails or doesn’t deliver, that’s a reflection on Lockheed Martin. So we are not reluctant to go help them, even if they don’t want the help, quite honestly.”

 

He said that this level of interdiction with suppliers “has probably doubled in the last couple years” as the volume of work has gone down. And there doesn’t look to be a lot of help on the horizon. In a rather downcast assessment of what’s to come, the Pentagon’s chief for industrial base and manufacturing policy, Brett Lambert, told a Washington industry crowd on April 25 that while he is working to identify the most critical aspects of the industrial base that must be sustained, “there’s going to be a lot of bad news that’s given out to companies” over the next several years.

 

“We should make no illusions,” Lambert said. “We will identify critical key suppliers that will go under because we will have made the assumption, based on our strategy moving forward, that that is no longer a critical capability to our future force.”

 

As the Pentagon looks to spend less on new start programs and attempts to incorporate more mature technologies on the few new programs in development, a large burden is being shifted to industry to bring new solutions to the table, and sooner.

 

With this in mind, Edwards said that in his business segment, the biggest employer of his engineers is in internal research and development (IRAD).

 

Spending on IRAD generates products quickly and keeps engineers sharp. It also keeps them working.

 

“I want to be able to keep my technical base — my design engineers — engaged so they don’t look at this thing and say, ‘We’re in a defense downturn, there aren’t a lot of development programs, I think I’ll go take that job designing Madden 2020’ or something. That’s an issue,” he said.

 

Adding to the problem is the fact that the demographics of engineering schools don’t always work in favor of the defense industry. In most years, about 30 to 35 percent of engineering graduates are US citizens who can get clearances, which means that the pool for qualified talent is small, and there are many opportunities for graduates across a variety of industries.

 

But Edwards said the people who do work for him are going to remain busy, anticipating the next requirement from a customer who, while reducing its buys, will continue to invest what it can in new solutions.

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2 juin 2013 7 02 /06 /juin /2013 11:20
F35 IOC Dates

June 2, 2013 by WiseApe – Think Defence

 

A Report to Congress posted on AviationWeek gives the IOC dates for the three versions of F35, along with their respective software blocks

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2 juin 2013 7 02 /06 /juin /2013 11:20
U.S. Air Force Agrees To Accept F-35 With Limited Software and Weapons Capability

June 1, 2013. David Pugliese - Defence Watch

 

From Aviation Week:

 

The U.S. Air Force, by far the largest presumed user of the F-35 fighter, has agreed to declare initial operational capability with a much more limited software and weapons capability that initially planned, according to a report sent to Congress May 31.

 

The Air Force now plans to declare initial operational capability (IOC) with 12 F-35As (and trained pilots and maintainers) in December 2016, before the long-awaited 3F software package is fully tested. The service previously planned to wait for the 3F package because it allows for an expanded engagement envelope and more diverse weapons.

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2 juin 2013 7 02 /06 /juin /2013 07:50
Italian Navy's FREMM ship

Italian Navy's FREMM ship

31 May 2013 naval-technology.com

 

The Italian Navy has taken delivery of the first Frégate Européen multi-mission (FREMM) vessel, Carlo Bergamini, at the Fincantieri shipyard in Muggiano, La Spezia, Italy.

 

The delivery is part of a contract awarded to Orizzonte Sistemi Navali to build ten vessels for the Italian Navy to replace the ageing Fincantieri-built Lupo and Maestrale-class ships by 2021.

 

Established in late-2002, the FREMM multi-mission ship programme is part of a major cooperation agreement between France and Italy, under which 11 frigates will be built for France as well, with the deliveries closing in 2022.

 

Orizzonte Sistemi Navali (51% Fincantieri, 49% Finmeccanica) is the prime contractor for Italy, while Armaris, a joint venture between DCNS and Thales, is the prime contractor for France under the FREMM programme.

 

Italy will receive the vessels in two versions: an anti-submarine warfare (ASW) model and a general-purpose (GP) vehicle.

"Italy will receive the vessels in two versions: an anti-submarine warfare model and a general-purpose vehicle."

 

The 144m-long and 19.7m-wide Carlo Bergamini has a full-load displacement capacity of 6,500t, a maximum speed of 27k and an accommodation capacity of 145.

 

The Italian FREMM vessels will be armed with the SAAM Aster 15 missile system, Teseo Mk2 sea-skimming anti-ship missiles and MBDA's Milas all-weather weapon system to support anti-submarine warfare (ASW) and anti-air warfare missions.

 

In addition, the ships will be equipped with EMPAR G-band multifunction phased array radar and Galileo Avionica silent acquisition surveillance system (SASS) to serve as infrared search and track (IRST) system.

 

Capable of supporting a range of missions and better safeguard the Mediterranean area, the FREMM frigates will also be used to conduct broad maritime defence strategies such as deterrence, protection, crisis mitigation and power projection.

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2 juin 2013 7 02 /06 /juin /2013 07:20
Oshkosh Defense Receives EMD Contract to Develop JLTV - the Future of Light Tactical Vehicles

OSHKOSH, Wis. (Aug. 23, 2012) —  Oshkosh Defense

 

The U.S. Department of Defense has awarded Oshkosh Defense, a division of Oshkosh Corporation (NYSE:OSK), a contract for the Joint Light Tactical Vehicle (JLTV) program’s Engineering, Manufacturing and Development (EMD) phase.  The JLTV program aims to replace many of the U.S. military’s aged HMMWVs with a lightweight vehicle that offers greater protection, mobility and transportability.

“The JLTV program is critical to supporting our troops who stand in harm’s way and deserve the best equipment that industry can provide,” said John Urias, Oshkosh Corporation executive vice president and president, Oshkosh Defense.  “The Oshkosh JLTV solution will allow the Army and Marine Corps to provide unprecedented levels of protection and off-road mobility in a light vehicle – so that their troops can accomplish their missions and return home safely.”

JLTV is managed by the Joint U.S. Army and U.S. Marine Corps program, under the leadership of the U.S. Army's Program Executive Office for Combat Support and Combat Service Support (PEO CS&CSS).  Under the contract, Oshkosh will deliver 22 Oshkosh-designed and manufactured JLTV prototypes within 365 days of contract award, and support government testing and evaluation of the prototypes. 

Since 2006, Oshkosh has invested significantly in independent R&D to develop its JLTV solution.  Oshkosh employed a generational product development approach that aligned to rapidly evolving technical requirements.  As a result, the Oshkosh JLTV delivers the latest automotive technologies, an advanced crew protection system, and a next generation TAK-4i™ independent suspension system to achieve JLTV performance at an affordable price.  The Oshkosh JLTV is fully tested, ready for initial production, and meets or exceeds the requirements of the JLTV program.

“The Oshkosh JLTV solution was designed with a purpose – to keep Warfighters safe on future battlefields with unpredictable terrain, tactics, and threats,” said John Bryant, vice president and general manager of Joint and Marine Corps Programs for Oshkosh Defense.  “Oshkosh has a 90-year history of delivering high quality military vehicle programs on-time and on-budget, and our JLTV program is no exception.  We understand how critical this light, protected, off-road vehicle will be to Warfighters.” 

The Oshkosh JLTV solution, called the Light Combat Tactical All-Terrain Vehicle, or L-ATV, offers an advanced crew protection system that has been extensively tested and is proven to optimize crew survivability.  The L-ATV can accept multiple armor configurations, which allows the vehicle to adapt easily to changing operational requirements. The L-ATV also applies the Oshkosh TAK-4i™ intelligent independent-suspension system to provide significantly faster speeds when operating off-road, which can be critical to troops’ safety. 

Oshkosh Defense has an unwavering commitment to the men and women who serve our nation.  Notably, Oshkosh was awarded the M-ATV contract in June 2009 on an urgent needs basis.  Oshkosh ramped up production at a historical pace – delivering 1,000 vehicles per month within six months.  Oshkosh delivered more than 8,700 M-ATVs, most of which were deployed in Afghanistan and are credited for saving thousands of troops’ lives. 

“Oshkosh’s M-ATV is the only vehicle in the combat theater in Afghanistan performing the JLTV’s mission profile,” said Bryant. “We delivered more than 8,700 M-ATV’s on-time and on-budget, and Oshkosh will bring the same level of commitment to the JLTV program.”

More information about the Oshkosh JLTV solution is available at http://www.oshkoshdefense.com/jltv.

 

 

About Oshkosh Defense

Oshkosh Defense, a division of Oshkosh Corporation, is an industry-leading global designer and manufacturer of tactical and protected military vehicles, delivering a full product line of conventional and hybrid vehicles, advanced armor options, proprietary suspensions and vehicles with payloads that can exceed 70 tons. Oshkosh Defense provides a global service and supply network including full life-cycle support and remanufacturing, and its vehicles are recognized the world over for superior performance, reliability and protection. For more information, visit www.oshkoshdefense.com.

 

About Oshkosh Corporation

Oshkosh Corporation is a leading designer, manufacturer and marketer of a broad range of specialty access equipment, commercial, fire & emergency and military vehicles and vehicle bodies. Oshkosh Corporation manufactures, distributes and services products under the brands of Oshkosh®, JLG®, Pierce®, McNeilus®, Jerr-Dan®, Oshkosh Specialty Vehicles, Frontline™, CON-E-CO®, London® and IMT®. Oshkosh products are valued worldwide in businesses where high quality, superior performance, rugged reliability and long-term value are paramount. For more information, visit www.oshkoshcorporation.com.

®, TM All brand names referred to in this news release are trademarks of Oshkosh Corporation or its subsidiary companies

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1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 21:50
source Video Airbus Military

source Video Airbus Military

30 mai 2013 AirEtCosmosFJ

Airbus Military vient de réaliser un premier essai de ravitaillement, sur pod latéral, avec un EC725 prêté par Eurocopter. L'essai vise à valider la capacité de l'avion à ravitailler à basse vitesse, de 105 à 130 nœuds.

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1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 15:55
Le général Ract Madoux au forum entreprises-Défense 2013 - Crédits : SIMMT

Le général Ract Madoux au forum entreprises-Défense 2013 - Crédits : SIMMT

01/06/2013 Armée de Terre - Economie et technologie

 

La 13e édition du forum entreprises-Défense (FED) s’est tenue à Versailles du 29 au 30 mai 2013. Le chef d’État-major de l’armée de Terre (CEMAT) a souligné que le partenariat État/Entreprise permettait à nos matériels de répondre aux exigences accrues des théâtres.

 

Ce salon réunit les donneurs d’ordres et les fournisseurs de la Défense française et constitue un rendez-vous essentiel pour de très nombreuses entreprises, françaises ou étrangères, pour présenter et promouvoir leurs technologies et leurs savoir-faire.

 

Cette biennale très attendue, organisée en alternance avec Eurosatory, a été inaugurée le 29 mai par le général d’armée Bertrand Ract-Madoux chef d’État-major de l’armée de Terre (CEMAT), en présence de nombreuses autorités civiles et militaires. Dans son allocution, le CEMAT a souligné l’importance de l’innovation et du partenariat de l’État/Entreprise permettant ainsi à nos matériels de répondre aux exigences accrues des théâtres.

 

Cette année, le salon a accueilli 161 exposants dont 17 entreprises étrangères et s’est appuyé sur la participation de plusieurs grands groupes industriels et d’un nombre important de PME-PMI.

 

Ce forum était organisé par la structure intégrée du maintien en condition opérationnelle des matériels terrestres (SIMMT) en partenariat avec la chambre de commerce et d’industrie Paris Île-de-France.

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1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 07:55
Le démonstrateur Neuron développé et fabriqué sous la maîtrise d'oeuvre de Dassault Aviation

Le démonstrateur Neuron développé et fabriqué sous la maîtrise d'oeuvre de Dassault Aviation

31/05/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, veut sortir "d'une impasse opérationnelle et industrielle" dans le domaine des drones. C'est pour cela qu'il est près de commander des drones de surveillance américain Reaper aux Etats-Unis. A plus long terme, le ministre veut être "au rendez-vous" des drones de combat, qui complèteront ou remplaceront les avions de combat.

 

Les drones sont un dossier qui titille le ministre de la Défense. Au point que Jean-Yves Le Drian s'est senti obligé une nouvelle fois de s'expliquer sur ce dossier brûlant en publiant ce vendredi une tribune dans "Les Echos" titrée "Pourquoi l'armée française a un besoin urgent de drones". Un exercice dans lequel Jean-Yves Le Drian justifie l'achat de drones MALE (Moyenne altitude Longue endurance) vraisemblablement américain par "le temps" qui "presse". "Notre besoin en drones nous impose d'être pragmatiques, et c'est bien ma démarche. Ministre de la Défense, c'est ma responsabilité et j'entends l'assumer", écrit-il dans le quotidien économique. Car souligne-t-il, il faut "sortir d'une impasse opérationnelle et industrielle pour enfin doter la France de drones, pièces maîtresses du renseignement et de la guerre de demain".

 

Ainsi, Jean-Yves Le Drian affirme que "la situation immédiate au Sahel (conflit au Mali avec possible extension au Niger, ndlr) me conduit à lancer l'acquisition d'un équipement existant, parce que nous ne pouvons plus attendre. Devant nous, deux possibilités : le Héron-TP réalisé en Israël et le Reaper produit aux Etats-Unis. De nombreuses actions ont été initiées avec ces deux pays. A très court terme, la piste américaine est la plus prometteuse, avec la perspective d'une première livraison de deux drones d'ici à la fin de cette année. Quelle autre option nous donnerait davantage satisfaction ? Comment, après tant de tergiversations, ne pas saisir l'occasion qui se présente la première ?". Et de rappeler que "l'ensemble de la communauté de défense, le ministère autant que l'industrie, a manqué le virage de ce type d'équipement".

 

Un équipement indispensable pour les conflits d'aujourd'hui et de demain

 

Le ministre de la Défense rappelle à raison que les drones MALE (reconnaissance et surveillance) sont indispensables. "Depuis un an, sur tous les théâtres d'opération majeurs, les situations concrètes ont confirmé le sentiment que nous avions : la France doit disposer de drones de surveillance pour conduire ses opérations, protéger ses militaires, les aider à contrôler de vastes espaces et parer d'éventuelles attaques ennemies", explique-t-il. Et de préciser que "le désengagement d'Afghanistan a largement reposé sur des drones dits « tactiques » (à savoir des DRAC français, des drones appartenant d'autres nations ainsi que l'appui de Predator, ndlr). Ils nous avaient manqué à Uzbeen en 2008 (lors d'une embuscade menée par des combattants talibans qui avait coûté la vie à 10 "Marsouins" -  8e régiment de parachutistes d'infanterie de marine - sur le col d'Uzbeen lors d'une patrouille menée par un centaine d'hommes - Français, Afghans et Américains - de la Force internationale d'assistance et de sécurité, ndlr). Mis en oeuvre par l'armée de terre l'an dernier, ils ont permis de sécuriser les convois tout au long de leur déplacement vers Kaboul. Mais ces équipements, provisoires et insuffisants, doivent être remplacés par des systèmes plus modernes". Notamment par des drones anglo-israéliens Watchkeeper, sous la maîtrise d'oeuvre de Thales UK et actuellement testés par l'armée de terre française.

 

C'est aujourd'hui le cas aussi au Mali. "Ce territoire, grand comme 2,5 fois la France, rend indispensable le déploiement de drones MALE qui, avec la discrétion qui s'impose, sont en mesure de parcourir de longues distances et d'observer de larges espaces pendant plus de vingt heures", explique Jean-Yves Le Drian. mais regrette-t-il, "aujourd'hui, la France continue à utiliser deux systèmes que l'on disait intérimaires au moment de leur lancement, en 2003 (SIDM Harfang - un drone MALE d'EADS - et SDTI - un drone tactique de Safran, ndlr). Le provisoire est devenu permanent. Dix ans ont passé; nous n'avons pas progressé. Nous en sommes à espérer que nos deux systèmes encore opérationnels ne subissent pas d'incident majeur, et à compter sur la solidarité de nos alliés dans un domaine majeur pour notre souveraineté, celui du renseignement, sans lequel il n'est pas d'action libre ni sûre".

 

Ne pas rater le rendez-vous des drones de combat

 

Pour l'avenir, le ministre a assuré que les mesures nécessaires seront prises. "L'urgence ne doit pas faire obstacle à l'avenir. C'est pourquoi j'ai proposé à nos partenaires européens, dans le domaine des drones MALE, de nous regrouper, pour partager nos expériences et nos capacités, et impliquer nos industries dans la mise au point de ces équipements pour nos propres besoins. Cette ambition est d'ores et déjà en chantier". Effectivement une coopération a été conclue dans le domaine des drones avec la Grande-Bretagne, qui utilise déjà des Reaper, dans le cadre des accords de Lancaster House. C'est notamment vrai sur les drones tactiques (Watchkeeper). Au-delà, la France et la Grande-Bretagne travaillent à définir à l'horizon 2020 un drone MALE européen pouvant équiper la France et la Grande-Bretagne mais aussi l'Allemagne et l'Italie.

 

Mais à plus long terme Jean-Yves Le Drian pense au drone de combat, "qui, à l'horizon 2030, viendront compléter voire remplacer nos flottes d'avions de chasse". "Ce rendez-vous, nous ne le manquerons pas, assuré le ministre. L'industrie française et européenne est à la pointe de cette technologie, comme l'a démontré le premier vol du drone NEURON (développé et fabriqué sous la maîtrise d'oeuvre de Dasssault Aviation, ndlr) à la fin de l'année 2012. Elle doit le demeurer, et nous lui consacrerons à cette fin les moyens nécessaires". Dont acte.

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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 21:50
New MBR system to be installed on HMS Ocean

May 31, 2013 ASDNews Source : Babcock International

 

Work has been completed on schedule in preparation for the installation by Babcock of a first of class state-of-the-art Membrane Bio-Reactor (MBR) on HMS Ocean.  This represents a significant proportion of the vessel’s current upgrade package and is an integral part of the 15 month overhaul programme underway at Babcock’s Devonport Royal Dockyard.

 

The new MBR replaces the ship’s existing 15 year old sewage treatment system and will be capable of processing both waste water and sewage (black and grey water, galley, laundry, sink and shower waste).  Installation of this new system will ensure that HMS Ocean leaves this upkeep period in full compliance with current and future planned IMO and MARPOL regulations due to come into force in 2015, enabling the ship to operate globally in carrying out her designated tasking.

 

The project to manufacture, supply and fit the new MBR system is being undertaken in a joint approach by Babcock (responsible for removal of old and installation of the new system and equipment in the installation path) and the system Original Equipment Manufacturer Hamworthy Water Systems (providing custom built modular components, on-site fabrication of new tanks and setting the system to work).  This substantial project, which extends through the length of the ship at 7-9 deck, impacts on the upkeep schedule at every level.

 

Last month (April 2013) saw completion to schedule of considerable preparatory work to allow the installation phase of the new system to commence.  This has included cutting three shipping routes (approximately 2.5m2) into the hull, removal of the three redundant sewage treatment plants located forward, aft and amidships, and removal or re-routing of systems and equipment in the path of the new equipment fit.  The Mid Auxiliary Room (MAR) – the ship’s compartment most affected by the MBR installation – is now virtually empty, ready to accommodate the new system.

 

The scale of the installation project ahead is huge.  As well as more than 3km of constructive and mechanical fluid system pipework to be taken out and/or re-sited, over 1.5km of new MBR pipework is to be fitted between the various system components, along with over 3.7km of new cabling to be run and sealed for the new equipment fit.  New holding, collection and pumping tanks are to be fabricated & fitted forward and aft, and transfer pumps, filtration membranes, grease separators and screen presses integral to the MBR system will also be installed, along with control and monitoring equipment.  Almost every compartment of the ship will see some MBR-related work.

 

Babcock Warship Support SSS Delivery Director, Mike Weeks, said: “A particular challenge lies in the re-installing or re-routing of existing systems and accommodation of the new system equipment within the Mid Auxiliary Room.  3D computer modelling has been undertaken to facilitate this, with installation drawings now agreed and approved.  We are now starting installation of the MBR.  It’s a tight timescale to achieve a working system ready for when ship’s staff move on board, but good progress has been made to date by all parties involved, and work on this critical path project is currently on-schedule.  We’ll be working hard to maintain that through the installation phase.  As in all aspects of this massive upkeep period, we will be focusing on delivering this fit safely, on-schedule and at optimum value for money.”

 

The extensive deep maintenance programme on HMS Ocean is the first on an amphibious capital ship since full implementation of the Surface Ship Support Alliance (SSSA), under which Babcock leads the Class Output Management (COM) team responsible for delivering support to all amphibious vessels.  The knowledge and experience gained through this project will contribute to de-risking future upkeeps, most notably for HMS Albion and Bulwark, as well as helping to inform and guide the maintenance strategy for the new Queen Elizabeth class aircraft carriers.

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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 19:40
Mistral: Russie et France satisfaites de l'avancement de la construction

MOSCOU, 31 mai - RIA Novosti

 

La Russie et la France se sont déclarées satisfaites de l'avancement des travaux de construction de deux bâtiments de projection et de commandement (BPC) de type Mistral destinés aux forces navales russes, a annoncé vendredi un communiqué du Service fédéral pour la coopération militaro-technique (FSVTS).

 

"Les parties se sont félicitées de l'état d'avancement des travaux de construction des porte-hélicoptères de classe Mistral pour la Marine russe et ont convenu d'élargir leur coopération militaro-technique", lit-on dans le communiqué publié à l'issue de la 14e réunion du Comité russo-français pour la coopération militaro-technique, qui s'est tenue jeudi à Ekaterinbourg (Oural).

 

En juin 2011, la Russie et la France ont signé un contrat de 1,2 milliard d'euros prévoyant la construction de deux BPC de classe Mistral pour la Marine russe. Le premier navire, baptisé "Vladivostok", sera livré en 2014 et le second, "Sébastopol", en 2015. Les deux bâtiments de guerre feront partie de la Flotte russe du Pacifique.

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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 12:50
Next stop for next generation armored combat vehicles: Poland

May 31, 2013 ASDNews Source : BAE Systems PLC

 

    BAE Systems & Polish Defence Holding Offer New Family of Armored Tracked Vehicles for Poland Military

 

BAE Systems Hägglunds and Polish national defense company, Polish Defence Holding (formerly the Bumar Group), have joined forces to offer new tracked armored combat vehicles for a top-priority Polish military program under an exclusive teaming agreement.

 

The “Modular Tracked Platform” (MTP) is part of Poland’s National Armor Program.

 

The MTP timescales are tight with a production contract likely to be let in 2015 and first vehicles delivered for service in 2018. To meet them the team is proposing a family of vehicles which draws heavily on CV90 technology and reaps the benefit of millions of man hours and dollars already invested in its design.

 

“Polish Defence Holding has extensive experience as an in-country prime contractor and will be critical in developing solutions for this new family of armored fighting vehicles that will meet the military’s requirements in Poland,” said Erwin Bieber, president of BAE Systems’ Land & Armaments sector.

 

The partnership brings the team one step closer to meeting the demanding technical and time challenges of this major Polish program and delivering critical operational capability to the Polish Land Forces. Polish Defence Holding will be instrumental in facilitating production of the vehicles if this team’s offering is selected.

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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 12:20
New US Navy Littoral Combat Ships Cannot Fullfil Agreed Missions

16/05/2013 by Victoria Knowles - Armed Forces International Reporter

 

A Navy ship cannot meet its mission, according to an internal US report.

 

Last year, US Navy chiefs were cautioned that a program to assemble Littoral Combat Ships, costing $37 billion, cannot fulfill its agreed mission due to the vessels being too lightly armed and manned, a confidential report found.

 

"This review highlights the gap between ship capabilities and the missions the Navy will need LCS to execute", the 36-page report said, compiled by Rear Admiral Samuel Perez for the Navy last year.

 

The Littoral Combat Ship is a vessel that can adapt to carry out one of three assigned roles: anti-submarine, anti-mine, or ocean surface combat. To achieve this, it uses interchangeable modules, missiles, unmanned underwater vehicles and helicopters, dependent on the mission. In theory, these modules function like LEGOs, interchanging a sonar collection in the anti-submarine equipment for a 30mm gun from the surface warfare kit.

 

Littoral Combat Ships Do Not Function Effectively

 

But in practice, these modules don't function efficiently. The target was a 96-hour turnaround between the in place modules and other specific tools required. A vessel this flexible and adaptable could respond quickly in the event of a crisis. But the report, acquired by Bloomberg News, reveals that while a four day module exchange technically is possible, a nearby dock is required, with the next module's components already to hand. This means a lot of preparation beforehand is needed to set up, and necessitates acquiring spare modules from naval bases in advance. This is a process that, during a training exercise, took weeks.

 

Also, the Littoral Combat Ship is far from durable. A late report states that the vessel is not anticipated to remain competent following a strike from an opponent, which presents a major issue for a naval ship. Granted, it wouldn't be able to execute an entire naval battle on its own, but it takes less than an enemy warship to sink it: this vessel can be taken out by only a single hostile cruise missile.

 

The Navy currently has 20 vessels under contract from a proposed fleet of 52. Construction costs have increased two-fold, from an original target of $220 million per ship to $440 million.

 

It is still feasible for the Littoral Combat Ship to undergo drastic improvements; while the 12 month-old report highlights crucial flaws, they are not completely unconquerable. Addressing them will require further monetary invest and time, which is a period of sequestration, both these resources are progressively scare.

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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 11:35
Hawkei Vehicles Delivered on Schedule

29.05.2013 Thales Group - army-guide.com

 

Thales Australia has delivered a further two Hawkei vehicles to the Defence Materiel Organisation on schedule.

 

The handover of the two Reconnaissance variants under Stage 2 of the Manufactured and Supported in Australia option of Land 121 Phase 4 means that all six vehicles are now with the Department of Defence for testing. All vehicle delivery milestones have been met on schedule.

 

The six vehicles comprise two Command variants, two Utility variants and two Reconnaissance variants, plus a trailer.

 

The majority of the evaluation process is being undertaken by the Commonwealth at Monegeetta in Victoria, and includes survivability testing, communications system integration testing, electro-magnetic interference/compatibility testing, reliability growth trials and user assessments.

 

Vehicles already delivered have so far completed almost half of the planned 100,000km of testing scheduled for the evaluation period. Subject to successful testing of the vehicles, final approval of the project is expected circa 2015, as detailed in the 2012 Defence Capability Plan.

 

Thales Australia CEO Chris Jenkins said: “We are very pleased to deliver these final two vehicles to Defence on schedule. They are backed by the expertise of our protected mobility engineering teams, and we are working closely with Defence to support the testing and evaluation process.”

 

“We have invested $30 million in Hawkei, and Australian industry has also put significant effort into the development of these vehicles. I’d like to thank all the companies in the supply chain who have helped us meet this important milestone.”

 

The Hawkei is manufactured at Thales’s Bendigo facility in Victoria. Employing 200 people, Bendigo is also home of the Bushmaster vehicle that has proven very successful on Australian Defence Force operations overseas.

 

LAND 121 Phase 4 is a Department of Defence project that seeks to provide up to 1,300 protected light vehicles.

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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 07:20
GBU-12 Paveway II photo US Navy

GBU-12 Paveway II photo US Navy

TUCSON, May 30 (UPI)

 

Raytheon of the United States has received a $106 million contract for Paveway II bomb kits, which convert free-fall bombs into precision-guided munitions.

 

The order, the result of a direct commercial sale from an international customer who wasn't identified, includes Paveway kits for both GBU-12 bombs and GBU-58 bombs.

 

"Customers worldwide continue to select Raytheon's Paveway to protect their warfighters and citizens," said Harry Schulte, vice president of Raytheon Missile Systems' Air Warfare Systems. "This contract further demonstrates Raytheon's long-standing commitment to its international partners."

 

Raytheon said its Paveway family of products is compatible across a broad spectrum of warheads and that enhanced versions include capabilities such as Global Positioning System/Inertial Navigation System guidance capabilities for greater precision and flexibility than traditional laser-guided weapons.

 

The result is a "weapon that decreases the required sortie count and weapons inventory while simultaneously increasing the mission success rate."

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30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 18:30
Matériels militaires russes pour l'Irak: Moscou lance la réalisation du contrat

AMMAN, 30 mai - RIA Novosti

 

La Russie a lancé la production de matériels militaires, principalement d'hélicoptères, destinés à l'Irak, conformément à un contrat de quatre milliards de dollars signé en 2012, a annoncé jeudi à Amman le président du holding russe de hautes technologies Rostec Sergueï Tchemezov.

"Le contrat que nous avons signé avec l'Irak est entré en vigueur, nous avons lancé la production. Le contrat signé pendant une visite du chef du gouvernement irakien Nouri al-Maliki à Moscou porte surtout sur la livraison d'hélicoptères, son montant dépasse quatre milliards de dollars", a indiqué M.Tchemezov devant les journalistes.

Selon les informations précédentes, l'Irak et la Russie ont signé un accord sur l'achat d'armes russes pour 4,3 milliards de dollars en octobre 2012. Aucune information officielle sur les modalités du contrat n'a été communiquée. Selon le directeur du Centre russe d'analyse du commerce mondial d'armes, Igor Korotchenko, il s'agit du plus gros contrat signé par Moscou en 2012.

 

 

 

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30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 18:00
Livre blanc sur la défense : Quel impact pour l’industrie française ?

30.05.2013 Par Jean-François Fiorina, Directeur de l’ESC Grenoble  - CLES Note hebdomadaire d’analyse géopolitique

 

Le nouveau Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale (LBDSN) a été publié fin avril 2013 avec plusieurs mois de retard. Au cours de son élaboration, les débats ont été vifs, les négociations rugueuses. Budgétairement parlant, le pire a été évité. Mais l’effort de défense reste bien faible.

 

Avec en 2014 et 2015 respectivement 1,5 % et 1,3 % du PIB alloué à cette fonction, la France prend le risque de dégrader sérieusement ses capacités d’action. Pour y pallier, le Livre blanc prévoit de « consentir à des interdépendances mutuelles » avec nos partenaires européens et définit une nouvelle politique visant au « maintien d’une industrie de défense parmi les premières mondiales », à même d’assurer « l’autonomie stratégique de la France ». L’un des enjeux majeurs des prochains mois sera de traduire ces formules en faits concrets au sein de la future loi de programmation militaire (LPM). Reste également à s’assurer que les modalités de mise en œuvre concilieront réalisme économique, rigueur budgétaire et vision stratégique. Et si c’était, justement, cette vision stratégique qui nous faisait défaut ?…

 

La France s’est dotée à plusieurs reprises d’un Livre blanc sur la défense. À chaque fois, l’objectif visait « à définir les principes, les priorités, les cadres d’action et les moyens qui assureront dans la durée la sécurité de la France ». Le premier, en 1972, a codifié la doctrine de dissuasion nucléaire. Le second, en 1994, a tiré les conséquences de la fin de la Guerre froide. Et celui de 2008 a étroitement lié défense et sécurité au sein d’une « approche globale ». Le Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale (LBDSN) de 2013 est justifié par « la crise financière mondiale, devenue économique et [par] les événements liés au Printemps arabe ». En clair, l’effort de défense devra être « cohérent avec le nécessaire assainissement des finances publiques » tout en assurant « l’adéquation dans le temps de notre outil de défense et de sécurité nationale avec nos responsabilités internationales et l’évolution de notre environnement stratégique ». Un exercice difficile, qui ne peut faire l’impasse sur la refonte de la politique industrielle de défense.

 

Panorama de la BITD française

 

La base industrielle et technologique de défense (BITD) représente l’ensemble des entreprises qui permettent aux armées de conduire leurs opérations. Au total, la BITD est composée de plus de 4000 sociétés – un nombre relativement faible par rapport à aux autres secteurs d’activités spécialisés – pour un chiffre d’affaires global de 17,5 milliards d’euros en 2011. Elle emploie directement 80000 personnes et assure indirectement le maintien de 85 000 emplois, dont un grand nombre hautement qualifiés et non délocalisables. Plus du tiers des entreprises de la BITD sont des entreprises industrielles, ce qui représente un atout non négligeable à l’heure de la politique de réindustrialisation.

 

Mais la BITD renvoie d’abord « aux unités qui concourent à la production des systèmes d’armes et des équipements létaux (de la R&D jusqu’à l’entretien) », rappelle l’économiste Sylvain Moura. Constitué de 2 700 entreprises, ce noyau dur permet, « via les programmes d’armement, l’autonomie stratégique. [Il est] directement concerné par les choix d’équipements militaires. Enfin, [il] représente le cœur des compétences en indus- trie de défense et en recherche et développement ». La BITD – qu’elle soit terrestre, aéronautique ou navale – est donc étroitement liée aux choix stratégiques définis par les politiques publiques de défense. Elle est en quelque sorte la traduction industrielle et technologique des contrats opérationnels des armées.

 

L’édification de la BITD française a été assurée dans les années d’après-guerre par de grands contrats d’armement nationaux. Ces dernières années, la baisse des investissements étatiques et des crédits de défense tendent à modifier profondément le paysage industriel du secteur. Le recours à la location longue durée gagne du terrain, l’achat sur étagère n’est plus tabou et l’export est devenu incontournable pour la survie économique des entreprises. Autant de bouleversements dont il faut désormais tenir compte.

 

La politique industrielle du livre blanc

 

Si les précédents « Livres » n’avaient pas – ou peu – évoqué le rôle de la BITD dans l’élaboration de la stratégie de défense, le document de 2013 consacre une partie non négligeable à la question industrielle et fixe les grandes lignes d’une politique ambitieuse en la matière. En résumé, il s’agit de « préserver pour des raisons stratégiques un certain nombre de capacités technologiques clefs indispensables à notre autonomie stratégique et assurer pour des raisons économiques et sociales l’avenir de l’industrie de défense ».

 

Le LBDSN insiste d’abord sur « le maintien d’un budget significatif en matière de recherche et de développement ». Louable intention, mais qui oublie de préciser que « ces dernières années ont vu les crédits-amonts du ministère de la défense amputés de plus de 25 % par rapport à ce qui avait été initialement provisionné » (voir CLES n°74). Bref, les financements continueront de manquer et les industriels devront assurer la prise en charge d’une partie croissante de la recherche. Reste à savoir comment. Une partie de la réponse réside dans l’exportation. Indispensable complément d’un budget national insuffisant, elle permet d’assurer la pérennité de l’activité industrielle française. C’est pourquoi le Livre blanc préconise également que l’État accompagne davantage « ses grands partenaires en mobilisant à cet effet [l’ensemble de] ses compétences ». Mais là encore, peu de propositions concrètes. Le Livre blanc rédigé par l’industrie de défense française (CIDEF) en 2012 est plus explicite : dispositif de soutien ad hoc aux PME, nomination en ambassades de personnels qualifiés sur les questions industrielles, « cellule apte à assurer la présentation des équipements utilisés en opération », etc.

 

Le LBDSN appelle ensuite à « l’exploitation systématique de toutes les voies de coopération en matière d’armement », pendant industriel des « interdépendances mutuelles » ou partage des capacités. L’exemple réussi dans l’industrie des missiles entre la France et le Royaume-Uni a vocation à s’étendre à d’autres domaines et à d’autres partenaires européens. Pour ce faire, la France demandera « la mise en place de cadres communs pour le soutien d’une base industrielle de défense européenne ». Mais qui dit BITD européenne, dit stratégie commune. Et c’est bien là que réside la plus grande difficulté. Le volet industriel n’est jamais que l’une des modalités d’action pour une politique de défense qui doit être partagée par tous. Quels équipements produire ensemble pour satisfaire autant les grandes puissances interventionnistes que les petits États qui ne comptent pas projeter leurs troupes hors de leur territoire?

 

Enfin, produire à l’échelle européenne exige que les BITD nationales ne soient pas dans un rapport de force trop inégal. Si la France a entamé une restructuration nationale dans le naval et l’aéronautique, son secteur terrestre est encore trop fragmenté pour affronter la concurrence intracommunautaire. C’est pourquoi le Livre blanc envisage « le recours à tous les moyens dont dispose l’État, comme actionnaire, comme client et comme prescripteur, pour faciliter les restructurations industrielles qui s’imposent à l’échelle européenne ». La récente annonce par le Premier ministre de la vente des participations publiques est-elle un premier pas en ce sens?

En attendant l’Europe de la défense…

 

De façon générale, et tout particulièrement concernant la politique industrielle, le Livre blanc en appelle à plus d’Europe. « L’évolution du contexte géopolitique, économique et budgétaire commande d’approfondir le développement volontariste de convergences stratégiques entre Européens ». Ici, selon Les Échos, « la concentration de déclarations d’intention est impossible à résumer ». Rien de bien nouveau n’est proposé, si ce n’est l’approfondissement de mécanismes et institutions déjà existants. Et pourtant, l’Union européenne est présentée comme le remède essentiel aux maux de l’industrie de défense française. « L’expérience montre que [l’harmonisation] ne se fera pas sans une impulsion politique forte. La France affirme pour sa part sa disponibilité à mettre en œuvre une telle démarche. L’intérêt dans le domaine industriel du processus de mutualisation et de partage (pooling and sharing) engagé dans le cadre européen est réel ». Véritable stratégie ou credo politique ? À l’heure où l’intégration européenne est en panne, et l’Union dans son ensemble en crise, n’est-il pas illusoire d’en attendre beaucoup dans un domaine régalien par excellence ?

 

Une BITD commune, même de façon partielle, est indissociable du projet d’Europe de la défense. Elle est le préalable indispensable à l’élaboration d’une poli- tique industrielle cohérente. Un Livre blanc de la défense européen a bien été tenté, sans succès. En attendant, le LBDSN en est réduit à espérer que « l’Europe de la défense se construira à travers ses opérations dans lesquelles ses capacités civiles et militaires se compléteront et se renforceront mutuellement » (LBDSN). À cet égard, la récente crise malienne ne laisse présager rien de bon. Surtout, la politique des « petits pas » chère à Robert Schuman requiert du temps. Et il n’est pas sûr que l’on en dispose.

 

 Pour aller plus loin

 

Livre blanc sur la défense

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30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 12:55
Afghanistan - poste de tir Milan Mars 2012 photo MinDef Fr

Afghanistan - poste de tir Milan Mars 2012 photo MinDef Fr

28/05/2013 Par Jean Guisnel Défense ouverte Le Point.fr

 

Le successeur du Milan est au centre d'une bataille. La France choisira-t-elle le Javelin américain, ou le MMP de MBDA, filiale d'EADS ?

 

Dans la période de relative disette budgétaire ouverte pour la défense, les industriels se battent bec et ongles pour les rares nouveautés qui s'annoncent. C'est ainsi que l'armée de terre, qui doit prochainement engager le remplacement de ses missiles antichars Milan, se voit proposer deux engins concurrents. Le premier, dit MMP (pour missile moyenne portée), est en cours de développement par l'industriel fabricant du Milan, MBDA, qui n'est autre que la filiale "missiles tactiques" d'EADS. Logiquement, si les règles classiques d'achat national étaient respectées, ce contrat de 400 millions pour la livraison des engins ne devrait pas échapper à MBDA. La partie française de cette entreprise est considérée comme un élément structurant de la BIDF (Base industrielle et de défense française). Sauf que...

 

"Sur étagère"

 

Voici quelques années, les soldats français opérant en Afghanistan avaient critiqué l'actuel Milan, qui ne possède pas la capacité "tire et oublie" qui permet au tireur de s'abriter après le départ du coup. Les Français avaient alors acheté "sur étagère" 260 missiles et 76 postes de tir proposés par le consortium américain Lockheed-Martin/Raytheon. Mais il faut maintenant passer à la suite. Après 2014, le Milan sera rangé au magasin des armes déclassées. En juin 2009, le délégué général pour l'armement Laurent Collet-Billon avait eu des mots cruels pour MBDA : "Si nous devons attendre des mois, voire des années, avec tous les ­risques liés au développement [d'une nouvelle arme], ce n'est pas possible. On peut aider notre industrie, mais pas sans répondre aux besoins."

 

Washington à la manoeuvre

 

 

Washington propose son missile antichars à l'armée française

Alors que les discussions sur la loi de programmation militaire sont bien engagées, avec le parage des budgets qui va avec, les États-Unis reviennent à la charge. Des décisions sur le futur missile antichar de l'armée française sont attendues le mois prochain lors d'un comité ministériel d'investissement, et Washington veut voir le nouveau modèle du Javelin emporter le marché, en expliquant au gouvernement français que ce programme permettrait une économie budgétaire de 100 millions d'euros. L'ambassade américaine à Paris soutient activement les industriels, faisant valoir que l'US Army entend moderniser le Javelin pour qu'il demeure en service jusqu'en 2050. Ces performances accrues porteraient notamment sur une augmentation de la portée et de la précision.

 

"Homme dans la boucle"

 

Du côté des Français, on estime que le Javelin pèche sur un point majeur : il ne peut pas être guidé jusqu'à sa cible. Cette capacité, dite "homme dans la boucle", est permise par une fibre optique qui relie le missile au poste de tir, cette méthode empêchant tout brouillage. Jusqu'à la dernière seconde, le tireur peut donc dévier l'engin de sa cible initiale, notamment pour éviter un obstacle surgi à la dernière seconde. De source proche de l'industriel américain, on fait valoir qu'une solution à ce problème est intégrée à l'offre, qui pourrait associer finalement la double capacité "tire et oublie" et "homme dans la boucle". Comment donc ? Mais tout simplement en proposant une association à MBDA, qui pourrait apporter au Javelin modernisé sa compétence en matière de filoguidage.

 

Double capacité

 

Chez MBDA, on ne commente pas. On fait par ailleurs valoir de source française bien informée que le projet de l'industriel intègre la double capacité "tire et oublie" et "homme dans la boucle", qu'il a bénéficié d'un contrat de "réduction de risques" de 20 millions d'euros, que Sagem est associé à ce programme pour le poste de tir, et que tout se passe conformément au calendrier prévu avec de possibles livraisons des premiers missiles en 2017. Au sein des gigantesques marchés industriels qui se discutent autour de la loi de programmation militaire, il s'agit d'un contrat mineur. Mais il est visiblement décisif pour les industries concernées.

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30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 11:35
Australia : Thales Delivers Hawkei Prototype Vehicles
30 May 2013 Pacific Sentinel
 
Minister for Defence Stephen Smith and Minister for Defence Materiel Dr Mike Kelly today welcomed Thales Australia’s on-time delivery of six Hawkei prototypes and one trailer prototype under the latest stage of Project LAND 121 Phase 4.
 
The prototypes delivered under Stage 2 of Project LAND 121 Phase 4 are designed to combine speed with safety for Australian soldiers on the battlefield.
 
Project LAND 121 Phase 4 is a $1.5 billion project that seeks to provide up to 1300 protected and unprotected light vehicles.
 
In December 2011, the Government announced that Thales Australia’s Hawkei had been selected as the preferred vehicle for development and testing under the Manufactured and Supported in Australia option of LAND 121 Phase 4.
 
In June 2012, the Government further announced that just over $38 million had been allocated for further development and testing of the Hawkei.
 

 

Under an agreement reached between Thales and the Australian Government, Thales was contracted to supply six prototype Hawkei vehicles for further testing and evaluation.
 
Today the project achieved a significant milestone with the delivery of the last two of the six Hawkei vehicles to the Monegeetta Proving Ground in Victoria.
 
Together with the four already delivered vehicles, the Hawkei command variants will be tested by the Defence Materiel Organisation’s Land Engineering Agency over the coming months.
 
The test program will also include communication system integration testing, reliability trials, survivability testing and user assessments.
 
The Hawkei is a mobile, light protected mobility vehicle which offers a high level of protection for personnel inside.
 
The new Hawkei prototypes are being manufactured at Thales’s facility in Bendigo, where Bushmasters have been produced since 2004.
 
These manufacturing capabilities, and the skills of the workforce, are an important national security capability.
 
As Bushmaster production winds down, development of the Hawkei may help to retain some of these critical skills in Bendigo.
 
Subject to ongoing good progress, a decision is expected in late 2013 on whether Defence intends to seek approval for Hawkei production. Final Government approval is expected between 2014/15 – 2015/16.
 
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30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 11:20
LAV III H Technology Demonstrator

LAV III H Technology Demonstrator

May 30, 2013 ASDNews Source : General Dynamics Corporation

 

General Dynamics Land Systems is leading an effort to develop the first North American combat vehicle with a fully integrated Active Protection System (APS). The company recently concluded a successful Critical Design Review of its APS project. The next major step is to validate a fully integrated APS on a Light Armored Vehicle III (LAVIII) demonstrator, scheduled for later this year.

 

Active Protection Systems enhance crew protection, survivability and situational awareness against advanced man-portable weapons by intercepting and defeating threats before they reach the vehicle. It is the only technology capable of defeating certain threats without significantly sacrificing vehicle mobility and transportability.

 

"General Dynamics Land Systems has more than 20 years of experience with APS technology integration and development and we are actively engaged in industry studies, research and development," said Sonya Sepahban, Land Systems senior vice president, engineering, development and technology. "We will continue to leverage our world-class systems engineering and unique survivability expertise, coupled with broad knowledge of APS technologies, to implement this capability on a variety of platforms for our customers."

 

The General Dynamics-led team will demonstrate APS technology readiness and integration efficiencies, and reduce the time it takes to bring this lifesaving survivability technology to customers. General Dynamics is funding the effort and is providing program leadership and execution, along with system design authority, supplier management, integrated design, hardware build and integration and test management support.

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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 16:20
Upgraded Alvin submersible aboard the R/V Atlantis. Photo Tom Kleindinst, Woods Hole Oceanographic Institution

Upgraded Alvin submersible aboard the R/V Atlantis. Photo Tom Kleindinst, Woods Hole Oceanographic Institution

29 May 2013 naval-technology.com

 

The US Navy's manned deep-ocean research submersible, Alvin, has successfully completed a $41m phase one modernisation programme and set sail off to Astoria, Oregon, to undergo trials.

 

Following completion of the major refit programme, the submersible was loaded onto the enhanced Woods Hole Oceanographic Institution (WHOI)operated Thomas G Thompson-class oceanographic research vessel, R/V Atlantis (T-AGOR-25), to transfer to Astoria.

 

Funded by the National Science Foundation (NSF) and WHOI, upgrades to the system included installation of titanium personnel sphere, which has been designed to improve observations and collaboration in selecting sampling sites for pilot and scientists.

 

Additional phase one upgrades to the submersible involved integration of new syntactic foam, providing buoyancy and improved command and control system.

 

To improve visibility and provide overlapping fields of view, five viewports have been fitted to the system, in addition to installation of new lighting and high-definition imaging systems as part of the overhaul programme.

 

Launched in 1964, Alvin is the longest-operating submersible operated by the WHOI and has been designed to benefit the entire ocean science community for the US.

 

Capable of accommodating two scientists and a pilot, Alvin submersible features six reversible thrusters to hover, manoeuvre in rugged topography, or rest on the sea floor.

 

Improvements to the R/V Atlantis vessel included A-frame, used to launch and recover the sub, as well as modifications to the hangar where the sub is stored when not in use.

 

Alvin submersible is scheduled to undergo navy certification process in September 2013, off Monterey, California, making a series of progressively deeper dives.

 

After the completion of certification process, the submersible will undergo science verification cruise in November to validate its scientific systems and is expected to enter service in December 2013.

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